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BAC3 (L3)-M1-M2
Objectifs du Cours
• Former et sensibiliser les étudiants au concept et à l’importance de la
qualité tant des produits que des services, la qualité de l’enseignement,
qualité des soins, qualité de la vie, et les voies et moyens pour gérer,
maintenir ou améliorer au besoin cette qualité afin de répondre à la
demande.
Compétences à acquérir
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1.7. Standard
•Un standard est un référentiel publié par une entité privée autre qu’un
organisme de normalisation national ou international ou non approuvé par
un de ces organismes pour un usage national ou international. En fait on
ne parle de standard qu'à partir du moment où le référentiel a une
de facto
diffusion large, on parle alors de standard (standard de fait).
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•La normalisation industrielle est plus récente ; elle est née dans les
milieux de l'industrie et du commerce, du contexte de guerre, puis de
reconstruction qui a suivi la Première Guerre mondiale.
•En Occident par exemple, La standardisation était nécessaire face à
l'urgence à produire des armes, puis à remédier aux immenses
destructions.
•La normalisation répondait aux besoins d'économies d'échelles et de
diminution des coûts, permis par une standardisation, et par ailleurs
encouragée par la taylorisation et mondialisation de l'industrie.
•Après l’armistice de mai 1945, la coopération internationale se renforce
avec l’aide de l’Unesco et de l’Organisation internationale de
normalisation (ISO). Plus tard, c'est l’informatique et l’internet qui ont
relancé les démarches collaboratives et parfois spontanées et
autoorganisées de standardisation internationale.
•Lors de toutes ces étapes, les entreprises dont les normes sont
devenues dominantes ont ainsi pu gagner d'importantes part de marché.
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•Organismes internationaux :
– CEI : Commission électrotechnique internationale,
– CEN : Comité européen de normalisation
– ISO : L'Organisation internationale de normalisation,
– OMS: Organisation mondiale de la santé
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•Organismes nationaux :
– AFNOR : Association française de normalisation
– UTE : Union Technique de l'Electricité
– ANSI : American National Standards Institute
– ASTM International : American society for testing and material
– BSI : British Standards Institute
– DIN : Deutsches Institut für Normung
– NBN : Institut belge de normalisation
– JSA : Japanese Standards Association
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• Proposition
Une proposition de rédaction ou de révision d’une norme est rédigée à
partir d’une demande d’un organisme nationale adhérent à l’ISO, d’un
comité ou d’un sous-comité, du secrétariat général de l’ISO ou d’une
organisation en liaison avec l’ISO. Cette proposition est en général
effectuée parce qu’un besoin a été exprimé par un secteur de
l’industrie
• Préparation
C’est la phase de rédaction proprement dite. À partir de la proposition, le
TC ou le SC constitue un groupe de travail (WG). Il est formé d’un chef
de projet et d’experts nommés par les comités nationaux. Il rédige un
projet de norme qui est appelé CD (comittee draft : projet de comité).
• Comité
C’est le stade principal où les observations et les remarques des
organismes nationaux sont prises en compte. C’est une phase de
recherche de consensus. Le secrétariat du comité fait parvenir aux
comités nationaux participants le projet. Les comités disposent de
trois mois pour émettre des observations et peser sur le contenu de la
future norme. 19
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Traitement de
l’échantillon
Convertir le signal
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2.12. Conclusion
•Il vaut mieux de recourir à un paramètre statistique
comme la médiane, pour exprimer le résultat d’une
analyse
•On peut aussi utiliser la moyenne pour rechercher
les valeurs aberrantes qui donnent l’alerte d’un
dysfonctionnement ponctuel d’une méthode
d’analyse qu’il faille parfois améliorer
•Les erreurs expérimentales d’analyse sont liées à
chaque opération élémentaire ou unitaire
indépendamment les unes des autres.
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Organisation
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Personnel
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Personnel
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Installations, locaux
•Les plans détaillés pour localiser les zones spéciales (atmosphère
contrôlée des salles blanches, radioactivité p.ex) doivent être disponibles.
•Les locaux doivent être bien identifiés avec des panneaux lisibles.
•Les accès tant pour la circulation du personnel que pour l’arrivée des
échantillons, des réactifs, solvants, matériels ou l’élimination des déchets
tels que produits chimiques, déchets biologiques et microbiologiques,
produits animaux, produits radioactifs, le tout selon une procédure
spécifique, en respect des réglementations en vigueur, doivent être
prévus.
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Installations, locaux
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Équipement et matériel
•Chaque équipement ou matériel doit avoir son cahier de vie dans lequel
toute intervention habituelle ou inhabituelle, est consignée
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•Les résultats des analyses sont sans ratures et font apparaître les dates
de contrôle, les initiales des opérateurs et paraphes, les initiales et
paraphes des personnes autorisées qui ont vérifié les analyses et les
calculs.
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Documentation
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Diffusion
La diffusion des documents peut être simple ou avec système d’envoi, p.
ex. avec accusé de réception à retourner. Une liste de diffusion doit être
disponible et conservée. Le nom du destinataire figure en première page
et chaque exemplaire est numéroté. Le document doit porter un signe
distinctif interdisant de réaliser des copies non autorisées, cela évite les
dérives et trafics divers des résultats. Les documents doivent être à jour,
les documents obsolètes doivent être soit détruits, soit archivés.
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Données brutes
On entend généralement par données brutes toutes les données
recueillies à partir d’un appareillage de façon informatique (UV, HPLC,
Colorimétrie p.ex.) ou résultats obtenus après calcul ainsi que les calculs
eux-mêmes obtenus informatiquement ou manuellement ou résultats
notés dans les cahiers de laboratoire ou sur les feuilles de travail.
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Gestion informatique
Il existe de système intégré de type LIMS (Laboratory Information
Management System ) pour rassembler en temps réel et gérer les
informations relatives aux analyses. Les données reprises sur une feuille
de travail doivent être les mêmes que celles entrées dans le système
informatique. Les données brutes obtenues à partir de micro-ordinateurs
doivent être sauvegardées de façon à y avoir accès pendant toute la
durée d’archivage des documents. Les logiciels doivent être validés selon
leur évolution.
Rapport final ou bulletin d’analyse
Comme pour tous les autres documents, il est nécessaire de retrouver en
en-tête les références du protocole ou la spécification utilisée, la date
d’émission (ou approbation). Ce document devra comporter tous les
résultats obtenus avec les noms des opérateurs et bien sûr la signature
de la personne autorisée avec la conclusion claire sur le résultat final
obtenu. Ce document devra être diffusé puis archivé selon une procédure
bien établie.
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Archivage
Cette opération permet la traçabilité de tout ce qui a été réalisé au
cours du temps et revêt un caractère particulièrement important.
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4. Définition d’un plan d’action pour une mise en conformité avec les
inventaires et établissement des listes des documenst scientifiques et
techniques, des équipements de contrôle, de mesure et essais, des
appareils etconsommables, de consommables produits, de la verrerie
courante, des étalons ou standards, du personnel, fiches signalétiques et
de maintenance des appareils, formulaires, dossiers du personnel avec
description des fonctions.
5. Élaboration d’un planning et fixation d’objectifs rapprochés, planifiés,
une sorte de chronogramme de réalisation et d’avancement pour
atteindre l’objectif final d’Accréditation.
6.Répartition des tâches et responsabilités: distribuer, organiser, définir
les tâches et vérifier leur mise en application. Il faut alors maintenir un
rythme de travail adapté, créer et entretenir une ambiance “Qualité” et
faire le point régulièrement sous la supervision d’un “Comité de Pilotage”.
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Chapitre IV. Assurance Qualité dans l’Industrie Alimentaire
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Elle est désormais fondée sur deux principes :la séparation entre
évaluation et gestion du risque, et l'approche globale de la sécurité
sanitaire des aliments "de la ferme à la table" qui suppose une
couverture complète de la chaîne alimentaire, tant au niveau de la
réglementation qu'à celui des contrôles, et repose sur une
responsabilisation des professionnels.
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• Chapitre IV. Qualité et Sécurité des Aliments
• HACCP : ANALYSE DES DANGERS - MAÎTRISE DES POINTS
CRITIQUES
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• Chapitre IV. Qualité et Sécurité des Aliments
• Principes HACCP
• La méthode HACCP repose sur les sept principes suivants:
• Principe 1 : Analyse des dangers.
• Principe 2 : Détermination des points critiques (CCP : Critical
Control Point).
• Principe 3 : Fixation des limites critiques.
• Principe 4 : Mise en place d’un système de surveillance des CCP.
• Principe 5 : Détermination des mesures correctives.
• Principe 6 : Mise en place des procédures de vérification du
système HACCP.
• Principe 7 : Mise en place d’un système de documents et
enregistrements.
• Ces différents points sont expliqués en détail dans les parties
suivantes de ce document. En effet, ces sept principes constituent
les étapes 6 à 12 de l’application de la HACCP.
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• Chapitre IV. Qualité et Sécurité des Aliments
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• Chapitre IV. Qualité et Sécurité des Aliments
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• Chapitre IV Qualité et Sécurité des Aliments
• 7. Déterminer les points critiques à maîtriser (Principe 2)
• Il peut y avoir plus d’un CCP où une opération de maîtrise est
appliquée pour traiter du même danger. La détermination d’un CCP
dans le cadre du système HACCP peut être facilitée par
l’application d’un arbre de décision qui présente un raisonnement
fondé sur la logique.
• Il faut faire preuve de souplesse dans l’application de l’arbre de
décision, selon que l’opération concerne la production, l’abattage, la
transformation, l’entreposage, la distribution, etc. Il doit être utilisé
à titre indicatif lorsqu’on détermine les CCP. L’arbre de décision
donné en annexe ne s’applique pas forcément à toutes les
situations. D’autres approches peuvent être utilisées. Il est
recommandé de dispenser une formation afin de faciliter
l’application de l’arbre de décision.
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• Chapitre IV. Qualité et Sécurité des Aliments
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• Chapitre IV. Qualité et Sécurité des Aliments
• 9. Mettre en place un système de surveillance pour chaque CCP
(Principe 4)
• Un tel système de surveillance permet de mesurer ou d’observer
les seuils critiques correspondant à un CCP. Les procédures
appliquées doivent être en mesure de détecter toute perte de
maîtrise. En outre, les renseignements devraient en principe être
communiqués en temps utile pour procéder aux ajustements
nécessaires, de façon à éviter que les seuils critiques ne soient
dépassés. Dans la mesure du possible, il faudra procéder à des
ajustements de procédés lorsque les résultats de surveillance
indiquent une tendance en direction d’une perte de contrôle à un
CCP. Ces ajustements devront être effectués avant qu’aucun écart
ne survienne. Les données obtenues doivent être évaluées par une
personne expressément désignée à cette fin et possédant les
connaissances et l’autorité nécessaires pour mettre en œuvre, au
besoin, des mesures correctives.
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• Chapitre IV. Qualité et Sécurité des Aliments
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• Chapitre IV. Qualité et Sécurité des Aliments
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• Chapitre IV. Qualité et Sécurité des Aliments
• 11. Prévoir des procédure de vérification (Principe 6)
• On peut avoir recours à des méthodes, des procédures et des tests
de vérification et d’audit, notamment au prélèvement et à l’analyse
d’échantillons aléatoires, pour déterminer si le système HACCP
fonctionne correctement. De tels contrôles devraient être
suffisamment fréquents pour confirmer le bon fonctionnement du
système. Par exemple il faudrait:
• passer en revue le système HACCP et les dossiers dont il
s’accompagne;
• prendre connaissance des écarts constatés et du sort réservé au
produit;
• vérifier que les CCP sont bien maîtrisés.
• Dans la mesure du possible, les mesures de validation devront
comprendre des activités permettant de confirmer l’efficacité de
tous les éléments d’un plan HACCP.
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• Chapitre IV. Qualité et Sécurité des Aliments
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•
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Arbre de décision pour la détermination des points critiques en HACCP
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• Chapitre IV. Qualité et Sécurité des Aliments
• Conclusion
• La HACCP n'est pas une norme au sens propre du terme, c'est une
méthode ou une démarche qui permet de mettre en place un
système qui vise, dans le cas de l’alimentaire, la production d’une
denrée alimentaire sure, et ce par la maîtrise des dangers qui sont
inacceptables et qui peuvent nuire à la santé du consommateur.
• Pour que le système HACCP puisse être efficacement mis en
œuvre, il est essentiel de former aux principes et aux applications
d’un tel système le personnel des entreprises, des services publics
et des universités, ainsi que de sensibiliser davantage les
consommateurs à cet égard. Afin de contribuer à la mise au point
d’une formation spécifique à l’appui du système HACCP, il faudrait
formuler des instructions et des procédures de travail définissant
avec précision les différentes tâches des opérateurs qui se trouvent
à chacun des points critiques pour la maîtrise.
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• . Chapitre IV. Qualité et Sécurité des Aliments
• ISO 22000 : SYSTÈME DE MANAGEMENT DE LA SÉCURITÉ DES
DENRÉES ALIMENTAIRES
• La norme internationale ISO 22000 spécifie les exigences relatives
à un système de management de la sécurité des aliments (SMSA)
lorsqu’un organisme a besoin de démontrer son aptitude à
maîtriser les dangers liés à la sécurité des aliments afin de garantir
en permanence la fourniture de produits sûrs répondant aux
exigences convenues avec les clients et celles des règlements
applicables en la matière.
• Fabricants d’équipements, de matériel d’emballage ;
• Fabricants des produits de nettoyage, d’additifs et ingrédients ;
• Producteurs de pesticides, de fertilisants et médicaments
vétérinaires ;
• Prestataires de service.
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• Chapitre IV. Qualité et Sécurité des Aliments
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• Chapitre IV. Qualité et Sécurité des Aliments
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• Chapitre IV. Qualité et Sécurité des Aliments
• Le BRC et l’IFS sont des référentiels privés qui spécifient les
exigences de moyens et de résultats pour garantir la sécurité des
denrées alimentaires à MDD (marques des distributeurs). Les
fabricants désirant vendre leurs produits alimentaires à la grande
distribution britannique, allemand ou français doivent satisfaire aux
exigences de l’un des référentiels ou des deux en même temps
selon la destination de leur marchandise.
• A côté des référentiels privés, plusieurs pays comme le Canada, le
Danemark, les Pays Bas, l’Irlande, l’Australie, le Maroc et bien
d’autres pays ont élaboré leurs propres référentiels nationaux
concernant le management de la sécurité des produits alimentaires.
Le besoin d’une harmonisation de la réglementation et des normes
relatives à la sécurité des aliments, regroupées dans un référentiel
reconnu international a été fortement exprimé par les acteurs de
l’agroalimentaire depuis de nombreuses années. L’objectif derrière
ce besoin est de minimiser le coût lié à la gestion et la
maintenance de plusieurs référentiels en même temps.
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• Chapitre IV. Qualité et Sécurité des Aliments
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• Chapitre IV. Qualité et Sécurité des Aliments
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• Chapitre IV. Qualité et Sécurité des Aliments
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• Chapitre IV. Qualité et Sécurité des Aliments
• La structure de la norme ISO 22000 tient compte des dispositions
contenues dans la norme ISO 9001 : 2000 afin de permettre une parfaite
compatibilité et complémentarité avec les différents référentiels de
management couramment utilisés par les entreprises. Elle repose sur
quatre blocs principaux étroitement liés :
• La responsabilité de la direction ;
• Le management des ressources ;
• La planification et la réalisation des produits sûrs ;
• La validation, la vérification et l’amélioration du système de management de
la sécurité des denrées alimentaires.
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• Chapitre IV. Qualité et Sécurité des Aliments
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• Chapitre IV. Qualité et Sécurité des Aliments
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Sécurité au Laboratoire: Exemple de phrases R et phrases S
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• Sécurité au Laboratoire: Exemple de phrases R et phrases S
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• Sécurité au Laboratoire: Exemple de phrases R et phrases S
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• Sécurité au Laboratoire: Exemple de phrases R et phrases S
Symboles de prudence Explication du contenu
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Chapitre IX. Management des Laboratoires de Contrôle Qualité
8.1. Introduction
Les Laboratoires de Contrôle font partie intégrale de la gestion de la
qualité d’une entreprise.
Inclus dans le contrôle qualité, le département qualité ou en production en
tant que contrôle en cours (IPC), ils donnent une photo à l’instant t de
l’état d’une matière première, d’un intermédiaire ou d’un produit fini.
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Chapitre IX Management des Laboratoires de Contrôle Qualité
Le Management de ces laboratoires est confronté à deux exigences:
managériale et technique.
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Chapitre IX. Management des Laboratoires de Contrôle Qualité
8.2. Management technique
Le Management des Laboratoires doit reposer sur une autorité de
compétence. Le Manager doit exercer toute sa rigueur à ne pas
confondre avec la rigidité, tant au niveau des matériels, méthodes, qu’au
niveau des textes qui régissent son activité.
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Chapitre IX. Management des Laboratoires de Contrôle Qualité
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Chapitre IX. Management des Laboratoires de Contrôle Qualité
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Chapitre X. Prévention et Gestion des Risques
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Chapitre X. Prévention et Gestion des Risques
(maîtrise du risque).
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10.3. Danger
•Le danger est la capacité à créer un
dommage. C’est est un des éléments qui
conditionne le risque, qui est quant à lui la
combinaison d’un danger et de l’exposition à
ce danger.
Ainsi, un risque peut être faible voire nul,
même en présence d’un grand danger.
•Par exemple, tomber d’un grand arbre peut
provoquer la mort ou de graves blessures,
donc le danger est très grand, mais le risque
est très faible lorsqu’un mur ou une barrière 173
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10.5. Types d’Analyse des Risques : Méthode de 5P
•Cette technique est très utilisée pour la
résolution des problèmes.
•En effet, poser 5 fois de suite la question
pourquoi permet, dans la majorité des cas, de
trouver sa cause racine. Ce qui constitue sans
doute la première étape de la résolution d'un
problème.
•Elle peut être utilisée aussi dans le cadre
de projets d’amélioration de la qualité dans
une entreprise, dans une association, dans
une usine, dans un laboratoire, etc … 182
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• Exemple d'utilisation de la technique des 5P
• Voici un exemple d’application concrète où l’on a observé
un dysfonctionnement.
• Exemple : Le problème à explorer est la panne d'une
machine.
Posons alors la question pourquoi 5 fois de suite :
1.Pourquoi cette machine-outil est-elle tombée en panne?
Parce qu’une pièce précise de la machine-outil est devenue
défectueuse
2.Pourquoi cette pièce de la machine-outil est-elle devenue
défectueuse?
Parce que la pièce à usiner n’était pas bien enclenchée et le
mécanisme a forcé.
3.Pourquoi cette pièce était-elle mal enclenchée?
Parce que le technicien chargé de cette machine n’était 183
pas présent et n’a pas pu corriger le mauvais
enclenchement.
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• Exemple d'utilisation de la technique des 5P
• Voici un exemple d’application concrète où l’on a observé
un dysfonctionnement.
• Exemple : Le problème à explorer est la panne d'une
machine.
Posons alors la question pourquoi 5 fois de suite :
4.Pourquoi ce technicien n’était pas là pour surveiller sa
machine et corriger la déviation?
Parce qu’un autre technicien l’avait appelé en renfort sur sa
propre machine.
5.Pourquoi cet autre technicien l’avait appelé en renfort?
• La cause profonde était donc l’absence du technicien à un
poste de travail qui demandait une vigilance importante.
184
Marcel M Kadiata : Assurance et Contrôle Qualité-UNIKIN
• Exemple d'utilisation de la technique des 5P
• Voici un exemple d’application concrète où l’on a observé
un dysfonctionnement.
• Exemple : Le problème à explorer est la panne d'une
machine.
Posons alors la question pourquoi 5 fois de suite :
etc...
Marcel M Kadiata : Assurance et Contrôle Qualité-UNIKIN
Ce concept des 5P a parfois été repris par des formateurs et
des cabinets de conseil en gestion de projet pour lui donner
une tout autre signification.
• Par exemple, la méthode 5P des livrables (documents clé du
projet comme le cahier des charges fonctionnel par
exemple) consiste à vérifier pour chaque livrable son
caractère
• Pertinent
• Planifié (a t-on bien fixé une date limite de livraison pour ce
livrable?
• Précis
• Positif : quels sont les bénéfices du projet au travers de ce
livrable?
• Personnalisé : l’équipe a-t-elle les moyens d’agir en fonction
des objectifs?
186
Marcel M Kadiata : Assurance et Contrôle Qualité-UNIKIN
Méthode de Six Sigma:
• Pourquoi le Lean Six Sigma ?
• Le Six Sigma sert à améliorer la qualité des produits ou
services, et donc la performance de l’entreprise, grâce à la
réduction de la non-qualité, des déchets, des retouches et
ajustements.
• Cette méthode pousse l’entreprise à se doter d’actions
mesurables et efficaces, de mieux satisfaire ses clients,
d’impliquer les équipes et permet souvent d’améliorer son
image.
• Elle est donc une stratégie qui vise à améliorer en
permanence les performances d’une entreprise et à optimiser
ses processus.
187
Marcel M Kadiata : Assurance et Contrôle Qualité-UNIKIN
Méthode de Six Sigma:
• Quelques avantages de la méthode 6 sigma :
• Avant tout, rendre toute décision au sein de l’organisation «
customer centric », ne réaliser une tâche que si elle répond à
une attente client, donc s’il est prêt à la payer
• Réduire les défauts des processus de fabrication et de
services
• Améliorer le rendement et la performance
• Obtenir le niveau de qualité attendu par le client et le
maintenir dans le temps
• Développer une culture de management par les résultats
(Result based Management ou Gestion Axée sur les Résultats
-GAR) à travers les mesures de la méthode
• Augmenter les gains grâce à la maîtrise des processus et la
réduction des pertes et coûts liés aux retouches et 188
ajustements
Marcel M Kadiata : Assurance et Contrôle Qualité-UNIKIN
Méthode de Six Sigma:
• Le Six Sigma vient du monde des statistiques. La lettre
grecque sigma σ correspond à l’écart type racine carrée de la
variance.
• Donc « Six sigma » est 6 fois l’écart type. L’écart type peut
être assimilé à la dispersion d’un processus.
• Concrètement, la méthode vise à ce que tous les produits
qui sont issus d’un processus soient compris dans un
intervalle s’éloignant au maximum de Six Sigma par rapport à
la moyenne générale des produits issus de ce processus.
• Autrement dit, si l’on a 6 écart-type entre la moyenne et les
spécifications client, alors 99,99975% des produits seront
conformes à ce que souhaite le client.
189
Méthode Marcel
de SixMSigma:
Kadiata : Assurance et Contrôle Qualité-UNIKIN
Quels sont ses principes ?
• Six Sigma est une méthodologie structurée pour améliorer la
qualité et les performances des processus commerciaux.
Voici quelques-uns de ces principes:
• Orientation client : la méthode se concentre sur la
satisfaction du client et la fourniture de produits ou services
de haute qualité qui répondent ou dépassent les attentes du
client
• Utilisation de données et de statistiques : elle utilise des
données quantitatives pour analyser les performances des
processus, identifier les problèmes et déterminer où des
améliorations peuvent être apportées
• Approche de processus : elle se concentre sur l'amélioration
des processus, en partant du principe que si vous améliorez
le processus, vous améliorez le produit ou le service.
190
Méthode Marcel
de SixMSigma:
Kadiata : Assurance et Contrôle Qualité-UNIKIN
Quels sont ses principes ?
• Approche de processus : Dans ce contexte, l'AMDEC
processus est un outil du 6 sigma qui permet d'identifier,
d'évaluer et de prioriser les risques potentiels de défaillance
d'un processus.
• Amélioration continue : le 6 sigma n'est pas un projet
ponctuel, mais une approche continue de l'amélioration de la
qualité et de l'efficacité
• Engagement de la direction : La réussite du 6 Sigma dépend
d'un engagement fort et continu de la part de la direction de
l'entreprise
• Prévention plutôt que détection des défauts : Six Sigma vise
à prévenir les défauts dès le début, plutôt que de les détecter
et de les corriger après coup
•Ces principes permettent au Six Sigma de créer une culture
d'amélioration continue de la qualité et d'efficacité au sein de l'entreprise. 191
Marcel M Kadiata : Assurance et Contrôle Qualité-UNIKIN
Analyse des modes de défaillance, de leurs effets et de leur
criticité (AMDEC) : C'est un outil pour identifier et hiérarchiser
les risques dans un processus ou un produit, en fonction de
leur gravité, de leur occurrence et de leur détections
Enfin, utilisez des outils de mesure pour contrôler que les
solutions mises en place ont bien l'effet attendu sur
l’amélioration de la performance.
En définitive, ces étapes forment la structure de l'outil DMAIC
(Définir, Mesurer, Analyser, Améliorer, Contrôler) utilisé dans
Six Sigma. Chaque étape correspond à une partie spécifique
du processus :
• Définir : voix du client, sondages, SIPOC (Supplier Input
Process Output Customer — cartographie des processus), …
192
Marcel M Kadiata : Assurance et Contrôle Qualité-UNIKIN
Structure du DMIAC
194
Marcel M Kadiata : Assurance et Contrôle Qualité-UNIKIN
10.6. Méthodes d’analyse des risques
•Il existe deux grandes méthodes d’analyse
des risques.
•La méthode la plus simple et la plus pratique
est l’analyse qualitative des risques.
•L’analyse qualitative du risque évalue ou note
le risque en fonction de la perception de la
gravité et de la probabilité de ses
conséquences.
•L’analyse quantitative du risque, quant à elle,
calcule le risque sur la base des données
disponibles. 195
Marcel M Kadiata : Assurance et Contrôle Qualité-UNIKIN
196
Marcel M Kadiata : Assurance et Contrôle Qualité-UNIKIN
197
Marcel M Kadiata : Assurance et Contrôle Qualité-UNIKIN
199
Marcel M Kadiata : Assurance et Contrôle Qualité-UNIKIN
201
Marcel M Kadiata : Assurance et Contrôle Qualité-UNIKIN
l’usine.
Marcel M Kadiata : Assurance et Contrôle Qualité-UNIKIN
10.8. Gestion du Risque: Comment gérer et
communiquer les risques ?
•Une façon de gérer efficacement les risques
est d’utiliser la norme ISO 31000, 2018. ISO
31000 est une référence internationalement
reconnue en matière de gestion des risques.
Elle peut être résumée en trois règles
directrices que les dirigeants doivent suivre :
•La gestion des risques doit être structurée,
innovante, inclusive, dynamique, en constante
amélioration et adaptée aux objectifs de
l’entreprise. 203
Marcel M Kadiata : Assurance et Contrôle Qualité-UNIKIN
10.8. Gestion du Risque: Comment gérer et
communiquer les risques ?
•Les dirigeants doivent intégrer de manière
proactive la gestion des risques à tous les
niveaux de l’entreprise.
•Les politiques et pratiques de gestion des
risques doivent favoriser une communication
ouverte sur les risques.
204
Marcel M Kadiata : Assurance et Contrôle Qualité-UNIKIN
10.8. Gestion du Risque: Comment gérer et
communiquer les risques ?
•Un autre aspect essentiel de l’utilisation de la
norme ISO 31000 est de s’assurer que tous les
employés connaissent la norme et/ou ont reçu
une formation sur la façon d’appliquer la norme
dans leur travail. Si les dirigeants doivent
assumer la responsabilité de la gestion globale
des risques, ils doivent veiller à ne pas écarter
les employés de ce processus. Sans le soutien
et la contribution des employés, la mise en
œuvre de la norme ISO 31000 sera beaucoup
205
plus difficile.
Marcel M Kadiata : Assurance et
CONCLUSION Contrôle Qualité-UNIKIN
GENERALE
206
Marcel M Kadiata : Assurance et
CONCLUSION Contrôle Qualité-UNIKIN
GENERALE
Les principes des BPL reposent sur l’engagement de la
direction et de chacun, sur un programme d’assurance qualité
décrivant les fonctions et responsabilités avec un
organigramme clair, sur la qualification des personnes et leur
formation, sur les locaux (installations), sur les équipements
(validés ou calibrés et bien positionnés), sur des méthodes
validées, sur des procédures claires pour chaque tâche à
réaliser.
208