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[I]

EPIGRAPHE

Il n’y a pas de rose sans épine


« Adage français »
[II]

DEDICACE

A mon cher père Nestor MBAYO LUKASU et ma chère mère Marie


LUPONA KALOMBO pour avoir été pour nous, non seulement géniteurs mais
aussi, des éducateurs et initiateurs dans la vie envers qui nous seront
redevables tant que nous aurons notre souffle de vie.
[III]

REMERCIEMENTS

Au seuil de ce travail qui marque la fin de nos études du premier


cycle, nous tenons premièrement à remercier notre Dieu le Tout Puissant et
Miséricordieux qui nous a donné le souffle de vie, la force et la patience
d’accomplir ce modeste travail.

Nos remerciements s’adressent aux autorités académiques, en


particulier à Monsieur le Directeur Général Professeur Docteur TSHIULA
KABONGO et le Secrétaire général académique et administratif ainsi qu’à
tout le corps enseignant de l’Institut Supérieur des Techniques appliquées
pour nous avoir transmis les connaissances avec conscience professionnelle.

A ce terme, nous remercions plus particulièrement notre Directeur


Ingénieur Vincent KALAMBAYI pour l’attention accordée dans le suivi de ce
travail pour sa disponibilité et les conseils prodigués tout au long de la
rédaction de ce travail.

Nos remerciements s’adressent à mes frères et sœurs : Patrick


MBAYO, Odrick NTAMBUE, José NGIELEKA, Kikas KIKANGALA, Angel
MUJINGA, Tundu MOHAMEDI, Christine MULUBULE, Tshiabu Demama.
Pour leurs contributions financières, matérielles et morales d’une manière
ou d’une autre.

A mes compagnons de lutte : Alain KALENGA, Jungle TSHITEYA


MUKEBA, Sylvain NZOZO, Sedou KABONGO. Pour leur collaboration et
esprit de conquête.
[IV]

LISTE DES ABREVIATIONS

- GSM : Global System Mobile


- NTSC : National Television System Commitee
- OL : Oscillateur Local
- PAL : Phase Alternating Line
- SCPT : Société Congolaise de Poste et Télécommunication
- SECAM : Séquentielles Couleurs en Mémoire
- TV : Télévision
- TVC : Télévision Couleurs
- UB : Signal Bleu
- UHF : Ultra Haut Frequency
- UR : Signal Rouge
- UV : Signal Vert
- UY : Signal de Luminance
- VHF : Very Haut Frequency
- FH : Faisceaux hertziens
[V]

LISTE DES FIGURES

Figure I.1. : Liaison hertzienne analogique ou numérique


Figure I.2. : Schéma synoptique typique d’un faisceau hertzien avec relais
Figure 1.3. : Liaison hertzienne sans relais
Figure I.4. : Liaison hertzienne avec relais
Figure I.5. : Directivité d’une antenne
Figure I.6. : station relais avec brouillage
Figure I.7. : Liaison satellite
Figure I.8. : Paire torsadée
Figure I.9. : Câble coaxiale
Figure I.10. : Câble à fibre optique
Figure II.1. : Schéma de principe de la télévision noir et blanc
Figure II.2. : Récepteur téléviseur
Figure II.3. : Signal en dents de scie
Figure II.4. : Spectre en fréquence d’un canal
Figure II.5. : Signal vidéofréquence composite
Figure II.6. : Déplacement de spot
Figure II.7. : Signal de synchronisation ligne
Figure II.7 : Schéma bloc d’un émetteur de télévision
Figure II.8. : Spectre des couleurs
Figure II.8. : Coubre de sensibilité de l’œil
Figure II.10 : Superposition de lumières colorées
Figure II.11. : Diagramme chromatique
Figure II.12. : Triangle équilatéral de couleurs
Figure II.13. : Chaine de transmission de couleur
Figure II.14. : Démodulateur couleur
Figure II.15. : Codeur NTSC
Figure II.16. : Système PAL
Figure II.17. : Codeur PAL
Figure II.18. : Codeur SECAM
Figure II. 19. : Schéma d’émission d’un TVC
Figure II.20. : Signaux modulés
Figure III.1. : Organigramme de l’église la borne
Figure III : 2 : Plateau ou salle d’émission
Figure III.2. : Caméra fixe
[VI]

LISTE DES TABLEAUX

Tableau I.1. : Fréquence d’émission et de réception

Tableau II.1. : Tableau de couleurs

Tableau III.1. : Liste des matériels et prix


[1]

INTRODUCTION GENERALE

A. Présentation du sujet

Dans ce travail nous parlerons d’un thème qui s’intitule :


« implantation d’une chaine télévision » cas de l’église la borne Bakwadianga.
La plupart de croyants voudra voir les images et des émissions de l’église.

B. Intérêt et objectifs du sujet

1. Intérêt du sujet

Cette étude nous a permis d’approfondir nos connaissances sur


l’implantation d’une chaine télévision.

La réalisation de ce travail aidera à l’église la borne Bakwadianga de


connaitre quels sont les matériels à utiliser pour la télévision et les
conditions à respecter pour implanter une chaine de télévision.

2. Objectifs du sujet

Ce travail a comme objectif de proposer à l’église la borne


Bakwadianga un moyen de transmission à distance des sons et des images
au grand public.

Notre travail mis sur pied, qu’est-ce qu’il faut avoir pour une chaine
télévision.

C. Problématique

La problématique est définie comme étant un ensemble des


questions, des problèmes concernant un domaine de connaissance qui sont
posés par une situation.

Etant donné les difficultés d’émettre les prédications et les


programmes de l’église aux croyants et les non-croyants de la ville de
Mbujimayi et les villages environnants, nous allons nous poser des questions
suivantes :

- Pourquoi vouloir installer une chaine télévision ?


- Quel est le support de transmission qu’on doit utiliser pour la
transmission des sons et des images ?
- Quels sont les matériels qu’il faut avoir pour implanter une chaine
télévision ?

D. Hypothèses
[2]

Dans le cadre de notre travail, partant de la problématique évoquée


ci-haut, nous émettrons les hypothèses ci-dessous :

- Afin d’être écouté et visualisé à distance, nos prédications et la


musique chrétienne.
- Nous allons connaitre parmi les supports de transmission cité ci-
dessous quel sera le support utilisé pour la transmission de sons et
des images à distance.
- Nous parlerons de différents matériels utilisés pour la télévision.

E. Méthodes et techniques utilisées

Nous avons utilisé les méthodes ci-après pour atteindre notre


objectif :

- La méthode analytique : qui nous a permis de faire la ronde de


certaines stations de la ville, par exemple on était à la RTNC et à la
KHRT.

- La méthode documentaire : à travers laquelle nous avons utilisés les


différents documents de référence (internet, notes de cours).

- La méthode d’interview : qui nous a permis de poser des différentes


questions en rapport avec notre étude.

F. Délimitation spatiale et temporelle du travail

Les recherches et la finalisation de ce travail s’étendent du mois de


mai au mois de nonembre 2023.

Dans ce travail nous nous sommes limités à l’implantation d’une


chaine télévision cas de l’église la borne Bakwadianga.

G. Subdivision du travail

Outre l’introduction et la conclusion générale, ce travail s’articule


autour de trois chapitres ci-dessous :

- Le premier chapitre parlera sur les généralités des supports de


transmission ;

- Le deuxième chapitre sera consacré aux notions de télévision ;

- Le troisième chapitre portera sur l’implantation d’une chaine télévision


cas de l’église la borne Bakwadianga.
[3]

CHAPITRE I : GENERALITES SUR LE SUPPORT DE TRANSMISSION

I.1. Introduction

Pour transmettre des informations d’un point à Un autre, il faut un


canal qui servira des chemins pour les passages de ces informations. Ce
canal est appelé Canal de transmission ou support de transmission (en
réseau informatique, télé informatique ou Telecom)

I.2. Définition

Nous entendons par « support de transmission » tous les moyens


par lesquels on peut conduire un signal de son lieu de production à sa
destination avec les moins des déperditions possibles, dispersion ou
distorsion.

On distingue plusieurs sortes des supports de transmission :

 Le câble à paires torsadées


 Les câbles coaxiaux
 Les câbles à fibre optique
 Les liaisons hertziennes
 Les liaisons satellitaires

L’infrastructure d’un système de télécommunication, la qualité de


service offert, les solutions logicielles à mettre en œuvre dépendent
largement du support de transmission utilisé.

Les supports de transmission exploitent les propriétés de


conductibilité des métaux (Paire torsadées et câble coaxial), celle des ondes
électromagnétiques (faisceau hertzienne, guide d’onde, satellite). Où encore
celle du spectre visible de la lumière (fibre optique).

Généralement on classe les supports en deux catégories :

 Les supports guidés (supports cuivre et support optique) ;


 Les supports libres (faisceaux hertziens et liaisons satellite)

I.3. Complexité de la liaison


La complexité de systèmes provient généralement du fait qu’une
liaison peut emprunter différents supports, le système de transmission devra
réaliser l’adaptation du signal à transmettre au support utilisé.
[4]

Les caractéristiques des supports différents selon la nature


physique du support et le mode propagation choisi. Cependant, certaines
caractéristiques sont Commune à tous les types des supports (bande
passante…), d’autres sont spécifiques (Impédance caractéristiques…).

I.4. Caractéristiques des supports de transmission


a) Bande passante et système de transmission

Déformation du signal par le support de transmission :

L’impulsion électrique envoyé est affaiblie et déformé par le système


de transmission.

À l’extrémité de la ligne, le récepteur doit identifier et décodé le signal.


Cette fonction ne peut être réalisé que si le signal n’a pas été exagérément
modifier pendant la transmission.

Ces modifications dépendent d’une part de la nature du signal


(spectre du signal) et, d’autres parts, de la réponse en fréquence du système
(bande passante).

b) signal sinusoïdale traversant un canal

 Affaiblissement :

Un Canal de transmission atténue (affaibli) l’amplitude du signal qui


le traverse.

Les phénomènes d’atténuation correspondent à une perte d’énergie


du signal pendant sa propagation sur le canal et sa s’accentue avec la
longueur de celui-ci.

La quantité d’énergie perdue dépend très étroitement de la fréquence


du signal et de la bande passante du système.
PE
On mesure l’atténuation par le rapport où PS est la puissance du
PS
signal à la sortie du canal et P E la puissance du signal à l’entrée du canal

 Déphasage :

Le déphasage, encore appelé distorsion de phase, implique un retard


du signal reçu par rapport au signal émis dû Au temps de propagation de ce
signal de l’émetteur de vers le récepteur.

Illustration des phénomènes d’atténuation et de retardement subit


pour un signal sinusoïdal traversant un canal

 Puissance et atténuation
[5]

Si v(t)=V cos (ω t + pour ∅) et i(t)=10 cos (ω t)

La pulsation est ω = 2πf, avec f : la fréquence.

 Décibels (db)

Par définition, le DÉCIBELS est une unité de grandeur sans


dimension définie comme 10 fois le logarithme décimal (logarithme en base
10).

Du rapport entre deux puissances, utilisées dans les


télécommunications, électronique et acoustique.

L’atténuation en puissance peut s’exprimer en DÉCIBELS :


PS
G(dB)=10log ou PS est la puissance à la sortie et P Eest la puissance à
PE
l’entrée.

 Le gain en tension peut s’exprimer en décibels


VS
G(dB)=20 log où V s est la tension à la sortie et V e est la tension à
Ve
l’entrée. (G=G’ si les impédances sont identiques).

Une puissance peut s’exprimer en DÉCIBELS mètre : P(décibels


mètre)=10log p/1mW=10log(P(mW)).

Une tension peut s’exprimer en décibel mV :

V(décibels mv)=20logV/1mv=20log(V(mV)).

Dans ces relations log représente le logarithme en base 10 on a donc :

PS=Pe x 10G(dB/10 ;

P(mW)=10p(dB)/10

I.4. Les faisceaux hertziens

1. Généralités

Les faisceaux hertziens initialement conçu pour transmettre des


multiplex téléphoniques ou des images analogiques, aujourd’hui, ces
signaux sont principalement numériques.

2. Présentation des faisceaux hertziens

Un faisceau hertzien est une liaison radio électrique point à point,


bilatérale et permanente (foule duplex), à ondes directives offrant une liaison
des bonnes qualités et sûr permettant la transmission d’informations en
mode multiplex à plus ou moins grande capacité de 3 à 60 voies.
[6]

Un faisceau hertzien est un système de transmission des signaux


permettant l’interconnexion des sites distants utilisant des ondes radio
électrique.

Ce type des liaisons radio point à point est aujourd’hui


principalement numérique et est utilisé pour des liaisons voix et données.

Il utilise comme support les ondes radio électrique avec des


fréquences porteuses de 1hz à 40hz très fortement concentré à l’aide
d’antennes directives. Ces ondes sont sensibles aux masquages (relief
végétation, bâtiment…), aux précipitations, aux conditions de réfractivité de
l’atmosphère et présente une sensibilité à assez forte aux phénomènes de
réflexion.

Destiné à la mise en œuvre de réseau de télécommunication les


faisceaux hertziens numérique offres des grandes capacités de débit et sont
évolutifs en fonction de besoin de l’usager.

Les faisceaux hertziens sont souvent complémentaire des réseaux des


fibres optiques pour assurer la continuité de certains points de
raccordement ou son utilisé pour redondance certaines liaisons cuivres tout
en optimisant les coups notamment par rapport à des liaisons louées.

Les fécaux hertziens disposent des points d’accès à la norme G703 et


Ethernet. Le débit vau de 2 à 155 Mbps.

3. Structure d’un faisceau hertzien

Le faisceau hertzien est un système de type pseudo 4 files


fréquentiels Car les deux sens de transmission sont portées par des
fréquences différents. Les antennes sont généralement communes aux deux
sens.
[7]

Figure I.1. : Liaison hertzienne analogique ou numérique

Une liaison hertzienne comprend deux standards et des stations relais ; elle
est composée d’un ou plusieurs bonds.

 On appelle station terminale, toute station située à la fin d’une liaison


hertzienne ;
 On appelle station relais, celle située entre les stations terminales ;
 On appelle bond hertzien, la distance séparant deux stations
conséquentes.

Figure I.2. : Schéma synoptique typique d’un faisceau hertzien avec relais

NB : Les conditions de propagation (distance, visibilité) oblige souvent à


diviser une liaison en plusieurs bonds séparé des stations relais qui
reçoivent les signal hyperfréquence, l’amplifie, elles remettent, généralement
avec une autre porteuse en direction de la station suivante dans des cas
exceptionnels, des relais passive (plans réflecteur) peuvent permettre de
contourner un obstacle.

4. Caractéristiques
[8]

 Utilisation

Ce procédé permet de transmettre des signaux d’information


(téléphonie, télévision, …) d’un point à Un autre du territoire (liaisons point à
point). Ils sont utilisés :

 En réseau d’infrastructure
Téléphonie : Diffusion d’émission de télévision
 En réseau de dessert
Liaisons BTS – BSC en GSM
Boucle locale radio

Ils sont aussi utilisés sur des : grande distance, ≈ 50 km en liaison


directe (infrastructure téléphonique) éventuel nécessité de relais :

o Passif là où le relief est important (simples réflecteur)


o Actifs les signales recueillis et remis en forme amplifiée, puis
retransmis
 Courte distance (Liaisons « a vue ») :

o Infrastructures GSM

 Débit théorique jusqu’à 155 Mbites par seconde


 Portée : à débit donner la portée de réduit lors ce que la
fréquence augmente.

En générale les bandes de fréquences de 23 et 38 GHz sont utilisées


pour des liaisons Courte distance (4 ou 5 km).

Les bandes de fréquences de 4 et 13 GHz permettent d’atteindre des


portées de quelques dizaines de kilomètres, voir 50 kilomètres en utilisant
des antennes de grands diamètre.

 GAMME DE BANDE DES FRÉQUENCE : de 1,5 Hz à 38 GHz

5. Avantage

 Installation facile et rapide


 Matériel flexible et évolutif
 Débits élevé
 Faible interférence comparée au réseau hertzien classique.

6. Inconvénient

 Exploitation sous licence, sur certaines fréquences.


 Coût de licence
[9]

 Liaison sensible aux hydrométéores, notamment lors de forte pluie


 Distance/débit.

7. Type des liaisons radio électrique

Une liaison radio électrique est une communication bidirectionnelle


entre deux points en vue, chacun équipé d’un émetteur et d’un récepteur,
généralement en visibilité.

Exceptionnellement, une liaison peut s’établir en utilisant la réflexion


et diffusion par ionosphère (haute atmosphère, 70 à mille kilomètres
d’altitude) dans la bande des ondes courtes (3 à 25 MHz) on obtient une
liaison transhorizon de très longues portées mais des faibles capacités :

Figure 1.3. : Liaison hertzienne sans relais

Une liaison peut s’établir en visibilité directe entre plusieurs stations


placées sur des points hauts.
[10]

Figure I.4. : Liaison hertzienne avec relais

Remarque 1 : les faisceaux hertziens compte tenu des fréquences


utilisées et de la directivité de la liaison, nécessitant avant toute liaison,
d’effectuer un calcul pour déterminer la faisabilité, l’affaiblissement de la
liaison et la puissance d’émission à utiliser.

On prend en considération le Profil du terrain sur le trajet de la


liaison, on trace l’ellipsoïde de Fresnel, on détermine l’affaiblissement en
fonction de la présence d’obstacle ou pas, on cumule les gains des antennes,
Les pertes dans le cadre coaxial et la perte lié à la distance et l’on compare le
résultat à la sensibilité du récepteur.

L’avantage de la rapidité de mise en œuvre de FH par rapport au


câble présente les inconvénients de moyens radieux :

o Détectable
o Localisable
o Et coût possible

Celles le chiffrement de jonction (Link Id) permettra d’atteindre un


degré de confidentialité acceptable.

Remarque 2 :

Le déploiement de Liaisons FH obéit à des règles très précise


d’ingénierie imposé par le cahier de charge d’une part et par les règles du
CCIR (comité consultatif international de radio communications) un groupe
de l’UIT, d’autres part le bilan de la liaison doit être calculé en tenant compte
des paramètres suivants :
[11]

Distance, situation (Altitude, climat, environnement radio électrique).


Puissance isotrope rayonnée équivalente. Topologie des réseaux (maillage,
point à point).

De plus les équipements et installateurs doivent être agréés par Une


régulation (pour le cas RDC c’est là SCPT). Une demande doit être effectuée
et la redevance dépend de la fréquence utilisée.

8. Le plan de fréquence

La transmission des grandes capacités nécessite l’utilisation de large


bande passante obtenue par modulation en fréquence de porteuse des
fréquences extrêmement élevée (2 à 40ghz). Il faut donc exploiter
judicieusement le spectre de fréquence en fin de l’optimiser. Dans ce sens le
CCIR, a précisé les méthodes d’utilisation des bandes fréquences en publiant
des plans de fréquences.

9. Domaine de fonctionnement des faisceaux hertziens

Des bandes des fréquences sont attribuées aux faisceaux hertziens.

On distingue :

 Dans le domaine des ondes métrique [bande 79 – 80 MHz] ;


 Dans le domaine des ondes de symétrique [bande 400 – 470 MHz,
bande 1700 – 2300 mhz] ;

 Dans le domaine des ondes centimétrique [bande>1700mhz] le


domaine de fonctionnement des faisceaux hertziens en visibilité
réalisé avec la technologie actuelle s’étant de 1,7 ghz.

I.5. Établissement des plans de fréquences


a) Généralité

Il convient d’optimiser l’utilisation du spectre radio électrique, c’est-à-


dire de trouver des méthodes qui permettent de transmettre le maximum des
signaux un trajet donné, avec la bande la plus étroite possible et de
brouillage acceptable. L’encombrement spectral des signaux émis et le
nombre important des liaisons établis dans le pays à forte densité rendent ce
problème fondamental.

Figure I.5. : Directivité d’une antenne


[12]

L’impératif d’optimisation de l’utilisation du spectre, on veille à ce que les


porteuses véhiculant les signaux soient le plus rapprochées possible,
l’espacement minimal dépendant de la largeur du spectre de l’onde modulée,
de possibilité de filtrage et de la sensibilité des signaux au brouillage.

Pour améliorer les découplages et minimiser les brouillages, on alterne les


polarisations de l’onde modulée (polarisation verticale et polarisation
horizontale).

L’emploi d’antennes très directives et ayant des lobes latéraux suffisamment


bas.

D’où l’utilisation de deux canaux diffère pour la transmission bilatérale d’un


signal.

Pour éviter tout danger de brouillage d’émission sur la réception par


couplage dans une même station, on regroupe toutes les fréquences servant
à l’émission dans une station et toutes celles servant à la réception et
éloigner ces deux groupes de telle façon qu’ils puissent être séparés par
filtrage.

On obtient des configurations de ce type dans une station donnée (tableau


I.1)
Tableau I.1. : Fréquence d’émission et de réception

Ainsi nous avons :

Les fréquences F1, F2, F3 constituent la demi-bande basse

Les fréquences F’1, F’2, F’3 constituent la demi-bande haute


[13]

- Brouillage 1 : le niveau fort f1 perturbe la réception de niveau faible F2


(filtrage insuffisant)
- Brouillage é : le niveau fort F1 perturbe la réception du niveau faible
F1 (lobe arrière de l’antenne)
- Brouillage 3 : le niveau F1 perturbe la réception de niveau faible F1
(résistance au brouilleur co-canal)

En effet, dans une station relais, le signal est reçu à une puissance
extrêmement faible qui peut descendre jusqu’à 10 -12 W et remit à une
puissance de l’ordre du Watt. Dans ces conditions le moindre couplage entre
les antennes situées sur le même support provoque des brouillages
inadmissibles. On constate que l’emploi d’antennes très directives permet de
n’utiliser que deux fréquences porteuses pour la transmission bilatérale d’un
signal.

Dans chaque station, il y a croisement de fréquences entre les deux sens de


transmission. Cette solution est excellente sur le plan de l’encombrement
spectral mais est relativement honoreuse puisqu’elle nécessite l’emploi
d’antennes très directives, donc d’antennes chères.

3. Transmission simultanée de plusieurs signaux (canaux)


a. Espacement minimale des canaux adjacents

Pour augmenter la capacité de système de transmission par FH, on


regroupe sur un même trajet la transmission de plusieurs signaux de même
pièce à des fréquences voisines.

On appelle canal bilatéral, les couples de fréquence permettant la


transmission bilatérale d’un signal donné. La réalisation de FH à plusieurs
canaux s’effectue en tenant compte de du fait de brouillage possible entre
deux sens de transmission, les deux fréquences porteuses doivent être
acheminées selon le schéma suivant.

Aussi, après des nombreuses études techniques et dans un but de


rationalisation globale de réseau, Le CCIR a précisé les méthodes
d’utilisation des bandes de fréquences en publiant des plans de fréquences.

b) Fréquences nécessaire à la transmission bilatérale d’un signal

Il faut nécessairement deux fréquences différentes pour transmettre


bilatérale ment un signal sur un trajet donné ; cela évite les brouillages.

Les liaisons satellitaires

La nécessité de disposer de stations relais rend difficile la réalisation


de liaisons hertziennes à très grande distance, notamment pour les liaisons
[14]

transocéaniques. C’est pourquoi, dès les années 1960, on s’est orienté vers
l’utilisation de satellites relais.

Ce n’est qu’avec l’apparition de porteurs capables de satelliser sur


des orbites d’environ 36.000 Km qu’il a été possible de réaliser des liaisons
permanentes avec des satellites fixes par rapport à un observateur terrestre
(satellite géostationnaire). Ces satellites ont une période de révolution
identique à celle de la terre (23h 56 min), ils sont dits géosynchrones.
L’orbite équatoriale est de 42. 164 km, soit une altitude exacte au-dessus de
la terre de 35.8000 km.

Principe

Une station terrestre émet vers le satellite un flux d’information (voie


montante). Le satellite n’est qu’un simple répéteur, il régénère les signaux
reçus et les réémet en direction de la terre (voie descendante).

Pour utiliser un satellite comme point nodal d’un réseau terrestre et,
non comme simple relais de télécommunication, il est nécessaire d’admettre
plusieurs voies montantes. Celles-ci sont alors en compétition pour l’accès
au satellite.

Figure I.7. : Liaison satellite

Type des supports de transmission guidée

1. Paire torsadée
2. Coaxial
3. Câble de fibre optique
[15]

1. Paire torsadée

Figure I.8. : Paire torsadée

Ces câbles comprennent un fil torsadé supplémentaire, dont chacun


est regroupé. Maintenant, chaque fil se compose de deux cuivres isolés
séparés qui sont torsadés ensemble comme un seul. La raison pour laquelle
les fils sont torsadés ensemble est donc de réduire le bruit.

2. câble coaxiale

Figure I.9. : Câble coaxiale

Un câble coaxial ou ligne coaxial désigne une ligne de transmission


ou liaison asymétrique utiliser en basse ou haute fréquence, composé d’un
câble à deux conducteurs dont le conducteur externe assure le plus souvent
le blindage.

3. Câble à fibre optique

En réception des signaux TV, le câble coaxial est le plus souvent


[16]

Nous aimons les câbles à fibre optique en raison de la vitesse accrue


avec laquelle ils transmettent les données. Les informations traversent la
fibre optique beaucoup plus rapidement que le pair torsadé et les câbles
coaxiaux. Les câbles abritent plusieurs fibres optiques, une gaine extérieure,
un noyau de fibre optique, une gaine de verre et un revêtement protecteur.

Des câbles tels que ceux-ci peuvent transporter beaucoup plus des
signaux que les autres répertoriés ici. De plus, en matière de transmission
des données, la fibre optique est plus rapide et plus fiable. De plus, la fibre
est meilleure pour la sécurité et pour les espaces restreints car les câbles
sont plus petits.

Le gros inconvénient ici est le coût et la difficulté d’installation. Mais


ce n’est qu’un petit prix à payer et beaucoup ont choisi de la payer.

Comme conclusion dans ce premier chapitre sur les différents


supports de transmission, nous avons adoptés la liaison hertzienne comme
notre support de transmission pour notre travail.
[17]

CHAPITRE II : NOTIONS SUR LA TELEVISION

Dans ce deuxième chapitre de notre travail, nous parlerons de


différents systèmes des télévisions utilisés sur la planète terre et leurs
réseaux de diffusion et la modulation de la haute fréquence par la vidéo et
standard utilisé dans notre pays et différents systèmes des couleurs.

II.1. Définition

La télévision est une contraction de deux mots :

- Télé : qui veut dire loin ou à distance


- Vision : c’est l’image

C’est-à-dire la télévision a pour définition la transmission par câble


ou voie électronique des images non permanents des objets fixes ou mobiles
et le son.

II.2. Objectifs de la télévision

La télévision a pour objectifs de :

Production Transport
Support de transmission Distribution

Production : nous voyons les images et les messages

Transport : nous avons le réseau satellitaire

Distribution : nous avons le satellite et guide d’onde.

II.3. Le réseau de diffusion

Nous avons :

- La télévision analogique terrestre : le signal qui porte les images est


analogique est sur la bande 3 VHF, bande 4 UHF et bande 5 UHF.
Bande 3 : 174 à 230Mhz.
Bande 4 : 470 à 582Mhz
Bande 5 : 582 à 860Mhz
La largueur du canal est de 8Mgz

- La télévision numérique terrestre (TNT) travail sur la bande des UHF.


La DVBT c’est la norme qui régit en numérique.

- TV numérique par satellite (DVB-S)


[18]

Les bandes10700 – 12750Mhz


La bande Ka : 265 à 406Hz
La bande C : 4 à 6Ghz
La bande Ku : 12 à 18Ghz
Pour l’émission le diamètre est de 2 à 3 m, alors pour la réception le
diamètre est de 50 à 80cm

- La diffusion par câble (DVB-C)


- La télévision par internet
- La télévision mobile (DVB-H)

II.4. Bref Historique de la télévision (Cours TV)

C’est dans les années 1920 que le premier prototype apparaisse.

Borris Rosing, celui-ci a réalisé le premier récepteur de télévision, il


avait son assistant appelait Vladmir Zivorskin en 1925.

- En 1925, John Band crée la première société de télévision au


monde au grand public.
- En 1929, on a émis les émissions expérimentales.
- En 1931, le programme est retransmis à une centaine des
personnes.
- En 1936, on utilise la télévision électronique.
- En 1938 en France.

II.5. But de la télévision

Le but de la télévision est de faire apparaître aux yeux de


l’observateur une reproduction la plus satisfaisante possible d’une scène qui
s’est déroulée dans la salle d’émission ou s’est déroulée en un lieu différent.

II.6. Classification de systèmes de télévision

II.6.1 D’une manière spécifique (selon l’utilisation)

On distingue les systèmes de télévision industrielle et le système de


télévision grand public.

II.6.1.1 Système de télévision industrielle

Est généralement utilisé pour une exploitation nécessitant une


fonction précise bien déterminée.

Exemple : surveillance d’un endroit stratégique, télévision éducative.

II.6.1.2 Système de télévision grand public


[19]

Télévision noire et blanc et télévision couleur. Les informations


télévisuelles sont destinées au grand public.

Exemple : la rtnc, la rtop, la rtdk.

II.6.2. Suivant l’origine de l’image transmise

On distingue :

- Une émission en directe c’est-à-dire les téléspectateurs suivent


la dite émission au moment même où se déroule la scène ;

- Une émission qui transmet une information visuelle ou mis en


mémoire ;

- Une émission kinescope mise en mémoire à partir d’un écran


d’une Autre chaîne de télévision.

En télécinéma : c’est-à-dire que un film provient de la salle de cinéma. Dans


les cas où les informations de signal vidéo complexe sont stockées pour une
diffusion ultérieure sur l’antenne, on parle de la diffusion en différée.

II.6.3 Selon les voies de transmission

Une émission est identifiée quand on précise le cheminement de


l’information ou quand on en désigne le chemin d’où vient cette information.

Exemple : les mondovisions ce sont les standards du monde.

Eurovision sont les standards de l’Europe.

II.7. Transmission des images (cours de TV)

Voici le schéma de principe de la télévision en noir et blanc sur la figure


II.1. :

Signal vidéo
Transducteur lumière
courant Modulateur

Micro
OL

Générateur vidéo HF
[20]

Figure II.1. : Schéma de principe de la télévision noir et blanc


(source : cours de télévision).

Une image éclairée par le projecteur est captée par le transducteur


(caméra) qui transforme l’image optique en Signal électrique et le
microphone transforme des vibrations sonores en Signal audio.

Le modulateur permet de transmettre à distance les vidéos à l’aide


d’une porteuse modulée par cette vidéo.

Cette modulation est soit en amplitude pour la vidéo et en fréquence


pour le son dans le standard 625 ligne. Cette partie joue le rôle d’un
émetteur où s’effectuent les captages de l’image (l’analyse). La transmission
se fait soit par câble soit par l’atmosphère.

II.8. Le démodulateur

Voici le schéma d’un récepteur de télévision sur la figure II.2 :

Démodu Transdu
lateur cteur Observateur
courant
lumière

Figure II.2. : Récepteur téléviseur (source : cours de TV)

A pour but de récupérer avec fidélité suffisant l’image originale


fournie par la caméra ; faire passer la porteuse à la masse ayant permis la
transmission du signal complexe vidéo.

II.9.Caractéristique de paramètre de l’image


II.9.1. Formation de l’image (cours de TV)

La persistance rétinienne a permis d’établir les principes du cinéma


et de la télévision pour éviter le scintillement le nombre d’images doit être
supérieur à ce que voudrais la persistance rétinienne.

Au cinéma on utilise 24 images par seconde. En télévision on utilise


25 images par seconde.

L’image apparait entièrement et est analysée en totalité par l’œil.


Cette image est formée par une multitude de points.
[21]

En télévision il nous faut transmettre tous les points. Il est


impossible de procéder à l’analyse simultanée. La solution est donc
d’analyser séquentiellement l’image et de transmettre les points les uns
après les autres sur un canal.

Chaque point est analysé en fonction de sa luminance, l’image est


donc exploré selon les lignes de gauche à droite et ces lignes sont passent les
une en dessous des autres.

Pour reconstituer le mouvement il faut transmettre 25 images par


seconde. On peut remarquer qu’il sera nécessaire de synchroniser chaque
début de ligne et d’image.

Lors ce que on réalise cela, on s’aperçoit qu'il existe un sentiment des


agréable (l’image se forme trop lentement. Le remède est d’entre lasser les
trames (Demi image).On explore d’abord les lignes impaires puis les lignes
paire.

Il y aura donc 50 trames par seconde, ce qui correspond à la


fréquence du secteur et présente donc l’avantage d’éviter les interférences et
faciliter le filtrage de la tension du secteur.

La détermination de la distance optimale de vision on la calcul 3 à 5


fois la diagonale.

Exemple : un téléviseur de 42’’ la diagonale de l’écran sera :

1’’ = 2,54cm

D=42’’=42’’ •2,54=106,7 Cm

D : c’est la diagonale de l’écran de téléviseur

La distance optimale = 3 à 5 fois la diagonale

DOV=3•1,067= 3m

5•1,067=5m

Nombre de lignes : 625 lignes

Nombre de lignes minimum = 520/1’=520

En pratique les différents standards sont à 520 et 625, le 425 anglais


et 819 français ont disparu pour choisir les nombres de lignes.
[22]

Il doit être supérieur à 520 lignes environ. Le temps de retour trame


est de 2milli seconde soit 30 lignes à raison de 2 trames par image.

Il y a donc 60 lignes perdues, d’autres par pour un bon interlignage


ce nombre doit être un nombre impair.

On choisit 625 lignes de plus la fréquence de balayage ligne et


balayage trame doit être un nombre rigoureusement choisit. Ce qui implique
un auxiliateur unique dont la fréquence d’oscillation est le PPCM de la
fréquence ligne et de la fréquence trame : 50hz=2.5.5=50hz

Fréquence ligne : 25.625=15625hz

Fréquence d’auxiliateur : 31250hz = 5.5.5.5.5.5.2 (cours de télévision)

Les nombres de points par image

Nombres de points : 4/3.625=834 points

1periode=2points

1 image=625lignes

f : vidéo max = nombres des points/2 × nombres des lignes × nombre


834
d’images = ×625 ×25=6515625 Hz
2

II.10. Forme de signaux dans la transmission


II.10.1. Signal en dent de scie
Droite de l’écran

Balayage Balayage
I.Balayage
aller retour
H

Gauche de l’écran

64 Ms
Source : cours TV

Figure II.3. :Signal en dents de scie (source : cours de TV)


[23]

II.10.2. Spectre en fréquence d’un canal

8 MHZ

Porteuse son
Canal précédent
Porteuse image
Canal suivant
Porteuse image Porteuse son

-2 0 +2 +4 +6 +8 MHZ

Figure II.4. : Spectre en fréquence d’un canal (source : cours de TV)

II.10.3. Signal de vidéo composite

Niveau du blanc
Signal vidéo composite

70%

Niveau noir

100%

30 %

Niveau de synchronisation
64 Ms 64 Ms

Figure II.5. : Signal vidéofréquence composite

Source : cours de TV

II.10.4. Faisceau concentré d’électron

Balayage trame

50 Hz

Haut de l’écran Ims

20 ms
[24]

Figure II.6. : Déplacement de spot

Source : Cours de TV

II.10.5. Signal de synchronisation ligne

Niveau du noir
Niveau de suppression
Palier avant
Palier arrière

Niveau de synchro

±5,4Ms 4,5Ms

Figure II.7. : Signal de synchronisation ligne. Source : Cours de TV

II.11. Les différentes sources vidéo fréquence composite

L’émetteur vidéo peut-être alimenté par des nombreuses sources


vidéos composite.

Les différentes sources du signal luminant Ey et des signaux de


couleur Ev, EB, ER peuvent se classer en deux grandes catégories :

- Les sources optiques


- Les sources électroniques

II.11.1 Les sources optiques du signal image (cours de TV)

a. Camera de prise de vue

La caméra de télévision utilisée pour la prise de vue directe au studio


ou à l’extérieur comporte essentiellement deux sortes des Matériels qui
sont :

- Un dispositif optique constitue de batterie d’objectif à foyer fixe monté


sur une tourelle télé commandé permettant de passer progressivement
du grand angulaire à la télé objective.

- La partie électronique de la caméra est chargé de transformer l’image


optique de la scène à transmettre en Signal électrique.
[25]

Elle est constitué d’un seule tube analyseur (TV achrome) ou par 3
ou 4 tubes de télévision en couleur et par circuit associé assurant leurs
fonctionnements.

b. Analyseur d’images fixe

L’analyseur d’image fixe (diapositive) permet d’effectuer la


surimpression des sous titrage de mes banc titre des annonces de découpage
et de trucage divers à partir des dessins ou des photographies préparer sur
une diapositive ou sur papier.

Deux procédés peuvent être utilisés : l’un économique avec une


caméra classique, l’autre exige un appareil spécial d’une analyse qu’on
appelle « fying spot » mais assurant une meilleure définition.

c. Télécinéma

Les films constituent une part importante de programmes des


télévisions.

Ils peuvent avoir été réalisé lors de reportage ou provenir du réseau


commercial ou seul du cinéma.

Pour l’échange de programmes de télévision élaboré selon les normes


différentes la nécessité d’une conversion de standard au niveau du centre de
production d’images s’impose.

II.11.2 Source électronique d’image (cours de TV)

a) Analyseur monoscope

Pour la transmission fixe utiliser fréquemment on ’a l’avantage à ne


pas mobiliser en permanence une caméra classique dont le tube peut
présenter les défauts.

Les monoscopes sont les tubes analyseurs dans lesquels on a


remplacé la couche photo sensible par une image déposer par un procédé
d’impression classique avec une vue plus moins conductrices sur une plaque
Signal métallique.

b) Générateur de murs électronique

C’est un ensemble de circuits fournissant directement un signal vidéo


fréquence correspondant à un dessin simple.

c) Codeur et décodeur en télévision couleur


[26]

En télévision couleur les analyseurs fournissent trois signaux Er,


Ev, Eb qui, après correction gamma donne E'v, E’B, E’R doivent passer u
une matrice et par un codeur.

Le décodeur n’est pas inclus dans la liaison normale entre la prise de


vue et l’émission.

d) Générateur de signaux de base composite

Pour assurer une parfaite synchronisation des différentes sources


vidéos fréquence d’une partie est envoyée d’autres part par l’émetteur un
signal vidéo fréquence composite ne représentant pas de discontinuité lors
de la commutation de source, il faut disposer des signaux ici d’un même
central.

e) Conversion de normes balayage et transcodage de TV (cours de TV)

Le convertisseur électronique des normes sont des tubes spéciaux à


deux canaux électronique l’un insérant et l’autre lisant servant la même
cible suivant de normes d’analyse différente.

II.11.3 Matériels vidéo

Les images sous forme de signaux vidéo fréquence composite fourni


par différentes sources sont choisis en chaîne truqué est transmise aux
circuits d’émission ou le cas échéant enregistrer pour une diffusion
ultérieure.

Le mélangeur truqué qui serve au montage ou encore mise en vidéo,


Les enregistreurs et reproducteur de programmes. Parmi les enregistreurs
nous avons : VCR, DVR, PC, flash disc, CD, Sont les supports
d’enregistrement.

II.11.4. Les équipements de reportage

Un quart de reportage est une véritable régi mobile équipé pour


mettre à la disposition du réalisateur le ms mêmes moyens techniques que
ceux assurer dans un studio fixe.

II.11.5 L’émetteur de télévision

Le schéma bloc d’un émetteur de télévision est représenté à la figure


II.7 ci-dessous.
[27]

SEPARATE EXPANSION GENE


SYNCH SYNCH IMPUL
Signal VFC

AMPLI PRECORREC AMPLI AMPLI MELANGEU AMPLI


ADAPT TION VIDEO VIDEO R VIDEO

ALIGNEMEN
ALIGNEMENT ALIGNEMENT ALIGNEMENT
T

OSCI MULTIPLICA AMPLI HF FILTRE


AMPLI HF MODULAT
PILOTE TEUR MODULAT DIPLEXEUR

BOUCLE
EMET. SON CR
Signal BF

Figure II.7 : Schéma bloc d’un émetteur de télévision ( source cours de TV)

L’émetteur image de télévision a pour fonction de produire une onde


porteuse vhf, uhf, modulé en amplitude par un signal vidéo fréquence
composite et d’amplifier jusqu’à la puissance nécessaire pour sa diffusion
d’un territoire ou d’une certaines étendue.

- Sens du modulation vidéo luminance ;


- Choix des informations de chrominance et du type de la modulation de
sous porteuse chrominance ;
- Largeur de la bande attribuée à la chrominance ;
- Valeur de la sous porteuse chrominance ;
- Rapport d’amplitude sous porteuse chrominance en Signal vidéo
luminance Maximal ;
- Type de modulation de la porteuse son ;
- Rapport de la puissance porteuse son à l puissance Crète image

Compte tenu de ces nombreux facteurs la structure des émetteurs et


cahier de charge qui leurs sont imposés en fonction de tel ou tel norme varie
sensiblement.
[28]

II.11.3.2. Télévision couleur


II.11.3.2.1.Notions de base

a. Spectre de couleur

La lumière du soleil, ou la lumière blanche peut dissociée à une


infinité de lumière simple, comme la montré Newton dans une expérience
célèbre : il avait reçu, sur un prisme de verre un pinceau lumineux qui a été
dévié et dispersé ; sa trace sur une feuille de papier blanc peint toutes les
teintes de l’arc-en-ciel c’est ce que l’on nomme spectre lumineux ou spectre
de couleur.

Feuille blanche

Source de lumière blanche

Rouge
Prisme de Newton
Violet
Spectre de lumière

Figure II.8. : Spectre des couleurs

La théorie des interférences en optique nous apprend à considérer la


lumière comme une vibration électrique analogue aux ondes radio comme
elle, la lumière a une fréquence, donc une longueur d’onde et on peut choisir
l’une ou l’autre de ces grandeurs pour caractériser les couleurs et en donner
un repérage précis.

Couleur Rouge Orange Jaune Vert Bleue Indigo Violet

Longueur d’onde en 0,80 0,65 0,60 0,53 0,48 0,45 0,40


micron

Tableau II.1. : Tableau de couleurs

Toutes ces lumières transportent de l’énergie. Au-delà de rouge c’est


l’infra-rouge et au-delà du violet c’est ultra-violet.
[29]

Nos yeux ne sont pas sensibles à ces types de rayonnements, même


pour les autres ils sont visibles, la sensibilité n’est pas uniforme comme le
montre le graphique ci-dessous.

b. Courbe de sensibilité de l’œil

Violet Vert Jaune


Rouge
0,4 0,5 0,6
0,7

Figure II.9. : Coubre de sensibilité de l’œil (source cours de TV)

c. Mélange des lumières colorées

La production des couleurs en télévision fait appel au principe de


l’analyse et de la synthèse trichrome de couleurs qui utilisent une propriété
de l’œil reconnu par Maxwell au 19 eme siècle : pour nos yeux, on peut
reconstituer de façon satisfaisante une image multicolore quelconque en
superposant trois images, chacune d’une seule couleur ; ces trois couleurs
fondamentales ou primaires choisies par la commission internationale
électronique sont : le bleu ( λ=435 , 8 mm ¿ ,≤vert ( λ=546 , 1mm ) et≤rouge ( λ=700 mm ) .

La lumière blanche peut être représentée comme le mélange de ces


trois couleurs primaires. Et sensation de lumière peut être retrouvée à partir
de trois fondamentales prises dans un rapport d’intensité donnée.

Figure II.10 : Superposition de lumières colorées

L’expérience montre également que deux couleurs prises dans un


rapport bien déterminées peuvent produire une infinité de teinte mais cela
d’une manière un peu plus compliquée que dans le premier cas.
[30]

d. Teinte-saturation-luminance

La teinte c’est la sensation visuelle résultant du mélange de lumière


colorée. ( λ ).

La saturation ou facteur de pureté est la perception du degré de


purété d’une couleur, lorsqu’une lumière est pure, elle est dite saturée à
100%.

Elle devient délavée, donc moins saturée lorsqu’on la mélange avec la


lumière blanche. On dit qu’elle est pâle.

La luminance

Elle traduit l’intensité de la sensation de luminosité. D’une forte


sensation de luminosité correspond une grande luminance, et à une faible
correspond une faible luminance.

La chrominance

C’est l’ensemble des caractéristiques de teintes et des saturations qui


constituent la chrominance.

Teinte + saturation = chrominance

Une lumière est dite pâle lorsqu’elle est claire et lavée, la luminance
et la saturation sont peu élevées. Lorsque ces deux caractéristiques sont
grandes, la lumière présente à la fois aspect foncé et saturé. On dit qu’elle
est profonde lorsque la lumière devient des luminances faibles mais de
grande saturation, la couleur est vive. Dans le cas contraire elle est rebattue
et se rapproche au noir.

II.11.3.2.2. Représentation spatiale et diagramme chromatique

Les trois caractéristiques d’une couleur peuvent être représentées au


moyen d’un graphique dans l’espace :
[31]

Figure II.11. : Diagramme chromatique

- Les trois couleurs primaires sont représentées par les trois arrêtées R,
B, V. dont la hauteur ou axe chromatique est proportionnel à la
luminance.
- La face dont les arêtes sont OV et OR permet de déterminer toutes les
chromacités entre le vert et le rouge = OJ figure la couleur résultante
qui est le jaune.

La couleur blanche est représentée par la diagonale OW dont la


longueur définie le maximum de luminance. Ainsi donc, l’intensité du blanc
est max en W et passe par différentes valeurs correspondantes aux couleurs
grises en devenant minimum par 0 (noir).

Dans l’espace chromatique indépendamment de la teinte et de la


saturation, trois points d’égale luminance sont tous situés dans le même
plan perpendiculaire à la diagonale OW, c’est le triangle de Maxwell (RVB).

Or, dans un triangle équilatéral la somme de perpendiculaires d’un


point M aux trois médianes est constante et égale à la hauteur.

y
w

R
R
Figure II.12. : Triangle équilatéral de couleurs

En choisissant une luminance égale à l’unité, la hauteur h vaut 1. La


chromacité correspondant au point M peut être représenté par l’équation :

M =xV + yR+wB

h 1+h 2+h 3=h étant égal à 1


[32]

W =0 , 33V + 0 ,33 R+ 0 ,33 B

Le principe de la trichromie consiste à obtenir toute la gamme de


couleurs à l’aide de trois couleurs fondamentale en les dosant
convenablement.

Couleur = luminance + chrominance.

II.11.3.2.3. Chaine de transmission et système de télévision en couleurs

a. Introduction

La compatibilité veut que la réception d’une information de télévision


noir et blanc soit effectuée sur un téléviseur couleur. Alors que la
compatibilité inverse parle d’une possibilité de réception d’une information
sur un téléviseur noir et blanc. Ainsi donc, transmettons en télévision une
information dite de luminance et autre de chrominance. Celle-ci étant
composée du signaux vert Ev et rouge Er et Bleu Eb ou leurs combinaisons
linéaires avec d’autres signaux qui modulent une onde sous porteuse dont la
fréquence est située dans le spectre du signale de vidéofréquence.

Le spectre de ces signaux supplémentaire ne doit pas perturber celui


du signal de luminance composite, si bien qu’on a placé la sous porteuse
dans une partie du spectre du signal de luminance ou les raies sont peu
élevées.

D’autre part pour assurer un intercalage correcte, la fréquence de


cette sous porteuse doit être précise : 4,4Mhz pour le système Européen et
3,57Mhz pour les USA.

La définition d’une image en couleur n’a pas besoin d’être aussi


élevée que celle d’une image en noir – blanc car dans un ensemble coloré de
petite surface de couleurs ne sont pas facilement discernables par l’œil. La
bande passante nécessaire pour transmettre les informations de couleur
peut donc être inférieure à celle exigée pour la transmission d’une image en
noir blanc, elle est comprise entre 0,8 et 1,8Mhz suivant les normes de
télévision utilisée.

b. Chaine de transmission

Signaux de synchro +
auxilliaires

UR
FR R
M M
A E
L
Uv T UR-UY A
FV V R
M L
O A N Emetteur
I D I G
C U E E
UB E UB-UY U USCM U
F R
[33]

Figure II.13. : Chaine de transmission de couleur

Uy : signal de luminance.

Ur – Uy ; Ub – Uy : signaux fondamentaux de différences de couleurs.

Uscm : Signal de sous-porteuse modulé.

A l’émission, les lumières des objets séparés sont des filtres rouges,
bleu et vert. Les signaux des caméras sont combinés dans la matrice qui en
fournit le signal de luminance et les deux signaux de différence de couleurs.
Ces derniers module simultanément (système NTSC et PAL) ou
séquentiellement (système SECAM) la sous-porteuse.

Les signaux auxiliaires et de synchro, ceux de luminance et de sous-


porteuse de chrominance modulés sont ensuite mélangés avant d’être
appliqués à l’émetteur.

Filtre et ampli Uy
vidéo M
Récepteur HF
A
Moy Fr et détection R
Ur - Uy T
R
I V

C
Démodulateur E B
Ub-Uy
et ampli

Figure II.14. : Démodulateur couleur (sources : cours de TV)

A la réception, le signal capté par l’antenne est amplifié et détecté


comme dans l’appareil monochrome. Puis les informations de luminance et
de chrominance sont séparées et décodées à leur sortie de la matrice, les 3
tensions de couleurs sont appliquées aux cylindres de Wenhnelt d’un tube
[34]

cathodique trichrome. Sur l’écran de ce dernier des groupes de 3 points de


substance luminescente sensible aux couleurs fondamentales sont plus ou
moins impressionnées par des faisceaux électroniques commandés par des
tensions des couleurs.

A une certaine distance du tube, ces groupes des points ne peuvent


pas être distingués et pour différentes intensités des faisceaux, l’œil ne
perçoit que les mélanges additifs des couleurs.

II.11.4. Différents systèmes des télévisions couleurs

Il existe 3 principaux des systèmes des télévisions couleurs :

- NTSC : National Télévision Système Comité pour les américains


- PAL : Phase Alternating Line pour les Allemands
- SECAM : Séquentiel Couleurs à Mémoire pour les Français

Ces systèmes diffèrent principalement l’un de l’autre par les modes


de transmission de la sous-porteuse de couleurs.

Dans ces 3 systèmes, les signaux de luminance et de différence de


couleurs sont obtenus au moyen de matrice, en suite la composante de
luminance vaut :

Uy=0 , 3 Ur+0 , 59 Uv+0 , 11Ub

Les composantes de chrominance sont des combinaisons simples des


signaux de différence de couleurs fondamentales.

Er = Ur – Uy

EB = Ub - Uy

Ces signaux n’ont plus des composantes de luminance. Leurs


rapports et leurs signes correspondent à l’atteinte et leur amplitude à la
saturation. Enfin la porteuse de vision est modulée en amplitude par le
signal de luminance complet et la sous-porteuse par le signal de
chrominance.

II.11.4.1. Système NTSC

Dans ce système, les composantes de chrominance sont combinées


de façon à obtenir un signal de chrominance composite correspondant à
l’atteinte et la saturation. Pour les transmettre, on pourrait moduler d’une
façon indépendante en amplitude et en phase une onde sous-porteuse
unique, cette solution ne donne pas entière satisfaction. Ainsi préfère-t-on
créer à partir d’une tension de fréquence égal à la sous-porteuse (environ
[35]

4,43 Mhz) deux nouveaux signaux de même fréquence mais de phase entre
π
eux de . Ces signaux de HF portent le nom de sous-porteuse ISC (en phase
2
ou IN phase) Qsc (En quadrature – quadrature phase).

Elles sont modulées en amplitude indépendamment l’une de l’autre


par des signaux de chrominance I et Q. ensuite appliqués à un mélangeur.

A la sortie de ces derniers, on obtient un signal complet sans sous-


porteuse dit de chrominance composite modulé simultanément an amplitude
et en phase.

La teinte est fonction de la phase du vecteur représentant le signal de


chrominance composite et à la saturation dépend de son amplitude.

Pour tenir compte de la sensibilité de l’œil aux couleurs et de la


nature de produit utilisé pour la fabrication de l’écran du tube cathodique,
les composantes I et Q sont dérivés de signaux de différence des couleurs de
la manière suivante.

I = 0,48 (Ur – Uy) + 0,41 (Ub – Uy)

Q = 0,74 (Ur – Uy) – 0,27 (Ub – Uy)

Codeur NTSC

A l’émission la fréquence de la sous-porteuse composite chrominance


est éliminé car elle produirait un signal perturbateur visible sur l’écran du
tube reproducteur. Voici le schéma d’un décodeur NTSC sur la figure :

Uy

M
R A
I
CAMERA TR CAMMODULA
B
IX TEUR AM
V I
Q M
E
L
A
N
G
E
U
R
0° MODULATEUR
Générateur de AM Q
sous-porteuse

Uph
[36]

Figure II.15. : Codeur NTSC (source : cours de TV)

A la réception, elle est rétablie au moyen d’un oscillateur à cristal


contrôlé par un signal de référence de phase de même fréquence qu’elle.

Ce signal dit de synchro de couleur est placé sur le palier arrière de


l’impulsion de synchro ligne. Il est composé d’une salve d’environ 11
oscillation de 4,43 Mhz.

N.B. : les signaux de luminance, de chrominance composite et de


synchronisation constituent le signal vidéofréquence composite de télévision
couleur dans un récepteur, la démodulation du signal VFC de couleur est
obtenu au moyen d’un détecteur placé après l’amplification HF.

II.11.4.2. Système PAL

Dans ce système, les erreurs de phase se composent


automatiquement si l’on inverse au rythme des lignes le sens de rotation du
vecteur de chrominance composite.

Cette inversion est provoquée à l’émission pendant la ligne suivante


en changeant l’axe du rouge au moyen d’un inverseur électronique.

Voici comme se présente le système PAL sur les différentes figures :

B
2eme ligne
R
R Ucc
α
Ucc Ucc
α α
B

1ere ligne R B
3eme ligne

Figure II.16. : Système PAL

Avec ce système, les distorsions du phase représentées par α sont


éliminées car l’œil fait la synthèse d’une ligne et de la ligne suivante, la teinte
devient correcte mais la saturation diminue légèrement, pour simplifier la
construction de récepteur PAL, on utilise le cercle de couleur avec les
nouveaux actes : E’v = 0,493 (Ub – Uy)

E’V = 0,877 (Ur – Uy)

Les informations Ur, Uv et Ub correspondant aux couleurs


fondamentales sont appliquées aux 3 matrices enfin d’obtenir les signaux de
[37]

luminance et de différence des couleurs E’u et E’v. Voici comment se


présente le codeur PAL sur la figure :

R
C
A Matrix y
M B
E
R V
A

Matrix Eu
Inverseur de phase
Déph
Phase
Oscill
Matrix Ev
4,43Mhz
M
E
L
Modul E’v A
N
Modul E’u G
E S
U
R

Dephas Mod salve


180°

Figure II.17. : Codeur PAL

Le signal E’v modulé en amplitude une onde sous-porteuse déphasée


0
de 90 dont la polarité est inversée au rythme de la demie fréquence de ligne
par inverseur de phase électronique. E’u module la sous-porteuse non
déphasée. Les signaux modulés sont sous-porteuse sont mélangés pour
former le signal de chrominance UCQ.

Les largeurs de bade occupées E’u et E’v sont les mêmes que celles
du système NTSC. La sous-porteuse est engendrée par un oscillateur la
relation entre sa fréquence et celle de commutation de phase dans chaque
seconde ligne à conduit des constructeurs à choisir une fréquence de sous-
porteuse légèrement plus grande que celle utilisée dans le NTSC.

II.11.4.3. Système SECAM

Les informations de chrominances sont transmises ligne par ligne. La


sous-porteuse est modulée en fréquence des signaux de différence des
couleurs ou de chrominance valent :
[38]

Dr = -1,9 (Ur – Uy)

Db = 1,5 (Ub – Uy)

Les coefficients de correction sont fonction du choix de la matière des


écrans de TRC.

Sur le codeur SECAM Dr et Db sont appliqués à un étage modulateur


FM par l’intermédiaire d’un filtre passe bas et d’un circuit de
préaccentuation, la transmission est donc séquentielle. Le commutateur
électronique est synchronisé par les signaux rectangulaires fournis par une
bascule bistable, déclenché par un signal produit le générateur de synchro
par phase de la sous-porteuse non modulée part de 0° à 180° par la
modulation en fréquence.

Avant d’être mélangé aux signaux de luminance et de synchro ceux


de chrominance sont appliqués à un filtre limiteur de bande réduisant le
bruit de fond. Ce dernier à courbe anti-cloche produit une élévation de gain
lorsque l’exclusion de fréquence croit en valeur absolue. Les fréquences
sous-porteuses sont situées de chaque côté de la fréquence centrale de
4,286Mhz. Voici comment se présente le codeur SECAM sur la figure
suivante :

Vy
M Ampli
R Mélange S
A Lumin
T
R
I DR
X Filtre anti-closhe
V D

v
Préaccentua
E Passe bas
N tion
T
R Modulation FM
B
DB
E
E

Signal à Bascule Génér.


identif bistable Synchro

Figure II.18. : Codeur SECAM (source : cours de TV)

Pour contrôler si l’aiguillage des signaux de luminance rouge et bleue


est correctement assuré par le commutateur électronique du récepteur un
[39]

signal d’identification est mis pendant une durée de 9 lignes dans l’intervalle
de suppression de salve.

II.12. Synoptique générale de la partie émission d’une chaine de


télévision couleur

Voici le schéma synoptique général de la partie émission d’une chaine


de télévision couleur sur la figure II. 19 :

Signal vidéo
Sources
d’images

Auxiliateur
H Modulateur Ampli Duplexeur
VFC

Auxiliateur
V
Emetteur
son
OL
Auxiliateur
Chrominance

Figure II. 19. : Schéma d’émission d’un TVC (source cours de télévision)

Les informations à transmettre sont contenus dans le signal vidéo


fréquence composite, c’est-à-dire le signal de luminance varie avec le
contenu de l’image analysée et interrompu à la fin de chaque ligne et chaque
trame.

L’incorporation de signaux de synchronisation de balayage dans Le


cas d’un système de télévision en couleur on ajoute à ce signal complexe la
sous porteuse modulé par les signaux codés de chrominance et certains
signaux de synchronisation couleur.

Ces différents signaux modulé en amplitude une porteuse HF


amplifier et rayonné en bande latérale atténuée.

Parallèlement le signal son est modulé en amplitude ou en fréquence


une porteuse distincte amplifiée est rayonné suivant le moyen classique de
la radio diffusion.

L’expression mathématique du signal modulé :


[40]

v=V[cos ω t +1/2 cos(Ω + ω t)t+1/2cos(Ω - ω t)t

v=V cos ω t t pour le signal porteur

U=U cos ω t t pour le signal modulant

U
K = A max × v : Taux de modulation
2

0,5

(Ω−ω)t Ωt (Ω+ ω)t


Figure II.20. : Signaux modulés (source : cours de TV)

La modulation d’amplitude étant adopté on ne transmet qu’une


bande latérale de l’émetteur HF méthode à bande latérale atténuer,
intégralité du signal vidéo se retrouve bien après La détection.

La modulation de la HF par la vidéo peut-être positive ou négative. La


modulation positive le niveau du blanc correspond à 100% de modulation.

Le niveau du noir à 30% pour la vidéo, le niveau de synchronisation


sont en dessous noir entre le niveau de suppressions (25%) et le niveau de
synchronisation de 3%qui est le niveau minimal HF de l’émetteur.

Caractéristiques de la modulation positive :

 Excellente de la protection de synchronisation contre les parasites ;


 L’établissement du CAG plus aisé ;
 les parasites donnent les points sur l’image car ils sont dans les même
sens de modulation maximale.

La modulation négative le niveau du blanc correspond au niveau


minimal de la porteuse HF de l’émetteur soit 10%, le niveau du noir s’établit
à 75% et à 100% de la modulation de l’émetteur c’est le type de modulation
adopté dans notre pays.
[41]

Les caractéristiques de la modulation négative sont :

Le signal de synchronisation correspond à la puissance de l’émetteur


à champ faible la synchronisation et mieux assuré les parasites donnent une
impulsion dans les même sens que les signaux de synchronisation.

Dans ce chapitre nous avons parlés sur les différents systèmes de


télévision utilisés et celui qui nous intéresse c’est le système de télévision
grand public, parmi les différents réseaux de diffusion nous avons adopté le
réseau de diffusion télévision numérique terrestre, parmi les modulations
haute-fréquence vue ci-dessus nous avons adopté la modulation négative,
enfin parmi les normes de systèmes de couleurs que nous avons vue, nous
avons adopté le système SECAM pour notre travail.
[42]

CHAPITRE III : IMPLANTATION D’UNE CHAINE DE TELEVISION

Dans ce troisième chapitre de notre travail, nous parlerons de


l’implantation d’une chaine de télévision. Nous allons introduire cette partie
avec quelques différentes définitions des mots clés de notre sujet. Selon le
dictionnaire Larousse et l’Internet.

III.1. Définitions des quelques concepts

 Implanter : qui veut dire installer, établir.

 Implantation : c’est l’action d’implanter.

 Une chaine en terme vulgaire : c’est une succession d’anneaux


passés les uns dans les autres.

 Une chaine en terme technique : est un réseau d’émetteur radio et


télévision.

 La télévision : est un organisme (privé ou public) qui diffuse des


programmes télévisés.

 Radiotélévision : c’est l’ensemble des installations, services et des


programmes de la radio et télévision.

Dans ce troisième chapitre nous nous fixons l’objectif principal de


produire les images audio visuelles.

Comme définition générale de notre sujet une chaine de télévision est


un réseau d’émetteurs radio et télévision et transmet par câble ou voie
électronique des images non permanentes, des objets fixes ou mobiles et le
son.
[43]

III.2. Présentation de l’Eglise la Borne Bakwadianga

III.2.1. Aperçu historique

Du point de vue de l’histoire, le Centre Evangélique la Borne a vu le


jour en 1981. L’Eglise commence par un groupe de prières à Kinshasa, sous
la direction du Pasteur Jacques Vernaud, un Suisse né le 09 novembre 1932
au Gabon. C’est en 1985 que la fondation officielle de l’église a eu lieu. Le 28
Septembre 2011, le pasteur est décédé et le pasteur Joseph Bondo Kasongo
prendra sa succession en 2013.

La Borne est une communauté chrétienne évangélique de courant


pentecôtiste. Elle est affiliée aux assemblées de Dieu et fait partie de la 37 eme
Communauté des Assemblées de Dieu de la RDC (CADC) qui, elle, fait partie
de l’ECC (Eglise du Christ au Congo). L’Eglise la Borne a acquis la
personnalité juridique n° 341 du 17 septembre 1965. Et le siège
administratif de la 37eme CADEC est au N° 2219, Avenue Asosa, Commune
de Kasavubu, ville de Kinshasa/ RDC.

L’origine de l’appellation « La Borne » est due au fait que la


concession de l’église se situe à la limite entre Kinshasa et Bas-Congo sur la
route de Matadi au sein du restaurant la Borne. Métaphoriquement, la
Borne se ressemble à une borne qui marque la fin, qui crée la ligne de
démarcation et facilite le passage entre la vie charnelle et la vie spirituelle.

Aujourd’hui, la borne est la plus grande famille des églises


pentecôtistes implantées en RDC. Elle est présente dans toutes les provinces
du pays.

III.2.2. Implantation de l’Eglise à Mbujimayi

Dans la province du Kasaï Oriental, la Borne Bakwadianga a été


implantée en 2009, après cette de Salongo. Le premier pasteur de la Borne
Bakwadianga fut le pasteur Auguy MWAMBA qui, en 2012, céda la charge
ecclésiastique au pasteur Emmanuel Mbiya qui en est responsable jusqu’à
ce jour. L’église se situe au N°12, Avenue pépinière, commune de la Kanshi,
Ville de Mbujimayi. Elle compte environ 2500 Fidèles.

III.2.3. Organigramme de l’Eglise la Borne

Pasteur titulaire

Eglise Coordination Pasteur Assistant Secrétariat Département des


annexe des cellules finances

Cellules des Comité restreint


[44]

Figure III.1. : Organigramme de l’église la borne

Commentaire

a. Le pasteur titulaire : il est responsable de l’église. C’est lui qui définit


et engage l’institution, il la représente. C’est lui le chef d’orchestre.

b. Le pasteur Assistant : il appuie le pasteur titulaire sous l’impulsion


de qui il travaille. Il remplit les tâches qui lui sont confiées et
représente le Pasteur titulaire en cas d’absence de ce dernier.

c. Le secrétariat : il réceptionne, rédige, transmet les courriers et les e-


mails. C’est lui qui gère l’agenda du Pasteur, prépare ses voyages et
déplacements, organise des réunions, prend note des échanges et
rédige des rapports. Il tire et organise le classement des documents et
dossiers.

d. Le service de finances : même si toutes les orientations de dépenses


sont sous la responsabilité du Pasteur, il faudrait noter que le service
des finances permet d’assurer une gestion équitable des ressources de
l’église. C’est lui qui prend les décisions financières à soumettre au
Pasteur.
e. Les églises annexes : sont des égises implantées par la Borne
Bakwadianga, et qui ne sont pas encore autonomes. Elles dépendent
du pasteur de la Borne Bakwadianga.

f. La coordination des cellules : elle est constituée des Pasteurs et des


Anciens, ces derniers étant considérés comme les superviseurs des
départements.

g. Les départements : ils sont constitués des services d’accueil de la


chorale, des matinées de victoire, de l’évangélisation de l’intercession,
des services du social. Ils comptent, en leur sein, des mamans, des
[45]

papas, la jeunesse, l’école chrétienne, l’ECODIM, la visite, les médias,


les ministères caché, la sécurité, le call center (service d’appel des
nouvelles âmes gagnées par l’évangélisation).

3.4. Implantation d’une chaine de télévision

Après avoir eu l’autorisation de la SCPT qui est l’autorité de


régulation audiovisuelle pour implanter une chaine de télévision avec la
fréquence, nous allons passer à l’objectif ci-dessous.

Voici le schéma bloc d’une chaine de télévision :


[46]

CA/D Compresseur de
Centre de P.
donnée

DIX

Compresseur
C. d’image C.A / D de donnée

CH1 CANAL +

F24 M
UX
M EMT TV
U 1KW
CH2 M
TVSM

TV
CH3

RTNC
CNA

CH4

Chaines auxiliaires
[47]

Pour installer une chaine de télévision on a besoin :

 D’un bâtiment où on a besoin de deux salles, une pour les émissions


et une autre pour la régie technique.

Un centre de production TV est le lieu par excellent où sont générés


des programmes audio/vidéo.

 Dans la salle d’émission ou plateau on a les matériels ci-après :

Figure III : 2 : Plateau ou salle d’émission

 Une caméra fixe pour la prise de vue des images dans la salle
d’émission ou plateau.

Figure III. 3. : Caméra fixe et mobile


[48]

 Les micros pour prendre le son. C’est un dispositif qui transforme le


son acoustique en signal électrique.

 Dans la régie technique

La régie technique est le lieu depuis lequel l'émission prend forme.


C'est là qu'on réalise l'émission. Elle peut être opérée par une seule personne
pour les plus petites configurations ou par plusieurs dizaines de personnes
pour les gros événements

Figure III.4. : La régie technique


[49]

Nous avons :

- Un multiplexeur numérique est un équipement dont la technique


consiste à faire passer plusieurs informations à travers un seul
support de transmission. Il permet de partager une même ressource
entre plusieurs utilisateurs.

Figure III.5 : Multiplexeur numérique.

- Un convertisseur analogique numérique est un équipement


électronique dont la fonction est de traduire une grandeur analogique
en une valeur numérique codée sur plusieurs bits. Le signal converti
est généralement un signal électrique.

Figure III.6 : Convertisseur analogique numérique


[50]

- Compresseur de données c’est un équipement destiné de réduire la


taille d’un flux audio ou vidéo en numérique en vue d’une
transmission.

- Un duplexeur qui reçoit le signal audio et le signal image pour la


transmission au même moment.

- Sources auxiliaires sont des signaux provenant des antennes


paraboliques, CANAL SAT, STRONG pour la retransmission

- Un émetteur de télévision : l’émetteur de télévision numérique de la


marque SLOT pour la télévision qui a comme fonction de produire une
onde porteuse VHF, UHF modulée en amplitude par un signal
vidéofréquence composite et d’amplifier jusqu’à la puissance
nécessaire pour sa diffusion d’un territoire et ses environs.

- Pilonne équipée d’une antenne pour le rayonnement de l’onde porteuse


d’une marque slot.

3.5. Proposition à soumettre


Voici ce que nous proposons à l’église la borne Bakwadianga comme
matériels à utiliser pour une chaine de télévision :

 Emetteur numérique de télévision :

- Numéro modèle : HPT 6322


- Etat : Nouveau
- Certificat : CE
- Fonction : signal distributif de transmission
- Type : transmetteur
- RF 160 : OUTPUT : 160 : Fréquence 470 – 860 Mhz
- Puissance de sortie : 200Watts
- IF160 : OUTPUT 160 : level 55-10 db
- Spécification : ×79 ×62×35cm = 25Kg
- Origine : Chingdu, china

Aperçu de l’émetteur

HPT-6322 Indoor type 200W émetteur UHF fonctionne sur bande de


UHF (470 à 860Mhz). Il est un type de produit (répondre à l’euro standard) et
spécialement conçu pour l’approvisionnement commun ou fréquence pilote
[51]

et filiale de la station de couverture par consommation de petite et moyenne


puissance pour la télévision numérique terrestre et la transmission.

Il s’applique au modèle de modulation comme ISDB-T/TB ; DVB-S ;


DVB-SD ; NQAM ; DVB-T ; DVB-T2 et DTMB-T ainsi de suite.

Il est applicable à des zone battues sous-sol, tunnel et les zones


montagneuses à distance. Ces principaux avantages comprennent
l’installation de la commodité et processus simple de déblocage et de
l’entretien, … et de toute combinaison.

 Compresseur vidéo

Selon la vidéo source jusqu’à 2Go de taille est un processus


d’encodage visant à réduire le nombre de bits requis pour afficher une image
ou une séquence vidéo.

Les programmes généralement utilisés ont chacun leurs propres


algorithmes ou formules (on parle de codec) enfin de supprimer toutes les
données obsolètes ou superflues contenues dans le fichier vidéo.

On peut ainsi efficacement réduire la taille d’une vidéo en conservant


les données essentielles, notamment les images en mouvement et la
séquence audio. Il existe plusieurs techniques algorithmiques et codec de
compression du fichier vidéo dont certains sont capables à réduire le fichier
à un millième de sa taille d’origine.

 Convertisseur analogique numérique


 Eclairage du studio

Les lumières ELETEC comprennent l’alimentation, gradateur


numérique PWM qui diffère de gradateur en mode courant traditionnel car il
n’a pas l’incidence sur l’indice de rendement ou de la température de couleur
et il ne provoque pas des distorsions du couleur elle-même. Il y a deux
versions : portable (ELED 1200P) et studio (ELED 1200). Le ELED 1200P est
alimenté par l’électricité ou les batteries, il est utilisé pour la photographie
en dehors et pour éclairage temporaire d’un studio de télévision. Le ELED
1200, la version studio ne comporte aucun dispositif pour la batterie.

 Duplexeur vidéo numérique


 Console de mixage audio YAMAHA
 Micro studio
 Un ordinateur pour l’enregistrement, le montage et autres fonctions.
 Deux écrans pour contrôler les images à transmettre
[52]

 La caméra SONY : HXR-NX200 camescope sony est un camescope


compacte et abordable doté d’un capteur de 1’’ et d’une nuvelle
reproduction des couleurs pour une superbe qualité d’images en 4 k
ou Full HD.

 Mixeur vidéo numérique ATM pro HD

ATM télévision studio pro HD est le premier mélangeur de production


conçu à la fois pour le diffuseur et le professionnel de l’audiovisuel avec 6
entrées.

 Une antenne de télévision marque UHF slot

Aperçu de l’antenne

- Etat : nouveau
- Certificat : CE
- Fonction : signal dispositif de transmission
- Type : Equipement frontal de télévision
- Plage de fréquence : 470-860Mhz
- Impédance d’entrée : 50 ohm
- Puissance matinale : 1KW/5KW/10KW
- Gain :13 à 15 Db
- Origine : china

Liste des matériels et coût du projet


Tableau 3.1 : Liste des matériels et coût du projet

N° MATERIEL PRIX UNITAIRE PRIX TOTAL


01 Emetteur de télévision 4100$ 4100$
02 Compresseur vidéo 25$ 25$
03 Convertisseur analogique 20$ 20$
numérique
04 Eclairage de studio 450$ 450$
05 Duplexeur vidéo 60$ 60$
06 Console de mixage 980$ 980$
07 Un ordinateur 460$ 460$
08 Deux écrans 42’’ 200$ 400$
09 Mixeur vidéo 3900$ 3900$
10 Une caméra 3600$ 3600$
11 Une antenne de télévision 1350$ 1350$
TOTAL 15.350$
[53]

CONCLUSION GENERALE

Nous voici arrivés au bout de notre travail qui parle sur


l’implantation d’une chaine de télévision cas de la borne Bakwadianga.

La télévision est un ensemble de techniques destinées à émettre et


recevoir des séquences audiovisuelles appelées programme télévision
(émission, film et séquence publicitaire), le contenu de ce programme peut
être décrit selon les procédés analogiques ou numériques, tandis que leur
transmission peut se faire par onde radio, électrique ou par réseau câble ou
encore par réseau satellite.
[54]

Bibliographie
I. Ouvrages
Henry Pierre Penel, TNT, éd. Paris 2011
II. TFC

1. Mpiana Kasongo Joël


2. Kazadi Ngindu
3. Mpongu Mukendi Alvine
4. Batubenga Kanda Dénis

III. Cours

5. Shico NZADI M. Cours de télévision numérique, éd. 2018 – 2019.


6. Ir. Patrick KAzadi, cours de télévision, G3 ISTA, Inédit, 2022 – 2023
7. Ir. Vincent Kalambayi, cours des hyperes fréquences, G3 ISTA, Inédit,
2022 – 2023.
8. Ir. Papy Mukadi, cours de transmission téléphonique, G3 ISTA, inédit,
2022-2023.
9. Jean Philippe Miller, Cours de TNT et TAT, 2007

IV. Webographie
1. www.google.com
[55]

Table des matières

EPIGRAPHE.........................................................................................................................................I
DEDICACE..........................................................................................................................................II
REMERCIEMENTS..........................................................................................................................III
LISTE DES ABREVIATIONS.........................................................................................................IV
LISTE DES FIGURES......................................................................................................................V
LISTE DES TABLEAUX..................................................................................................................VI
INTRODUCTION GENERALE........................................................................................................1
A. Présentation du sujet......................................................................................................1
B. Intérêt et objectifs du sujet............................................................................................1
C. Problématique....................................................................................................................1
D. Hypothèses.........................................................................................................................1
E. Méthodes et techniques utilisées.................................................................................2
F. Délimitation spatiale et temporelle du travail..........................................................2
G. Subdivision du travail.....................................................................................................2
CHAPITRE I : GENERALITES SUR LE SUPPORT DE TRANSMISSION............................3
I.1. Introduction............................................................................................................................3
I.2. Définition.................................................................................................................................3
I.3. Complexité de la liaison......................................................................................................3
I.4. Caractéristiques des supports de transmission..........................................................4
I.4. Les faisceaux hertziens.......................................................................................................5
1. Généralités..........................................................................................................................5
2. Présentation des faisceaux hertziens..........................................................................5
3. Structure d’un faisceau hertzien.................................................................................6
4. Caractéristiques................................................................................................................7
5. Avantage..................................................................................................................................8
6. Inconvénient...........................................................................................................................8
7. Type des liaisons radio électrique....................................................................................8
8. Le plan de fréquence......................................................................................................10
9. Domaine de fonctionnement des faisceaux hertziens..........................................10
[56]

I.5. Établissement des plans de fréquences.......................................................................11


Les liaisons satellitaires............................................................................................................13
Principe..........................................................................................................................................14
CHAPITRE II : NOTIONS SUR LA TELEVISION.....................................................................17
II.1. Définition..............................................................................................................................17
II.2. Objectifs de la télévision..................................................................................................17
II.3. Le réseau de diffusion......................................................................................................17
II.4. Bref Historique de la télévision (Cours TV)................................................................18
II.5. But de la télévision............................................................................................................18
II.6. Classification de systèmes de télévision.....................................................................18
II.7. Transmission des images (cours de TV)......................................................................19
II.8. Le démodulateur................................................................................................................20
II.9.Caractéristique de paramètre de l’image.....................................................................20
II.9.1. Formation de l’image (cours de TV)..........................................................................20
II.10. Forme de signaux dans la transmission..................................................................22
II.10.1. Signal en dent de scie................................................................................................22
II.10.2. Spectre en fréquence d’un canal.............................................................................22
II.10.3. Signal de vidéo composite.........................................................................................23
II.10.4. Faisceau concentré d’électron.................................................................................23
II.10.5. Signal de synchronisation ligne..............................................................................24
II.11. Les différentes sources vidéo fréquence composite...............................................24
II.11.1 Les sources optiques du signal image (cours de TV)..........................................24
II.11.2 Source électronique d’image (cours de TV)...........................................................25
II.11.3 Matériels vidéo...............................................................................................................26
II.11.4. Les équipements de reportage.................................................................................26
II.11.5 L’émetteur de télévision..............................................................................................26
II.11.3.2. Télévision couleur....................................................................................................27
II.11.3.2.1.Notions de base......................................................................................................27
II.11.3.2.2. Représentation spatiale et diagramme chromatique.................................30
II.11.3.2.3. Chaine de transmission et système de télévision en couleurs...............31
II.11.4. Différents systèmes des télévisions couleurs......................................................33
II.11.4.1. Système NTSC...........................................................................................................34
Codeur NTSC...............................................................................................................................35
II.11.4.2. Système PAL..............................................................................................................36
II.11.4.3. Système SECAM.......................................................................................................37
[57]

II.12. Synoptique générale de la partie émission d’une chaine de télévision couleur


.........................................................................................................................................................38
Caractéristiques de la modulation positive :......................................................................40
Les caractéristiques de la modulation négative sont :....................................................40
III.1. Définitions des quelques concepts..............................................................................42
III.2. Présentation de l’Eglise la Borne Bakwadianga......................................................42
III.2.1. Aperçu historique.........................................................................................................42
III.2.2. Implantation de l’Eglise à Mbujimayi.....................................................................43
III.2.3. Organigramme de l’Eglise la Borne.........................................................................43
3.4. Implantation d’une chaine de télévision.....................................................................44
3.5. Proposition à soumettre.......................................................................................................49
CONCLUSION GENERALE..........................................................................................................52
Bibliographie....................................................................................................................................53

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