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M technologie machine
I – INTRODUCTION :
Dans les ateliers de montage des industries de l’habillement, on utilise des différents types
de machines à coudre adapté aux différents travaux de piquage.
Ces machines se caractérisent par leur forme et la nature de point qu’elles réalisent.
Ces formes ont été conçues pour faciliter la particularité des divers travaux de piquage :
- la nature de l’opération.
- la forme des pièces travaillées.
II- LES FORMES DE MACHINE À COUDRE :
Les machines à coudre sont classées en 6 catégories :
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MACHINE MONOBLOC :
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1- Chiffre :
2- lettre :
La lettre indique le symbole des points :
N : indique le point noué.
C : indique le point de chaînette
3- fraction :
La normalisation conventionnelle et terminé par une fraction :
a/b = numérateur/ dénominateur
Le numérateur (a) : indique le nombre de fil amené par les aiguilles.
Le dénominateur (b) : indique le nombre d’autres fils.
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RQ :
La normalisation peut être suivi par un index alphabétique, lorsqu’il y lieu de
caractériser une disposition particulières des fils.
a : disposition particulière des fils lâché.
b : disposition particulière des fils modifier.
c disposition particulières des fils lâche et modifier.
EXEMPLE :
2N1/1a : couture zigzag, point noué, un fil d’aiguille et un fil de canette avec
disposition particulières des fils lâchés.
1N1/1 : couture simple, point noué, un fil d’aiguilles et un fil de canette.
3C1/1 : couture surjet, point de chaînette, un fil d’aiguille et un fil de
boucleur.
5C1/0 : couture invisible, un point de chaînette, un fil d’aiguille zéro autres
fils.
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I-ROLE DE L’AIGUILLE :
L’aiguille est le moyen utilisé pour faire passer un fil à travers une matière souple :
étoffe, peaux…
Toutes les aiguilles sont donc obligatoirement munies d’une pointe pour perforer la
matière et d’un chas pour recevoir le fil.
1-le talon :
Le talon permet de fixer l’aiguille dans la barre à aiguille. On trouve les types de talons
suivants :
Talons cylindriques.
Talons avec plat à l’extrémité servant à fixer l’aiguille dans une position spéciale
dans la barre à aiguille.
2-la tige :
La tige de l’aiguille va de l’épaulement jusqu'au commencement du chas.
Il existe des aiguilles à tige courbée employées sur les machines à point invisible.
3-Grande rainure :
A pour fonction de guider le fil lors de l’exécution du point et de le protéger contre une
friction excessive
4-encoche :
L’encoche se trouve au-dessus du chas pratiquer sur toute la largeur de l’aiguille. Celle-ci
facilite le passage du crochet dans la boucle de fil et réduit le risque de points manqués.
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5-le chas :
Le chas est toujours étiré en longueur, car le fil d’aiguille doit passer à travers l’aiguille en
diagonale et dans le sens de longueur.
La largeur du chas est la même que celle de la grande rainure.
6-L’épaulement : C’est la partie tronconique entre le talon et la lame de l’aiguille. Il
contribue à la rigidité de l’aiguille.
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Les aiguilles sont fabriquées dans une grande variété de pointes, adaptée au genre de tissus
différents.
Les pointes d’aiguille sont classées dans deux catégories : les pointes tranchantes et
écartantes.
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1- Pointes écartantes :
Les pointes écartantes ont une section circulaire mais peuvent être classées dans deux
catégories de base :
Pointe
Utilisées pour les
ronde
tissus fins et
pointue. denses, elles ne
conviennent pas
Pointes aux tricots, ainsi
arrondies pour l’exécution du
point invisible.
Pointe
Pour tissus
arrondie
normaux.
normale.
Pointe
Pour le travail des
arrondie
tissus serrés, sert
épaisse. particulièrement
aux machines à
boutonnières.
Pointe
Tissus délicats tels
bille
que les tricots.
Pointes fine.
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Billes Pointe
Tissus élastiques.
bille
moyenne.
Pointe
Etoffes à mailles.
bille
épaisse.
2- Pointes tranchantes :
V- CARACTERISTIQUES DE L’AIGUILLE :
Les aiguilles sont référencées suivant le type de machine par un code, celui ci étant indiqué
sur toutes les boites d’aiguilles.
Ce code vous permettra de reconnaître :
1- Le système de l’aiguille :
Il est donné par le fabricant de la machine, il n’est indiqué que sur la boite de l’aiguille.
Chaque système d’aiguille est caractérisé par :
Le diamètre et la forme du talon.
La longueur de l’aiguille.
La longueur de la pointe.
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LE POSTE DE TRAVAIL
I-DEFINITION :
C’est l’emplacement ou une personne effectue une phase dans l’exécution du travail.
Ce centre d’activité comprenant tout ce qui est nécessaire à l’exécution d’un travail
nettement défini (table, bâti, moteur….).
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II-INFRASTRUCTURE DU POSTE :
2- la table :
La table doit être en bois massif indéformable, recouverte par une couche plastique de
formica.
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3- le bâti :
Le bâti doit pouvoir être réglable en hauteur suivant la longueur du buste de l’ouvrière.
4- la pédale :
La pédale permet la marche ou arrêt de la machine.
Elle doit toujours être réglée d’arrière en avant en fonction de la longueur des jambes de
l’ouvrière, latéralement de façon que son axe de symétrie passe par l’axe de l’aiguille
.Elle doit être inclinée de 30° ou 40° par rapport à l’horizontale, elle est reliée au levier
de commande du moteur, par une tringlerie.
5- la tringlerie :
Elle est liée entre la pédale et le moteur et permet de varier l’inclinaison de la pédale.
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6- la genouillère :
Elle permet la levée du pied presseur, doit être réglable en hauteur, latéralement et en
inclinaison de façon que la surface de contact vienne contre la jambe de l’ouvrière au-
dessus du genou.
Elle doit comporter une garniture de contacte souple afin de ne pas blesser l’ouvrière.
7- porte cônes :
Support fixe sur la table ou placer les cônes ou bobines de fil
8- le moteur :
La machine à coudre reçoit son mouvement d’un moteur, celui-ci est fixé en général sous
la table de la machine ou directement sur le bâti.
Il est alimenté en énergie électrique qu’il transforme en énergie mécanique.
L’énergie transmise à l’arbre principal de la machine par une courroie.
9- un disjoncteur :
Permet la mise sous tension ou hors tension de la machine.
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I- PRESENTATION :
La machine à point noué est souvent appelée ‘ piqueuse plate simple ‘, dont la surface
d’appui est plate destiner à être fixée sur un support : Table.
Elle se classe dans les machines dites a plateau.
Elle se compose d’une :
Partie verticale : le montant ou colonne
Une partie horizontale : le bras
A son extrémité gauche : la tête
- Au dessus du plateau on rencontre les organes destinés à amener le fil
d’aiguille (guide fil- bloc tension…).
- Au dessous du plateau on trouve les organes amenant le fil de canette
(cannette, boite a canette…).
- Au niveau du plateau se trouvent d’une part les organes destinés à maintenir
l’étoffe (plaque à aiguille, pied presseur…), d’autre part ceux qui servent à faire avancer
l’étoffe (griffe).
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Barre à
aiguille
Système Arbre
bielle supérieur
Volant
Tendeur de
manivelle
fil
Arbre Bielle et
d’entraînement excentrique
Arbre Bielle et
d’élévation. excentrique
MOTEUR
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III-PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT :
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Le fil d’aiguille se dévide d’un cône de fil placé sur un support porte cône, les bras de
porte cône doivent- être placé dans un même plan pour faciliter le déroulement des fils.
Le fil passe successivement à travers une série de guide fil, ceux ci modifient le trajet du
fil, tout en dirigeant et en freinant légèrement.
2 – Le bloc tension :
Le bloc tension a pour but de régler la tension du fil d’aiguille, il freine plus au moins
le passage du fil entre deux disques fixés sur un axe.
Ces deux disques sont parfaitement polis et maintenus serrés l’un contre l’autre a l’aide de
deux ressorts s’appuient d’une rondelle et comprimer par un écrou. Lorsque le pied
presseur est en haut sous l’action de la genouillère les deux disques sont écartés pour
remettre le passage libre des fils.
Cette action est nécessaire lors de l’enfilage ou lorsqu’on tire sur l’article pour le faire
dégager de la machine à la fin de la couture.
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Règle : Il faut que les deux disques s’ouvrent au minimum de 0.5mm lorsque le levier
releveur est en position supérieur.
Règle : Le ressort contrôleur devra avoir une course d’environ 8 mm par rapport au
doigt positionneur pour régler la position angulaire.
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Le tendeur de fil est constitué essentiellement d’un œillet qui dans son mouvement à
tendance de s’abaisser pour donner la quantité de fil nécessaire à la formation du point et
de se relever rapidement pour tirer le fil.
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1 – La canette :
La canette est une bobine sur laquelle est emmagasiner le fil inférieur. Elle tourne
librement autour d’un axe situé à l’intérieur de la boite à canette, elle est entraînée en
rotation par le déroulement du fil tandis que la boite à canette reste immobile par
rapport au crochet.
Remplissage de La canette :
Le remplissage de la canette se fait, par l’intermédiaire d’un bobinoir de canette. Des
que la canette est remplie, le bobinoir s’arrête automatiquement.
Le remplissage de la canette doit être bien déterminé.
Maximum de quantité de fil gêne la rotation de la canette dans son boîtier.
Et pour avoir un bon remplissage de la canette on doit régler :
La butée de remplissage (quantité de fil bien déterminée).
La tension du fil (agissant sur la règle tension du bobinoir).
La réparation du fil sur la canette (uniformité de remplissage).
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2- Boîtier à canette :
Le boîtier à canette (boite à canette) placé à l’intérieur de la capsule reçoit la canette, il
a pour rôle de régulariser le déroulement du fil de canette et de contribuer à la formation
du point
Description de la boite à canette :
Le boîtier à canette est placé à l’intérieur de la capsule, est maintenu dans celle-ci par
l’intermédiaire d’un verrou ce qui empêche sa rotation avec le crochet.
Un ressort de rappel permet de ramener le verrou en position fermée. Sur l’extérieur
de la boite est fixée une lame ressort qui permet de régler la tension du fil de canette à
l’aide d’une vis de réglage.
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3- Le crochet :
Fonction :
Le crochet est un dispositif qui permet le transport du fil du dessous (fil de canette) à
travers la boucle du fil d’aiguille de façon à former un point noué.
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Crochet horizontal :
Ce crochet est monté sur un arbre tournant d’un axe vertical, son plan de rotation est
parallèle à la surface du plateau et il doit compléter deux rotations pour former un seul
point.
On rencontre souvent ce type de crochet par paire et on le trouve sur les machines doubles
aiguilles.
Crochet transversal :
Ce crochet est monté sur un arbre tournant autour d’axe horizontal.
Le plan de rotation est à angle droit par rapport au sens d’entraînement, donc l’axe de
rotation du crochet est parallèle à l’avancement du piquage. Ce type de crochet est utilisé
sur machine zigzag.
1- la plaque à aiguille :
La plaque à aiguille constitue la surface sur laquelle passe la matière en cours de
piquage et elle contribue à maintenir celle-ci pendant la formation du point.
Elle comporte une ou plusieurs ouvertures rectangulaires par les quelles remontent les
griffes et un trou pour le passage de l’aiguille, ces ouvertures doivent être appropriées à la
griffe utilisée et à la grosseur de l’aiguille.
Nature des
machines types de plaque à aiguille
Machine doubles
aiguilles
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Machine zigzageuse
Surjetteuse
2- le pied presseur :
Fonction :
Le pied presseur ou pied de biche a pour fonction principale, le maintien de l’étoffe
contre la plaque à aiguille et les griffes, sans pied presseur, les griffes ne pourraient pas
assurer leur rôle.
Le pied presseur peut assurer d’autres fonctions :
Support d’accessoires (coupe fil).
Guidage (guide ourler).
Produire des effets particuliers (froncer).
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fig
Mouvement d’élévation : donné par l’arbre d’élévation et commande les mvts de montée
et de descente des griffes.
Mouvement d’entraînement : donné par l’arbre d’entraînement et commande les mvts
d’avance et de retour des griffes.
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avanc
e
descent mont
e ée
retour
Exemples de commande :
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Réglage de la griffe :
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a. Centrage latéral :
Les griffes doivent être parfaitement centrées latéralement par rapport aux ouvertures
prévues dans la plaque à aiguille.
b. centrage longitudinal :
La course des griffes doit être également centrée dans le sens longitudinal, par rapport
aux ouvertures prévues dans la plaque à aiguille.
Dans ce cas, mettre le levier règle point sur le plus grand point et régler en agissant
sur le levier de commande de l’ordre d’entraînement.
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c/ Réglage en hauteur :
Rq :
La surélévation de la griffe doit être faite en fonction de l’entraînement correspondant à
l’épaisseur du tissu.
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Rq :
L’inclinaison dont les deux cas ne doit pas dépasser 3/10°.
VI – 2- l’entraînement du tissu :
L’entraînement du tissu est accompli par le mouvement des griffes, c’est un déplacement
régulier de la matière d’une distance bien définie.
Il doit être parfaitement synchronisé avec les mécanismes de formation du point pour
obtenir un bon fonctionnement de la machine.
Le mouvement d’entraînement se décompose comme suit :
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Organes
d’entraînement utilisations
d’entraînemen
t simple Griffes Couture normale et à tout
type du tissu.
Griffes +
aiguille Utilisé pour les matières
Entraînement Griffe + pied ayant tendance à glisser
double presseur l’une par rapport à l’autre.
Griffe + puller
Griffe+ aiguille+
puller
Entraînement Griffe+ pied Utilisé pour éviter le
Triple presseur+ puller décalage de différentes
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Phase1 :
……………………………………………...
……………………………………………...
……………………………………………..
…………………………………………….
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Phase2 :
……………………………………………
……………………………………………
……………………………………………
……………………………………………
……………………………………………
……………………………………………
Phase3 :
……………………………………………
……………………………………………
……………………………………………
Phase4 :
……………………………………………
……………………………………………
……………………………………………
……………………………………………
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Phase5 :
…………………………………………
………………………………………..
…………………………………………
……………………………………..
Phase6 :
…………………………………………
………………………………………
……………………………………
………………………….
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Arasement :
La pointe du crochet devra être espacée de 0.1mm de l’évidement de l’aiguille lors de la
prise de la boucle.
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Ce type de point donne un fil d’aspect continu sur le dessus comme sur le
dessous.
Ce point exige des fils de bonne qualité car les contraintes sont plus
importantes sur la machine point nouée que sur les machines point de
chaînette.
Le point noué est le point qui consomme le moins de fil, mais un des
inconvénients de ce point est l’obligation de changer la canette, ce qui fait
perdre le temps.
Le point noué c’est un point qui manque d’élasticité : c’est un point rigide.
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I –GENERALITE :
La couture d’une machine double aiguille à point nouée se présente sous la forme
d’un alignement de point caractérisé par deux piqûres parallèles, s’effectuant
simultanément.
En utilisant les machines 301+301, le temps de piquage est réduit de 50% par rapport au
temps lorsqu’en utilise une piqueuse plate.
II –UTILISATION :
Les machines double aiguille sont utilisées pour des coutures rabattues et comportent, en
générale à cet effet un guide dans lequel on introduit les bords des tissus à assembler qui se
replie l’un sur l’autre.
Elles sont utilisées pour :
- Poser de galons (ruban de tissu épais et serrer, qui sert à border ou orner les
vêtements, les rideaux….
- Piqûres décoratives.
- Assemblage d’ourlets, de couture rabattue.
- Pose de fermeture à glissière note ment pour les pantalons (JEANS).
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Pour changer l’écartement des deux piqûres il suffit de changer tout un kit de
couture formé par :
Pince à aiguille.
Pied presseur.
Plaque à aiguille.
Griffe.
Il existe des machines à deux aiguilles avec deux barres à aiguilles indépendants
dont l’une peut être débrayée à l’aide d’un mécanisme appelée système escamotable,
ce système permet la réalisation d’angles dans les coutures parallèles (couture en
coin)
Remarque :
Mise en place des aiguilles :
La mise en place des aiguilles dans ce type des machines se fait de façon que les deux
grandes rainures des deux aiguilles soient en face.
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I. Généralités :
La Zig zagueuse est une machine plate à point noué destinée principalement à
effectuer des coutures suivant une ligne Zig zague.
Ces machines ont un mécanisme semblable à celui des piqueuses plates à point noué, au
quel s’ajoute un dispositif particulier ayant pour effet de provoquer un déplacement
alternatif de la barre à aiguille. Ce déplacement s’effectue dans un plan perpendiculaire
à la direction générale de la couture.
II- Aspect du point zigzag :
L’aspect de couture Zig Zague est caractérisé par :
Sa jetée « J » (déplacement latéral).
Sa longueur du point « l ».
Le jeté (j) est la distance entre les impacts extrême gauche et l’extrême droite de l’aiguille.
J
Remarque :
L’amplitude « j » de ce déplacement qui s’appelle jetée d’aiguille, est réglable lorsque la
jetée est nulle, on retrouve bien entendu la piqueuse plate ordinaire (cette propriété est
souvent utilisée sur les machines familial). En combinant les réglages de la jetée
d’aiguille d’une part et de l’avance des griffes d’autre part. il est possible d’obtenir une
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Pour obtenir la couture Zig Zague l’aiguille doit effectuer deux mouvements
combinés, en plus du mouvement de monté et de descente on a un mouvement de
basculement de droite à gauche.
Le mouvement de basculement est obtenu grâce à un support basculant la barre à
aiguille dans le sens latéral, ce dernier est commandé par tout un mécanisme appelé
mécanisme Zig zague.
Ce mouvement nous oblige de prévoir des fentes au niveau du pied presseur et de la
plaque à aiguille.
Il est évident que le crochet ne peut pas avoir ni la même forme ni la même position que
celle d’une machine plate simple vue que la prise de boucle se forme en deux impacts
différents d’ou le crochet est frontal (le crochet tourne dans un plan
perpendiculairement à la jetée de l’aiguille c à d l’axe de rotation du crochet est
parallèle à l’avance du piquage).
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Cette machine est généralement utilisée pour tissu léger et moyen, elle est utilisée
dans les entreprises de confection pour lingerie.
La couture Zig zag est utilisée pour :
Assembler des tissus élastiques.
Poser de l’élastique sur tissu.
Assembler des tissus bord à bord.
Couture décorative…
Le surfilage (en piquant dans et hors l’étoffe.)
La réalisation d’ourlets.
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1- Casse fil :
Défaut dans le passage du fil.
Installation incorrecte de l’aiguille.
Le fil est enroulé autour du crochet.
Le fil est enroulé autour du dispositif de rattrapage de fil.
le fil a une tension trop forte.
Mauvais enfilage.
Trous usés ou endommagés dans la plaque a aiguille.
Chas ou rainure usés ou endommagés.
2- casse aiguille :
Installation incorrecte de l’aiguille.
Pointe de l’aiguille émoussée.
Synchronisation entre aiguille et crochet est incorrecte.
Aiguille de mauvaise qualité.
Aiguille trop fine devant le tissu utilisé.
Le boîtier de la canette est mal engagé.
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4- couture irrégulière :
la pression du pied presseur est trop forte.
Hauteur incorrecte de la griffe d’entraînement.
L’aiguille n’est pas installée correctement.
Le fil du dessous est mal embobiné.
L’aiguille est courbée.
Mauvais entraînement du tissu.
5- points de manques :
Synchronisation incorrecte.
Pointe d’aiguille émoussée.
Pointe de crochet est émoussé.
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I – Description :
Le plateau : c’est la partie inférieure, il est doté d’une plaque à aiguille et d’une
rainure servant au passage des fils de boucleurs.
La colonne : c’est la partie verticale sur laquelle sont fixés les blocs tensions.
Le bras : c’est la partie horizontale sur laquelle sont fixés des passes fils.
La tête : située à l’extrémité gauche du bras sur laquelle est fixé le tendeur de fil
supérieur.
II-2- le boucleur :
Fonction du boucleur :
Les fonctions du boucleur à point de chaînette sont les suivants :
* Boucle du Saisir le fil d’aiguille.
* Maintenir la boucle du fil d’aiguille de manière à ce que l’aiguille puisse s’y introduire
et exécuter le point au cours du cycle.
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Le mouvement oscillant du boucleur est elliptique et à pour but de faire passer celui-
ci derrière l’aiguille dans son mouvement de droite a gauche (prise de boucle), et dans son
mouvement de retour, il bascule de façon à venir passer devant l’aiguille permettant à
celle-ci de descendre dans le triangle de fil formé par le boucleur.
Ce mouvement elliptique est obtenu par deux excentriques fixés sur l’arbre inférieur :
* Un excentrique, animé d’un mouvement circulaire commande les mouvements de droite
à gauche et vise versa (c’est le mouvement d’oscillation).
* un excentrique animé d’un mouvement circulaire commande les mouvements d’avant et
d’arrière du boucleur (c’est le mouvement de basculement).
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Fonction du Tendeur :
Le tendeur de fil supérieur pour les machines a point de chaînette est solidaire de la barre a
aiguille.
Il a par conséquent, le même mouvement que celle-ci, aussi il est en relation avec un ou
des guides fil réglables.
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Le bloc tension est destine pour régler la tension des fils d’aiguilles et de boucleur.
Le réglage se fait en tournant l’écrou moleté vers la gauche ou vers la droite suivant la
tension désirée.
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Le point 101 est désigné par 1 c 1/0 puisqu’il permet de réaliser une couture simple au
point de chaînette au moyen d’un seul fil alimentant une aiguille.
L’aspect de ce point n’est pas identique sur endroit et sur envers.
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Agrandissement de la boucle :
L’aiguille au pmh de sa course.
En tournant Le boucleur agrandit la boucle.
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Entraînement de la matière :
L’aiguille descend
Le boucleur maintient la boucle agrandit.
Les griffes entraînent la matière.
L’aiguille remonte.
Le boucleur introduit la nouvelle boucle dans la
boucle précédente.
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Prise de la boucle :
L’aiguille pénètre dans la boucle formée par le
fil d’aiguille
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III-4- Utilisation :
Ce type de point est employé pour l’assemblage de tissu de façon élastique (jersey…).
Il est réalisé sur certaines machines à broder (en bonneterie), sur les machines pose bouton.
Principe de formation :
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Agrandissement de la boucle :
L’aiguille continue sa remontée, le boucleur
agrandit la boucle et continue sa course vers le
point extrême gauche.
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IV-3- Utilisation :
Le point de chaînette à deux fils est la base de tous les points de chaînette employé pour
l’assemblage de tissu de façon élastique et solide, se point ne se défait pas facilement.
Le plus souvent, la couture est réalisée de telle sorte que la chaînette est apparente sur
l’envers, par conséquent l’aspect de ce point coté envers et endroit n’est pas identique.
La grande élasticité de cette couture permet de réduire de nombreux inconvénients de
fonçages.
V- avantages et inconvénients :
Avantage :
Pas de canette.
Couture très élastique.
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Se défait facilement.
Inconvénients :
Grande consommation de fil.
La casse du fil entraîne le démontage de la couture.
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LA SURJETEUSE
I / Généralités :
Ce sont des machines sans bras, destinées à être posé sur un support (table). Ces
machines sont destinées pour coudre en bord de pièces, selon le nombre des fils utilisés.
Les machines qui réalisent ces types de points sont de clase (500) effectuent un point
assimilé au point de chaînette c’est le point de surjet, d’où leur dénomination : surjetteuse.
Elles sont généralement équipées d’un couteau qui rase les effilochures de la matière
(surjetteuse raseuse).
Elles sont utilisées pour les opérations de surfilage dans le but et la protection des bords
(types de points : 502, 503, 504), ou pour des opérations d’assemblage plus résistant (types
de points : 512, 515, 516).
II / principe de fonctionnement:
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Par des systèmes « bielle» toute la commande des principaux organes est prélevée sur
un arbre principal :
1. Bielle de commande le système du boucleur inférieur.
2. Bielle de commande le système d’aiguille.
3. Bielle de commande le système du couteau supérieur.
4. Bielle de commande le système du boucleur supérieur.
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Schéma
cinématique :
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Inférieur Supérieur
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2- Etendeur :
Elément de prise de boucle il est non enfilé dont le but et l’élargissement de la
boucle de fil et/ ou transportant une boucle dans une ou plusieurs autres boucles, en vue de
les entrelacer.
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1- couteau supérieur :
Mobile, il vient frotter contre le couteau inférieur pour trancher l’étoffe avant que
celle ci n’arrive au niveau des organes de formation du point.
Le rasage de la matière est obtenu par le contact d’un couteau supérieur mobile avec un
couteau inférieur fixe.
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2- couteau inférieur :
Fixe, il se trouve au ras de la plaque à aiguille pour la hauteur et dans le
prolongement du doigt mailleur pour son réglage par rapport à la largeur couteau.
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Matières fines.
Les dents sont très
rapprochées et peu incliner.
Matières épaisses.
Les dents sont espacées et
inclinées.
2- l’entraînement :
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Entraînement différentiel :
Différentiel positif :
Différentiel négatif :
Le pied presseur d’une surjetteuses a une forme appropriée, il assure la même fonction que
le pied presseur des autres machines. Il est menu d’un petit doigt mailleur pour la
formation de la chaînette.
Il doit être en correspondance avec les griffes est la plaque à aiguille selon les travaux à
exécutés. Pour cela, il convient de choisir un pied presseur qui doit adapter aux exigences
de travail selon les caractéristiques suivantes :
Entrée : Doit être plus ou moins haute et recourbé suivant l’épaisseur de la matière
à introduire.
Largeur : en fonction du type de griffe.
Longueur : suivant qu’il s’agit de couteaux droits ou courbes
Sortie : languette plus ou moins recourbée facilement le dégagement de la matière.
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IV-
2-les
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Croisement du boucleur et de
l’étendeur :
L’aiguille remonte au-dessus de
l’étoffe, le boucleur est à son point
d’avance maximale (pmd), l’étendeur a
saisi la boucle de fil de boucleur pour
l’étendre au-dessus du bord de l’étoffe.
Pendant cette phase, les griffes
déplacent l’étoffe.
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Obtention de ce point :
Cette machine est dotée de 2 aiguilles, mais la formation du point est semblable à celle de
la surjetteuse 3 fils.
Le bouc leur inférieur doit traverser les deux boucles formées par 2 fils l’aiguille et le bouc
leur supérieur doit étendre la boucle de fil de telle sorte que les deux aiguilles y pénètrent.
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Obtention de ce point :
Le principe d’obtention de ce point est analogue à celui du point 506 mais pour ce point la
course du boucleur supérieur est limitée.
4-2- le point 516 :
La machine est dotée de 2 aiguilles 1et 2, l’aiguille 1 est associée le boucleur 3 et cet
ensemble forme un point de chaînette 2 fils (401)
A l’aiguille 2 sont associés les boucleurs 4 et 5 qui permettent l’obtention d’un point de
surjet.
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Ces machines sont toujours équipées d'au moins deux aiguilles, qui réalisent deux
lignes parallèles des points et d'un dispositif boucleur qui permet de réaliser par un fil
inférieur ces deux lignes des points. (Recouvrement inférieur 4063).
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(Agrandissement de boucle).
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MACHINE A BOUTONNIERE
I- Généralités :
Ce sont des machines a cycles semi automatiques ou automatiques qui après la mise en
marche et la positionnement de la pièce sur le plateau se déclenchent et s’arrêtent d’elles
même lorsque le travail est terminé.
Ces machines réalise une boutonnière qui est caractérisé par leurs formes (droite ou a
œillet) elles peuvent être à point de chaînette ou a points noué, elles font un point de zigzag
par oscillation de la barre a aiguille.
Œillet sans
2 arrêts en arrêt
pointe
Œillet
1 arrêt en pointe
Œillet et arrêt
1 arrêt carré, 1 en pointe
arrêt en pointe
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*l’aiguille remonte.
*le fil d’aiguille forme la boucle.
*l’étendeur avant (de droite) prend
cette boucle.
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La boucle est ensuite lâchée par l’étendeur avant (droite) et ainsi de suite pendant tout le
cycle de la machine.
Le principe de la formation du point noué, utilisé pour la réalisation des boutonnières est
identique aux machines à point noué type 301.
La couture décrit un mouvement zigzag. Le crochet est transversal.
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4-passage de la boucle 5-la boucle est retenue 6-la boucle est lâchée.
autour de la canette. par l’archet.
I- structure générale :
Les machines à faire les boutonnières sont les plus compliquées en raison de leurs
mouvements.
Elles possèdent un plateau fondamental, dégagé de tous mécanismes.
Leur fonctionnement se fonde sur l’action de cames commandant le mouvement de divers
mécanismes.
Elles sont généralement équipées :
D’un cadre oscillant de la barre aiguille.
D’un cadre presse tissu : destinés à assurer l’exécution des mouvements propres à la
formation des lèvres de la boutonnière.
D’un mécanisme de transport assurant le déplacement avant arrière du tissu.
D’un mécanisme assurant la descente et la montée du couteau.
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Arrêt initial
Arrêt final
L : longueur de la boutonnière.
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V-3-entrainement de la matière :
L’entraînement de la matière est assure par le déplacement de la pince presse étoffe.
Le mouvement de la pince est commandé par la came en forme du cœur.
Il, se fait par l’intermédiaire des ciseaux qui a une double fonction il retient le fil puis il le
coupe.
Il est situé au dessus de la plaque a aiguille et il est composé d’une lame ressort fixe, d’une
lame mobile et d’une lame fixe.
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Points manqués :
Presse tissu trop grand pour la boutonnière.
Tissu léger.
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I- Généralités :
Les machines pose boutons réalisent de très courtes coutures destinées à fixer les boutons
sur les vêtements.
Il existe de nombreux modèles effectuant des coutures à points de chaînette 1 fil type(101)
et (1074) ou à point de chaînette 2 fils type (401) et(404) ou points noués types(301) et
(304).
La couture est de même type que celle des piqueuses, le bouton est placé au dessus du
tricot, le fil de l’aiguille forme des brides passant au dessus et au dessous du bouton dans le
cas du point de chaînette et seulement au dessus dans le cas du point de navette.
Les boutons sont maintenus par une pince boutons pouvant s’ajuster à des boutons de
divers diamètres.
I- Forme générale d’une machine pose bouton :
Il existe deux types de machines pose bouton :
Sans ou avec un dispositif permettant de positionner les boutons avant de les coudre
appelé distributeur automatique de bouton, pour ce dispositif les boutons sont placés
dans un distributeur à vibration qui alimente automatiquement la pince bouton sans que
l’ouvrière s’intervienne mais elle doit positionner la pièce
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Pince simple : de taille appropriée à celles des boutons utilisés pour les machines qui
doivent toujours coudre des boutons de même forme et de même dimension.
Boutons à queue :
Piquage dans les deux autres trous comme les boutons à 2 trous.
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Des nombreuses progressions ont été données à une piqueuse simple à point noué parmi
les qu’elles on site :
Un moteur positionneur qui fait fonctionner la machine à grande, moyenne
et petite vitesse en réponse aux signaux reçus de la boite.
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1 Interrupteur d’alimentation
2 Boite de commande
3 Synchroniseur
4 Porte bobines
5 Boite électronique
7 Moteur
8 Pédale
11 Vis de réglage
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Synchronisateur
(2)
Moteur positionneur
Embrayage freinage
(3)
Plaque électronique
(1)
Pédale
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1 Affichage LED
2
3 Touche de point d’arrêt au début de couture
4 Touche de point d’arrêt a la fin de la couture
5 Touche de point d’arrêts continus.
6 Touche de point à longueur fixe
7 Touche d’étiquette d’identité
8 Touche de couture de presse plis
9 Touche auto
10 Touche coupe fils
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IV- Synchroniseur :
V-1- Définition :
La coupe fil est un dispositif permettant de couper les fils inférieur et supérieur.
Il est constitué par un couteau fixe et une attrape fils.
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Le couteau mobile se croise avec le couteau fixe et les fils sont coupés.
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Horizontale
Rotatif
Semi automatique
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HISTORIQUE DU REPASSAGE
Le repassage, on disait autrefois « lissage » des étoffes. Le repassage des étoffes est
destiné à faire disparaître les faux plis résultant de manipulations qu’elles subissent au
cours des opérations d’assemblage ou provoquer plus tard par le lavage et le port des
vêtements.
Ils peuvent également donner à certaines pièces, une forme particulière d’une pratique
courante, il remonte à une époque extrêmement ancienne des moyens divers mettant en jeu
les actions combinées de l’humidité, de la chaleur et de la pression ont été employé.
Les premières outillent utilisés ont été des galets chauffants, des rouleaux en bois, en pierre
roulant sur le tissu mouillé puis apparaissant des fers creux en bronze ou en fente, chauffé
par le charbon qu’il contenait.
A une époque plus récente on utilise des fers appelés carreaux en fente et réchauffés sur
des réchauds à gaz.
Enfin les fers électriques, les fers chauffés par la vapeur et les presses ont supplanté les fers
à gaz.
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I- Introduction :
Le repassage est une technique qui fait disparaître les faux plis apparus lors de la
fabrication ou de l’entretien des vêtements.
1- définition :
Ce sont les fers à repasser, ils utilisant la propriété du courant électrique caractérisée par
l’échauffement des conducteurs (résistance) qu’il traverse.
2- schéma du fer :
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organe définition
Poignet Le poignet, constituer du bois ou en matière plastique,
il ne conduit pas la chaleur ni de l’électricité.
Carter Un carter métallique recouvre l’ensemble, il porte des
broches d’arriver du courant.
Plaque métallique La plaque recouvrant la résistance, elle est constituée
d’une matière isolante.
Résistance Elle enroulé sur un isolant : noyé dans un bloc de
ciment ou de céramique.
semelle Elle en fente chromée ou en aluminium.
1- définition :
Ce sont les fers à repasser utilisés actuellement, ils utilisent la propriété du courant
électrique caractérisée par l’échauffement des conducteurs (résistance) qu’il traverse. Ces
fers sont équipés d’un dispositif de réglage de température appelé thermostat.
2- principaux constituants :
résistance chauffante :
Les fers électriques contiennent tous une résistance chauffante constituée par un mince
fil d’un alliage spécial (Ferro nickel).
Cette résistance est noyée dans un bloc isolant de ciment ou de céramique.
La chaleur est transmise à une semelle en fente ou en métal léger.
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C.S.F.H.M technologie machine
Thermostat :
Définition :
Un thermostat joue le même rôle qu’un interrupteur, il est toujours branché dans
le circuit d’alimentation d’un organe qu’il est chargé de protéger ou de réguler, il
provoque la coupure de courant lorsque le fer atteint la température pour laquelle il a été
réglé.
Principe de fonctionnement :
L’élément principal d’un thermostat est le bilame, c’est une pièce formée de deux
lames minces et étroites de métaux dilatables.
Cette disposition permet la formation des lames sous l’effet d’une variation de
température.
Deux lamelles métalliques sont en contact avec le courant électrique.
Une des extrémités du bilame est fixe et l’autre est en contact avec une des lamelles,
sous l’effet de la chaleur, le bilame va s’incurver et soulever la lamelle ce qui va
rompre le contact électrique et par la même arrêter le fonctionnement de l’appareil.
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C.S.F.H.M technologie machine
Ce type de fer est alimenté en courant électrique par une grosse prise pénétrant sans effort
dans la mortaise du support.
Pour un travail contenu, deux fers sont nécessaires ; pour que l’opérateur puisse repasser
continuellement.
La lame métallique sur laquelle repose le fer pendant Le chauffage conduit la chaleur à un
thermostat situé dans la partie verticale de l’appareil avec un cadran de réglage à l’arrière.
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Ce réservoir comporte une pompe à air qui permet d’augmenter la pression qui est indiquée
par un manomètre, l’eau est envoyé par un tuyau souple jusqu’au fer, à l’intérieur duquel
est vaporisée par une résistance chauffante.
Un clapet, commandé par une manette qui laisse l’arrivé de l’eau, la vapeur produite
s’échappe par des petits trous de la semelle et vient humidifier le tissu.
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Un réservoir d’eau.
principe de fonctionnement :
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C.S.F.H.M technologie machine
Sur la semelle est fixée une composante électronique qui change de valeur avec la
température.
Dans le boîtier électronique, un autre composant change de valeur(potentiomètre) avec le
quelle on affiche la température désirée.
Ce dernier composant commandant la résistance chauffante du fer, celle-ci ne reçoit pas du courant, donc
le fer ne chauffe pas.
Le système aqualit permet d’alimenter les fers avec de l’eau froide, déminéraliser à
pression constante.
Ces fers sont équipés d’une semelle de chauffage très puissante transformant l’eau en
vapeur sèche et régulière de pression 1.2 bar.
Dans l’atelier ou l’on désire un nombre important de fer a vapeur, on place un appareil de
déminéralisation de base aqualit prés d’une arrivée d’eau brute.
Par un détendeur l’eau déminéralisée sort sous pression constante. A partir de l’appareil de
base, on installe une canalisation en tuyau plastique selon l’implantation désirée dans
l’atelier.
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A chaque place où l’on désire un fer à vapeur, on fixe un poste de raccordement sur la
canalisation pour y brancher un fer.
Il est toujours possible ultérieurement de compléter la canalisation pour ajouter des fers (de
8 à 30 fers et même plus).
Le fer industriel est un fer qui utilise une chaudière pour la formation des vapeurs.
La vapeur est amenée au fer en actionnant sur une électrovanne commandée par un contact
vapeur (micro-switch.)
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ELEMENTS FONCTIONS
Capot Protéger l’intérieur de fer
Poignée isolante Maintenir le fer
Isolation de la chaleur et de l’électricité
Semelle perforée Contact avec le textile
Repasser ; Humidifier ; sécher
Alimentation électrique Chauffer la résistance par l’intermédiaire
du thermostat
Commande électrique (micro contact)
Bouton thermostat Régler la température
thermostat Maintenir la température nécessaire et
désirée
Résistance Chauffer la semelle
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III-1- but :
L’entretien est nécessaire Pour que le matériel reste productif, consomme moins d’énergie
et dure plus longtemps.
Tous les soirs, le thermostat du fer doit être remis à la position zéro « 0 ». Cela ne
signifie pas seulement de tirer le prise de courant pour débrancher le fer mais de remettre le
commutateur du thermostat sur la position zéro « 0 » du disque de sélection de
température.
Si ce ne pas fait ; au bout d’un certain temps, la partie filetée tournante se grippe ou les
contacts du bilame restent collés. Le thermostat est alors à remplacer et il a in risque de
griller la semelle de fer.
La semelle du fer doit être nettoyée (trois fois par semaine au moins) des saletés et de
bourres de tissu qui s’y sont collés. Ne jamais utiliser de produits abrasifs, mais un pain de
paraffines une paille de fer très fine (pain de paraffine et cire). La semelle doit être
nettoyée à chaud et terminée avec un chiffon sec qui enlèvera les dernières traces de
paraffine.
La semelle anti-lustre en téflon doit être nettoyée une fois par semaine à l’eau
savonneuse avec une petite brosse en nylon.
La semelle triple sécurité doit être nettoyée dés qu’elle est salée. Nettoyer le tamis
grillage à l’air comprimé.
Il ne faut jamais faire passer de l’eau adoucie dans une déminéralisation d’eau car il
aurait des réactions contraires et à la sortie d’eau serait nocive pour les fers.
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Nettoyage de la semelle :
-Il peut s’effectuer à l’aide d’un papier abrasif très fin
-Appliquer ensuite une couche de paraffine.
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TABLES DE REPASSAGE
Un grand plateau plat pour traiter tous les articles, il est recouvert d’une garniture
composé par une grille, un molleton et d’une housse.
Une forte aspiration qui a pour rôle de maintenir l’article en position pendant le
repassage et assurer la performance des plis, l’élément principale c’est un
électromoteur a turbine commander par une pédale.
L’aspiration et le soufflage sont commandés par une pédale.
La présence d’une jeannette pivotante chauffante et aspirante.
Chauffage par une résistance électrique chauffante commandé par un thermostat réglable.
Chauffage du plateau et du jeannette indépendamment.
Orientation de l’aspiration dans la table et dans la jeannette.
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LES PRESSES
I- DEFINITION :
On appelle presse tous machines destinées à presser fortement les pièces entre deux
plateaux de forme appropriées.
Le principe de repassage est le même : chaleur, vapeur, pression et temps.
II- DESCRIPTION :
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Le plateau supérieur est fixé à un levier qui pivote sur un axe d’avant en arrière et
inversement.
Le mouvement alternatif est communiqué au levier par un vérin, la tige de celui-ci
s’articule sur un axe monté sur le pied du levier.
Lorsque le levier s’abaisse-t-il entraîne le plateau supérieur contre le plateau inférieur.
Un deuxième vérin placé à la tête de levier exerce une forte pression sur le plateau
supérieur : c’est le pressage.
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LE MANNEQUIN UNIVERSEL
I- Définition :
Le mannequin universel est un appareil de finition muni d’une soufflerie qui défroisse
le vêtement en le vaporisant.
Il convient plus particulièrement pour les vestes, les manteaux, les robes. Sans conduite
à la même qualité de repassage que celle du fer.
Son fonctionnement s’opéré en deux phases :
Vaporisation : injection de vapeur vive dont on contrôle la durée.
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Ventilation : avec soufflerie qui assure le séchage dont on contrôle également la durée.
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LE MATELASSAGE
I- Définition :
Le matelassage est la superposition de plusieurs épaisseurs de tissu sur une table de
longueur variable.
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L’aspiration se fait au travers des perforations des cylindres, l’ensemble est raccordé au
dispositif de turbine utilisée pour le coussin d’air.
III-5- Table a aiguille :
Ce sont des tables spécialement conçues pour matelassage des tissus à motifs, tissus a
carreaux en particulier.
Le matelassage se fait en principe : une longueur d’étoffe, correspondant à la longueur du
placement et coupée aux extrémités sur une rayure trame est étalée sur la table.
La trame du pli-témoin est redressée sur des rangées d’aiguilles situées en bords de table,
afin que l’ensemble du quadrillage soit parfaitement perpendiculaire sur toute la surface du
pli témoin. Un certains nombre d’aiguilles sont placés en surfaces pour fixer les points
critiques
III-6- Table aspirante :
Utilisées pour le matelassage des matières gonflantes et compressibles notamment les
nappes de ouate.
Le matelassage s’effectue à partir d’un chariot ou d’un dérouleur de matière. Lorsque le
matelas est terminé une couverture de polyéthylène recouvre la matière et le placement,
lorsque l’on met en marche le système d’aspiration situé sous la table tout l’air se trouvent
sous la couverture de polyéthylène et entre les couches de la matière est expulsé par les
trous d’aspiration percés sur le plateau de la table.
Chariots manuels
Chariots semi-automatiques
Chariots automatiques
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