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1. But :
Tracer la caractéristique externe U = f(I)
Tracer la caractéristique de réglage i = f(I)
2. Rappels théoriques
La génératrice à excitation shunt est constituée de deux parties :
- Une partie fixe appelée inducteur (stator) constitué d’électro-aimant.
- Une partie mobile appelée induit (rotor) constitué d’un ensemble de conducteur.
NB : On n'utilise pas de source auxiliaire pour alimenter l'inducteur car cette machine est
elle même un générateur de courant continu.
3 Étude à vide
La courbe E = f(i) se trace en excitation indépendante (voir TP n°5 sur la génératrice à excitation
indépendante).
4 Amorçage de la génératrice Shunt :
Parfois, au démarrage, la génératrice ne s'amorce pas car le petit courant induit généré par
l'aimantation rémanente est envoyé en opposition dans l'inducteur, le petit courant induit crée un
flux opposé au champ magnétique rémanent. La génératrice entrainée à une vitesse n proche de ns,
le circuit inducteur ouvert, le flux rémanent produit Er. Le circuit inducteur fermé, deux cas peuvent
se présenter :
Soit Er augmente, la génératrice s’est amorcée
Soit Er diminue, la génératrice ne s’est pas amorcée, dans ce cas, il suffit alors d'inverser
la polarité de l'inducteur pour obtenir l'amorçage ou d’inverser le sens de rotation du moteur
d’entrainement...
NB :
Si Er c’est qu’elle crée i qui produit Φ qui s’ajoute au Φr.
Si Er c’est qu’elle crée i qui produit Φ qui se retranche au Φr.
1
a) Inducteur : u = ri (Rh = 0) équation de la droite des inducteurs(1)
b) Induit : U = E – RIa = E – R(I + i) or à vide I = 0 U = E – Ri
Ri « U U ≈ E ≈ Ev = f(i) (2) caractéristique à vide.
c) L’induit et l’inducteur étant en parallèle U = u
En traçant les courbes (1) et (2), elles recoupent au point Po appelé point de fonctionnement
à vide ayant pour coordonnées, la solution du système d’équation.
U = ri
Po (io, Eo)
U = Ev = f(i)
NOTA :
r = coefficient directeur de la droite des inducteurs. Si r devient r’ = r + Rh, le coefficient
directeur augmente, la droite se déplace vers la gauche et son équation devient U = rc.i.
L’amorçage de la génératrice devient critique.
6- Etude en charge :
La génératrice est entrainée par un moteur synchrone
6.1 Schéma de montage :
Schéma de montage du moteur synchrone :
2
6.2 Caractéristique de réglage : i = f(I)
Elle se trace à n = nN = Cste et U = UN = Cste
6.3 Caractéristique externe : U = f(I)
Elle se trace à n = nN = Cste et i = Cste
6.4 Allures des courbes :
i U
INDE
SHUNT
I I
7 Travail Demandé:
Relever les caractéristiques des machines
Déterminer les calibres des appareils de mesures
Déterminer la valeur du rhéostat qui permet d’obtenir io = 0,6 A comme abscisse du
point de fonctionnement à vide (on utilisera la courbe E = f(i) déjà tracée en
indépendante).
Reprendre le schéma de montage en insérant les appareils nécessaire aux mesures de
l’intensité i, de la tension U et de l’intensité I
Réaliser le montage en charge.
Vérifier l’amorçage de la génératrice.
Relever et tracer la courbe de réglage i = f(I)
Relever et tracer la courbe U = f(I)
Interpréter les résultats obtenus.
3
Comparer cette machine à la génératrice à excitation indépendante et conclure.
8 Tableau de mesures:
Caractéristique externe à n=cste et i = cst
I (A)
U (V)
Caractéristique de réglage à U = cste et n = cst :
I (A)
i (A)
9 Déroulement :
- Régler Rh1 à mi-course (Rh1=2000Ω ou2400 Ω)
- Alimenter le moteur synchrone qui va tourner en asynchrone.
- Fermer K1, le moteur tourne alors en synchrone
- Fermer K2 (alimentation de l’inducteur de la génératrice)
- Vérifier l’amorçage de la génératrice (augmentation de la f.é.m. aux bornes de l’induit), sinon
inverser les bornes de l’inducteur ou le sens de rotation du moteur d’entrainement.
- Régler l’excitation de la génératrice de façon à obtenir une f.é.m. à vide légèrement supérieure à
Un+30V
- Fermer l’interrupteur K3 :
4
TP n°5 GENERATRICE A EXCITATION INDEPENDANTE
1. But
- Etudier à vide, les variations de la force électromotrice E en fonction de l’intensité
d’excitation i à vitesse n constante.
- Etudier les variations de la tension U aux bornes de l’induit en fonction de l’intensité I débité
à vitesse et intensité d’excitation constantes.
- Etudier les caractéristiques des chutes de tensions RI, h et ε.
2. Rappels théoriques
2.1 Présentation
La génératrice est constituée de deux parties :
- Une partie fixe appelée inducteur (stator) constitué d’électro-aimant.
- Une partie mobile appelée induit (rotor) constitué d’un ensemble de conducteur
Symbole de la génératrice Schéma équivalent de l’induit
5
i est de sens tel qu’il s’oppose à l’aimantation i renforce dés le départ l’aimantation
rémanente des pôles rémanente des pôles
2.3 Etude en charge
En charge, on trace la caractéristique externe U= f(I) et les caractéristiques des chutes de tensions
h= f(I), RI= f(I) et ε = f(I) à n et i constants
2.3.1 Etude de la caractéristique externe
n = constante et i = constant
U = E – RI
Si I = 0 → U = E
Si I augmente, U diminue et
inversement
3 Manipulation
3.1 Schéma de montage de la génératrice
6
3.2 Schéma de montage du moteur synchrone
E (V)
i (A) 0 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,75
E (V)
Tableau de mesures
U (V) 220
7
I (A) 10
RI (V)
h (V)
ε (V)
La mesure de la résistance de l’induit, pôles auxiliaires compris, se fait à chaud et à rotor bloqué
par la méthode voltampéremétrique montage aval. Pour plusieurs positions du rotor, on fait varier
la charge puis on relève la tension et le courant. Après avoir calculé les valeurs des résistances pour
ces différents relevés on fait la moyenne pour déterminer la valeur de la résistance
Tableau de relevés
I (A)
U (V)
R (Ω)
8
TP n°4 ETUDE DU MOTEUR A COURANT CONTINU A EXCITATION SHUNT
1.But de la manipulation
Tracer la courbe à vide n=f(i) à U=Un=constante
Tracer les courbes en charges à U=cst et i=cst : n=f(Ia) ; cu=f(Ia) ; n=f(Cu) ; η=f(Pu) ;
Pu=f(Ia).
2.Rappels Théoriques
2 .1 Définition :
Le moteur à courant continu à excitation Shunt est une machine à courant continu qui
transforme l’énergie électrique reçue en énergie mécanique. Cette machine est constituée :
- d’un circuit magnétique, comportant une partie fixe : stator (l’inducteur) et une partie
tournante : rotor (l’induit) séparées par un entrefer.
- d’un collecteur qui, associé aux balais, permet de relier le circuit électrique
rotorique de l’induit à un circuit électrique extérieur à la machine.
2 .2 Principe de fonctionnement :
9
U = E’ + RI
Symbole du moteur Shunt Schéma équivalent de l’induit
2.3 Bilan des Puisssances
Pa : Puissance absorbée ; Pjs : Pertes Joule Inducteur ; Pjr : Pertes Joule Induit ; Pem :
Puissance électromagnétique ; Pu : Puissance utile ; Pertes collectives Pc=Pm+pf ; G = 10 ; P :
masse du poids en Kg ; L : longueur en m ; R : Résistance de l’induit ; Ia : Courant absorbée
par le moteur ; I : Courant circulant dans l’induit ; i : Courant circulant dans l’inducteur
Le moteur shunt absorbe une puissance électrique Pa = U.Ia et fournit une puissance
mécanique utile Pu=Cu.Ω ; Ω=2.π.n ; Cu = G.P.L ; Pu = 2.π.n.G.P.L ; Pa = U.(I+i) ; Pji =
Ui ; Pjr = RI2 ; Pem = E.I ; Pu = Pa – Pertes = (U.I + Ui) – (R.I2 +Ui + Pc) = U.I – R.I2 –Pc
A vide Le moteur n’entraine pas de charge donc Pu = 0 et Cu = 0. Au démarrage E = 0 donc
I = U/R, la résistance étant faible, le courant est très important. Donc on doit insérer des
résistances pour limiter le courant de démarrage, d’où l’utilisation du rhéostat de démarrage
Rhéostat de démarrage
En charge : le moteur entraine une dynamo balance qui débite sur une charge résistive. La
dynamo-balance est un générateur à courant continu tournant qui fournit de l’énergie électrique.
Son étude est faite au TP n° 3.
10
3. Schéma de montage
5.Travail Demandé :
Relever les caractéristiques des machines
à vide, reprendre le schéma en insérant les appareils nécessaires aux mesures de l’intensité
d’excitation i, de l’intensité de l’induit I, et de la tension U
Tableau de relevés :
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Pu=Cu Ω
Ia i Pa Poids Cu η
Essai I U n L avec
U.Ia mg mgL Pu/Pa
Ω= 2πn /60
0 0 0
A vide
En
Charge
Déroulement
Précaution à prendre concernant les moteurs à courant continu : Pour éviter l’emballement du
moteur au démarrage il faut :
Que l’excitation du moteur soit maximal (mettre le rhéostat d’excitation au minimum
de résistance pour que i soit grand)
A Vide :
-Régler l’équilibre du bras de levier (regarder s’il est horizontal)
-Alimenter le moteur
-Agir sur le rhéostat de démarrage jusqu’au dernier plot
-Vérifier si le moteur a tendance à soulever le bras de levier ; sinon inverser le courant dans
l’inducteur afin qu’il puisse tourner dans le bon sens
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TP n°3 : ETUDE DU MOTEUR ASYNCHRONE TRIPHASE A ROTOR BOBINE
1. But de la manipulation
Déterminer :
A vide : g, cosφ, Pv
En charge : g, Ia, cosφ, Cu, η, n’ en fonction de Pa ou Pu
2. Rappel Théoriques
2.1 Définition
Le MAS triphasé est une machine tournante qui fonctionne avec un courant alternatif. Il
transforme l’énergie électrique en énergie mécanique. Il est constitué d’une partie fixe appelée
stator et d’une partie mobile appelée rotor. Le stator est constitué de 3 bobines identiques
décalées les unes des autres de 2π/3. Si le rotor est constitué de barres métalliques court circutés
on dit que le MAS est à rotor en court circuit, si le rotor est constitué de bobines couplés en
étoile on dit que le MAS est à rotor bobiné.
2.2 Principe de Fonctionnement
Lorsqu’on alimente le stator par des courants triphasés décalés de 2π/3, il se crée au niveau de
chaque bobine un champ magnétique B, d’où la présence de 3 champs B1, B2 et B3 identiques
et décalés les uns des autres de 2π/3. Leur résultante BR =3/2Bmax et tourne à une vitesse ns
qu’on appelle vitesse de synchronisme ou vitesse de champs magnétique tournant. Le rotor est
soumis à des champs magnétiques tournant et à son niveau va s’induire des courants rotoriques
qui vont s’opposer à ses champs, mais ne pouvant empêcher la rotation, il va se crée des forces
qui vont l’entrainer en rotation à une vitesse n’<ns, d’où le nom « asynchrone ». On appelle
glissement g le rapport ns-n’/ns.
2.3 Bilan des Puissances
Pa : puissance absorbée ; Pjs : pertes joules statorique ; Pfs : pertes fer statorique ;
Ptr : puissance transmise au rotor, Pjr : pertes joules rotorique ; PM : puissance mécanique ; Pm :
pertes mécanique ; Pu : puissance utile ; Pjs+Pm=Pc : pertes constantes
Le MAS absorbe une puissance active Pa=UI√3cosφ et fournit une puissance utile
Pu=Cu.Ω’ ; Ω’=2πn’ ; Cu=m.G.L avec G=10 ; m : masse du poids en Kg ; L : longueur en m
Pu=Pa-(Pjs+Pfs+Pjr+Pm) ; or Pjs+Pm=Pc→Pu=Pa-(Pjs+Pc+Pjr) →Pa-Pu=Pc+Pjs+Pjr
Pjr=gPtr ; Pjs=3/2RI2 quelque soit le couplage du stator, R= résistance entre deux phases du
stator et I, le courant de ligne
-A vide : le moteur n’entraine aucune charge→Cu=0→Pu=0→Pa0=Pc+Pjs0+Pjr0 or à vide
n’≈ns→g≈0→Pjr≈0→Pa0=Pc+Pjs0→Pc=Pa0-Pjs0
-En Charge : le moteur entraine une dynamo balance qui débite sur une charge résistive.
La dynamo-balance est un générateur tournant qui fournit de l’énergie électrique. Il est constitué
de deux parties : une partie mobile appelée induit et une partie fixe appelée inducteur, qui oscille
entre deux butées. Sur l’inducteur est fixé une règle graduée appelée bras de levier et qui oscille
aussi entre les deux butées. L’induit est entrainé en rotation par le MAS et il est en même temps
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soumis au champ magnétique produit par l’inducteur, il se présente à ses bornes une Force
Électromotrice E.
La DB débite sur une charge résistive et exerce un couple résistant. Le moteur fournit un couple
utile Cu=G.P.L.
Symbole de la DB DB en excitation shunt
3. Schéma de montage
La mesure de la puissance peut se faire soit par la méthode du neutre artificiel avec un seul
wattmètre, soit par la méthode des deux wattmètres. Les résistances de démarrage sont en
série avec les résistances rotoriques afin de diminuer la pointe d’intensité au démarrage.
Tableau des relevés
P Pu η
Essai I U n’ L Poids Cosφ Pc g Cu
K Lect Mes
A vide 0 0 0 0
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En
Charge
Déroulement
A Vide :
-Régler l’équilibre du bras de levier (regarder s’il est horizontal)
-Alimenter le stator du moteur
-Agir sur le rhéostat de démarrage jusqu’au dernier plot
-Relever U, Iav, Pv et n’
En Charge :
-Fermer l’interrupteur K
-Vérifier si la DB s’amorce (vérifier si la tension aux bornes de l’induit augmente ; sinon
inverser les bornes 1 et 4)
-Régler la tension aux bornes de l’induit à 220V
-Vérifier si le moteur a tendance à soulever le bras de levier ; sinon inverser deux des trois
phases afin qu’il puisse tourner dans le bon sens
-Faire varier la charge, régler l’équilibre du bras de levier
-Relever pour différentes valeurs du courant I, les valeurs de P, U, n’ ; L et du Poids en
maintenant la tension de l’induit constante
5. Travail Demandé
A vide : Relever Pv, U, Iav, n’ et calculer cosφ, Pc, g
En charge : Relever n’, Ia, Cu et calculer Pa, Pu, g, cosφ, η
Tracer n’, η, Ia, g en fonction de Pa ou Pu
2.3 Constitution
Le transformateur comporte deux enroulements (primaire et secondaire)
indépendant électriquement et liés par un circuit magnétique.
i1 Φ i2
3. Manipulation u1 e1 e2 u2
3.1 Essai à vide
3.1.1-Schéma de montage
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3.1.2-Allures des courbes
P10 U20
I10
U10
17
3.2.2-Allures des courbes
P1cc U1cc
I2cc
I2cc
3.2.3-Travail demandé
3.3.1-Schéma de montage
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3.3.2-Allures des courbes
η U2 cosφ av
I2
I2
3.3.3-Travail demandé
Faites varier la charge résistive (cos φ2=1), I2 variant de 0 à 5/4 de I2N, relever
P1, I1, P2 ; U2
Calculer le rendement et cos φ1
Tracer les courbes η=f(I2) et U2=f(I2) à cos φ2=1
Conclure
I- But de la manipulation
Mesurer les puissances active, réactive et apparente d’un ensemble de récepteurs
équilibrés ou déséquilibrés, alimentés par un système de tensions triphasées.
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1 ; 2 ; 3 : Trois (3) Phases
N: Le Neutre
- Tensions entre phases ou tensions composées
U12 = U23 = U31 = U
- Tension simple
V1N = V2N = V3N = V
U = V√ 3
• Equilibrés : Z1 = Z2 = Z3 ⇒ I1 = I2 = I3 ⇒ IN = 0
• Déséquilibrés: Z1 ≠ Z2 ≠ Z3 ⇒ I1 ≠ I2 ≠ I3 ⇒ IN ≠ 0
2.3 Méthode des deux wattmètres monophasés
Elle permet la mesure des puissances active et réactive. Le montage correspondant à la méthode
est le suivant :
V1
U31
(1) W1
i1 i3 ϕ i1
V ϕ U12
(2) W2 ϕ
i2 V V 3
i2 V2
(3) i3 Charge
V
Figure
• La bobine courant du 1er wattmètre est branchée sur la ligne (1) elle est donc traversée par
le courant I1. La bobine tension du même wattmètre est branchée entre les lignes (1) et (3),
elle mesure donc la tension U13=V1-V3. L’indication du 1er wattmètre est donc :
π 3 1
W1 = ( U13 I1 ) moy = U I cos(ϕ − ) = U I ( cos ϕ + sin ϕ)
6 2 2
• La bobine courant du 2eme wattmètre est branchée sur la ligne (2) elle est donc traversée
par le courant I2. La bobine tension du même wattmètre est branchée entre les lignes (2) et
(3), elle mesure donc la tension U23=V2-V3. L’indication du 2eme wattmètre est donc :
π 3 1
W2 = ( U 23 I 2 ) moy = U I cos(ϕ + ) = U I ( cos ϕ − sin ϕ)
6 2 2
0n montre que la puissance active est la somme des indications des deux wattmètres:
P = W1 + W2 = 3 U I cos ϕ
20
Q = 3 (W1 − W2 )
(1) W
i1
(2) V
i2
(3) V
i3 Charge
V
La bobine courant du wattmètre est traversé par le courant i1 et la bobine tension est branché
entre les lignes (2) et (3) elle mesure donc la tension U23=V2 -V3
π
L’indication du wattmètre est : W = (U 23 I1 ) moy = U I cos(ϕ − ) = U I sin ϕ = Q / 3
2
donc la puissance réactive mesurée est : Q = 3 W
Remarque : Les résultats de ces méthodes sont valables pour les récepteurs couplés en étoile
ou en triangle
III- Manipulation
Réaliser les différents schémas. Effectuer les mesures et interpréter les résultats obtenus.
3.1 – En équilibré
1 A W
1
Z Z
2 W Z
2
21
1 A W Z
1
2 W Z
2
3 Z
1 A W Z
1
2 W Z
2
V
3 Z
N A
1 A W Z
1
2 Z
3 Z
N A
- Effectuer les mêmes mesures que précédemment. Comparer les deux (2) montages
22
3.2 – En déséquilibre
1 A W
1
Z1 Z3
2 A W Z2
2
3 A
1 A W Z1
1
2 A W Z2
2
3 A Z3
23
3.2.3 – Réseau quatre (4) fils ; couplage étoile (Y)
1 A W Z1
1
A W Z2
2 2
3 A W Z3
3
V
N A
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MESURE DE PUISSANCE PAR LA METHODE DES DEUX WATTMETRES
Schéma de montage
2 RECEPTEUR
V
3
A
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