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Ndultraphosphate laser

H.P. Weber, T.C. Damen, H.G. Danielmeyer, and B.C. Tofield

Citation:AppliedPhysicsLetters22,534(1973);doi:10.1063/1
.1654498 View online:
http://dx.doi.org/10.1063/1.1654498

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Laser Nd-ultraphosphate

H.P. Weber et T.C. Dame

Laboratoires téléphoniques Bell, Holmdel, New Jersey 07733

H.G. Danielmeyer

Max Planck Institut für Festkörperphysik, 7 Stuttgart, Allemagne de l'Ouest

AVANT JC. Tofield

Bell Telephone Laboratories, Holmdel, New Jersey 07733 (reçu le 13 février 1973)

L'action laser à λ = 1,051 um avec une bande passante de 1,4 nm est rapportée dans une plaquette de 35 um d'épaisseur d'un cristal de
néodyme-ultraphosphate (NdUP) placée dans un résonateur optique. Pompage longitudinal avec un laser rhodamine 6G pulsé Q=0. 58 µm), le
seuil de température ambiante était de 40 µJ et la pente d'efficacité quantique était d'environ 18 %. Également dans du verre de même
composition chimique, une action laser a été observée.

Le Nd+ ion a été utilisé comme espèce active pour l’émission stimulée dans un certain nombre de matériaux hôtes : cristaux ainsi que verre et
liquides inorganiques. Dans tous ces hôtes, la concentration pondérale de Nd est limitée à la plage de 1 à 2 % ; des concentrations plus élevées
conduisent à un raccourcissement de la durée de vie de la fluorescence, à une extinction de la fluorescence et à un élargissement de la largeur
de raie. Récemment, un nouveau matériau cristallin, le Nd-ultraphosphate (NdUP), de composition NdP,O₁4, a été suggéré comme matériau
laser. 5.5 Contrairement aux matériaux mentionnés ci-dessus, le NdUP contient l'ion Nd³+ comme partie essentielle de la cellule élémentaire.
Malgré un Nd³ ~30 fois plus élevé. Les spectres de concentration, d'absorption et d'émission semblent similaires, bien que les largeurs de raie
des transitions individuelles soient un peu plus larges pour NdUP que pour YAG dopé à 1 % : Nd³. La durée de vie de la fluorescence est de 66
usec, contre 230 μsec pour YAG : Nd³.

Nous rapportons ici l’observation d’émission stimulée dans NdUP. Le dispositif expérimental est illustré à la figure 1. Un laser à colorant
accordable pompé par une lampe flash (rhodamine 6G dans du méthanol) avec un agencement de résonateur similaire à celui rapporté ailleurs
a servi de pompe. Le laser à colorant contenait deux miroirs M (rayon de courbure p = 3 m, transmission T = 25 %), M₂ (p = 3 m, T = 15 %), un
télescope à expansion de faisceau (10x) et un ing. Les impulsions du laser à colorant avaient une durée de 0,5 seconde et une bande passante
spectrale de 0,05 nm. L'émission contenait plusieurs modes d'ordre transversal et avait une puissance crête de 400 W, ce qui corr espond à une
énergie de 200 µJ/impulsion. Le cristal NdUP avait la forme d'une plaquette d'environ 35 µm d'épaisseur, qui absorbait 65 % de la lumière de la
pompe et ne montrait aucun signe de dommage jusqu'à 10" W/cm², la densité de puissance la plus élevée que nous puissions atteindre. Les
surfaces traversées par Le faisceau laser était aussi naturel et n'avait pas été poli. Le cristal a été placé au centre d'un résonateur presque
concentrique constitué de miroirs M et M (p = 3,75 cm, T = 1,5% à 1,05 um et T -60% à 0,58 nm) séparés de 7,35 ± 0,05 cm. Pour le mode
fondamental du laser NdUP, le rayon de taille calculé au niveau du cristal est compris entre 38 et 46 um. La lentille L (f = 3,25 cm) a focalisé la
pompe lumière sur une zone légèrement plus grande que cette taille de spot. La sortie du laser NdUP est entrée dans un spectromètre à double
réseau après que la lumière de la pompe ait été bloquée avec un Schott RG695 transmettant l'infrarouge. filtre. La pompe et le signal de sortie
ont été détectés avec une photodiode et un photomultiplicateur, respectivement. L'énergie seuil pour l'action du laser était de 40 J.1.J de
pompe lumière frappant le cristal laser. Sur la figure 2, l'énergie de sortie par impulsion de l'émission laser NdUP est tracé en fonction de
l'incident d'entrée de la pompe sur le résonateur NdUP. La relation linéaire entre entrée et sortie démontre que nous étions dans la plage de
saturation du laser. Avec le spectromètre réglé pour accepter une bande passante de 10 nm, le signal reçu au-dessus du seuil était plus de 105
fois plus grand que celui en dessous seuil. Prise en compte des réflexions de pompe (40%), absorption cristalline (65%), et le fait que nous avons
sorties égales à travers les deux miroirs, nous calculons un efficacité quantique de pente de 18%. A titre de comparaison, nous a également
placé une dalle Y AG:Nd dopée à 1% de 6 mm d'épaisseur dans le même résonateur. Ici, la lumière de la pompe était complètement absorbée.
Le seuil était de 4 J.1.J de lumière de pompe empiétant sur le cristal YAG: Nd. Par conséquent, à pour atteindre le seuil, 6,5 fois plus d’énergie a
dû être absorbée dans le NdUP que dans le YAG:Nd. Le seuil car l'action du laser est proportionnelle à l'action spontanée bande passante
d'émission et, par conséquent, est plus élevée pour NdUP que pour YAG:Nd. Le rapport des bandes passantes est diffi cile à évaluer car
plusieurs lignes se chevauchent au niveau de la pièce. température. Nous estimons le rapport à - 3. La différence dans les temps de relaxation
n'a pas d'importance pour le
FIGUE. 1. Arrangement expérimental. Une lampe flash pompée laser rhodamine 6G, composé d'une
cellule à colorant, miroirs MI et M2, un télescope à expansion de faisceau et un réseau pompe un NdUP
laser. La sortie du laser NdUP. constitué d'un cristal de 35 µm d'épaisseur et de miroirs M3 et M4, passe
un filtre de transmission infrarouge IR et entre dans un spectromètre à double réseau. Et est détecté par
un photomultiplicateur.

FIGUE. 2. Énergie de sortie du laser NdUP mesurée derrière miroir M4 par rapport à l'énergie d'entrée
mesurée avant la pompe la lumière pénètre dans le résonateur laser NdUP. impulsions de pompe
courtes utilisées dans la présente expérience. Cependant, l'effet étalon des plaquettes (mode 10 nm
espacement) et les différences de qualité optique entre les surfaces NdUP non polies et le YAG:Nd poli
les surfaces peuvent expliquer le facteur restant de 2,2.

La figure 3 (a) montre la température spontanée de la pièce spectre de fluorescence du NdUP et, avec
un échelle d'intensité, le spectre de l'émission laser. L'émission laser NdUP n'est pas polarisée, tout
comme le fluorescence spontanée. 5 La figure 3(b) montre le spectre d'émission élargi. La courbe A a été
observée pour pompage 1,2 fois le seuil. Dans la courbe B, qui correspond à un pompage 2,5 fois le
seuil, une deuxième ligne apparaît. Cette deuxième ligne ne peut pas être expliquée par le séparation de
modes du résonateur ou effet étalon de la plaquette. D'après le spectre complet analyse7 du NdUP, la
raie laser principale correspond au passage du niveau inférieur 4F3/2 au niveau le plus bas 4[niveau
11/2 et le compagnon de longueur d'onde plus courte correspond au passage du niveau supérieur 4F3/2
au quatrième niveau 4[11/2. A température ambiante, ces les transitions ne sont séparées que de 0,7
nm ; je. e., ils se chevauchent presque complètement. En plus des cristaux NdUP, nous avons étudié un
verre de la même composition chimique. Le verre a été préparé en faisant fondre une poudre cristalline
de NdUP dans un récipient scellé. Tube de platine dans un four RF. L'échantillon a été chauffé à 1260 'C
pendant 5 min et refroidi rapidement en éteignant le pouvoir. Les dalles de verre polies dans la
disposition décrite ont montré une action laser avec un seuil de seuil 5 fois plus élevé que pour les
cristaux NdUP et avec une bande passante de 5 nm.

En conclusion, nous avons démontré une émission stimulée dans une plaquette de NdUP de - 35 µL
d'épaisseur placée au centre d'un résonateur optique. En raison de la largeur de ligne plus large, des
effets d'étalon et de la qualité de surface réduite, le seuil a été atteint avec environ 6,5 fois plus pomper
l’énergie pour NdUP que pour YAG:Nd. Cependant, une quantité donnée de lumière de pompe peut être
absorbée par un NdUP plaque seulement ~ de l'épaisseur d'une plaque à 1% YAG:Nd. Si l'on considère
un pompage transversal, cette absorption plus élevée apporte un avantage. Nous attendons pour le
présent qualité des cristaux un seuil environ 5 fois inférieur pour NdUP que pour 1% Y AG:Nd en
fonctionnement pulsé. Nous pensons donc que le NdUP est un matériau prometteur pour les lasers Nd
miniaturisés, d'autant plus que NdUP offre, comme YAG:Nd, la possibilité d'être pompé par des lasers
GaAs ou des diodes luminescentes dans le 0,8 ou Bandes d'absorption O. 9 nm. Les auteurs remercient
le professeur W. Eisenmenger pour son l'hospitalité à l'un d'eux (H. G. D.) pendant une année au
Université de Stuttgart, où les cristaux NdUP ont été utilisés dans ce travail ont grandi. Ils tiennent
également à remercier J. G. Bergman, Jr. pour plusieurs discussions utiles.
FIGUE. 3. Spectre d'émission du NdUP. (a) Le spontané spectre de fluorescence à température ambiante
et émission Le spectre du laser NdUP est donné. Les échelles d’intensités sont arbitraires et différentes.
(b) Spectre d'émission laser à une échelle élargie. Courbe A pour pomper environ 1. 2 fois et Courbe B
pour un pompage environ 2,5 fois au-dessus du seuil.

1L.F. Johnson et K. Nassau, Proc. IRE 49,1704 (1961).

2J. E. Geusic, H. M. Marcos et L. G. Van Uitert, Appl. Phys. Lett. 4, 182 (1964).

3E. Snitzer, Phys. Le révérend Lett. 7, 444 (1961).

4A. Lempicki et A. Heller, Appl. Phys. Lett. 9, 108 (1966).

5H. G. Danielmeyer et H. P. Weber, IEEE J. Quantum Electron. QE-8, 805 (1972). Appl. Phys. Lett., Vol.
22, n° 10, 15 mai 1973

5aLe nom ultraphosphate suit la terminologie de J. R. Van Wazer [Le phosphore et ses composés
(Interscience, New York, 1958), Vol. Moi, p. 420). Une UICPA alternative le nom est pentaphosphate de
néodyme. 536

6J. E. Bjorkholm, TC Damen et J. Shah, Opt. Commun. 4, 283 (1971).

7M. Blatte, H.G. Danielmeyer et H.P. Weber (non publié)

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