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性别歧视
xìngbié qíshì
B. Compréhension orale
1. 为了有一个儿子,我妈生了六个姐姐以后,才生了我。
1. Wèile yǒu yígè érzi, wǒ mā shēng le liù gè jiějie yǐhòu, cái shēng le wǒ.
2. Wǒ dìdi yì chūshēng, jiù shì jiā lǐ de xīwàng. Wǒ bàmā zǒngshì duì wǒ dìdi shuō : "Nǐ zhǐ xuéxí,
zài jiā shénme dōu bú yòng zuò. Nǐ jiějie shì nǚháir, ràng tā xǐ yīfu, zuò fàn, dǎsǎo fángjiān."
3. Jiā lǐ yǒu hàochī de yídìng shì wǒ xiān chī. Yǒu hǎo dōngxi yě shì wǒ xiān tiāo, ránhòu cái gěi wǒ
mèimei.
4. Guò nián de shíhou, wǒ yéye nǎinai zhǐ gěi wǒ gēge yāsuìqián. Wǒ hé jiějie méi yǒu.
5. Wǒ bàmā shuō jiā lǐ de qián shì liú gěi wǒ shàng dàxué, mǎi fángzi yòng de, bù gěi jiějie, yīnwèi
jiějie jié le hūn jiù shì wàirén le.
6. Wǒ yéye shuō rúguǒ wǒ shì nánháir, tā yídìng huì fēicháng xǐhuan wǒ. Kěshì, wǒ shì nǚháir……
1. Pour avoir un fils, ma mère a donné naissance à six sœurs et ne m’a eu qu’après.
2. Mon petit-frère a été l’espoir de la famille dès sa naissance. Mes parents lui disent constamment :
« Tu n’as besoin que d’étudier ne t’occupe de rien à la maison. Ta sœur est une fille, laisse-la laver
les vêtements, cuisiner et nettoyer la chambre ».
3. A la maison, les bons aliments, c’est forcément moi qui les mange en premier. Lorsqu’il y a des
choses bien, c’est moi également qui choisis d’abord les meilleures, ce n’est qu’ensuite que je laisse
le reste à ma petite sœur.
4. Pendant le Nouvel An Chinois, mes grands-parents ne donnent des étrennes qu’à mon grand-
frère. Ma grande-sœur et moi n’en avons pas.
5. Mes parents disent que l’argent de la famille est réservé pour mes études à l’université et pour
m’acheter une maison, mais pas pour ma grande-sœur, car elle ne sera plus de la famille une fois
mariée.
6. Mon grand-père a dit que si j’avais été un garçon, il m'aimerait certainement beaucoup. Mais, je
suis une fille ...
a. Les parents ou grands-parents aiment les garçons mais n’aiment pas les filles.
b. Certaines personnes pensent que les filles sont moins importantes que les garçons.
c. « Zhòngnán-qīngnǚ » désigne l’inégalité entre les hommes et les femmes.
d. En Chine, une fois mariées, les femmes ne peuvent pas aller à l'université ni acheter une
maison.
e. En Chine, les garçons n’ont pas besoin de travailler, les filles doivent travailler.
f. Il y a moins de garçons que de filles en Chine.
D. Expression orale :
Voici un exemple de ce que vous pouviez dire, ainsi que la transcription en pinyin et la traduction :
这幅图说的问题是重男轻女。我先介绍一下这幅图,说说什么是重男轻女。
我再说一下法国有没有重男轻女的问题和我的看法。
图上有一个天平。天平左边有一个女人,右边有一个男人。男人比女人重。
那个男人看起来很高兴,但是那个女人不开心,因为她没有男人重要。这就是
重男轻女。
CNED TERMINALE CHINOIS 3
很多中国家庭有这个问题。这些家庭的父母和祖父母喜欢男孩儿,不喜欢
女孩儿。他们觉得女孩儿没有男孩儿重要。对他们来说,女儿长大以后,要跟
别人结婚,是丈夫家的人,是外人。
我觉得在法国有喜欢儿子的父母,也有很多喜欢女儿的父母。但是在法国
也有重男轻女的问题。比如说,虽然男人和女人做一样的工作,但是男人的工
资(gōngzī = salaire)常常比女人的高。我的看法是男人和女人应该平等。
Zhè fú tú shuō de wèntí shì zhòngnán-qīngnǚ. Wǒ xiān jièshào yíxià zhè fú tú, shuōshuo
shénme shì zhòngnán-qīngnǚ. Wǒ zài shuō yíxià Fǎguó yǒu méi yǒu zhòngnán-qīngnǚ de wèntí hé
wǒde kànfǎ.
Tú shàng yǒu yígè tiānpíng. Tiānpíng zuǒbiān yǒu yígè nǚrén, yòubiān yǒu yígè nánrén.
Nánrén bǐ nǚrén zhòng. Nà gè nánrén kàn qǐlái hěn gāoxìng, dànshì nà gè nǚrén bù kāixīn, yīnwèi
tā méi yǒu nánrén zhòngyào. Zhè jiù shì zhòngnán qīngnǚ.
Hěn duō zhōngguó jiātíng yǒu zhè ge wèntí. Zhè xiē jiātíng de fùmǔ hé zǔfùmǔ xǐhuan nánháir,
bù xǐhuan nǚháir. Tāmen juéde nǚháir méi yǒu nánháir zhòngyào. Duì tāmen lái shuō, nǚ'ér zhǎng
dà yǐhòu, yào gēn bié rén jiéhūn, shì zhàngfū jiā de rén, shì wàirén.
Wǒ juédé zài Fǎguó yǒu xǐhuan érzi de fùmǔ, yě yǒu hěn duō xǐhuan nǚ'ér de fùmǔ. Dànshì
zài Fǎguó yě yǒu zhòngnán-qīngnǚ de wèntí. Bǐrú shuō, suīrán nánrén hé nǚrén zuò yíyàng de
gōngzuò, dànshì nánrén de gōngzī chángchang bǐ nǚrén de gāo. Wǒ de kànfǎ shì nánrén hé nǚrén
yīnggāi píngděng.
Le problème pointé au travers de cette image est celui de la prééminence de l’homme sur la
femme. Je présenterai d’abord cette image et expliquerai ce que désigne « zhongnan-qingnü ».
Ensuite, je dirai si ce problème existe en France et donnerai mon opinion.
Sur cette image se trouve une balance. À gauche sur la balance, il y a une femme et à droite,
un homme. L’homme est plus lourd que la femme. L'homme a l'air content. Mais la femme n’est pas
heureuse, parce qu'elle est moins importante que l’homme. C’est le problème de « zhongnan-
qingnü » (qui signifie « la considération pour les hommes, la mépris pour les femmes. »)
De nombreuses familles chinoises connaissent ce problème. Dans ces familles, parents et
grands-parents aiment les garçons, mais n’aiment pas les filles. Ils considèrent que les filles sont
moins importantes que les garçons. Pour eux, une fois adulte, les filles se marient avec quelqu’un
d’autre. Elles feront partie de la famille de leur époux et ne seront plus des leurs.
Je pense qu’en France, il y a des parents qui aiment les fils et aussi beaucoup de parents qui
aiment les filles. Mais en France le problème de la prééminence de l’homme sur la femme est
présent. Par exemple, bien qu’hommes et femmes fassent un même travail, le salaire des hommes
est souvent plus élevé que celui des femmes. Mon opinion est que les hommes et les femmes
doivent être égaux.
E. Caractères :