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Sommaire
I. Introduction
V. Dépenses publiques
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Analyse des politiques fiscales existantes
Les effets de l'imposition sur l'économie et la société
Les possibilités de réforme fiscale
Cas pratique :
IX. Conclusion
Introduction :
La finance publique est un domaine crucial pour le fonctionnement des États modernes. Elle
permet aux gouvernements de financer les services publics, de réguler l'économie, de
distribuer les ressources et de garantir la stabilité financière. Dans un contexte de
mondialisation économique, de pressions budgétaires croissantes et d'exigences accrues en
matière de transparence et de responsabilité, la finance publique représente un enjeu majeur
pour les décideurs politiques, les acteurs économiques et la société dans son ensemble.
Le présent projet vise à analyser les principales dimensions de la finance publique, en mettant
l'accent sur les sources de financement de l'État, les dépenses publiques, la gestion de la dette
publique, les politiques fiscales et la responsabilité financière. Nous chercherons à
comprendre les enjeux et les défis liés à chaque dimension, en tenant compte du contexte
économique et financier dans lequel évoluent les États.
Dans cette perspective, nous mobiliserons des concepts et des théories économiques pour
éclairer notre analyse. Nous mettrons également l'accent sur les exemples concrets de pays ou
de régions, afin d'illustrer les différentes situations et les solutions possibles. Enfin, nous
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proposerons des recommandations pour l'avenir, en vue de contribuer à une meilleure
compréhension et à une amélioration de la finance publique
Le contexte du projet de matière de finance publique est marqué par plusieurs facteurs qui
justifient son importance. Tout d'abord, les finances publiques sont un sujet clé pour les
gouvernements qui doivent trouver des moyens de financer les services publics, les
infrastructures, les politiques sociales et économiques, tout en maintenant la stabilité
financière et en évitant les crises économiques. Ensuite, la mondialisation économique a accru
la concurrence entre les États pour attirer les investissements et les capitaux, ce qui nécessite
des politiques fiscales et des réglementations financières efficaces. De plus, la pression
croissante des citoyens et des organisations pour une plus grande transparence et une
meilleure responsabilité financière rendent la finance publique plus critique que jamais.
Dans ce contexte, le projet de matière de finance publique vise à fournir une analyse
approfondie des principales dimensions de la finance publique, ainsi que des exemples
concrets et des recommandations pour améliorer la gestion des finances publiques. Les
objectifs du projet sont de permettre aux étudiants et aux professionnels de mieux comprendre
les enjeux et les défis de la finance publique, de développer leur capacité à analyser les
politiques fiscales et budgétaires, ainsi que de contribuer à une réflexion critique sur les choix
économiques et sociaux de la société
Enjeux
Les enjeux du projet sont multiples. Tout d'abord, il s'agit de permettre aux étudiants de
comprendre les enjeux économiques et financiers de la finance publique, afin de mieux
préparer leur avenir professionnel. Ensuite, il s'agit de contribuer à une meilleure
compréhension des choix économiques et sociaux de la société, en examinant les politiques
fiscales et budgétaires et leurs conséquences sur les inégalités, la croissance économique et la
stabilité financière. Enfin, le projet vise à fournir des outils pour améliorer la gestion des
finances publiques, en mettant l'accent sur la transparence, la responsabilité et l'efficacité des
politiques fiscales et budgétaires
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II. Cadre théorique et conceptuel
1. Finances publiques : il s'agit de l'ensemble des activités financières liées à l'État, aux
collectivités territoriales et à d'autres organismes publics. Les finances publiques sont
étroitement liées aux politiques fiscales, budgétaires et monétaires qui déterminent la façon
dont les gouvernements collectent et dépensent l'argent pour financer les services publics et
réguler l'économie.
2. Politique fiscale : c'est l'ensemble des mesures fiscales prises par le gouvernement pour
collecter des recettes fiscales auprès des citoyens et des entreprises. La politique fiscale peut
inclure des impôts sur le revenu, la TVA, les droits de douane, les taxes foncières et d'autres
impôts.
3. Budget public : c'est un document qui établit les prévisions de recettes et de dépenses de
l'État pour une année donnée. Le budget public est une composante clé de la politique
budgétaire et permet de planifier les investissements, les dépenses de fonctionnement et les
paiements de la dette publique.
4. Dette publique : c'est l'ensemble des dettes contractées par l'État pour financer ses
déficits budgétaires et ses investissements. La dette publique peut être interne ou externe, à
court ou à long terme, et peut avoir des conséquences sur la croissance économique, les taux
d'intérêt et la solvabilité de l'État.
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6. Responsabilité financière : c'est la capacité des gouvernements à gérer efficacement les
finances publiques, en veillant à ce que les dépenses soient justifiées, que les recettes soient
suffisantes pour financer les dépenses et que la dette publique reste soutenable à long terme
Ces définitions et concepts clés sont fondamentaux pour comprendre les enjeux de la finance
publique et les choix économiques et politiques qui sont faits par les gouvernements.
Il existe plusieurs théories économiques liées à la finance publique, voici les principales :
1. Théorie de l'efficacité des marchés : cette théorie affirme que les marchés sont efficaces
et que les prix reflètent toutes les informations disponibles. Elle suggère que le gouvernement
devrait se concentrer sur les politiques qui encouragent la libre concurrence et les
investissements privés plutôt que d'intervenir directement dans l'économie.
2. Théorie keynésienne : cette théorie affirme que les gouvernements devraient intervenir
dans l'économie en utilisant des politiques fiscales et monétaires pour stimuler l'activité
économique pendant les périodes de ralentissement économique. Elle suggère également que
le gouvernement peut aider à stabiliser l'économie en régulant les dépenses et en maintenant
un niveau élevé d'emploi.
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gouvernement devrait utiliser des systèmes fiscaux progressifs pour réduire les inégalités
économiques.
5. Théorie de la dette publique : cette théorie suggère que la dette publique peut être
bénéfique pour l'économie si elle est utilisée pour financer des investissements productifs à
long terme. Elle soutient également que la dette publique peut être un fardeau pour l'économie
si elle est utilisée pour financer des dépenses courantes et si elle devient insoutenable
Ces théories économiques fournissent des cadres conceptuels pour comprendre les choix
politiques et les enjeux liés à la finance publique. Ils peuvent également aider les
gouvernements à élaborer des politiques fiscales et budgétaires efficaces et à évaluer les
impacts économiques et sociaux de ces politiques
La situation économique et financière du Maroc est influencée par des facteurs tels que sa
situation géographique, sa politique économique, la performance de son
secteur agricole, la demande intérieure et extérieure, ainsi que les fluctuations des prix des
matières premières.
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également en développement, avec une augmentation de la production automobile,
aéronautique et textile ces dernières années.
Sur le plan financier, le Maroc dispose d'un système bancaire relativement stable et bien
réglementé, avec des banques locales et internationales présentes dans le pays. Le pays a
également développé des marchés financiers, notamment le marché boursier de Casablanca.
Cependant, le Maroc continue de faire face à des défis en matière de chômage, d'inégalités
sociales et régionales, ainsi que de faibles niveaux de compétitivité et de productivité
Le Maroc est confronté à des défis et des opportunités spécifiques en matière de finance
publique. Voici quelques exemples :
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investissements dans des projets verts et durables, ainsi que pour promouvoir des politiques et
des réglementations qui favorisent la transition énergétique.
5. Gestion des finances publiques : Le Maroc a récemment entrepris des réformes pour
améliorer la gestion des finances publiques, notamment en renforçant la transparence et la
responsabilité. Les gouvernements doivent veiller à ce que leur système fiscal et budgétaire
soit bien structuré, transparent et équitable, et à ce que les dépenses publiques soient utilisées
de manière efficace et efficiente.
En somme, pour le Maroc, la finance publique peut être un outil essentiel pour stimuler la
croissance économique, réduire les inégalités et promouvoir un développement durable.
Cependant, cela nécessite une gestion responsable et efficace des finances publiques pour
surmonter les défis tels que l'endettement et les déficits budgétaire
Les impôts sont une source de financement importante pour les gouvernements à travers le
monde.
Voici quelques avantages et inconvénients de cette source de financement :
Avantages :
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1. Prévisible : Les impôts sont une source de financement relativement prévisible pour les
gouvernements, car ils sont généralement prélevés à un taux fixe sur une base régulière.
2. Large assiette fiscale : Les impôts peuvent être prélevés sur une large assiette fiscale, ce
qui signifie que toutes les personnes et les entreprises peuvent être soumises à l'impôt, quelle
que soit leur taille.
3. Contribution à la redistribution : Les impôts peuvent être utilisés pour redistribuer les
richesses en faveur des populations les plus pauvres et les plus vulnérables, en finançant des
programmes sociaux tels que les soins de santé, l'éducation et l'aide sociale.
Inconvénients :
1. Résistance fiscale : Certains contribuables peuvent être réticents à payer des impôts, en
particulier si les taux d'imposition sont élevés ou s'ils ne voient pas les avantages directs des
impôts qu'ils paient.
2. Inégalités fiscales : Les taux d'imposition peuvent être inégaux, ce qui signifie que les
personnes ayant des revenus plus élevés peuvent être soumises à des taux d'imposition plus
élevés que les personnes ayant des revenus plus faibles.
3. Fraude fiscale : Certains contribuables peuvent chercher à éviter ou à frauder les impôts,
ce qui peut réduire la quantité d'argent collectée par le gouvernement.
En résumé, bien que les impôts soient une source de financement importante pour les
gouvernements, ils peuvent également présenter des inconvénients tels que la résistance
fiscale, les inégalités fiscales et la fraude fiscale. Il est donc important que les gouvernements
utilisent des politiques fiscales efficaces pour minimiser ces inconvénients et assurer une
collecte équitable et efficace des impôts.
Avantages :
1. Accès aux fonds importants : Les gouvernements peuvent accéder à des montants
importants de fonds en empruntant sur les marchés nationaux et internationaux. Cela leur
permet de financer des projets coûteux ou de combler les déficits budgétaires.
2. Souplesse de remboursement : Les emprunts peuvent être remboursés sur une période
de temps plus longue, ce qui permet aux gouvernements de disposer de plus de temps pour
rembourser la dette et minimiser l'impact sur leur budget.
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Les emprunts permettent aux gouvernements de diversifier leurs sources de financement, ce
qui peut réduire les risques liés à la dépendance à une seule source de financement.
Inconvénients :
1. Intérêts élevés : Les emprunts peuvent entraîner des coûts élevés en raison des intérêts
sur la dette, ce qui peut augmenter les dépenses publiques à long terme.
3. Risques de change : Les emprunts en devises étrangères peuvent entraîner des risques de
change pour les gouvernements, ce qui peut augmenter le coût de la dette en cas de
dépréciation de la monnaie locale.
En résumé, les emprunts sont une source importante de financement pour les gouvernements,
mais ils peuvent également présenter des inconvénients tels que des coûts d'intérêt élevés, un
endettement excessif et des risques de change. Les gouvernements doivent donc être prudents
lorsqu'ils empruntent pour minimiser ces risques et assurer une gestion efficace de leur dette.
Les aides et subventions sont des formes de soutien financier direct accordées par les
gouvernements aux entreprises, aux particuliers ou à d'autres organisations. Voici quelques
avantages et inconvénients de cette source de financement :
Avantages :
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3. Réduire les coûts pour les bénéficiaires : Les aides et subventions peuvent aider à
réduire les coûts pour les bénéficiaires, ce qui peut leur permettre de maintenir ou d'améliorer
leur niveau de vie.
Inconvénients :
1. Coûts budgétaires élevés : Les aides et subventions peuvent avoir des coûts budgétaires
élevés pour les gouvernements, qui doivent trouver des sources de financement pour les
financer.
2. Risques d'inefficacité : Les aides et subventions peuvent être inefficaces si elles sont
mal conçues ou mal ciblées, ce qui peut entraîner des gaspillages et des inefficacités dans
l'utilisation des fonds publics.
3. Risques de distorsion du marché : Les aides et subventions peuvent entraîner une
distorsion du marché en favorisant certaines entreprises ou industries par rapport à d'autres, ce
qui peut nuire à la concurrence et affecter négativement l'efficacité économique.
En résumé, les aides et subventions peuvent être une source importante de financement pour
les entreprises et les particuliers, mais elles peuvent également présenter des inconvénients
tels que des coûts budgétaires élevés, des risques d'inefficacité et des risques de distorsion du
marché. Les gouvernements doivent donc être prudents lorsqu'ils accordent des aides et
subventions pour minimiser ces risques et assurer une gestion efficace de leurs fonds publics
4. Ventes d'actifs publics : Le gouvernement marocain peut également générer des revenus
en vendant des actifs publics tels que des entreprises publiques et des terres.
La vente d'actifs publics est une source de financement qui consiste pour l'Etat à vendre des
actifs qu'il possède à des investisseurs privés ou à des entreprises. Voici quelques avantages et
inconvénients de cette source de financement :
Avantages :
1. Ressources financières immédiates : La vente d'actifs publics peut générer des recettes
importantes pour le gouvernement, ce qui peut aider à financer des projets immédiats ou à
réduire les déficits budgétaires.
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2. Redirection des fonds : La vente d'actifs publics peut permettre au gouvernement de se
concentrer sur ses priorités stratégiques, en redirigeant les fonds de la vente vers des projets et
des initiatives considérés comme plus importants.
3. Réduction de la dette publique : La vente d'actifs publics peut également aider à réduire
la dette publique, en permettant au gouvernement de vendre des actifs non stratégiques pour
rembourser ses dettes.
Inconvénients :
2. Perte d'actifs stratégiques : La vente d'actifs publics peut également entraîner une perte
d'actifs stratégiques pour l'Etat, tels que des ressources naturelles ou des infrastructures
stratégiques.
3. Risques de perte financière : Enfin, la vente d'actifs publics peut également entraîner des
pertes financières pour le gouvernement si les actifs sont vendus à un prix inférieur à leur
valeur réelle.
En résumé, la vente d'actifs publics peut être une source importante de financement pour les
gouvernements, mais elle peut également présenter des inconvénients tels que des risques de
privatisation excessive, de perte d'actifs stratégiques et de pertes financières. Les
gouvernements doivent donc être prudents lorsqu'ils vendent des actifs publics pour
minimiser ces risques et assurer une gestion efficace de leurs fonds publics
5. Fonds souverains : Le Maroc dispose également d'un fonds souverain, le Fonds Hassan
II pour le développement économique et social. Ce fonds peut être utilisé pour financer des
projets de développement économique et social.
Le Fonds Hassan II est un fonds souverain créé en 1960 par feu Sa Majesté le roi Hassan II du
Maroc. Ce fonds a pour objectif principal d'investir les excédents budgétaires du Maroc dans
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des projets à long terme. Voici quelques avantages et inconvénients de cette source de
financement :
Avantages :
1. Investissements à long terme : Le Fonds Hassan II est destiné à investir dans des projets
à long terme, ce qui peut offrir des avantages économiques et financiers pour le Maroc sur le
long terme.
2. Diversification du portefeuille d'investissement : Le Fonds Hassan II peut diversifier le
portefeuille d'investissement du Maroc en investissant dans différents secteurs économiques,
ce qui peut aider à réduire le risque de perte en cas de perturbations dans un secteur
économique particulier.
3. Financement des projets d'infrastructure : Le Fonds Hassan II peut financer des projets
d'infrastructure majeurs tels que les autoroutes, les ports, les aéroports et les barrages, ce qui
peut aider à stimuler la croissance économique du pays.
Inconvénients :
En résumé, le Fonds Hassan II peut offrir des avantages économiques et financiers pour le
Maroc en investissant dans des projets à long terme, en diversifiant le portefeuille
d'investissement et en finançant des projets d'infrastructure. Cependant, il peut également
présenter des inconvénients tels que le manque de transparence, les risques de perte financière
et la possibilité d'utilisation politique. Le gouvernement marocain doit donc être prudent dans
l'utilisation de cette source de financement pour garantir une utilisation efficace des fonds
publics.
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Cependant, il est important de noter que le gouvernement doit être prudent dans l'utilisation
de ces sources de financement pour éviter un endettement excessif et assurer une gestion
efficace et transparente des fonds publics.
2. Emprunts : Le Maroc a recours aux emprunts pour financer une partie de ses dépenses
publiques. Bien que cela permette de mobiliser des fonds à court terme, cela peut conduire à
un endettement excessif et à des coûts d'emprunt élevés. De plus, la dépendance à l'égard de
l'emprunt peut affecter négativement la notation de crédit du pays, ce qui rend les emprunts
plus coûteux à l'avenir.
5. Fonds souverains de Hassan II : Les fonds souverains du Maroc ont pour objectif de
diversifier les sources de financement de l'État et de constituer une réserve financière pour les
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générations futures. Bien que cela puisse être une source de financement stable et durable, la
gestion de ces fonds peut être difficile et les rendements ne sont pas garantis.
En conclusion, bien que chaque source de financement ait ses avantages et ses inconvénients,
le Maroc dépend fortement des impôts et des emprunts pour financer ses dépenses publiques.
Une diversification des sources de financement et des efforts pour élargir la base fiscale et
réduire l'évasion fiscale pourraient contribuer à renforcer l'efficacité de la finance publique au
Maroc.
V. Dépenses publiques
Le Maroc consacre une part importante de ses dépenses publiques aux dépenses sociales, aux
investissements publics et à la défense et à la sécurité nationale. Les subventions et les
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dépenses administratives sont également des postes de dépenses importants. L'équilibre entre
ces différentes dépenses est crucial pour soutenir la croissance économique, réduire les
inégalités et améliorer le bien-être de la population.
Les priorités de dépenses publiques au Maroc varient d'une année à l'autre en fonction des
besoins du pays et des politiques gouvernementales en vigueur. Cependant, certaines des
principales priorités de dépenses publiques au Maroc comprennent :
1. L'éducation : Le gouvernement marocain a accordé une grande importance à l'éducation
en investissant dans la construction et la modernisation d'écoles, l'amélioration de la qualité de
l'enseignement et la formation des enseignants.
2. La santé : Le gouvernement a également investi dans le secteur de la santé, en
construisant de nouveaux hôpitaux et en améliorant l'accès aux soins de santé de base pour les
populations défavorisées.
3. L'infrastructure : Le gouvernement marocain a entrepris plusieurs projets
d'infrastructure majeurs, notamment la construction de nouvelles routes, de ponts et de
tunnels, ainsi que l'amélioration des réseaux de transport en commun.
4. La sécurité : Le Maroc a renforcé ses forces de sécurité pour lutter contre les menaces
terroristes et les activités criminelles.
5. Le développement économique : Le gouvernement a encouragé l'investissement privé et
les partenariats public-privé pour stimuler la croissance économique, en particulier dans les
secteurs de l'agriculture, du tourisme, de l'industrie manufacturière et des technologies de
l'information et de la communication.
6. Le développement social : Le gouvernement a mis en place des programmes pour aider
les personnes vivant dans la pauvreté, en particulier les femmes et les enfants, en leur
fournissant une assistance sociale, économique et éducative.
Ces priorités de dépenses publiques sont susceptibles de changer au fil du temps en fonction
des besoins du pays et des politiques gouvernementales en vigueur.
Ces critères de décision sont généralement établis en fonction des priorités du gouvernement
et de la situation économique et sociale du pays. Les décisions concernant les dépenses
publiques sont prises en tenant compte de ces critères afin d'assurer une utilisation efficace et
efficiente des ressources publiques
Voici quelques-uns des critères de décision clés qui peuvent être utilisés pour orienter les
dépenses publiques au Maroc :
1. Les priorités nationales : Les priorités nationales sont généralement définies par le
gouvernement en consultation avec les acteurs politiques, économiques et sociaux. Les
dépenses publiques peuvent être orientées en fonction de ces priorités, telles que la croissance
économique, la réduction de la pauvreté, l'amélioration de l'infrastructure, la promotion de
l'éducation, la santé, la sécurité, la justice, etc.
2. Les niveaux de financement : Les niveaux de financement disponibles pour les dépenses
publiques, tels que les recettes fiscales, les subventions étrangères, les prêts internationaux,
etc., peuvent influencer la façon dont les dépenses publiques sont allouées.
3. L'efficacité et la pertinence des programmes : Les dépenses publiques peuvent être
évaluées en fonction de l'efficacité et de la pertinence des programmes. Les programmes qui
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ont un impact positif sur la population ou l'économie sont susceptibles de recevoir des
financements prioritaires.
4. Les engagements internationaux : Le Maroc étant un membre de diverses organisations
internationales, tels que les Nations Unies, l'Union africaine et la Ligue arabe, les
engagements internationaux peuvent également influencer les dépenses publiques.
5. Les contraintes budgétaires : Les dépenses publiques sont souvent limitées par les
contraintes budgétaires. Les gouvernements peuvent être contraints de réduire les dépenses
publiques pour réduire le déficit budgétaire ou pour respecter les objectifs de stabilité
financière.
En fin de compte, les décisions relatives aux dépenses publiques au Maroc sont prises par le
gouvernement et sont souvent le résultat d'un processus politique complexe.
La gestion de la dette publique est un enjeu majeur pour le Maroc, qui a connu une
augmentation significative de sa dette ces dernières années. Voici une analyse de la
gestion de la dette publique pour le Maroc :
1. Niveau de la dette : Le niveau de la dette publique du Maroc est relativement
élevé et représente environ 80 % du PIB en 2021. Bien que cela soit préoccupant, il est
important de noter que le Maroc a maintenu une trajectoire de dette stable ces
dernières années.
2. Sources de financement : Le Maroc finance sa dette publique principalement par
l'émission d'obligations souveraines sur le marché local et international, ainsi que par
des prêts auprès d'institutions financières internationales telles que la Banque
mondiale et le Fonds monétaire international (FMI).
3. Durée de la dette : Le Maroc a tendance à émettre des obligations à long terme, ce
qui réduit les risques de refinancement à court terme. Cependant, cela peut également
entraîner des coûts d'intérêts plus élevés.
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4. Coût de la dette : Le coût de la dette publique du Maroc est relativement faible, en
raison de taux d'intérêts bas et de la notation de crédit relativement élevée du pays.
5. Gestion de la dette : Le Maroc a mis en place une stratégie de gestion de la dette
pour gérer efficacement sa dette publique. Cette stratégie vise à réduire les risques de
refinancement et à améliorer la gestion de la dette.
En somme, bien que le niveau de la dette publique du Maroc soit élevé, le pays a réussi à
maintenir une trajectoire de dette stable et à gérer efficacement sa dette. Cependant, il est
important pour le gouvernement marocain de continuer à surveiller de près l'évolution de
la dette publique et de mettre en place des politiques pour réduire les risques à long terme
L'État marocain utilise une variété d'instruments de dette pour financer ses dépenses
publiques et ses investissements. Voici les principaux instruments de dette utilisés par
le Maroc :
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5.Sukuk : Les sukuk sont des obligations conformes à la charia émis par le
gouvernement marocain pour financer des projets de développement. Les sukuk sont des
titres de dette qui offrent un rendement basé sur la participation au projet financé plutôt
qu'un taux d'intérêt fixe.
En fin de compte, le choix des instruments de dette utilisés par le gouvernement marocain
dépend des besoins de financement à court et à long terme, ainsi que des conditions du
marché financier local et international. Le gouvernement doit également tenir compte des
coûts et des risques associés à chaque instrument de dette pour assurer une gestion
prudente de la dette publique.
L'impôt sur le revenu (IR) : L'IR est un impôt progressif qui est prélevé sur les revenus
des personnes physiques. Le taux d'imposition varie de 0% à 38% selon le niveau de
revenu. Cette politique fiscale est importante pour le Maroc car elle permet de
mobiliser des ressources financières pour le budget de l'Etat, tout en réduisant les
inégalités économiques.
La taxe sur la valeur ajoutée (TVA) : La TVA est un impôt indirect qui est prélevé sur la
vente de biens et de services. Le taux de TVA standard au Maroc est de 20%. Cette
politique fiscale est importante car elle permet de mobiliser des ressources financières
pour le budget de l'Etat et encourage également la formalisation de l'économie
informelle.
L'impôt sur les sociétés (IS) : L'IS est un impôt qui est prélevé sur les bénéfices des
entreprises. Le taux d'imposition est de 30% pour les sociétés nationales et de 37%
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pour les sociétés étrangères. Cette politique fiscale est importante car elle permet de
mobiliser des ressources financières pour le budget de l'Etat et favorise également la
compétitivité des entreprises nationales.
Les incitations fiscales : Le gouvernement marocain offre des incitations fiscales pour
encourager les investissements dans certains secteurs clés tels que l'industrie,
l'agriculture et le tourisme. Les incitations fiscales comprennent des exemptions
fiscales, des réductions d'impôts et des crédits d'impôt. Cette politique fiscale est
importante car elle encourage l'investissement et stimule la croissance économique.
La taxe sur les transactions financières (TTF) : La TTF est une taxe de 0,2% qui est
prélevée sur les transactions financières telles que les achats et ventes d'actions et
d'obligations. Cette politique fiscale est importante car elle permet de mobiliser des
ressources financières pour le budget de l'Etat et réduit également la spéculation sur
les marchés financiers.
les politiques fiscales au Maroc ont pour objectif de mobiliser des ressources
financières pour le budget de l'Etat tout en encourageant la croissance économique et
la réduction des inégalités économiques. Cependant, l'efficacité de ces politiques
fiscales dépend de leur mise en œuvre effective et de leur adaptation aux évolutions
économiques et sociales du pays.
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1.Mobilisation des ressources financières : L'imposition est une source importante de
financement pour le gouvernement marocain. Les recettes fiscales sont utilisées pour
financer les dépenses publiques, telles que les investissements dans les infrastructures, la
santé, l'éducation et la sécurité. Cela permet au gouvernement de fournir des services
publics essentiels à la population et de soutenir la croissance économique du pays.
2. Réduction des inégalités économiques : L'imposition progressive, telle que l'impôt
sur le revenu, peut aider à réduire les inégalités économiques en faisant contribuer
davantage les personnes les plus aisées. Cela peut contribuer à une plus grande
stabilité sociale et politique en réduisant les tensions entre les différentes couches de la
société.
3. Encouragement de l'économie formelle : Les taxes sur la valeur ajoutée et l'impôt
sur les sociétés peuvent encourager les entreprises à opérer dans l'économie formelle,
ce qui peut renforcer la stabilité économique et la croissance. Lorsque les entreprises
opèrent dans l'économie formelle, elles sont plus susceptibles de respecter les règles et
réglementations, ce qui peut améliorer la qualité des produits et services offerts et
favoriser la confiance des consommateurs.
4.Incitation à l'investissement : Les incitations fiscales, telles que les exemptions fiscales,
les réductions d'impôt et les crédits d'impôt, peuvent encourager l'investissement dans
certains secteurs clés de l'économie marocaine, tels que l'industrie, l'agriculture et le
tourisme. Cela peut stimuler la croissance économique, créer des emplois et réduire la
pauvreté.
l'imposition peut avoir des effets significatifs sur l'économie et la société du Maroc.
Une fiscalité bien conçue et équilibrée peut contribuer à mobiliser des ressources
financières pour financer les dépenses publiques, réduire les inégalités économiques,
encourager l'investissement et renforcer la stabilité économique. Cependant, des
niveaux d'imposition excessifs peuvent avoir des effets négatifs sur la compétitivité du
Maroc et décourager les investissements
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Les possibilités de réforme fiscale pour le Maroc
Le Maroc dispose de plusieurs possibilités pour réformer son système fiscal, voici
quelques idées :
1.Simplification du système fiscal : Le Maroc peut simplifier son système fiscal en
réduisant le nombre de taxes et en simplifiant les procédures fiscales pour les
contribuables.
2. Élargissement de l'assiette fiscale : Le Maroc peut élargir son assiette fiscale en
augmentant le nombre de contribuables et en réduisant le taux de l'évasion fiscale.
Cela peut être accompli en établissant des politiques efficaces pour la collecte de
l'impôt et en encourageant les entreprises informelles à se conformer aux règles
fiscales.
3. Réduction des taux d'imposition : Le Maroc peut réduire les taux d'imposition
pour les contribuables et les entreprises. Cela peut aider à stimuler la croissance
économique et à encourager l'investissement dans le pays.
4. Modernisation de l'administration fiscale : Le Maroc peut moderniser son
administration fiscale en utilisant des technologies de pointe pour améliorer l'efficacité
de la collecte de l'impôt et en simplifiant les procédures pour les contribuables.
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Pour cette étude de cas quantitatif de la finance publique au Maroc de l'établissement ONEE,
j'ai utilisé les données financières de l'ONEE pour l'exercice 2020, telles que présentées dans
son rapport annuel.
Chiffre d'affaires
Le chiffre d'affaires de l'ONEE pour l'exercice 2020 s'est élevé à 27,2 milliards de dirhams, en
baisse de 1,3% par rapport à l'exercice précédent.
Charges d'exploitation
Les charges d'exploitation de l'ONEE pour l'exercice 2020 se sont élevées à 25,5 milliards de
dirhams, en hausse de 2,4% par rapport à l'exercice précédent. Cette augmentation est
principalement due à la hausse des coûts d'achat de carburant, des coûts d'achat d'électricité et
des coûts de maintenance des infrastructures.
Résultat d'exploitation
Le résultat d'exploitation de l'ONEE pour l'exercice 2020 s'est élevé à 1,7 milliard de dirhams,
en baisse de 31% par rapport à l'exercice précédent. Cette baisse est principalement due à la
hausse des charges d'exploitation.
Subvention de l'Etat
L'ONEE a bénéficié d'une subvention de l'Etat de 3,5 milliards de dirhams pour l'exercice
2020, en hausse de 40% par rapport à l'exercice précédent.
Dette
La dette totale de l'ONEE pour l'exercice 2020 s'est élevée à 80,5 milliards de dirhams, en
hausse de 7,6% par rapport à l'exercice précédent. Cette augmentation est principalement due
à l'augmentation des emprunts pour financer les projets d'investissement.
Investissements
Les investissements totaux de l'ONEE pour l'exercice 2020 se sont élevés à 8,9 milliards de
dirhams, en baisse de 21% par rapport à l'exercice précédent. Cette baisse est principalement
due aux retards dans la mise en œuvre de certains projets d'investissement en raison de la
pandémie de COVID-19
l'ONEE a été confronté à des défis financiers importants au cours de l'exercice 2020,
notamment en raison de la hausse des coûts d'exploitation et de la baisse du chiffre d'affaires.
Cependant, l'ONEE a réussi à maintenir sa viabilité économique et financière grâce à la
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subvention de l'Etat et à l'augmentation de la dette pour financer les projets d'investissement.
L'ONEE devrait continuer à mettre en place des mesures pour améliorer l'efficacité de ses
opérations et optimiser ses coûts afin de maintenir sa viabilité financière à long terme.
CORRIGE :
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L'analyse financière de l'ONEE pour l'exercice 2020 montre que l'entreprise a été
confrontée à des défis importants en raison de la pandémie de COVID-19, qui a eu un
impact sur ses résultats financiers. Cependant, grâce à la subvention
Cas n2 : ONCF
Le budget alloué par le gouvernement à l'ONCF pour l'année 2021 était de 8,5 milliards de
dirhams (environ 950 millions de dollars).
Sur ce budget, 5,5 milliards de dirhams étaient destinés à l'investissement dans les
infrastructures et les équipements ferroviaires, tandis que 3 milliards de dirhams étaient
alloués aux dépenses de fonctionnement (salaires, achats de fournitures, etc.).
En 2021, l'ONCF a également émis des obligations d'un montant de 1,5 milliard de dirhams
pour financer ses projets d'investissement.
Les principales sources de revenus de l'ONCF en 2021 étaient les recettes de la vente de
billets de train (environ 2 milliards de dirhams), les redevances payées par les sociétés de
transport de marchandises (environ 700 millions de dirhams) et les subventions de l'Etat (8,5
milliards de dirhams).
Le résultat net de l'ONCF pour l'année 2021 était de 532 millions de dirhams (environ 60
millions de dollars)
Ces chiffres illustrent la manière dont l'ONCF gère ses ressources financières pour
atteindre ses objectifs de développement et améliorer la qualité de ses services. Cela
montre également l'importance des subventions de l'Etat pour le financement des
entreprises publiques au Maroc.
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Au Maroc, les mécanismes de contrôle et de transparence pour assurer la responsabilité
financière de l'État comprennent les éléments suivants :
1. Audit : L'Inspection Générale des Finances (IGF) est l'organe de contrôle interne de
l'État. Elle est chargée d'assurer la régularité, la transparence et l'efficacité de la gestion des
finances publiques. De plus, la Cour des Comptes, qui est l'organe de contrôle externe de
l'État, est chargée de vérifier les comptes de l'État, des collectivités territoriales et des
organismes publics.
3. Loi sur la transparence : Le Maroc dispose d'une loi sur la transparence, qui oblige les
institutions publiques à publier des informations sur les budgets, les appels d'offres et les
contrats publics. Cette loi permet également aux citoyens d'accéder aux informations
publiques et de demander des informations supplémentaires.
1. Renforcer les lois et les réglementations : Le Maroc peut renforcer ses lois et ses
réglementations pour lutter contre la corruption et la mauvaise gestion financière. Il peut
également introduire des lois plus strictes pour encadrer la passation des marchés publics et la
gestion des fonds publics.
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Comptes, en leur fournissant les ressources nécessaires pour exercer leurs fonctions de
manière efficace et indépendante
En prenant ces mesures, le Maroc peut améliorer la gestion des risques de corruption et de
mauvaise gestion financière et renforcer la confiance du public dans les institutions
gouvernementales.
Limite et prospectives :
Les finances publiques du Maroc ont connu des avancées significatives ces dernières années,
mais des limites et des perspectives restent à prendre en compte
Limites :
La dette publique élevée du Maroc reste un défi pour la stabilité financière du pays. Une
gestion rigoureuse de la dette est nécessaire pour éviter tout risque de défaut de paiement.
Les inégalités socio-économiques persistent malgré les efforts du gouvernement pour réduire
les écarts de richesse. Il est essentiel de poursuivre les politiques de redistribution et de
renforcer la protection sociale pour garantir un développement inclusif et durable.
La faiblesse de l'efficacité de la collecte des impôts et la corruption dans certains secteurs
peuvent entraver la mobilisation des recettes fiscales et réduire l'efficacité de la politique
fiscale.
Perspectives :
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La promotion de l'éducation, de la formation professionnelle et de l'innovation peut aider à
développer des compétences et à diversifier l'économie marocaine pour la rendre plus
résiliente face aux chocs externes.
En somme, le Maroc doit poursuivre ses efforts pour renforcer la stabilité financière,
promouvoir l'inclusion sociale et stimuler la croissance économique en utilisant des stratégies
efficaces de gestion des finances publiques
En vue de renforcer la finance publique pour le Maroc dans l'avenir, voici quelques
recommandations :
1. Renforcer la mobilisation des recettes fiscales : Le gouvernement devrait continuer à
améliorer l'efficacité de la collecte des impôts et lutter contre l'évasion fiscale en adoptant des
outils de surveillance des transactions financières et en renforçant les sanctions contre les
contrevenants.
En somme, une gestion rigoureuse et transparente des finances publiques, une mobilisation
accrue des recettes fiscales et une orientation vers les investissements productifs et l'inclusion
sociale peuvent aider à renforcer la finance publique pour le Maroc dans l'avenir.
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