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Dans un monde qui évolue rapidement, la maîtrise et l’approfondissement de l’outil informatique apparaît
comme une condition indispensable au développement des nations, plongées qu’elles sont dans l’ère de la
haute technologie et de la mondialisation.
Le manuel d’informatique pour les ENIEG au Cameroun a pour objectif s majeurs:
L’harmonisation de la pédagogie de l’informatique et la mise à la disposition des élèves-maîtres et
des enseignants un manuel de qualité tenant compte du milieu socioculturel ;
L’acquisition par les élèves- maîtres des bases d’une formation en l’outil informatique solide qui leur
permettent d’analyser une situation et pouvoir trouver une solution.
Ce manuel ,rédigé par un groupe d’élève de l’école normale supérieure de Yaoundé, s’appuie sur l’environ-
nement des élèves-maîtres pour les motivés, les faire agir, les amener à comprendre et à agir de nouveau
de manière autonome et créatrice.
Pour aider les apprenants à mieux comprendre le manuel et faciliter ainsi leur apprentissage, le manuel se
présente comme suit :
Une première de couverture où sont mentionnés Enseignement des TIC à l’ENIEG BEPC, PROBA-
TOIRE, BACCALAUREAT ;
Une table de matière ou sommaire qui présente de façon claire et méthodique les différents cha-
pitres ;
Un avant-propos ou introduction qui introduit le manuel scolaire tout en déroulant son mode
d’usage ;
Le corps du manuel ou le texte principal: C’est dans cette partie que sont présentés les différents
modules et le contenu des chapitres en fonction des objectifs. Les titres et les sous-titres correspondent
aux thèmes centraux du programme.
Une courte conclusion qui termine l’ouvrage ;
Une bibliographie qui permet l’identification des ouvrages de référence utilisés et les photos pro-
priétaires utilisées dans l’élaboration du manuel scolaire ;
Un index lexical qui facilitera la recherche par notions clés et par ordre alphabétique.
Une quatrième de couverture
Et l’Organisation du contenu du manuel est
La suivante :
L’intérieur du manuel sera structuré de la
manière suivante :
Une première page annonçant le module sur laquelle sera mentionnée :
• le nom du module ;
• La problématique du module c’est-à-dire l’ensemble ou quelques questions visant à bien situer le
thème ;
• L’énumération et le nom des chapitres constituant le module
• En arrière-plan, une image illustrative du thème du module en vue de captiver l’attention du jeune
lecteur.
Une seconde page ayant d’entrée de jeu le premier chapitre. Chacun des chapitres sera constitué
des éléments suivants:
• Le nom du chapitre et son numéro
• Les prés requis sous l’intitulé « Ce qu’il faut savoir avant de commencer » : ils ont pour objectif de
favoriser une récupération pour activer le schéma de l’apprenant qui lui permettra d’assimiler les nou-
velles informations.
• Les différents objectifs pédagogiques à atteindre : pour classifier et organiser les nouvelles connais-
sances dans la mémoire à long terme, il est informé à l’apprenant à travers les objectifs, à quoi il devrait
s’attendre.
• Le plan du chapitre dont les points sont les différentes leçons que couvrira le chapitre.
iii
Sur la même page et selon la disponibilité et l’espace, fera suite la première leçon. Chacune des
leçons est constituée comme suit :
• Le numéro et le nom de la leçon ;
• Les images illustratives si besoin est ;
• Le contenu de la leçon : élaboré de manière simple et succinct.
• La définition des mots clés de la leçon sous la rubrique « LEXIQUE » ;
• Une rubrique « ACTIVITE » qui permet à l’élève, à chaque étape cruciale de la leçon ou du chapitre,
de s’exercer, d’observer, de pratiquer, bref de participer à la construction de ses connaissances.
• Une rubrique « A SAVOIR » qui ressortira les éléments importants à retenir ou les nuances à remar-
quer, ou encore de petits conseils pour éviter de se tromper dans une notion évoquée.
A la fin d’un chapitre, une rubrique « L’ESSENTIEL » qui ressortira de manière simplifiée les points à
retenir et les idées générales du chapitre étudié. C’est le résumé.
A la fin d’un module, une rubrique « EXERCICES DE CONSOLIDATION ET D’INTEGRATION » pour éva-
luer l’acquisition des connaissances et l’atteinte des objectifs spécifiés.
Toute fois il est à noter que ce manuel regroupe plusieurs niveaux d’étude, à savoir :
BEPC, PROBATOIRE, et BACCALAURÉAT. Les niveaux BEPC et PROBATOIRE quant à eux sont respectivement
subdivisés en trois et deux sous niveaux à savoir : BEPC 1, BEPC 2, BEPC 3 pour le niveau BEPC et PROBA-
TOIRE 1, PROBATOIRE 2 pour le niveau PROBATOIRE. C’est ainsi que :
Le niveau BEPC 1 n’est concerné uniquement que par les trois premiers modules ;
Le niveau BEPC 2 continue avec les modules quatre, cinq et six ;
Le niveau BEPC termine avec les modules sept et huit ;
Le niveau PROBATOIRE 1 est concerné par les quatre premiers modules ;
Le niveau PROBATOIRE 2 enchaînent avec les quatre derniers modules ;
Le niveau BACCALAURÉAT est concerné par les huit modules.
Les auteurs
iv
SOMMAIRE
v
vi
MODULE 1
Outils d’information et
de communication
Chapitre 01
Au 16 siècle comment se faisait
la communication entre les per- Comment enseigner et apprendre
sonne sachant qu’il n’y avait pas avec les TIC
d’électricité ? Chapitre 02
Introduction
Ce chapitre explique la façon dont tout enseignant qu’il soit techno-pédagogue ou non peut
enseigner les TIC pour améliorer la qualité de son enseignement et l’apprentissage des élèves. Il
couvre aussi les stratégies d’utilisation des TIC dans les salles de classe. Les élèves et leurs professeurs
travaillent avec les TIC pour deux raisons :
• Elles devront changer la nature du travail et les loisirs dans les vingt prochaines années;
• Les élèves en formation ont besoin de développer des compétences leur permettront de
tenir les tout petits du primaire ;
• Il y a un corps grandissant de la recherche qui démontre que les TIC ont amélioré la qualité
de l’enseignement et de l’apprentissage dans les écoles camerounaises. Ainsi, les TIC contribuent à
relever les critères de réussite dans l’éducation.
Activité
Monsieur ESINGAN est techno pédagogue vient d’être affecté à à l’ENIEG d’Ebolowa. Le chef service des examens et des
stages lui attribue les cours d’informatique et technologies éducatives, dans les différentes classes : BEPC, Probatoire et
BAC Il lui demande dans sa planification de les intégrer ces cours dans différents contexte d’apprentissages et d’ensei-
gnement.IL n’y parvient pas.
Comment peux-tu-l’aider ?
Selon Wikipédia, les notions des TIC, en anglais information and communication technology,
regroupent les techniques utilisées dans le traitement et la transmission des informations dont
l’informatique, internet et télécommunications sont au centre. Les TIC sont un ensemble de
ressources nécessaires pour manipuler l’information : Il s’agit, de l’ordinateur, les programmes et les
réseaux informatiques qui travaillent pour stocker, gérer, et transmettre et retrouver l’information.
L’utilisation des TIC au programme d’enseignement suscite une importante motivation sur
l’apprentissage des élèves.
a) Pour l’enseignant
b) Permettent une plus grande flexibilité quant au moment et après des heures de classe. au
lieu où les activités sont menées ;
d) Accès à des données mis à jour sur l’élève partout et à tout temps ;
f) L’utilisation des outils TIC par l’enseignant motive les élèves à apprendre.
b) Pour l’élève
• Offrent les cours d’une plus grande qualité grâce à une grande collaboration entre élèves et
entre élèves et professeurs ;
• Les enseignements plus ciblés adaptée aux forces et faiblesses des élèves à travers une
meilleure analyse des données des résultats obtenus ;
• gain en termes d’appropriation meilleure. L’un des atouts multimédia est par exemple,
l’apprentissage de la langue avec les TIC ;
• Gain de motivation, les documents numériques contenus dans les cédéroms et sites web
offrent de riches possibilités aux apprenants, la possibilité de faire des recherches sur des sujets très
complexes ;
• Une collaboration élargie entre la personne, elles favorisent la collaboration élève d’une
même classe les élèves des autres écoles.
L’usage des TIC tend à vouloir remplacer l’enseignant dans la salle de classe, -les outils modernes
n’arrivent pas à abolir les outils modernes.
• la recherche documentaire pour enrichir les connaissances dans divers domaines. Les
enseignants utilise l’internet ou les encyclopédies : comme Encarta, Wikipédia ou les documents
des enseignants et cours rendus disponibles au net ;
Dans d’autres disciplines, les TIC doivent être utilisées pour accélérer et améliorer la qualité
d’enseignement, en offrant aux enseignants les outils et techniques
• l’apprentissage coopératif (élèves sont regroupés en petits groupes avec leur tuteur) ;
• experts (séminaristes) ;
• remue-méninges
• jeu de rôle
Il peut organiser la classe virtuelle afin que ses élevés travaillent à travers une plateforme, ou à
travers la formation à distance.
Dans le cadre d’une démarche d’apprentissage par projet les élèves font recours au TIC ,qui
peuvent servir a élaborer leurs connaissances antérieures sur le sujet .elle consistent par ailleurs
un outils par excellence pour rechercher de l’information sur le sujet par la consultation des sites
internet, des encyclopédies numériques, de la participation a des forums de discussions ou des
blogs ou de l’envoi du courrier électronique par un experts les tic la co-construction de diverse
production commune .
• Apprentissage coopératif
L’essentiel
Pour construire les connaissance des élevés avec les tic, l’enseignant doit avoir maitriser les
modèles d’apprentissage offert par les tic ; avoir la connaissance sur les théories d’apprentissages,,
les outils de communication qui favorisent l’accélération du processus enseignement/
apprentissage. Connaitre les avantages et inconvénients des tic, l’espace de formation et enfin
les types d’apprentissages.
Pour assurer un bon encadrement pédagogique, l’enseignant doit avoir une maitrise des
modelé d’enseignement et théories d’apprentissage lui permettant de mieux conduire ses
enseignements afin que l’élève soit au centre des savoirs. Ces modèles sont :
Introduction
Notre pays le Cameroun, de par son immense diversité culturelle et
ethnique, regorge de nombreux outils de communication utilisés dans
l’époque ancienne.
Et ont joué un rôle de premier choix dans les échanges entre les
communautés villages. L’homme à toujours recherché et utilisé les outils
vitaux, culturels, social, et pedagogique.L’information considérée comme un
produit qu’on conçoit et consomme, de ce fait a besoin d’outils dans ses
échanges : de communication, de transmission, et de consommation.
Activité
Le grand père Mebeh Au niveau traditionnel, l’homme a développé les échanges qui
Vient de décéder au vil- l’obligeaient à fabriquer et apprendre l’usage de ceux-ci, il fallait donc que
lage, IL faut informer la certaines techniques, méthodes et approches voient le jour. il s’agit des
communauté. Que faut-il méthodes d’initiation à l’usage des outils par des enseignants spécialités des
faire ? écoles informelles. L’approche de la pédagogie par les compétences était
Avec quoi va –t-on ani- appliquée accompagnées des techniques de réussite.
mer les cérémonies?
Classe ces objets selon Exemple :
qu’ils sont de typologies
modernes ou tradition- L’initiation à l’apprentissage de fabrication qui durait un un an, et
nelles tout en précisant l’utilisation de 2 à 3 ans.
leurs fonctionnalités :
Pédagogiques, ludiques, La plupart de ces moyens de communications d’échanges de proximité
ou sociales. et à distance tendent aujourd’hui à disparaitre face à l’avancée sans cesse
des hautes technologies.
C’est ainsi que nous avons classé ces outils en deux catégories : outils
traditionnels tic et modernes.
Sensibilisateur des
groupes communau-
C’est la nar-
taires, véhicule les
ration qui
La pédagogie ici est messages portés,
Le griot utilisée,
orale moralise, conseille.
Course à
C’est un éducateur.
cheval
L’apprentissage dure
cinq ans.
Guidage,
course à
Annonce l’arrivée de
vitesse,
Intuitive (muette). son maitre, signale le
cache-cache
Le chien Permet à l’élève danger, annonce au
Randon-
d’apprendre. chasseur la présence
née chasse
d’un gibier.
vitesse
vitesse.
Ecriture,
Ecrite et communi- Assure les échanges
utiliser par
Lettre cationnelle, entre peuples.
pour rap-
postale Support papier. Met en place, les
procher les
règles de sécurité.
personnes
Bande per-
Individualisée,
forée,
car l’individu gère Echanges instan-
numérique,
son appareil seul tanée et établi les
Fax car le sup-
et cause avec le rapports entre les
port papier
récepteur, support correspondants
sort très
didactique
correcte
Instrument
sert à jouer
Orale,
et danser,
Sert à transmettre
écouter les Objet de sensibilisa-
les connaissances,
Radio informa- tion,
Développement
tions, Objet de socialisation
des activités éduca-
Le journal
tives
les émis-
sions
Questions
réponses,
Développement des
Son sonore, La pédagogie appli
échanges, rappro-
Le télé- A l’image orale, développée
chement des voies,
phone de l’ordina- par la présence de
instrument de socia-
teur, jeux deux interlocuteurs
lisation
questions
réponses
manipula-
tion d’ob-
Fait appel à l’esprit
jets Démonstrative
Scanner de créativité et de
développe- Et pratique
technicité
ment des
habilités
Mani-
pulation
Photoco- d’objets, démonstrative et L’apprentissage dure
pieur développe- pratique un mois.
ment des
habilités
Jeux est la
projection
Vidéopro- de l’image Visuelle et interac- Socialisation et de
jecteur à travers tive grandes popularité
les ondes
lumineuse
Développer
l’esprit de
collabora- Des grands groupes Socialisation, démo-
Internet tion et écrite, par objet cratisation et de
Et l’esprit active globalisation
d’équipe
Socialisation
Interactivité Socioconstructi-
Intégrateur et socia-
Ordina- des élèves ; viste
lise les élèves à un
teur Interterface Approches par les
apprentissage coopé-
conviviale compétences
ratif et individualisé
Progression
Étapes OPI AM AE
Pose la question
citer quelques outils -qu’utilises-tu pour
Révision Suit et répond
de communication communiquer avec ton
oncle à Douala ?
Présente le tam-tam
Fait observer et
demande Observe
Observer
Découverte -comment appelle-t-on attentivement et émet
attentivement
cet objet ? des hypothèses
-à quoi sert-il ?
-comment l’utilise t-on ?
-Fait proposer des
solutions aux questions
-propose des solutions
posées
-présente le tam-tam
-invite les groupes à
Émet des *il sert à jouer et à
Analyse présenter leurs réponses
hypothèses émettre des sons, des
-comment appelle t-on
bruits, à communiquer
cet objet ?
*on tape, on cogne.
-A quoi sert –il ?
-Comment l’utilise t-on ?
Activité
Concevoir une fiche pédagogique en classe de CE1 sur l’utilisation d’un outil traditionnel et une autre en classe de CP sur
l’utilisation d’un outil moderne de votre choix.
3. A l’aide d’une étude de cas, dites comment réaliser une activité de classe (au choix)
1. S’il vous arrive de perdre votre père et qu’il n’y a pas personne pour taper le
3 tamtam, comment allez-vous faire pour informer vos frères du village voisin ?
6. A l’aide ‘un d’un appareil photo numérique, comment allez- vous procédez
pour filmer
1. A l’aide du chapitre 1, leçon 1, donnez les avantages des tic en classe pour
4 l’enseignant,
• Au net………………………………………………………………..
• Dans l’eau……………………………………………………………
• Encarta…………………………………………………………………
5. Sur la base de typologies des outils traditionnels tic vus en classe, rechercher sur
le net d’autres qui interviennent dans le processus enseignement/ apprentissage
7. Organiser une fête dans votre école en utilisant les outils appropriés.
2. On peut téléphoner ;
6. Utiliser le fax ;
7. Envoyer la lettre.
• Le tam-tam ;
• Le tambour ;
• Le mwet ;
• Xylophone ;
• chaine musicale.
Exercices
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MODULE 2
ENVIRONNEMENT
INFORMATIQUE
Chapitre 1
Fondements historiques et so-
ciaux de la science informatique
Chapitre 2
l’homme par nature paresseux, a
Architecture de base d’un
toujours cherché à améliorer sa
ordinateur
façon de calculer, afin de limiter
ses erreurs et pour économiser Chapitre 3
de son temps. C’est ainsi qu’il Système d’exploitation
invente l’ordinateur et trouve un
moyen de pouvoir le prévenir ou Chapitre 4
le réparer les potentiels pannes. Système de numération binaire
Chapitre 5
Maintenance des équipements
informatiques
h ap
it re 1
1
Fondements histo-
Objectifs
C • Décrire l’évolution de la
riques et sociaux de la •
technologie
Citer les repères historiques
science informatique des ordinateurs
I. Définitions
Informatique un mot pour une science. Le mot « informatique » est
un mot créé par association des mots « information » et « automatique ».
On l’a écouté pour la première fois à Philippe DREYFUS, ancien directeur
du Centre National de Calcul Électronique (CNCE) en 1962, il a utilisé «
Informatique » pour la première fois dans le nom de son entreprise « Société
d’Informatique Appliquée » (SIA). L’Académie Française a adopté ce terme
en 1967 afin de désigner la « science du traitement de l’information » ou
plus exactement la « Science du traitement rationnel, notamment par des
machines automatiques, de l’information considérée comme le support
Activité des connaissances humaines et des communications dans les domaines
Qu’est-ce que l’informa- techniques, économiques et sociaux.
tique ?
Dans cette définition il nous vient de relever quelques mots tels que
traitement, automatique, information et bien sur ordinateur.
Lexique
Nous comprenons donc ici que le traitement fait appel à une donnée
Le traitement : que nous aurons en début comme une entrée et qui va subir des opérations
Ensemble des opéra- pour enfin se retrouver à la fin comme un résultat. Nous pouvons avoir tout
tions de collecte, de tri, simplement ce petit schéma pour présenter le cycle de traitement d’une
de mise en mémoire, de donnée.
transmission et d’utilisa-
tion d’une donnée.
Entrée Traitement Sortie
Activité
Il vous est demandé de
calculer 8 * 9, en utili-
Modèle de traitement de l’information
sant une calculatrice,
qu’affiche-t-elle . Automatique se dit de quelque chose qui est propre ou apte à fonctionner
sans intervention active de l’homme comme notre calculatrice seulement
pour faire une opération.
Lexique
Automatique : Pour définir information, il est bon de connaître tout d’abord ce que c’est que
Ce qui fonctionne ou l’objet ou la chose et une donnée. Un objet ou une chose désigne non seulement un
opère sans une interven- élément que nous pouvons toucher comme la table ; le banc ; le cahier…, mais aussi
tion active de l’homme. ce qu’on ne peut pas toucher comme les idées ; et une donnée est tout simplement
l’ensemble des propriétés (la couleur, la taille, la grandeur) d’une chose.
Module 1 : Développement des compétences avec les outils TIC
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Lexique II. Evolution de la technologie
Lexique
Information : 1. Ordinateurs
Information
Donnée capable : de ren-
Donnée capable
seigner, d’apporterde ren- une
seigner, d’apporter L’histoire de l’ordinateur nous provient du fait que l’homme, par nature
connaissance nouvelle.une paresseux, a toujours cherché à améliorer sa façon de calculer, afin de limiter
connaissance nouvelle.
Données : ses erreurs et pour économiser de son temps.
Données
Ensemble :des propriétés
Est
(la tout simplement
couleur, la taille,l’en-
la a. L’ère mécanique
semble des propriétés
grandeur) d’une chose.
(la couleur, la taille, la Le boulier
Informatique
grandeur) d’une: chose.
Science du traitement
Informatique
automatique de : l’infor-
Science du traitement
mation par des ordina-
automatique
teurs. de l’infor-
mation par des ordina-
teurs.
A savoir Le boulier, appelé aussi « abaque », a été inventé en l’an 700, avec des
Une donnée (la note,
l’âge) prise isolement
n’apporte aucune
connaissance nouvelle.
Mais par contre si on y
ajoute un objet précis
(de la voiture, de KANA),
alors l’ensemble forme variantes telles que le xuanban chinois, le soroban japonais et le stchty russe;
ce qu’on appelle infor- il fut longtemps utilisé et l’est encore aujourd’hui dans certains pays.
mation.
Les premières machines à calculer
b. L’ère électronique
En 1937, Howard Aiken met au point un ordinateur programmable mesurant 17 m de long et 2.5
mètres de hauteur, permettant de calculer 5 fois plus vite que l’homme : C’est le Mark I d’IBM. Il est
alors constitué de 3300 engrenages, 1400 commutateurs reliés par 800 km de fil électrique.
En 1938, Konrad Zuse invente un ordinateur qui fonctionne grâce à des relais électromécaniques
: le Z3. Cet ordinateur est le premier à utiliser le binaire au lieu du décimal.
En 1947, le Mark II voit le jour, ses engrenages sont remplacés par des composants électroniques.
En 1942, l’ABC (Atanasoff Berry Computer) du nom de ses concepteurs J.V. Atanasoff et C.Berry
voit le jour.
En 1943, le premier ordinateur ne comportant plus de pièces mécaniques est créé grâce à
J.Mauchly et J.Presper Eckert : l’ENIAC (Electronic Numerical Integrator And Computer). Il est
composé de 18 000 lampes à vide, et occupe une place de 1500 m2. Il fut utilisé pour des calculs
ayant servi à mettre au point la bombe H. Son inconvénient était sa programmation qui se faisait
manuellement.
En 1946 John Von Neumann mit sur pied l’EDVAC (Electronic Discrete Variable Computer)
permettant de stocker les programmes en mémoire (1024 mots en mémoire centrale et 20 000
mots en mémoire magnétique).
Le transistor
En 1948, le transistor est créé par la firme Bell Labs (grâce aux ingénieurs John Bardeen,
Walter Brattain et William Shockley). Il permet dans les années 50 de rendre les ordinateurs moins
encombrants, moins gourmands en énergie électrique donc moins coûteux : C’est la révolution dans
l’histoire de l’ordinateur.
2. Informatique
Née avec l’apparition des premiers ordinateurs à la fin de la Deuxième Guerre mondiale,
l’informatique a pour mission de résoudre les problèmes des hommes en matière de calcul
numérique. Les ordinateurs doivent alors être capables de gérer de grandes quantités de données
dans un minimum de temps
Dans les années 1950, une vraie approche de l’informatique en tant que science. Le mathématicien
américain Norbert Wiener établit ainsi les fondements de la cybernétique, pendant qu’un autre
mathématicien américain, Claude Elwood Shannon, élabore la théorie de l’information.
Dans les années 1960, l’informatique devient une discipline à part entière.
Dans les années 1970, les langages de programmation se multiplient : Le BASIC, le langage C, le
Pascal et l’Ada.
Les années 1980 sont marquées par le micro-ordinateur personnel, inventé par Stephen Wozniak
et Steven Jobs, fondateurs de la société Apple Computer. En 1987, l’US National Science Foundation
(NFS) démarre NSFnet, qui est l’ancêtre d’Internet.
Aujourd’hui, l’industrie informatique travaille pour augmenter les performances des Ordinateurs
en les rendant plus petits. De leur côté, les informaticiens théoriciens travaillent dans le domaine de
l’intelligence artificielle.
L’informatique est aujourd’hui présente dans la plupart des domaines de la vie professionnelle
Module 2 : Environnement informatique
26
et privée.
Elle permet, en outre, de diffuser l’information par le biais de réseaux informatiques, dont
Internet est l’exemple le plus utilisé.
En contrepartie, l’informatique a engendré un nouveau type de délit et de « criminels » : les
hackers. Le délit informatique consistant à pénétrer illégalement dans des systèmes informatiques.
Ces multiples inventions ont continué dans le souci de l’amélioration des performances et la
miniaturisation des ordinateurs jusqu’à nos jours.
L’essentiel
L’histoire de l’ordinateur nous provient du fait que l’homme, par nature paresseux, a toujours
cherché à améliorer sa façon de calculer, afin de limiter ses erreurs et d’économiser de son
temps. C’est ainsi que :
b. La « Pascaline » qui est une additionneuse fabriquée par Blaise Pascal en 1942.
I. Architecture générale
En première approche, un ordinateur se compose des parties principales suivantes :
• Une mémoire centrale où ce processeur range les données et les résultats de ces traitements
;
Tous ces constituants sont reliés entre eux par l’intermédiaire d’un bus, qui est l’artère centrale
et leur permet de s’échanger des données. Pratiquement, tous les ordinateurs actuels ont cette
• D’un clavier
• D’une souris
2. Unité centrale
Bien que ne fonctionnant pas sans ses périphériques, l’unité centrale d’un ordinateur est le
cœur de la machine. C’est dans cette partie que se déroulent tous les calculs. On y trouve :
• L’alimentation
• Le processeur
• La mémoire
• Disques dur
• La carte mère
Tous les périphéries (écran, clavier, souris,…) viendrons se connecter à ce boîtier. Les dimensions
du boîtier et des composantes varient suivant la marque, l’âge ou le modèle de la machine ; elles
déterminent son mode d’installation, mais aussi les possibilités d’extension ; la ventilation est
d’autant meilleure que le boîtier est grand.ces différents composants sont tous reliés a un circuit
imprimé appelé carte mère. Cette liaison est effectuée de plusieurs manières : soit par en fichage
(prise sur laquelle est directement déposé le composant ou la carte), soit par câble (c’est le cas
généralement des lecteurs). Soit directement soudés sur celle-ci.
On peut acquérir une alimentation seule bien qu’elle soit très souvent fournie avec le boitier du
PC. Une capacité de 400 watts est généralement suffisante pour les ordinateurs en « configuration
bureautique » même si certaines alimentations peuvent atteindre les 1000 watts pour des
configurations exceptionnelles.
c. La carte mère
Parfois appelée « mobo » , (contraction du mot anglais
motherboard), par les connaisseurs, la carte mère porte bien
son nom. C’est le composant principal de votre ordinateur,
celui qui servira à « tenir » et relier tous les autres.
Physiquement tout d’abord, car elle est visée au boitier de
votre PC, de plus elle possède les connecteurs (slots) pour accueillir des dizaines de composants et
périphériques en plus des éléments indispensables décrits sur cette page. Au niveau logiciel ensuite,
car chaque information envoyée ou reçu par le matériel ou un programme passe forcément par elle.
C’est aussi sur une petite partie de la carte mère que se trouve la ROM sur laquelle est enregistrée
le BIOS, petit programme gérant la configuration « de base » du matériel et se chargeant de faire le
lien avec votre système d’exploitation (Windows, Linux…). Ces réglages sont conservés en mémoire
même en l’absence de courant grâce au CMOS, alimenté par la pile de carte mère.
d. Le processeur
Toute cette agitation provoque une élévation de température du processeur, en particulier lors
du traitement d’une grosse masse d’information. C’est pourquoi il est surmonté d’un ventilateur
chargé de dissiper la chaleur et de le maintenir à la température la plus basse possible.
Plusieurs types de mémoire RAM existent. En « barrettes » allant de 256 Mo à 4 Go (les plus
courantes actuellement), elles sont à choisir en fonction du processeur et de l’utilisateur que l’on
fait du PC d’une part et des possibilités de la carte mère (capacité total, nombre d’emplacements
disponibles…) d’autre part.
f. Les bus
Le bus est une voie spéciale qui relie les cartes d’extension (notamment vidéo ou entrée/sorties)
la mémoire et le CPU. Chaque carte reçoit une adresse unique de communication et scrute en
permanence les signaux présent sur le bus ; elle n’acceptera ( et donc ne traitera) que les informations
correspondant à l’adresse de l’adaptateur. Parmi les bus classique, on distingue :
• Bus ISA (Industry Standard Architecture) 8 bits (pour XT) – slot simple – 8 MHZ
• Bus local VESA (Video Electronique Standards Assocition) – 32 bit – slot triple – vitesse locale
du processeur (33 MHz max.)
• Bus PCI (peripheral Component Interconnect) : - 32 bit slot simple spécial – 33 MHz ou 66 MHz
indépendant de la vitesse du processeur – taux de transfert maximum théorique : 132 Mb/s
• De la carte son qui permet d’avoir le son sur le PC d’un modem interne
Toute carte vidéo doit disposer d’une mémoire d’affichage, variable, suivant ses possibilités. Pour
les hautes résolutions, l’affichage peut être un frein au déroulement du programme (certaines cartes
b. Le disque dur
C’est sur le disque dur que les données à conserver sont enregistrées. C’est-à-dire à
peu prés tout : les fichiers du système d’exploitation, les logiciels et surtout vos données
(photo, vidéo, musique, emails ect…).
On ne voit pas le disque (plateau) en lui-même ni le bras mécanique qui tient la tête de lecture
contrairement à l’illustration ci-contre, il se présente sous la forme d’un boîtier rectangulaire, vissé
au boitier du pc. Plus la vitesse de rotation des plateaux est importante, plus les performances sont
élevées, on trouve actuellement des disques durs tournant à 5400, 7200, 10000 ou 15000 RPM
(Round Per Minute : tours par minute), les vitesses de 7200 et 10000 RPM étant les plus rependues.
Il est relié à la carte mère grâce à une nappe (câble plat) de type IDE ou grâce aux interfaces SATA
(Serial ATA) ou SCSI. Un cavalier à positionner à l’arrière du boîtier permet de le désigner comme
disque « Maître », le disque dur principal (Master) ou comme « Esclave », un disque auxiliaire (Slave).
Les disques durs aujourd’hui, peuvent contenir des centaines de Giga-octets de données.
c. Le lecteur/graveur CD/DVD
Le lecteur ou graveur est vissé au boîtier, glissé dans un emplacement ouvert sur
l’avant du PC, permettant ainsi l’ouverture du tiroir qui recevra le disque optique que
l’on appelle plus communément CD (Compact Disc) ou DVD (Digital Versatile Disc). Il
est connecté à la carte mère par un plat (nappe).
Les vitesses en gravure et lecture sont suffisamment grandes de nos jours pour qu’on n’y prête
pas le plus grand des intérêts. C’est plutôt le type de disques acceptés en lecture et en écriture qui
sera l’objet de notre attention. Nous avons les CD-r ou dvd+-R, CD-RW ou DVD+-RW, DVD-RAM,
Double couche, Blu-ray et HD DVD.
d. La carte graphique
La carte graphique, bien que très importante pour certains usages, est placée en
dernière position de cette liste car elle peut-être remplacée par un chipset intégré
(jeu de circuit) directement à la carte mère. Toutefois, pour certaines applications et
notamment les jeux, elle est indispensable. En prenant à sa charge la gestion de l’affichage, elle libère
le processeur de cette fonction, traite elle-même les informations et utilise sa propre mémoire. La
carte graphique s’insère dans un connecteur de la carte mère. Une fois connectée, les entrées et les
sorties de la carte sont accessibles par l’arrière du boîtier afin de fournir une image à l’écran et/ou à
une télévision si elle est équipée de la sortie adéquate.
Sur un PC on peut connecter des périphériques externes. Le clavier et la souris sont des
périphériques externes indispensables. D’autre périphériques externes sont connectés sur les
ports de communication (COM1, COM2, COM3 …) ou le(s) port(s) imprimante (LPT1, LPT2 …) il
s’agit principalement : du moniteur, de l’imprimante, du scanner, du modem externe et des outils
multimédia
• Tout écran doit en outre être accompagné d’une électronique adaptée qui se loge dans
l’unité centrale (carte vidéo). Les moniteurs CGA et VGA existent également en monochrome.
Actuellement, tous les nouveaux moniteurs sont de type VGA ou SVGA.
• La résolution : elle détermine le nombre de pixels (points) par unité de surface (pixels par
pouce carré ( en anglais DPI : Dots Per Inch). Ce nombre de points est actuellement compris
entre 640*480 (640 point en longueur, 480 points en largeur) et 1600*1200.
Les claviers sont à présent standardisés et possèdent tous 101/102 touches avec notamment
un pavé numérique (facilite l’entrée des nombres) et des touches spéciales pour le déplacement du
curseur. Il existe aussi des claviers à 105 touches, spéciaux pour windows 95 le clavier doit être piloté
par un programme adéquat correspondant au mode de disposition des touches (QWERTY, AZERTY)
On distingue par ces noms les claviers francais ou anglais dont les premières touches sont A,Z,E,R,T,Y
et Q,W,E,R,T,Y. directement connecté sur la carte-mère.
• Le bloc alphanumérique (en mode azerty ou qwerty selon les pays) qui ressemble beaucoup
au clavier des anciennes machines à écrire. Il comporte toutes les lettres de l’alphabet, les 10
chiffres, les signes de ponctuation, la barre d’espace et divers autres symboles d’usage courant,
ainsi que la touche de tabulation, la touches maj. (Shift) et de verrouillage majuscule (Caps
lock), la touche d’effacement arrière (souvent symbolisée par une flèche vers la gauche) qui
permet d’effacer vers la gauche, et la touche entrée ou CR ( Carriage Return = retour de chariot,
symbolisée par une flèche coudée) qui est la touche de validation ; il possède en outre des
touches spécifiques à l’ordinateur : la touche Ctrl, la touche Alt, la touche Alt Gr, qui s’emploient
en combinaison avec d’autre touches pour exécuter diverses opérations (c’est ainsi que Ctrl-C
= « copier », Ctrl-V = « coller » etc.).
• Le pavé numérique, rendu actif par la touche Verr num (contrôlée par un voyant vert),
composé des 10 chiffres et des quatre opérations, ainsi que d’une touche entrée spécifique.
• Une série de touches de fonction (F1, F2, etc.), programmables, utilisées surtout dans les
applications. Ainsi, sous Word, F7 active le correcteur orthographique. A noter que la touche
F1 active l’aide dans la plupart des logiciels.
Les claviers actuels possèdent en général entre 100 et 110 touches (105 pour les claviers ayant
les touches Windows situées de part et d’autre de la touche d’espacement).
La souris est un petit périphérique de pointage. Elle est matérialisée sur l’écran par une flèche
(ou un rectangle en mode texte) qui se déplace suivant le mouvement de la souris sur le bureau.
Celle-ci est munie de boutons qui permettent de « cocher » certaines cases de l’écran et d’obtenir
de suite l’action prévue par e programme. La souris doit être pilotée par un programme adéquat
correspondant au type de souris (2 ou 3 boutons) (Microsoft, Mouse System, PS/2). Connectée à un
port série (9 ou 25 broches) ou PS/2.
• Les tableurs (logiciel qui permet de réaliser automatiquement des calculs fastidieux et
répétitifs et propose également de présenter les résultats sous forme de tableaux élaborés)
• Les gestionnaires de bases de données (logiciel complexe qui permet de stocker les données
sous forme structurée et de les exploiter ensuite par l’utilisateur d’un langage de requête)
• Les navigateurs internet (logiciel permettant de « surfer » sur la toile mais nécessite une
connexion internet)
L’essentiel
Le matériel (hardware) correspond à l’aspect concret du système : unité centrale, mémoire,
organe d’entres-sorties. Les matériaux indispensables au fonctionnement de l’ordinateur sont :
l’alimentation, la carte mère, le processeur, la mémoire vive «RAM », le disque dur, le lecteur/
graveur et la carte mère.
De tout les logiciel, le plus important et indispensable est le système d’exploitation et vient
ensuite l’antivirus qui a pour rôle de protéger le dit système.
C • Décrire le fonctionnement
d’un système d’exploitation
Introduction
Un système ou logiciel d’exploitation est un programme gérant
l’ordinateur, indépendamment des programmes d’application mais utile
à leur utilisation, il est le lien entre l’homme, la machine et le système
d’application.
Les systèmes d’exploitation les plus connus de nos jours sont : Microsoft
A savoir disk Operating system (MS-DOS), Microsoft Windows (avec les différentes
Système d’exploitation versions 95 ; 98 ; 2000 ; NT ; XP Professionnel, Vista…) UNIX, LINUX, Mac
est abrégé SE et OS en Operating System (Mac OS).
Anglais qui signifie Ope-
rating System. I. Les modes de fonctionnement d’un
système d’exploitation
Lexique
L’architecture des systèmes d’exploitation décrits les caractéristiques
Système d’exploitation : fondamentales qui définissent leur structure interne.
Programme qui coor-
donne le bon fonctionne- 1. Les systèmes d’exploitation Mono-Utilisateur
ment de l’ordinateur.
Les systèmes d’exploitation mono – utilisateur sont des systèmes qui
sont utilisés par une seule personne. On parle de PC (Personal Computer).
• Gestion de la mémoire vive: le système d’exploitation est chargé de gérer l’espace mémoire
alloué à chaque application et, le cas échéant, à chaque usager. En cas d’insuffisance de
mémoire physique, le système d’exploitation peut créer une zone mémoire sur ledisque
dur, appelée «mémoire virtuelle». La mémoire virtuelle permet de faire fonctionner des
applications nécessitant plus de mémoire qu’il n’y a de mémoire vive disponible sur le système.
En contrepartie cette mémoire est beaucoup plus lente.
• Gestion des droits : le système d’exploitation est chargé de la sécurité liée à l’exécution des
programmes en garantissant que les ressources ne sont utilisées que par les programmes et
utilisateurs possédant les droits adéquats.
• Gestion des fichiers : le système d’exploitation gère la lecture et l’écriture dans le système de
fichier et les droits d’accès aux fichiers par les utilisateurs et les applications.
Windows3.1 X X
Windows95/98/Me X X
WindowsXP X X
Unix / Linux X X
MAC/OS X X X
A savoir Imaginez une grande commode qui contient des tiroirs dans lesquels
pourraient se trouver des fichiers ainsi que d’autres tiroirs. Un répertoire
L’extension d’un fichier
peut en effet contenir :
dépend du logiciel d’ap-
plication utilisé pour • des fichiers ;
créer ce fichier.
• d’autres répertoires.
a. Relations relatives
Si l’on reprend notre exemple de la commode, la plus grande entité
contenant d’autres entités est la commode : elle ne peut pas se trouver dans
un tiroir!
Dans cet exemple répertoire2 est parent de répertoire20 et de répertoire21. «répertoire2» vis-
à-vis de «répertoire20» sera ainsi notée «..». La racine (d:\) vis-à-vis de «répertoire20» sera quant à
elle notée «.\..» car deux relations de parenté les séparent.
b. Notion de chemin
On appelle «chemin» (en anglais path) la succession des répertoires en partant de la racine
pour atteindre un fichier. Sous les systèmes Windows un chemin sera de la forme x:\repertoire1\
repertoire2\ tandis que sous un système Unix il sera noté /repertoire1/repertoire2/.
3. Gestion de fichiers
Les différentes opérations que l’on peut effectuer sur les fichiers sont :
Création : Il revient donc de créer le fichier et l’enregistrer dans la machine pour une modification
future.
Modification : modifier un fichier c’est changer son contenu.
Renommer : cette opération permet de changer le nom que vous aviez donné à la création du
fichier.
Supprimer : effacer le fichier de votre ordinateur.
I. Définition
La numération désigne les techniques de représentation des nombres. Aussi elle concerne
les mots, les signes ou les symboles qui ont permis aux différents peuples d’énoncer, de mimer
ou d’écrire ces nombres. Par définition la numération permet de représenter un nombre par la
juxtaposition ordonnée des symboles pris dans un ensemble. Les représentations écrites au moyen
de signes constituent des systèmes de numération. Ces derniers sont nés, en même temps que
l’écriture, de la nécessite d’organiser les récoltes, le commerce et la datation.
1. Notations courantes
Pour n’importe quelle base, on a l’habitude de l’indiquer en petit en bas à droite du nombre.
Par exemple (100111)2 pour le nombre 100111 en base 2, ou encore (172)8 pour le nombre 172
en base 8.
De nombreuses bases de numération ont été employées par les peuples et à des époques
varies.
- Système quinaire (base 5) était utilisé parmi les premières civilisations, et jusqu’au XXe siècle
- Système octal (base 8) aurait été utilisé par la civilisation de la vallée de l’Indus.
- Système décimal (base10) a été utilisé par de nombreuses civilisations, comme les chinois.
Aujourd’hui, il est de loin le plus répandu.
- Système duodécimal (base12) est utilisé au Népal par le peuple Chepang. il favorise la
divisibilité par 2, 3, 4, 6.
- Système vicésimal (ou vigésimal, base 20) il existe au Bhoutan et utilisé par les Gaulois ou
par les basques.
- Système sexagésimal (base 60) était utilisé pour la numération babylonienne, ainsi que par
les Indiens et les Arabes en trigonométrie.
Mais dans le cadre de ce cours, nous nous intéressons seulement au système décimal et au
système binaire.
2. Le système décimal
Ce système comprend 10 symboles appelés chiffre : 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9. On l’appelle système
à base 10. Pour former un nombre dans ce système, on obtient un nombre quelconque en ajoutant
une unité au nombre précédent avec la convention que dix unités d’un ordre donne forment une
unité de l’ordre immédiatement supérieur. La valeur d’un chiffre dépend de sa position appelée
rang dans le nombre pouvant ainsi former son poids positionnel. …... centaine, dizaine, unités,
dixième ….
* L’usage du zéro (0) positionnel est une convention pratique et élégante, mais non nécessaire
pour représenter les entiers naturels, comme l’illustre le système décimal sans zéro. Il est, par contre,
indispensable pour généraliser l’écriture positionnelle aux nombres fractionnaires.
D’une manière générale, le nombre anan-1…a2a1a0 si il est exprimé en base B ne pourra comporter
que des chiffres a1 compris entre 0 et B-1 sa valeur sera :
+ 0 1 * 0 1
0 0 1 0 0 0
1 1 10 1 0 1
Quand on frappe la lettre ‘’a ‘’ sur le clavier de la machine à écrire ordinaire, on entend le bruit
du marteau où est inscrit le caractère ‘’a ‘’ en actionnant en fait un levier.
Quand on frappe la même lettre sur un clavier d’ordinateur, on fait surgir huit impulsions
électriques, reparties en deux catégories, des faibles et des fortes qui correspondent par convention
0 et 1. Le code pour la lettre ‘’a’’ est 01000001. A l’intérieur de l’ordinateur,
La série 01000001 déclenche des signaux lumineux qui deviennent un ‘’a’’ sur l’écran.
Le code pour ‘’b’’ est 0100010, celui pour ‘’c’’ est 01100011.
On utilise le système binaire dans les communications notamment dans l’enregistrement des
œuvres musicales.
D’une façon générale, le nombre de symboles utilises est appelée Base. Lorsqu’un nombre est
écrit, la position respective des symboles détermine le poids.
Le système Octal (N)8
C’est un système de numération utilisant la base 8. Ces chiffres sont compris entre 0 et 7.
Activité
a. Conversion binaire en décimal. Convertissons 01001101 à l’aide du tableau ci-dessous.
27 26 25 24 23 2² 21 20
0 1 0 0 1 1 0 1
87 86 85 84 83 8² 81 80
0 0 0 0 7 6 0 1
Remarque : Pour passer d’une base B1 à B2 avec B1 et B2 différents de la base 10, on passe B1
d’abord en base 10 puis en base B2.
0,62 * 2 = 1,24 . . . . . . . . . . . . . 1
0,24 * 2 = 0,48 . . . . . . . . . . . . . 0
0,48 * 2 = 0,96 . . . . . . . . . . . . . 0
0,96 * 2 = 1,92 . . . . . . . . . . . . . 1
0,92 * 2 = 1,84 . . . . . . . . . . . . . 1
0,96 * 2 = 1,92 . . . . . . . . . . . . . 1
0,92 * 2 = 1,84 . . . . . . . . . . . . . 1
0,84 * 2 = 1,68 . . . . . . . . . . . . . 1
(0,48)10 = (0,01111)2
Ensuite regarder dans le tableau pour trouver la correspondance de chaque chiffre dans cette
base et les laisser en groupe.
(2765,32)8 = (10111110101,01101)2
(5F3,82)16 = (010111110011,1000001)2
(10111110101,01101)2 = (2765,32)8
Parmi les codes les plus utilisés pour cette représentation, on peut citer :
10. N’oubliez pas de lire les instructions. Certaines sont peut être mal
écrites mais elles ne sont pas fa cultives.
Lors du chargement du SE (Windows, linux, Mac Os). Le bios vérifie les nombreux composants
du pc et s’il se trouve un qui ne répond pas ou qui pose des problèmes, il envoie un rapport à votre
écran.
Les phases initiales du chargement du système d’exploitation peuvent indiquer ce qui peut être
un indice essentiel vous permettant de découvrir un dysfonctionnement.
b. VERIFIER LE BIOS
Pour modifier les paramètres du BIOS, on accède à une interface appelée Setup. Il existe
différentes touches ou combinaisons de touches pour accéder à cette interface.
Pour nettoyer un PC, le logiciel indispensable et incontournable est TuneUp Utilities (Ccleaner
Crap cleaner, Nettoyeur de mer...).
TuneUp Utilities agit sur tous les fronts (configuration, protection, nettoyage et entretien) afin
d’améliorer les performances de votre ordinateur, d’éliminer les problèmes éventuels et d’adapter
votre système d’exploitation à vos besoins. Vous disposerez ainsi de TuneUp
Maintenance, Speed Optimizer, TuneUp Shortcut Cleaner, TuneUp Drive Defrag, etc.
L’application comporte tous les outils nécessaires pour : configurer selon vos préférences
l’apparence et le fonctionnement de Windows, éliminer les fichiers inutiles, nettoyer le registre,
sauvegarder les données importantes, protéger votre vie privée, augmenter votre connexion
Internet, libérer de la mémoire vive et beaucoup d’autres fonctionnalités. Le logiciel est simple
d’utilisation et présente une interface très claire.
Un PC est constitué d’un certain nombre de composants assemblés dans un boitier auquel sont
reliés des accessoires appelés « périphériques ». Il existe de nombreux modèles de PC qui différent
par leur formes, leurs tailles, leurs capacités, leurs vitesses, le nombre de périphériques ou leurs
prix. Tous disposent cependant de mêmes éléments de base qui permettent de remplir les fonctions
fondamentales d’un ordinateur.
Carte mère, Processeur, Mémoire vive (RAM), Boitier (châssis), Alimentation, Disque dur, Lecteurs
de disquettes, lecteur de CD-ROM, DVD-ROM, clavier, souris ,carte vidéo, moniteur(écran),carte son,
haut parleurs.
A savoir
Ne pas forcer en insé-
rant le processeur dans
son socket, les dom-
mages peuvent être irré-
versibles et ne sont pas
couverts par la garantie
constructeur.
Marqueur
• Repérez le premier emplacement mémoire grâce aux indications inscrites sur la carte mère
ou sur le manuel de la carte mère (Généralement, il est nommé DIMM1).
• Ecartez les fixations pivotantes blanches, comme ci-dessous. Il y en a une de part et d’autre
• Enfichez la barrette de mémoire, sans trop forcer, en respectant les encoches pour ne pas
l’inverser. Insérez-la, jusqu’ê éclissage des fixations blanches dans les encoches de la barrette
mémoire.
Disposer le boîtier à plat sur votre plan de travail afin d’avoir un bon appui sur les différentes
parties à assembler.
• Installez les supports de montage (entretoises) qui maintiendront la carte mère au boîtier.
(ces derniers sont soit des clipses en plastique soit des supports en métal fournis avec le boîtier)
• Insérez la carte mère dans le boîtier en prenant soin que les ports PCI/AGP, et les entrées/
sorties de la carte mère soient bien alignés avec les trous à l’arrière du boîtier.
• Branchez les connecteurs du boîtier aux broches de la carte mère (reset, power, HP,HDD led,
etcù ). (Les indications nécessaires aux branchements sont présentes sur le manuel de la carte mère)
(Généralement un connecteur pour LED est pourvu d’un fil blanc ou noir qui d´signe le (-) et
l’autre fil de couleur, le (+)).
• Connectez le connecteur en bout de nappe (celui le plus éloigné des 2 autres) sur la carte
mère.
• Veillez à faire correspondre le «1» de la carte mère avec le fil rouge de la nappe sur le
connecteur secondaire «Secondary IDE».
• Retirez l’un des caches 5 pouces 1/4 en plastique du boîtier et faites glisser le périphérique IDE
jusqu’ê faire correspondre les trous du chassis avec le périphérique.
• N’oubliez pas de connecter le cordon audio du lecteur CD-ROM (graveur, lecteur DVD) sur la
carte mère (comme ci-dessous) ou sur votre carte son...
A savoir
certaines carte mère
sont dotées d’une lan-
guette de fixation afin
d’éviter que la carte se
d´chausse lorsqu’on la
visse au chassis.
• leur vulnérabilité
Protection
c. Autres
Risques
Protections
a. Virus
Risques
Les effets d’un virus sont très variés, de l’affichage d’un simple message anodin à la destruction
complète de toutes les données de l’ordinateur.
• virus de boot : ils s’activent dès le démarrage de la machine et agissent avant que l’utilisateur
ne puisse prendre la main sur l’ordinateur.
• virus de macros : ils infectent les documents Word ou Excel et agissent lors de l’accès à ces
documents.
• virus de mail (ou vers) : ils utilisent les logiciels de messagerie (préférentiellement Outlook
Express) pour se répandre ; ils s’envoient automatiquement, en pièce jointe, à tout ou partie des
boîtes présentes dans le carnet d’adresses, en usurpant même parfois une adresse d’expéditeur.
Leur premier effet est de saturer les serveurs de messagerie mais ils peuvent également avoir des
actions destructrices pour les ordinateurs contaminés. Ils sont particulièrement redoutables, car
le fait de recevoir un mail d’une personne connue diminue la méfiance du destinataire, qui ouvre
alors plus facilement le fichier joint contaminé. Certains s’activent même sans ouverture de la pièce
jointe, simplement à la sélection du message dans la fenêtre de visualisation.
L’analogie avec un virus biologique permet de mieux comprendre le fonctionnement des virus
informatiques : capacité à se propager, à se reproduire, à se dissimuler dans le système, à muter, à
désactiver les protections… sont autant de caractéristiques communes à ces deux menaces !
Protections
Leur mode de fonctionnement est basé sur une veille permanente, à deux niveaux :
• cet antivirus doit être tenu à jour : la surveillance par l’antivirus se réfère à une base de
données contenant les signes d’activité de tous les virus connus. Chaque jour, de nouveaux virus
apparaissent, inventés par des experts en programmation désireux d’éprouver leurs compétences ;
en permanence, d’autres experts surveillent l’apparition de ces nouveaux programmes et conçoivent
des antidotes. On comprend qu’un antivirus ne sera efficace que s’il est régulièrement actualisé,
pour détecter les manifestations de tous les nouveaux virus. Pour des données stratégiques, une
mise à jour quotidienne est recommandée ; au niveau d’une école ou d’un particulier, une mise
à jour hebdomadaire paraît suffisante. La plupart des antivirus ont des fonctions de mises à jour
automatiques et/ou programmables, en ligne.
18. Tout ce qui fonctionne seul sans intervention de l’homme est automatique.
1. A calculer
2. A déplacer
3. A visionner
Exercices
67
B. La machine de Blaise PASCAL fut nommée :
1. La Pascaline
2. La multiplicatrice
3. Le boulier
1. L’INIAC et L’EDVAC.
3. Le boulier et la Pascaline
1. additionner et soustraire
2. Multiplier et diviser
3. Tout faire
1. Tout
2. Rien
3. Multiplication et division
F. IBM signifie
1. 1937
2. 1947
3. 1962
Questions ouvertes
3
1. Quel est le premier système de traitement de l’information que chaque Homme
ou animal a depuis sa naissance ?
7. Compléter les phrases suivantes par les mots suivants (addition, 1946,
soustraction, Z 3, 1938, binaire).
i. A la maison ?
iii. A l’école ?
a. Une unité de stockage qui permet de conserver les informations même lorsque
l’on éteint l’ordinateur.
b. Une unité de stockage qui ne permet pas de garder les informations lorsque
l’ordinateur est éteint.
Exercices
69
c. Un système de sécurité des ordinateurs
Quel est, parmi les objets suivants, celui qui est un périphérique ?
a. Le microprocesseur
b. Le clavier
c. L’unité centrale
a. Le logiciel d’application
b. Le système d’exploitation
c. Le microprocesseur
Quelles sont les différentes opérations que vous pouvez exécuter sur les dossiers ?
Exercices de conversion
6
1. Convertir les décimaux suivants en binaire, octal (base 8) et hexadécimal (base 12)
b. 0,1 ; 0,4 ; 0,21 ; 0,98 ; 0,123 ; 0,462 ; 0,5245 ; 0,6234 ; 0,11111 ; 0,88888 ;
b. 1011001 ;
c. 0,11001 ;
d. 101,1 ;
e. 110,001
f. 101010111000111
g. 101100100110,1101001
2. ……………. Elle consiste à intervenir sur un équipement une fois que celui-ci
est défaillant.
Dépannage
6
Questions ouvertes
Production d’un
document texte
Chapitre 1
Mise en forme d’un texte
Le traitement de l’information Chapitre 2
par l’ordinateur peut être visuali-
sé à l’aide des différents logiciels Utilisation des tableurs
d’application. Cependant, pour Chapitre 3
pouvoir la voir, sur papier il faut
Initiation à PowerPoint
l’imprimer et s’assurer qu’elle
est présentable Chapitre 4
Manipulation des bases de don-
nées
ap
itr
e 1
1 Objectifs
Une barre de titre portant le logo de l’application ainsi que le nom du document ouvert ainsi que
trois boutons permettant de réduire, restaurer et fermer directement le texteur.
Une barre de menu offrant de nombreux menu. un clic gauche de souris sur un menu déroule
une liste de commande qu’il suffit d’activer (clic gauche) pour réaliser une action.
Une barre d’outils disposant de nombreuses icônes qu’il suffit d’activer pour réaliser une action.
Lexique
Les icônes : une icône est une petite image qui symbolise une action ou une commande. elle s’active par un clic gauche de souris.
Exemple I : un clic gauche sur l’icône fait apparaître la boite de dialogue ci-après :
Lexique
Les boutons : un bouton est un élément d’une boîte de dialogue qui permet de valider vos paramètres et option choisie.
Insertion d’illustration
Un traitement de texte permet d’insérer les objets tels que :
• Des tableaux
• Exécuter la suite de commande insérer /entête de page (si c’est un entête de page qu’on
voudrait insérer)
• Dans la zone de saisie qui apparaît saisir le contenu de l’entête de page
• Une fois le contenue de l’entête saisie, double cliquer sur un votre document pour valider
l’entête
A savoir
Pour insérer un tableau dans un document, on peut suivre le de procédé suivant :
1. Se positionner à l’endroit où on voudrait insérer le tableau
2. Appliquer l’une des actions suivantes :
• A l’aide de la souris, exécuter la liste de commande ci après : Insertion/tableau Tableau /Insertion
• Dans la boîte de dialogue qui apparait, saisir la taille du tableau (nombre de lignes et de colonnes).
3. Une fois la taille saisie, cliquer sur OK pour insérer le tableau.
On peut insérer ou créer un tableau pour multiples raisons. On peut par exemple créer un
tableau dans le but réaliser le publipostage.
Le publipostatge
Le processus de publipostage permet de créer un ensemble de documents, par exemple une
invitation envoyée à un grand nombre de personnes, ou une carte scolaire contenant les informations
sur les élèves (nom, prénom, âge, photo, etc.). Chaque billet d’invitation ou carte scolaire possède
le même type d’informations, mais chaque contenu est unique. Par exemple, dans les billes
d’invitations adressés à vos invités, chaque bille peut être personnalisé et afficher le nom de l’invité.
Les informations uniques de chaque billet d’invitation ou de chaque carte scolaire proviennent des
entrées stockées dans une source de données (exemple un tableau).
A savoir
• Bien avant l’existence des traitements de texte, les Hommes utilisaient d’autres moyens pour saisir et traiter leurs
textes. De façon traditionnelle, le texte était saisi à main levée et on le faisait lire par une tierce personne pour
éventuellement corriger les fautes (orthographiques et grammaticales), mais cette méthode a été très vite dépassée
par la dactylographie. Tout ceci pour dire que bien avant l’existence des traitements, on adoptait plus ou moins les
attitudes d’un traitement de texte.
• Pour exécuter une action qu’on ne connait pas la procédure, on peut ouvrir la boîte de dialogue aide, saisir la procédure
recherchée, et exécuter les actions que nous proposer l’aide
Définitions La police (en informatique) est ensemble d’élément typographiques (caractère, couleur,
…) matérialisant l’aspect d’un objet (un caractère, une forme particulière, …). Mettre en forme un texte
signifie changer les propriétés ou les caractéristiques de ce texte (la forme, la grosseur, la couleur). Les
logiciels de traitement de texte disposent d’outils permettant de mettre rapidement en forme d’un texte.
Le style de police : permet de spécifier un style de police tel que gras ou italique
Dérouler l’onglet
Police sélectionnée
A savoir
Pour spécifier une taille de police ou une couleur de police, on peut appliquer le même procédé que décrit pour appliquer une
police de caractère.
A savoir
Pour appliquer le style de police italique ou souligné on peut appliquer le même procédé décrit pour appliquer
le style gras
Définition
Un style rapide (ou feuille de style) est une combinaison de caractéristiques de mise en forme, telles
que la police de caractère, taille de police, couleur de caractère, style de police qu’on nomme et on
enregistre comme un ensemble sous un nom.
Un style est un moyen commode pour rassembler divers formatages (mise en forme) sous un nom
facile à retenir pour ne pas être obligé de les effectuer plusieurs fois à la main l’un après l’autre. Le texte
auquel on attache un style reçoit automatiquement toutes les caractéristiques de mise en forme définies
dans ce style Exemples de styles rapides :
Titre 1 et Titre 2 sont des exemples de style Soit le texte : « Un style rapide est un ensemble de mise
en forme » .
Titre 1
Ce texte est écrit avec la police « Arial », une taille de police à « 14 », une couleur de texte « rouge
» et un style de police « italique »
Tire 2
A savoir
Il est également possible de créer et de personnaliser son propre style. Savoir comment faire, on peut demander l’aide de
l’application sur laquelle on travail.
Aide ?
Pour demander l’aide, il suffit de cliquer sur le menu ou cliquer sur le bouton , dans la boîte de
dialogue qui apparaît , on saisie style pour voir toutes les indications à propos des styles.
Lexique
Un glossaire est un lexique expliquant les mots rares d’un document, placés à la fin d’un ouvrage.
Appliquer le style Titre 1 au titre du document c’est à dire « chapitre2 : L’EDITION DES TABLES
DE MATIERES »
Appliquer le style Titre 2 à « introduction » et aux grands titres du chapitre c’est-à-dire « La mise
en forme », « Générer une table de matière » et « L’exploitation simultanée de plusieurs documents
».
Appliquer le style Titre 2 aux sous titre du document c’est-à-dire « le mise en forme simple », «
la mise en forme rapide », « marquer les entrées », « créer une table des matières », « modifier les
fenêtres », « les outils de vérification automatique »
A savoir
Appliquer un style à un texte signifie :
• sélectionner le texte
• Sélectionner un style dans la galerie des styles
Pour générer automatiquement une table des matières après avoir marquer les entrées, on peut
procéder comme suit :
2. Effectuer l’une des actions ci-après à l’aide de la souris (sur la barre des menus)
• Exécuter la suite de commande « insertion/référence/table et index »
• Exécuter la suite de commande « Références/Table des matières »
3. Faire un choix parmi dans la liste que l’application propose et suivre juste les instructions pour
générer la table de matière.
Les logiciels de traitement de texte offre la possibilité de travailler simultanément sur plusieurs
documents.
Pour travailler simultanément sur deux documents, il faudrait que les deux documents soient
ouverts et disposé l’une à côté de l’autre ou l’une en dessous de l’autre. La disposition des documents
dépend de la grosseur de votre écran d’ordinateur.
• Se position dans le document dans lequel on voudrait copier le contenu (document source)
• Une fois la sélection faite, faire un clique droit sur le texte sélectionné, dans le menu
contextuel qui apparaît choisir copier
Vous pouvez cliquer avec le bouton droit sur le mot mal orthographié de mot pour afficher les
corrections suggérées.
Vous pouvez cliquer avec le bouton droit sur l’erreur pour afficher d’autres options.
Le menu qui s’affiche peut comporter une suggestion de correction. Vous pouvez également
choisir d’ignorer l’erreur.
L’essentiel
• Un texteur est un logiciel qui permet de saisir un texte et de le mettre en forme. Il existe de nombreux logiciel de
traitement de texte.
• L’interface d’un texteur présente de nombreux outils. On peut citer : une barre d’outil, une barre de menu, de icône, des
boutons, les boites de dialogue…
• En plus de traiter un texte un texteur permet également d’insérer des illustrations (image, fichier son, fichier vidéo,
numéro de page, forme particulière, …
• La barre de menu d’un texteur offre plusieurs menus et lorsqu’on clique sur un menu, une liste de commande se
déroule.
• Une boîte de dialogue est une fenêtre d’un texteur permettant aux utilisateurs d’interagir avec le texteur
• Pour insérer une illustration dans un document, on peut suivre le procédé suivant : cliquer sur le menu insertion et
dans la liste qui apparait choisir le nom de l’illustration qu’on voudrait insérer. Il faut parfois dérouler un sous menu
pour atteindre le nom de l’illustration qu’on voudrait insérer.
• Un texteur permet également de réaliser le publipostage c’est-à-dire de réaliser rapidement certaines opérations comme
la fabrication des billets d’invitation, des bulletins de notes ou des cartes d’identités scolaires
• Mettre en forme un texte signifie changer les propriétés ou les caractéristiques de ce texte (la forme, la grosseur, la
couleur).
• Un style rapide (ou feuille de style) est une combinaison de caractéristiques de mise en forme, telles que la police de carac-
tère, taille de police, couleur de caractère, style de police qu’on nomme et on enregistre comme un ensemble sous un nom.
• Une table des matières est une liste méthodique des questions et sujet abordées dans un ouvrage. Elle contient générale-
ment les titres des chapitres, les tires et sous titres traités dans un chapitre ainsi que les numéros des ces pages.
• Travailler simultanément sur plusieurs documents signifie exploiter le contenu d’un ou de plusieurs documents pour enrichir
le contenu de l’autre.
• Les texteurs disposent des outils de vérifications automatiques orthographiques et grammaticales. Ces outils suggèrent des
corrections sur certains mots écrits avec les erreurs.
Activité
Décrire l’interface d’un tableur
Une feuille de calcul est un ensemble de cellules. Chaque cellule est une intersection entre une
ligne et une colonne.
A savoir
• Les lignes son identifiées dans une feuille par des chiffres.
• Les colonnes sont identifiées dans une feuille par des lettres.
• Une cellule est l’intersection d’une ligne et d’une colonne. Elle est référencée par la lettre de la colonne suivie du
chiffre de la ligne. La cellule dont la bordure est la plus épaisse est appelée cellule active, c’est la cellule A1.
Activité
Déterminer et définir les types de données manipulées par un tableur.
: le pointeur prend cette forme pour indiquer qu’on peut effectuer la saisie.
Procédure d’insertion
• Sélectionner la ligne, la colonne ou la cellule située à l’emplacement ou vous désirez insérer
la nouvelle.
• Copie incrémentées
Cette partie renferme la méthode de reproduction d’une succession d’élément sans toutefois les
saisir toute. C’est le cas des jours, des heures, des mois dans une feuille de calcul.
Procédure :
• Saisir une valeur dans une cellule
• Placer le curseur sur le bouton de recopie et s’assurer que le pointeur a pris la forme d’une
croix noir (forme deux vu plus haut)
• Cliquer sur la souris. Sans, lâcher, déplacer le curseur jusqu’à la dernière cellule de la plage
à remplir.
Pour effectuer une opération, la saisie débute toujours par le signe égal(=). Dans les cellules
on ne met pas les chiffres, mais les références des cellules qui les contiennent. Comme opération
arithmétiques on a l’addition, la soustraction, la multiplication et la division.
Illustration :
A B C D
1 20 3 = (A1+B1) Addition
2 15 25 = (A1- B1) Soustraction
3 7 7 = (A1*B1) Multiplication
4 52 10 = (A1/B1) Division
A la fin de la saisie de formule on appuie sur la touche entré et le résultat qui s’affiche remplacera
la formule. On obtient ceci :
A B C D
1 20 3 23 Addition
2 15 25 40 Soustraction
3 7 7 14 Multiplication
4 52 10 62 Division
Ces fonctions s’appliquent de la même façon. Elles prennent un ensemble de cellules et affiche
la valeur de la cellule qui a le plus grand chiffre pour le maximum et la plus petit chiffre pour le
minimum.
La fonction SOMME
Cette fonction prend plusieurs cellules et effectue la somme des valeurs qu’elles contiennent
et affiche le résultat.
La fonction MOYENNE
Elle fonctionne exactement comme la fonction somme. Elle affiche le résultat du calcul de la
moyenne des valeurs de plusieurs cellules.
Chaque feuille de calcul est composée de cellule. Une cellule est une intersection d’une ligne et
d’une colonne.
Chaque cellule est référencée par la lettre d’une colonne et le chiffre d’une colonne.
Certaines opérations peuvent être saisie tandis que d’autre peuvent être incluse dans la bibliothèque
du tableur.
A savoir
Une présentation PowerPoint n’est qu’un support, il ne faut surtout pas négliger le contenu de
votre discours. Une belle présentation avec un discours creux ne vous servira à rien !
les diapositives ne se lisent pas, il ne faut y faire figurer que les mots clefs ;
• la présentation doit être aérée et claire, si elle est trop surchargée, votre public se lassera vite !
• bien équilibrer vos diapositives, ne pas utiliser des polices trop grandes ni trop petites, faites des
présentations agréables à regarder ;
• Avant de vous lancer dans votre présentation, pensez :
o A la durée de votre présentation (on préconise de l’ordre de 1 diapositive par minutes, en
moyenne)
o Au public visé
o Au plan
Si vous ne savez pas à quoi correspond une icône, laissez votre curseur sur cet icône quelques
instants et une aide « info‐bulle » apparaîtra. Sinon, n’hésitez pas à aller consulter l’aide : Menu «
? » / Aide sur Microsoft Powerpoint, ou bien utilisez le raccourci F1.
2. Cliquer démarrer ‐‐> Tous les programs ‐‐> Microsoft office‐‐>Microsoft PowerPoint
La barre de menus
PowerPoint met à votre disposition toute une série de commandes permettant de travailler
avec le produit. Nous détaillerons progressivement tout au long de ce cours les différentes options
contenues dans la barre de menus.
Les barres d’outils contiennent des icônes permettant d’activer rapidement des commandes se
trouvant dans l’arborescence des menus. Nous les détaillerons également tout au long du cours.
Les barres d’outils pouvant être personnalisées, il se peut que vous n’ayez pas la même barre
d’outils ou même, que vous ayez plusieurs barres d’outils.
La barre règle
La barre règle permet de positionner les objets des diapositives de façon précise.
La barre d’état
La barre d’état donne des compléments d’informations sur les manipulations à exécuter le
nombre de diapositive que contient votre document.
N’oubliez pas que comme dans toutes les applications Windows, vous pouvez utiliser les outils
Vous pouvez utiliser ces raccourcis que ce soit pour copier/couper/coller une diapositive, un
objet dans une diapositive (du texte, une image, des flèches, des titres, enfin bref, tout objet d’une
diapositive).
Pour créer une nouvelle présentation, il faut cliquer sur Fichier/Nouveau. Ensuite vous avez
principalement deux possibilités :
On vous propose alors ensuite le format de la première diapositive (cf figure suivante). Cette
même figure apparaît chaque fois que vous voulez ajouter une diapositive en passant par le menu
Dans le même principe que les différents modèles de conception, on vous propose différents
modèles de diapositive pré‐formatées :
Tous ces exemples de diapositives pré‐formatées sont là pour vous simplifier la vie, alors utilisez
les àbon escient !Vous pouvez toujours partir d’une diapositive vierge et la construire comme bon
vous semble à partir des outils qui sont à votre disposition.
Une fois que vous avez mis une zone de texte sur votre diapositive, vous pouvez l’éditer en
Vous pouvez :
Pour insérer des tableaux ou des diagrammes dans une diapositive, vous avez deux possibilités :
Insertion / Objet puis choisir dans la liste déroulante ce que vous désirez insérer : une feuille de
calcul Excel par exemple ou bien un graphique Excel.
Si vous choisissez de créer des diagrammes de toute pièce, vous pouvez modifier à chaque
instant les valeurs du diagramme en double cliquant sur le diagramme. A ce moment, si jamais la
feuille de donnée ne s’ouvre pas automatiquement, cliquez avec le bouton droit sur le diagramme et
choisissez « Feuille de donnée ».
Le masque des diapositives contrôle ainsi certaines caractéristiques de texte (type, couleur de
la police, …), ainsi que la couleur d’arrière plan et certains effets spéciaux, par exemple l’ombre et le
style des puces.
Pour modifier un des éléments de ce masque, il suffit de cliquer sur l’élément concerné, puis de
lui appliquer les effets souhaités. Par exemple, pour modifier la police, taille et la couleur de texte, il
suffit de cliquer sur la zone de texte puis de faire Format/Police ou d’utiliser les raccourcis de la barre
d’outils pour modifier les attributs.
Les animations
Vous avez la possibilité d’animer l’apparition des objets d’une diapositive, quels qu’ils soient : du
texte, des images, etc… Pour ce faire, cliquez avec le bouton droit sur l’objet à animer et sélectionnez
«Personnaliser l’animation ». Sur la figure suivante, je cherche à animer une zone de texte.
Si c’est la première fois que vous enregistrez votre présentation, ou si vous avez cliqué sur
«Enregistrer Sous », une fenêtre s’affiche.
Lexique
Système d’information : ensemble d’acteurs qui s’échangent des informations selon un ensemble de règles et de procé-
dures et ayant un but à atteindre.
manipuler les données présentes dans la base de données (insertion, suppression, modification)
Lexique
SGBD : Système de Gestion de Bases de Données
le système de gestion de fichiers : il permet le stockage des informations sur un support physique
La modélisation consiste à créer une représentation virtuelle d’une réalité de telle façon à faire
ressortir les points auxquels on s’intéresse. »
Ce type de méthode est appelé analyse. Il existe plusieurs méthodes d’analyse, la méthode la
plus utilisée en France étant la méthode MERISE.
Cette succession d’étapes est appelée cycle d’abstraction pour la conception des systèmes
d’information :
L’expression des besoins est une étape consistant à définir ce que l’on attend du système
d’information automatisé, il faut pour cela :
Cela va permettre de créer le MCC (Modèle conceptuel de la communication) qui définit les flux
d’informations à prendre en compte.
L’étape suivante consiste à mettre au point le MCD (Modèle conceptuel des données) et le MCT
(Modèle conceptuel des traitements) décrivant les règles et les contraintes à prendre en compte.
Le modèle conceptuel des données (MCD) a pour but d’écrire de façon formelle les données
qui seront utilisées par le système d’information. Il s’agit donc d’une représentation des données,
facilement compréhensible, permettant de décrire le système d’information à l’aide d’entités.
Lexique
Une entité est la représentation d’un élément matériel ou immatériel ayant un rôle dans le système que l’on désire décrire.
Une classe d’entité un ensemble composé d’entités de même type, c’est-à-dire dont la définition est la même.
Le classement des entités au sein d’une classe s’appelle classification (ou abstraction). Une entité
est une instanciation de la classe. Chaque entité est composée de propriétés, données élémentaires
permettant de la décrire.
Les classes d’entités sont représentées par un rectangle. Ce rectangle est séparé en deux champs :
le champ du haut contient le libellé. Ce libellé est généralement une abréviation pour une raison
de simplification de l’écriture. Il s’agit par contre de vérifier qu’à chaque classe d’entité correspond
un et un seul libellé, et réciproquement
Une classe de relation contient donc toutes les relations de même type (qui relient donc des
entités appartenant à des mêmes classes d’entité). Une classe de relation peut lier plus de deux
classes d’entité. Voici les dénominations des classes de relation selon le nombre d’intervenants :
Chapitre 4 : Manipulation des bases de données
107
Activité
Comment appelle –t-on une relation reliant deux objets ?
une classe de relation récursive (ou réflexive) relie la même classe d’entité
Les classes de relations sont représentées par des hexagones (parfois des ellipses) dont l’intitulé
décrit le type de relation qui relie les classes d’entité (généralement un verbe). On définit pour
chaque classe de relation un identificateur de la forme Ri permettant de désigner de façon unique la
classe de relation à laquelle il est associé.
La cardinalité
Les cardinalités permettent de caractériser le lien qui existe entre une entité et la relation à
laquelle elle est reliée. La cardinalité d’une relation est composée d’un couple comportant une borne
maximale et une borne minimale, intervalle dans lequel la cardinalité d’une entité peut prendre sa
valeur :
la borne minimale (généralement 0 ou 1) décrit le nombre minimum de fois qu’une entité peut
participer à une relation
la borne maximale (généralement 1 ou n) décrit le nombre maximum de fois qu’une entité peut
participer à une relation
Une cardinalité 1.N signifie que chaque entité appartenant à une classe d’entité participe au
moins une fois à la relation.
Une cardinalité 0.N signifie que chaque entité appartenant à une classe d’entité ne participe pas
forcément à la relation.
L’identifiant est une propriété particulière d’un objet telle qu’il n’existe pas deux occurrences
de cet objet pour lesquelles cette propriété pourrait prendre une même valeur. Les attributs d’une
classe d’entité permettant de désigner de façon unique chaque instance de cette entité sont appelés
identifiants absolus.
Le modèle conceptuel des données propose de faire précéder d’un # les identifiants (parfois de
les souligner).
Ainsi, chaque classe d’entité doit posséder au moins un attribut identifiant, et l’ensemble de ses
attributs identifiants doivent être renseignés à la création de l’entité.
Le modèle relationnel
Le modèle logique des données consiste à décrire la structure de données utilisée sans faire
référence à un langage de programmation. Il s’agit donc de préciser le type de données utilisées lors
des traitements.
la table aura comme attributs, les attributs des deux classes de relation précédés des noms des
classes respectives, puis le (ou les) attribut(s) de relation
Le langage SQL
Qu’est ce SQL ?
SQL (Structured Query Language, traduisez Langage de requêtes structuré) est un langage de
définition de données (LDD, ou en anglais DDL Data Definition Language), un langage de manipulation
de données (LMD, ou en anglais DML, Data Manipulation Language), et un langage de contrôle de
données (LCD, en anglais DCL, Data Control Language).
SQL est un langage de définition de données (LDD), c’est-à-dire qu’il permet de créer des tables
dans une base de données relationnelle, ainsi que d’en modifier ou en supprimer. Pour cela, il utilise
le couple de mots clés CREATE TABLE
La création de tables
La création de tables se fait à l’aide du couple de mots-clés CREATE TABLE. La syntaxe de définition
simplifiée d’une table est la suivante :
Le nom donné à la table doit généralement (sur la plupart des SGBD) commencer par une lettre,
et le nombre de colonnes maximum par table est de 254.
Une contrainte d’intégrité est une clause permettant de contraindre la modification de tables,
faite par l’intermédiaire de requêtes d’utilisateurs, afin que les données saisies dans la base soient
conformes aux données attendues. Ces contraintes doivent être exprimées dès la création de la
table grâce aux mots clés suivants :
DEFAULT
NOT NULL
UNIQUE
CHECK
Voici un exemple permettant de voir la syntaxe d’une instruction de création de table avec
contraintes :
Définition de clés
Grâce à SQL, il est possible de définir des clés, c’est-à-dire spécifier la (ou les) colonne(s) dont la
connaissance permet de désigner précisément un et un seul tuple (une ligne).
L’ensemble des colonnes faisant partie de la table en cours permettant de désigner de façon
unique un tuple est appelé clé primaire et se définit grâce à la clause PRIMARY KEY suivie de la
liste de colonnes, séparées par des virgules, entre parenthèses. Ces colonnes ne peuvent alors plus
prendre la valeur NULL et doivent être telles que deux lignes ne puissent avoir simultanément la
même combinaison de valeurs pour ces colonnes.
Commande SELECT
La commande SELECT est basée sur l’algèbre relationnelle en effectuant des opérations de
sélection de données sur plusieurs tables relationnelles par projection. Sa syntaxe est la suivante :
GROUP BY
HAVING
ORDER BY
L’option ALL est, par opposition à l’option DISTINCT, l’option par défaut. Elle permet de
sélectionner l’ensemble des lignes satisfaisant à la condition logique
L’option DISTINCT permet de ne conserver que des lignes distinctes, en éliminant les doublons
La liste des noms de colonnes indique la liste des colonnes choisies, séparées par des virgules.
Lorsque l’on désire sélectionner l’ensemble des colonnes d’une table il n’est pas nécessaire de saisir
la liste de ses colonnes, l’option * permet de réaliser cette tâche
La liste des tables indique l’ensemble des tables (séparées par des virgules) sur lesquelles on
opère
Le SQL permet la modification d’une table par un utilisateur (pour peu qu’il ait les droits
suffisants...). La modification d’une table consiste à:
Insertion de données
avec la clause VALUES: une seule ligne est insérée, elle contient comme valeurs, l’ensemble
des valeurs passées en paramètre dans la parenthèse qui suit la clause VALUES. Les données sont
avec la clause SELECT: plusieurs lignes peuvent être insérées, elles contiennent comme valeurs,
l’ensemble des valeurs découlant de la sélection. Les données sont affectées aux colonnes dans
l’ordre dans lequel les colonnes ont été déclarées dans la clause INTO
WHERE qualification
Lorsque l’on remplace un nom de colonne suivant la clause SELECT par une constante, sa valeur
est affectée par défaut aux tuples. Il n’est pas possible de sélectionner des tuples dans la table dans
laquelle on insère des lignes (en d’autres termes Nom_de_la_table doit être différent de Nom_de_
la_table2)
Modification de données
La modification de données (aussi appelée mise à jour) consiste à modifier des tuples (des lignes)
dans une table grâce à l’ordre UPDATE. La modification à effectuer est précisée après la clause SET.
Il s’agit d’une affectation d’une valeur à une colonne grâce à l’opérateur = suivi d’une expression
algèbrique, d’une constante ou du résultat provenant d’une clause SELECT. La clause WHERE permet
de préciser les tuples sur lesquels la mise à jour aura lieu
UPDATE Nom_de_la_table
WHERE qualification
Suppression de données
La suppression de données dans une table se fait grâce à l’ordre DELETE. Celui-ci est suivi de la
clause FROM, précisant la table sur laquelle la suppression s’effectue, puis d’une clause WHERE qui
décrit la qualification, c’est-à-dire l’ensemble des lignes qui seront supprimées.
WHERE qualification
L’ordre DELETE est à utiliser avec précaution car l’opération de suppression est irréversible. Il
faudra donc s’assurer dans un premier temps que les lignes sélectionnées sont bien les lignes que
l’on désire supprimer!
SQL est un langage de manipulation de données (LMD), cela signifie qu’il permet de sélectionner,
insérer, modifier ou supprimer des données dans une table d’une base de données relationnelle.
GRANT permet d’accorder des droits à un (parfois plusieurs sur certains SGBD) utilisateur
REVOKE permet de retirer des droits à un (ou plusieurs sur certains SGBD) utilisateur
Privilèges
Les privilèges sont les clauses qui peuvent être autorisées/retirées à un utilisateur. Les principales
sont :
Droits
L’unique personne pouvant accorder ou retirer des droits sur un élément (table, vue ou index)
est la personne qui l’a créé. Toutefois, il lui est possible de transmettre ce droit d’accorder/retirer
des droits, auquel cas la personne recevant cet «honneur» aura le droit de transmettre ce «pouvoir»
sur ces éléments.
Cette succession d’étapes est appelée cycle d’abstraction pour la conception des systèmes
d’information :
Le modèle conceptuel des données (MCD) a pour but d’écrire de façon formelle les données
qui seront utilisées par le système d’information. Il s’agit donc d’une représentation des données,
facilement compréhensible, permettant de décrire le système d’information à l’aide d’entités.
Le modèle logique des données consiste à décrire la structure de données utilisée sans faire
référence à un langage de programmation. Il s’agit donc de préciser le type de données utilisées
lors des traitements. Ainsi, le modèle logique est dépendant du type de base de données utilisé.
Le langage SQL
Qu’est ce SQL ?
SQL (Structured Query Language, traduisez Langage de requêtes structuré) est un langage
de définition de données (LDD, ou en anglais DDL Data Definition Language), un langage de
manipulation de données (LMD, ou en anglais DML, Data Manipulation Language), et un langage
de contrôle de données (LCD, en anglais DCL, Data Control Language).
SQL est un langage de définition de données (LDD), c’est-à-dire qu’il permet de créer des
CONSTRAINT
DEFAULT
NOT NULL
UNIQUE
CHECK
Définition de clés
Grâce à SQL, il est possible de définir des clés, c’est-à-dire spécifier la (ou les) colonne(s)
dont la connaissance permet de désigner précisément un et un seul tuple (une ligne).
Commande SELECT
La commande SELECT est basée sur l’algèbre relationnelle en effectuant des opérations
de sélection de données sur plusieurs tables relationnelles par projection. Sa syntaxe est la
suivante :
GROUP BY
HAVING
ORDER BY
SQL est un langage de manipulation de données (LMD), cela signifie qu’il permet de
sélectionner, insérer, modifier ou supprimer des données dans une table d’une base de données
relationnelle.
Problème :
3
Lancer le programme Excel et reproduisez le tableau suivant.
Enregistrer le tableau dans mes documents et dans votre sous répertoire sous le
nom « letableurExcel ».
Le nom de la feuille n’étant pas symbolique, dites ce qu’il faut pour changer ce nom.
...........................................................................
...........................................................................
............................
1. Faire une présentation powerpoint sur un sujet de votre choix (vous pouvez
5 choisir de presenter la confection d’un met traditionnel, ou encore présenter une leçon
de science ou d’histoire).
2. Insérer dans votre présentation un diagramme fait sur excel.
3. Inserer une animation(ex . un drapeau flottant de votre pays).
Problème
6
Enoncé
Une entité personne comporte les propriétés suivantes : un numéro de personne, un
nom et une adresse. Une entité véhicule comporte les propriétés suivantes : un numéro
d’immatriculation et une marque. Vous devez représenter les associations :
a) Posséder sachant qu’un véhicule appartient à une seule personne ;
b) Conduire sachant qu’une personne conduit plusieurs véhicules et qu’un véhicule
pourra être utilisé par plusieurs personnes.
c) Donner le modèle conceptuel de données (MCD).
d) Donner le modèle logique de données (MLD).
Créer les tables correspondantes en utilisant le langage SQL.
Exercices
119
MODULE 4
Chapitre 01
Le problème de distance est
résolu aujourd’hui à l’aide des Introduction aux réseaux infor-
outils de communication tel que matiques
les téléphones, l’internet, etc.
Comment ses outils font – ils Chapitre 02
pour pouvoir communiquer
ensemble? Technologie internet
ap
itr
e 1
1 Objectifs
Ch Introduction
Cadre de référence
aux • Définir réseau informatique
pour l’intégration
réseaux informatiques • Connaitre les intérêts d’un
réseau informatique
pédagogique
Ce qu’il faut savoir avanten TIC :
de commencer • Identifier les différents types
Connaitre les organes de base d’un micro- de réseaux informatiques
ordinateur et surtout les composants de
• Connaitre Les différentes
l’unité centrale. architectures des réseaux
informatiques
I. Définition
Activité Un réseau informatique (informatique network) est un ensemble d’ordina-
Votre grand frère se teurs et périphériques connectés les uns aux autres.
trouve en France. Quels
sont les moyens de II. Les intérêts d’un réseau
communication que vous
pouvez utiliser pour Voici un certain nombre de raison pour lesquelles un réseau est utile :
communiquer avec lui ?
Un réseau permet de :
• Un protocole de communication ;
• Imprimantes, fichiers, les éléments utilisés par les usagers du réseau et autres Périphériques
partagés, les personnes;
a. Le réseau LAN
LAN signifie Local Area Network (en français réseau local). C’est un ensemble d’ordinateurs
appartenant à une même organisation et reliés entre eux dans une petite aire géographique
d’environ un kilomètre carré.
b. Le réseau MAN
Le MAN signifie Metropolitan Area Network. Il interconnecte plusieurs LAN
c. Le réseau WAN
Le WAN signifie Wide Area Network (en français réseau étendu). Il interconnecte plusieurs LAN
à travers de grandes distances géographiques. Le WAN le plus connu est Internet. Le débit est élevé
lorsque le moyen de connexion est le satellite.
• Le TAN (Tiny Area Network) identiques aux LAN mais moins étendus (2 à 3 machines).
• Le CAN (Campus Area network) identique aux MAN avec une bande passante très Maximale
entre tout les LAN du réseau.
• Le VPN (Virtual Private Network) qui signifie en français Réseau Privé Virtuel. Ce sont des
réseaux internes à une même organisation. IL permet de connecter généralement les RLE entre eux
via Internet et un protocole de communication qui permettra de transmettre de façon chiffrée les
données :
Lexique
Transceiver :
Appelé aussi adapteur,il permet d’assurer la transformation des signaux circulant sur le support physique, en signaux
logiques manipulables par la carte réseau, aussi bien à l’émission qu’à la réception.
• Informatique mobile.
• L’infrarouge ;
• Réseau cellulaire ;
• Station stellite.
a. Présentation
C’est un arrangement propre à certains réseaux locaux dans lequel le serveur (micro-ordinateur,
mini ordinateur ou un grand centre d’informatique très puissant en terme de capacité d’entrées/
sorties) soutient le client (micro-ordinateur indépendant qui fourni a l’utilisateur toute la gamme de
ses services pour exécuter les applications) en lui offrant dans un environnement de temps partagé
(utilisation simultanée d’une ressource informatique par plusieurs individus), des services de gestion
de données, de partage d’information, d’administration du réseau et de sécurité.
• Des ressources centralisés : le serveur étant le centre du réseau gère toutes ressources
commune a tous les utilisateurs.
• Une meilleure sécurité : car le nombre de points d’entrée permettant l’accès au données est
moins important.
• Un réseau évolutif : car il est possible de supprimer ou rajouter des clients sans perturber le
réseau.
• Une administration au niveau du serveur : Car les clients ont peu d’importance dans modèle
et par conséquent ont moins besoin d’être administrer.
• Un maillon faible étant donné que tout le réseau est construit autour du serveur !
heureusement que le serveur a une grande tolérance des pannes.
a. Présentation
Dans une architecture d’égal à égal (où dans sa dénomination anglaise peer to peer), il n’y a
pas de serveur dédié. Ainsi chaque ordinateur dans un tel réseau est un peu serveur et un peu
client. Cela signifie que chacun des ordinateurs du réseau est libre de partager ses ressources. Un
ordinateur relié à une imprimante pourra donc éventuellement la partager afin que tous les autres
ordinateurs puissent y accéder via le réseau.
• Tous les utilisateurs doivent être situés dans une même zone géographique ;
• Un coût réduit (les coûts engendrés par un tel réseau sont le matériel, les câbles et la
maintenance) ;
• Ce système n’est pas du tout centralisé, ce qui le rend très difficile à administrer
• Les réseaux d’égal à égal son conseiller pour des applications (travaux) ne nécessitants pas
une grande sécurité.
1. La topologie physique
a. Définition
C’est l’arrangement physique des ordinateurs d’un réseau. On distingue trois types de topologie
physiques :
b. La topologie en bus
Une topologie en bus est une organisation dans laquelle tous les ordinateurs du réseau sont
reliés à une même ligne de transmission par l’intermédiaire d’un câble.
c. La topologie en étoile
Une topologie en étoile est une organisation dans laquelle tous les ordinateurs du réseau sont
reliés à un système matériel appelé HUB ou
concentrateur ou un Switch (boite comprenant
un certain nombre de jointions aux quelles on
peut connecter les câbles en provenance des
ordinateurs)
d. La topologie en anneau
Une topologie en anneau une topologie dans laquelle tous les
ordinateurs du réseau sont reliés à un répétiteur appelé MAU (Multi
station Access Unit) qui gère la communication entre les ordinateurs qui
lui sont reliés.
2. La topologie logique
C’est une topologie qui représente la façon selon la quelle les données transitent dans le câble.
Les topologies logiques utilisant cette topologie physiques sont : Ethernet, FDDI et Token ring
(anneau à jeton).
a. Le câble coaxial
Ici on en distingue également deux catégories :
• Le câble coaxial fin (THINET), qui est souple de diamètre 0.65cm environ véhicule la
communication sur une longueur de 185 m avant qu’elle ne commence à s’affaiblir, il fait partir des
câbles RG-58 qui ont pour impédance 50 Ω.
• Le câble coaxial épais, qui est rigide de diamètre 1,27cm et peut transporter les signaux sur
une longueur de 500m avant que ceux–ci ne commence à s’affaiblir .On l’appelle aussi ETHERNET
standard.
• Paire torsadée non blindée ou UTP (unshielded twisted pair), transportant les données sur
longueur maximal de 100m.
• Platine de brassage
d. La carte réseau
C’est la carte d’extension qui a pour rôle de préparer d’envoyer et de recevoir les données .Elle
doit être compatible avec les BUS de l’ordinateur et avoir le connecteur adéquat pour le câblage du
réseau .Elle influence sur les sur les performances du réseau .Il existe des cartes réseaux spécialisées
comme les cartes pour fibre optique.
L’essentiel
Un réseau informatique (informatique network) est un ensemble d’ordinateurs et
périphériques connectés les uns aux autres. Il présente beaucoup d’intérêts parmi lesquels :
• La Diminution des coûts grâce aux partages des données et des périphériques ;
Il existe différents types de réseaux : les LAN, MAN, WAN. Cependant, ces types de réseaux
respectent chacune l’une des architecture : l’architecture client/serveur et l’architecture peer
to peer. Tout cela en obéissant à l’une des topologies suivantes : bus, étoile, anneau. Et en
utilisant l’un des supports physique d’interconnexion suivants : la paire torsadée, le câble coaxial
et la fibre optique.
Introduction
Internet est constitué de milliers de réseaux interconnectés de par le monde. Chaque
gouvernement, chaque société, chaque organisme relié à Internet est responsable de la maintenance
de son propre réseau.
Si une partie d’Internet tombe en panne l’information transite par un nouveau chemin évitant
les ordinateurs défectueux.
Lorsque vous êtes sur Internet, vous êtes tenu de respecter les règles de conduite propres à
Internet, c’est-à-dire ne pas importuner les autres et rester soi-même. Quoi qu’il arrive, vous n’êtes
pas connecté à Internet de façon anonyme (malgré tout ce que vous pouvez imaginer).
Internet est issu du réseau Arpanet, qui a été conçu dans les années 1960 par l’ARPA (Advanced
Research Project Agency) pour le département américain de la Défense. À l’origine, il s’agit d’un
réseau coopératif d’ordinateurs permettant le partage de données stockées sur des serveurs distants,
ainsi que l’échange de messages électroniques (e-mails). Réseau à usage militaire, Arpanet s’étend
alors progressivement aux universités américaines dans les années 1970.
utilisateur@domaine
Lexique
« Lexique @ se lit arobase »
@ se lit arobase.
La partie de droite décrit le nom de domaine concerné et la partie de
gauche désigne l’utilisateur appartenant à ce domaine. A chaque domaine
correspond un ou plusieurs serveurs de messagerie (enregistrement de type
MX dans le système de noms de domaine).
Lettres minuscules a à z ;
Chiffres
Caractères « . », « _ » et « - ».
prenom.nom@fournisseur.domaine
Exemples : mon.email2008@yahoo.fr ;
ce_mail.estamoi1@voila.fr ;
Utilisation du courrier
Éléments envoyés, Boîte d’envoi (Out, Sent) : ce sont les copies des
messages que vous avez envoyés
De (From) : c’est votre adresse électronique, la plupart du temps vous n’aurez pas à remplir ce
champ car il est généralement défini par le client de messagerie selon vos préférences
Objet (Subject) : il s’agit du titre que votre destinataire verra lorsqu’il voudra lire le courrier
Bcc (Blind Carbon Copy, traduisez Copie Carbone Invisible, notée Cci, parfois Copie cachée) : il
s’agit d’une simple Copie Carbone à la différence près que le destinataire ne voit pas dans l’en-tête
la liste des personnes en copie cachée
Répondre (Reply) : envoie un message de réponse à l’expéditeur (en incluant parfois son propre
Faire suivre, Transférer (Forward) : fait suivre le message à quelqu’un d’autre en indiquant que le
message provient de vous. Le sujet est généralement précédé de Fwd: pour indiquer qu’il s’agit d’un
message que l’on a fait suivre.
La nétiquette (contraction des mots « Net » et « éthique ») représente l’ensemble des règles de
bon usage sur Internet afin de respecter les autres et d’être respecté.
Il s’agit donc uniquement de règles de civilité et de bonne conduite afin de permettre à l’ensemble
des internautes de partager un comportement respectueux des autres.
Indiquer clairement le sujet du message dans la zone « Objet » (ou « Sujet ») Ceci est
particulièrement important pour le destinataire. Il sera d’autant plus facile pour le destinataire de
distinguer dans l’ensemble des courriers qu’il reçoit ceux qui sont prioritaires de ceux qui le sont
moins si le sujet du message est explicite. Cela lui permettra aussi de classer plus facilement les
courriers reçus. Il est possible de faire une distinction entre un sujet général, par convention mis
entre crochets (le nom d’un projet par exemple) et l’énoncé bref du sujet ; Par exemple :
Il vous suffit de lancer un site d’adresse de courrier électronique pour retrouver ces champs
www.yahoo.fr.
Le champ « To : » (ou en français « A : ») désigne le destinataire principal. C’est à lui que s’adresse
le courrier électronique.
Avant de transmettre un message, prendre le temps de le relire. Pensez à corriger les fautes de
frappe ou de français. Le style des messages reflète l’image de l’expéditeur.
S’assurer de bien s’identifier et de laisser des coordonnées à la fin du message. Pensez à laisser
votre signature au bas des messages, mais sans prendre trop de place (4 ou 5 lignes au maximum), en
précisant par exemple votre fonction, votre entité de rattachement. Les coordonnées téléphoniques
peuvent être utiles si un de vos destinataires cherchent à vous joindre rapidement. La coutume veut
que la signature soit précédée d’une ligne contenant simplement deux tirets (« -- »).
A moins que cela ne soit essentiel, prendre l’habitude de ne pas imprimer le courrier électronique.
Lorsque le courrier est classé, il peut être retrouvé rapidement si nécessaire. Il est donc inutile
d’imprimer systématiquement son courrier. Cela évite de gaspiller du papier inutilement et donc
contribue à préserver l’environnement.
2. Recherches
Internet vous donne accès à des informations concernant toutes sortes de sujets imaginables.
Vous pouvez consulter entre autres : des journaux, des magazines, des documents universitaires ou
gouvernementaux, des retranscriptions d’émissions de télévision, des offres d’emploi, des horaires
d’avion.
Les moyens pour avoir des informations sont différents. Soit vous connaissez le site dans lequel
vous trouver l’information ; là vous tapez dans la barre d’adresse l’url du site. Soit vous lancez une
recherche par un l’un des moteurs de recherche que vous connaissez ; et ensuite vous cliquez sur
l’un des liens que vous offre le moteur de recherche
3. Programmes
Un programme comme nous le savons déjà est une application qui permet de résoudre un
problème.
Des milliers de programmes sont disponibles sur Internet. On trouve entre autre, des traitements
de texte, des tableurs, des programmes utilitaires, des jeux.
Tous ces programmes peuvent être consultés en ligne ou télécharger dans votre micro-ordinateur
pour une utilisation personnelle
4. Le téléchargement
On appelle généralement «téléchargement» le fait de copier sur un support de stockage local
une ressource située sur le réseau.
Le terme téléchargement est néanmoins plus large et désigne la copie d’un fichier à travers un
réseau. On distingue ainsi les deux types de téléchargement suivants :
• Sinon cliquer sur le lien ou bouton « télécharger » s’il apparait en face du fichier puis cliquer
sur « enregistrer » pour télécharger dans le répertoire par défaut de votre disque.
Téléchargement en sens montant (en anglais upload), correspondant à un envoi de fichier par
le réseau.
Activité
Télécharger un document du format .pdf
Télécharger un logiciel pour le téléphone Samsung.
5. Groupes de discussion
Sur Internet, vous pouvez rejoindre des groupes de discussions pour rencontrer des personnes
avec qui vous partagez des centres d’intérêt. Vous posez des questions, discutez de problèmes et
lisez des histoires.
Il existe des milliers de groupes de discussions sur des sujets tels que l’environnement,
l’alimentation, l’humour, la musique la photographie, la religion, le sport, la télévision.
Contrairement à un forum de discusssion les conversations sur un chat on lieu en temps réel et
ne sont pas capitalisées, ce qui signifie qu’elles ne bénéficient qu’aux seules personnes présentes
(certains chats permettent toutefois d’enregistrer les conversations).
L’objectif poursuivi par un chat n’est pas le même que celui d’un forum de discussion : un chat
favorise la communication en temps réel entre un petit groupe d’individus et se rapproche plus d’une
communication privée, tandis qu’un forum de discussion permet à un grand nombre d’individus
d’échanger et de consulter la conversation sans nécessairement être présents au même moment.
Un chat se présente la plupart du temps sous la forme d’une fenêtre subdivisée en plusieurs
parties :
• La zone de saisie, dans laquelle l’utilisateur peut saisir un message à envoyer au(x)
destinataire(s) ;
• La liste des chatteurs connectés, permettant de voir l’ensemble des personnes présentes
dans le canal de discussion. La plupart du temps un clic sur le nom d’un utilisateur permet d’ouvrir
une communication privée avec celui-ci.
Pour retrouver ces parties, il vous suffit de vous connecter sur un de ces sites. Ceci par l’un des
moyens que vous avez appris plus haut.
Avatar
On appelle «avatar» une image symbolisant l’utilisateur. Il s’agit ainsi d’un personnage virtuel
dont le but est de donner une représentation visuelle de vous. Ainsi un avatar peut être un personnage
vous représentant ou bien totalement imaginaire ! Pour créer son avatar, il faut cliquer sur le lien
dans la fenêtre de messagerie ou même de tchatche et ensuite, il faudra suivre les informations et
répondre aux actions selon votre goût.
Pour créer un blog il suffit de se connecter à un site de création des blogs et de suivre les
instructions.
8. Inscription en ligne
Sans quitter votre ordinateur, vous avez la possibilité de faire une inscription sur Internet. Il vous
suffit de vous connecter au site correspondant. Par l’un des moyens enseignés plus haut.
Installé dans un PC, un navigateur est démarré de la même façon que tout autre programme. «
Lexique Le navigateur est le Logiciel de navigation conçu pour le Web, qui permet aux utilisateurs
d’explorer les ressources d’Internet, en particulier les documents hypertextes »
Sans être un outil de recherche, elles sont une source sûre, l’information
y est de qualité et permanente. Elles sont donc souvent un passage obligé
lors d’une recherche d’information.
CommentCaMarche http://www.CommentCaMarche.com.
Activité
Vous cherchez le numéro 2. Recherche et utilisation de l’information
de téléphone de votre
a. Comment rechercher une information
maman dans le réper-
toire de votre téléphone. Pour effectuer une recherche, l’on doit connaître l’adresse URL (Uniform
Comment procédez-vous ressource Locator) du site ou saisir les termes à partir des moteurs.
?
L’URL est l’adresse d’une page web permettant de l’identifier de manière unique. Il se présente
sur cette forme :
Il suffit de saisir l’adresse dans la «barre d’adresse » et d’appuyer sur la touche « entrée » et
attendre le chargement de la page sur son écran.
Lexique
URL : Uniform Resource Locator.
Après avoir lancé le navigateur, une « page d’accueil » s’affiche. On remplit dans la « barre
d’adresse » l’adresse par exemple (http : //www.google.cm) et on obtient la « page d’accueil » du
moteur (voir page suivante): et on saisie sa clé de recherche dans la zone d’insertion.
Le moteur présente un résultat (un seul lien pour un site même si plusieurs pages de ce site
correspondent à la requête).
On a les exemples ci après : Il suffit enfin de se laisser guider par les descriptions pour opérer
son choix.
Pour surfer sur internet nous avons besoin des logiciels tels que : mozilla firefox, internet
explorer, opera…
Il existe des moteurs de recherche permettant de faire des recherches sur internet parmi
ceux-ci nous pouvons citer Google, yahoo, altavista…
Définition
La pédagogie multimédia : est une forme d’enseignement basée sur le traitement d’image
fixe et animée, de la musique de la communication de masse. Elle engendre l’utilisation d’outils
traditionnels et modernes et permet l’épanouissement de l’individu.
La musique, est l’art, une science des sons. Elle nécessite à les combiner pour les rendre
agréables à l’oreille.
Activité
Selon vous quel impact la musique à dans l’enseignement ?
L’essentiel
La pédagogie multimédia permet à l’élève de se retrouver dans le traitement d’images, fixe
et animées ; c’est aussi un moyen qui permet à l’enfant. Elle permet de faire des animations
populaires à travers la musique.
2) Quels sont les avantages qu’on observe en plaçant les ordinateurs de chaque
laboratoire en réseau ?
Exercices
141
10) Quels sont les différents types d’architectures du réseau informatique que
vous pouvez proposer à Kamdem ?
12) Quels sont les différents types de câblage qu’on peut utiliser au laboratoire du
collège évangélique de Mbouo ? Entre le collège évangélique de Mbouo et celui de
baleveng ? Entre le collège évangélique de Mbouo et celui de Pennsylvanie ?
13) Quels sont les types de transmissions qu’on peut utiliser au laboratoire de
Baleveng ? Entre le laboratoire de Baleveng et celui de Pennsylvanie ?
Quelles sont les techniques de transmissions de réseau sans fils que vous
connaissez ?
5. Qu’est-ce qu’Intranet ?
12. Tous les services offerts sur Internet sont-t-il bon pour tous les âges ?
Algorithme et
programmation
Chapitre 1
Notions d’algorithme
Toute activité que l’on peut exer-
cer dans la vie suit un certain Chapitre 2
ordre. Par exemple lorsque vous
vous levez le matin que faites Ma première page web
vous avant d’aller à l’école ?
Chapitre 3
Feuille de style et mise en forme
d’une page web
ap
itr
e 1
1 Objectifs
Lexique
Syntaxe: Règles d’écriture d’un langage donné
Processeur : circuit électronique permettant d’effectuer les traitements dans l’ordinateur
A savoir
L’algorithme ne doit pas être confondu avec le langage proprement dit.
Lexique
LDA : Language de Description d’Algorithme
A savoir
L’avantage d’un tel langage est de pouvoir être facilement transcrit dans un langage de programmation structuré (Pascal
; C etc.…)
Activité
Vous êtes invité à une émission de cuisine à la CRTV pour expliquer comment faire pour préparer l’okok. Comment pro-
cédez- vous ?
L’algorithme d’un programme est organisé en plusieurs parties : déclaration des constantes,
déclaration des variables, définition du programme principal et définition des fonctions et
procédures.
Elles représentent des chiffres, des nombres, des caractères, des chaînes de caractères, … dont
la valeur ne peut pas être modifiée pendant l’exécution de l’algorithme.
Elles peuvent stocker des chiffres, des nombres, des caractères, des chaînes de caractères, …
dont la valeur peut être modifiée au cours de l’exécution de l’algorithme.
Le programme principal est délimité par les mots clefs Début et Fin
A savoir
les constantes et les variables sont définies dans la partie déclarative par deux caractéristiques essentielles, à savoir :
• l’indicateur : c’est le nom de la variable ou de la constante. Il est composé de lettres et/ou de chiffres.
• Le type : il détermine la nature de la variable ou de la constante (entier, réel, booléen, caractère, chaîne de
caractères, …)
Afin de pouvoir envisager des exemples d’utilisation, il est nécessaire d’introduire l’instruction
d’affectation ou d’assignation : elle s’écrit de la façon suivante :
• on évalue 2*x +3
• on l’affecte à y
(iii) Structures
1) Procédures.
C’est un ensemble d’instructions référencées par un nom et dont l’exécution est provoqué par
le simple appelle de son nom.
2) Fonction.
Comme la procédure, l’exécution d’une fonction est provoquée par la simple invocation de son
nom, à la seule différence qu’elle se voit assigner une valeur dont le type doit être défini.
A savoir
procédures et fonctions sont des groupes de tâches à exécuter. L’intérêt de grouper ces tâches est de permettre :
• Une lecture plus simple de l’algorithme principale (encore appelé ordonnancement).
• De développer de manière indépendante une partie d’algorithme dont l’emploi multiple au sein de l’ordonnance-
ment est ainsi rendu plus aisé.
Pour fournir à une fonction à une fonction ou une procédure les informations qui doivent être traitées, et pour qu’elle
puisse fournir un résultat, on utilise des paramètres.
Fin
Début
Fin
Nous avons vu que l’une des deux caractéristiques de la variable ou de la constante est le type.
On peut citer cinq types de base ;
Tableau de données : ensemble de données de même type (exemple : tableau d’entiers, tableau
de réels).
e. Les opérateurs
Les opérateurs permettent d’élaborer une expression en vue d’effectuer un calcul ou une
comparaison.
L’usage des parenthèses est vivement conseillé dans le cas d’expressions complexes.
Entre les opérations arithmétiques, il y a une certaine priorité : on a d’abord les opérations entre
parenthèses ( ), puissance (↑), la multiplication (*) et la division (/) ont la même priorité et l’addition
(+) et la soustraction (-) ont également la même priorité.
g. Affectation
• Structures linéaires ;
• Structures alternatives ;
• Structures de choix ;
Les actions successives sont mentionnées les unes après les autres.
Début
Saisir (a)
Saisir (b)
p←a*b
afficher (p)
Fin
Activité
Vous êtes entrain de préparer le ndolet il n’ya plus de sel. Qu’est ce qui peut le remplacer ?
Activité
Vous avez en votre possession le poulet, l’huile, l’arachide, la tomate et les autres ingrédients. Avec tout cela quel menu
pouvez –vous proposer à vos invités ?
A savoir
dans la suite, la notation « Actions » ou « ActionsN » représentera une succession d’actions comme ci-dessus.
Activité
Pendant la préparation de la viande de bœuf. Qu’est ce qui doit absolument cuire avant de continuer la préparation ?
Dans cette structure, le traitement est exécuté une première fois puis sa répétition se poursuit
jusqu’à ce que la condition soit vérifiée.
o soit un traitement
A savoir
la vérification de la condition s’effectue après les actions. Celles-ci sont donc exécutées au moins une fois.
Dans cette structure on commence par tester la condition, si elle est vérifiée le traitement est
exécuté.
Une action ou un groupe d’actions est exécuté répétitivement tout le temps où une condition
est vraie.
Dans cette structure, la sortie de la boucle d’itération s’effectue lorsque le nombre souhaité de
répétition est atteint.
On utilise donc une variable (ou indice) de contrôle d’itération, caractérisée par :
• sa valeur initiale ;
• sa valeur finale ;
Si la valeur finale de l’indice est inférieure à sa valeur initiale, le pas de variation est négatif,
la structure est dite « pour décroissante » (figure 1) ; dans le cas contraire, le pas est positif et la
structure est dite « pour croissante » (figure 2).
A savoir
Les valeurs initiale (Valeur1) et finale (Valeur2) sont comprises.
Il est éventuellement possible de spécifier un autre pas d’incrémentation (+2, +10,-1....)
Cette structure algorithmique peut en fait être remplacée par une structure TANT QUE ... FAIRE …
• Structures linéaires ;
• Structures alternatives ;
• Structures de choix ;
C’est le langage universel sur le Web. Il est cependant limité : il ne permet que de décrire des
contenus et surtout de créer la base de l’interactivité : les liens hypertextes
Ce langage est « compris » des navigateurs. Ceux-ci interprètent les instructions contenues dans
le document HTML. Ces instructions se nomment balises (tags en anglais).
Lexique
Une balise est une commande pour le navigateur
Un document HTML est un fichier de type texte. Pour le créer il suffit d’ouvrir un logiciel de
traitement de texte basique, de type bloc-notes, de saisir les balises HTML et le contenu. Lors de
l’enregistrement du document HTML, l’extension (le type de fichier) doit être modifiée de « .txt » en
« .html » pour que le navigateur puisse interpréter le code du langage HTML.
A savoir
L’extension d’un fichier désigne le type de fichier.
Le langage HTML permet de lire les documents sur Internet à partir de machines différentes. Pour cela, un logiciel d’appli-
cation appelé navigateur (en anglais «browser) doit être préalable installé.
Pour visualiser le contenu d’un document HTML à l’intérieur d’un navigateur, il suffit de double-
cliquer sur le nom du fichier « .html » créé.
Les balises sont des « mots » prédéfinis inclus entre les signes « < » et « > ». Elles fonctionnent
le plus souvent par paire :
L’organisation des balises entre elles répond aussi à un système bien précis :
l’imbrication. Toute balise ouvrante est obligatoirement suivie, hors contenu, de sa balise
fermante.
Attributs de balise
Les balises peuvent être complétées de paramètres : les attributs sont pour le navigateur, la
manière dont il doit exécuter la commande. Un attribut est composé de son nom suivi du signe égal
« = » et de sa valeur entre guillemets : attribut= «valeur»
Visualisation
1 <html>
2 <head>
3 <title> …</title>
4 </head>
5 <body>
6…
7</body>
8</html>
3. titre du document ;
4. fermeture de l’en-tête ;
6. contenu du document ;
Cette balise doit être obligatoirement associée à l’attribut href pour envoyer vers le texte ou
document lié. Il peut s’agir de documents appartenant au même site ou de documents de sites
extérieurs. La valeur de l’attribut href, l’adresse du document, peut avoir plusieurs types :
Adresse relative l’adressage se fait par rapport au document où est inséré le lien. lien dans le
document en cours vers le fichier logo_ENIEG.jpg avec adressage relative
Adressage absolue : l’adressage se fait avec l’URL complète du document, c’est le cas pour les
documents appartenant à d’autres sites.
Images
Les trois principaux formats d’image reconnus par les navigateurs sont le JPEG, le PNG et le GIF.
Le JPEG (ou JPG) n’est limité qu’à 16 millions de couleurs mais ne gère pas la transparence.
Le PNG quant à lui est plus récent et combine les avantages du JPG avec une gestion fine de la
transparence (translucidité) mais cette dernière propriété n’est pas reconnue par tous les navigateurs.
C’est une des rares balises à être non fermante. L’attribut indispensable src, donne l’adresse vers
le fichier image.
L’autre attribut indispensable est alt : il définit un texte alternatif, qui s’affiche lorsque l’image
n’est pas encore téléchargée ou non visible par le visiteur ou navigateur.
BALISE DESCRIPTION
<HTML> le début d'un document de type HTML.
</HTML> la fin d'un document de type HTML.
<HEAD> le début de la zone d'en-tête (prologue au
document proprement dit contenant des
informations destinées au browser).
</HEAD> la fin de la zone d'en-tête.
<TITLE> le début du Titre de la page.
</TITLE> la fin du Titre de la page.
<BODY> le début du document proprement dit.
</ BODY> la fin du document proprement dit.
<!-- ... --> Commentaire : tout ce qui se trouve à l'intérieur
ne sera pas affiché dans le navigateur
<hn> Titre de paragraphe où n a pour valeur 1 à6 et
correspond au niveau de titre. 1 étant le plus
grand et 6 le plus petit (<h1>,<h2>…).
<p> Paragraphe
<a> Hyperlien
<br> Saut de ligne à l'intérieur d'un paragraphe
<hr> Ligne horizontale
<img> >Insertion d'image
<em> Emphase (italique)
<strong> Texte plus fort (gras)
Mozilla Firefox,
Netscape Navigator
Un document HTML est un fichier de type texte : pour le créer, il suffit d’ouvrir un logiciel de
traitement de texte basique, de type bloc-notes, de saisir les balises HTML et le contenu. Lors
de l’enregistrement du document HTML, l’extension (le type de fichier) doit être modifiée de
« .txt » en «.html »
Pour visualiser le contenu d’un document HTML, il suffit de l’ouvrir à l’aide d’un navigateur
(ou Browser) en double-cliquant sur le nom du fichier « *.html »
Les balises peuvent être complétées de paramètres : les attributs sont pour le navigateur, la
manière dont il doit exécuter la commande. Un attribut est composé de son nom suivi du signe
égal(=) et de sa valeur entre guillemets. (Exemple. attribut= ‘‘valeur‘‘)
Les valeurs des attributs peuvent contenir des majuscules (ex. : «Malik TOTO»).
S’il y a des attributs dans une balise fonctionnant par paire, on ne les met seulement dans la
balise ouvrante (ex. <a href=»logo_ENIEG.jpg»> Le logo de l’ENIEG </a>)
Introduction
Lorsque nous ouvrons la page d’accueil d’un site web, nous sommes en général émerveillés par
sa mise en forme (alignements, couleurs, images, etc.). Il est par ailleurs facile de constater que les
pages d’un site présentent les mises en formes presque identiques. Comment opérer cette mise en
forme dynamique ?
Définition
Css (Cascading style Sheets) : C’est l’application de mises en forme à des éléments de texte. Les
logiciels de traitement de texte utilisent les feuilles de style. Le HTML se les est aussi appropriées.
L’intérêt de ce langage est qu’il sépare le contenu d’un fichier HTML de sa mise en forme, il
est ainsi possible de modifier l’apparence des contenus sans avoir à modifier ceux-ci dans le code
du document HTML. La cohérence de l’aspect visuel du site en est facilitée. Cela permet aussi une
économie de balises dans le code du document et «allège» le chargement de la page.
Ce protocole permet la gestion de fichiers sur un réseau et facilite leur transfert. La connexion à
un serveur FTP (nommé « hôte ») peut être publique (« FTP anonyme ») ou privée. Dans ce dernier
cas, un nom d’utilisateur et un mot de passe est nécessaire pour accéder au contenu d’un répertoire.
C’est l’adresse « écrite » (suite de caractères) d’une ressource sur Internet. Par usage, on parle
aussi d’adresse Web. Une ressource peut être une page Web, une image, un fichier de n’importe
quel type (texte, calcul, son, vidéo, archive...).
A savoir
Tous les textes inclus entre les balises <p></p> (paragraphes) seront de police de caractère « Arial » et de couleur
violette.
Application multiple
Exemple de code CSS : h1, h2, h3 {font-family: Arial, sans-serif; font-style: italic;}
A savoir
Tous les titres de niveau 1, 2 et 3 seront de police de caractères « Arial » et en italique. .
A savoir
C’est le programmeur qui choisit le nom de la classe qui est obligatoirement précédé d’un point.
Pour appliquer ce style à la balise de votre choix, il suffit d’insérer la balise et sans le point.
Lorsque vous double-cliquez sur le fichier accueil.html, le navigateur affiche les informations
comme suit:
L’attribut align=”center” de la balise <h1> n’est plus nécessaire ici: la mise en forme séparée du
contenu, se trouve dans la feuille de style.
Un sélecteur est appliqué à un seul élément du document et le style défini ne peut s’appliquer
qu’à lui seul. Son nom est obligatoirement précédé du signe dièse (#).
Pour appliquer ce style à la balise de votre choix, il suffit d’insérer l’attribut id (qui a pour valeur
le selecteur) à l’intérieur de la balise et sans le signe dièse.
<p id=»monParagraphe»>Ceci est ma première page Web. Voici ma photo préférée. </p>
A savoir
Comme pour les noms de fichiers, les classes et les sélecteurs ne contiennent pas d’espaces, pas d’accents ni de carac-
tères spéciaux. Il est aussi nécessaire de respecter la casse utilisée dans leur définition lors de leur appel dans les balises
: .monTitre {...} et <p class=»montitre»> ne fonctionnera pas.
Le programmeur dispose de trois possibilités lui permettant de définir les feuilles de style:
Styles internes
Les styles internes sont définis de manière groupés, entre les balises <style> et </style>, elles-
mêmes à l’intérieur des balises <head> et </head> :
<head>
<style type="text/css">
p { font-family: Arial, sans-serif; color: purple; }
.monTitre {color:#red; text-align : center; }
#monParagraphe {color:#green; font-style:italic;}
</style>
...
</head>
Styles externes
Les feuilles de style sont ici séparées du fichier HTML. Les définitions de style sont écrites dans
un autre fichier dont l’extension est «.css ». Par exemple « styles.css ».
Pour créer un fichier de feuilles de style externe, il suffit de procéder comme pour la création
d’une page Web, avec un bloc-notes. La syntaxe est toujours la même, sans les balises <style> et </
style>. Il faudra ensuite enregistrer ce fichier de type texte en fichier de type « css » comme pour
les fichiers « html ».
La liaison entre ces deux fichiers se fait dans le document HTML avec la balise
<link> :
< head>
<link rel="stylesheet" type="text/css" href="styles.css">
...
</head>
Le style est défini via l’attribut style à l’intérieur de la balise. Il ne s’appliquera ici,qu’à cette seule
balise mais l’avantage de la séparation du contenu et de sa forme est perdu.
Quelques propriétés
Épaisseur de la police :
font-weight normal ; bold ; bolder ; p {font-weight: bold ;}
lighter..
Activité
Comment rangez-vous vos travaux dans l’ordinateur ?
Le serveur Web
Le répertoire contenant votre site (ordinateur n’est visible que sur ce dernier. Pour qu’il soit
accessible à tous sur la « Toile», il faut transférer ces fichiers sur un autre ordinateur qui offre un
service d’hébergement Web (HTTP). Ce service est en général associé à un autre, le FTP qui permet
le transfert de fichiers, on copie un fichier d’un disque dur à une clé USB.
Ainsi, Le FTP va permettre d’envoyer et gérer les fichiers sur l’ordinateur hébergeant (l’hôte) et
le HTTP va permettre de visionner ces mêmes fichiers avec un navigateur.
Il existe plusieurs clients FTP que bous pouvez télécharger sur Internet, puis installer sur votre
machine.
A savoir
Comme un navigateur «communique» avec les serveurs en HTTP, le client FTP «communique » en FTP.
Ainsi, trois paramètres sont indispensables pour se connecter et envoyer un fichier à un serveur
de fichier (serveur FTP).
Le nom du serveur ;
Le nom d’utilisateur ;
L’essentiel
Les CSS (Cascading Style Sheets - Feuilles de style en cascade) sont utilisés pour appliquer
des mises en forme à un texte.
Le programmeur dispose de trois possibilités lui permettant de définir les feuilles de style:
HTML ;
balise style
Le logiciel client FTP est dédié au protocole FTP. Il fonctionne comme un explorateur de
fichiers à deux fenêtres : l’une explore les répertoires de votre ordinateur (les répertoires locaux)
et l’autre explore le répertoire qui vous est alloué sur l’ordinateur distant (l’ hébergeur).
Définir
1
Algorithme ; algorigramme ; ordonnancement ; fonction ; procédure ; affectation.
un sous-programme ;
un renvoi ;
une entrée-sortie ;
un branchement ;
un commentaire.
Quel est le sens conventionnel des liaisons dans un algorithme ? Et que faut-il faire
s’il n’est pas respecté ?
Quels sont les différents types de base de variable ou constante utilisés dans le
Langage Descriptif d’Algorithme ?
Exercices
171
a°) b°)
c°) d°)
e°)
Exercices
173
CAS PRATIQUES
4
TP N°1
Etape 1 :
De la même façon, créer un second fichier HTML dans laquelle vous insérez une
image de votre choix, puis enregistrer le fichier sous le nom de « photo.html »
Etape 2 :
Etape 3 :
TP N°2
5
A l’occasion de la fête de la jeunesse, votre chef d’établissement vous demande
concevoir des pages web pour informer les personnes en visite dans votre école des
activés menées au sein de l’établissement durant toute la semaine de la jeunesse.
Travail à faire :
Proposer une démarche de conception, qui devra par exemple indiquer les différentes
rubriques à consulter, le nombre de pages utilisées, etc.
Enrichir les pages avec des images qui illustrent les textes proposés.
CAS PRATIQUES
7
TP N°1
Etape 1 :
De la même façon, créer un second fichier HTML dans laquelle vous insérez une image
de votre choix, puis enregistrer le fichier sous le nom de « photo.html ».
Etape 2 :
Créer un fichier CSS à l’aide du bloc-notes, y définir un style par balise pour la balise
body, un style par classe et un style par sélecteur. L’enregistrer en « .css» et le lier aux
documents «index.html » et « photo.html ».
NB. : Vous pouvez vous référer au tableau des propriétés pour voir les propriétés des
balises.
Etape 3 :
« photo.html ».
- Visionner ces pages et modifier les documents HTML pour que tous les styles soient
visibles.
TP N°2
8
Vous avez été sélectionné pour prendre par à une excursion dans un parc animalier.
Au cours de cette visite, vous avez fait de photos des animaux ainsi que des plantes.
Vous aimeriez présenter les informations recueillies sous le modèle d’un site web.
Travail à faire :
Proposer une démarche de conception, qui devra par exemple indiquer les différentes
rubriques consulté, le nombre de pages utilisées, etc.
Concevoir les fichiers CSS pour les mises en formes dynamiques ;
Enrichir les pages avec des images qui illustrent les textes proposés
Exercices
175
MODULE 6
INFOGRAPHIE
C • Maîtriser l’environnement du
l’infographie logiciel Photoshop
Introduction
L’infographie (aussi appelée improprement image de synthèse, terme qui se rapporte plus
spécifiquement à la création d’images à vocation perspectiviste irréalisables hors de l’informatique)
est l’art de l’image numérique. Elle définit les graphismes créés et gérés par ordinateur, dont la gestion
se base sur une station graphique composée d’éléments matériels comme le processeur et la carte
graphique (leurs puissances déterminent la vitesse de réponse et de calcul des unités graphiques),
les outils d’acquisition comme le numériseur ou la caméra banc-titre, les outils de manipulation
comme la souris ou la tablette graphique. Elle se compose également d’outils de stockage comme
le disque dur ou la clé USB et d’outils de restitution comme l’imprimante ou l’écran, d’une interface
utilisateur qui permet l’interaction entre l’utilisateur et l’ordinateur et enfin du format de données
qui assure l’intermédiaire entre l’image rendue et les éléments numériques de celle-ci.
Devant la variété qui s’offre à l’utilisateur, il convient de s’interroger sur l’usage que l’on désire
faire de ce logiciel. Pour la famille et les néophytes, il faut un logiciel simple et convivial avec
des fonctions prédéfinies et des tutoriaux. Pour les graphistes, il faut un logiciel qui travaille en
haute résolution, possédant de nombreuses fonctions de retouche, intégrant de nombreux format
d’enregistrement et il doit être évolutif
• La facilité d’utilisation,
• La qualité de l’interface,
• La rapidité d’exécution,
• Paintshop Pro
• Photopaint
• Ms Publisher
• Adobe Photoshop
• Paint
Lexique
Ms : Abréviation de Microsoft
Nous présenterons le logiciel Adobe Photoshop. Il convient avant tout de donner quelques
procédures pour démarrer Adobe Photoshop quelque soit la version.
A savoir
ces différentes procédures sont valables pour les ordinateurs ayant comme système d’exploitation Windows et ses va-
riantes.
Lexique
Icône : petits objets graphiques permettant d’accéder facilement au programme représenté par celle-ci
Ces images peuvent provenir de photos scannées, de dessins conçus par des logiciels de tracés
ou d’images de synthèses. Photoshop est bi-plateforme.
Module 6 : Infographie
178
Il admet pratiquement tous les formats Mac et PC, ainsi que les formats des images provenant
des Photo CD.
A l’ouverture de Photoshop, nous trouvons la barre horizontale des menus, et la barre verticale
des outils. Dans la barre des menus, chaque menu regroupe un ensemble de commandes. Une
commande est activée par sélection avec la souris dans la barre des menus, ou par la frappe de
touches prédéfinies qu’on appelle le raccourci-clavier. La barre des outils est flottante, vous pouvez
la déplacer d’un endroit à l’autre de l’écran. Les palettes ont deux usages : elles renseignent
constamment sur les paramètres réglés pour l’outil, et elles regroupent des commandes spécifiques,
associées à tout type d’objet propre à Photoshop: les outils, la représentation de la couleur, les
couches, les calques, etc.
Bien souvent, une commande, un outil ou une palette possède son armada d’options. Une option
est un réglage à prédéfinir sur la commande, sur l’outil ou dans la palette avant toute utilisation
effective
Activité
Quels sont les différents éléments de l’interface graphique de Photoshop ?
L’Interface de Photoshop
Activité
Quels sont les différents menus de Photoshop ?
a. La barre de titre
Elle affiche le titre de votre document, ainsi que d’autres informations tels que l’extension du
format de fichier ouvert, ou encore le mode colorimétrique du document.
b. La barre de menus
Les menus sont organisés par commandes thématiques:
Dans le menu «Fichier», on trouve tout ce qui concerne la gestion des fichiers: ouverture
ou fermeture de documents; enregistrement; acquisition de nouveaux éléments à gérer dans
le document, exportation de documents créés avec Photoshop vers d’autres logiciels; et enfin
impression de documents. C’est également dans ce menu que l’on trouve la commande pour
«quitter l’application» Photoshop.
Le menu «Edition» gère des extraits d’images repérés par une sélection.
Il supporte trois types d’opérations: des opérations de mémorisation en mémoire tampon, des
opérations de collage depuis la mémoire tampon ver s l’image, et des opérations de destruction de
zones de l’image.
Module 6 : Infographie
180
A savoir
Quelque chose d’éditable» signifie en réalité quelque chose de «modifiable».
Enfin, le menu «Edition» contient des commandes de remplissage des sélections, avec des
couleurs ou avec des motifs déjà mémorisés.
Le menu «Mode» gère le passage d’un codage couleur à l’autre, ou d’un codage couleur à un
codage niveaux de gris, ou d’un codage niveaux de gris à un codage Bitmap.
Le menu «Image» gère les transformations de l’image soit sur les couleurs, soit sur la géométrie.
Les réglages de couleurs peuvent se faire par modification de courbes de transfert, par
modification des histogrammes, ou par modification globale de couleurs, que ce soit en luminosité,
en teinte ou en saturation.
La deuxième rubrique de ce menu concerne l’application de couleurs par des couches. Photoshop
fonctionne en utilisant des superpositions de pochoirs qui s’appellent des couches, que ce soit les
couches couleurs de l’image composite ou les couches créées par l’utilisateur.
Les rubriques suivantes concernent les transformations géométriques d’une part, et les
modifications de la taille de l’image tant en dimensions qu’en résolution.
c. La barre d’option
Elle contient les options d’utilisation des outils
d. Le plan de travail
C’est la zone de travail de Photoshop, au sein de laquelle est présenter le document sur lequel
vous travaillez.
e. Le Conteneur de palettes
Il permet d’organiser les palettes sur le plan de travail
Activité
Qu’est-ce-qu’une palette ?
f. Les palettes
Les palettes sont des icônes dont le contenu est déployé. Elles permettent de contrôler et de
modifier les images. Pour afficher/masquer une palette, passez par le menu Afficher, puis sélectionnez
le nom de la palette.
La barre des outils est constamment présente à l’affichage. Elle donne un accès immédiat à tous
les outils qui sont paramétrables grâce aux palettes de réglages qui leur sont associées. Les palettes
de réglage s’affichent soit par le menu Fenêtre dans la rubrique Palettes, soit par double-clique sur
l’outil.
Les outils de sélection permettent de traiter des zones très précises de l’image, selon des critères
géométriques, comme le rectangle, l’ellipse, le lasso, ou selon des critères de choix de couleurs,
comme la baguette magique.
L’outil texte vous permet de définir du texte avec les moyens classiques d’un logiciel de traitement
de texte. Il reste à l’état d’une sélection flottante que l’on peut manipuler de toutes les manières tant
qu’il n’est pas validé. C’est pourquoi nous le classons parmi les outils de sélection.
• L’outil main sert à télécommander les barres de défilement de la fenêtre de travail. Elle
donne l’illusion de faire glisser l’image dans la fenêtre.
• L’outil de déplacement de calque vous permet de déplacer l’ensemble d’un calque par
rapport à tous les autres.
• L’outil de recadrage est un outil de massicotage. Vous définissez la zone que vous voulez
garder, et vous jetez tout ce qui est à l’extérieur.
Module 6 : Infographie
182
• Les cases de couleur au bas de la barre d’outils vous montrent la couleur courante du
premier plan et celle de l’arrière-plan. Vous dessinez avec la couleur de premier plan et si
vous effacez, la zone manquante sera remplie avec la couleur de l’arrière plan qui ne sera
pas forcément le blanc.
• L’outil pipette vous permettra de sélectionner une couleur par prélèvement sur l’image ou
sur la palette.
• Le crayon, le trait, l’Aérographe, et le pinceau sont les outils que vous utiliserez pour dessiner
à main levée. Vous choisissez leur forme dans la palette des formes d’outils. La couleur
employée sera la couleur de premier plan.
• La gomme vous permet d’effacer tout ou partie de votre travail. Selon les options choisies
la zone sera remplacée par la couleur d’arrière plan ou par la précédente version de votre
image.
• L’outil tampon est un outil de duplication qui permet d’appliquer de manière répétitive soit
un motif externe, soit une copie de l’image.
• L’outil doigt simule l’étalement du doigt sur de la peinture fraîche. Il permet d’harmoniser
localement les zones de transition.
• L’outil goutte d’eau réalise des transitions en fondu. Il sert à estomper très doucement les
bordures.
• Son homologue est l’outil netteté qui au contraire accentuera les bordures. Enfin, trois outils
vous permettront de modifier les ombres et les lumières, comme l’outil densité (+) ou densité
(-). L’outil éponge modifie le niveau de saturation de la couleur.
A savoir
Pour connaitre le nom d’un outil, il suffit de placer le curseur dessus et de patienter un instant.
La palette des formes est associée à tout outil de dessin ou de retouche dont la forme est
paramétrable. Ce sont : le pinceau, l’Aérographe, le crayon, le tampon, le doigt, la goutte d’eau et
la densité. L’outil trait et les outils de remplissage global comme l’outil pot de peinture et l’outil
dégradé ne sont pas concernés.
Sélectionnons un outil. Il existe des formes préprogrammées que l’on peut utiliser par défaut.
La netteté et l’épaisseur du trait sont variables pour la plupart des outils, sauf pour l’outil crayon où
seule l’épaisseur est variable, et pour l’outil trait qui ne fonctionne pas avec la palette des Formes,
mais uniquement avec la palette des Options.
La palette des formes est éditable. Cela veut dire que vous pouvez soit modifier une forme
existante, soit créer de nouvelles formes, soit encore charger d’autres palettes de formes.
Les formes par défaut sont des formes circulaires : en choisissant préalablement une couleur
de premier plan, si vous cliquez en un point de l’image avec le pinceau, vous obtenez un disque de
Les deux derniers paramètres sont l’Angle et l’Arrondi. Ils servent à créer des formes elliptiques.
L’Angle vous permet d’incliner l’axe horizontal de l’ellipse. Vous pouvez entrer une valeur ou incliner
l’axe avec la souris. L’Arrondi permet d’aplanir le disque initial d’une valeur de 100% de son diamètre
jusqu’au trait plat à 0%.
Vous n’êtes pas obligé de travailler directement sur les formes existantes, vous pouvez créer une
nouvelle forme soit par double-clique dans un emplacement vide de la palette, soit par la commande
«nouvelle forme» du sous-menu de la palette.
Si vous êtes satisfait de vos modifications, vous pouvez les sauvegarder pour un travail ultérieur
grâce à la commande «enregistrer la palette».
La palette des Options est une palette de réglages propres à chaque outil. La plupart de ces
réglages sont tout à fait spécifiques mais d’autres sont communs à plusieurs outils.
• Le contour progressif a pour rôle de prévoir une zone de transition entre l’intérieur et
l’extérieur d’une sélection. Si l’on part d’un rectangle,- plus le contour progressif est important,
plus la zone de transition est épaisse et le contour adouci. Il permettra de faire des fondus
très efficaces sur les collages. Le contour progressif se retrouve dans les outils rectangles,
ellipse, lasso, baguette magique, et texte. Cette commande se retrouve également dans le
menu Sélection de la barre des menus.
• Le lissage permet de supprimer les aspérités ou les points isolés d’un contour en rajoutant
ou en supprimant des pixels dans la sélection, mais il ne crée pas de zones de fondu. Une
option de lissage se trouve également dans le sous menu modifier du menu Sélection. La
boîte de dialogue permet alors d’affiner le réglage en donnant un rayon de lissage. Le lissage
fonctionne sur tous les outils de sélection y compris le texte, et sur un outil de remplissage,
le pot de peinture.
• L’option de fusion permet d’étendre l’action d’un outil aux calques qui sont superposés. Nous
créons un nouveau calque et le remplissons à moitié de blanc. Si l’option n’est pas cochée,
l’action de l’outil se limite uniquement au calque en cours de modification. Ici, avec l’outil
doigt à 70% de densité, nous tirons le blanc vers la moitié vide. Mais si l’option est cochée,
l’action de l’outil se répand à travers la superposition de tous les calques. La fusion concerne
la baguette magique et le pot de peinture parce qu’ils fonctionnent par plages de couleurs,
et certains outils de retouche comme le tampon, le doigt, et la goutte d’eau.
• La pression et l’opacité concernent tous les outils de dessin. Ces réglages servent à contrôler
la quantité de peinture appliquée avec l’outil et de simuler la transparence.
• Les modes de remplissage s’utilisent soit avec les outils, soit avec les sélections. On les
Module 6 : Infographie
184
retrouve donc dans pratiquement toutes les palettes d’options associées aux outils. Le mode
de remplissage standard est le mode Normal. Les modes de remplissage sont décrits au
chapitre 8.
• Le stylet se trouve dans les palettes associées à pratiquement tous les outils de dessin et de
retouche, mais il n’est validé que si vous avez connecté une tablette graphique car il simule
la pression du stylet.
Trois palettes permettent de gérer la couleur : la palette Couleur, la palette Nuancier et la palette
Mélangeur ou Nuancier.
La palette Couleur permet de définir les couleurs de premier plan et d’arrière plan. Pour définir
la couleur de premier plan assurez-vous que l’icône carrée est bien surlignée. Si vous voulez définir
la couleur d’arrière-plan, cliquez sur la seconde icône. Les deux couleurs se retrouvent de manière
identique dans la barre des outils. Vous pouvez par double-clique choisir votre couleur dans le
sélecteur.
Le Mélangeur ou Nuancier permet de préparer une couleur que vous utiliserez ultérieurement.
C’est une zone éditable que vous pouvez copier, coller, effacer, par l’intermédiaire du sous menu, et
sur laquelle vous pouvez utiliser les outils de Photoshop. Vous pouvez aussi prélever sur la palette,
les couleurs de premier plan et d’arrière plan, grâce à l’outil pipette. Le Enfin si vous souhaitez garder
en réserve vos harmonies de couleur, vous pouvez donner un nom à votre palette et la sauvegarder
pour la charger ultérieurement
La palette du Nuancier sert à stocker les couleurs de votre choix. Par défaut, le Nuancier contient
des échantillons prédéfinis en dégradé de couleurs ou en niveaux de gris. Vous pouvez à tout moment
prélever une couleur depuis l’image ou depuis les autres palettes et la rajouter au Nuancier. Le
curseur se transforme en pot de peinture pour remplir une nouvelle case. Comme le mélangeur, le
nuancier peut être sauvegardé et chargé ultérieurement.
La palette des tracés a plusieurs fonctions : elle peut servir à dessiner, elle peut servir à tracer un
contour ou à effectuer une sélection.
L’outil plume sert à créer un tracé. En posant des points d’ancrage successifs, à chaque fois que
l’on clique, on créé un tracé rectiligne. Ces points s’appellent des points simples. Ils sont manipulables
avec l’outil de sélection : on peut les déplacer en les faisant glisser, ce qui modifie en conséquence
le tracé. On referme le tracé en positionnant la plume sur le point initial. Un petit cercle se rajoute à
l’outil qui signifie qu’en cliquant le denier point et le premier point seront reliés pour fermer le tracé.
Cela dit, fermer un tracé n’est pas obligatoire.
Dès qu’on manipule un tracé, il apparaît une vignette indiquant la mention d’un tracé de travail.
C’est la mémorisation temporaire du tracé, que nous pourrons enregistrer par l’intermédiaire du
sous-menu, et auquel nous pourrons donner un nom spécifique. On peut ainsi cumuler plusieurs
tracés.
L’outil plume permet aussi de tracer des courbes de Béziers. Il s’agit toujours de poser des points
successifs pour relier les éléments du tracé, mais il faut maintenir la pression sur la souris et relâcher
au nouveau point. Cette opération de «cliquer-glisser» fait apparaître à l’écran une tangente qui
Nous pouvons, en cours de tracé, utiliser indifféremment l’un ou l’autre des deux types de point.
Avec l’outil de conversion, nous pouvons convertir un point d’inflexion en point simple, ou un point
simple en point d’inflexion, ou passer à un troisième type de point, appelé point sommet Le point
sommet permet de gérer une courbe d’un côté, un tracé rectiligne de l’autre, car les deux tangentes
sont indépendantes l’une de l’autre.
Il est possible à tout moment de rajouter ou de retirer des points du tracé. L’outil plume (+)
permet de rajouter un point simple intermédiaire sur le tracé. L’outil plume (-) permet de supprimer
un point sur le tracé. Le tracé alors se réorganisera entre le point précédent et le point suivant.
A l’aide de l’outil de sélection de la palette, il suffit de sélectionner les points du tracé, puis de
choisir la touche effacé du clavier. Nous pouvons aussi travailler à partir des sélections de la barre
des outils, puis de détruire les points extérieurs à la sélection par la touche effacé.
Les commandes du sous-menu de la palette des tracés permettent de manipuler le tracé comme
un contour. on peut effectuer un remplissage de la zone intérieure au tracé avec la commande «Fond
de la portion de tracé», ou bien matérialiser le contour en le dessinant avec les outils de dessin que
l’on choisit dans la boîte de dialogue qui accompagne la commande «contour de la portion du tracé».
La commande «Définir une sélection» permet de convertir le tracé en une sélection qui sera
traitée avec les outils classiques de manipulation de sélections.
La palette contient également des commandes qui servent à éditer le tracé. Création d’un
nouveau tracé, duplication, suppression, et mémorisation du tracé.
La première autorise le remplissage du fond du tracé, sans passer par la boîte de dialogue, avec
la couleur prédéfinie en premier plan ;
La seconde signifie le remplissage du contour, par défaut avec le dernier outil sélectionné.
Pour entamer un nouveau tracé, n’oubliez pas de désactiver le tracé en cours, sans quoi votre
tracé se superposera au tracé en cours.
Toutes les couches sont des pochoirs éditables, servant à mémoriser une sélection au travers
de laquelle vous aller mener une action. Vous pouvez utiliser tous les outils de sélection et de dessin
pour modifier le contenu d’un pochoir. Les opérations se feront toujours en niveaux de gris, puisque
c’est le niveau de gris qui détermine la transparence locale du pochoir, et donc l’intensité de l’action
Module 6 : Infographie
186
menée à travers ce pochoir.
La palette des couches permet d’afficher à tout moment l’ensemble des couches associées à
l’image.
Quand nous ouvrons un document noir et blanc, il apparaît une vignette dans la palette des
couches, appelée par défaut noir. Si nous ouvrons un document couleur RVB, il apparaît quatre
couches. Une couche composite, qui est le résultat de la superposition des autres couches, appelée
RVB, et une couche correspondant à la densité de chaque encre. La couche qui est visualisée à l’écran
est la couche en face de laquelle est dessiné un œil dans la palette. Pour désactiver l’œil, il suffit de
cliquer dessus. Pour afficher une autre couche de couleur, il suffit d’activer un œil en cliquant dans
la zone correspondante. Chacune des couches R, V, ou B agit comme un pochoir qui laisserait filtrer
plus ou moins de couleur. A l’endroit où la couche est blanche, la couleur est franche sur l’image, à
l’endroit où la couche est noire, il ne passe pas de couleur. La couche composite est le résultat de la
superposition des trois couches.
Nous pouvons créer et rajouter de nouvelles couches qui s’appelleront des couches alpha. Nous
pouvons le faire à partir d’un élément tracé ou dessiné, ou à partir d’une sélection quelconque. Il
s’agit alors de mémoriser la sélection dans une nouvelle couche, à partir du menu sélection.
La commande options de couches n’est active que sur les couches alpha créées par l’utilisateur.
Ces options permettent de codifier soit les zones sélectionnées, soit les zones masquées, selon un
certain degré d’opacité.
Si on veut modifier une couche, il ne suffit pas uniquement de la visualiser, il faut qu’elle soit
sélectionnée. La couche sélectionnée correspond à la ligne grisée. Pour griser une ligne, nous devons
cliquer sur la ligne correspondante.
La commande séparer les couches nous permettra de séparer chaque couche d’une image, de
telle sorte que chacune d’elles soit un nouveau document. Par la suite, elles pourront être regroupées
par la commande regroupée.
La première icône, en bas de la palette, permet de mémoriser une sélection sur la palette des
couches.
Un clic sur la seconde icône permet de créer une couche vierge. Si en revanche nous faisons
glisser une couche jusque sur cette icône, il se crée automatiquement une copie de cette couche.
La troisième icône est une poubelle qui sert à détruire une couche. Pour ce faire il suffit de
glisser la couche jusque sur l’icône de la poubelle.
Un document Photoshop peut contenir plusieurs calques, qui superposés, constituent une
image. Par défaut, à l’ouverture ou à la création d’un document, la palette des calque affiche un seul
calque appelé fond. On va pouvoir créer, modifier, superposer plusieurs calques, et les déplacer les
uns par rapport aux autres. Tous les calques se travaillent avec n’importe quel outil de Photoshop.
On peut obtenir un nouveau calque en demandant l’option nouveau du menu de la palette des
Quand un calque est vide, il est représenté dans la palette par une vignette qui représente un
damier. C’est la représentation à l’écran de la transparence du calque, qui peut être codée autrement
si vous le désirez dans les préférences générales du menu fichier.
Le mode de visualisation et de sélection des calques est le même que celui proposé pour la palette
des tracés et pour la palette des couches. Le calque sélectionné est celui dont la ligne d’information
est grisée. Le calque affiché à l’écran est celui en face duquel un œil est affiché. Un clic au niveau de
l’œil permet de supprimer ou de rétablir l’affichage, un clic sur la barre d’information, ou un clic sur
plusieurs barres en maintenant la touche shift enfoncée, sélectionne un ou plusieurs calques.
Avec l’outil de déplacement de la barre d’outil, nous pouvons décaler un calque par rapport à
un autre, Nous pouvons aussi intervenir sur l’ordre d’affichage des calques, de telle sorte à placer au
premier plan celui ou ceux qui nous intéressent.
Nous pouvons rendre les calques plus ou moins opaques à l’aide de la réglette située dans le
haut de la fenêtre. En haut, à gauche, un menu propose des modes de superpositions. Ce sont des
options qui vont conditionner la façon dont Photoshop va combiner le calque sélectionné avec le
calque suivant. On peut ainsi fusionner plusieurs calques ensemble, soit avec la commande fusionner
les calques du menu de la palette, soit avec les options de calques du même menu, qui s’obtiennent
aussi en double-cliquant sur le nom d’un calque. Le réglage est effectué pour une couche ou pour la
totalité des couches. Il s’agit de définir pour le calque sélectionné et pour le calque suivant les tons
qui seront conservés et ceux qui seront supprimés lors de la fusion.
Enfin, les vignettes représentant les calques d’un document peuvent être copiées par simple
glissé vers la fenêtre d’un autre document. La palette des calques du nouveau document les prendra
immédiatement en compte.
La palette des commandes permet un accès rapide aux commandes les plus usuelles de la barre
des menus. Cette fenêtre a un arrangement initial. Nous pourrons le retrouver à tout moment en
choisissant dans le sous-menu de la palette la commande réinitialiser les commandes.
A chaque commande correspond une touche de fonction. Vous pouvez accéder à la commande
soit en cliquant sur le nom de la commande, soit en pressant la touche correspondante.
Nous pouvons demander une nouvelle commande dans le sous menu de la palette. Il s’affiche
une boîte de dialogue dans laquelle il suffit de saisir les premières lettres de la commande qui
nous intéresse puis de cliquer sur «rechercher» dans la boîte de dialogue. PhotoShop complète
automatiquement le nom de la commande. Après avoir fait le choix de la couleur qui lui sera associée
et après avoir choisi éventuellement une touche de fonction, nous validons. PhotoShop rajoute une
nouvelle commande dans la palette.
Nous pouvons ainsi rajouter, supprimer, modifier l’affichage de commandes. Nous pouvons
aussi enregistrer une palette pour des usages spécifiques et répétitifs sur plusieurs fichiers. Nous lui
donnons alors un nom et pouvons la charger, le cas échéant, dans un nouveau fichier.
Module 6 : Infographie
188
(ix) Palette des Infos
La palette des infos sert à donner à tout moment des informations sur le pixel de l’image qui se
trouve exactement sous le curseur que vous manipulez. Quand le curseur se déplace, les informations
sont mises à jour automatiquement.
On peut choisir dans les options de la palette l’affichage d’informations qui nous intéressent
plus spécifiquement, et personnaliser ainsi notre palette. Les deux premières options permettent de
valider deux modes de lecture différents. Nous retrouvons dans le menu déroulant de chaque option
les différents codages de couleur. On peut très bien par exemple choisir RVB pour le premier, et TSL
pour le second. Quand nous parcourons l’image avec le curseur, les informations RVB et TSL sont
mises à jour automatiquement.
A côté des codages couleurs, il existe un autre mode, le mode encrage total. Un clic sur la pipette
de seconde ou de deuxième lecture dans la palette des infos fait afficher rapidement le menu des
options de mode. Le mode encrage total renseigne sur la superposition totale de toutes les encres.
Enfin le sigle «op» signifie «opacité». Il indique le niveau de transparence de la couleur qui a été
appliquée avec les outils de dessin ou de remplissage.
La troisième option permet de fournir les coordonnées du pixel. L’axe des abscisses x est
horizontal, l’axe des ordonnées y est vertical. L’origine est le premier point en haut à gauche de
l’image. Le menu de la troisième option permet de choisir l’unité de mesure, qui peut être le pixel,
le pouce, le centimètre, et pour les typographes, le point et le pica.
Lorsqu’une sélection est active sur l’image, la dernière option n’affiche plus des coordonnées,
mais la largeur et la hauteur du rectangle englobant la sélection.
Cette palette affiche sous forme de liste, toutes les actions effectuées depuis l’ouverture de votre
fichier. C’est une palette qui permet donc de revenir sur les commandes que vous avez réalisées.
Pour revenir en arrière, il vous suffit de faire un simple clic sur le nom des actions affichées. Le
nom de l’action actuel s’affichera en bleu. Vous pourrez également sélectionner l’encoche au moyen
d’un clic maintient puis le remonter vers le haut. La toute première commande étant située en haut
de la liste.
Pour la faire apparaître, allez dans le menu Fenêtre / Scripts appuyez sur la touche F9 de votre
clavier.
Cette palette permet d’automatiser des taches au moyen de script. Vous pourrez ainsi enregistrer
des suites de commandes que vous effectuerez.
• Ms Publisher
• Adobe Photoshop
• Paint
Ces images peuvent provenir de photos scannées, de dessins conçus par des logiciels de
tracés ou d’images de synthèses. Photoshop est bi-plateforme.
Il admet pratiquement tous les formats Mac et PC, ainsi que les formats des images provenant
des Photo CD.
• La barre de menu
• La barre d’options
• Le plan de travail
• Le conteneur de palettes
• Les Palettes
La Palette d’outil
Module 6 : Infographie
190
ap
itr
e 2
2 Objectifs
Activité
Vous possédez des photos dans votre ordinateur chacune ayant sa taille. Parmi celles-ci d’autres sont en sens inverse et
d’autres de mauvaise qualité. Que pouvez-vous faire pour que ces photos aient toutes la même taille, soient toutes dans le
bon sens et qu’elles soient de bonne qualité ?
Introduction
Les photos sortant des appareils numériques, des scanners ou des caméras de vidéo numériques
sont souvent presqu’excellentes. Un des intérêts est évidemment de corriger les défauts, on parle
alors de retouche photo. Il faut distinguer ces logiciels des simples logiciels de dessin bitmap comme
Paint, ClarisWorks, AppleWorks, le module de dessin de Word, paintbrush etc. Ils sont insuffisants
pour retoucher une image digitalisée.
Activité
Qu’est ce rogner une photo ou une image ? Comment procède t-on pour le faire ?
a. Rogner
Réduire l’image à la partie utile réduit la taille mémoire exigée et accélère le traitement
b. Sélection
(i) Lasso
On peut rendre «soft» les bord de la sélection (menu Sélection, article contour progressif, une
valeur de 2 pixels convient souvent)
Très utile pour un premier jet de sélection ou pour isoler un personnage d’un fond contrasté.
Module 6 : Infographie
192
La sélection peut être accrue de proche en proche par la commande Etendre du menu Sélection.
On peut aussi compléter la sélection par des sélections à la baguette en complément (touche
maj) ou en soustraction (touche alt).
A savoir
La tolérance de cet outil peut être ajustée : une valeur de 16 est un bon point de départ: s’il ne sélectionne pas assez aug-
menter vers 25-30 Ou diminuer la tolérance si la sélection s’étend à de trop grandes zones.
c. Ajustement de l’exposition
A savoir
• Agir par petites touches, car chaque modification entraîne des pertes partiellement irréversible.
• Surveiller spécialement les visages ou les traiter de manière séparée (autre sélection)
Les curseurs de droite et de gauche règlent le point noir et le point blanc (en haut).
En général on doit les amener vers le premier niveau que l’image contient, respectivement à
droite et à gauche.
• Cliquer sur l’une des imagettes pour corriger une dominante de couleur : les imagettes en
haut permettent de compare l’image initiale et l’actuelle.
Photoshop se souvient des réglages de la dernière utilisation et vous propose une image déjà
modifiée dans ce sens. Cliquer sur l’imagette d’origine remet les régalges à zéro.
Activité
Dans Photoshop comment fait-on pour assombrir ou éclaircir une image ?
Module 6 : Infographie
194
Elements : les icones sont à une position légèrement différente
(ii) Assombrir
En fait effacer c’est remplacer les éléments à effacer par du «fond». L’outil de clonage permet
de «peindre» une zone de l’image en clonant depuis une autre partie. Il faut alt-cliquer (cliquer
en maintenant la touche alt ou option) pour définir la zone de départ et cliquer puis effectuer la
peinture par clonage. Penser à placer le point de départ en haut à gauche si on va cloner-peindre
vers le bas et la droite
Souvent, il est judicieux de définir par une sélection la zone dans laquelle on va agir, pour éviter
les débordements. La zone de départ peut être sur une autre image.
L’étendue et l’intensité du clonage peuvent être déterminés par la palette des pinceaux.
f. Contrôle de la netteté
(i) Globalement
Le menu Filtre Renforcement / Accentuation (avec une valeur de 20%) permet d’accentuer les
• Photoshop : Menu Image, l’article Taille de l’image... Elements : Menu Image, Redimensionner,
Taille de l’image
Module 6 : Infographie
196
h. Sauvegarde
(i) Formats de sauvegarde
Parmi les formats innombrables offerts, il faut retenir sur Mac le PICT, très polyvalent, convenant
pour la plupart des cas, sous Win le BMP est très répandu, mais aussi très lourd, Pour la plupart des
cas JPEG est le meilleur
Choisir 8 Bits par pixel pour les images en gris, et 24 bits pour la couleur... mais attention à la
taille considérable des images.
A savoir
Dans le cas d’images destinées au WEB il faut choisir GIF ou JPEG et réduire énormément la taille.
(ii) Compression
Pour gagner de la place disque, on peut compresser une image. Cela rendra son ouverture
ultérieure plus longue. Il existe des méthodes de compressions avec pertes tolérable d’information
et sans perte.
En Résumé :
• JPEG est sans doute le plus célèbre des compresseurs de ce genre, c’est un standard sur
Internet, il passe bien entre Mac, PC, UNIX et autres, à recommander ! surtout pour le web.
Sans perte :
• PICT est toujours compressé de manière transparente (c.-à-d. sans que l’usager ait besoin d’y
prêter attention)
• TIFF peut l’être mais il y a de nombreuses normes de compression employées, pas toutes
compatibles
Prendre l’outil lasso > sélectionner le contour de la fleur comme si vous le dessiniez d’un
seul trait.
c. Enregistrer la sélection
Il est parfois intéressant d’enregistrer une sélection afin de l’utiliser plusieurs fois.
Fenêtre tracés (se trouve dans la même fenêtre que celle des calques).
Module 6 : Infographie
198
d. Enregistrer la sélection en tracé
Fenêtre tracés > Cliquer sur l’icône «convertir une sélection en tracé» ;
Fenêtre tracés > Une nouvelle indication apparaît dans la fenêtre des tracés «tracé de travail»,
elle a un fond bleu pour préciser qu’elle est active.
Vous pouvez constater que la fleur est actuellement en contour tracé et non plus sélectionné.
Fenêtre tracés > Cliquer sur l’icône «récupérer le tracé comme sélection» Fenêtre tracés > Le
«tracé de travail» se désactive.
La boîte de dialogue
«remplacement de couleur»
s’ouvre.
f. Utilisation de la pipette
Module 6 : Infographie
200
1 => Prendre la pipette > la poser sur la fleur pour sélectionner une couleur ;
3 => Zone de sélection de couleurs > les endroits qui ont la même couleur que l’échantillon
s’éclaircissent.
1 => Prendre la «pipette rajouter» > la poser sur la fleur, faire des va et vient pour sélectionner
plusieurs couleurs ;
Dans l’exemple nous utilisons les pipettes sur la fleur pour plus de clarté dans les explications,
mais vous pouvez les utiliser directement dans la zone de sélection 3.
Lorsque vous positionnez le curseur de teinte vers la droite vous obtenez une couleur verte dans
l’échantillon.
Lorsque vous positionnez le curseur de teinte vers la gauche vous obtenez une couleur orange
dans l’échantillon.
Module 6 : Infographie
202
Sur la fenêtre taille de l’image, apparaît les informations sur notre image.
Dans notre exemple, nous avons une image dont la résolution est de 150 pixels/pouce. Pour
l’imprimer, cette résolution serait bonne, mais pour se contenter de l’afficher sur un écran, une
résolution de 72 pixels/pouce est suffisante.
A savoir
Il faut bien vérifier que les trois cases (zone entourée de vert) sont bien cochées afin de bien respecter les proportions
de votre image.
Nous allons maintenant enregistrer l’image. Comme nous venons de modifier la taille de notre
image originale (donc perte de qualité si on souhaite l’imprimer par la suite), nous allons enregistrer
notre image avec un autre nom, afin de garder intact l’original.
Module 6 : Infographie
204
Une nouvelle fenêtre s’ouvre affichant plusieurs vues de notre image (la première vue en haut à
gauche est la vue de référence, l’originale).
Si celui-ci n’est pas affiché par défaut, commencez par sélectionner le format JPEG comme sur
notre exemple.
A l’aide du sélecteur « Qualité » situé à droite de l’interface, vous pouvez jouer avec les différentes
valeurs de compression (0= la plus grosse compression, 100= la plus petite, mais aussi celle qui
réduit le moins le poids de votre image).
Lorsque vous avez trouvé un bon compromis compression / qualité, cliquez sur la flèche en haut
à droite (à côté de «paramètre prédéfini »), comme indiqué sur l’image d’exemple.
Cette action rafraîchit les autres vues en leur appliquant un nouveau taux de compression pour
que vous puissiez mieux vous décider.
Pour rappel, la vue en haut à gauche est la vue originale, et vous pouvez utiliser l’outil « loupe »,
situé sur la gauche de l’interface, pour zoomer dans les vues et apprécier les détails.
Une fois votre décision prise, il ne reste plus qu’à cliquer sur le bouton « Ok »
Module 6 : Infographie
206
Nous nous retrouvons à présent face à une fenêtre d’enregistrement de fichier.
Pour ne pas écraser votre original, choisissez un nouveau nom pour votre fichier et cliquez sur
« Enregistrer ».
Les modifications étant terminées, nous allons fermer notre fichier : Menu « Fichier » –> «
Fermer »
Module 6 : Infographie
208
6. Sélectionnez l’outil texte.
Voila le résultat.
A savoir
Si vous souhaitez vous pouvez appliquez d’autres réglages.
Module 6 : Infographie
210
L’essentiel
• Les photos sortant des appareils numériques, des scanners ou des caméras de vidéo
numériques sont souvent presqu’excellentes. Un des intérêts est évidemment de corriger les
défauts, on parle alors de retouche photo. Il faut distinguer ces logiciels des simples logiciels de
dessin bitmap comme Paint, ClarisWorks, AppleWorks, le module de dessin de Word, paintbrush
etc. Ils sont insuffisants pour retoucher une image digitalisée.
• Une image est une représentation d’une personne ou d’un objet par la peinture, la
sculpture, le dessin, la photographie, le film, etc.
La procédure standard pour traiter une photo est la suivante :
1. Rognage
2. Sélection
3. Ajustement de l’expression
4. Assombrissement/éclaircissement
5. Contrôle de la netteté
6. Résolution de la taille de l’image
• Une des procédures pour modifier une image consiste à :
1. Enregistrer l’image
2. Faire une sélection
3. Enregistrer la sélection
4. Enregistrer la sélection en tracé
5. Sélectionner des couleurs à modifier
6. Utiliser la pipette
7. Sélectionner plusieurs couleurs
8. Changer de couleurs
• Pour créer les boutons, il faut :
1. Créer un nouveau calque
2. Sélectionner l’outil rectangle arrondi
3. Appliquer les réglages
4. Remplir la sélection
5. Ouvrir la fenêtre de style
6. Sélectionner l’outil texte
7. Sélectionner toute votre zone de travail
8. Appliquez les réglages
9. Centrer votre texte
10. Appliquer une ombre portée sur le calque texte
11. Appliquer les réglages
c. Sauvegarder là
Module 6 : Infographie
212
MODULE 7
Intégration pédagogique
des TIC
Chapitre 1
Les TIC à l’école primaire
Chapitre 2
Avec la nouvelle donne, l’éduca-
tion a tendance à tout modifié TIC et Intégration des approches
pour épouser bêtement les TIC. pédagogiques
Faut-il abandonner les anciennes
Chapitre 3
approches ou traditionnelle ?
Techniques d’évaluation en TIC
Chapitre 4
Intégration des valeurs morales,
sociales et humaines dans l’ex-
ploitation des TIC
h ap
it re 1
1
Les TIC à l’école
Objectifs
o Enseigner avec les TIC : les TIC sont considérées ici comme un matériel didactique, comme
un support pédagogique. Les élèves utilisent les outils TIC pour approfondir les apprentissages,
les acquis des différentes disciplines par les activités de renforcement, de transfert ou de
créativité.
o Enseigner à travers les TIC : Toutes les disciplines enseignées peuvent et doivent tirer
bénéfice des technologies de l’information et de la communication soit par l’utilisation des
logiciels spécifiquement conçus pour elles mais aussi par les outils génériques : traitement de
texte, tableur, courrier électronique. Ici, les TIC sont des moyens, des canaux par lesquels la
communication pédagogique passe.
Activité
Le directeur ou l’inspecteur utilise les TIC pour la gestion dans un établissement. Que peut-il gérer ? Dresses-en un tableau !
Les logiciels de présentation assistés par ordinateur, sont utilisés à l’école maternelle et primaire
pour la préparation, la présentation des leçons, des débats, des exposés ou conférences qui intègrent
des images, des tableaux, des graphiques des séquences animées etc.
Activité
Faites une présentation powerpoint de quelques minutes sur une leçon de votre choix. Pensez à y preciser l’objectif à
atteindre par vos élèves.
Les tableurs permettent la planification des activités, la réalisation des outils d’évaluation, les
calculs rapides des notes, la réalisation du budget de l’école, de l’Inspection, le classement rapide
du personnel ou des élèves par ordre croissant ou alphabétique, des tableaux et graphiques de
différents modèles etc.
Activité
• Planifier un emploi de temps d’une classe de votre choix, avec toutes les matières.
• Faites le classement de vos élèves par ordre croissant ou selon leur moyenne
Le logiciel de traitement de texte permet de saisir et de traiter des textes, de réaliser des
tableaux. Par ce logiciel l’enseignant prépare ses leçons, dresse différentes listes saisi ses rapports,
réalise différents travaux, élabore différents outils, écris ses correspondances etc.
d. Internet
Par l’internet, l’enseignant, le Directeur d’école ou l’inspecteur reçoivent et envoient des
messages électroniques. Il faut noter que le message électronique est plus rapide que le message
postal. Grâce à Internet, les enseignants peuvent effectuer des recherches sur les nouveautés
en pédagogie, mais aussi s’échanger d’expériences afin d’améliorer en temps réel leur travail. Ils
peuvent aussi créer des réseaux pédagogiques et donner à leurs élèves l’occasion d’échanger entre
eux à travers des projets pédagogiques bien élaborés.
Avant de commencer à organiser des activités TIC spécifiques avec votre salle de classe, vous
devez bien sûr considérer les réalités pratiques des TIC dans votre établissement. En particulier, vous
devriez prendre en considération le nombre d’ordinateurs disponibles et le nombre d’élèves dans la
classe. En règle générale, il est préférable de ne pas avoir plus de trois élèves par poste. Ainsi :
• L’enseignant devra toujours bien préparer sa classe à l’avance, clairement définir ses objectifs
pédagogiques opérationnels ;
• Pour des besoins de sécurité, le maître doit s’assurer que les élèves ne touchent pas aux fils
électriques, qu’ils ont gardé bien loin leurs gourdes d’eau et leur goûter afin de préserver les
machines et leur sécurité.
• La discipline sera de rigueur et les consignes de travail doivent être bien claires afin que
chacun réalise bien sa tâche.
• La structuration des instructions dont les élèves auront besoin pour la réalisation des activités
demandées devra être bien élaborée.
L’important c’est le projet. Les outils viennent soutenir et permettre de réaliser le projet.
Pour aider les élèves à développer des compétences techniques de façon efficace, l’enseignant
devra :
• Déterminer l’utilisation des TIC pendant la leçon et son utilisateur (l’enseignant, l’élève), et
• Les outils pour les outils n’ont pas une grande efficacité pour l’enseignement des Technologies.
Il s’agit toujours de mettre les technologies au service de la pédagogie.
L’essentiel
Les TIC sont des outils au service de l’enseignant, de l’élève et de l’établissement scolaire. Les
élèves développent de nouvelles aptitudes, de nouvelles attitudes et de nouvelles compétences.
Par le travail collaboratif qu’ils vont effectuer avec les outils TIC, les élèves développent des
savoirs faire et des savoirs être qui permettront leur socialisation harmonieuse.
Quelque soit le type de classe, l’enseignant sera appelé à enseigner les TIC, enseigner avec
les TIC, enseigner à travers les TIC.
GRANDS GROUPES
Ce qu’il faut savoir avant de commencer :
• Conduire des activités d’enseignement /apprentissage à l’école primaire inté-
grant les TIC ;
• Appliquer les différentes approches dans une situation pédagogique ;
Activité
Dresser le rôle de l’enseignant et celui de l’élève dans le modèle constructivisme ;
Choisissez un de vos enseignants et comparer sa méthode avec le constructivisme
Les TIC ont un côté convivial (son, texte, image) qui plait aux élèves. Ce côté est exploité par les
enseignants pour soutenir une pédagogie différenciée par des actes, des moyens, des formations,
des accompagnements. Les TIC sont entre autre des:
L’approche par les compétences comme l’approche par les projets met l’apprenant au centre de
l’apprentissage et lui donne la possibilité de construire son savoir ou ses compétences et devenir
autonome.
Sa mise en œuvre
Pour que l’approche par compétences soit réalisée, il faut toutefois que plusieurs conditions
soient réunies :
La compétence c’est l’agir. Il importe de relier les connaissances scolaires à des situations dans
lesquelles ils permettent d’agir, au‐delà de l’école ; agir c’est entendu dans le sens d’affronter des
situations complexes, c’est‐à‐dire de penser, analyser, interpréter, anticiper, décider, réguler, négocier.
Une telle action ne se satisfait pas seulement d’habiletés motrices, perceptives ou verbales. Elle
exige l’intégration de l’ensemble des connaissances apprises à l’école mais ils ne sont pertinents que
s’ils sont disponibles et mobilisables à bon escient, au bon moment.
La compétence n’est pas un état ou une connaissance possédée. Elle ne se réduit ni à un savoir
ni à un savoir‐faire (Perrenoud, 1999 b). Elle n’est pas assimilable à un acquis de formation.
Posséder des connaissances ou des capacités ne signifie pas être compétent. On peut posséder
des connaissances et les capacités et ne pas pouvoir les utiliser au moment opportun. Celle‐ci se
réalise dans l’action. Elle ne lui pré‐existe pas. (…)Il n’y a de compétence que de compétence en acte.
La compétence ne peut fonctionner «à vide», en dehors de tout acte qui ne se limite pas à
l’exprimer mais qui la fait exister (Le Boterf, 1994)
Chapitre 2 : TIC et integration des approches pedagogiques APC, NAP, pédagogie des grands groupes
219
Du coup, le rapport pédagogique s’en trouve changé, les personnes se dévoilent dans le travail.
L’approche par compétence favorise une « éducation fonctionnelle» centrée sur de vraies
situations appelant des savoirs opératoires.
Les savoirs sont des ressources pour l’approche par compétences leur transfert et mobilisation
sont deux métaphores différentes. Le transfert part d’un apprentissage et se demande s’il peut
être réinvesti ailleurs, plus tard. Cela pousse à créer des «; situations de transfert;» pour vérifier ou
favoriser ce réinvestissement. On rend alors justice au fait qu’une action complexe mobilise toujours
de nombreuses ressources issues de moments et de contextes différents.
Son évaluation
Lexique
Pensée inférentielle : c’est le développement de l’esprit critique et la pédagogie de la preuve.
Rappelle la ou les
consignes pour recen-
Présente la ou les
trer le débat Ecarte les
3. confrontation/vali- Présenter, justifier et solutions, justifie ses
solutions fausses et
dation des résultats valider les résultats réponses, Prend acte
valide la solution qui
de l’avis final du maître
correspond à l’O.P.O et
qui peut être prouvée
Chapitre 2 : TIC et integration des approches pedagogiques APC, NAP, pédagogie des grands groupes
221
Généralise un cas
4. Phase d’institution-
particulier, identifie un Utilise ce qu’il sait déjà
nalisation
Formuler le nouveau nouveau savoir ou un pour formuler le nou-
Formulation du nou-
savoir nouveau savoir‐faire et veau savoir. consigne
veau savoir (générali-
introduit le nouveau le nouveau savoir
sation)
vocabulaire
propose des exercices
Se familiarise avec les
5. Phase de consolida- Utiliser le nouveau d’application pour
nouveaux acquis et les
tion (application) savoir vérifier que son objec-
utilise à bon escient
tif est atteint
Propose des activités à
6. Evaluation et réin- Evaluer les acquis des réaliser par les élèves Résout les situations
vestissement apprenants individuellement ou problèmes
en groupe
5. Plan d’une leçon selon la NAP à mener dans une classe laboratoire
Rappelle la ou les
consignes pour recen-
Présente la ou les
trer le débat Ecarte les
3. confrontation/vali- Présenter, justifier et solutions, justifie ses
solutions fausses et
dation des résultats valider les résultats réponses, Prend acte
valide la solution qui
de l’avis final du maître
correspond à l’O.P.O et
qui peut être prouvée
1. découverte
‐ Présente la situa- Prend connaissance de
Phase de présenta-
tion problème sous la situation problème Par
tion de la situation
forme de diapositive une lecture silencieuse
problème
Stimuler et sensibiliser par projection power ou une audition ou une
(utilisation d’une
sur la situation pro- point ou de vidéo.. observation.
diapositive ou
blème ‐ S’assure que tout le Pose éventuellement
d’une vidéo pour
monde comprend la des questions au maître
introduire le conte-
situation problème pour mieux comprendre
nu et susciter les
‐Donne des consignes le problème.
questions)
Rappelle la ou les
consignes pour
Présente la ou les
recentrer le débat
3. confrontation/ solutions, justifie ses
Présenter, justifier et Ecarte les solutions
validation des réponses, Prend acte de
valider les résultats fausses et valide la
résultats l’avis final du maître
solution qui corres-
pond à l’O.P.O et qui
peut être prouvée
Chapitre 2 : TIC et integration des approches pedagogiques APC, NAP, pédagogie des grands groupes
223
Généralise un cas
4. Phase d’institu-
particulier, identifie Utilise ce qu’il sait déjà
tionnalisation
Formuler le nouveau un nouveau savoir ou pour formuler le nou-
Formulation du
savoir un nouveau savoir‐ veau savoir. consigne le
nouveau savoir
faire et introduit le nouveau savoir
(généralisation)
nouveau vocabulaire
7. Activités de Ajuste les incompré- Ré explique ce qui n’a Découvre ses erreurs et
remédiations hensions pas été compris les corrige
Activité
Proposez une évaluation pour des élèves en informatique, dans une leçon de votre choix, qui tiennent compte des trois
dimensions de l’être.
Pour l’enseignant, Les TIC permettent de concevoir les outils d’évaluation, de classer les élèves,
d’établir les documents relatifs a la confection et au remplissage carnets de notes, au calcul des
moyennes et au traçage des courbes et diagrammes etc.
Mais aussi évaluer l’enseignement des activités dans les ordinateurs, en communiquant, en
proposant les activités de recherche et d’information. Le superviseur pédagogique utilise les TIC
pour évaluer les travaux de ses collaborateurs, le système éducatif pour confectionner les différents
documents et outils nécessaires.
Activité
Quelle sorte d’activités de classe convient à l’utilisation des TIC ?
• La compétence se définit par la capacité pour un individu d’utiliser à bon escient ce qu’il
sait et ce qu’il sait faire : savoirs, savoir-faire, stratégies et savoir-être deviennent des objets
de vérification qu’il faut distinguer les uns des autres.
• La notion de compétence repose sur des définitions et des concepts de base. Pour inférer
une compétence, il faut pouvoir créer des situations-tâches appropriées distinctes de celles
utilisées pour inférer des savoir-faire ou des stratégies.
• Outre les situations de compétences il faut développer ou utiliser des outils de jugement
(listes de vérification, grilles d’évaluation, échelles d’appréciation).
Chapitre 2 : TIC et integration des approches pedagogiques APC, NAP, pédagogie des grands groupes
225
ap
itr
e 3
3 Objectifs
I. Introduction
La nouvelle vision d’évaluation est basée sur les activités de formation en fin de se familiariser
avec les niveaux de développement de la pensée de taxonomie de Bloom.La démarche consiste à
partir d’une situation problème complexe, contextualisé et signifiante pour l’enfant, à l’issu de son
traitement par les élevés, il faudra annoncer les objectifs recherchés. Le chapitre comprend deux
séquences didactiques.
Activité
Monsieur azombo vient de terminer sa première leçon à l’ENIEG, il veut s’assurer que la leçon a été comprise par les élèves
–maitres. A l’issu de quelques questions il s’irrite du fait qu’aucun élève n’arrive à répondre exactement aux questions.
Comment tu peux l’aider ?
2. Evaluation formative
A la fin de chaque leçon, l’enseignant évalue le niveau de compréhension de sa classe, ensuite,
niveau d’acquisition des connaissances des élèves ; évalue l’objectif fixé par un exercice écrit ou oral,
il peut procéder à une remédiation si l’objectif n’est pas été atteint.
3. Evaluation critère
La grille d’évaluation est un support didactique conçue par l’équipe d’animateurs pédagogiques
ou par les superviseurs pédagogiques en vue de fixer les critères d’évaluation.
• La tenue de la classe,
• La Qualité de la révision ;
• L’Utilisation du tableau ;
• La Qualité de l’évaluation ;
• L’expression utilisée ;
• Etat de la classe
• L’énoncé ;
• Le choix de réponse ;
• Consigne de correction.
• Items à réponse à complément de phrase (les éléments des organes d’une fleur de
………………………………….et de…………………………………………………………
c. L’énoncé ou stimulus
L’énoncé présente la question ou la tâche à réaliser. Dans certains cas, une mise en situation
précède la question ou la tâche.
4. Choix de réponse :
a) ……………………………………
b)……………………………………….
c)……………………………………….
d)……………………………………….
Exercices
229
MODULE 8
Projet informatique et
activités d’intégration
Chapitre 1
Le projet pédagogique de l’école
Chapitre 2
Quelques réalisations de projet-
Chapitre 3
ap
itr
e 1
1 Objectifs
Ch Le projet pédagogique • Identifier les types de projets
de l’école •
et ses étapes de réalisation.
Réaliser un projet.
Ce qu’il faut savoir avant de commencer : • Réaliser un met
Le moyen d’action est fondé sur la motivation des élèves suscité par l’aboutissement ç une
réalisation concrète. Elle induit un ensemble de taches dans lesquelles tous les élèves peuvent
s’impliquer et jouer un rôle actif qui peut varier en fonction de leurs besoins et intérêts. la mise en
œuvre pour atteindre des objectifs d’apprentissages identifiables figurant au programme d’une ou
plusieurs disciplines. Emme pet permet de développer des savoirs, des savoirs être liés à la gestion
du projet ainsi que la socialisation des apprenant.
Lexique
Projet : Ensemble de savoirs, et de savoirs faire.
Cahiers de charges : c’est la feuille de route, le fil conducteur
Pour DECROLY (1871-1973), médecin psychologue et pédagogue belge. La méthode fait elle-
aussi appel aux expériences des élèves et à leurs initiatives, ce qui requiert des projets. Le plan du
de vie est discuté et fixé par les élèves et le maitre en collaboration continue.
Pour Freinet Célestin (1896-1966), pédagogue français. Rendre les élèves actifs est primordial.
Il développe un système basé sur trois dimensions :
• Une fonction thématique : les élèves s’engagent dans des activités qu’ ils perçoivent le sens,
ce qui renouvelle leur intérêt pour l’école ;
• Une fonction didactiques : les activités nécessaires à la réalisation du projet sont des moyens
de mobiliser des savoirs acquis et de développer les connaissances nouvelles ;
• Une fonction de production : l’action à réaliser doit tenir compte des contraintes économiques,
matérielles, temporelles et humaines
• Une fonction sociale : le projet permet de s’ouvrir aux autres, d’autres institutions à partager
de compétences, à confronter des avis.
• Une fonction politique : la participation au projet implique une vue collective dont une
participation à la vie civique.
• L’évaluation
4. Evaluation du projet
On évalue le projet, ses étapes, les productions des élèves, les compétences des élèves, l
implication des élèves,
a. Comment évaluer ?
• En amont, une évaluation diagnostique ;
• Evaluation formative ;
Il s’agit :
1. Situation problème :
Je suis élève à l’ENIEG de MVENGUE, pour passer mon examen pratique de fin de formation,
Activité
Faire quoi ? : Un projet ;
Pour qui ? : Pour moi ou pour mon école ;
Pourquoi ? :
• Pour préparer mon C .E.P :
• Pour préparer le CAPIEMP.
Comment ? :
• Emission de l’idée du projet ;
• Choix et Justification ;
• Les objectifs du projet ;
• Etat de lieux ;
• Analyse des besoins,
• Les méthodes utilisées
• La cible,
• Les solutions ;
• Les résultats attendus ;
• La conception
• La réalisation, au niveau de la réalisation, on conçoit deux fiches :
- La fiche technique ;
- La fiche pédagogique ;
- Evaluation.
- Ecrire les algorithmes correspondants pour résoudre le problème
- Cuire les feuilles au feu doux dans une marmite sans y mettre de l’eau ;
Activité
Je suis élève à l’ENIEG de MVENGUE, pour passer mon examen pratique de fin de formation, pour faire ma réalisation
pratique, je prépare un le koki. Je ne m y connais pas, qu’est ce qu’il faire pour réaliser ce met ?
Introduction
L’école primaire et maternelle camerounaise a, dans son programme d’apprentissage, le
développement de la pédagogie de projet qui met l’enfant au centre des activités éducatives.
L’élève maitre, operateur pour la formation intégrale de ces jeunes enfants doit maitriser la dite
pédagogie.
• Eau
• Huile de palme
• Haricot ou KOKI
• Sel
• Bassine
• Tamis
• Bois
• Allumette
• Grande marmite
• Mortier
• Pilon
A savoir : La quantité d’huile dépend de la quantité de KOKI. On met le KOKI dans les feuilles en petite quantité.
• La réalisation ;
• Types de projet.
A l’aide du logiciel Excel, calculer le prix total pour réaliser ce le met de feuilles de
4 manioc ;
Exercice
5
J’ai 5ooocfa, ma mère me dit de préparer pour recevoir 4 invités :
Projet
Concevoir une affiche pour sensibiliser pour la lutte contre le VIH/SIDA dans votre
école
3. A l’aide du logiciel Excel, calculer le prix total pour réaliser ce le met de feuilles
de manioc ;
10. Concevoir une affiche pour sensibiliser pour la lutte contre le VIH/SIDA dans
votre école