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Gendarmerie nationale

TEST PROBATOIRE
D’ENTRÉE EN FORMATION
au

DIPLÔME D’ARME
Cycle 2023 - 2024

Test écrit probatoire


du 25 mai 2023
Exemplaire destiné aux correcteurs

DOCUMENT EXCLUSIVEMENT RÉSERVÉ


AU PERSONNEL DE LA GENDARMERIE

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GUIDE DE CORRECTION

AUCUNE ANNOTATION NE DOIT FIGURER SUR LA


COPIE DU CANDIDAT.
Remplir uniquement la feuille de résultats jointe au questionnaire.

➔ QUESTIONNAIRES À CHOIX MULTIPLES OU QCM


◦ Chaque question est notée sur 2,5 points.
◦ Chaque question ou affirmation appelle une réponse unique.
◦ Sur le corrigé, la réponse exacte est marquée d’une croix (X).
◦ L’absence de croix ou un surnombre de croix rend la réponse nulle.

➔ QUESTIONNAIRES À RÉPONSES MULTIPLES OU QRM


◦ Chaque question est notée sur 2,5 points.
◦ Chaque question ou affirmation appelle plusieurs réponses.
◦ Une seule croix mal positionnée, en surnombre ou en moins rend la réponse nulle.
◦ Sur le corrigé, les réponses exactes sont marquées d’une croix (X).

Bonne réponse. X
Réponse annulée. X
Annulation d’une réponse annulée. X X
➔ QUESTIONS OUVERTES
◦ Chaque question est notée sur 9 ou 8 points – cela sera indiqué après le libellé
de la question.
◦ Des consignes pour la correction sont précisées le cas échéant.

Si vous constatez une erreur de fond ou de forme dans le formulaire de correction


joint, informez-en immédiatement les concepteurs du CPMGN afin que les mesures
nécessaires soient prises.
• CNE CHOLLIER : thierry.chollier@gendarmerie.interieur.gouv.fr - 05 87 03 81 19
• CNE LEMARQUIS : damien.lemarquis@gendarmerie.interieur.gouv.fr - 05 87 03 81 29
• ADC VILLENAVE : sebastien.villenave@gendarmerie.interieur.gouv.fr - 05 87 03 81 24

• ADJ(ITA) THIENPONDT : davy.thienpondt@gendarmerie.interieur.gouv.fr - 05 87 03 81 24

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Combat
(1 QO - 10 QRM/QCM)
Question n° 1 Fascicule test probatoire – Pages 13 à 15 Question ouverte .../8
Donnez les définitions des missions suivantes :
APPUYER, COUVRIR, DÉFENDRE, DÉTRUIRE, DONNER L’ASSAUT, ÉCLAIRER,
FIXER, INTERCEPTER, NEUTRALISER, RECONNAÎTRE, RENSEIGNER, TENIR.

APPUYER : Apporter une aide à une autre unité, spontanément ou sur ordre, par
le mouvement ou par le feu. 0,75
COUVRIR : Prendre l’ensemble des mesures actives ou passives pour renseigner
et s’opposer par le feu et le mouvement à une action éventuelle de l’ennemi pou- 0,75
vant menacer le déroulement de l’action principale amie.

DÉFENDRE : Empêcher l’ennemi de s’emparer d’un point, d’un bâtiment ou d’une


portion de terrain nettement définie. 0,5

DÉTRUIRE : Mettre définitivement hors de combat ou hors d’usage un élément


ennemi (personnels et/ou matériels) après l’avoir repéré, identifié et localisé. 0,5

DONNER L’ASSAUT : Effectuer le bond final de l’attaque ayant pour but l’irruption
dans la position ennemie et l’abordage au corps à corps. 0,5

ÉCLAIRER : Rechercher le renseignement sans engager le combat, pour contri-


buer à la sûreté rapprochée du chef et de la troupe. 0,75

FIXER : Exercer sur l’ennemi une pression suffisante pour lui interdire
tout mouvement ou tout redéploiement de son dispositif. 0,75

INTERCEPTER : Mission qui consiste pour le groupe à intervenir sur un élément


en cours de déplacement à pied ou en véhicule. Cette mission s’exécute sur ren-
seignement, le groupe agit par embuscade en vue de détruire le détachement ou 0,75
de lui interdire le passage.

NEUTRALISER : Mettre, à partir d’une position fixée, l’ennemi hors d’état d’agir
efficacement, pendant un temps déterminé, dans un secteur donné. 0,5
RECONNAÎTRE : Aller chercher le renseignement d’ordre tactique ou technique,
sur le terrain ou sur l’ennemi, sur un point ou dans une zone donnée, en enga - 0,75
geant éventuellement le combat.

RENSEIGNER : Acquérir et transmettre des informations opérationnelles, tac-


tiques ou techniques, sur les forces adverses ou le milieu, à l’initiative ou pour ré - 0,75
pondre à des demandes formulées dans ce but.

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TENIR : Occuper et défendre un point ou un espace de terrain pour empêcher
l’ennemi de l’occuper ou de l’utiliser. 0,75
Aide à la correction destinée aux correcteurs :
• La totalité des points sera attribuée pour une réponse exacte et complète.
• Aucun point ne sera attribué en cas de réponse inexacte ou incomplète.

Question n° 2 Fascicule test probatoire – Page 16 QRM


Parmi les propositions suivantes, cochez celles qui représentent un acte réflexe du
combattant.

1. Renseigner.

2. Garder la liaison au sein du trinôme. X


3. Désigner un objectif. X
4. Progresser. X
5. Se repérer.

Question n° 3 Fascicule test probatoire – Page 17 QCM


Pour franchir un passage dangereux, quel mode de progression est à privilégier pour
le trinôme ?

1. Marcher en sûreté.

2. Marcher rapidement.

3. Courir – Bondir. X
4. Ramper – Quadrupédie.

Question n° 4 Fascicule test probatoire – Page 20 QRM


Selon les circonstances, tout combattant peut être amené à choisir un emplacement
d'urgence afin de se protéger.
Cet emplacement doit lui permettre :

1. De se camoufler uniquement.

2. De rendre-compte. X
3. D’observer pour repérer l’ennemi. X
4. De riposter. X
5. D’être protégé des vues directes et des coups de l’ennemi. X

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Question n° 5 Fascicule test probatoire – Page 24 QCM
Quel cadre d'ordre doit-on utiliser pour désigner un objectif ?

1. DPRO.

2. DPIF.

3. DDRO. X
4. DDMO.

Question n° 6 Fascicule test probatoire – Page 29 QRM


Quelles sont les composantes permettant au combattant d'accomplir l'acte réflexe
"se camoufler" ?

1. S’adapter à l’ambiance. X
2. Couvrir son abri.

3. Choisir un emplacement. X
4. S’adapter au terrain. X

Question n° 7 Fascicule test probatoire – Page 44 QRM


Lors de chaque arrêt, le trinôme doit prendre garde à :

Maintenir une distance de 20 mètres entre combattants afin d'échapper aux


1.
vues de l'ennemi.
2. Ne pas s’entasser au même endroit. X
3. Garder la liaison visuelle afin de communiquer. X
4. Respecter les distances et les intervalles. X

Question n° 8 Fascicule test probatoire – Pages 40 à 43 QRM


Parmi les propositions suivantes liées à l'acte élémentaire du trinôme "se déplacer",
cochez celles qui sont correctes.

1. La formation « en colonne simple » est à privilégier pour effectuer un bond.


La formation « Triangle base en avant » est à privilégier en tête du groupe
2.
pour permettre une réaction par le feu importante vers l'avant et latéralement. X
Le mode de progression « en perroquet » est plus rapide que le mode de
3.
progression « en tiroir ». X
Lorsque le trinôme adopte le mode de progression « appui mutuel en tiroir »,
4.
le premier combattant appuie, le deuxième et le troisième le dépassent.

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Question n° 9 Fascicule test probatoire – Page 54 QRM
Quels principes doivent être respectés pour remplir la mission du trinôme "surveiller" ?

1. Être en mesure d’arrêter un isolé. X


2. Observer et pouvoir alerter en permanence son chef de groupe. X
3. Ne jamais engager le combat.

4. Être à l’écart d’un point caractéristique et être bien posté. X


Question n° 10 Fascicule test probatoire – Page 44 QCM
Quel cadre d'ordre est donné par le chef de trinôme lors d'un arrêt de longue durée ?

1. PMSPCP. X
2. MOICP.

3. ZMSPCP.

4. VITAL.

Question n° 11 Fascicule test probatoire – Page 44 QRM


Dans le cadre de l'acte élémentaire du trinôme "utiliser ses armes", le chef de trinôme
doit veiller à :

1. Se préoccuper du ravitaillement. X
2. Répartir les objectifs. X
3. Déterminer les axes de repli de l’ennemi.

4. Économiser les munitions. X


5. Se préoccuper des relèves.

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Intervention Professionnelle
(1 QO - 10 QRM/QCM)

Question n° 12 Fascicule test probatoire – page 147 Question ouverte .../9


Détaillez de façon complète les règles de sécurité fondamentales à respecter dans
le cadre de la manipulation d'une arme à feu.

Une arme doit toujours être considérée comme chargée. Aucune


1. manipulation ne peut être faite sur une arme sans avoir préalablement 2
procédé aux opérations de sécurité.

La manipulation d'une arme est, par principe, exclusive de toute autre


2. action exécutée de façon simultanée. 1,5
Une arme ne doit être pointée ou laissée pointée que vers un objectif
3. représentant une menace, clairement identifié et isolé de son 2
environnement.

L'arme doit être maintenue en « position de contact » tant que la décision


de tirer n'est pas prise. 1
4.
pointée en direction de la menace, l'axe du canon sous l'horizontale, l'index
le long de la boîte de culasse, sans contact avec la détente. 1
Les opérations de sécurité doivent être effectuées sans délai au départ et
5. au retour de service ainsi qu'à l'issue d'un tir. 1,5
Aide à la correction destinée aux correcteurs : toute latitude est laissée au
correcteur pour attribuer les points à la question, en privilégiant la compréhension
des notions majeures attendues.

Question n° 13 Fascicule test probatoire – page 108 QRM


La formation à l'intervention professionnelle a été élaborée autour de plusieurs
axes majeurs, quels sont ces axes ?

1. La légalité des interventions. X


2. La sécurité des militaires et des tiers. X
3. La proportionnalité de la force armée déployée.

4. L’efficacité des interventions. X


5. La nécessité à intervenir.

7 / 14
Question n° 14 Fascicule test probatoire – Page 111 QCM
Quelle est la définition de la médiation ?

Communication verbale instaurée tout au long de l'intervention en vue de


prévenir ou de résoudre des différends entre particuliers. Il s'agit pour les
échelons locaux, confrontés à des situations de basse intensité de type dif-
1.
férends conjugaux, conflits familiaux, ou de voisinage, d'établir, en sus d'un X
contact visuel, un dialogue direct avec une ou plusieurs personnes, et de
faciliter ainsi la gestion de l'événement.
Technique spécifique de résolution de conflits de moyenne ou de haute in-
tensité (différends entre particuliers, différends conjugaux, tensions de voi-
2.
sinage...) mise en œuvre par des officiers ou sous-officiers qualifiés afin de
faciliter la gestion de l’événement et de tendre vers une sortie de crise.

Question n° 15 Fascicule test probatoire – Page 113 QRM


L'emploi de la force avec contact physique permet de neutraliser certaines
fonctions d'agression. Quelles sont ces fonctions ?

1. Vision. X
2. Stabilité.

3. Vecteurs d’agressions. X
4. Mobilité. X

Question n° 16 Fascicule test probatoire – Page 122 QRM


Selon l’article 122-5 du code pénal, quelles sont les conditions de la légitime
défense liées à l’agression ?

1. Actuelle. X
2. Simultanée.

3. Immédiate.

4. Injuste. X
5. Dirigée contre soi-même ou autrui. X

8 / 14
Question n° 17 Fascicule test probatoire – Page 124 QRM
Que prévoit l'article L.2338-3 du code de la défense ?

1. Le renvoi à l’article L.435-1 du code de la sécurité intérieure. X


2. L’emploi des forces armées sur réquisition. X
L’usage des armes dans le cadre d’opérations militaires à l’extérieur du
3.
territoire national.
L’usage des matériels en dotation pour immobiliser les moyens de trans-
4.
port. X
5. Le renvoi à l’article L.4123-12 du code de la sécurité intérieure.

Question n° 18 Fascicule test probatoire – Page 123 QRM


L'article 122-7 du code pénal trouve particulièrement à s'appliquer dans le cas d'un
usage des armes à feu à projectiles perforants pour :

Repousser, de nuit, l'entrée par effraction, violence ou ruse dans un lieu


1.
habité.
2. Neutraliser un animal agressif. X
Se défendre contre les auteurs de vols ou de pillages exécutés avec vio-
3.
lence.
4. Faire cesser une agression à l’encontre d’autrui.

5. Neutraliser un animal menaçant. X

Question n° 19 Fascicule test probatoire – Page 135 QRM


REST est le terme mnémotechnique définissant les principes élémentaires de la
tactique d'intervention. Que signifie t-il ?

Respecter le fondement de l’intervention graduée afin de garantir une


action efficace, en sécurité.
1. R
Respecter les fondamentaux pour garantir une action efficace, en sécurité. X
Éviter d’exposer les personnels dont le niveau technique n’est pas adapté.
2. E
Éviter d’exposer inutilement du personnel. X
Si l’application des fondamentaux n’est pas possible, dynamiser l’action. X
3. S
Si l’application des fondamentaux n’est pas possible, fixer l’adversaire en
attente de renfort.
Traiter les zones de danger :
- du général au particulier ;
- du plus près au plus loin.
4. T
Traiter de zones de danger en zones de danger afin de garder :
- un schéma tactique simple ; X
- la capacité d’être renforcé ou de pouvoir rompre le contact.

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Question n° 20 Fascicule test probatoire – Page 136 QRM
Lors d'une interpellation domiciliaire, le choix du mode d'action est déterminant.
Quelles affirmations sont exactes concernant le choix du mode d'action ?

Le choix du mode d’action est déterminé à l’aide du moyen mnémotech-


1.
nique CRIC. X
Il existe 4 modes d’actions possibles : en force, par surprise, en sou-
2.
plesse, en discrétion.
Une intervention commencée en mode souplesse peut basculer en mode
3.
force. X
Une intervention commencée en mode force ne peut pas basculer en
4.
mode souplesse.

Question n° 21 Fascicule test probatoire – Page 144 QRM


Concernant la palpation de sécurité, quelles affirmations sont exactes ?

1. Il s’agit exclusivement d’un acte opérationnel de nature administrative. X


2. La palpation de sécurité est réalisée sous appui. X
Elle peut être réalisée par un APJ ou APJA sous la responsabilité d’un OPJ
3.
uniquement.
4. Elle est prévue par l’art L.436-16 du Code de Procédure Pénale.

Question n° 22 Fascicule test probatoire – Page 146 QRM


Quels sont les fondamentaux de la maîtrise avec arme de l'adversaire ?

1. Réactivité. X
2. Connaissance. X
3. Légalité.

4. Sécurité. X
5. Riposte.

6. Sûreté.

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Maintien de l’Ordre Public
(1 QO - 10 QRM/QCM)

Question n° 23 Fascicule test probatoire – pages 63 et 65 Question ouverte .../8


1) Détaillez ce que permet le principe opérationnel de « distanciation de
l’adversaire ».

La distanciation de l’adversaire permet de :


- Laisser le temps de la réflexion 0,5
et de la réaction au commandement ; 0,5
- Éviter les confrontations physiques violentes 0,5
en empêchant les manifestants de faire pression sur les forces de
l’ordre, 0,5
et ainsi limiter l’emploi de la force ; 0,5
- Laisser le temps à l’adversaire de se retirer 0,5
et ainsi limiter le contrôle des meneurs sur la foule ; 0,5
- Protéger les forces de l’ordre des projectiles lancés à la main. 0,5
2) Pour conduire une manœuvre de maintien de l’ordre public, un escadron de
gendarmerie mobile doit être articulé en quatre éléments. Citez-les et détaillez-les.

Au MOP, l’EGM doit s’articuler autour de quatre éléments nécessaires à la conduite


d’une manœuvre :
- Contact : 0,5
toujours chargé de l’action principale (sauf missions spécifiques PI), 0,25
il combine puissance et dynamisme pour limiter l’emploi de la force au
plus bas niveau possible ; 0,25
- Appui : 0,5
en mesure de soutenir les différents éléments par des tirs 0,25
de dispersion, d’interdiction, de neutralisation ; 0,25
- Couverture : 0,5
sûreté arrière 0,25
et latérale du dispositif ; 0,25

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- Réserve d’intervention : 0,5
outil de projection et moyens d’intervention, 0,25
en mesure de renforcer tous points du dispositif. 0,25
Aide à la correction : Pour chacune des parties de la réponse :
• la totalité des points sera attribuée pour une réponse exacte et complète ;
• aucun point ne sera attribué en cas de réponse inexacte ou incomplète.

Question n° 24 Fascicule test probatoire – page 63 QRM


Des techniques particulières ont été développées pour exécuter les missions de
maintien de l'ordre public. Quels principes tactiques visent-elles ?

1. Se protéger et riposter à une prise à partie par armes à feu. X


2. Défendre le terrain occupé par les forces de l’ordre.

3. Interpeller les fauteurs de troubles et les délinquants. X


4. Cloisonner l’espace de manœuvre ou protéger un point particulier. X
S’opposer à des violences ou voies de faits exercées contre les représen-
5.
tants de la force publique.
Évacuer des compartiments de l’espace de manœuvre ou des points parti-
6.
culiers. X

Question n° 25 Fascicule test probatoire – page 65 QRM


Concernant la gradation dans l'emploi de la force au maintien de l'ordre public,
quelles affirmations sont correctes ?

1. Elle doit respecter les exigences d’absolue nécessité et de proportionnalité. X


2. C’est la capacité à utiliser la force de manière légitime. X
C’est l’aptitude à changer rapidement le mode d’action entrepris en fonc-
3.
tion de l’attitude de l’adversaire.
L’exercice des mesures de contraintes doit être strictement nécessaire
4.
pour faire cesser les troubles à l’ordre public. X
C’est l’aptitude à combiner en toutes circonstances, en un lieu et à un mo-
5.
ment voulu, le mouvement et/ou la force si nécessaire.
Dans tous les cas, cette réponse graduée doit être justifiée au regard des
6.
violences exercées contre les représentants de la force publique. X

12 / 14
Question n° 26 Fascicule test probatoire – page 68 QCM
La manifestation est un rassemblement de personnes, sur la voie publique ou
dans un lieu public, susceptible de troubler l’ordre public, qui ne relève pas de
l’exercice d’une liberté absolue et fondamentale.

1. Vrai.

2. Faux. X

Question n° 27 Fascicule test probatoire – pages 66 et 67 QRM


Lesquels de ces principes concernent la manoeuvre défensive ?

1. La prise de contact.

2. La valorisation. X
3. L’affaiblissement. X
4. L’arrêt. X

Question n° 28 Fascicule test probatoire – pages 70 à 72 QRM


Parmi les principaux contextes opérationnels répertoriés pour le maintien de
l’ordre public, quelles affirmations sont correctes ?

1. Le milieu urbain est favorable aux forces de l'ordre. X


2. Le milieu périurbain est un espace souvent maîtrisé par l'adversaire. X
3. Le milieu rural est plutôt défavorable à l'adversaire.

4. Le milieu fermé est propice à l'usage des moyens lacrymogènes.

5. En outre-mer, les troubles à l'ordre public sont toujours très intenses. X

Question n° 29 Fascicule test probatoire – page 78 QRM


L'autorité habilitée à décider de l'emploi de la force au maintien de l'ordre public,
qui doit être présente sur la zone d'action, peut être :

1. Le représentant de l’État dans le département. X


Un commandant de compagnie de Gendarmerie départementale en se-
2.
cond. X
3. Un officier de police judiciaire désigné et territorialement compétent.

4. Le maire territorialement compétent ou l’un de ses adjoints. X


5. Le directeur de cabinet du DDSP, territorialement compétent.

13 / 14
Question n° 30 Fascicule test probatoire – page 82 QCM
En maintien de l'ordre public, lorsque l'usage des armes a lieu à l'initiative du
commandant de la force publique, l'ensemble des moyens à disposition est
employable (en dehors des armes à feu à projectiles perforants).

1. Vrai. X
2. Faux.

Question n° 31 Fascicule test probatoire – page 94 QRM


L'utilisation des grenades en service de maintien de l'ordre public nécessite :

1. De détenir un CIAPT. X
2. D’être à jour du recyclage du CIAPT concerné. X
3. De détenir un CIAPT pour chaque type de grenade à main.
De n’être à jour que du module de « connaissance du cadre législatif et ré-
4.
glementaire d’usage des armes ».

Question n° 32 Fascicule test probatoire – page 97 QRM


Parmi les propositions suivantes sur la « grenade modulaire type 2 lacrymogène »
(GM2L) , quelles affirmations sont correctes ?

1. Son usage produit un effet sonore très intense. X


2. Son usage produit un effet irritant. X
3. Il existe un impact psychologique en cas d’usage. X
4. Elle ne présente pas de danger particulier en cas d’usage.

Question n° 33 Fascicule test probatoire – page 100 QRM


Quelles précautions doivent être prises en cas d'utilisation du « diffuseur
lacrymogène grande capacité » ?

1. La distance d’utilisation à respecter est comprise entre 1 et 5 mètres. X


Étant un moyen incapacitant non létal, son usage est possible en milieu
2.
ouvert dans toutes les situations.
En tant que moyen de force intermédiaire, les conséquences de son usage
3. ne nécessitent ni de compte-rendu particulier, ni de consultation d’un mé-
decin quels qu’en soient les effets.
Son usage doit répondre à des impératifs de nécessité et de proportionnali-
4.
té. X

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