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SM- PC BIOF
TA
Cours
R
G
Physique
AO
Chimie Partie 1
U
Transformations rapides
R
et transformations lentes
G
Chapitre 1:
U
rapides
IC
Chapitre 2 :
H
de réaction
NA
Où NA = 6,02×1023 mol−1 est la constante d’Avogadro.
AO
m
n=
M
IH
m
Dans ce cas, on utilise la masse volumique ρ du liquide : =
V
On détermine donc la quantité de matière par la relation, en faisant attention aux unités :
H
.V
n=
M
AM
n = C.V
TA
➢ Concentration massique :
La concentration en masse, également appelée concentration massique et notée Cm, est le rapport de
la masse de soluté msoluté en g par le volume de solution Vsolution en L :
R
msoluté
Cm =
Vsolution
G
msoluté C
En combinant les relations Cm = et m = n M on montre que : C = m
Vsolution M
• La densité :
IC
Pour un liquide ou un solide la densité est définie comme le rapport de la masse volumique
du solide ou du liquide par celle de l'eau :
subs tan ce
d= eau = 1 g.cm−3
H
avec
eau
La densité d'un corps gazeux par rapport à l'air se calcule par le rapport entre la masse
AM
d'un volume donné de ce gaz et la masse du même volume d'air (pris dans les mêmes
conditions de température et de pression).
gaz M gaz
d= d=
air 29
• Pourcentage massique d’une espèce X dans un mélange :
Red ⎯ ⎯⎯→ Ox + ne −
⎯
⎯⎯→ Zn (aq) + 2e −
2+
Zn(s) ⎯
⎯
R
• Couple Oxydant/Réducteur :
Le couple Oxydant/Réducteur est l’ensemble formé par un oxydant et par son réducteur
G
conjugué.
Le passage d’un oxydant à son réducteur conjugué ou vice versa est formalisé par une demi -
équation :
AO
Ox Red : ⎯⎯
Ox + ne − ⎯→ Red
⎯
I 2 ( aq ) / I (aq) : I 2 ( aq ) + 2e − ⎯
− → 2 I − ( aq )
⎯⎯
⎯
• Oxydation : est une réaction au cours de laquelle une espèce chimique perd un ou plusieurs
électrons. L’oxydation mène à la formation de l’oxydant, c’est donc le réducteur qui s’oxyde.
U
→ Ox + ne−
Oxydation
Red ⎯⎯⎯⎯⎯⎯
IH
• Réduction : est une réaction au cours de laquelle une espèce chimique gagne un ou plusieurs
électrons. La réduction mène à la formation du réducteur, c’est donc l’oxydant qui se réduit.
Ox + ne− ⎯⎯⎯⎯⎯⎯
Réduction
→ Red
• Une réaction d’oxydoréduction : est une transformation chimique mettant en jeu un
IC
transfert d’électrons entre un réducteur Red1 d’un couple Ox1/Red1 vers un oxydant Ox2 d’un
couple Ox2/Red2.
Ox Red : n (Red ⎯ ⎯⎯ → Ox1 + n1e − )
⎯
1 1 2 1
H
⎯⎯
→ Red 2 )
Ox 2 Red 2 : n1 (Ox 2 + n 2e − ⎯
⎯
Réaction bilan : ⎯⎯
n 2 Red 1 + n1Ox 2 ⎯ ⎯→ n 2Ox1 + n1Red 2
AM
Cr2O72- (aq) ⎯⎯
→ 2Cr 3+ (aq)
⎯
⎯
➢ Équilibrer les atomes d’oxygène O en ajoutant des molécules d’eau H2O :
Cr2O72- (aq) ⎯⎯
⎯ → 2Cr 3+ (aq) + 7H 2 0(l)
⎯
➢ Équilibrer les atomes d’hydrogène H en ajoutant des protons H+ (en milieu acide).
TA
⎯⎯
Cr2O72- (aq) +14 H + ⎯ → 2Cr 3+ (aq) + 7H2 0(l)
⎯
➢ Équilibrer les charges électriques en ajoutant des électrons.
Cr2O72- (aq) +14 H+ (aq) + 6e− ⎯ ⎯⎯ → 2Cr 3+ (aq) + 7H2 0 (l)
⎯
R
Une transformation est dite rapide lorsqu'elle se fait en une durée trop courte pour être suivie
à l’œil ou avec les instruments de mesure usuels disponibles au laboratoire.
Exemple : Les réactions explosives, les réactions de précipitation, les réactions de
AO
dosage.
2. Transformation lente :
Une transformation lente est une réaction dont l'évolution peut être suivie à l’œil ou avec les
instruments de mesure disponibles au laboratoire.
Exemple : Les réactions d'oxydoréduction sont souvent lentes
U
3. Facteurs cinétiques :
Le facteur cinétique est une grandeur qui influe sur l'évolution de la vitesse d'une réaction
chimique.
IH
pH-métrie : Pour les milieux réactionnels contenant des ions oxonium H3O+ ou HO- subissant une
transformation.
AO
Les méthodes physiques permettent des mesures en continu, ne perturbent pas le système
réactionnel (méthodes non destructives).
1-2- La méthode chimique :
On réalise un titrage (dosage avec consommation de l’espèce dont on souhaite connaître la
U
1 dx
v t = (t)
Vs dt
dx
H
Vs est le Volume du mélange réactionnel, généralement constant, (t) est la valeur de la dérivée
dt
temporelle de l'avancement x à l'instant t.
AM
L’unité de la vitesse volumique dans le système international des unités est : mol . m-3 . s-1 .
Pratiquement on utilise des unités comme : mol . L-1 . s-1 ou mol . L-1 . min-1 .
x -x
v ( t' ) = Δx
1 dx ' 1
(t ) = 2 1 𝒙𝟏
Vs dt Vs t 2 - t1 Prof : TARGAOUI
Δt HICHAM
TA
0
𝒕𝟏 𝒕𝟐 t
0 t' 20
2-3- Evolution de la vitesse au cours du temps :
La vitesse volumique de la réaction est proportionnelle au coefficient directeur de la tangente à la
courbe à chaque instant. Or celui-ci diminue au cours du temps alors la vitesse diminue au cours
du temps.
R
Au cours du temps les réactifs disparaissent donc leur concentration diminue. Or nous avons déjà
vu que la concentration des réactifs est un facteur cinétique. Plus la concentration des réactifs est
G
faible plus la réaction est lente. Donc, en général, la vitesse volumique de la réaction est maximale
à l'instant t = 0 et s'annule à l'état final.
3- Temps de demi-réaction : x(mol)
AO
25
0
alors : x ( t1/2 ) =
xmax 0 t1/2 40 80 120 t160
2 x1
Remarque : Lorsque la température du système
augmente, la vitesse de réaction augmente, et le temps de demi-réaction diminue.
IC
1 dx
On a v ( t ) = (t) et x =
D .VS
Vs dt d
Rappels :
D’où puisque VS et d sont des constants :
Pour une fonction f de t, on a :
R
dx d D .VS VS d D d(αf) df
= = =α
dt dt d d dt dt dt
d αf+β α df
G
D’où
( )=
1 dx 1 VS d D 1 d D dt γ γ dt
v(t)= = =
VS dt VS d dt d dt Avec α , β et γ sont des constantes
AO
d D
Avec est le coefficient directeur de la
dt
tangente à la courbe qui représente la D25
concentration effective de l'espèce D en
fonction du temps.
Dmax
U
Le temps de demi-réaction :
Dt .VS donc d.x(t) Dmax
On a x(t)= Dt =
IH
d VS 2
d.x(t1/2 ) x Prof : : TARGAOUI
À t = t1/2 : D (t1/2 )= avec x ( t1/2 ) = max HICHAM
VS 2
d.xmax t1/2 t
donc D (t1/2 )= 0 160
2 VS
IC
d.xmax Dmax
Tant que Dmax = alors D (t1/2 )=
VS 2
On projette cette valeur sur le graphe qui représente D en fonction du temps et on obtient t 1/2 .
H
n0 ( A ) - a.x(t) n0 ( A ) a a
At .VS = n0 ( A ) - a.x(t) ⟺ At = = - .x(t) = A 0 - .x(t)
VS VS VS VS
At = A0 -
a
VS
V
(
.x(t) ⟺ x(t) = S A 0 - A t
a
)
7
L'expression de la vitesse en fonction de la concentration A :
On a v ( t ) =
1 dx V
(
(t) et x(t)= S A 0 - A t
Vs dt a
)
dx d VS V d A t
D’où puisque VS , a et A 0 sont des constants :
dt dt a
(
)
= A 0 - A t = - S
a dt
1 dx 1 VS d A t 1 d A t
D’où v(t)= = × - = -
VS dt VS a dt a dt
TA
d A
Avec est le coefficient directeur de la tangente .
dt
2
A t A t
R
25 25
A 0 A 0
G
2
A f
Généralisation :
IH
La vitesse de réaction s'exprime en fonction de la concentration des espèces en solution par les
relations suivantes :
1 dx 1 d Ct 1 d Dt 1 d A t 1 d Bt
v(t) = = = =- =-
VS dt c dt d dt a dt b dt
IC
Dans l'expression de la vitesse de réaction en fonction de grandeurs relatives à des réactifs, apparaît
un signe (-). Or un réactif étant consommé au cours du temps. La dérivée de sa quantité de matière ou
sa concentration est négative. La vitesse de la réaction reste donc bien une grandeur positive.
H
Le temps de demi-réaction :
a
On a A t = A 0 -
AM
.x(t)
VS
a x a x
À t = t1/2 : A t = A 0 - .x(t1/2 ) avec x ( t1/2 ) = max alors A t = A 0 - . max
1/2
VS 2 1/2
2 VS
On projette cette valeur sur le graphe qui représente A en fonction du temps et on obtient t 1/2 .
8
5- Suivi de l’évolution temporelle d’une transformation chimique par mesure de la
pression :
L'étude cinétique par présiométrie est basée sur l'étude de l'évolution de la pression des gaz.
On introduit dans un ballon de volume V0 une masse m de ruban de Zinc, à t=0 on ajoute un volume
V S de la solution d’acide chlorhydrique de concentrations C, et on Plonge le ballon dans l’eau du
bain-marie. Cette précaution permet d’assurer une température constante au milieu. On relève la
pression du gaz dans le flacon à l’aide d’un capteur de pression.
TA
capteur de pression
1020,00 ballon
R
G
Equation de la réaction :
AO
Les couples rédox sont mis en jeu dans cette réaction sont : Zn2+
(aq) Zn(s) et H3O+(aq) H 2(g)
• Zn2+
(aq) Zn(s) : ⎯⎯
→ Zn2+
Zn(s) ⎯
⎯ (aq) + 2e
-
• H3O+(aq) H 2(g) : ⎯⎯
→ H 2(g) + 2H 2O(l)
2H3O+(aq) + 2e− ⎯
⎯
U
Tableau d’avancement :
Etat
ni(𝐇𝟑 𝐎+ ) -2x 2x
H
x ni(Zn(s)) -x x Excès
intermédiaire
• À t = 0 : P0 = Patm donc P0Vg =nair RT où n air est la quantité de matière des espèces présentes
dans l’air contenu dans le ballon.
• À l’état intermédiaire : PVg =nt RT où P est la pression totale, n t = nair + n H2 la quantité de
matière totale des gaz et Vg =V0 -VS le volume du gaz.
n H2 RT
Donc PVg =P0 Vg + n H2 RT ⟺ P=P0 +
Vg
x(t).RT
D’après le tableau d’avancement n(H 2 ) = x(t) alors P=P0 +
Vg
9
x(t).RT Vg
Tant que P=P0 + alors : x(t)=(P - P0 ) . (1)
Vg RT
Vg
• A l’état final : x = xmax et P =Pmax alors xmax =(Pmax - P0 ) . (2)
RT
(1) x(t) P - P0 P - P0
x(t) = xmax .
TA
=
(2) xmax Pmax - P0 Pmax - P0
ΔP
On pose ΔP=P-P0 et ΔP=P-P0 donc x(t)=xmax .
ΔPmax
R
Vg P(t)
➢ On a x(t)=(P - P0 ) .
AO
RT
dx d V P max
(t)= (P - P0 ) . g d’où
dt dt RT
V dP Pmax + P0 Prof : : TARGAOUI
dx P(t 1/2 ) =
(t)= g . 2 HICHAM
dt RT dt
U
P0
1 dx 1 Vg dP
Donc : v(t)= =
VS dt VS RT dt
IH
0 t1/2 t
160
x1
dP
Où est le coefficient directeur de la tangente à la courbe qui représente la pression P en fonction
dt
IC
du temps.
P - P0 dx d P - P0 dx x dP
➢ On a x(t) = xmax . (t) = xmax . d’où (t) = max
Pmax - P0 dt dt Pmax - P0 dt Pmax - P0 dt
H
1 dx 1 x dP
Donc : v(t)= = max
VS dt VS Pmax - P0 dt
AM
dP
Où est le coefficient directeur de la tangente à la courbe qui représente la pression P en fonction
dt
du temps.
Le temps de demi- réaction t 1/2 :
P - P0
On a x(t) = xmax .
Pmax - P0
P(t1/2 ) - P0 xmax
À : t = t1/2 on a x(t1/2 ) = xmax . Avec : x(t1/2 ) =
Pmax - P0 2
10
xmax P(t1/2 ) - P0 1 P(t1/2 ) - P0
Donc = xmax . =
2 max 0 2
P - P Pmax - P0
Pmax - P0 P +P
D’où P(t 1/2 ) - P0 = P(t 1/2 ) = max 0
2 2
On projette cette valeur sur le graphe qui représente P en fonction du temps et on obtient t1/2 .
➢ La courbe représentant ΔP=f(t) :
TA
ΔP dx d ΔP
On a x(t)=xmax . = xmax .
ΔPmax dt dt ΔPmax P
dx xmax dΔP
D’où = . P max
dt ΔPmax dt
R
2
dP
Où est le coefficient directeur de la tangente à
AO
dt
0 t1/2 t
160
la courbe qui représente la pression P en fonction .
x1
Le temps de demi- réaction t 1/2 :
ΔP ΔP(t1/2 ) xmax
On a x(t)=xmax . à t = t1/2 x(t1/2 )=xmax . avec x(t1/2 ) =
U
ΔPmax ΔPmax 2
2 ΔPmax ΔPmax 2 2
On projette cette valeur sur le graphe qui représente ΔP en fonction du temps et on obtient t 1/2 .
6- Suivi temporel d’une transformation par conductimétrie :
IC
A2 A2
A2 AB
TA
B2 B2 AB
B2
R
Plus la fréquence de chocs est grande, plus il y aura une forte probabilité de chocs efficaces, plus la
vitesse de la réaction sera grande.
AO
➢ Influence de la température :
L’élévation de la température accroît l’agitation thermique, elle augmente donc la fréquence des
chocs mais aussi leur efficacité puisque les entités ont plus de vitesse donc plus d’énergie, donc La
vitesse d’une transformation croît lorsque la température croît.
➢ Influence de la concentration
On comprend aussi facilement que plus la concentration molaire des réactifs est grande (plus il y a
U
de matière par unité de volume), plus la fréquence des chocs est importante. La vitesse d’une
transformation est d’autant plus grande que la concentration molaire des entités réactives est grande.
IH
IC
H
AM
Ondes
R
G
Chapitre 1:
AO
Chapitre 2 :
IH
Chapitre :
H
On appelle onde mécanique, le phénomène de propagation d’une perturbation dans un milieu matériel
élastique sans transport de matière mais avec un transport d’énergie.
G
Exemple
Direction de la propagation
Compression Dilatation
H
AM
la célérité v d'une onde est le quotient de la distance d parcourue par la perturbation sur la
durée t que dure ce parcours.
d en m
d Δt en s
V=
Δt
V en m.s 1
U
Pour un milieu matériel et homogène, la célérité de propagation d’une onde ne dépend pas de la forme du signal
(amplitude et durée). En revanche elle dépend de la nature du milieu de propagation, C’est -à-dire de sa rigidité
(élasticité), et de son inertie et de sa température.
Que représentent l’inertie et la rigidité d’un milieu ?
L’inertie d’un milieu ou d’un système représente la résistance que ce milieu ou ce système oppose
IC
On peut calculer la célérité d'une onde le long d'une corde de longueur L et de masse mpar la relation.
Le long d’une corde tendue, la célérité augmente avec la tension F de la corde et diminue avec la masse
linéaire de la corde .
- L’inertie d’une corde est représentée par sa masse linéique et la rigidité représentée par sa tension.
- La célérité augmente avec la rigidité du milieu et diminue avec son inertie.
15
Analyse dimensionnelle :
d = L =L.T -1
TA
d
On a v = v =
Δt Δt T
F F M.L.T2
Pour pour la realtion v = v = L2 .T 2 L.T 1
μ
: 1
R
μ M.L
Célérité d’onde mécanique progressive à la surface d’eau peu profonde :
G
Si l'eau est peu profonde et si la profondeur vaut h, la vitesse est donnée par la relation:
h : la profondeur de l'eau en m.
"Peu profonde" signifie que la profondeur de l'eau est faible par rapport à la distance entre les crêtes successives
de l'onde.
Vitesse du son dans un gaz :
U
P : la pression en Pa
γ.P
v= ρ : la masse volumique en kg.m -3 .
IH
ρ
γ : une constante sans unité dépend du gaz ( pour l’air γ=1,4)
nRT
Pour un gaz parfait : PV = nRT ⟹ P =
V
IC
n.RT
γ. γR
γ.P γRT γR
Donc : v V T K T avec K
ρ m M M M
V
H
4. Notion de retard :
Soit une onde émise par la source S et se propageant avec la
célérité v le long d'une corde.
Lorsque l'onde se propage avec une célérité v d'un point M
à un point M', la perturbation au point M' est celle qui était
en M à la date antérieure t=t'-τ. La perturpation parvient en
M' avec un retard τ par rapport à sa date t de passage de M.
MM'
τ=
v
16
5. Elongation : l’élongation d’un point est la valeur de l’écart de ce point par rapport à la position d’équilibre.
Ys(t)
𝒚𝑴 (𝒕) = 𝒚𝑺 (𝒕 − 𝝉)
𝒚𝑺 (𝒕) = 𝒚𝑴 (𝒕 + 𝝉)
t(s)
0
YM(t) SM Avec τ le retard temporel du point M par rapport au
=
TA
V point S
t(s)
0
R
y y
AO
x=cste t=cste
t x
U
17
2 BAC : PC - SM Prof : TARGAOUI HICHAM
Une onde mécanique progressive périodique est caractérisée par une périodicité temporelle et une périodicité
spatiale. Chapitre 2
1.1. Périodicité temporelle et périodicité spatiale de l’onde :
R
état de vibration .
yS Prof : BENRAMDANE
La fréquence est le nombre de fois de phénomène effectue par TAOUFIK
AO
1 T
seconde N= la fréquence s’exprime en Hz (hertz).
T
On determine la période T graphiquement à partir de t
l'élongation d'un point du mlieu
U
L’élongation de la source S
b. Périodicité spatiale: la longueur d’onde
IH
TAOUFIK
T
L'aspect de la corde l'instant t (la forme à l’instant t)
AM
18
2. Détermination de la célérité des ondes sonores dans l’air :
Méthode : on relie un haut-parleur à un générateur de base fréquence GBF, pour déterminer la
célérité d’onde ultrason on réalise le montage suivant
générateur de base fréquence GBF
2500.0
R1
TA
R2 Y1 Y2
Prof : BENRAMDANE
haut -parleur d
TAOUFIK
Lorsque le récepteur R2 est situé à la distance d du récepteur R1 les signaux reçus par les deux
R
ce que les deux signaux reçus par les deux récepteurs soient à nouveau et pour la première fois en phase
la distance sépare R1 et R2 :
d’= (k+1) donc =d’-d par suite la vitesse est 𝐕 = 𝐓 avec T la période.
AO
U
IH
IC
en opposition en phase.
microphones sont en phase deux courbes la durée t mise par
la durée t mise par
l’onde sonore pour
d= K avec Kℕ*
AM
parcourir la distance d1
la durée t (ou ) mise l’onde sonore pour entre M2 de M1 :
𝑻
par l’onde sonore pour parcourir la distance d1 ∆𝒕 = (𝟐𝒌 + 𝟏)
𝟐
parcourir la distance d entre M2 de M1 : avec Kℕ*
la distance entre les
entre les 2 microphones t =K T+
deux microphones
la distance entre les deux
t =K T microphones 𝐝𝟐 = (𝟐𝐤 + 𝟏)
𝟐
2. d1=k+Va.
avec Va la célérité du son
dans l’air.
19
3. Ondes à la surface de l'eau :
3.1. Les ondes circulaires :
90°+
TA
4. Diffraction :
La diffraction est le phénomène qui se produit quand on fait passer une onde sinusoïdale par une
U
ouverture dont la langueur est de l’ordre de la longueur d’onde de cette onde. Alors l’ouverture se
comporte comme une source ponctuelle qui émet une onde de même fréquence que l’onde incidente
dans toutes les directions qui sont offerts
IH
λ λ λ
a a
H
5. milieu dispersif :
Un milieu est dispersif si la célérité des ondes dépend de leur fréquence ; on dit alors que les ondes qui se
propagent dans ce milieu subissent un phénomène de dispersion.
20
2 BAC : PC - SM Prof :TARGAOUI HICHAM
Chapitre 3 :
1. Nature ondulatoire de la lumière :
1.1. phénomène de diffraction de la lumière :
On éclaire avec un faisceau laser une fente (ouverture, fil), on observe sur un écran des tâches brillantes séparées
par des tâches sombres dont la tâche centrale est la plus lumineuse et épaisse. La fente se comporte comme une
source virtuelle de la lumière.
TA
Fente Ecran
Écran
Laser
R
Figure de diffraction
G
Laser
IC
La diffraction étant caractéristique des ondes, ces expériences montrent la nature ondulatoire de la lumière.
2. Ondes lumineuses - Ondes électromagnétiques :
H
La lumière est une onde électromagnétique c’est la combinaison de deux perturbations l’une est magnétique,
l’autre est électrique. Ces deux perturbations oscillent en même temps dans deux plans perpendiculaires. La
lumière se propage dans le vide et dans les milieux transparents homogènes.
AM
Remarques
R
La célérité d'une onde électromagnétique dépend du milieu de propagation, par conséquent la longueur
d’onde varie lorsqu’on change de milieu de propagation.
L'indice de réfraction de la lumière dans l'air nair =1 : c vair
AO
Relation de Cauchy :
L'indice de réfraction dépent du milieu et du rayenemment selon la relation de Cauchy :
b
n=a+
λ2
Avec a et b des constantes positives dépendent du milieu et λ est la longueur d’onde de la lumière étudiée dans
U
le vide.
2.2.3. Domaine des ondes lumineuses visibles :
IH
La
λ=
2D
Pour une longueur d’onde donnée, le phénomène de diffraction est d’autant plus marqué que la dimension de
l’ouverture ou de l’obstacle est plus petite. La largeur de la tache centrale L est inversement proportionnelle
R
Condition de la diffraction : λ a
G
La coube : L = f( 1 ) 1
La coube : = f( )
a a
L 𝜃
U
Prof : BENRAMDANE
IH
1 1
a a
IC
1 1
L en fonction de est une fonction linéaire 𝜃 en fonction de est une fonction linéaire
a a
1
H
1 1
Δ Δ
a a
2D.λ 1 λ
Et on a L= L=2Dλ. 2 Et on a θ= 2
a a a
En combinant les deux relations (1) et (2) on En combinant les deux relations (1) et (2) on
K obtient : λ=K
obtient : K=2Dλ donc λ=
2D
23
3. Dispersion de la lumière
3.1.Rappel : Lois de réfraction :
On parle de réfraction lorsqu’il y a un changement de la direction de propagation de la lumière quand celle-ci
traverse un dioptre et change le milieu transparent de propagation.
Dioptre : surface de séparation entre deux milieux transparents.
TA
R
G
AO
Conséquences :
Quand un rayon arrive de l’air et se Inversement s’il arrive d’un milieu
IH
neau 1, 33 nair 1
3.2.Déviation de la lumière monochromatique par un prisme :
Le prisme est un milieu transparent limité par deux faces planes qui se
coupent en une ligne appelée arête du prisme. Il est caractérisé par son
angle au sommet A et par son indice de réfraction n.
24
TA
R
sini = n sinr 1
G
n sinr’ = sini’ 2
r + r’ = A 3
AO
D = i + i’- A 4
D : l'angle de déviation est l'angle copris entre le rayon incident et le rayon emergent.
U
dans le prisme dépend de la fréquence et par suite le prisme est un milieu dispersif .
υ v > υR
IC
λv < λR
nv > nR
D v > DR
H
AM
Remaque : l'air et le vide sont deux milieu non dispersifs pour la lumière.