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Chapitre1 : Le travail est une vertue.

1. l’amour du travail… pour le travail

Aimer son travail, c’est aimer ce que l’on fait, quoi que l’on fasse. « Il n’y a
pas de sots métiers, il n’y a que des sottes gens » nous apprend le proverbe français.
Tous les métiers sont donc dignes d’être pratiques
Quand vous travaillez, faites-le avec joie et à la satisfaction de votre patron, de
votre client. L’on doit pouvoir « voir » l’amour que vous avez pour votre travail dans
toutes vos réalisations. Car aimer son travail et faire avec plaisir ouvre la porte du
succès.
Aimez-vous travailler ou pas votre réponse déterminera tout ce que vous allez
entreprendre à partir d’aujourd’hui.
Si vous aimez travailler, continuez dans cette voie, cultivez cet amour, par tous
les moyens. Si vous n’aimez pas travailler et que vous voulez devenir un
professionnel, un vrai, il vous faudra changer d’attitude face au travail au risque de ne
point progresser.

2. l’exemple de la république de Corée

Il n’y a certainement un pays au monde qui illustre mieux le travail vertu que
la Corée du Sud. Dans ce pays les travailleurs en grevé… continuent toujours à
travailler, arborant un brassard pour manifester leur mécontentement, face à une
situation donnée. Il n’est donc pas étonnant que la Corée du Sud, en moins de 50ans,
ait pu réaliser des transformations extraordinaire dans l’industrie (chantiers navals,
automobile etc…) et les technologies de l’information et de communication, pour ne
citer que ces deux domaines.
En 1980, à la faveur d’une visite familiale dans ce pays, je me suis rendu à
Seoul. A cette époque-là déjà j’avais été impressionne par le niveau de
développement de ce pays (du matin calme). La dynamique, le sens des affaires et la
place du travail dans l’esprit des coréens étaient frappants.
J’ai rencontre une jeune coréenne et nous étions lies d’amitié, elle travailler et
elle m’avait expliqué qu’en Corée du Sud il fallait travailler, ne pas le faire était (et
restez encore) considère comme un acte anti patriotique.
Ainsi, j’ai vu des personnes relativement âgées, dans les administrations, et
dans les entreprises , dont le travail consistait , a longueur de journées , a accueillir des
visiteurs dans les ascenseurs et a appuyer sur des boutons d’étages … avec le souris et
la politesse légendaire de ce peuple .
Un ami me disait d’ailleurs qu’en Asie, en général, les personnes âgées, qui
veulent garder leur indépendance financière vis-à-vis de leurs enfants, continuent à
travailler assez tard dans leur vie.
Au cours de ce voyage en Corée de Sud, j’avais eu le privilège de rencontrer le
président de la garde compagnie Sud-Coréenne SSANGYONG Corporation. Il avait
apprécié mon niveau d’anglais, qu’il jugeait bon (pour un francophone) et souhaitait
me recruter dans cette société qui, à cette époque, avait de solides relations
commerciales avec mon pays. Il me proposa un emploi à Seoul dans le but de me
former pour les futurs rôles dans ce partenariat. Le travail, encore le travail. !
J’avais 19ans, j’étudiais en France, je venais d’obtenir mon baccalauréat (avec
mention) et je tenais absolument à faire mes études de Droit, cela ne s’est donc pas
fait.

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