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JAPONAISE à LA
THEORIE
Z
William Ouchi
Réaliser par :
KHAOULA TOUZANI
CHAYMAE TILIOUINE
NORA TOUAHRI
BOUTAINA JAZOULI
Encadrer par :
Mme. EL AZZAOUI AICHA
TABLE DES MATIERES
INTRODUCTION : ........................................................................................... 3
Partie 1 : Le modèle Japonaise ........................................................................... 4
Section 1 : Caractéristiques Fondamentales des Entreprises Japonaise ............ 4
Section 2 : Les Mécanismes D’une Entreprise Japonaise ................................ 6
Section 3 : Comparaison Des Entreprises Japonaises Et Occidentales ............. 8
Partie 2 : La théorie mise en œuvre .................................................................. 10
Section1.Les étapes de la théorie Z ............................................................... 11
Section 2.La culture de la théorie Z ............................................................... 15
Section 3 : Les avantages et les inconvénients de la théorie Z ....................... 18
CONCLUSION : .............................................................................................. 19
Bibliographie et webographie :......................................................................... 20
2
INTRODUCTION :
La Théorie Y de McGregor, se différencie de la Théorie X qui énonce
Que les travailleurs détestent et évitent par essence le travail et
Qu’on doit donc leur affecter ce travail ; la Théorie Y énonce que le
Travail est naturel et peut être une source de satisfaction lorsqu'il est
Utilisé pour satisfaire des besoins psychologiques humains de très
Haut niveau.
La Théorie Z est un prolongement de la Théorie X et la Théorie Y, Ella
A développée par William Ouchi en 1981, Cette Théorie est souvent
Associée au style de management japonais.
Dans cet exposé on va traiter deux chapitres, dans le premier
Chapitre on va parler sur le modèle japonais à savoir les propriétés
Fondamentales d’une entreprise japonaise, les mécanismes d’une
Entreprise japonaise et pour clôturer ce chapitre on va faire par la
Suite une comparaison entre des entreprises japonaises et des
Entreprises occidentales, dans le deuxième chapitre qui est sous le
Titre de “la Théorie Z mise en œuvre “, On va mettre la lumière sur
Les 13 étapes de cette théorie et dans deuxième lieu on va traiter la
Culture de cette dernière et pour finir on va citer les avantages et les
Inconvénients de la théorie Z.
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PARTIE 1 : LE MODELE JAPONAISE
1
Théorie Z : faire face au défi japonaise – WILLIAM OUCHI – paris – inter Edition (1982)
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recrutement se fait donc pour des postes non pour les tâches très définies .la
politique du recrutement des grandes entreprises japonaise est particulier en ce
sens qu'il favorise l'homogénéité. L’homogénéité de recrutement semble
favoriser l'esprit d'équipe et résoudre un certain nombre des problèmes de
communication ou pour ainsi dire de pré-management.
C. Promotion et rémunération :
Au sein de l'entreprise japonaise, les cheminements de carrière sont lents et ils
sont basés sur une évaluation informelle et de long terme de l'employé le
système Nenko de promotion, l'ancienneté, est très répandu. Le salaire de départ
est assez faible et progresser à l'ancienneté. Les employés plus âgée sont donc
relativement surpayés ,ce qui explique retraite à 55 ans .ce système s'applique
autant aux vols bleus qu'aux cols blancs et négociation des échelles favorisée
par la structure syndicale dite d'entreprise, qui regroupe tous les employés d'une
firme .les écarts salariaux Au japon sont faibles comparativement à d'autres
pays et favorisent l'égalitarisme par rapport à l'appartenance à firme cet
égalitarisme de la politique salariale des entreprises japonaise est caractérisé par
le système Nenko de promotion lente des salariés selon l'âge (Nen) et les années
de service (ko)au sein de la compagne pendant 10 ans, chaque jeune embauché
dispose de la même promotion que son voisin, n'est qu'au about de 10 ans qu'il
aura une évaluation sérieuse. Le système de rémunération et de promotion est
cohérent avec une organisation du travail basée sur une relation à long terme et
sur la polyvalence des employés peu spécialisés, les salariés sont ainsi
susceptibles de participer à une rotation des tâches non seulement horizontale
mais aussi verticale, acquérant des compétences avec l'expérience.
D. Les carrières non spécialisées :
Le développement des carrières individuelles constitue une autre
caractéristique importante du système japonais, celles des hommes qui sont
spécialisés dans les connaissances de leur entreprise et sont facilement
interchangeables au sein de l'entreprise, mais difficilement entre entreprise. Les
gens font carrières dans une seule entreprise, dans plusieurs spécialités c’est à
dire avec le système japonais, pratiquement tous les services possèdent un
employé pratiquement au courant des hommes, des problèmes et des opérations
des autres secteurs de l'entreprise. Le jour où une coordination sera nécessaire,
les deux parties sont capables de se comprendre et de coopérer. Plus important
encore, chaque employé sait qu'il continuera durant toute sa carrière de changer
de services, bureaux, de lieu géographique.
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SECTION 2 : LES MECANISMES D’UNE
ENTREPRISE JAPONAISE 2
Les mécanismes de direction d’une entreprise japonaise sont si subtils qu'ils
échappent souvent aux gens de l’étranger.
Preuve en est, l’exemple d’une importante banque japonaise installée aux Etats-
Unis et comportant à sa tête un président japonais et vice-présidents américains,
où les américains d’un côté et les japonais de l’autre se reprochaient mutuellement
de ne rien comprendre à la fixation d’objectifs.
Il en ressort qu’alors que les américains sont formés à la mise en place d’objectifs
précis, se déclinant en indicateurs mesurables et quantifiables, les japonais eux
sont d’abord sensibilisés aux valeurs fondamentales et à la philosophie de
l’entreprise, le tout constituant la culture de l’entreprise, se matérialisant par un
ensemble de symboles, de cérémonies et de moyens, à partir desquels chacun est
amené à tirer les meilleurs objectifs possibles pour l’entreprise, dans quelque
situation que ce soit.
Cette situation est d’autant plus facile du fait de l’emploi à vie et du fait que les
salariés auront occupés suffisamment de postes différents dans l’entreprise pour
créer une culture commune.
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« La théorie Z : faire face au défi Japonaise- WILLIAM OUCHI page 51...66 », s. d.
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naturellement participative, permettant de pallier efficacement l’absence de l’un
des membres de l’équipe.
Ainsi, dans la mentalité japonaise, tout ce qui est important résulte de l’effort
d’une équipe.
Les entreprises japonaises n’étant pas intéressées par l’évaluation immédiate des
réalisations individuelles, cela permet une économie importante des coûts de
gestion engendrés notamment par la comptabilité analytique et le traitement de
l’information.
L’entreprise japonaise donne lieu par contre à des relations inclusives, de par
son histoire, et du fait qu’au moment de l’urbanisation, les entreprises durent
prendre en charge la formation complète des jeunes afin de convaincre leurs
parents de l’intérêt pour eux de se faire embaucher. De plus, les structures
sociales du féodalisme avaient préparé les japonais à un certain paternalisme.
Cela entraîne une intimité désarmant les actions malhonnêtes au sein du groupe.
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SECTION 3 : COMPARAISON DES ENTREPRISES
JAPONAISES ET OCCIDENTALES 3
A. Le contraste :
- Une rotation importante entraîne une formation rapide, d’où une simplification
des tâches, donc un travail ennuyeux pour le personnel, propice à la démission.
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La théorie Z : faire face au défi Japonaise- WILLIAM OUCHI - 1982- page 67 68 69
8
que mécanisme de coordination. D’où un cloisonnement des fonctions au sein
d’une même entreprise.
Cela veut dire qu’il existe des variantes dans les conditions sociales occidentales
à moins qu’elles ne se trouvent dans un état de transition.
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PARTIE 2 : LA THEORIE MISE EN ŒUVRE
WILLIAM OUCHI a été professeur de management et d'organisation à
l'université de Californie Los Angeles et vice-président de cette même
université, la théorie Z est le fruit de ses recherches sur l'organisation et les
structures d'organisations.
La théorie Z va émerger dans un contexte où la philosophie de qualité totale
(qualité- coûts - délais) devient dominante. La théorie Z est une extension et un
prolongement de la théorie XY de MC GREGOR.
Par ailleurs W.OUCHI considère deux modèles d'entreprise où qu'il désigne par
le modèle d'entreprise "H" ou le modèle d'entreprise "M" :
Le modèle d'entreprise "H": il répond au modèle de type holding il représente un
conglomérat traditionnel où l'aspect financier est prépondérant.
Le modèle d'entreprise "M": il répond au modèle de type multifonctions il
intègre une multitude de départements autour d'un pôle technologique de base.
L'entreprise Z considère l'homme comme l'élément déterminant de la réussite de
l'entreprise, elle reprend les grands principes du management Japonaise dont le
modèle à su préserver :
La subtilité qui nait des relations individuelles et peut faire l'objet d'action
bureaucratique.
L’intimité qui là est la capacité de donner et de recevoir par amitié.
L'entreprise Z est fondée sur des valeurs telles que la loyauté, la fidélité, l'amitié
et la confiance, favorise une culture du clan. Les salariés sont très attachés aux
valeurs fondamentales de l'entreprise et à sa philosophie. Ce type d'entreprise
très enracinée dans le passé leur permet de construire l'avenir. Elle devient un
outil de pilotage de l'organisation. W. Ouchi s’est inspiré de principes
typiquement nippons à savoir :
L’emploi à vie qui sécurise les employés et les fidélise (mais au Japon,
seule une partie des employés en bénéficie).
Un système d’évaluation où joue l’ancienneté mais aussi l’évaluation de
groupe.
Un type de carrière peu spécialisée où la rotation est la règle.
Un système de contrôle implicite.
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Une consultation plus importante où les décisions sont discutées plus
collectivement.
Une responsabilité collective de l’équipe.
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https://d1n7iqsz6ob2ad.cloudfront.net/document/pdf/5384c08188f14.pdf
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L’entreprise efficace sera celle qui fonctionnera en coordination tacite, tel un
clan. En effet, des structures formelles seront mises en place pour pallier les
faiblesses occasionnelles en matière de coopération ou d’information.
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systématique des relations avec le personnel. Aussi, le syndicat constitue, pour
une entreprise qui passe d’un style de gestion autocratique à un style
démocratique, un excellent canal de communication avec ses employés, afin de
gagner leur confiance. Dans ce cas, les relations de travail se renforceront et la
productivité va croître.
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Phase douze : Découvrez les secteurs où vous pouvez implanter la
participation.
Supposant que la productivité s’est améliorée et que la fidélité du personnel est
acquise, ce qui incite l’entreprise à privilégier l’interrogation des employés en
tant que groupes, sans hésiter d’appliquer leurs suggestions.
En résumé :
Il s’agit davantage d’un guide approximatif que d’une méthode rigoureuse. Un
ordre logique y est cependant respecté, allant du sommet pour redescendre
ensuite le long de l’échelle hiérarchique.
Il faut compter deux ans pour en voir les premiers effets auprès de
l’encadrement. Les effets au niveau des ateliers et bureaux ne seront perceptibles
que dans 10 ou 15 ans.
Dès sa mise en œuvre, le processus de gestion participative, parce qu’il fait
appel à des valeurs fondamentales du salarié, s’autoalimente, et débouche sur
une productivité et une efficacité accrue.
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SECTION 2.LA CULTURE DE LA THEORIE Z 5
La culture d’entreprise naît de la tradition et du climat existant au sein de
l’entreprise et implique des valeurs telles que l’agressivité, la vivacité, ou la
mollesse, lesquelles influeront les activités, opinions ou actions.la culture de
type Z elle, met en avant des valeurs telles que l’emploi à long terme, la
confiance et l’intimité dans les relations humaines et surtout la fidélité de cette
culture pour les hommes, les travailleurs et cela, au-delà du cadre de
l’entreprise. Elle montre que des conditions de travail humanisées augmentent
rentabilité et productivité, tout en améliorant l’image des employés sur eux
même. En effet, le travail conditionne la sociabilité de l’individu et donc sa vie.
Ainsi, les entreprises de type bureaucratique créent des poste et conditions de
travail spécialisés et deviennent distantes et contractuelles vis à vis de leurs
employés. Lesquels vont se retrouver dans un état d’anomie avancé, seul dans la
vie et la société et privé de tout recours moral. Au contraire, la culture de
l’entreprise Z offre aux employés un cadre social stable où ils peuvent se
retrouver et puiser une aide permettant de construire les autres aspects de leur
existence. Une organisation économique, est non seulement une création d’ordre
économique, mais aussi une création d’ordre social, et comme tout système
social, une structure de travail implique une forme subtile de coordination entre
individus.
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http://lirsa.cnam.fr/medias/fichier/ouchihtml 1263552741670.html
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3. Une tâche commune
Une société Z se caractérise par de nombreux groupes de travail cohésifs et
semi-autonomes. Une jeune anthropologue a démontré tout récemment, que
contrairement à l’idée qui prévalait, dans la plupart des civilisations,
l’appartenance à un groupe ne restreignait pas Forcément la liberté personnelle,
mais pouvait être un moyen de canaliser des émotions individuelles, en les
permettant de totalement s’exprimer. La formation de groupes peut être pour une
société Z, plus la conséquence que la cause de la bonne santé de l’entreprise.
6. L’œuf ou la poule
Toutes les entreprises Z ne sont pas faites sur le même moule, et se sont forgées
avec le temps, sous l’impulsion de leurs fondateurs. Quand la société est
contrôlée par son fondateur, il n’a pas à justifier ses décisions sur le long terme,
et celles-ci peuvent avoir une certaine subtilité. Inversement, quand la société est
aux mains de nombreux actionnaires, ceux-ci n’ont pas le degré d’intimité
suffisant pour posséder une conscience aiguë de sa complexité.
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On distingue trois types d’environnement favorable à l’émergence d’une société
de type Z :
Les fiefs : c’est le cas de sociétés telles que Kodak ou Procter &Gamble.
Elles regroupent la majorité de leurs employés dans des villes petites ou
moyennes, ce qui entraîne le développement d’un réseau complet de
relations globales. Ce réseau assujettit les salariés à leurs rôles religieux,
civiques ou de voisinage. Le danger de ce type d’organisation peut être
l’émergence du paternalisme, contraire à l’esprit égalitaire de la société Z.
L’environnement caractéristique de l’armée et de certaines grandes entreprises
industrielles, lesquelles déplacent si souvent leurs employés, qu’ils ont à peine le
temps de s’intégrer dans le tissu social. Les salariés s’adaptent souvent en
développant une culture homogène au sein de la structure de travail.
Le troisième environnement est celui des sociétés telles que Hewlett Packard, ou
Texas Instruments, implantés dans des cadres idylliques. Dans ce cas, chacun
semble venir d’autre part, et n’ont pour la plupart pas d’amis intimes ou de liens
familiaux ou sociaux. Aussi, sur leur lieu de travail, ils développent leur sentiment
d’appartenance à quelque chose ainsi que leur attachement profond et durable à
d’autres êtres humains.
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SECTION 3 : LES AVANTAGES ET LES INCONVENIENTS
DE LA THEORIE Z
1-Les avantages :
Meilleur outil pour unir les activités des employés, avec compréhension
commune des valeurs et buts de l'entreprise
Rend compte de l'image de l'entreprise
Reflète la personnalité de l'entreprise : se forge au cours du temps : c'est la
culture de l'entreprise
Naît de la tradition et du climat existant
Emploi LT
Confiance
Intimité
Fidélité à la culture de l'entreprise
Consensus et Confiance
Prise de décision collective (responsabilité partagée entre tous)
Système bureaucratique remplacé par un système où le climat de
confiance règne : autonomie, grande part de liberté « associés »
collaborateurs » pour parler d'employés
Employé : pas seulement une personne à qui on a attribué une tâche
Employé : être humain impliqué dans son travail et dans la vie de
l'entreprise
Entreprise Z : clan où chacun doit faire exactement ce qu'il désire
2- les inconvénients :
Augmentation du stress et de la concurrence déjà accrue. Remise en cause
des patrons eux-mêmes : vieillissement de la population.
Contexte actuel difficile
Pas de garantie d'emploi à vie
Manipulation des salariés
Plus un consensus qu'une coopération totale
Image « famille soudée » et « égalité cols bleus cols blancs » plus trop
valables...
Méfiance, rétention d'information auprès des stagiaires.
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CONCLUSION :
Pour conclure la théorie z offre plus de fiabilité basée sur les attitudes et les
responsabilités des salariés alors que la théorie XY de Mac Gregor est
essentiellement focalisée sur un management et sur la motivation des
perspectives des managers et de l’organisation. Il s’est ainsi avéré que ce succès
résultait de la manière d’envisager autrement l’entreprise il était redevable de la
considération systématique des différents styles de collaboration. Les diverses
observations réalisées à l’intérieur des entreprises nipponnes ont permis de
dégager le principe selon lequel le bon fonctionnement de l’entreprise dépend de
la capacité de la part de l’organisation à appréhender globalement l’ensemble
des informations, tout en témoignant d’une flexibilité importante.
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Il est nécessaire de noter que la théorie Z intelligemment et patiemment appliqué
doit produire, selon Ouchi, de meilleurs résultats quant à la satisfaction, à
l’engagement du personnel dans et pour l’entreprise à la capacité d’adaptation
au changement et finalement en termes d’efficacité de l’entreprise. Toutefois, le
rejet l’hétérogénéité et le manque de mesures objectives des performances
individuelles font que l’entreprise est raciste et sexiste. C’est également le cas
des entreprises japonaises fonctionnant au japon.
BIBLIOGRAPHIE ET WEBOGRAPHIE :
Théorie Z : faire face au défi japonaise – WILLIAM OUCHI – paris – inter Edition (1982)
https://d1n7iqsz6ob2ad.cloudfront.net/document/pdf/5384c08188f14.pdf
http://lirsa.cnam.fr/medias/fichier/ouchihtml 1263552741670.html
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