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Élaboré par:
•Moulahoum Kaouther.
•Birem Abrar.
•Bella Fatima Zohra.
Professeur:
Belhouchat Assia
Plan du travail:
•Introduction.
•Définition.
•Les étapes de la théorie Z.
•Les avantages et les inconvénients de la théorie Z.
•La caractéristique de La théorie.
• Comparaison entre Théorie X, Y et Z.
•Étude de cas.
•Conclusion.
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Introduction
• Au Japon, les hommes sont spécialisés dans la connaissance de leur entreprise, et sont
facilement interchangeable au sein de l’entreprise, mais difficilement interchangeable entre
entreprises. Les gens font carrières dans une seule entreprise, mais dans plusieurs
spécialités.
• Aux Etats-Unis et en Europe, les hommes sont spécialisés dans un domaine précis, et
sont donc difficilement interchangeable au sein de l’entreprise, mais facilement
interchangeable interentreprises. Une carrière se construit entre plusieurs entreprises, mais
au sein d’une même spécialité.
• En 1981, William Ouchi a proposé une variante qui combine les méthodes de gestion
américaines et japonaises ce qui donne la théorie Z.
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Définition
• William Ouchi :
William G. Ouchi (né en 1943) est un professeur et auteur américain dans
le domaine du management. Il s'est fait connaître pour ses études sur les
différences entre les entreprises japonaises et américaines, dans leurs styles
de management. Son premier livre en 1981, ″Theory Z: How American
Management Can Meet the Japanese Challenge ″, et aussi ″The M Form
Society: How American Teamwork Can Recapture the Competitive Edge″.
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Définition:
• La théorie Z :
La théorie Z ou le modèle japonais est une extension de la théorie XY de Douglas. Elle est assez
proche des 14 points définis par William Edwards Deming. Elle est basée sur le style de management
japonais. En réalité, la théorie Z de l'organisation repose sur une synthèse des caractéristiques
respectives de firmes japonaises et nord-américaines qui ont connu le succès.
Par ailleurs Ouchi considère 2 modèles d'entreprise qu'il désigne par le modèle d'entreprise H et M
-LE LODÉLE D'ENTREPRISE H : Il répond au modèle de type holding il représente un conglomérat
traditionnel où l'aspect financier est prépondérant.
-LE MODÈLE D'ENTREPRISE M : il répond au modèle de type multifonctions il intègre une multitude de
départements autour d'un pôle technologique de base. L'entreprise Z considère l'homme comme
l'élément déterminant de la réussite de l'entreprise telle que SONY, TOYOTA.
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Les étapes de la théorie Z:
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Les caractéristiques de la théorie:
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Les avantages et les inconvénients:
• Les avantages :
Une philosophie :
• Meilleur outil pour unir les activités des employés, avec compréhension commune des valeurs et buts de
l'entreprise.
• Rend compte de l'image de l'entreprise.
• Reflète la personnalité de l'entreprise : se forge au cours du temps, c'est la culture de l'entreprise (Naît de
la tradition et du climat existant).
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Les avantages et les inconvénients:
Dans l'entreprise Z :
• Emploi à long terme.
• Confiance.
• Intimité.
• Fidélité à la culture de l'entreprise.
• Consensus et Confiance
• Rapports humains et non plus fonctionnels
• Prise de décision collective (responsabilité partagée entre tous).
• Système bureaucratique remplacé par un système où le climat de confiance règne (autonomie, grande
part de liberté « associés » collaborateurs » pour parler d'employés).
• Entreprise Z : clan où chacun doit faire exactement ce qu'il désire.
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Les avantages et les inconvénients:
• Les inconvénients :
• Augmentation du stress et de la concurrence déjà accrue.
• Remise en cause des patrons eux-mêmes.
→ Application de nos jours :
• Contexte actuel difficile
• Pas de garantie d'emploi à vie
• Manipulation des salariés
• Plus un consensus qu'une coopération totale
• Image « famille soudée » et « égalité cols bleus cols blancs » plus trop valables...
• Méfiance, rétention d'information auprès des stagiaires.
• Allocation des ressources.
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Comparaison entre théorie x, y et z:
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Étude de cas:
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Étude de cas:
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Conclusion:
Il faut se rendre à l’évidence que dans une entreprise de type Z, il est impossible de
changer le comportement des gens en changeant la mesure de leurs résultats ou le mode de
calcul des bénéfices. La seule façon de faire est de modifier la culture. Néanmoins, ceci
s’effectue lentement car ses valeurs sont profondément ancrées et s’intègrent dans un réseau
de convictions.
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