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La Politique de lutte
contre le chômage
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Sommaire :
Introduction ……………………………………………………………… ………. 4
Partie 1 : Fondement théorique de la politique de l’emploi et
du chômage …………………………………………………………………………5
Chapitre 1 : La politique de l’emploi et du chômage…………..5
A- Notion et concept ……………………………………………………..….5
B- Typologie…………………………………………………………………….…6
C- Mesure………………………………………………………………………….9
D-Causes et conséquence…………………………………………………10
E - La politique de l’emploi et le chômage selon la
CPE…………………………………………………………………….……………….14
Chapitre 2 : Les politiques de lutte contre le chômage…….18
A- Les politiques passives ………………………………….. …………18
B- Les politiques actives……………………………………………….…18
C- Les politiques de relance de la demande…………………….19
D –les politiques restrictives…………………………………………..20
Partie 2 : Cas du Maroc…………………………………………………….21
Chapitre1 : Emploi et chômage (bilan ; analyse)………………21
A- Analyse……………………………………………………………………….22
B- Bilan……………………………………………………………………………24
Chapitre 2 : Les reformes ou politique entreprises pour la
lutte contre le chômage au Maroc…………………………………..28
Conclusion …………………………………………………………………………32
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Bibliographie…………………………………………………………………….33
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Introduction
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-L’Emploi :
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L'emploi n'est pas uniquement une activité rémunérée, il confère également à celui qui
l'occupe un statut social, c'est à dire une place dans la société, une position sociale, une
identité sociale.
B -Typologie
Un emploi atypique
Un emploi protégé
Ce type d'emploi s'adresse aux personnes qui ne peuvent pas travailler en milieu ordinaire du
fait de leur degré de handicap .
Un emploi à temps partiel
Est un emploi qui n’est pas à temps plein, c’est-à-dire dont le temps de travail est inférieur à
la durée de travail de référence dans le pays concerné.
Ce sont davantage les femmes que les hommes qui occupent des emplois à temps partiel.
Schéma récapitulatifs
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Le chômage conjoncturel :
Le chômage structurel :
Les structures désignent ici essentiellement tout l’appareil éducatif et de formation qui
doit prendre en charge l’adaptation des jeunes aux exigences du marché du travail.
Structures économiques : par opposition à la conjoncture, les structures d’une
économie sont des ensembles d’éléments qui la constituent de façon durable ou qui ne
changent que très lentement.
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Chercher à produire davantage au moindre coût est le but de toute entreprise bien
gérée, or parmi les coûts que supporte une entreprise, les charges de MO sont souvent
importantes. Elle s’efforce donc d’utiliser des techniques qui économisent du travail,
c’est-à-dire qu’elle va augmenter la productivité du travail, ce qui conduit à une
substitution des machines à la MO : on parle de substitution du capital au travail.
C’est ce qui permet aux entreprises d’être plus compétitives (dans la mesure où elles
investissent grâce aux gains de productivité réalisés), de gagner des parts de marché, ce
qui peut, dans un deuxième temps, avoir un effet positif sur l’emploi puisqu’il faudra
augmenter la production.
Le chômage d’inadéquation :
Ce chômage résulte du fait que les emplois offerts par les entreprises ne correspondent
pas aux compétences de la MO en quête d’emploi et vice versa.
Il affecte particulièrement les personnes qui n’ont pas accès à un statut stable de
travailleurs et notamment les jeunes sans formation et sans expérience. Ces
demandeurs d’emploi sont réduits à travailler de façon intermittente, et subissent une
alternance de périodes de formation, de petits boulots, de stages, d’intérim, de CES,
entrecoupés de périodes de chômage.
Le chômage technique :
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C -Les Mesures
1) Mesure de L’emploi :
Population de 15 à 24 ans
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1-Causes du Chômage :
-Causes économiques :
Progrès technique et l’évolution de la productivité
La substitution du capital au travail du fait des investissements (robotisation…) faits par
les entreprises provoque ce chômage dit technologique À noter : le progrès technique crée
également des emplois mais d’un niveau de compétences supérieur aux emplois supprimés.
Les technologies numériques sont à l’origine d’emplois nouveaux dans les PDEM( Les pays
développés à économie de marché).
Crise économique et ralentissement de la croissance
Crise : retournement de la situation économique ; conduit à la récession Croissance :
correspond à l’augmentation de la production de B et S sur une période donnée ; se mesure
grâce au PIB.
La crise financière (2008) devenue économique se traduit aujourd’hui par un ralentissement
de l’activité économique : moins de consommation, de pouvoir d’achat, licenciements…)
Fermeture d’une entreprise dans un pays d’origine(PDEM) et réouverture dans un PED (coûts
de production – élevés)
Les PED tels que les pays émergents ; présentent des avantages en termes de coûts de
production : main d’œuvre moins chère… et en conséquence, les entreprises des PDEM
ferment leurs usines pour en ouvrir d’autres dans ces PED et réaliser ainsi des économies.
Cette délocalisation de la production concerne l’industrie mais aussi les services.
Dans les années 70, l’arrivée sur le marché du travail des baby-boomers *face à des départs en
retraite peu nombreux = augmentation du chômage
(*) Baby boom : augmentation des classes d’âges correspondant aux personnes nées au
lendemain de la2eGM
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En parallèle les mentalités évoluent et un plus nombre de femmes souhaite accéder à l’emploi
= augmentation du nombre de demandeurs d’emplois
À noter : les départs en retraite des nombreux babys devenus papy-boomers pourraient
permettre un recul du chômage des jeunes.
Chômage d’incohérence
Situation dans laquelle coexistent une pénurie et un chômage. La situation est paradoxale : les
entreprises cherchent à recruter et de l’autre côté, des demandeurs
d’emplois ne trouvent pas de poste.
Explications : les qualifications requises par les entreprises ne sont pas disponibles auprès des
demandeurs d’emploi (inadéquation O/D) ; les demandeurs d’emploi ne sont pas assez
mobiles pour déménager dans une région dans laquelle une entreprise recrute ou, ne veulent
pas accepter des postes aux salaires insuffisants.
-Causes structurelles :
Selon certains auteurs trop de rigidités ont été introduites sur le marché du travail et ne
permettraient plus une allocation optimale des emplois. La législation protectrice des salariés,
introduirait des rigidités liées notamment :
- Au Contrat à durée indéterminée : les entreprises rechignent à embaucher en vertu d’un CDI
parce qu’elles n’ont pas suffisamment de visibilité sur leur activité. Elles préfèrent proposer
des CDD aux salariés qu’elles recrutent ou encore, recourir aux CTT (temporaires).
- Aux procédures de licenciement : elles seraient trop lourdes et donc il serait préférable pour
une entreprise de ne pas embaucher si les perspectives économiques ou financières ne sont
pas bonnes.
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Pour le chômeur
Conséquences économiques :
difficultés matérielles
surendettement
diminution du revenu
frais de déplacement
téléphone, journaux, timbres…
Conséquences sociales :
difficultés morales : dignité
regard des autres
perte de repères, d’expérience
chômage : facteur d’exclusion qui affaiblit le lien social
divorce
repli, suicide
Pour l’entreprise
Pour le salarié
Pour l’Etat
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Pour la région
Exode :
A cause de l’importance du chômage ces dernières années, les organisations humanitaires ont
pris beaucoup d’importance.
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Pour les keynésiens, l’emploi n’est pas déterminé par le salaire mais par la demande
anticipée des entrepreneurs : la demande effective. En effet, les entreprises
n’embauchent pas s’il n’y a pas de débouchés.
Schéma récapitulatif :
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Dans le cas du chômage classique, le niveau de profit est insuffisant donc les
entreprises n'augmentent pas voire baissent leur production même s'il existe une
demande non satisfaite. Dans le cas de l'inflation contenue, cela signifie que par
rapport à la demande de biens et de services, il y a une insuffisance de main
d'œuvre et de production ce qui conduit à une hausse des prix. Les deux types de
chômage, keynésien et classique, sont extrêmement difficiles à distinguer car ils
entretiennent des relations ce qui explique les difficultés à lutter contre. Ainsi,
l'évolution des capacités de production qui semble avoir limité la demande de
travail à certaines périodes est déterminée par le taux d'investissement, qui lui-
même dépend des perspectives de demande. D'autre part, la compétitivité sur les
marchés extérieurs influence le niveau de la demande extérieure. La faiblesse de
la demande étrangère peut être le reflet d'une compétitivité insuffisante.
En termes de politique économique, tenter de remédier à un chômage
keynésien (insuffisance de la demande) par une plus grande flexibilité du
marché du travail ne résout rien tant que les entreprises n'ont pas de commandes
elles n'embauchent pas et cela quel que soit le niveau de salaire. De même, une
relance de la demande n'aurait aucun effet sur un chômage de type classique, le
coût du travail trop élevé nuisant à la rentabilité des investissements.
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• Les politiques passives ne cherchent pas à agir sur la demande de travail des entreprises et
des administrations, mais elles ont pour objectif d’accompagner socialement le chômage (en
l’indemnisant) et de réduire l’offre de travail.
-Les politiques passives sont de plus en plus coûteuses, mais leurs effets sur le chômage sont
très limités.
Elles sont de plus en plus coûteuses car le montant global des indemnités à
verser s’accroît avec le chômage.
Si les politiques passives sont socialement nécessaires, elles sont
économiquement peu efficaces. L’offre de travail est peu flexible, car elle
dépend essentiellement de variables démographiques difficiles à infléchir.
•Les politiques actives ont pour objectif de favoriser la création d’emplois et d’assurer un
meilleur fonctionnement du marché du travail.
Elles favorisent la création d’emplois en diminuant le coût du travail
(exonérations fiscales, diminution des charges patronales, flexibilité des
rémunérations).
Elles cherchent à améliorer l’ajustement entre l’offre et la demande de
travail en favorisant la mobilité des actifs et surtout en améliorant leur
formation et leur qualification.
Ces mesures, généralement ciblées, visent surtout à améliorer la situation des
jeunes qui souffrent d’un chômage répétitif (alternance de périodes d’activité
et d’inactivité) et celle des chômeurs de longue durée qui sont peu
employables et menacés d’exclusion.
Les politiques actives ont des effets limités.
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• L’accroissement de la qualification des actifs est bien sûr souhaitable mais il ne diminue pas
significativement le nombre de chômeurs. Si ces derniers sont moins qualifiés que les salariés
qui disposent d’un emploi c’est essentiellement parce que le sous-emploi a accentué la
concurrence entre les actifs. L’intérêt principal des politiques de formation est social (prise en
charge de la qualification des moins adaptés) et statistique (diminuer les chiffres du
chômage).
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• Ces politiques de relance semblent vouées à l’échec car elles sont inflationnistes et se
heurtent à la contrainte extérieure.
Elles sont inflationnistes (car l’offre n’augmente pas suffisamment pour
satisfaire la demande) et risquent donc de nuire à la compétitivité extérieure des
entreprises et de créer une défiance en la monnaie.
Elles se heurtent à la contrainte extérieure ; toute croissance en économie
ouverte induit une augmentation des importations (importations de biens de
consommation et de biens de production) qui se traduit par une détérioration des
équilibres extérieurs.
En raison de leurs effets pervers, les politiques de relance françaises furent de courte durée et
bientôt remplacées par des politiques de stabilisation et d’assainissement de l’économie.
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Critére
démographique
Faible croissance
économique
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Manque
d'expérience
professionnel
Sexe
Domaine Déterminant
de microéconomique
formation Age
de l'accés a
l'emploi
Profession
Niveau de du Pére
formation
A –Analyse :
Le taux de chômage global est à 10% et celui des diplômés du supérieur à 18,3%, mais il
était de 27,6% à fin 1999. Les diplômés ne représentent que près de 11% des actifs occupés.
La structure de l'économie demeure encore dominée par le secteur primaire la question qu’on
se pose c’est : Où sont passés les diplômés chômeurs ? Les gouvernements qui se sont
succédé depuis une vingtaine d’années ont tous dû, à un degré ou un autre, affronter cette
problématique. Mais celle-ci semblait d’autant plus difficile à résoudre que les chômeurs
diplômés mettaient invariablement en avant la même revendication : -se faire recruter dans
la fonction publique
Aujourd’hui, le sujet paraît moins d’actualité ; du moins, il n’attire plus les feux
médiatiques. Peut-être même a-t-il diminué en ampleur !
Il n’en existe pas moins, cependant, et les statistiques officielles le montrent bien.
Caractéristique d’une économie qui peine à rompre complètement avec le passé, le chômage
au Maroc frappe en premier lieu les diplômés !
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Certes, le chômage global comme celui des diplômés ont tous deux significativement baissé
cette dernière décennie. Mais, une nuance de taille peut être relevée. Le taux de chômage
global a perdu 4 points en s’établissant à 9,1% à fin 2009 (10% au premier trimestre 2010)
contre 14% en 1999, alors que celui des diplômés (bac et + encore appelés diplômés du
supérieur) a substantiellement baissé en passant de 27,6% à 18,3% sur la même période,
selon les données du Haut commissariat au plan (HCP).
En dépit de ces améliorations, qui sont nettes, le niveau auquel se situe le chômage des
diplômés reste malgré tout élevé ; surtout quand on sait que les personnes sans diplômes
s’insèrent, elles, plus facilement dans la vie active : 5,4%, c’est en effet le taux de chômage
des sans diplômes à l’issue du premier trimestre écoulé. Présentés ainsi, c’est-à-dire en termes
de pourcentages, ces indicateurs peuvent ne pas dire grand-chose ou, au contraire, dire plus
qu’il n’en faudrait. Il faut savoir, en effet, que 18,3% de chômeurs diplômés, c’est environ
249 000 personnes, sur une population active de diplômés de quelque 1,37 million de
personnes. Les chômeurs sans diplômes, eux, sont de près de 360 000 sur une population
active sans diplôme de l’ordre de...7,5 millions de personnes.
Par conséquent, dans l’absolu, il y a plus de chômeurs sans diplômes que de chômeurs
diplômés. Mais on pourrait dire que cela est bien «normal» lorsqu’on rapporte ces valeurs à
leur dénominateur. Moyennant quoi, en termes de proportion, le niveau de chômage des
diplômés du supérieur (voir définition) reste encore très élevé. Et comme cela pouvait être
observé lors des sit-in à répétition devant le Parlement à Rabat, ce sont surtout les diplômés
des facultés qui sont les plus frappés par le chômage (27,6%), certes légèrement moins que
ceux ayant obtenu une spécialisation professionnelle (30,1%) mais beaucoup plus que les
techniciens supérieurs (plus de 25%), les bacheliers (25%) ou encore les techniciens et cadres
moyens(15%).
C’est, une fois de plus, la caractéristique de l’économie marocaine qui mise encore sur la
compétitivité par les coûts de main-d’œuvre, même si la nature des diplômes obtenus, et donc
le contenu de l’enseignement supérieur, y sont aussi pour quelque chose : c’est cette fameuse
inadéquation entre la formation et les besoins de l’entreprise dont regorgent tous les rapports
sur le sujet depuis des lustres, mais qui tend à s’estomper progressivement.
Depuis une dizaine d’années, le chômage des diplômés du supérieur, tous paliers confondus,
a perdu tout de même 9 points. Ceci est le résultat évidemment de la croissance économique,
des recrutements de l’administration à raison de 12 000 personnes par an en moyenne, mais
aussi de mesures volontaristes, comme celles décidées depuis le début du milieu des années
90 et relancées ou améliorées sous le gouvernement Jettou. Il s’agit du programme insertion
«Idmaj», du programme de reconversion «Taehil» avec ses deux mesures que sont la
formation contractualisée pour l’emploi (FCE) et la formation qualifiante ou de reconversion
et enfin «Mouqawalati» visant à encourager l’auto-emploi à travers la création de petites
entreprises.
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B –Bilan :
Le taux de chômage exprime la part des chômeurs dans la population active âgée de 15 ans et
plus. Ce taux est obtenu par le rapport de l'effectif des chômeurs à celui des actifs âgés de 15
ans et plus.
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60
50
40
Ensemble
30
Niveau supérieur
Niveau moyen
20
Sans diplôme
10
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Taux de chômage
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trimestriel national
selon les tranches d'âge
15 15 - 24
Taux de chômage
trimestriel national
10
selon les tranches d'âge
25 - 34
5 Taux de chômage
trimestriel national
selon les tranches d'âge
0
35 - 44
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Le taux de chômage au Maroc a augmenté à 10,0% au 1er trimestre 2010, contre 9,6% au
cours de la même période de l’année 2009. Selon les résultats de la dernière enquête du Haut
commissariat au Plan relative à la situation du marché du travail au 1er trimestre de l'année
2010.
Le HCP explique qu'en milieu urbain, les évolutions les plus importantes ont concerné les
adultes âgés de 35 à 44 ans (+1,5 point) et les non diplômés (1,1 point).
En outre, la population active en chômage a augmenté de 4,5% au niveau national, passant de
1.090.000 chômeurs au 1er trimestre 2009 à 1.139.000 au même trimestre de 2010, soit
49.000 chômeurs en plus.
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Pour conquérir sa place dans la société marocaine d’aujourd’hui, un jeune diplômé doit
développer ses compétences et acquérir une première expérience professionnelle au sein de
l’entreprise.
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o Programme MOUKAWALATI :
Le programme Moukawalati vise à encourager la création des entreprises assurer un
accompagnement pré et post création des TPE crées afin de les pérenniser.
Les personnes éligibles à l’accompagnement pour la création d’entreprises sont les porteurs
de projets dont le coût d’investissement est compris entre 50.000 DH et 500.000 DH et
remplissant des conditions spécifiques.
Un projet dont le coût d’investissement dépasse 250.000 dhs doit être initié par deux
promoteurs Tout candidat à la création d’entreprise ne peut bénéficier de l’accompagnement
prévu par le programme MOUKAWALATI qu’une seule fois. Cet accompagnement est
conditionné. par sa sélection définitive par la commission créée à cet effet au niveau des CRI.
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o Programme TAEHIL :
Le gouvernement s’attaque a l’amélioration de l’employabilité des jeunes difficilement
insérables, souvent sans diplômes.
Pour cela le programme TAEHIL, est aujourd’hui assorti d’une nouvelle échéance : l’année
2012. Il devra concerner 100.000 chercheurs d’emploi. La gestion du dispositif est déléguée a
L’ANAPEC.
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Conclusion
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Bibliographie :
Webiographie :
www.wiképédia.com
www.hcp.ma
www.Maxi-cours.com
www.scribd.com
www.emploi.gov
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