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J'enrichi mon vocabulaire :

Lexique du portrait Comparaison et métaphore

Support : Fleur du désert

Je lis et je repère :
1) Quelle personne est décrite dans ce texte ?
Une petite fille de Bou-Saâda
2) Quel âge avait-elle ?
Cinq ans.
3) Comment l'appelait-on ?
Fleur du désert.
1) Relève les traits caractérisant la fillette.
« Chevilles de biche - grands sourcils - bouche charnue qui laissait voir des dents très
blanches et très petites - jaune clair mêlé de rosé — très jolis tatouages bleus - comme
une gazelle »
4) Quel bijou traditionnel entoure ses pieds ?
Des khalkhals d'argent.

J'analyse :
1 ) A quoi est comparée la fillette quand elle court ? Retrouve la phrase qui le dit.
A une gazelle.
La fillette bondit comme une gazelle.
2) D'après toi, pourquoi a-t-on donné à la fillette le surnom de « Fleur
du désert » ?
Pour sa beauté.
3) « Fleur du désert » est-elle une comparaison ?
C'est une comparaison.
4) Quel élément lui manque-t-il ?
L'outil de comparaison.
5) Sais-tu comment on l'appelle cette comparaison ? Une métaphore.

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Je m'exerce :

Exercice n°1. (Page 123) Je complète les phrases avec un des adjectifs suivants (Aide-
toi d'un dictionnaire) :
mince - blême - chétif— radieux - élancée — raides - droit — ondulés.
1) Cet homme a le nez bien droit
2) C'est une femme à la silhouette mince et élancée
3) Le malade a le visage blême et le corps chétif
4) Les cheveux de ma petite sœur sont raides et ceux de ma mère ondulés
5) Cette jeune fille épanouie a le visage radieux

Exercice n°2. (Page 123)


Les mots de la liste [A] désignent un caractère. Chacun d'eux peut trouver son
antonyme dans la liste |B]. Recopie les couples ainsi formés :
1) généreux - avare
2) impulsif-calme
3) dynamique - mou
4) sauvage - sociable
5) gentil – méchant

Exercice n°3. (Page 123)


Je lis le texte suivant et je souligne les comparaisons et la (les)
métaphore(s) :
Le Panturle est un homme énorme. On dirait un morceau de bois qui marche. Au gros
de l'été, quand il se fait un couvre-nuque avec des feuilles de figuier, qu'il a les mains
pleines d'herbe et qu'il se redresse, les bras écartés, pour regarder la terre, c'est un arbre.
Sa chemise pend en lambeaux comme une écorce. Il a une grande lèvre épaisse et
difforme comme un poisson rouge.

Jean Giono, Regain, © Grasset et Gallimard Pléiade.

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J’écris : (Page 123)
Rédige deux phrases pour décrire une personne que tu aimes.
Je revois le visage de ...
1er exemple
Le portrait de mon père :
Je revois le visage de mon père. Je n'ai pas oublié son teint blanc, son large front, ses
sourcils nourris, fins et bien arqués, son nez fin et légèrement aquilin, ses lèvres minces
sans être pincées; sa barbe noire et soyeuse encadre légèrement l'ovale de sa figure
expressive. Un petit tatouage entre les deux sourcils fait ressortir la pureté de son front.
2ème exemple:
Le portrait de maman :
Je revois le visage de nia mère. Je l'aime. Son teint est clair et ses joues rosées. Elle a des
cheveux châtain clair, mi-longs, lisses recouvrant son front et des sourcils de taille
normale. Elle a les yeux marron soulignés d'un trait de crayon noir. Son nez est
normalement constitué. Ses lèvres petites mais pulpeuses recouvrent des dents soutenues
par un appareil dentaire. Son menton est lui aussi d'une taille normale. Ses épaules, ses
bras et ses jambes sont de taille normale. En revanche ses mains et ses pieds sont de petites
tailles.

3ème exemple :
Le portrait d'un proche : Ma tante
Je revois le visage de Leila qui est assez jeune, grande et mince. Elle a un visage rond, un
teint bronzé, des yeux verts, des sourcils fins, une bouche bien dessinée, un nez droit et des
cheveux longs brans. Ma tante veut toujours tout commander, elle n'aime pas qu'on lui
dise ce qu'elle doit faire, elle raconte souvent sa vie et écoute les conversations qui
l'intéresse. Elle fait beaucoup de reproche au gens.

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4ème exemple :
Le portrait d'une personne que j'aime :
Je revois le visage de Nadia. Elle est toujours joyeuse. Elle a un visage très ravissant. Elle
mesure 1 m 73. Elle est pâtissière et fait de bons gâteaux. Elle aime voyager et faire des
promenades. Elle parle le français et l'arabe. Elle a les yeux verts et des cheveux longs
châtain. C'est ma meilleure copine.

5ème exemple :
Le portrait d'une fillette :
Je revois le visage de la fillette. Elle a la peau claire et unie, ses
cheveux sont mi-longs de couleur châtain clair. Elle a des
sourcils fins et réguliers, ses yeux sont bruns avec des reflets
verts. Son nez est de taille ordinaire ; elle a également une petite
bouche, avec des lèvres rose pâle, ses dents sont blanches et
bien alignées. Son menton est ordinaire. Ses bras sont de taille
normale, elle porte un bracelet a son poignet droit, ses mains
sont minces. Sa taille est très fine, elle porte une tunique noire
et un gilet gris, des collants et des ballerines noires. Ses jambes
sont de taille moyenne.

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Les déterminants possessifs et démonstratifs

Je lis et Je repère :
1) Quels petits mots accompagnent les noms en couleur ?
Les petits mots qui accompagnent les noms en rouge sont: mon - sa - ce - ces.
2) Où sont-ils placés ?
Ils sont placés avant le nom.
3) Comment les appelle-t-on ?
On les appelle des déterminants.
J'analyse :
1) Quelle différence y-a-t-il entre les deux groupes nominaux : «le ruisseau», et «mon
ruisseau» dans la première phrase?
Dans le GN « Le ruisseau », le nom est précédé du déterminant article « le » et dans
le GN « mon ruisseau » le nom est précédé du déterminant possessif « mon ».
2) Pourquoi l'auteure dit-elle que c'est son ruisseau ?
L'auteure dit que c'est son ruisseau car elle est attachée à ce ruisseau.
3) Quel déterminant désigne la source du ruisseau ?
Le déterminant qui désigne la source du ruisseau est «sa»
4) Quelle précision apportent ces déterminants aux noms qu'ils accompagnent ?
Ces déterminants précisent la possession, l'appartenance.
5) Quels déterminants accompagnent les deux derniers noms en couleur ?
Qu'indiquent-ils ?
Les déterminants qui accompagnent les deux derniers noms en rouge sont : ce - ces.
Ils indiquent la désignation, ils permettent de montrer, de désigner l'objet.
6) Indique leur genre et leur nombre. Que peut-on conclure ?

« Ce » est au masculin singulier. « Ces » est au féminin pluriel.


On peut conclure que ces déterminants s'accordent en genre et
en nombre avec le nom qu'ils précisent ou accompagnent.

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Je m'exerce :
Exercice n°l. (Page 125)
Voici la suite du texte « Mon ruisseau » de Fadhma Aït Mansour Amrouche, je
souligne en vert les déterminants possessifs et en bleu les déterminants démonstratifs:

L'été, il était paisible et un léger filet d'eau coulait doucement entre ses rives... ; il fallait
grimper pour se rendre au champ de notre voisine. C'est là que j'allais ramasser des cerises
sauvages, des figues, des épis, et tout ce qui pouvait se manger, pour mon goûter, en
particulier, « bibras » l'oignon sauvage.
Sur les bords de ce ruisseau avaient poussé des peupliers, couverts de treilles dont les
grappes de raisins dorés pendaient au-dessus de l'eau. Ces grappes ne mûrissaient qu'en
novembre. Le jour où les propriétaires venaient faire la cueillette, ils laissaient tomber ces
grains blonds et juteux dans le ruisseau transparent. Mon ruisseau ! Que d'heures exquises
j'ai passées près de toi !
Exercice n°2. (Page 125)
Je complète par l'adjectif possessif qui convient :
• Mes souvenirs sont vagues, je me rappelle à peine le visage de mon amie d'enfance.
• Mon frère et moi avons de la chance. Nous pouvons compter sur nos parents. Notre
mère est toujours présente et attentive à nos besoins. Notre père s'occupe aussi de nous
chaque fois qu'il le peut. Ma famille est très heureuse.
• Je me souviens de la maison où je suis né, ses fenêtres sont basses, son jardin est grand
et ses murs sont en pierres.

Exercice n°3. (Page 125)


Je complète cette lettre de Fadhma Ait Mansour Amrouche avec les déterminants
possessifs et démonstratifs qui conviennent :
A mon fils Jean
Je te lègue cette histoire qui est celle de ma vie, pour en faire ce que tu voudras après ma
mort. Cette histoire est vraie, pas un épisode n'en a été inventé, tout ce qui est arrivé avant
ma naissance m'a été raconté par ma mère, quand j'ai été d'âge à le comprendre. Si j'ai
écrit cette histoire, c'est que j'estime qu'elle mérite d'être connue de vous. J'ai écrit cette
histoire en souvenir de ma mère tendrement aimée.
Lettre extraite de « Histoire de ma vie.»

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J’écris : (Page 125)
Ecris un petit énoncé de deux ou trois lignes dans lequel tu parleras d'un objet qui
t'appartient et que tu as perdu. Utilise au moins deux déterminants possessifs et un
déterminant démonstratif.

Exemple :
La cloche a sonné. Moi et mes amis, nous sommes entrés dans notre classe. Notre
maîtresse nous a demandé de sortir nos affaires et que chacun de nous les pose sur sa table.
J'ai ouvert mon cartable rapidement pour sortir mes affaires, mais hélas, je n'ai pas trouvé
mon livre de français. Je l'ai perdu. Je n'ai pas oublié ce jour-là. Ce souvenir est resté gravé
dans ma mémoire.

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Je lis et je repère :
1) Souligne tous les verbes conjugués de l'énoncé.
avais - habitais - allions - me rappelle •- me souviens.
2) Quels sont les verbes conjugués au présent et ceux conjugués passé ?
Les verbes conjugués au présent sont : me rappelle – me souviens
Les verbes conjugués au passé sont : avais - habitais - allions.

J'analyse :
1) Quand le narrateur emploie-t-il le présent : au moment de l’écriture ou quand il
raconte ses souvenirs ?
Le narrateur emploie le présent au moment de l'écriture.
2) Quand le narrateur emploie-t-il le passé ?
Le narrateur emploie le passé quand il raconte ses souvenirs.
3) Donne l'infinitif des verbes «me rappelle» et «me souviens». «se rappeler» et «se
souvenir».
4) Comment sont formés ces deux verbes ?
Ces deux verbes sont formés de deux parties : pronom (se) verbe. Ils sont précédés du
pronom personnel «se».
Comment les appelle-t-on ?
On les appelle les verbes pronominaux

5) Conjugue ces deux verbes au présent de l’indicatif


Se rappeler Se souvenir
Je me rappelle je me souviens
Tu te rappelles tu te souviens
il/elle se rappelle il/elle se souvient
nous nous rappelons nous nous souvenons
vous vous rappelez vous vous souvenez
ils/elles se rappellent ils/elles se souviennent

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Je m'exerce :
Exercice n°1. (Page 127)
Je réécris l'énoncé suivant à la 3eme personne du singulier :
Il se souvient du premier illustré qu'il lut ou plutôt qu'il était arrivé à déchiffrer
péniblement, car il venait à peine d'apprendre les rudiments de l'alphabet latin à l'école
française où son père l'inscrivit avec deux années de retard....
Lazhari Labter, Lesjournom.

Exercice n°2. (Page 127)


Je mets les verbes entre parenthèses à l'imparfait :
Ainsi rut mon enfance : Je n'avais pas de Blackberry, ni de Wifi, ni de playstation, ni MP3
et encore moins de PC portable... Je jouais à cache-cache, aux billes, aux pogs, au ballon,
à l'avion. L'heure de rentrer, c'était quand ma mère criait : «Rentre maintenant!». Quand je
me comportais mal, on me grondait ou me punissait. On faisait du roller ou du vélo au
lieu de tchater sur Internet. Et quand on voulait se voir, nous allions sonner les uns chez
les autres, on ne s'envoyait pas de SMS. Quelle merveilleuse enfance !
Site internet.
Exercice n°3. (Page 127)
Je mets les verbes au temps qui convient : présent ou imparfait

• Est-ce que tu te souviens de notre voyage en Grèce ?

• Je me souviens quand j'étais petit, je péchais les poissons avec une casserole, il y en
avait plein...

• Je me rappelle quand j'avais 6 ans, j'allais souvent chez ma grand-mère. Elle me


donnait quelques sous pour aller m'acheter des bonbons. « Dans ma jeunesse, je travaille
avec mes frères et sœurs à la ferme.

• J'apportais le repas que ma mère avait préparé et nous mangions tous ensemble sous
l'arbre à l'abri du soleil.

• II y a tant de souvenirs que chacun aime évoquer, tant d'émotions que l'on aime
raviver et que l'on a plaisir à raconter quand on se retrouve en famille, pendant les
vacances.

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Je me prépare à l'écrit :
1ère Activité : (Page 128)
Voici la biographie de Corinne Chevalier. Réécris-la à la première personne du
singulier.
Je suis née et vis à Alger. En 1985, j'écris un premier livre pour les jeunes : Des ruines,
des chèvres et des bateaux... En 1986, je publie à FOPU Les trente premières années de
l'Etat d'Alger, 1510 6 1541, et collabore en 1992, à la collection «histoires de l'Histoire»
de la maison Hatier, avec Prisonnier de Barberousse, qui obtient le prix du roman
historique pour la jeunesse de la ville de Nancy. En 2001, je publie un roman, La petite
fille du Tassili, chez Casbah-Editions. Passionnée par l'histoire de ma ville natale, je me
consacre depuis quinze ans à des recherches sur la période du XVIe siècle.
4ème de couverture de « La nuit du corsaire », de Corinne Chevalier, Casbah Editions

Corinne Chevalier

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2èmc Activité : (Page 128)
Voici une série de « Je me souviens » de Lazhari Labter, lis-les.
A la manière de Lazhari Labter, écris deux « je me souviens » :
1er exemple :
Je me souviens des bons moments qui ont marqué à jamais ma vie et celle de mon frère,
alors âgé de huit ans. Souvent après l'école, nous allions tous deux passer un moment à
l'oued de notre village. Nous passons des après-midi ensemble, en péchant les poissons. Je
me souviens aussi, de ce fameux après-midi où mon frère à crier plus fort quand il a péché
pour la première fois, un énorme poisson.

2ème exemple :
Je me souviens comme si cela datait d'hier, de ma première entrée à l'école: ma mère m'a
réveillé de bonheur ; j'étais assis face à la casserole de lait ; j'écarquillais mes yeux pleins
encore de sommeil. Je me souviens quand mon père m'a pris la main et m'a conduit à
l'école, je le suivais sans prononcer un mot parce que je pleurais à chaudes larmes. Les
premiers jours étaient très difficiles à vivre et pendant la recréai ion, je ne quittais pas mon
frère qui était mon ainé et qui avait déjà des amis. Il m'a fallu un certain temps pour
m’adapter à ce nouveau environnent.

Page 12
Page 129
Sujet :
Pendant les vacances d'été, au bord de la mer, tu as rencontré un ancien camarade de
classe. Assis sur le sable, tu évoques «a souvenir d'enfance que vous avez vécu ensemble.
- Rédige ce souvenir qui est resté gravé dans ta mémoire en précisant les émotions ressentis
dans un texte d'une dizaine de lignes.

1er exemple :
Je me souviens bien d'un événement qui est resté gravé dans ma mémoire, le jour où je
suis allé en promenade à la forêt avec mon père. Je ramassais les champignons comme
mon père. Comme j'avais faim, j'ai dégusté une. Au retour, j'ai commencé à avoir mal au
ventre. Le soir, en allant me coucher, ma mère m'a fait boire une tisane. Je suis à l'hôpital.
Les docteurs disent que j'ai mangé quelque chose qui m'a donné une intoxication.
Maintenant, je sais. Je Jure, à l'avenir, que je ne mangerai plus de myrtilles sauvages.

2ème exemple :
Je me souviens lorsque j'ai encore dix ans. Vers six heures, le soir, je me promène avec
mon frère dans les bois. Le ciel est bleu et un silence total règne dans cet endroit.
Soudain, nous entendons un cri horrible. Je sursaute et me tourne vers l'origine du cri. J'ai
la chair de poule et mon cœur bat très fort. D'abord, je m'approche doucement de cette
voix sourde qui appelle à l'aide ; « Au secours! Aidez-moi ! ». Alors, j'aperçois un grand
fossé très profond. Je me penche pour voir et je vois une petite fille de cinq ans qui pleure.
Rapidement, je l'aide à sortir du fossé. Heureusement qu'elle n'est pas blessée. Ses parents
qui n'habitent pas loin, n'ont pas entendu le cri de leur petite enfant. Ils m'ont beaucoup
remercié. Cet événement est resté gravé dans ma mémoire.

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3ème exemple :
Je me souviens encore de ce soir-là pendant l’hiver. J'ai encore six ans quand mes parents
m'ont laissé dans ma chambre pour aller faire une commission et revenir rapidement. Mais
à cause de la tempête, ils sont rentrés tard. Je m'allonge dans mon lit en train de voir la
télévision. Soudain, je me sursaute à cause d'un grand bruit. J'ai la chair de poule. Mes
jambes tremblent. Mon cœur bat très fort. Je ressens une panique incroyable. Après
quelques secondes, je décide de descendre l'escalier pour voir l'origine du bruit. Alors, je
prends un balai et j'avance à pas timides vers la cuisine. Quand je m'approche de la porte,
un chat miaule. II cherche à manger dans le buffet et fait tomber une casserole. Je reprends
mon souffle et je retourne dans ma chambre. Après un instant mes parents arrivent et je
leur ai raconté l'histoire. Je n'arrive jamais à oublier ce souvenir qui reste gravé dans m
mémoire.

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Page 129
Texte-support : Enfance du premier cosmonaute
Compréhension de l'écrit :
1) Qui parle dans ce texte ? Quels indices le montrent dans les deux premières phrases ?
C'est l'auteur, Youri Gagarine qui parle dans ce texte. Les indices qui le montrent
dans les deux premières phrases : je -mes parents - mon père - ma mère.
2) De quoi parle-t-il ?
Il parle de son enfance.
3) Réponds par « Vrai » ou « Faux »
a) Youri Gagarine est un cosmonaute. [Vrai]
b) 11 évoque un souvenir d'école. [Vrai]
c) Sa maison était située au bord de la mer. [Faux]
4) Quel sentiment est resté vivant dans sa mémoire ? Pourquoi?
C'est un sentiment de fierté qui est resté vivant dans sa mémoire. Parce qu'il a été
applaudi par les élèves de l'école.
5) Relève du texte deux mots liés au champ lexical du souvenir.
Deux mots liés au champ lexical du souvenir : me souviens -mémoire.
6) « Je me souviens... », « j'ai bonne mémoire » : à quel temps sont conjugués les verbes
de ces deux phrases ? Est-ce le narrateur-adulte ou le narrateur-enfant qui dit ces paroles ?
« Je me souviens... », «j'ai bonne mémoire » : ces verbes sont au présent
d'énonciation. C'est le narrateur-adulte qui dit ces paroles.
7) Relève deux verbes au passé et donne leur temps.
Travaillaient : imparfait de l'indicatif. J'avais récité : plus-que-parfait.
8) Réécris la phrase : « Je me souviens... maison. », en remplaçant le verbe souligné par
un autre de même sens.
« Je me rappelle qu 'il m'arrivait de monter en cachette sur le toit de la maison.»
9) Réécris la 1ère phrase à la 3ème personne du singulier puis au passé simple.
Il est né le 9 mars 1934.
Je naquis le 9 mars 1934.

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Production écrite :
A ton tour, raconte un souvenir d'enfance à l'école ou à la maison en commençant
ainsi :
Je me souviens de ce jour-là, c'était le plus beau jour de ma vie ...

exemple :
Je me souviens de ce jour-là, c'était le plus beau jour de ma vie : la distribution
des carnets de notes aux élèves. A dix heures, le directeur venait en
classe nous distribuer les carnets de notes. Il n'avait pas l’air content. Il
dit : « Je ne suis pas satisfait de vos notes. Les observations portées
sur vos carnets par vos enseignants sont très mauvaises.» Il commença
à distribuer les carnets. J'avais très peur pourtant j'avais bien travaillé
dans les devoirs et la composition. Mon cœur battait plus fort. En
s'approchant à proximité de moi, le directeur me caressa les cheveux et
me dit en lisant l'observation qui se trouvait sur mon carnet : « Elève
brillant, continue.» Je sautais de joie. J'étais très heureux de mon
travail. Quand la cloche sonna ; je sortis rapidement sans dire un mot.
Arrivé à la maison, je montrai mon carnet de notes à mes parents qui
étaient dans le salon. Ils avaient l'air content. Alors, je donnai le carnet
à mon père. II l'ouvrit, le signa et il me le rendit en disant : « Continue
à travailler bien mon fils. » Je montai dans ma chambre et je me mis à
réviser mes leçons.

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