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Lundi 2 janvier :

Entretien victime de violence conjugale mais avec tentative de meurtre de la part de son mari. Sureté
départementale ZAC Saint Guenault 3 bis rue Jean Mermoz 91080 Courcouronnes. Entretien d’abord
avec l’avocat pour lui expliquer les faits puis confrontation avec l’auteur des faits en présence de son
avocat et un interprète puisque celui-ci en a fait la demande.

Entretient avec la victime :

Marié avec un homme dispute le 31 très violente car elle avait des réseaux sociaux : instagram Tiktok
il ne veut pas qu’elle est des réseaux sociaux lui demande pourquoi elle en avait elle lui répond
comme ça et son mari découvre qu’elle parle avec un ami à lui sur les réseaux sociaux il s’énerve lui
demande des explications : deux coups de couteau (coteau planche à pain) sur le dos, des coups de
poings, gifle s’enfuie et une voisine la récupère appelle les pompiers. Constations du médecin 15
jours d’ITT mais l’auteur pas d’antécédant judiciaire. Interpellé le jour même et placé en GAV, Proc
demande une confrontation. La victime dit qu’elle craint la confrontation, l’avocat la rassure. Rôle de
conseil et rassure ses clients.

Confrontation :

Auteur des faits en présence de son avocat, et un interprété à sa demande en GAV puisqu’il ne
comprend pas bien la langue française et avocat qui défend la victime et observation à la fin de la
confrontation de la part des avocats qui le souhaite.

Rappelle des faits de la part des officiers de police : interdiction réseaux sociaux, le mari n’accepte pas
la frappe et combien de coups de couteau elle ne sait plus exactement et coup au niveau du nez on
constate durant la confrontation deux hématomes au niveau du visage sous les yeux et une dent
cassée. Mais la victime semble amoureuse tout de même de son mari elle déclare que sur le moment
elle n’a pas eu peur et signale que c’est la première fois que cela arrive. Des éléments précisent
qu’elle ne parle à personne elle semble isoler mais cela vient d’elle c’est son choix dit-elle. Avant leur
mariage en 2018, pas eu de violence sur elle. Les enfants étaient dans la chambre fermé endormis
durant les faits le 31, une fois ont fait l’objet de services sociaux et il résulte que les parents étaient
aptes à garder leurs enfants. Elle dit que le mari est un bon père pas eu de violence.

Auteur des faits : le mise en cause : déclare qu’il n’y a pas de conflit qu’il est simplement jaloux mais
confirme que la dispute vient des réseaux sociaux les deux versions sur ce point semble être
cohérente. Et dit qu’il s’occupe bien des enfants. Le 31 décembre : RS il demande pourquoi elle a des
réseaux sociaux pourquoi elle discute avec un autre homme : elle lui donne elle-même le téléphone :
gifle puis ma repousse se tape contre le coin d’une tale dans le salon à manger et appelé les pompiers
mais c’est trop tard la voisine l’a déjà fait.

Reprise des officiers : pour des explications sur le coteau le mis en cause n’explique pas les deux
entailles qu’elle a sur le dos mais des preuves confirmes bien la présence du coteau, trace de sang et
constations des deux entailles sur le dos de sa femme. Les officiers de police semblent vouloir lui faire
avouer mais celui-ci ne reconnait pas les faits.

Puis : pas les premières violences : constations en 2019 sur la voie publique d’une violence et
d’autres : la victime ne semblait pas au début vouloir dire que ce n’était pas la première fois, pour elle
effectue une graduation des violences une gifle ce n’est pas une violence, reprise de l’officier en
disant qu’une gifle reste une violence. Le mise en cause explique ces faits-là en disant que c’est le
père qui a déclaré cela car il voulait que sa fille divorce avec lui.
Histoire : mariage assez rapide après rencontre, présentation famille, des enfants 2 enfants.

Le ménage a été fait à l’arrivée des policiers pour l’interpellation car constations d’une serpillère
encore humide et le couteau dans l’évier, lui dit que cela a été fait avant le problème et pas
d’explication pour le coteau

Avant : janvier et juin 2019 : hématomes au visage mari la frappe voie publique dans le 93.

Entretient se termine et pas d’observation pour les avocats. Les avocats n’ont pas accès à tout le
dossier seulement à aux pv des auditions.

Les possibilités qui s’offrent au mis en cause soit comparution immédiate soit juge d’instruction
l’avocat semble penser qu’il va y avoir une instruction.

Deuxième partie :

Gardé à vue au commissariat de police d’Evry : un homme en semi-liberté pour vol n’est pas rentré
depuis 1mois et demi, évasion, le procureur le poursuit pour avoir manqué à ses obligations même
s’il a purgé la peine pour vol. Entretient avec un avocat et un interpréterai car il ne comprend pas
bien la langue française : reconnaissance des faits de la part de l’homme. Il déclare qu’il n’a pas eu de
train pour rentrer l’avocat le conseille, lui dit que ce n’est pas possible durant 1 mois et demi il lui dit
qu’il faut dire : qu’il n’a pas eu de train pour rentrer et qu’après il a eu de peur d’être remis en prison
il a fait le choix de pas rentrer, entretient avec la policière : au départ : questions administrative sur
son identité puis questions sur les faits : il dit ce que l’avocat lui a dit il demande pardon et il souhaite
bénéficier de semi-liberté et déclare que cette fois-ci il va respecter. Entretient terminer

Cabinet après-midi :

Droit social vérifier les dates des sociétés du dossier à envoyer pour les sociétés. Il s’agit d’élections
du comité social et économique obligation pour les entreprises ayant plus de 10 salariés. (à vérifier).

Dossier pénal : viol sur mineur et doit faire un inventaire lecture du début du dossier. Comment
défendre la victime de viol ? problématique importante ici. Mission établir un inventaire de la
procédure et repérer les incohérences du discours dans les auditions du mis en cause : de mardi à
vendredi.

Lundi : après vérification inventaire, note de synthèse a rédigé pour mettre en lumière les éléments
importants pour aider à défendre les parties civiles au procès + GAV recel vol jouer sur l’élément
moral.

Mardi : droit social : procédure de licenciement non respecté par l’employeur comment le défendre ?

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