Groupe SOCIETE GENERALE

Société Anonyme au Capital de 167.025.000 DHS

Siège Social : 127, Boulevard Zerktouni - Casablanca

RC N° 32.775 – TEL. 05 22 77 92 90

CONSEIL D’ADMINISTRATION
DU 14 MARS 2018

RAPPORT DE GESTION
AU 31 DECEMBRE 2017

Conseil d’Administration du 14 mars 2018 1

 SOMMAIRE

I – ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE ET FAITS MARQUANTS.................................................... 3

1-Environnement économique ................................................................................................... 3
2-Secteur du crédit à la consommation ..................................................................................... 5

II – ACTIONS COMMERCIALES, PRODUCTION ET ENCOURS ...................................................... 6

1-Actions commerciales .............................................................................................................. 6
2-Production ...................................................................................................................... ……..8
3-Encours ......................................................................................................................... ……..12

III – MOYENS HUMAINS, MATERIELS ET ORGANISATIONNELS ............................................... 14

IV – RESULTATS ............................................................................................................................ 16
V – BILAN ET CPC .......................................................................................................................... 19
Annexe……………………………………………………………………………………….21

Conseil d’Administration du 14 mars 2018 2

I – ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE ET FAITS MARQUANTS

1- Environnement économique

La croissance économique de la zone euro, principal partenaire commercial du Maroc, a été

de 2,4% en 2017, soit son niveau le plus élevé de la décennie. La confiance économique dans
la zone euro continue de se renforcer, et de s’améliorer dans la plupart des pays et pour les
différents secteurs d’activité économique. De son côté, la croissance économique américaine
s’est confirmée, stimulée par une reprise généralisée de l’ensemble des composantes
(consommation des ménages, investissement et commerce extérieur).
Quant aux économies émergentes, la reprise se poursuit, confortée par le redressement de la
demande mondiale et la hausse des prix des produits de base.

Au niveau national, la croissance économique a été de 4,6% en 2017 vs 1,2% en 2016,

profitant du redressement continu de l’économie mondiale et de la bonne tenue du secteur
primaire local. Dans le détail:

 La performance favorable de la campagne agricole 2016/2017 s’est traduite par une

hausse de la valeur ajoutée du secteur primaire de 13,6% en 2017 contre une baisse de
8% en 2016.

 L’inflation a été de 0,2% en 2017, contre 1,6% en 2016

 Le déficit commercial reste à un niveau élevé soit 17,8% du PIB. Il se situe à 189,8
milliards MAD en 2017 vs 185 milliards MAD un an auparavant mais le taux de
couverture gagne 1,5 point de pourcentage (56,3% en 2017 au lieu de 54,8% en 2016).

 Le déficit budgétaire s’est allégé passant de 4% du PIB en 2016 à 3,5% en 2017.

 L’industrie manufacturière enregistre une croissance de 2% avec une contribution à la

croissance du PIB de 0,3 point et une reprise de l’agroalimentaire à 2,6%. Quant aux
industries métallurgiques, mécaniques, électriques et électroniques (IMMEE), elles
enregistrent une baisse de 2,4%, accompagnée par la stagnation de la production de
l’industrie automobile et le ralentissement de ses exportations.

 De leur côté, les activités du secteur tertiaire ont maintenu leur rythme de croissance à
2,7% en 2017, qui reste toutefois inférieur à la moyenne de 3,4% constatée durant la
période 2010-2016. Leur contribution à la croissance du PIB se serait maintenue à 1,3
point en 2017.

 Globalement, la demande intérieure a connu un repli de son rythme de croissance qui

est passé de 5,5% en 2016 à 3,2% en 2017. Sa contribution à la croissance du PIB, a
ainsi décéléré pour atteindre 3,6 points au lieu de 5,9 points en 2016.

 Le tourisme retrouve une dynamique positive, avec une croissance de 10% (11,35
millions de visiteurs) grâce à l’amélioration de la situation dans les marchés émetteurs

Conseil d’Administration du 14 mars 2018 3

 traditionnels (France, Espagne, Allemagne) et à la forte croissance des marchés
émergents (Chine).
Les recettes touristiques progressent donc de 8,4% en 2017, passant de 64,2 milliards
MAD à 69,7 milliards MAD.

 Les recettes des MRE ont atteint 65,4 milliards MAD vs 62,6 milliards MAD en 2016 soit
une progression de +4,5% en 2017.

 Les investissements directs étrangers enregistrent une hausse de 12% pour un montant
total de 23,7 milliards MAD vs 21,2 milliards MAD en 2016.

 Les réserves de change ont atteint 241 milliards MAD en 2017 vs 249 milliards MAD en
2016 en baisse de 3,3%, soit l’équivalent de près de 5 mois et 25 jours contre 7 mois
d’importations de biens et services en 2016.

 Le taux de chômage est passé de 9,4% en 2016 à 10,2% en 2017.

 Globalement le besoin de liquidité des banques s’est accentué au cours de l’année 2017,
comparativement à l’année précédente, en relation, particulièrement, avec le repli des
réserves internationales nettes. De ce fait, Bank Al-Maghrib a augmenté le volume de ses
interventions, notamment, à travers les avances à 7 jours, dont le volume moyen s’est
établi à 37,4 milliards de dirhams contre 9,1 milliards en 2016

 Les agences de notation internationales ont confirmé la solidité des fondamentaux et la

diversité de l’économie nationale.

Pour ce qui est du suivi du moral des ménages, on ne note pas d’évolution significative par
rapport au semestre précédent.

Au quatrième trimestre de 2017, 35,4% des ménages déclarent une dégradation du niveau
de vie au cours des 12 derniers mois, 33,0% un maintien au même niveau et 31,6% une
amélioration. Au cours des 12 prochains mois, 24,3% des ménages s’attendent à une
dégradation du niveau de vie, 39,9% à un maintien au même niveau et 35,8% à une
amélioration.

S’agissant du regard sur l’avenir de leur situation financière au cours des 12 prochains mois,
30,3% contre 11,1% des ménages, s’attendent à une amélioration de leur situation
financière. 53,8% des ménages contre 28,2% considèrent que le moment n’est pas opportun
pour effectuer des achats de biens durables.

Au quatrième trimestre de 2017, 72,8% des ménages s’attendent à une hausse du chômage
au cours des 12 prochains mois.

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 2- Secteur du crédit à la consommation

Sur l’année, le secteur s’est globalement comporté sur l’année dans le même trend qu’au S1,
à savoir une croissance de 6,1%, tirée essentiellement par le bon comportement de la
production Automobile.

Production nette (en MMAD) 2017 2016 %

. Fonctionnaires 2. 653 2. 594 2,3%
. Retraités 3 278 -98,9%
. Organismes conventionnés 739 794 -7,1%
. Prélèvement bancaire 1. 881 1. 510 24,6%
. Revolving 71 46 54,2%
s/s total non affecté 5. 347 5. 222 2,4%
. Auto 9.599 8.877 8,1%
. Equipement domestique 494 447 10,7%
s/s total affecté 10.093 9.324 8,3%
TOTAL 15.440 14.546 6,1%

Le crédit non affecté (ou « Dispo ») enregistre lui une hausse modeste de 2,4%, résultat de
l’arrêt de distribution des crédits aux retraités CMR compensé par l’augmentation des
crédits en prélèvement bancaire (+24,6%, soit 371 MMAD) et ceux des fonctionnaires
(+2,3%, soit près de 60 MMAD).

Quant au crédit affecté (essentiellement Automobile), il confirme son élan par une
croissance de 8,3% par rapport à 2016.

L’AIVAM (Association des importateurs de véhicules au Maroc) indique un nouveau record

des ventes pour l’année 2017 avec 168 593 véhicules. La progression par rapport à 2016 est
de 3,3%. Quant aux ventes de Véhicules particuliers (VP), qui représentent plus de 90% du
marché, elles ont totalisé 155.213 unités sur l’année, enregistrant une petite progression de
1,9% par rapport à 2016. Cette progression se décompose en +13 % pour Renault/Dacia
et -5% pour le reste du marché.
L’année 2017 a ainsi été difficile pour certains de nos partenaires, comme JLR, avec des
évolutions franchement négatives pour les marques LAND ROVER -30% et JAGUAR -42%.

En termes de part de marché, Dacia et Renault domine le marché avec respectivement 27,8%
et 14,1%, suivi par Ford qui détient 8,6% de PDM.

L’encours brut du secteur de crédit à la consommation s’est apprécié de 7% par rapport à

2016, résultat de l’augmentation des encours automobiles (+15,5%) et ceux du prélèvement
bancaire (+6,6%) qui ont largement compensé la baisse enregistrée sur les autres segments
composant le crédit non affecté.

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 Encours brut (en MMAD) 2017 2016 %
. Fonctionnaires 12. 966 12.897 0,5%
. Retraités 1. 227 1.834 -33,1%
. Organismes conventionnés 2. 814 2.959 -4,9%
. Prélèvement bancaire 4. 840 4. 541 6,6%
. Revolving 158 150 5,0%
s/s total non affecté 22. 005 22. 381 -1,7%
. Auto 26.297 22.769 15,5%
. Equipement domestique 395 352 12,3%
s/s total affecté 26.692 23.121 15,4%
TOTAL 48.697 45.502 7,0%

Par ailleurs, les encours de crédit à la consommation des banques (GPBM) se sont
appréciés de 4,3%. La part de marché des banques dans le crédit à la consommation au
global a donc légèrement baissé, de 54,5% en 2016 à 53,8% en 2017.
Mais la part de marché des banques dans le crédit non affecté est passée de 71,7% en
2016 à 73,1% en 2017.

Le taux maximum des intérêts conventionnels (TMIC) est de 13,90% pour la période allant
du 1er avril 2017 au 31 mars 2018, toutefois ce taux reste largement supérieur à ce qui est
pratiqué sur le marché.

II – ACTIONS COMMERCIALES, PRODUCTION ET ENCOURS

1- Actions commerciales

Le S2 2017 a permis la finalisation de la réorganisation du dispositif commercial entamé au S1 et

qui consiste, pour mémoire, en :

1.1 . La création de 3 lignes métiers (Business Lines, « BL») hiérarchiques

distinctes (Dispo, Auto et Distribution), ce qui a visé:
o Une animation commerciale et un pilotage spécifiques par BL ;
o Une refocalisation des agences sur le Dispo, avec un rôle d’animation de leur
zone de chalandise (OC, AOS, Régies, Intermédiaires, etc.) ;
o Une responsabilisation et une présence terrain accrues avec la nomination de
3 Business Line Managers et de 4 Responsables de Zones par BL ;
o Une allocation de moyens supplémentaires pour la Distribution, relais de
croissance pour Eqdom à terme.
1.2. L’évolution de nos process et organisation pour améliorer notre efficacité
commerciale et la sécurité de nos opérations
o Centralisation de l’activité de financement sur une plateforme au siège, ce qui
permettra un allègement des tâches non Front Office pour les agences;
o Une optimisation des ressources (taille critique de la plateforme) et un
meilleur contrôle des risques opérationnels;
o Saisie déportée des dossiers par les commerciaux Automobile directement
chez le concessionnaire, permettant une optimisation de leur temps
commercial.

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Dans la foulée, a été lancé le « 2525 » comme numéro d’appel unique pour accéder au S.A.V.
L’objectif est de traiter à distance tous les actes de gestion de la vie courante d’un dossier et donc
de simplifier et améliorer l’expérience client, à travers la plate forme téléphonique Eqdomtel. Ce
lancement a été accompagné des mesures nécessaires (scripts, formation des agents, campagne
de communication, etc.).

 Concernant le crédit non affecté, la fin d’année a été marquée notamment par
un push sur la catégorie des Retraités, à travers plusieurs actions:
- Signature de la convention avec le RCAR et mise en place des échanges automatiques
de réservations/ Confirmation;
- Offre opérationnelle en Prélèvement Bancaire pour les retraités CMR;
- Reprise des contacts avec la Direction Générale de la CMR, en vue d’une reprise à venir
de la convention en prélèvement à la source;
- Préparation du projet d’automatisation des échanges avec la CIMR;
- Campagne dédiée Retraités (CIMR et RCAR) en fin d’année.

Au delà, l’action commerciale a visé à animer ce marché et nos différents apporteurs d’affaires
comme à l’accoutumé, via notamment :
- Le lancement d’offres commerciales dans le cadre des campagnes avec intéressement
des intermédiaires et habillage de leurs locaux aux couleurs des promotions;
- L’animation du marché des organismes employeurs par l’activation ou réactivation de
12 conventions, la révision des tarifs (53 conventions) ainsi qu’une présence active
sur le terrain;
- La mobilisation de la force de vente via l’animation d’un challenge Dispo à destination
des réseaux d’agences durant le dernier trimestre 2017;
- L’intensification de nos campagnes publicitaires et de marketing direct
(phoning, mailing, digital et PLV) visant la fidélisation, l’activation et le recrutement de
nouveaux clients à travers l’envoi de 1,3 millions de flyers distribués et 40 000
courriers;
- Le renforcement du réseau d’intermédiaires, permettant d’améliorer notre maillage
national;
- Le renforcement de notre présence et de notre soutien actif aux différentes
associations des fonctionnaires, notamment au niveau de l’enseignement (Journées
portes Ouvertes FOSE) ainsi que l’AOS des régies pour mettre en avant l’offre RCAR.

 Sur le crédit Automobile, nos actions ont consisté à renforcer notre position
sur le marché, via
o La participation active dans différentes manifestations :
 Participation à plusieurs JPO au niveau des différentes villes avec nos
principaux partenaires : Nissan, Mercedes, Volkswagen, Audi, etc. ;
 Sponsor de la 8ème édition du trophée de l’Automobile ;
 Participation à l’exposition Mercedes pendant 2 mois ;
 Participation au Salon de l’occasion ;
 Participation au Salon du Taxi ;
 Sponsoring du guide de l’acheteur Automobile ;

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 o Reconduction des conventions avec nos partenaires : VW, Audi, Skoda, Porsche
JLR, Nissan, Hyundai, BMW et MERCEDES
o Ces actions ont permis d’améliorer nos taux de pénétration chez nos principaux
partenaires :
 Volkswagen (passant de 13,8% à 16,2% en 2017);
 Skoda (de 13,1% à 13,3% en 2017);
 Audi (de 21,5% à 23,4% en 2017);
 Porsche (de 15,1% à vs 19,1% en 2017);
 Land Rover (en légère baisse à 32,6% en 2017);
 Jaguar (en légère baisse à 34,4% en 2017);
 BMW (passant de 15.7% à 16.7% en 2017);
 Nissan (passant de 9,1% à 11,8% en 2017)
 MERCEDES (passant de 20,5% à 21,5% en 2017).

 Sur la distribution, Eqdom compte reconquérir ce marché en suivant une stratégie de

niches. Les actions commerciales se sont soldées par :
o la reprise avec l’enseigne Mr Bricolage qui dispose d’un réseau de 5 magasins;
o l’agrément d’une grande et moyenne surface dans la ville de Marrakech;
o l’agrément également dans le segment des cuisines équipées, le blanc et brun,
l’ameublement ;
o la moto « Suzuki et Kymco »
o ainsi que l’énergie renouvelable (réalisation d’un premier dossier
d’installation de panneaux photovoltaïques).

2- Production

a) Evolution de la Production nette

La production du S2 s’est inscrite en légère amélioration par rapport au S1, avec un léger
rebond du Dispo en fin d’année et la très bonne tenue de l’Auto, pour une production nette
totale de 1.845 MMAD, en recul de 10% par rapport à 2016 et en baisse de 7% par rapport
au budget.

Production (MDH) Budget – Variation (%)

2017 2016 2017 17/16 17/Budget
Fonctionnaires 625 761 819 -18 -24
Retraités - 66 - - -
Organismes conventionnés 159 179 225 -11 -30
Prélèvement bancaire 105 74 119 +42 -12
s/s total non affecté 889 1 080 1 163 -18 -18
Automobile 950 951 821 -0,1 16
Distribution 6 10 10 -40 -40
s/s total affecté 956 961 831 -0,5 15
Total 1 845 2 041 1.994 -10 -7

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Dans le détail :

 Sur les crédits non affectés, l’année 2017 est marquée principalement par l’arrêt de la
convention CMR et par l’entrée en vigueur de la LPC qui impactent sur 12 mois
l’année 2017 (contre 6 mois en 2016). On note donc :

- L’attaque dont souffre le segment Fonctionnaire (-18%) provient aussi

bien de l’agressivité des banques que de la forte concurrence des autres
sociétés de financement notamment Vivalis et Wafasalaf qui ont lancé la
continuité pour les fonctionnaires en Prélèvement bancaire; à ce stade
nous n’avons pas voulu suivre cette approche qui aurait permis de
défendre nos parts de marché, mais au détriment de notre coût du risque
futur.
- Un arrêt de la production Retraités en prélèvement à la source qui n’est
que partiellement compensée par une augmentation de la production en
Prélèvement Bancaire.
- La bonne progression de la production en Prélèvement Bancaire, en hausse
de +42%.
- La production des intermédiaires est en baisse de 29% par rapport à la
même période de l’année écoulée à cause de l’arrêt de la CMR et de la
continuité en prélèvement à la source.
Leur participation dans la production Dispo est donc passée de 40% en
décembre 2016 à 34% en décembre 2017, et ce malgré la signature de
nouveaux agréments.

 Sur le crédit automobile :

- La production est restée quasiment stable par rapport à l’année 2016, ce
qui constitue une très bonne performance pour une année sans salon.

- Par ailleurs, la croissance du marché a été tirée principalement par des

marques où EQDOM est peu positionné (Renault +27%, Dacia +8%) alors
que les partenaires traditionnels d’EQDOM ont plutôt souffert (Jaguar en
baisse de -42% ; Land Rover en baisse de -30%).

- Comme indiqué précédemment, nous avons renforcé significativement nos

TPR chez nos marques partenaires.

 Quant à la production de la distribution, elle est en retrait de 40% par rapport à

l’année 2016 avec 6,2 MMAD (Production Moto en baisse en l’absence de salon).

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b) Parts de marché Production Nette :

Part de marché Globale :

La part de marché d’Eqdom a baissé en 2017 à 12%, résultat de la baisse du
Dispo/Fonctionnaires.

Part de marché Totale Dispo :

Elle a fléchi à 17% fin 2017, résultat essentiellement de l’arrêt de la continuité

Fonctionnaires.

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Part de marché Totale Automobile :

c) Production nette par zone

Production nette Auto

Production (MMAD) Variation 2017/2016 Part dans la Production

2017 2016 2017 2016
CASA CENTRE 402 474 -15% 42% 50%
RABAT SAISS 328 288 14% 35% 30%
MARRAKECH SUD 142 133 7% 15% 14%
TANGER ORIENTAL 78 56 39% 8% 6%
Total 950 951 -0,1% 100% 100%

L’axe Casa-Rabat contribue à hauteur de 77% vs 80% en 2016, dans la production totale
Automobile.

Production Dispo

Production (MMAD) Variation 2017/2016 Part dans la Production

2017 2016 2017 2016
CASA CENTRE 284 340 -17% 32% 32%
RABAT SAISS 344 437 -21% 39% 40%
MARRAKECH SUD 152 185 -18% 17% 17%
TANGER ORIENTAL 109 118 -7% 12% 11%
Total 889 1.080 -18% 100% 100%

L’axe Casa-Rabat contribue à hauteur de 71% vs 72% en 2016, dans la production totale
Dispo.

Conseil d’Administration du 14 mars 2018 11

 3- ENCOURS

a) Evolution des Encours

La tendance haussière de nos encours s’est consolidée en 2017 (+1,1%) après une première
année de hausse en 2016 (+0,2%).

Variation Déc. 2017

Encours (MMAD)
vs Déc. 2016
Déc. 2017 Déc. 2016
MMAD %

Fonctionnaires 4.245 4.444 -199 -4,5%

Retraités 361 519 -158 -30,4%
Organismes conventionnés 911 1.011 -100 -9,9%
Dispo/OPB 225 169 56 33,0%
s/s total non affecté 5.742 6.143 -401 -6,5%
Automobile 3.163 2.663 500 18,8%
Distribution 6 7 -1 -15,4%
s/s total affecté 3.169 2.670 499 18,7%
TOTAL 8.911 8.813 98 1,1%

Par rapport au budget, l’encours enregistre un léger retard de -0,7%.

On retrouve au niveau des encours les mêmes tendances que celles de la production, avec
une baisse des encours Dispo (-6,5%), compensée par une hausse des encours Automobile
(+18,8%).

En conséquence de ces variations, la structure de notre portefeuille se présente désormais

comme suit :
 Fonctionnaires : 47,6%, contre 50,4% en 2016
 Retraités : 4,1%, contre 5,9%
 Salariés OC : 10,2%, contre 11,5%
 Automobile : 35,5%, contre 30,2%.

Logiquement la part des crédits en prélèvement à la source est en baisse, à 61,9% de

l’encours contre 67,8% en 2016.

Conseil d’Administration du 14 mars 2018 12

b) Parts de marché Encours

Part de marché globale :

La part de marché d’Eqdom s’est stabilisée à 20.1%, 2e derrière Wafasalaf (32%)

Part de marché Totale Dispo :

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Parts de marché Automobile :
La part de marché d’Eqdom s’est renforcée de 100 bps

c) Encours par zone

Encours (MMAD) Variation 2017/2016 Part d’Encours (%)

2017 2016 (%) 2017 2016
CASA CENTRE 3.533 3.240 9,1% 39,7% 36,8%
RABAT SAISS 3.197 3.217 -0,6% 35,9% 36,5%
MARRAKECH SUD 1.376 1.519 -9,4% 15,4% 17,2%
TANGER ORIENTAL 805 837 -3,9% 9,0% 9,5%
Total 8.911 8.813 1,1% 100% 100%

III – MOYENS HUMAINS, MATERIELS ET ORGANISATIONNELS

A fin 2016, l’effectif comptait 313 personnes contre 319 un an plus tôt, suite à 9 départs à la
retraite, 3 démissions, 3 départs négociés, contre 9 recrutements.

Par ailleurs, EQDOM a lancé en 2017 un programme ambitieux d’accompagnement

managérial baptisé « ENGAGE ». Ce programme visant à accroître individuellement et
collectivement l’efficacité managériale au service de l’organisation interne et de nos clients.
Il est composé i) d’une évaluation de démarrage (assessment) avec 360°, ii) de MBTI (Myers
Briggs Type Indicator), iii) d’un Coaching personnalisé visant la construction d’un Plan de
Progrès Personnalisé, iiii) d’une formation en e-learning et, iiiii) d’un séminaire résidentiel.
Le tout sera sanctionné par une évaluation de la démarche et de ses impacts sur les Plans de
Progrès Personnalisés. Les populations concernées sont celles du Codir, ainsi que les
managers intermédiaires et de proximité (plus de 60 personnes en tout).

Conseil d’Administration du 14 mars 2018 14

La nouvelle réorganisation commerciale en Business Lines a engendré un réajustement
organisationnel de certaines Directions fonctionnelles portant sur :
 La création d’une plate forme de financement rattachée à la Direction Supports et
Qualité (DSQ), qui devient désormais Direction Supports et Production (DSP).
 L’affectation du service qualité au Département Marketing et communication (DMC),
qui devient désormais Département Marketing Communication et Qualité (DMCQ).
 Le Département Juridique rattaché précédemment à la Direction Pôle Risques est
rattaché désormais à la Direction Générale.
 Le Département Habilitations rattaché précédemment à la Direction Supports et
Production est rattaché désormais à la Direction Ressources Humaines.

Les investissements réalisés en 2017 ont concerné la modernisation et la sécurisation de

notre système informatique (65,6%), ainsi que des aménagements au siège et dans certaines
agences (28,9%). Ces investissements ont totalisé 4,6 MMAD, en diminution de 22,1% par
rapport à 2016.

Par ailleurs, de nombreux projets métiers et organisationnels ont été finalisés ou entamés
durant l’année 2017, pour porter notre programme de transformation, autour de 3 axes
principaux:

1-Améliorer notre efficacité opérationnelle / automatiser nos traitements

 Création de la plateforme de financement : création d’une plateforme centralisée
de contrôle et de financement les dossiers de crédit affecté et non affecté
 Automatisations diverses de nos process/traitements :
 Automatisation de la consultation du crédit bureau pour les personnes morales à
l’instar des personnes physiques ;
 Projet Assurances: portant sur l’automatisation de la gestion des sinistres, le
lettrage DIT et l’optimisation de la gestion VIT (en cours);
 RCAR Lot 1 : échanges automatiques Réservation/Confirmation : Mise en place d’un
échange automatique avec RCAR pour l’octroi de crédit avec prélèvement à la source.
 Evolution Workflow : plusieurs évolution sur le workflow d’acceptation des dossiers
de crédit visant à fluidifier et à dématérialiser les traitements.
 Automatisation des échanges avec la CIMR (en cadrage): mise en place d’un échange
automatique avec CIMR pour l’octroi de crédit avec prélèvement à la source.
 Automatisation des processus RH :
 Contrôle d'accès et pointage : mise en place d’un nouveau système de contrôle
d’accès et pointage du personnel
 Portail RH : mise en place d’une solution pour le personnel permettant de
dématérialiser les demandes de congés et les autres demandes administratives
 Amélioration et automatisation de nos processus Risques :
 Automatisation du module de calcul de la provision : mise en place d’une nouvelle
moulinette de calcul des provisions
 Recyclage permanent: intégration quotidienne des retours sort des prélèvements
bancaires (en cours)
 Reshape Recouvrement: projet d’optimisation des processus de recouvrement dans le
cadre de la roadmap Reshape de EQDOM (en cours)
 Score des dossiers de crédit: score crédit non affecté prélèvement bancaire et
évolution JRules (en cours).

Conseil d’Administration du 14 mars 2018 15

  Enrichissement des fonctionnalités clients :
 Financement des dossiers de crédit par virement bancaire(en cours);
 Prélèvements multiples: permettra de financer le même client avec deux modes de
prélèvements différents (en cours);
 Mise en place d’une solution mobile pour la connexion des commerciaux au CBS
EQDOM.

2-Renforcer la Sécurité de nos systèmes et procédures

 Programme DARWIN du Groupe : portant sur la mis en place des mesures de sécurité
fondamentales sur une période triennale 2017-2019;
 Prévention de fuite de données : portant sur la classification et mise en place de
solution de prévention contre les fuites de données sensibles (en cours);
 Centralisation des logs et détections de fraudes : portant sur la collecte des logs des
différents systèmes et équipements réseaux et sécurité, et corrélation des logs (en
cours);
 Revue des procédures et politiques sécurité SI : portant sur la rédaction des procédures
couvrant l'ensemble des domaines de la sécurité SI, et revue globale des politiques et
procédures existantes selon les derniers changements majeurs du SI et selon le contexte
Eqdom ;
 Audit sécurité réglementaire BAM : portant sur le recensement des risques qui pèsent sur
le système d'information et définition de plan d'actions de traitements des risques SI ;
 Sécurité des accès distants : portant sur la mise en place d'un mécanisme de sécurité d'accès
distant en s'appuyant sur la solution mutualisé du Groupe, assurant l'authentification forte et
la traçabilité des accès ;

3-Se conformer à la réglementation

 Crédits restructurés : marquage et suivi des dossiers restructurés;
 Gestion du défaut : projet réglementaire suivi par le Groupe ;
 Projet IFRS 9 : projet réglementaire groupe de mise en place des nouvelles normes de
classement, d'évaluation et de dépréciation comptable des actifs financiers.
 Projet PPE (en cours) : projet réglementaire pour identification et suivi des clients PPE.

V – RESULTATS

MMAD
Réalisations 2017 / 2016 Réalisation / Budget
2017 2016 % Bud. 2017 %
PRODUITS D'EXPLOITATION BANCAIRE 727 799 -9,0% 766 -5,1%
CHARGES D'EXPLOITATION BANCAIRE 179 201 -10,8% 199 -10,1%

PRODUIT NET BANCAIRE 548 598 -8,4% 567 -3,3%

CHARGES GENERALES D'EXPLOITATION 232 257 -9,7% 239 -3,0%
RESULTAT BRUT D'EXPLOITATION 316 332 -4,8% 328 -3,6%
DOTATIONS NETTES AUX PROVISIONS 109 71 53,8% 125 -12,5%
RESULTAT AVANT IMPOTS 206 157 30,8% 202 1,7%
136 147 -7,1% 133 2,3%
RESULTAT NET DE L'EXERCICE

Conseil d’Administration du 14 mars 2018 16

Comme vu précédemment, l’année 2017 a été marquée par une pression forte sur notre activité
de crédit non affecté, ce qui a pesé négativement sur nos revenus. Cet impact a été partiellement
compensé par une optimisation continue de nos coûts de refinancement et une bonne maîtrise de
nos frais généraux et coût net du risque.

Les principales composantes du compte de résultat ont évolué comme suit :

Produits d’exploitation bancaire

Impactés négativement par la baisse respective des intérêts sur opérations avec la clientèle
et les produits nets LOA de (-12.1%) et (-19.3%), les produits d’exploitation bancaire
enregistrent une baisse de 9% à fin 2017 par rapport à 2016.
Cette baisse a été en partie compensée par la hausse des commissions sur prestations de
services (+21.3%) générée par la LOA (+26%).

Charges d’exploitation bancaire

EQDOM a poursuivi sa politique rigoureuse en matière de refinancement dont le coût moyen
est passé de 3.7% en 2016 à 3.3% en 2017 grâce à une gestion optimale basée sur une
meilleure négociation des taux et la diversification des ressources de financement entre
lignes bancaires et BSF. La part de ces derniers dans le refinancement étant passée entre
2016 et 2017 de 51.1% à 85.4%.
Produit Net Bancaire
Le PNB a baissé de 8.4% par rapport à 2016 en raison de la baisse des produits d’exploitation
bancaire sur l’activité du Direct. Les économies de refinancement et le bon comportement des
commissions sur la LOA n’ont pas permis de compenser entièrement cette baisse. A noter par
ailleurs le reclassement vers le PNB d’une partie des agios réservés précédemment provisionnés
dans le coût net du risque, suite à la mise en place de la moulinette Provisions automatique.
Hormis cet évènement exceptionnel la baisse aurait été de -6.6%.

A fin 2017, le taux moyen client s’établit à 9.14% vs 9.54% en 2016 soit une baisse de 40 pbs.

Charges générales d’exploitation

Les charges générales d’exploitation ont baissé de 9.7% par rapport à 2016. A noter 2 évènements
non récurrents avec un rappel d’impôts en 2016 et une correction d’IR en 2017.

Résultat brut d’exploitation

Le RBE s’est établi à 316 MMAD contre 331,8 MMAD en 2016, soit une variation de -4.8% et
un retard de 3.6% par rapport au budget.

Coefficient d’exploitation
Le coefficient d’exploitation est de 42.3% en 2017 vs 42.9% en 2016. Hors éléments
exceptionnels, il s’établirait à 40.7% vs 39.4% en 2016.

Conseil d’Administration du 14 mars 2018 17

Coût net du risque

La dotation nette aux provisions pour créances en souffrance s’est élevée à 101,3 MMAD vs 111,1
MMAD en 2016, ce qui situe le coût du risque à 105 pb au lieu de 116 pb un an plus tôt, qui
s’explique essentiellement par la baisse des entrées en défaut liée au volume de la production sur
les crédits classiques et une bonne maîtrise du risque sur la LOA.

L’exercice 2017 a été marqué par la constatation d’un write off de 11,4 MMAD pour alléger le
bilan de créances impayées anciennes entièrement provisionnées et ne présentant pas de
chance de récupération.

Résultat net de l’exercice

Le résultat net final s’élève à 136,2 MMAD, en baisse de 7.1% par rapport à 2016, mais en hausse
de 2.3% par rapport au budget.
Hors éléments exceptionnels cités ci-dessus le résultat net 2017 s’établirait à 146 MMAD.

Notation

Concernant EQDOM, Fitch Ratings a confirmé en juillet 2017 sa note nationale à « F1+» pour
le court terme, « AA » pour le long terme et « 2 »pour le soutien extérieur ; cette
confirmation témoigne encore une fois des bons fondamentaux de la société et du soutien
important dont elle bénéficie de la part du Groupe Société Générale.

Conseil d’Administration du 14 mars 2018 18

VI – BILAN ET CPC

ACTIF 12-2017 12-2016 % PASSIF 12-2017 12-2016 %

1. Valeurs en caisse, Banques centrales, Trésor

1. Banques centrales, Trésor public, Service des
public, Service des chèques postaux
115 066 1 329 643 -91,35 chèques postaux
2. Dettes envers les établissements de crédit et
assimilés 770 691 019 2 692 770 787 -71,38
2. Créances sur les établissements de crédit et
assimilés 29 306 579 36 963 481 -20,71 • A vue 17 531 391 28 264 898 -37,97
• A vue 29 306 579 36 963 481 -20,71 • A terme 753 159 628 2 664 505 889 -71,73
• A terme 3. Dépôts de la clientèle 2 265 502 192 1 742 079 916 30,05
• Comptes à vue créditeurs
3. Créances sur la clientèle 5 070 649 393 5 594 061 903 -9,36 • Comptes d'épargne
• Crédits de trésorerie et à la consommation 4 946 405 863 5 469 563 855 -9,56 • Dépôts à terme
• Crédits à l'équipement • Autres comptes créditeurs 2 265 502 192 1 742 079 916 30,05
• Crédits immobiliers 4. Titres de créance émis 4 398 517 608 2 791 932 747 57,54
• Autres crédits 124 243 530 124 498 048 -0,20 • Titres de créance négociables émis 4 398 517 608 2 791 932 747 57,54
• Emprunts obligataires émis
• Autres titres de créance émis
4. Créances acquises par affacturage 5. Autres passifs 409 208 307 353 628 954 15,72
5. Titres de transcaction et de placement 6. Provisions pour risques et charges 20 102 489 12 174 800 65,12
6. Autres actifs 1 330 113 089 1 018 274 390 30,62 7. Provisions réglementées 0,00 0,00 0,00
8. Subventions, fonds publics affectés et fonds
7. Titres d'investissement spéciaux de garantie
9. Dettes subordonnées

8. Titres de participation et emplois assimilés 2 206 556 2 206 556 0,0 10. Ecarts de réévaluation
9. Créances subordonnées 11. Réserves et primes liées au capital 805 570 168 805 570 168 0,00
10. Immobilisations données en crédit-bail et en
location 2 838 175 906 2 344 412 324 21,06 12. Capital 167 025 000 167 025 000 0,00
13. Actionnaires. Capital non versé (-)
11. Immobilisations incorporelles 10 254 985 11 000 305 -6,78 14. Report à nouveau (+/-) 375 291 055 370 635 074 1,26
12. Immobilisations corporelles 67 335 581 74 196 074 -9,25 15. Résultat nets en instance d'affect. (+/-) 0 0
16. Résultat net de l'exercice (+/-) 136 249 317 146 627 231 -7,08
Total de l'Actif 9 348 157 154 9 082 444 676 2,93 Total du Passif 9 348 157 154 9 082 444 676 2,93

Conseil d’Administration du 14 mars 2018 19

 Réalisations DEC. 2017 / 2016 Réalisation / Budget
2017 2016 En % BUGDET2017 En %
PRODUITS D'EXPLOITATION BANCAIRE 727 050 120 799 228 517 -9,0 766 056 794 -5,1
Intérêts et produits assimilés sur opérations avec les Ets de crédit 66 530 41 841 59,0 60 000 10,9
Intérêts et produits assimilés sur opérations avec la clientèle 539 786 412 613 849 672 -12,1 608 344 887 -11,3
Intérêts et produits assimilés sur titres/ créance 0 0 0 0 0

Produits sur titres de propriété 26 585 760 29 326 980 -9,3 25 700 000 3,4
Produits sur immobilisations en crédit-bail et en location 56 905 036 70 521 475 -19,3 63 766 898 -10,8
Commissions sur prestations de service 103 706 382 85 488 549 21,3 68 065 008 52,4
Autres produits bancaires 0 0 0 120 000 -100,00
CHARGES D'EXPLOITATION BANCAIRE 179 261 913 201 047 965 -10,8 199 312 217 -10,1
Intérêts et charges assimilées sur opérations avec les Ets de crédit 60 344 725 78 305 250 -22,9 792 960 7 510,1
Intérêts et charges assimilées sur op. avec la clientèle 0 0 0 0 0

Intérêts et charges assimilées sur titres de créance émis 118 156 643 121 962 800 -3,1 197 859 257 -40,3

Charges sur immobilisations en crédit-bail et en location 0 0 0 0 0

Autres charges bancaires 760 546 779 915 -2,5 660 000 15,2
PRODUIT NET BANCAIRE 547 788 207 598 180 551 -8,4 566 744 577 -3,3
Produits d'exploitation non bancaire 48 000 43 334 10,8 0 0
Charges d'exploitation non bancaire 0 9 692 102 -100,0 0 0
CHARGES GENERALES D'EXPLOITATION 231 853 889 256 753 755 -9,7 238 973 856 -3,0
Charges de personnel 85 441 078 84 786 073 0,8 85 307 158 0,2
Impôts et taxes 2 133 442 2 126 172 0,3 2 151 414 -0,8
Charges externes 127 564 285 133 597 694 -4,5 134 123 467 -4,9
Autres charges générales d'exploitation 4 512 820 21 412 285 -78,9 734 400 514,5
Dotations aux amortissements et aux provisions des immobilisations 12 202 263 14 831 531 -17,7 16 657 417 -26,7
incorporelles et corporelles
RESULTAT BRUT D'EXPLOITATION 315 982 319 331 778 028 -4,8 327 770 720 -3,6
DOTATIONS AUX PROVISIONS ET PERTES SUR CREANCES 234 058 251 496 003 572 -52,8 130 358 877 79,5
IRRECOUVRABLES
Dotations aux provisions pour créances en souffrances 208 438 826 194 500 408 7,2 29 040 000 617,8

Pertes sur créances irrécouvrables 11 364 425 293 814 112 -96,1 100 417 347 -88,7
Dotations aux provisions pour autres risques et charges 14 255 000 7 689 052 85,4 0 0
Dotations aux provisions réglementées 0 0 0 901 530 -100,00
REPRISES DE PROVISIONS ET RECUP /SUR CREANCES 124 789 036 424 960 229 -70,6 5 546 295 2 150,0
AMORTIES
Reprises de provisions pour créances en souffrance 111 269 058 374 972 763 -70,3 0 0
Récupérations sur créances amorties 7 192 668 2 290 455 214,0 3 000 000 139,8
Reprises de prov. Pour dépréciation des immob. Incorp. et 0 9 692 102 -100,0 0 0
Corporelles
Reprises de provisions pour autres risques et charges 6 327 310 24 915 817 -74,6 0 0

Reprises de provisions réglementées 0 13 089 092 -100,0 2 546 295 -100,0

RESULTAT COURANT 206 713 104 260 734 685 -20,7 202 958 138 1,9
Produits non courants 1 675 451 4 723 517 -64,5 0 0
Charges non courantes 2 526 433 108 069 313 -97,7 480 000 426,3
RESULTAT AVANT IMPOTS 205 862 122 157 388 889 30,8 202 478 138 1,7
Impôts sur les résultats 69 612 805 10 761 658 546,9 69 263 773 0,5
RESULTAT NET DE L'EXERCICE 136 249 317 146 627 231 -7,1 133 214 365 2,3
DOTATIONS NETTES DE REPRISES 101 341 525 111 051 302 -8,7 126 457 347 -19,9

Conseil d’Administration du 14 mars 2018 20

Annexe 1 :

Décomposition par échéance du solde des dettes fournisseurs

au 31 décembre 2017

Montant des dettes échues

Montant
des dettes
fournisseurs à la Montant des Dettes échues de Dettes échues Dettes échues Dettes échues de
clôture dettes non moins de 30 entre 31 et 60 entre 61 et 90 plus de 90 jours
A=B+C+D+E+F échues (B) jours (C) jours (D) jours (E) (F)

Date de 57 062 111,49 39 934 456,78 2 733 765,64 523 525,29 693 981,00 13 176 382,78
clôture de
l'exercice
31/12/2017

Conseil d’Administration du 14 mars 2018 21