Cours de L'initiation de L'informatique

Initiation à l’informatique Page 1 sur 38
A. Introduction
Le monde entier connait une ère nouvelle celle de l’utilisation des techniques
modernes, qui toutes intègrent plus au moins l’informatique.
L’informatique est entrée dans la vie des entreprises comme celles des particuliers
en apportant solution à toute sorte des questions. Elle fournit un effort considérable pour le
développement à travers le monde, et cela grâce à son outil doué d’intelligence par
procuration appelé « ordinateur ». L’intérêt majeur qui est porté sur l’ordinateur est sa
capacité de mémoriser les informations et son aptitude à réaliser des calcules et des opérations
complexes en un temps record.
De nos jours, l’informatique apparaît comme un nouveau mode d’organisation de
travail répondant le mieux aux besoins d’une société cherchant sa voie vers un nouveau type
de croissance.
L’apparition de l’informatique a engendrée deux conséquences majeures sur
l’économie en général. D’une part, elle a créé une nouvelle industrie dont l’objet est la
réalisation des ensembles électroniques que sont des ordinateurs, et d’autre part une nouvelle
technique ayant pour but l’utilisation de l’ordinateur.
Dès lors, il est devenu indispensable d’informer mieux à son sujet un public aussi
large que possible et notamment les apprenants des différentes couches qui seront appelés,
d’une façon ou d’une autre, au moins au cours de leur professionnel et à de titre divers, à
vivre l’aventure informatique. D’ailleurs un scientifique n’ayant aucune notion
d’informatique est considéré comme un illettré. Voila le pourquoi de ce cours au début de la
formation en milieu apprenant d’une culture informatique, non plus comme une exclusiviste
des informaticiens mais cette fois comme une nécessité absolue pour l’ensemble de la
communauté.
Les matières traitées permettant à l’apprenant et à un novice en général de se
familiariser avec les concepts de base de l’informatique et ses applications, connaître
l’historique et l’évolution des ordinateurs, comprendre ce qu’est un système informatique et
distinguer les différents composants matériels d’un micro-ordinateur. Il sera aussi question de
l’aider à l’exploiter cette machine, notamment par l’utilisation du système d’exploitation
Windows, du traitement des textes Word, Excel et de la recherche d’information sur
Internet.
Tél : +243 811691813, 997801395, 893434773 Ir. RASHISIDI NGUMBI Lambert Email : rashidilambert@gmail.com
Chapitre 1 : Informatique et Applications

1.1. Définition
Le terme Informatique a été forgé et proposé en 1962 par Philippe DREYFUS à
partir de deux mots : INFORMATION et AUTOMATIQUE.
C’est de la contraction de INFORMA et de TIQUE que dérive ce terme qui
désigne alors le traitement de l’information par des moyens automatiques.
INFORMATION AUTOMATIQUE
INFORMATIQUE
Figure 1.1 : source de terme Informatique
D’où par définition, L’informatique est une science et technique consistant à traiter
automatiquement des informations, grâce à un système de machine appelé « Ordinateur » ou
(hardware) et à des méthodes et programmes spécifiques appelés « logiciels » ou (software).
1.2. L’objet de l’informatique

L’objet de l’informatique et l’information ou mieux « les données » (financières,
techniques, économiques, géophysiques …). C’est la matière première de tout acte de
décision ; c’est la donnée économique et vitale pour les entreprises et les services publics
Les données, en anglais data, sont la ressource essentielle de l’entreprise tout
aussi important que les facteurs de production classiques : travail, capital, matières.
L’information, lorsqu’elle est en amont de l’ordinateur, c’est-à-dire en entrée est

appelée DONNEE ou information primaire (data). Elle se présente ordinairement sous forme
codée ou codifiée et est généralement destiné à être exploitée par ordinateur. C’est le plus
petit élément d’information utilisable dans un traitement automatisé.
Quand les données doivent servir à diriger, dans l’ordinateur, les opérations de
traitement, elles sont appelées INSTRUCTION. L’ensemble de toutes les instructions pour
exécuter ces opérations constitue un PROGRAMME.
Enfin, les informations secondaires, c’est-à-dire celles qui sont restituées par
l’ordinateur après traitement, s’appellent RESULTATS (ou ETAT, lorsqu’elles se trouvent
sur papier).
1.3. Application Informatique

L’informatique s’applique pratique à tous les domaines de la vie. La gestion
apparaît cependant comme un domaine privilégié, non pas tan parce que la science et les
techniques informatiques y sont plus adaptées, mais du fait de l’étendue des champs d’activité
ou elles peuvent s’exercer. C’est plus une question de quantité que de qualité.
Les autres domaines concernent la résolution de problèmes de fabrication, de
calculs scientifiques, d’algorithmes finis d’opérations industrielles, de gestion hospitalière et
d’analyses médicales, de document, d’enseignement assisté par l’ordinateur, d’organisation
des travaux de bureau ou de pilotage automatique, etc.
 Informatique de gestion
 Informatique scientifique
 Informatique industrielle
 Informatique médicale
 Documentation automatisée (Informatique documentaire)
 Enseignement assisté par ordinateur ou e-learning
 Conception assisté par ordinateur (C.A.O)
 Informatisation des travaux de bureau (Bureautique)
 Pilotage informatique
Nota
Nous avons présenté un échantillon diversifié d’applications informatiques pour
donner une idée des domaines, parfois inattendus, où l’ordinateur intervient.
La liste est loin d’être exhaustive, car plus les technologies évoluent, plus on
découvre les applications nouvelles. Il est, en tout les cas, prévisible que l’ordinateur fera de
plus en plus son intrusion dans notre vie de tous les jours.
Les applications dites domestiques, grâce aux micro-ordinateurs, ne pontent plus
seulement à l’horizon, elles sons déjà, pour les besoins de ménage (mémorisation de menus
ou de rendez-vous, surveillance culinaire, etc,) ou des loisirs (jeux assistés multiples).
La plupart des applications citées ci-haut font appel aux techniques de

l’intelligence artificielle, la robotique, la télématique, l’infographie, la bioinformatique,
etc.
1.4. Composant de l’informatique

L’informatique est composée de matériel et de logiciels. Le matériel est constitué
des musiciens et des instruments, tandis que le logiciels est la partition. Sans logiciel
l’ordinateur ne fait rien parce qu’il n’a pas reçu les instructions lui indiquant ce qu’il doit
faire.
Un logiciel ou une application est un ensemble de programmes, qui permet à un
ordinateur ou un système informatique d’assurer une tâche ou une fonction en particulier
(exemple : logiciel de comptabilité, logiciel de paie, logiciel de facturation logiciel de gestion
de prêts, …).
Autrement dit, un logiciel est composé de programmes et de données fournissant à
l’appareil informatique les instructions lui permettant d’effectuer certaines tâches, ce qui
donne à l’appareil ses capacités, ses fonctionnalités et sa valeur ajoutée.
Les logiciels se trouvent dans l’ordinateur, les téléphones portables, les consoles
de jeux, les guichets bancaires, les caméras vidéo, les avions, les appareils médicaux, etc.
Les séquences d’instructions appelées « programmes » ainsi que les données du
logiciel sont ordinairement structurées en fichiers. La mise en œuvre des instructions du
logiciel est appelée « exécution ».
1.5. Programme informatique

1) Définition
Un programme informatique est une succession d’instruction exécutable par
l’ordinateur. Toutefois, l’ordinateur ne se manipuler que du binaire, c’est-à-dire une
succession de 0 et 1. Il est donc nécessaire d’utiliser un langage de programmation pour écrire
de façon lisible, avec des instructions compréhensibles par l’humain, les instructions à
exécuter par l’ordinateur.
2) Objectif de programmation
L’objectif de la programmation est de fournir une solution informatique à un
problème réel. La première étape de développement d’une application consiste donc à
analyser le problème, c’est-à-dire à en cerner les limites et à mettre en forme dans un langage
descriptif, on parle généralement d’analyse pour décrire le processus par lequel un pproblème
est formaliser. Le langage description utilisé pour décrire le résultat de l’analyse est appelé
algorithme. Il s’agit de la description, dans un langage proche du langage naturel,
compréhensible de tous, de l’ensemble des actions permettant de répondre au problème.
Le programme informatique est en suite transformé en langage machine lors
d’une étape appelé compilation. La compilation est une phase réalisée par l’ordinateur lui-
même grâce à un notre programme appelé compilateur (ou interpréteur).
3) Logiciel
Les logiciel (ou software) comprennent les programmes informatiques ou les
instructions qui, lorsqu’ils sont exécutés, dirigent l’ordinateur à effectuer des tâches
spécifiques. On parle de la partie intellectuelle de l’ordinateur.
Parmi les logiciels utilisés par l’ordinateur on peut citer :
 Les systèmes d’exploitation,
 Les logiciels d’aide à la programmation,
 Les progiciels ou produit de logiciels,
 Etc.
a. Système d’exploitation
Le système d’exploitation, abrégé SE (en anglais operating system, abrégé OS)
est assurément la partie primordiale de l’ensemble logiciel d’un ordinateur électronique
moderne, c’est-à-dire le plus important de tous les logiciels.
Si le micro-ordinateur est le centre de l’ordinateur, le système d’exploitation en
est le gestionnaire et le « chef d’orchestre ». Un système d’exploitation est un logiciel de base
qui permet à l’ordinateur d’être « exploitable ». C’est grâce à lui que l’ordinateur peut mettre
ses capacités au service de l’utilisateur. Il permet de communiquer avec l’ordinateur par
l’intermédiaire du clavier et de l’écran. Il l’organise aussi la gestion de la mémoire de travail
disponible des mémoires de masse et de l’imprimante.
b. Logiciel d’aide à la programmation
Un langage de programmation est un symbolisme permettant une communication
entre l’utilisateur et l’ordinateur. Le langage naturel, le Français par exemple, ne peut pas
servir de langage de communication avec l’ordinateur car sa syntaxe est très complexe, sa
sémantique aussi.
D’une façon générale, le programme est un simple fichier texte écrit avec un
traitement de texte ou un éditeur de texte), que l’on appelle fichier source. Le fichier source
contient les lignes de programme que l’on appelle code source. Ce fichier source une fois
terminer doit être compilé ou interprété. La compilation se déroule en deux étapes :
Fichier source fichier objet fichier exécutable
Compilation éditeur de liens
 Le compilateur transforme le code source en code objet, et le sauvegarde dans un

fichier objet, c’est-à-dire qu’il traduit le fichier source en langage machine.
 Le compilateur fait ensuite appel à un éditeur de liens qui permet d’intégrer dans le
fichier final tous les éléments annexes (fonction et librairies) auquel le programme fait
référence mais qui ne sont pas stockés dans le fichier source. Puis il crée un fichier
exécutable qui contient tout ce dont il a besoin pour fonctionner de façon autonome.
Parmi les langages évolués, nous pouvons citer le Basic (Biginner’s all pusrpose
sybolic instruction code), le Cobol (Common business oriente langage), le Fortran (Formula
translator), le C, le C#, le C++, le Pascal, le Java, le Ada, le delphi, le Python, le Visual Basic,
le Lisp, le prolog, le PHP, le Matlab, etc.
c. Progiciels
Disponible dans le commerce et, le plus souvent, écrit en ensemble ou en langage
de haut niveau tel que le C ; ces programmes sont utilisés pour développer des applications
par des personnes qui n’ont pas nécessairement une formation avancée dans l’art de la
programmation.
Ces programmes, ou progiciels (produits de logiciels) d’application, sont des
ensembles de programmes disponibles pour toute gamme de fonctions telles que :
 Le traitement de textes (Word, …) ;
 Le système de gestion de bases de données (Access, Oracle, Sql Server,
MySql, …) ;
 La présentation (Powerpoint) ;
 Les statistiques (SAS, SPSS, …)
 Les graphiques (AutoCad, …) ;
 Etc.
Chapitre 2 : Ordinateur et Périphériques

1. Définition
Un ordinateur est un équipement informatique. Il permet de traiter des
informations selon des séquences d’instructions prédéfinies ou programmes. Il interagit avec
l’environnement grâce à des périphériques.
« Equipement informatique comprenant les organes nécessaires à son
fonctionnement autonome, qui assure, en exécutant les instructions d’un ensemble structuré
de programmes, le traitement rapide de données codées sous forme numérique qui peuvent
être conservées et transmises »
Un ordinateur est une machine de traitement de l’information pouvant acquérir de
l’information, la stocker, la transformer et la restituer.
Sur le plan technique, un ordinateur est un ensemble de circuits électroniques
permettant de manipuler des données sous forme binaire, ou bits.
L’origine du terme « ordinateur » se trouve dans livre intitulé « Littré ». Il
s’agissait d’un adjectif désignant « Dieu qui met de l’ordre dans le monde ». Donc le mot
ordinateur peut vouloir dire :
 « celui qui met en ordre » (divin)
 Ordonnateur
 « entrer dans les ordres », « ordination »
Il a été proposé par le professeur de philologie Jacques Perret dans une lettre
datée du 16 avril 1955 en réponse à une demande d’IBM France. Cette entreprise cherchait un
mot francophone correspondance au terme anglophone « Computer ».
Deux règles à retenir

Toutes les ordinateurs se composent principalement de millions voire de milliards
de transistors qui ne peuvent effectuer que des opérations élémentaires très rapidement.
Un ordinateur est une machine qui doit être programmée, c’est-à-dire qu’il faut
prévoir absolument tout ce qu’il doit faire et lui expliquer précisément! C’est le rôle des
informaticiens.
2. Historique de l’ordinateur
A partir du 17ème siècle, certains savants ont commencé à penser que certaines
tâches, comme le calcul arithmétique simple (addition, soustraction, …), étaient
suffisamment mécaniques pour automatisables. Ne restait plus qu’à inventer les machines
correspondantes.
Première réalisation, la machine à calculer de pascal (1623-1662) était destiné à
effectuer mécaniquement des additions et des soustractions. L’automatisation était réalisée à
l’aide de roues dentées.
Leibniz (1646-1716) va plus il envisage qu’une machine puisse raisonner, c’est-à-
dire qu’elle puisse enchaîner des propositions élémentaires pour effectuer des déductions. Il a
ajouté la multiplication et la division à la machine de pascal.
Charles Babbage (1792-1871) a construit en 1833 une machine à calculer, la
machine à différences. Il a ensuite imaginé une machine analytique utilisant des cartons
troués comme programme. Des machines électromécaniques (utilisant des cartes perforées)
réalisant les idées de Babbage virent le jour et, en 1944 un calculateur (le Market1 d’IBM)
pouvait multiplier 2 nombres de 23 chiffres en 6 secondes. Mais l’ère de l’électronique qui
suivit immédiatement allait permettre de réduire par 1000 les temps de réponse.
1945: ENIAC (Electronic Numerical Integrator And Computer) 18000 tubes, 30
tonnes, multiplier 2 nombres de 10 chiffres en 3 millisecondes. Inconvénients : les données
sont sur les cartes perforées mais les programmes sont câblés en mémoire et donc, pour
passer d’un programme à un autre, il faut débrancher et rebrancher des certains câbles (ce
n’est pas vraiment la premier ordinateur au sens actuel).
Caractéristique de l’ENIAC
 Occupait une surface de 167m2 et utilisait des cartes perforées
 Comportait 18.000 tubes électroniques et pesait 30 tonnes
 Dégageait beaucoup de chaleur au cours de son fonctionnement
 Effectuer plusieurs certaines de calculs par minute
 Nécessitait plusieurs personnes pour son fonctionnement.
Fin 1945 : JOHN VON NEUMAN, associé à l’ENIAC, propose un modèle

d’ordinateur qui fait abstraction du programme et se lance dans la construction d’un
ordinateur EDVAC (Electronic Discrete Variable Automatic Computer).
L’ordinateur est né, c’est la machine de VON NEUMAN. Celui-ci décrit les cinq
composants essentiels de se qu’on appellera l’architecture de VON NEUMAN. Les
caractéristiques de cette machine :
 Une machine universelle contrôlée par programme (universelle : contrairement aux
autres pas spécialement essentielles dédiées aux opérations arithmétiques) ;
 Instructions et données, sous format binaire, stockées en mémoire (important :
instructions et données dans le même mémoire) ;
 Le programme peut modifier ses propres instructions ;
 Ruptures de séquence.
Cette machine est considérée comme le premier ordinateur au sens actuel du terme. Par la
suite les ordinateurs ont été classés dans leur évolution en « génération » :
 Première génération (1945-1955) : la technologie utilisée, est le tube à vide (panne
fréquentes, difficiles à déceler, ordinateur demandant beaucoup de place, de bruit et
d’énergie)
 Deuxième génération (1955-1965) : remplacement des tubes par des transistors ;
organisation de la machine autour d’un bus ; stockage sur bande magnétique ; écran ;
etc.
 Troisième génération (1965-1980) apparition des circuits intégrés (puce) et des
processeurs. Ordinateurs plus petit, plus rapides et moins chers ; gammes de machines
même langage d’assemblage pour des machines différentes, d’où réutilisabilité des
programme) ; multiprogrammation (plusieurs programmes en mémoire, lorsqu’un
programme entre en phase entrées-sorties, l’UC passe à l’exécution d’une partie d’un
autre programme).
 Quatrième génération (1980- ??) : ordinateurs personnels et VLSI (very large Scale
Integration) : augmentation du nombre de transistors ; réseau ; terminaux
3. Familles d’ordinateurs
Il ya quatre types d’ordinateurs : Microordinateur, Mini-ordinateur, Ordinateur
central, Superordinateur. En termes de familles d’ordinateurs, on distingue :
a) Mainframes
Les mainframes ou ordinateurs centraux, sont des ordinateurs surpuissants
utilisés pour les calculs très lourds ou les traitements des données très volumineuses
(Météo, calculs scientifiques, recherche spatiale, génétique, physique).
b) Serveurs
Ordinateur destiné à offrir un service dans un réseau. Il existe trois types
d’ordinateurs serveurs : serveur tour, serveur Rack et serveur en lames.
c) PC industriel
Le PC industriel est un ordinateur destiné à récolter, traiter et stocker les
informations provenant de plusieurs équipements d’un processus industriel. Ils
permettent un contrôle optimum de tout le processus (traitement du cuivre, industrie
manufacturière, brasseries, industries chimiques, etc.).
d) PC du bureau
Le PC (personnel computer ou ordinateur personnel) de bureau ou desktop
computer. Il est constitué d’une carte mère placée dans un boitier raccordé à un
écran, un clavier et une souris.
e) Ordinateur portable
Le PC portable est composé d’un boitier qui intègre tous les composants, carte
mère écran, clavier, … il est aussi équipé de plusieurs sorties pour diverses
périphériques. Dans la famille des PC portable on distingue :
⇒ Les notebooks ou lap top : petit PC portable
⇒ Les tablettes PC : petit PC portable à écran tactile
⇒ Les Smartphones : téléphone portables munis d’u élément
d’intelligence (système d’exploitation + application).
⇒ Les assistants personnels (PDA pour personnel Digital Assistant) :
ordinateur de poche destiné à une utilisation d’organisation ou
entreprise
f) Les ordinateurs embarqués

Ce sont des ordinateurs embarqués ou enfouis dans plusieurs machines ou
équipements destinés à leurs apporter plusieurs d’intelligence et d’automatismes.
Exemple : Robot, Machine à coudre, Véhicule, appareil d’échographie, scanner
médical, etc.
D’autre ordinateur embarqués, appelés microcontrôleurs, se réduisent à une
seule composante électronique :
D’autre ordinateur embarqués sont dits « ordinateurs jetables ». On les jette
après leur utilisation. Exemple. Les ordinateurs se trouvant dans les cartes de vœux.
4. Composant d’un ordinateur

On désigne par le terme de « composant », les éléments qui consistent entre autre,
la partie matérielle de l’unité centrale (hardware).
La carte mère désigne la carte la plus importante présente dans l’ordinateur. C’est
un circuit imprimé qui permet d’assurer les échanges de données entre les différents
composants matériels qui sont connectés à cette carte.
Le Hardware comporte deux grandes parties :
⇒ L’unité centrale à pour rôle de recevoir, stocker et de traiter les informations. Elle
est formée de deux éléments essentiels à savoir : l’unité centrale de traitement
(CPU : Central Processing Unit ou Processeur) et de la mémoire centrale (ou
mémoire principale). La CPU est constituée de l’unité arithmétique et logique,
de l’unité de contrôle (ou de commandes), des registres, etc. la mémoire est quant
elle composée de la mémoire morte ou ROM (Read Only Memory) et de la
mémoire vive ou RAM (Random Access Memory).
⇒ Les périphériques sont les parties matérielles reliées à l’unité centrale et qui
facilitent la communication entre l’homme et l’ordinateur.
4.1. Processeur
Le processeur (microprocesseur) ou CPU (Central Processing Unit) est un circuit
intégré chargé d’interpréter les instructions et de traiter les données contenues dans la
mémoire. La vitesse de traitement d’un processeur est exprimée en MIPS (million
d’instruction par second). Il est placé sur la carte mère grâce à ces deux types de support :
Slot : sorte de connecteur rectangulaire dans lequel on enfiche le processeur
verticalement ;
Socket : connecteur carré possédant un grand nombre de petits trous sur lequel le
processeur vient directement se placer.
Un processeur, cerveau de l’ordinateur, contient :
 Une UAL (Unité Arithmétique et logique) : circuits dédiés aux opérations
arithmétiques et logiques. Agit sur des registres et des positions mémoire.
 L’UC (Unité de commande) : détermine les instructions à exécuter. Elle lit les
instructions en mémoire et organise leurs exécutions.
 Des registres : mémoires internes à accès très rapide.
 Un compteur ordinal : contient l’adresse de la prochaine instruction.
 Le pointeur de pile : contient l’adresse du sommet de la pile
 Le registre d’état : contient les informations sur l’état actuel du programme en
cours d’exécution.
 Des voies de transferts : registrent permettant les accès aux périphériques.
 Le bus interne permet à ces unités et aux registres de communiquer entre eux.
 L’horloge rythme le processeur. A chaque top d’horloge le processeur effectue une
instruction, ainsi plus l’horloge à une fréquence élevée, plus le processeur effectue
d’instruction par second (MIPS). Par exemple un ordinateur ayant une fréquence
de 1GHz (1000 MHz) effectue 1000 millions d’instructions par second.
4.2. Périphérique
On distingue plusieurs types de périphériques :
 Les périphériques d’entrée (ou unités d’entrée) : servent introduire ou donner des
informations à l’ordinateur.
Exemple : le clavier, la souris le scanner, la manette de jeu, le crayon optique, le microphone ;
 périphériques de sortie (ou unités de sortie) : servent à afficher ou sortir les informations
de l’ordinateur.
Exemple : le moniteur (écran), l’imprimante, balles, …
 périphériques de stockage (ou unités de stockage ou mémoires auxiliaires ou mémoires
de masse ou encore mémoires permanentes) : servent à stocker des informations de façon
permanente. On peu les utiliser pour le donner ou faire sortir les informations ; on les
appelle alors de périphériques d’entrée-sortie.
exemple : disquette, CD-ROM, DVD-ROM, disque flashe ou clé USB , carte mémoire
 les périphériques de communication (ou unités de communication) : facilitent le
transfert des informations entre plusieurs ordinateurs et permettent aussi de connecter
l’ordinateur à d’autres appareils (le téléphone, la télévision,) exemple : le modem, carte
réseau, lecteur
De ce qui précède, on remarque qu’un ordinateur est constitué d’une grande variété de
composants. L’écriture de programmes utilisant correctement (et efficacement) ces
composants est fastidieuse. D’où l’utilisation d’un système d’exploitation.
4.2.1. Etudes de quelques périphéques

a. Le clavier : périphérique d’entrée qui permet de saisir les informations. D’où, le
clavier est l’ensemble des différentes touches. Il y a deux types de clavier entre autre :
 Le clavier français ou AZERTY
 Le clavier anglais QWERTY
Par rapport aux touches, il y a plusieurs sorte de claviers, tel que celui de 93 touches, 95
touches, 98 touches, 103 touches et 105 touches.
⇒ Les parties d’un clavier : le clavier est subdivisé en cinq (5) parties
 La partie des touches numérique ou pavé numérique : est la partie de touches sous
forme d’une calculette. Elle comprend les touches de 0 à 9 ;
 La partie des touches de fonctions : ce sont les touches de fonctionnement de la
machine. Exemple F1 : demander une aide
 La partie des touches alpha numérique : ce sont la partie des touches du clavier qui
contient les alphabets, les numéros ainsi que les ponctuations.
 La partie des touches des directions : ce sont les touches de déplacement du clavier
 La partie des touches spéciales : c’est la partie des touches mortes qui sert à effectuer
les différents raccourcis avec la combinaison d’une autre touche.
Les touches spéciales sont :
Eschappe (esc) : elle constitue un moyen facile pour annuler une commande que l’on
ne désire plus exécuter.
Tabulation (tab) : Identifier par deux flèches opposées, elle est utile dans certaines
applications bien spécifiques telles qu’en programmation ou en traitement des textes.
Elle sert à faire un grand espacement
Caps lock (vérouillage) : sert à activer le majuscule en minuscule et vice versa
Shift :(touche morte) sert à activer le majuscule en minuscule momentanément et
vice versa en combinant avec une autre touche, sert aussi à effectuer les différents
raccourci. Elle est identifiée par une flèche vers le haut. Il y a deux touches chift
Contrôle (ctrl): touche morte, sert à effectuer les différents raccourci.
Windows : touche morte, sert à effectuer les différents raccourci.
Alt : touche morte, sert à effectuer les différents raccourci.
Entrée (enter) : est celle qui valide toutes commandes saisies au clavier.
Valider : donner l’ordreà l’ordinateur d’accepter une tâche ou une commende. Elle
sert à passer dans le paragraphe ou une ligne suivante, elle sert aussi à effectuer une
action.
Retour (backspace) : c’est une touche qui nous aide à renter en arrière, elle sert à
effacer les caractère qui se trouve àgauche du curseur.
Supprimé (delete) : sert à supprimer un dossier, fichier, programme. Elle sert aussi à
effacer le caractère qui se trouve à droite du curseur
Ins. Prt sc : pour faire un capture d’écran

Espacement (space) : pou faire l’space de caractère par caractère
Fin : touche morte : pour effectuer un raccourci
Etude des quelques touches aux clavier QWERTY

! @ # $ %  & * ( ) __ +
Touches _
1 2 3 4 5 6 7 8 9 0 =
Caps lock Mj 1 2 3 4 5 6 7 8 9 0 ° +
Min & é «» ’ ( - è _ ç à ) =
Alt Gr + # { [ | \ ^ @ ] }
Exemple :
Explication :
#
Touches Si la touche caps lock est active avec la clique de cette touche, le
3
résultat est 3, si la touche caps lock est désactive avec la clique
Caps Mj 3 de cette touche, le résultat est « ».
lock Min «»
Pour avoir le #, il faut appuyer sur la touche Alt Gr sans lacher,
Alt Gr + # plus cette touche.
Autres touches qui varient

Touches A Z Q W M   ?  { } |
; :   [ ] \
Caps lock Mj Q W A Z ? . / § % ¨ £ µ
Min q w a z , ; : ! ù ^ $
Alt Gr + ¡ ¤
b. La souris
Elle est l’réellement connecté à l’ordinateur, permettant l’arrangement des
informations saisies au clavier. Elle est repréntée par unpointeur qui peut changer la forme
selonlechoix de l’utilisateur.
Lasouries est usuellement constituée de deux boutons ; le bouton goche pourles
autres actions est le droit pour l’ appelle du menu contextuel qui est une liste de commande
qui s’affiches et execute d’une manière spontanée. Il existe la souries pour les ordinateures
du bureau qui contient les deux boutons y compris la roulette qui permet de faire un
défilement dans déférents coins de votre ordinateur.
Comment utiliser la souris
Terme Signification Action
Appuyer sur le bouton Sélection
Cliquez
gauche de la souris
Cliquez rapidement deux fois Sélection et exécution
Double clique de suite sur le bouton gauche
de la souris
Glissez Déplacer
Déplacer la souris jusqu’à ce Positionnement
que le pointeur de la souris se
Pointez
suppose sur l’écran l’élément
désiré
c. Le Scanner
Le scanner est un périphérique d’entrée qui permet de numériser les données de
l’extérieur vers l’intérieur de l’ordinateur sans modifier le document, sa peut être les
photos ou les documents contenant les écritures.
d. L’imprimante
Les périphériques d’impression sont donc l’imprimante. Ils donnent les résultats
sur papier directement utilisable par l’homme.
Il existe plusieurs types d’imprimante entre autres :
 Les imprimantes matricielles : Qui ont grande vitesse d’impression par une qualité
médiocre de document.
 Les imprimantes Marguerites : lente mais offre une bonne qualité des
d’impression grâce à sa variété de police de caractère.
 Les imprimantes à jet d’encre : elle imprime en noire et blanc en jetant de l’encre
sur papier.
e. L’écran ou moniteur
L’écran est une dispositif qui permet de visualiser les informations saisie au
clavier.
Il existe trois types d’écran :
 L’écran plat : ils ont une moindre consommation d’énergie.

 L’écran à tube cathodique : ils ont une consommation d’énergie très élevé.
 Les écrans à cristaux liquide : qui n’utilise que le noir et blanc
4.3. Taille de la mémoire d’un ordinateur
La mémoire de l’ordinateur se définit par la tille et par le vitesse à l quelle on peut
accéder aux informations qui y sont stockées. La taille de la mémoire d’un ordinateur se
mesure en K (kilo) qu’on écrit parfois Ko ou Kb (ou Kilooctets ou kilobyte).
1Ko = 1024 caractère (octets ou byte) = 210 octets
Une mémoire de 1K peut donc stocker l’équivalant d’une page dactylographiée
correspondant à 20 lignes des 50 caractères. Un ordinateur de mémoire de 640K est capable d
contenir un programme et des informations dont la taille correspond à 640 pages. Il faut noter
que si vous voulez utiliser pou ce cas, un ordinateur ayant 70K de mémoire centrale en cela
ne marchera pas.
Pour une mémoire de grande taille, on utilise une autre mesure qui est M '(méga)
ou Mo encore (mégaoctet ou mégabyte).
1Mo = 1 million de caractères (exactement 1024x1024 = 1048576 octets ou 2 20
octes).
Actuellement sur les mémoires de grande capacité, on utilise le G (giga) ou Go
(Gigaoctets ou Gigabytes).
1G = 1 milliard de caractères (exactement 230 octets).
4.4. Performance d’un PC
Elle sere donc déterminée en fonction de la vitesse et puissance de on processeur,
de la quantité de la mémoire centrale et de la vitesse de transfert des données de la mémoire
centrale vers les périphériques et inversement.
4.5. Influences et importance de l’ordinateur
L’ordinateur, en tant qu’outil de travail moderne, a de nos jours une influence sur
la vie de l’homme et sur la société en général.
Il aide l’homme dans son travail mais ne le remplace ps totalement dans tout le
travail à faire. Son utilisation présente des avantages et quelques inconvénients pour l’homme
et pour ses activités.
a) Avantage
L’ordinateur permet à l’homme :
 D’organiser et améliorer la qualité de son travail.
 De réaliser plusieurs travaux en limitant ses erreurs.

 De résoudre des problèmes complexes tout en gagnant du temps.
 D’échanger er communiquer à distance.
 De s’épanouir intellectuellement et culturellement avec l’internet.
b) Inconvénients
L’ordinateur peut
 Favoriser la paresse intellectuelle de l’homme, surtout des jeunes.
 Occasionner la perte des informations précieuses avec le piratage des données ou
l’introduction des virus informatiques.
 Donner accès aux jeunes à des informations (images, écrits) contre les bonnes
mœurs, avec le développement de l’internet.
 Favoriser le chômage par son utilisation en lieu et place de l’homme
Chapitre 2 : Systèmes d’exploitation

2.1. Définition :
Le système d’exploitation, abrégé SE (en anglais operating system, OP) est
assurément la partie primordiale de l’ensemble logiciel d’un ordinateur électronique moderne,
c’est-à-dire le plus important de tous les logiciels.
Si le microprocesseur est le centre de l’ordinateur, le système d’exploitation en est
le gestionnaire et le « chef d’orchestre ». un système d’exploitation est un logiciel de base qui
permet à l’ordinateur d’être « exploitable ». c’est grâce à lui que l’ordinateur peut mettre ses
capacités au service de l’utilisateur. Il fournit des facilités et des protections.
Le système d’exploitation soustrait le matériel au regard du programmeur et offre
une présentation agréable des fichiers. C’est un ensemble des programmes qui réalise
l’interface entre le matériel de l’ordinateur et les utilisateurs. Il a deux objectifs principaux :
 Prise en charge de la gestion de plus en plus complexe des ressources et partage de
celles-ci ;
 Construction au-dessus du matériel d’une machine virtuelle plus facile d’emploi et
plus conviviale.
 le système d’exploitation agit comme un intendant ; il exécute successivement des
taches qui lui sont demandées , ces taches peuvent être demandées soit par des
commandes , soit par des programmes d’application ou progiciels.
 C’est donc l’intermédiaire obligé entre l’utilisateur et la machine ;c’est pourquoi avant
d’exécuter un programme d’application quelque il faut toujours la présence du
système d’exploitation qui ,lui, est chargé à l’allumage de l’ordinateur .
 Le partage de ressources assuré par le système d’exploitation va concerner
principalement le processeur, la mémoire centrale et la périphérique d’entrées-sorties.
Plus précisément , les questions suivantes devoir être résolues :
 Dans le cadre du partage du processeur : parmi tous les programmes chargé en
mémoire centrale, lequel doit s’exécuter ?
 Dans le cadre du partage de la mémoire central comment allouer la mémoire centrale
aux différent programme ? comment disposer d’une quantité suffisante de mémoire
pour y placer tous les programmes nécessaire à un bon taux d’utilisateur du
processeur ? par protection on entend ici veiller à ce qu’ un programme donnée

n’accède pas à une plage mémoire allumée à un autre programme.
 Dans le cadre du partage des périphériques : dans quel ordre traiter le requêtes
d’entrées sorties pour optimiser les transferts ?
Comme son nom le suggère, le système d’exploitation a en charge l’exploitation
de la machine pour facilité l’accès, le partage et aussi pour optimiser
Le point d’interaction entre un logiciel applicatif et système d’exploitation est
appelé interface de programmation (anglais application programming Interface abrégé API).
L’interface entre le système d’exploitation et les programmes de l’utilisateur est
constituée d’un ensemble d’instructions étendues fournies par le système d’exploitation,
qualifiées d’appel système.
Les appels système créent, détruisent et utilisent divers objets logiciels par le
système d’exploitation, dont les plus important sont les processus et les fichiers.
2.2. Caractéristique d’un système d’exploitation
2.2.1. systèmes multitâches
Un système d’exploitation est dit multitâche ou multiprogrammé quand il permet
l’exécution simultanée de plusieurs tâches. Sinon, on dit qu’il est mono-tâche.
Un ordinateur peut, pendant qu’il exécute le programme d’un utilisateur, lire les
données d’un disque ou affiche des résultats sur un terminal ou une imprimante.
2.2.2. Système multi-utilisateur
Un système multi-utilisateur mono-utilisateur n’accepte qu’un seul utilisateur à un
moment donné. Sinon, il est multi utilisateur.
Un système muli-utilisateur est capable d’exécuter de façon (pseudo-) concurrente
et indépendante des applications appartenant à plusieurs utilisateurs.
Un système multi-utilisateur est nécessairement multitâches mais la réciproque est
fausse : le système d’exploitation MS-DOS est mono-utilisateur et mono-tâche ; les systèmes
MacOS et Windows sont mono-utilisateur mais multitâches ; Unix et Windows serveur sont
multi-utilisateur.
La multi-utilisation est émulée en attribuant des laps de temps à chaque
utilisation. Le fait de basculer d’une application à l’autre ralentit chacune d’entre elles et
affecte le temps réponse perçu par les utilisateurs.
En gros, les principales caractéristiques d’un système d’exploitation moderne sont

la simultanéité, le partage de ressources et des informations, l’utilisation des mémoires de
masse et le non-déterministe.
2.3. Types desystème d’exploitation
L’histoire et l’évolution que nous avons résumées, dans la section 4.3, nous
aiment à une large gamme de systèmes, plus ou moins célèbre.
Selon certainns auteurs, les système d’exploitationmultiprogrammés peuvent $etre
classés selondifférents types quidépentdent des buts et des services offerts par les systèmes.
On parle des systèms à traitements par lots, systèmes mult-utilisateurs interatif et systèmes
temps réel.
Dans cette section, nous indiquons brièvement sept familles de systèmes en allant
du plus groq au plus petit.
a. Systèmes pour mainframes
Ces machines se distinguent principalement des ordinateurs personnels de par leur
capacité d’E/S. il n’est pas rare de voir un mainframe avec un millier de disques pour
plusieurs téraoctets de mémoire autotal. Les mainframes vivent en outre un seconde jeunesse
en temps que serveurs Webs, serveurs de commerce électronique à grande échelle, serveurs
de transactions.
b. Systèmes orientés serveurs
Ils foctionnent sur des machines serveurs, qui sont de gros PC, soit des stations de
travail voire m^me des mainframes. Ils servent en parallèle de nombreux utilisateurs à travers
le réseau informatique et permettant à ces derniers de partager des ressources matérielles et
logicielles. Ils proposent en généralun service des fichiers, un service d’impression ou un
service Web. Les fournisseurs d’accès à l’internet utilisent nombreux de ces machines pour
servir leurs clients. Les sites Web en utilisant pour stocker et distribuer despages XHTML et
gérer les requêtes clients.
Actuellement : Unix et Windows 2003/2008/20012 sont deux représentants
courants de cette famille. Linux grignote également des parts sur ce marché.
c. Systèmes multiprocesseurs
Le recoursàplusieurs CPU sur une m$eme plate-forme pour augmenter la
puissance de calcul est une technique de plus en plus courante. En fonction de type de
connexion, et de ce qui est partagé on appelle des systèmes d’ordinateurs parallèles,
multi’ordinateurs ou multiprocesseurs. Ils nécessitent des systèmes d’exploitation spéciaux
qui sont le plus souvent des variantes de systèmes serveurs, améliorés auserveau de la
connectivité et des communications.
Microsoft Azure (Windows Azure jusqu’en 2014) est un exemple de système
multiprocesseurs.
d. Système d’ordinateurs personnels
Leur rôle est de fournir à l’utilisateur une enterface conviviale. Ils sont
principalement très utilsés pourla bureatique,les accès Internet, les présentations…Les
systèmes les plus représentatifs sont Windows, Linux et MacOS.
e. Systèmes temps réel
Ces systèmes d’exploitation se caractérisent par le respect de contraintes
temporelles. Des lors, on distingue :
 Le temps réel strict ou dur : si l’action doit toujours être menée à l’échéance. Par
exemple, dans le système de lancement de missiles, si le lancement du missile est
retardé, la cible risque d’être ratée.
 Le temps réel relatif ou mou : si des échéance peuvent être occasionnellement
manquées. Par exemple dans le système audio, si un paquet de données est perdu,
la qualité de son seradégradée, mais ilrestera audible.
Actuellement VxWorks et QNX en sont deux célèbres représentants.
f. Système embarqués
Ces systèmes tournent sur les Palmtop (PDA : personnal Digital Assistant) ou
dans le petit « ordinateur » qu contrôlent dumatériel électronique tels que des Téléviseurs,
des fours à Micro-onde, destéléphones portables, etc.
Ils ont souent des caractéristiques temps réel mais leurs dimensions, la taille de la
mémoire, la puissance CPU et restrictions en temps d’alimentationélectique les rangent àpart.
Il existe actuellement PalmOS, Windows CE (Consumer Electronics), blueCat, etc.
g. Systèmes pour cartes à puce
Les carte à puce, périphériques de la taille d’une carte de crédit, contiennent en
CPU. Ils sont sujets à de sévèrs contraintes de mémoire et de puissance de calcul. Ceratines
cartes ne sont habilitées qu’à executer une seul fonction, par exemple paiement bancaire.
D’autre cartes, avec système d’exploitation propriétaire, peuvent exécuter plusieurs applets
Java en même temps.
2.4. Système d’exploitation Windows
2.4.1. Historique de Windows
Les système d’exploitation Microsoft pour PC (desktop ou laptop) se classent en

trois catégories : MS-DOS (Microsoft Disk Operating System), lafamille de Windows
« desktop » (Windows…/95/98/Me/XP/Vista/7/8/10/11/…). Et la famille de Windows
« server » (Windows NT/2000/2003/2008/202012/2016,…)
1. MS-DOS
En 1981, IBM, quia étéà l’époque la première entraiprise au monde dans le
secteur informatique, a présenté son PC, un ordinateur personnel animé parunIntel 8088. Le
PC fonctionnait sous un système d’exploitation mono-utilisateur 16 bits avec interface de
type ‘ligne decommande’ a^^elé MS-DOS 1.0. Il était fournit par Microsoft,une petite startup
connue à l’époque pour son interpréteur Basic fonctionnant sur 8088et Z-80
2. Windows…/95/98/Me/XP/Vista/7/8/10/11/…
Inspiré par l’interface de l’utisateur de Lisa,l’ancêtre chez Apple du Macintosh,
Microsoft décidé de munir MS-DOS d’une iterface utilisateur graphique, qu’il nomme
Windows. La première version,sortie en 1985,ne peut guère êtreprise au sérieux. La version
2.0, dédiée au version, sortie en 1987, ne vaut guère mieux. Revanche, Windows 3,0, pour les
80386, qui voit le jour 1990, et plus encore les versions suivantes Windows 3.1et Windows
3.11, représentent un progrès sensible et rencontrent un vif succès. Aucune de ces versions
n’est proprement parler un système d’exploitation : Windows n’est de fichiers. Tous les
programmes partagent le même espace d’adressage et un bogue dans l’un ou ces programmes
peut rendre le système instable, voire le bloquer.
La sortie de Windows 95 en Août 1995 n’élimine pas encore totalement MS-

DOS, mais on assiste tout de même à un transfert de nombreuses fonctionnalités de MS-DOS
vers Windows.
Même Windows 98, sorti en 1998, n’élimine pas MS-DOS, présent dans sa
version 7.1 et gérant toujours du code 16 bits.
En l’an 2000, Microsoft commercialise un évolution mineure de Windows 98 :
Windows Me (pour Millenium Edition). Même si cette version corrige quelques bogue
etprésente quelques fonctionnalités, sa base reste celle de Windows 98. Les versions
suivantes apportent souvent des mineures améliorations.
3. Windows NT/200/2003/2012/2016…
A la fin des années 1980, Microsoft a pris conscience que le choix de construire
un système d’explotation 32 bits moderne au dessus d’un système 16 bits obsètecomme MS-
DOS n’était sans doute pas le plus judicieux. La firme alors recruté David Culter, l’un de
principaux concepteurs du système d’exploitation VMS chez DEC, et celui a confié la
responsabilité d’une équipe chargée de développer ab initio un nouveau système
d’exploitation 32 bits, compatible Windows. Ce nouveau système, appelé par la suite
Windows NT (New Technology).
Cinq objectif étaient poursuivis en créant ce nouveau système d’exploitation :
 Offrir une unterface homme-machine convivuale etstandard pour tous ceux qui
étaient familiers de l’environnement Windows sous MS-DOS,, voire d’Apple.
 Conception modilaire du système d’exploitation permettant son évolution ;
 Portabilité du code de route machine utilisant un espace d’dressage sur 32 bits
 Compatibilité binaire avec toutes les applications Microsoft existant et
compatibilié au niveau source avec la norme POSIX
 Optimisation des services système et mécanisme d’échanges à grande vitesse
pour accroître les performances.
Outre la version de base pour postes de travail de gaamme convenable, Windows
NT existe dans la version Advenced Server qui offre des services étandus de partage
deressources et d’administration.
Laversion de Ntqui a suivi NT 4.0 devrait logiquement se nommer NT 5.0.

cependat, en 1999, Microsoft a décidé de l’appeler Windws 2000, principalement pour les
utilisateurs deWindows NT et Windows 98 voientdans la neutralié dece label une volonté
d’unification des systèmes.
4. Win32
Microsoft a défini un ensemble de fonctions, l’API Win32 (l’interface de
programmation d’applicaton Windows 32 bits) qui sont définies et documentées de façon
complète. Cesont des des fonctions de bibliothèque qui soit prvoquent des appels système,
soit effectent leur tâche dans l’espace utilisateur. Les fonctions exixtantes de l’API ne change
pas une version à l’ utre, mais des nouvelles fonctions apparaissent.
L’API Win32 permet aux programmes de s’exécuter totalement sous presque
toutes les versions de Windows. Contrarement à la philosophie Unix où les appels syqtème
sont publics et forment l’interface minimale deprogrammation, la philosophie Win32 estde
fournir une interface complète, avec soivent trois ou quatre méthodes distinctses pour aboutir
au même résultat, et contenant de nombeuses fonctions qui ne doivent clairement pas être (et
ne sont d’ailleurs pas) des appels système (comme par exemple une fonction pour copier un
fichierentier).
2.4.1. Marché des système d’exploitation

Les système d’exploitation ont été créées les années 1960. Il en existe aujourd’hui
plus de 200 surle marché. Dès lors, les familles de systèmes d’exploitation les plus populaires
sur le marché sont Unix et Windows.
Née en 1985, la gamme des systèmes Windows équipe la plupart des ordinateurs
personnels, ce qui la plaçait en situation de monopole notamment auprès du grand public. En
2008 ses parts de maeché sontdescendues en dessous de 90% pour la premièrefois depuis 15
ans.
Initéeen 1969, la famille de système d’exploitation unix compte plus de 25
membres . linux , BSD et mec OS X sont aujourd’hui les systèmes d’exploitation les plus
populaire de la famille Unix.
D’après certaines statistiques , la famille Windows équipe aujourd’hui 35% des
serveurs tandis que la famille Unix équipe 31%, dont à peu près la moitié avec Linix la
famille Unix anime 60% des sites Web dans le monde et linix équipe 95% près de50%super
ordinateurs du monde .
Né en 1990 ; symbian OS était –en 2007 – le système d’exploitation le plus
répandu sur les téléphones portables et assistants personnels , avec 67% de par de marché ,
De nombreux logiciels applicatifs sur le marché sont construits pour fonctionner
avec un système d’exploitation en particulier, ou une famille en particulier et système
d’exploitation est construit pour fonctionner avec une gamme de machine donnée pour
l’acheteur , le choix de la famille de machine limite le choix du système d’exploitation qui lui-
même limite le choix des logiciels applicatifs.
Chaque système d’exploitation, selon palette de programmes qu’il contient, est
construit pour fonctionner avec certains réseaux informatiques. Pour l’acheteur qui possède
un réseau informatique (typiquement les entreprises et les institutions). Le choix du système
d’exploitation dépend de son adéquation au réseau existant de l’acheteur.
Ces dépendances, combinées avec un effet de réseau important font que de l’un ou
et le marché est sujet aux situation de monopole.
Chapitre 3. Microsoft Office

Le programme Microsoft Office, est un programme bureautique. Dans la famille
Microsoft Office ou le programme bureautique, on a les programmes tels que : Microsoft
Word, Microsoft Excel, Microsoft PowerPoint, Microsoft Outlook, Microsoft Access,
Microsoft Publisher, Microsoft OneNote…
3.1. Microsoft Word

Le Microsoft W0ord est l’un de programme de la famille de programme Microsoft
Office. Le Word est le programme de la présentation de saisie de texte. Les logiciels de
traitement des textes sont des programmes qui permettent de saisir un texte et de le manipuler,
c’est-à-dire confectionner le document, offre d’énormes avantages au-dessus de la machine à
écrire même le plus moderne possible, le sauvegarder, le restituer et y apporter la
modification. Il existe plusieurs logiciels de traitement des textes :
Le Word, Sprint, WordPerfect, Publisher, Page Maker, le Power, le Wordstar, Word Pad,
Word ad……
3.1.1. Lancer le Word
Il y a plusieurs manière de lancer le programme Word, mais entre autre, nous
allons ouvrir en deux possibilités qui sont les plus utilisées.
 La première manière consiste à double cliquez sur l’icône Word qui se trouve au
bureau de Windows ;
 La deuxième manière consiste à cliquer sur le menu Démarrer puis programme (touts
les programmes) puis Accessoire, puis Microsoft Office et enfin Microsoft Office
Word.
3.1.2. Présentation de Word 2007
Les barres d’outils :

La barre de titre
 Standard
 Mise en forme
La barre de menu
Le curseur
La règle Les défilements
Les mode d’affichage : Les ascenseurs

 Normal
 Web
 Page Page précédente
 plan Page suivantes
Le travail sur un document consiste à saisir, modifier, mettre en forme, éditer du

texte, enregistrer, … ces travaux sont réalisés à l’aide des commandes qui sont affichées dans
la barre des menus ou dans la barre d’outils.
1. La barre de titre
C’est une barre qui se trouve en haut de l’écran de Word, elle en couleur pour les
écrans en couleur et en vidéo inverse pour les écrans monochromes. Elle porte nom du
fichier et par fois son extension après l’enregistrement.
La barre de titre est constituée des différents éléments entre autre :
 Le bouton de fermeture : qui permet de fermer la fenêtre en cours d’utilisation.

 Le bouton de niveau inférieur ou en mode écran : permet de diminuer et de mettre
votre fenêtre en mode écrans.
 Le bouton de réduire : permet de mettre la fenêtre en attente en l’envoyant dans la

barre de tâche.
 La barre d’outil accès rapide
 Le bouton office : qui permet d’aller au menu fichier de la fenêtre en cours
d’utilisation. Ce bouton comprend les éléments tels que : nouveau, ouvrir,
enregistrer, enregistrer sous, imprimer, préparer, envoyer, publier, fermer
2. La barre de menu
C’est une barre qui se trouve en dessous de la barre de titre, elle est une barre qui
comporte les différents menus entre autres : le menu accueil, le menu insertion, le menu
mise en page, le menu références, le menu publipostage, le menu révision, le menu
affichage.
NB : d’autre menu s’affiche lors d’insertion d’un outils le menu insertion. Il s’agit du menu
format (lors de l’insertion d’une image ou une forme), menu création et disposition (lors de
l’insertion d’un tableau), le menu conception (lors de l’insertion d’outil Equation).
2.1. Le menu Accueil :

Le menu accueil est le menu qui s’affiche lors de l’ouverture du Word, elle
contient les éléments chacun à ses outils qui sont regroupés selon leurs fonctionnalité. Entre
autre :
L’image de menu accueil
 Groupe Presse-papier : il possède les outils tels que :

 Couper
 Copier
 Coller
 Reproduire la mise en forme.
 Groupe Police
 Gras
 Italique
 Souligné
 Barré
 Type de police
 Taille de police
 Indice
 Exposant
 Couleur de surbrillance du texte

 Couleur de police
 Majuscule ou minuscule
 Efface la mise en forme
 Groupe Paragraphe
 Puce
 Numérotation (puce)
 Augmenter t diminuer le retrait
 Trier
 Aligné à gauche
 Centré
 Aligné à droite
 Justifier
 Interligne
 Trame de fond
 Bordure inférieur
 Groupe Style
 Normal
 Sans interligne
 Titre 1
 Titre2
 Titre
 Sous titre
 Modifier les styles
 Groupe Modification
 Rechercher
 Remplacer
 Sélectionner
2.2. Le menu Insertion
L’image de menu insertion
 Groupe pages
 Page de garde
 Page vierge
 Saut de page
 Groupe tableaux
 Groupe Illustration
 Image
 Image clipart
 Formes
 Smart Art
 Graphique
 Groupe Liens
 Lien hypertexte
 Signet
 renvoi
 Groupe en-tête et pied de page
 En-tête
 Pied de page
 Numéro de page
 Groupe texte
 Zone de texte
 Quick Part
 Word Art
 Lettrine
 Ligne de signature
 Date et heure
 objet
 Groupe Symboles
 Equation
 Symbole
2.3. Menu mise en page
L’image de menu mise en page
 Groupe Thèmes
 Thèmes
 Couleurs de thèmes
 Police du thème
 Effets du thème
 Groupe Mise en page
 Marge
 Orientation
 Taille
 Colonnes
 Saut de page
 Numéro de lignes
 Coupure de mots
 Groupe Arrière-plan de page
 Filigrane
 Couleur de page
 Bordures de page
 Groupe paragraphe
 Retraits
 Espacement
 Groupe Organiser
 Mettre au premier plan
 Mettre en arrière-plan
 Habillage du texte
 Aligner
 Grouper
 Rotation
2.4. Menu Références
L’image de menu référence
 Groupe table des matières

 Table des matières
 Ajouter le texte
 Mettre à jour la table
 Groupe Notes de bas de page
 Insérer une note de bas de page
 Insérer une note de fin

 Note de bas de page suivante
 Afficher les notes
 Groupe citations et bibliographie
 Insérer une citation
 Gérer les sources
 Style
 bibliographie
 Groupe Légende
 Insérer une légende
 Insérer une table des illustrations
 Mettre à jour la table
 renvoi
 Groupe Index
 Entrée
 Insérer l’index
 Mettre à jour l’index
2.5. Le Menu publipostage
L’image de menu publipostage
 Groupe Créer
 Enveloppes
 Etiquettes
 Groupe démarrer la fusion et le publipostage
 Démarrer la fusion et publipostage
 Sélectionner des destinateurs
 Modifier la liste des destinateurs
 Groupe Champs d’écriture et d’insertion
 Champs de fusion en surbrillance
 Bloc d’adresse
 Ligne de salutation
 Insérer un champ de fusion
 Règles
 Faire correspondre les champs

 Mettre à jours les étiquettes
 Groupe Aperçu des résultats
 Aperçu des résultats
 Rechercher un destinataire
 Rechercher les erreurs
 Groupe terminer
 Terminer et fusionner
2.6. Le Menu révision
L’image de menu révision
 Groupe Vérification
 Grammaire et orthographe
 Recherche
 Dictionnaire de synonymes
 Traduction
 Info-bulle de traduction
 Définir la langue
 statistiques
 Groupe Commentaires
 Nouveau commentaire
 Supprimer
 Précédent
 suivant
 Groupe Suivi
 Suivi des modification
 Bulles
 Afficher pour la révision
 Afficher masques
 Volet vérifications
 Groupe Modification
 Accepter
 Refuser
 Précédent
 Suivant
 Groupe Comparer
 Comparer
 Afficher les documents sources
 Groupe protéger
 Protéger le documents
2.7. Le menu affichage
L’image de menu affichage
 Groupe Affichage document

 Page
 Lecture plein écran
 Web
 Plan
 brouillon
 Groupe Afficher/Masquer
 Règle
 Quadrillage
 Barre de message
 Explorateur de documents
 Miniature
 Groupe Zoom
 Zoom
 100%
 Une page
 Deux pages
 Largeur de la page
 Groupe Fenêtre
 Nouvelle fenêtre
 Réorganiser tout
 Fractionner
 Afficher côté à côté
 Défilement synchrone
 Rétablir la position de la fenêtre

 Changement de fenêtre
 Groupe Macros
 Afficher les Macros
 Enregistre une macro
 Suspendre l’enregistrement
Procédure pour insérer une forme
Pour insérer une forme, aller au menu insertion, forme, puis choisissez la forme de
votre choix que vous voulez insérer, vous verrez la sourie prendra une forme de la croix
( ), enfin cliquer le bouton gauche de la sourie sans lâcher le doit et glisser votre sourie
pour dessiner la forme
Image pour insérer une forme.
Comment écrire dans une forme
Pour écrire dans une forme, sélectionner votre forme puis appeler le menu
contextuel et enfin « ajouter le texte »
Image pour écrire dans une forme
Si vous êtes en world 2010 et 2013, on continue en cliquant au menu format puis
aligner le texte
Comment agrandir et diminuer une forme
Pointer la sourie au point bas, haut, gauche, ou du cote droit de votre forme,
cliquer le bouton gauche de la sourie sans lâcher le doit puis glisser la sourie pour agrandir ou
diminuer.
Image pour agrandir et diminuer une forme
NB : Apres l’insertion d’une forme, un menu appelé format apparaît à la barre de menu.
Le menu forma est actif si la forme est activée ou sélectionnée. Le menu format a les
différents éléments tels que !
 insérer des formes

 styles des formes
 Effets d’ombre
 Effets 3D
 Organiser
 Taille
Image de menu format
Procédure pour insérer un tableau
Menu insertion, tableau, insérer un tableau (une boite de dialogue s’affiche) puis écrire les
nombres de colonnes et lignes de votre tableau.
Image d’insertion d’un tableau
Agrandir et diminuer un tableau

Pointer la souris au coin bas du droit de votre tableau, cliquez le bouton gauche de
la souris sans lâcher et enfin, glisser la souris pour agrandir ou diminuer
Nota : le tableau a deux menu qui s’ajoute à la barre de menu. Il s’agit de menu création et
menu disposition.

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Initiation à l’informatique Page 1 sur 38

Chapitre 1 : Informatique et Applications

Figure 1.1 : source de terme Informatique

1.2. L’objet de l’informatique

L’information, lorsqu’elle est en amont de l’ordinateur, c’est-à-dire en entrée est

1.3. Application Informatique

La plupart des applications citées ci-haut font appel aux techniques de

1.4. Composant de l’informatique

1.5. Programme informatique

Fichier source fichier objet fichier exécutable

Compilation éditeur de liens

 Le compilateur transforme le code source en code objet, et le sauvegarde dans un

Chapitre 2 : Ordinateur et Périphériques

Deux règles à retenir

Fin 1945 : JOHN VON NEUMAN, associé à l’ENIAC, propose un modèle

f) Les ordinateurs embarqués

4. Composant d’un ordinateur

4.2.1. Etudes de quelques périphéques

Ins. Prt sc : pour faire un capture d’écran

Etude des quelques touches aux clavier QWERTY

Autres touches qui varient

 L’écran plat : ils ont une moindre consommation d’énergie.

 De réaliser plusieurs travaux en limitant ses erreurs.

Chapitre 2 : Systèmes d’exploitation

processeur ? par protection on entend ici veiller à ce qu’ un programme donnée

En gros, les principales caractéristiques d’un système d’exploitation moderne sont

Les système d’exploitation Microsoft pour PC (desktop ou laptop) se classent en

La sortie de Windows 95 en Août 1995 n’élimine pas encore totalement MS-

Laversion de Ntqui a suivi NT 4.0 devrait logiquement se nommer NT 5.0.

2.4.1. Marché des système d’exploitation

Chapitre 3. Microsoft Office

3.1. Microsoft Word

3.1.2. Présentation de Word 2007

Les barres d’outils :

La règle Les défilements

Les mode d’affichage : Les ascenseurs

Le travail sur un document consiste à saisir, modifier, mettre en forme, éditer du

La barre de titre est constituée des différents éléments entre autre :

 Le bouton de fermeture : qui permet de fermer la fenêtre en cours d’utilisation.

 Le bouton de réduire : permet de mettre la fenêtre en attente en l’envoyant dans la

2.1. Le menu Accueil :

L’image de menu accueil

 Groupe Presse-papier : il possède les outils tels que :

 Couleur de surbrillance du texte

2.2. Le menu Insertion

L’image de menu insertion

2.3. Menu mise en page

L’image de menu mise en page

2.4. Menu Références

L’image de menu référence

 Groupe table des matières

 Insérer une note de fin

2.5. Le Menu publipostage

L’image de menu publipostage

 Faire correspondre les champs

2.6. Le Menu révision

L’image de menu révision

L’image de menu affichage

 Groupe Affichage document

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