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INFORMATIQUE GENERALE
OBJECTIF DU COURS
Ainsi les objectifs poursuivis dans ce cours sont :
Contenu
I.1 Programmation
I.2 Ordinateur
Dates importantes
Préhistoire
Première génération
Deuxième génération
Troisième génération
1966 Les circuits intégrés sont utilisés pour construire des
ordinateurs de la troisième génération, plus fiables et moins
chers (série SPECTRA 70 de RCA). Hewlett Packard fabrique le
HP35, ancêtre de toutes les calculatrices de poche.
1968 Les langages évoluent. Niklaus Wirth définit le Pascal.
Les compilateurs PL/1 et ALGOL68 sont disponibles. IBM a des
problèmes de monopole. Les premières montres électroniques
sont mises sur le marché. Les retombées technologiques de la
recherche spatiale se font sentir.
1972 La micro-électronique permet de loger sur un seul
circuit un très grand nombre de composants. On développe des
circuits spécifiques destinés aux terminaux d'ordinateurs
(qui reçoivent le vocable "d'intelligents") et aussi aux jeux
vidéo.
1974 Intel construit (presque par hasard) un circuit sans
usage bien défini (le premier microprocesseur) et ne voit pas
de marché pour cet objet. Le système d'exploitation des gros
ordinateurs se complique à outrance. Beaucoup
d'informaticiens développent des langages ou des systèmes :
naissance du langage "C" et de UNIX.
1975 IBM rêve du "Future system", un super ordinateur ultra
rapide et ultra-complexe qui couvrirait le monde entier (le
gros chaudron de B. Lussato!). Les ordinateurs travaillent en
"mémoire virtuelle". Le marché mondial se compose d'environ
250.000 machines.
Quatrième génération
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I.4 Domaine d’application
L’automatisation
L’automatisation est une tendance scientifique et
technique selon laquelle la machine simule toutes les activités
humaines depuis le travail physique jusqu’à la pensée abstraite, y
compris la reproduction de l’espèce.
L’information
Une information est une donnée qu’on introduit dans
l’ordinateur pour obtenir un résultat quelconque. Cette donnée
peut être numérique, alphabétique ou alphanumérique.
Comme informations, on peut avoir les données sur les
étudiants, les livres, les ventes, les achats, les professeurs,
la faculté etc.
Le circuit OU
C’est un dispositif électrique très simple mais très
utile. Il reçoit les données en deux points et donne le résultat à
la sortie en un point.
010111110
OU 011111110
001101100
Le circuit ET
C’est un dispositif électrique simple mais très utile
aussi. Comme le circuit OU, il reçoit également les informations
d’entrée de deux sources et présente un résultat à la sortie en un
point.
010111110
ET 000101100
001101100
Remarques
- Les noms OU et ET donnés à ces circuits furent à l’origine
suggérés par le fait que pour un circuit OU, on a le résultat
chaud si l’un au moins des points est chaud. Pour un circuit
ET, le résultat est chaud si les deux points d’entrée sont
chauds simultanément ;
- De ces trois circuits de base, on peut créer plusieurs autres
circuits. C’est le cas de circuits NI, NOU, EQUIVALENTS et
COMPARATEURS ;
- Une séquence composée des états chauds uniquement sera notée I
et a plusieurs 1, on a I≣111111111 tandis que celle composée des
états froids uniquement sera notée ɸ et a plusieurs 0, on a
ɸ≣000000000.
Applications
1) On donne 2 séquences A : 11100000 et B : 01010011
Que vaudront les séquences C et D du circuit ci-après
ET C NON D
A 11100000 C 01000000
B B
01010011
ET
01000000
NON
10111111
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A 11100000
NI 10111111
B 01010011
Pour un circuit NI, le résultat est froid si les deux points
d’entrée sont chauds au même moment.
Circuit NOU
On a alors :
A
11100000
OU 11110011
B B
01010011
E 11110011 NON F
00001100
Ce circuit est appelé circuit N0U.
A 11100000
NOU 00001100
B
01010011
Pour un circuit NOU, le résultat est chaud si les deux points
d’entrée sont froids au même moment.
Le code ASCII
b2=8 b2=2
b1=2 b=10 b1=8 b=10
0 b2=16 b2=16
b2=2
b1=16 b=10 b2=8
Le
codage décimal vers une base b
Soit A un entier positif exprimé en base 10, pour
obtenir la représentation de A dans une base b différente de 10,
il suffit d’effectuer en base 10, des divisions successives de A
par b et de conserver les restes successifs des digits de poids
croissants du résultat.
Exemples
Décimal 1 2 4 8 16 32 64 128
car on a 100000=32
10000=16
100=4
1=1
+
110101=53
32
- Pour 46 on a 46 – 32 =14 ; 14 – 8 =6 ; 6 – 4 =2 ; 2 –
2 =0 d’où 46=32+8+4+2=101110 car 100000=32
La fraction en binaire
Exemples
CHAPITRE. II L’ORDINATEUR
II.1.1 L’historique
II.1.2 Définitions
Appelé en anglais ‘‘COMPUTER’’’, l’ordinateur est
un ensemble de machines électroniques qui sert à traiter
automatiquement les informations à l’aide des programmes
enregistrés électroniquement en mémoire centrale.
Un ordinateur est une machine à composantes
électroniques permettant le stockage rapide en vue du traitement
automatique et rationnel de l’information.
Un ordinateur est une machine électronique capable
de recevoir et de traiter automatiquement l’information.
II.1.3 Le fonctionnement
Unité
Mémoire
Unité
de
II.3.1.2 La mémoire
1M=1M.O=1M.B=1024KO=(1024)2caractères=1048576 caractères
1G=1G.O=1G.B=1024M=(1024)2K.O =(1024)3caractères = 1073741824
caractères = 1 073 741 824 octets.
1T=1T.O=1T.B=1024G.O=(1024)2M.O=(1024)3K.O= =(1024)4
caractères = 1 099 511 627 776 caractères
1P=1P.O=1024T.O=(1024)2G.O=(1024)3M=(1024)4K= =(1024)5 caractères
=1 125 899 906 842 624 caractères.
Exemples
II.3.1.3 Le microprocesseur
La définition et la description
Définitions
Pour faire fonctionner un ordinateur, il faut un
programme d’exploitation qui va lui indiquer les règles
d’utilisation de l’unité centrale et des différents périphériques.
Un système d’exploitation, en abrégé SE, est donc
un ensemble des programmes ayant pour objet de mécaniser la plus
grande partie des diverses phases de préparation et d’exécution
des programmes.
Les fichiers réalisés sous Word 2010 sont enregistrés par défaut
avec l’extension .docx, qui est également l’extension des fichiers
enregistrés sous Word 2007. Pour afficher les options
d’enregistrement de Word
2010 : ouvrez le menu Fichier> Options > Enregistrement. Vous
pouvez en particulier changer le dossier d’enregistrement par
défaut, qui est le dossier « Mes documents », également
modifier la fréquence d’enregistrement automatique, qui est
par défaut de 10 minutes. Word 2010 dispose d’une nouvelle
option d’enregistrement, de texte explicite : «
Conserver la dernière version enregistrée
automatiquement si je ferme sans enregistrer ». Vérifiez que la
case correspondant à cette option est bien cochée. Ce n’est
pas la fermeture du fichier qui provoque son enregistrement par
Word. Le fichier est sauvegardé tel qu’il était lors du
dernier enregistrement automatique avant sa fermeture.
Pour récupérer le fichier : ouvrez le menu Fichier > Récent > «
Récupérer des documents non enregistrés » (option placée en bas,
à droite de la fenêtre).
Lier un objet :
Reprenons l’exemple du tableau réalisé sous Excel.
Copiez le tableau réalisé sous Excel. Affichez le document réalisé
sous Word, et cliquez sur le menu déroulant du bouton Coller
>Collage spécial. Dans la fenêtre « Collage spécial », choisissez
en tant que « Feuille de calcul Microsoft Excel Objet » et cochez
l’option « Coller avec liaison ». Validez. Le tableau est affiché
dans le document Word, mais contrairement au cas précédent, il n’y
est pas incorporé.
Les modifications effectuées, et validées, dans le
tableau original sous Excel, seront répercutées dans le document
Word. Si nécessaire : clic droit sur le tableau > « Mettre à jour
les liaisons ».
• La feuille de calcul
Colonnes et lignes Une feuille de calcul comporte :
- 16 384 colonnes, dont les cases d’en-tête sont
nommées de A à Z, puis de AA à AZ, puis de BA à
BZ, de CA à CZ, et ainsi de suite jusqu’à XFD.
- 1 048 576 lignes, dont les cases d’en-tête sont
numérotées de 1 à 1 048 576.
Une feuille de calcul totalise donc plus de 17 milliards de
cellules (16384 *1 048 576).
Zone de cellules
Une zone de cellules est une plage de cellules, dont les
cellules voisines sont soit des cases d’en-tête de colonnes ou
de lignes, soit des cellules vides. La zone active peut être
constituée de plusieurs zones de cellules.
• Les barres de défilement : En bordure de feuille de
calcul, il y a deux barres de défilement, l’une
verticale et l’autre horizontale. Elles permettent de
se déplacer dans la feuille de calcul.
On utilise :
• Les curseurs de défilement vertical et horizontal, par
cliqué- glissé.
• les boutons fléchés d’extrémités, pour un
déplacement progressif, colonne par colonne ou ligne par
ligne, par clics successifs.
• Les barres de défilement hors ces boutons et le
curseur (c’est-à-dire les portions non colorées) pour un
déplacement maximal immédiat, par un seul clic.
• Fractionnement de l’affichage de la feuille : Il est
pratique de diviser en 2, ou en 4, l’affichage de la
feuille afin de visualiser, éventuellement de modifier
divers endroits de la feuille.
Pour cela, cliquez-glissez sur l’un des deux (ou sur les deux)
curseurs de fractionnement, étroits rectangles situésjuste au-à
dessus de la barre de défilement verticale, ou juste droite
de la barre horizontale (le pointeur se transforme en double
flèche). Chaque nouvelle zone d’affichage est dotée de sa propre
barre de défilement.
Les zones d’affichage font partie de la même feuille de calcul.
Toute modification sur l’une sera effectuée sur la feuille.
• Zone de nom et barre de formule : Juste au-dessous de la
barre de titre du classeur, s’étend une barre contenant deux
zones :
le même.
Quand la saisie est longue, il est plus pratique d’écrire dans
la barre de formule. La saisie ne risque pas de recouvrir
d’autres données de la feuille. Cette barre est par ailleurs
extensible en largeur et en hauteur :
• Pour modifier sa largeur : pointez sur le point situé
à droite de la Zone Nom. Quand le pointeur a l’aspect
d’une double- flèche horizontale, cliquez-glissez.
• Pour modifier sa hauteur : pointez sur la bordure
inférieure, puis cliquez-glissez, ou bien cliquez sur la
flèche située à son extrémité.
Pour ajuster la hauteur de la barre au contenu, pointez
sur la bordure inférieure, puis double-cliquez.
Pour afficher de nouveau la barre sur une seule ligne, cliquez
sur la double-flèche.
Un menu déroulant permet de choisir une fonction, dès lors
que le signe égal = a été saisi dans la cellule active (le
signe = tapé en début de saisie, signifie en effet que la
cellule contiendra le résultat d’une fonction) et que la saisie
n’a pas été validée.
Ce menu déroulant permet d’accéder rapidement aux fonctions les
plus utilisées.
Le bouton fx affiche la fenêtre « Insérer une fonction »,
qui permet
d’accéder à toutes les fonctions proposées par Excel 2010.
Une cellule : Pointez sur la cellule. Le pointeur
ayant l’aspect d’une croix blanche, cliquez. Ou bien,
atteignez la cellule avec les touches fléchées du
clavier.
Si vous êtes en cours de saisie, validez (par exemple, en
tapant Entrée), avant de sélectionner cette cellule en cliquant
dessus.
Des cellules faisant partie de la ligne ou de la
colonne de la cellule active
Pour sélectionner toutes les cellules situées entre la cellule
active et la cellule en bordure de zone, appuyez sur la touche
Maj en double- cliquant sur la bordure de la cellule active en
direction des cellules à sélectionner.
Une plage de cellules : Cliquez-glissez de la
première à la dernière cellule.
Ou bien sélectionnez la première cellule, puis appuyez
sur la touche Maj et sélectionnez la dernière cellule de la
plage.
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Opérateurs
Pour élaborer une formule de calcul, on se sert d’opérateurs.
Les opérateurs de calcul sont, par ordre de priorité :
puissance ^ (saisi en tapant Alt Gr + touche 9
du pavé lettres) (exemple =3^2)
multiplication * et division /
addition + et soustraction -
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Recopie horizontale : La
méthode de recopie de cellule est
également applicable horizontalement.
Exemple
Saisissez des nombres dans les cellules de la plage A8:C10.
Dans la cellule A11, saisissez =A8+A9+A10. Validez.
A11 contient la somme des valeurs des trois cellules juste
au-dessus. Dans l’exemple, elle contient 15.
Sélectionnez A11. Par cliqué-glissé sur la poignée,
étendez la formule jusqu’en C11.
Les cellules B11 et C11 affichent chacune comme
résultat la somme des valeurs des trois cellules juste au-
dessus. Dans l’exemple, elles contiennent les nombres 18
et 21.
BIBLIOGRAPHIE
1. Ouvrages et Notes de cours
-Christian Piquet, Heinz Hugli, Du zéro à l’ordinateur, une
brève histoire de calcul, presses universitaires romandes,
Lausanne 2004.
3. Sites Web
-http://deptinfo.unice.fr/~jf/info Gene/1-hitoire.pdf
-http://fr.wikipedia.org/wiki/Informatique
-https://www.ibisc;univ-evry.fr/~hutzler/cours/I11_Info Gene
-http://Zabague.uqac.ca
- https://www.rcsb.org/
https://www.internetsociety.org/wpcontent/uploads/2017/09/ISOC -
PolicyBrief-InternetGovernance-20151030-fr.pdf
- http://www.internetsociety.org/who-makes-internet-work-
internet-ecosystem.
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