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CHAPITRE 5 :
LES 2 COMPOSANTES ESSENTIELLES POUR CLOSER N’IMPORTE QUEL DEAL . . . . 35
L’ÉCOUTE ACTIVE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
LA QUESTIOLOGIE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36
CHAPITRE 7 :
DOUBLE TON CHIFFRE D’AFFAIRES EN APPLIQUANT CETTE RÈGLE . . . . . . . . . . . . . . . 40
THE LAST ONE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40
CÔTÉ PRATIQUE DU SUIVI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41
CONCLUSION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43
LES ÉTAPES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43
Avant tout, félicitations à toi ! Tu n’en es peut-être pas conscient mais tu fais partie de la
minorité des gens qui investissent en eux et qui savent qu’on n’a rien sans rien. Ça nous fait
réellement plaisir de savoir que notre vision arrive jusqu’aux oreilles de personnes comme
toi. Mais ne partons pas trop vite en besogne, nous allons tout de même nous présenter :
Arnaud & Jérémy cofondateurs de BEST CLOSER. Pour les détails, on te rassure, on aura le
temps de s’y plonger tout au long de cet ouvrage. Pour l’heure, l’acteur principal, c’est toi !
Sache que nous sommes ravis de te compter parmi nous et te souhaitons évidemment la
bienvenue !
Ça y est, c’est fait ! Tu viens peut-être d’acheter ton tout premier livre sur la vente ou bien,
à l’inverse, il s’agit du énième produit que tu es sur le point de consommer. Dans un cas
comme dans l’autre, ne cherche pas plus loin. Tu es à la bonne place. Bien sûr, ça ne veut pas
dire que cet ebook est fait pour n’importe qui. Arrête-nous si on se trompe, mais tu n’es pas
arrivé(e) jusqu’ici par hasard. Donc si tu lis ces quelques lignes en ce moment-même, c’est
certainement au moins pour l’une de ces 2 raisons :
• Que tu nous connaisses depuis 5 min ou que tu fasses partie des membres
de notre communauté les plus actifs : tu aimes notre message, les valeurs
qu’on véhicule et la façon dont on les véhicule.
D’une manière ou d’une autre, en achetant ce livre, tu souhaites développer quelque chose
et nous allons te donner les clés pour le faire (au travers de la vente et du closing). C’est
d’ailleurs pour cette raison-là que nous avons voulu créer ce produit : aider un maximum de
personnes à atteindre leur liberté, grâce à la vente par téléphone. D’autre part, nous n’avons
pas attendu de sortir ce produit pour éduquer ceux qui voulaient en savoir plus sur la vente.
Pour ça, nous avons créé notre chaîne YouTube où l’on te donne énormément de contenus
à valeur, gratuitement cette fois-ci. Tu peux retrouver toutes nos vidéos juste ici.
Mettons les choses au clair dès le départ. Notre but n’est pas de te faire miroiter le fait que
tu vas multiplier ton chiffre d’affaires par dix en l’espace d’un mois seulement. Ceci vaut aussi
pour toute autre promesse mirobolante de ce genre. Le closing est encore tout récent en
francophonie. Il connaît un engouement exponentiel depuis 2020 et encore plus depuis la
crise COVID-19. Mais nous reviendrons plus tard sur ces nouveaux métiers online et surtout
sur ce qu’on appelle le closing.
On peut dire ce qu’on veut d’Internet, mais s’il y a bien quelque chose que personne ne
pourra nier : c’est que grâce au web des millions de postes ont été créés. Et qui dit millions
de postes, dit millions de foyers nourris. C’est d’ailleurs une des missions qui nous anime
au plus profond de nous. Savoir que grâce à notre accompagnement et nos contacts,
aujourd’hui, des centaines de personnes peuvent avoir un toit sur la tête et de quoi vivre
plus que convenablement. De plus, nous ne comptons pas nous arrêter-là, bien au contraire,
mais nous nous égarons…
L’émergence du net a donc complètement rebattu les cartes et changé les règles pour bon
nombre de secteurs. Parmi ces derniers, celui des entreprises a été l’un des plus impacté par
cet événement. On assiste ainsi à la naissance des métiers dits 2.0. Autrement dit, l’ensemble
de toutes les professions apparues directement ou indirectement grâce au web.
Tu dois sûrement être en train de te demander : « Mais alors, c’est quoi les métiers 3.0 ?».
Nous y venons, pas si vite. Avant ça, nous attirons ton attention sur un phénomène qui
accompagne la naissance du web. En effet, comme on aurait pu s’y attendre, Internet, à
l’époque, était loin de faire l’unanimité. En réalité, quand on prend du recul, c’est plus que
normal qu’Internet ait traversé plusieurs phases avant d’être une évidence. Idriss Aberkane
l’explique très bien dans cette conférence. On te met le lien juste ici.
À ce jour, nous pourrons tous nous accorder pour dire que l’émergence d’Internet a été
une véritable révolution. Comme toute révolution, celle-ci est passée par 3 stades : ridicule,
dangereuse, évidente.
On rappelle notamment tous les métiers qui ont vu le jour grâce au web. Pour beaucoup, ils
étaient considérés comme sans avenir. Bien sûr, les personnes décidant de tenter l’aventure
se sont vues qualifiées de «guignols» ou encore d’«imbéciles» pour ne citer que les plus polis.
Aujourd’hui, les métiers de Youtubeurs ou encore d’Influenceurs sont reconnus et n’ont plus
à faire leurs preuves.
Ça ne les a pas empêchés d’avoir été vus comme dangereux par rapport à l’emprise qu’ils
peuvent avoir sur leurs communautés respectives. Nous n’irons pas jusqu’à dire qu’il s’agisse
de révolution, mais en tout cas le débat reste ouvert.
Il est maintenant temps de faire un énorme bond en avant. Nous sommes en 2019 et tu te
doutes peut-être de là où nous allons nous arrêter : notre meilleure amie la Covid-19 et tous
ses petits copains les variants. La crise sanitaire a été d’ampleur mondiale et a notamment
touché les pays développés. Évidemment, tous les secteurs ont à nouveau été impactés, mais
cette fois-ci, dans le mauvais sens du terme. Nous n’allons pas rentrer dans les détails, mais
tu sais pertinemment que nombreux sont les pères et mères de famille qui ne pouvaient
plus aller travailler du jour au lendemain.
L’une des conséquences qu’a eu la crise sanitaire, fut de considérablement revaloriser tous
les métiers en distanciel. Autrement dit, les métiers en ligne. Même si nous n’en avons pas
parlé jusqu’à maintenant, un secteur est également né avec l’avènement d’Internet : celui du
business en ligne. Énormément de professions différentes et variées ont vu le jour grâce au
business online. En l’espace de 20 à 30 ans, elles ont chacune eu le temps de se développer
à leur rythme. Parmi ces professions, on retrouve notamment les domaines suivants :
Voilà pour les activités les plus courantes. Maintenant, tu dois sûrement t’en douter :
ce sont eux les « métiers 3.0 ». Évidemment, celui de closer en fait grandement partie, bien
qu’il soit l’un des plus récents parmi cette liste non-exhaustive. Pour autant, ça ne l’empêche
pas d’être l’un des maillons les plus importants de la chaîne de vente. Nous verrons plus loin
pourquoi.
Au début, on s’était dit qu’on allait te présenter chacun de ces métiers 3.0 en détail, soit
leurs avantages et inconvénients mais également ce pourquoi nous avons choisi le closing.
Le problème étant que ces sujets-là font déjà l’objet d’un autre ebook que nous avons écrit,
s’intitulant « Les 10 métiers pour gagner sa vie grâce au web ».
Pour résumer, ces activités ont principalement une chose incroyable en commun. À savoir,
le fait de n’avoir besoin que d’une connexion internet pour être 6 exercées puisqu’il s’agit
de métiers 100% en ligne. De plus, les horaires sont souvent flexibles étant donné que tu
travailles en indépendant à ton compte.
Rends-toi compte ! Gagner sa vie grâce à ces activités n’était réservé qu’à une élite il y a
encore quelques années en arrière. Aujourd’hui, grâce à Internet, tout le monde a accès à
l’information. Bien malin sera celui qui s’en aperçoit plus vite que ses congénères et réussit
à s’en servir immédiatement. N’importe qui, aujourd’hui, peut accéder à la pensée des
philosophes les plus célèbres, aux grands noms de l’entrepreneuriat ou encore au mindset
d’un quadruple champion olympique de Judo.
Toute personne ayant une connexion internet a le potentiel de changer un élément de sa vie
de façon radicale. Ça peut être personnel (perdre ses kilos en trop pour pouvoir jouer toute
la journée avec ses enfants), ou bien ça peut être professionnel (faire une reconversion ou
simplement gagner un complément de revenu. Bien sûr,
en fonction de tes objectifs ça pourra être tout autre chose).
À ce jour, tu as peut-être déjà une activité en ligne et tu souhaites multiplier tes sources de
revenus. Peut-être même que ton objectif sera, à terme, de créer un business à plusieurs
millions d’euros. Cependant, pour tout ce qui est objectif, nous verrons ça dans le chapitre
1 de cet ebook. Dans tous les cas, retiens qu’aujourd’hui il n’y a jamais eu autant d’argent
sur Terre et que ça ne risque pas de s’arrêter de sitôt. De nouvelles sources de revenus se
développent chaque année. Si ce n’est pas le closing, ce sera autre chose : chacun voit midi
à sa porte.
Dis-toi que de juillet 2020 à juillet 2022, rien qu’en l’espace de 2 ans, le taux d’inflation en
France a été multiplié par plus de 7,5. C’est énorme ! La population n’a jamais autant subi la
hausse des prix qu’aujourd’hui ! Même si l’inflation est dépeinte comme étant annonciatrice
de mauvaises nouvelles, celle-ci possède tout de même des avantages. En effet, il se trouve
que l’inflation favorise également la croissance économique, grâce aux ménages et aux
entreprises qui peuvent emprunter à des conditions financières incitatives. Ainsi, si on
ajoute à ça que l’inflation a plus que quintuplé ces derniers temps, on se rend bien compte
que ce ne sont pas les opportunités qui manquent : il faut « simplement » savoir où trouver
la bonne information.
(Et cet ebook est justement là pour ça. Il te suffit d’apprendre à changer ton angle de vue
pour trouver justement les/des solutions. Comme nous venons de le 7 faire avec l’inflation,
tu dois toujours regarder les 2 faces de la pièce. Tout est une question de perception, mais
nous y reviendrons plus tard.)
Quoi qu’il en soit, si tu as investi dans cet ouvrage, c’est que tu es potentiellement intéressé(e)
par le closing. D’ailleurs, si tu n’es pas du tout familier(ère) avec ce domaine et que tu étais
simplement curieux(se) d’en savoir plus, alors reste bien concentré(e) et prêt(e) à prendre
des notes. C’est maintenant que ça se passe.
Si nous devions donner une définition purement théorique du CLOSING, nous dirions tout
simplement que c’est la dernière étape du processus de vente d’une offre high ticket. Une
offre high ticket représentant un produit ou service évalué à plus de 1 000 €. Le terme de «
closing » est un anglicisme, qui signifie littéralement en français «
fermer » ou « fermeture » en parlant d’une vente. Une traduction plus précise pourrait être
« conclure » une vente. Certains diront que comme il s’agit de la dernière étape du « process
de vente », le fait de « fermer » la vente trouve son sens également ici.
De plus, nous attirons ton attention sur le fait que comme il s’agit du dernier palier avant
la vente, tu peux remarquer que sans lui tout le reste « n’existe pas ». On s’explique : étant
donné que c’est le closer qui doit finaliser la vente, s’il n’y arrive pas, il n’y a pas de vente. Pas
de vente signifie pas de CA. Pas de CA, pas de bénéfices, et pas de bénéfices, pas de budget
destiné aux autres acteurs de la chaîne de vente. Grossièrement, on peut citer le community
manager et le media buyer qui s’occupent de l’acquisition trafic gratuite et payante. Nous
avons ensuite, le copywriter qui se charge de clientéliser les prospects obtenus. Finalement,
ce sont autant de métiers qui dépendent indirectement du/des closer(s) de l’entreprise.
Dans l’inconscient collectif, le métier de vendeur en boutique, dans la vie quotidienne, n’a
pas très bonne réputation. Il est souvent associé à l’image du commercial soit grossièrement
insistant et lourd, soit manipulateur malintentionné. On pense souvent que son travail est
de vendre pour vendre et que la seule chose qui l’intéresse, c’est d’augmenter ses ventes
pour avoir un meilleur salaire à la fin du mois.
Prenons un exemple. Demain, une personne réserve un appel avec toi pour de la perte de
poids. Est-ce que tu te rends compte du changement que ça fait dans sa vie, si par la suite
elle n’est plus à bout de souffle à chaque fois qu’elle monte quelques marches d’escalier ou
si, comme on l’a dit avant, elle peut de nouveau jouer avec ses enfants plus de 10 petites
minutes? C’est bel et bien comme ça que tu dois voir le closing. D’accord, nous sommes
des « vendeurs» au téléphone certes, mais nous sommes bien plus que ça en réalité. Nous
sommes la clé de voûte entre l’humain, sa souffrance, son changement et sa transformation.
Il est essentiel que tu le comprennes bien. Un closer est empathique de nature et souhaite
faire une réelle différence dans la vie d’autrui. Ne sois pas étonné(e) si plus tard, une fois
en activité, tu gardes contact avec certaines personnes que tu auras aidées. Ces dernières
seront si reconnaissantes de ce que tu as fait pour elles, qu’elles diront qu’elles ne pourront
jamais assez te remercier pour les avoir fait passer à l’action.
Alors oui, ce n’est peut-être pas toi qui vas les coacher ou qui vas leur apprendre comment
solutionner leur problème de façon concrète, mais sache une chose, c’est que sans toi, ces
vies seraient peut-être au même point mort que lorsque tu les avais eues au téléphone et
ça 1 an, 2 ans ou même 5 ans plus tard. Alors, même si on fait ce job avec plaisir et envie, tu
dois le voir comme plus que ça : c’est un devoir, c’est TA mission. Tu te dois de closer cette
personne, car elle a une problématique et tu as la solution. Quelque part ce ne sera peut-
être que grâce à toi qu’elle verra sa vie transformée, ou pas.
Voilà, c’est ça le métier de closer ! Bien sûr, son rôle ne se résume pas qu’à ça mêmesi c’est
déjà beaucoup. Mais si tu dois retenir quelque chose de notre définition du closing, retiens
surtout ce dernier paragraphe. Évidemment, si après cette explication ça te conforte dans
l’idée que tu es aligné(e) avec tout ceci, alors ce n’est encore une fois pas un hasard et la suite
va te plaire, sois-en certain(e).
Nous pouvons énumérer d’innombrables anecdotes qui nous sont arrivées au travers de nos
carrières de closer. Chacune d’entre elles aurait largement sa place comme argument pour
illustrer comment, et en quoi, le closing a été bénéfique pour nous. En revanche, ici, nous
nous concentrerons sur les avantages les plus évidents qu’offre ce métier et qui, notamment,
parlent au plus grand nombre.
• On l’a cité dans une partie précédente, les métiers 3.0 ont tous en commun
le fait d’être 100% en ligne. Ça signifie qu’avec une simple connexion internet,
tu as la possibilité de travailler depuis n’importe où dans le monde. Et là où
le closer surpasse ses camarades : c’est que son bureau ne tient pas dans un
sac mais tient littéralement dans une poche. Tu peux alors jouir d’une liberté
géographique la plus totale.
J’étais plus qu’en sécurité financièrement, mais maintenant, j’aspire à gagner plus que
davantage. C’est à ce moment-là d’ailleurs où on s’est rencontré avec Arnaud et où on a
commencé à aider des particuliers à devenir libre grâce à la vente. Avec mes 14 années
d’expérience dans la vente B to C et Arnaud, tout aussi expert dans la vente B to B : aujourd’hui,
c’est ça qui nous fait vibrer, aider un maximum de personnes. »
• Smartphone : Comme beaucoup, tu lis peut-être cet ebook sur papier car
toucher les pages ou surligner certains passages sont des actions primordiales
pour toi, ce qu’on peut tout à fait comprendre. C’est pour ça que nous avons
pris le soin de mettre un QR code à chaque fois que l’on parle d’un site, article,
vidéo et autre lien cliquable en tout genre. Ça va de soi mais nous préférons
le rappeler au cas où : ton téléphone doit évidemment être en mode avion
lorsque tu ne l’utilises pas pour flasher un de nos QR codes.
• Collation : Et oui ! Qui dit lecture & prise de notes dit muscler ton cerveau, et
qui dit muscler ton cerveau dit bien le nourrir. On t’invite donc à prendre avec
toi un fruit accompagné d’une gourde d’eau bien fraîche. Sinon un thé/café si
nous sommes en hiver à l’heure où tu lis ces lignes. Et là, tu es peut-être en
train de dire : «pas le temps pour manger ou boire moi, je préfère travailler»
ou encore «où est-ce que je vais trouver le temps de faire une pause si je veux
être productif». Si tel est le cas, la suite devrait résoudre ce faux paradoxe.
•••
Tu es maintenant fin prêt(e) à en découdre. Sache que nous avons écrit chaque partie de cet
e-book dans un ordre bien défini et logique. Alors, si tu veux profiter un maximum de nos
conseils et optimiser ta transformation, nous te conseillons de parcourir les chapitres dans
l’ordre.
Néanmoins ça reste tout de même une liste de « SECRETS » donc ce n’est pas non plus
dramatique si l’une ou l’autre section t’interpelle plus que les autres. Il ne nous reste plus
qu’à te souhaiter bon courage, bonne lecture et surtout bon travail !
LA PERCEPTION
C’est parti ! Ne perdons pas plus de temps et rentrons dans le vif du sujet. Ce premier chapitre
est fondamental. C’est un genre d’amplificateur d’évolution. Qu’est-ce qu’on veut dire par là
? Déjà qu’on se mette d’accord, l’évolution est un terme neutre. La plupart des gens l’associe
à une courbe croissante or une évolution peut très bien être dégressive. On va même aller
plus loin, ce chapitre est sûrement le plus important de tous. Non pas que nous ayons écrit
chaque partie par ordre d’importance. Mais supposons dans un monde improbable où tu ne
pourrais assimiler qu’un et unique chapitre de ce livre, ça serait sans aucun doute celui-ci ! Je
te rassure les autres sont tout aussi importants mais certains relèvent plus de la technique
et/ou de l’entraînement. Ainsi, nous disions que ce chapitre était un amplificateur d’évolution,
c’est-à-dire que nous en voyons 2 cas possibles :
• Cas n°2 : Tu survoles cette première section, soit car tu penses que ça ne sert pas à
grand-chose et que c’est secondaire, soit car tu te dis justement que tu peux « sauter » ces
paragraphes puisqu’ils traitent d’un sujet que tu connais déjà. Ainsi, il y a de très fortes
chances que tu ailles lentement dans la progression de ce livre, et qui dit lecture plus lente,
dit résultats retardés.
Bilan : objectif atteignable (mais au bout de combien de temps en plus ?).
Évidemment, on ose espérer que tu feras partie de la première catégorie. Bien, maintenant
que ce petit disclaimer est fait, qu’entendons-nous par « reprogramme ton cerveau et
deviens inarrêtable » ? Beaucoup l’ont sûrement déjà deviné par son titre très évocateur,
mais nous allons parler mindset et développement personnel. D’ailleurs, peut-être que tu as
des préjugés sur ces domaines et c’est OK. Sache que nous avons notre propre perception
de ces disciplines et ce n’est peut-être pas l’idée que tu t’en fais, alors écoute ce qu’on a à te
dire.
On aurait très bien pu dire « Bilan : objectif non accompli », mais on a préféré qualifier
l’objectif « d’atteignable ». Celui-ci suppose donc que même si l’objectif n’est pas atteint, ce
n’est qu’une question de temps. Voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide t’aidera
à trouver un avantage dans n’importe quelle situation. C’est peut-être facile à dire mais
comprends bien que si tu fais l’effort intellectuel de changer ta perception, ça deviendra
facile à dire ET facile à faire (à terme).
VISION VS OBJECTIF
Aujourd’hui peut-être que tu es perdu(e) et tu ne sais pas où tu veux aller. Tu cherches
irrémédiablement une boussole pour t’orienter où même un guide pour avancer dans la
bonne direction. Si tu n’as pas des objectifs qui sont clairement et facilement verbalisables,
tu n’atteindras jamais la terre promise. Dans le meilleur des cas, tu feras du sur-place. De nos
jours, peu de personnes font la différence entre vision et objectif. Lorsqu’on leur demande
où ils se voient dans 1 an, 5 ans ou 10 : ils répondent la même chose pour ces deux cas.
Or, même si l’un ne va pas sans l’autre, l’un s’obtient grâce à l’autre. Il y a donc un ordre à
respecter et chacune des 2 étapes est essentielle si l’on veut obtenir un cap viable et fiable.
• La vision : Elle désigne un idéal/équilibre • Les objectifs : Les objectifs sont factuels. Ils
de vie, une tendance. En réalité, c’est un peu désignent des points/buts précis à cibler, viser
plus à ça qu’on s’attend comme réponse avec et surtout atteindre. Ensemble et mis bout
la question « où tu te vois dans X années ? à bout, ils permettent d’atteindre sa vision
». C’est là où tu veux aller, soit la situation sur le côté pro, perso ou tous les domaines
désirée. On peut également l’associer à une de ta vie. Retiens que plus la représentation
projection de sa vie future sur le long terme. de tes objectifs est claire, plus ces objectifs
Elle dépeint plus ou moins le quotidien de seront de bonne qualité. Alors n’hésite pas,
la personne dans les grandes lignes, mais ajoute toutes les caractéristiques possibles
justement avec les lignes principales sans qui peuvent définir tes objectifs.
rentrer dans les détails pour autant.
Bon ! Vu les définitions explicites que nous avons données, il y a fort à parier que tu aies
compris l’ordre. Si ce n’est pas le cas, referme immédiatement cet e-book. GAME OVER :
malheureusement, tu ne seras jamais closer. On plaisante bien sûr ! Mais ce petit second
degré nous permet de rebondir sur un message qui nous tient très à coeur : il n’y a jamais de
question bête. Aujourd’hui, ça fait maintenant quelques années que nous sommes tous deux
des formateurs et que nous sommes on ne peut plus conscients que chacun fonctionne à
son rythme d’apprentissage. Alors fais nous plaisir, si à un moment ou un autre tu as besoin
d’informations/explications complémentaires n’aies pas peur de nous contacter via mail :
contact@bestcloser.fr ou en DM sur nos réseaux sociaux (que tu pourras retrouver à la fin
de l’e-book). On te répondra directement ou on te redirigera sur une solution. Il n’est rien
qu’une question sans réponse. Sur ce, refermons la parenthèse.
Qu’on soit bien d’accord, personne n’a envie des mêmes choses : chacun ses objectifs,
chacun sa vision. Bien sûr, nous avons des idéaux de vie qui ne sont pas si éloignés les uns
des autres. Mais chacun de nous aura sa priorité n°1 et ses priorités « secondaires ». Encore
une fois, il n’y a pas de bonne réponse. S’il se trouve que ta destination se rapproche en tout
point de celles de tes congénères, c’est parfait.
Dans ce cas, tu es sur la même longueur d’onde que tes camarades et ça ne fera que davantage
consolider vos liens. Dans l’autre cas, tu auras la chance de bénéficier d’une vision qui sort
des sentiers battus et ainsi, tu seras vu(e) comme un(e) pionnier(ère). N’oublie jamais que
l’unicité et la différence sont une force.
À ce stade, beaucoup pourront nous dire, « c’est bien joli tout ça, mais dans la pratique ça
donne quoi de définir les bons objectifs ? » Et ils auraient bien raison de le faire. C’est simple,
afin de définir n’importe quel objectif et de faire en sorte qu’il s’agisse des meilleurs objectifs
possibles : nous créons des objectifs SMART. Cet acronyme, qui vient des États-Unis, signifie :
Voilà, tu as la méthode ! Maintenant il n’y a plus qu’à. Et comme nous aimons bien aller au
bout des choses, nous n’allons pas nous arrêter là. Parmi tous ceux qui auront du mal à
définir leurs objectifs SMART, il y a deux catégories. D’un côté ceux qui ont une vision précise
du point où ils veulent aller, et de l’autre, nous avons ceux qui ont du mal à définir leurs
objectifs. PARCE QUE leur vision n’est justement pas claire dans leur tête.
Ça peut arriver et lorsque l’on appartient à cette catégorie, la tâche est d’autant plus ardue
car il va falloir chercher davantage au plus profond de soi-même. C’est loin d’être un exercice
facile lorsque l’on n’a pas l’habitude. Si ta vision manque de clarté, pose-toi simplement la
question : « qu’est-ce qui est le plus important pour moi dans ma vie ? ».
Si tu arrives à répondre à cette question, il suffit que tu reformules ta vision selon chacune des
priorités que tu te seras donnée dans ta réponse. Leurs nombres ne doivent pas dépasser
les doigts d’une main et encore 5, c’est énorme à nos yeux. Réfléchis aux valeurs auxquelles
tu tiens plus que tout. Il s’agit des 2 ou 3 choses pour lesquelles tu donnes priorité dans
n’importe quelle situation. Pour certaines personnes, ça va être les enfants, la famille, pour
d’autres la liberté.
Pour conclure, comme dit précédemment, tes objectifs sont pareils à des points intermédiaires
entre ta situation actuelle et ta situation désirée. On a pu te dire qu’ils n’étaient pas forcément
ou parfaitement alignés. Dis-toi qu’au plus tes objectifs seront bien définis et carrés, au plus
les « points intermédiaires » sur la carte formeront un segment droit. Et tu nous vois venir
: quelqu’un qui aura défini ses objectifs bénéficiera d’un tracé jusqu’à sa destination. Par
contre, il se peut qu’il fasse des détours inutiles ou tout simplement qu’il remarque que
« l’élève parfait » aura tracé le parcours le plus court en distance, soit le parcours le plus
maigre en temps d’exécution.
Reprogrammer ton cerveau passe aussi par briser tes croyances limitantes, en supposant
que tu en aies. Si tu lis ce livre, c’est qu’il y a de grandes chances que ce soit le cas. En
effet, l’une des plus grandes croyances limitantes est de penser que les salaires à 3, 4, 5, 10
000 € ne sont réservés qu’à une élite de la société et que pour pouvoir accéder à ce genre
de situation, il faudrait forcément faire des métiers comme chirurgien, joueur de football
ou encore avocat. Cette croyance limitante est notamment très ancrée en France. Même
si on se rend compte qu’il existe d’autres solutions, encore plus grâce aux opportunités du
web aujourd’hui, cette croyance met du temps à partir entièrement. Ce n’est qu’à force de
volonté, de patience et de résultats de plus en plus importants, qu’on enterre totalement ce
mode de pensée. Bien sûr qu’on ne passe pas de 1 200 € à 3 000 € en l’espace d’un weekend.
C’est cette quête quotidienne entre le point A et le point B qui fera disparaître de vos têtes
chaque jour un peu plus, l’idée que l’ancien modèle est le seul qui soit. D’autant plus qu’en
prolongeant cette prise de conscience, celle-ci n’en sera que plus durable et pérenne.
D’ailleurs, arrêtons-nous 2, 3 secondes sur cet ancien modèle justement. Qu’est-ce qu’il dit ?
Grosso modo qu’il n’existe qu’une seule manière de réussir :
• Par la suite, décrocher le Saint-Graal : son CDI dans la boîte qui veut
bien nous embaucher. Travailler 35 heures par semaine en mode
métro-boulot-dodo et ça pendant 40 années entières (de tes 20 à tes 60 ans environ).
Déjà, il faut savoir que cet « ancien » modèle existe. On ne peut pas le nier : ça décrit vraiment
la vie de certaines personnes. De nouveau, chacun voit midi à sa porte : ça peut convenir à
plein de personnes, on ne dénigre pas les CDI, ni l’école, ni la retraite.
Ce qu’on regrette, c’est finalement qu’il n’y ait que ce chemin, ou du moins, que ce chemin de
connu pour «réussir». D’ailleurs, pour la «réussite», c’est pareil. On ne peut la définir comme
étant la même pour tout le monde. Chacun a le droit de réussir selon sa vision.
Et oui, encore elle ! Chacun ses priorités, chacun ses valeurs et par conséquent, chacun sa
définition de la réussite. Tout le monde n’a pas forcément envie de voyager, de se marier
ou d’avoir des enfants. Certes, l’ancien modèle existe, mais il n’appartient qu’à toi d’en faire
une réalité et de l’accepter ou de le refuser dans ta vie quotidienne. Ça passe au début par
prendre une décision. Une décision ferme et intérieure, forte de conviction, qui dit qu’au
fond tu n’es peut-être pas aligné(e) avec les règles de ce monde-là, et que s’il y a ne serait-ce
qu’une chance qu’existe un autre chemin, tu te dois de l’essayer pour ne pas avoir de regrets.
Les regrets sont ce qu’il y a de pire dans la vie de chacun. Tu pourras trouver les 5 regrets les
plus fréquents qu’ont les gens à la fin de leur vie.
Lien Web
Une autre croyance limitante bien tenace est celle de l’argent. Pour beaucoup, l’argent est vu
comme quelque chose de sale et de négatif, notamment les jobs/les business qui permettent
de faire de l’argent. En réalité, ça n’est ni bien ni mal, c’est neutre. Pour être plus précis, c’est
ce qu’on en fait qui détermine si cet argent en question est « bien » ou « mal ». Par exemple,
l’argent utilisé à bon escient, c’est magnifique ! C’est un moyen qui te permet de vivre des
expériences et un moyen qui te permet de te soigner (aux États-Unis plus qu’en France)
partout dans le monde.
Il te permet de faire plaisir à tes proches, d’acheter ce que tu veux et d’avoir un toit et à
manger (qui sont des besoins plus primaires).
À plus grande échelle, l’argent permet de créer des ONG, nourrir des projets humanitaires
et on peut même aller encore plus loin dans le raisonnement en injectant les revenus qu’on
aurait gagnés afin de fonder une société.
On crée alors de l’emploi. Tu aides des gens, tout simplement, à vivre. BEST CLOSER en est
l’exemple parfait ! Récemment, nous avons recruté une dizaine de personnes. On a une
responsabilité envers eux de sécurité/stabilité et eux ont une responsabilité envers nous :
faire avancer l’entreprise. C’est un modèle qui est gagnant-gagnant. D’une part, les employés
sont récompensés par leur salaire et leurs conditions de travail, d’autre part, qui dit employés
satisfaits, dit croissance de l’entreprise en parallèle. Ainsi, tu fais vivre toute une économie
en créant un business, ne l’oublie jamais.
© BEST CLOSER - bestcloser.fr - TOUS DROITS RÉSERVÉS • 23
On voulait également revenir sur la façon dont est vu de nos jours le « vendeur/commercial»,
soit quelque part le closer. Comme on te l’a dit, dans l’inconscient collectif, il est décrit
négativement par son attitude lourde, agressive, insistante ou malhonnête. Et même s’il
existe bien des personnes comme ça, nous voulons mettre un point final à toute confusion
possible. Reprenons tout depuis le début. Purement et simplement : qu’est-ce qu’un vendeur?
Ici, on ne parle même pas forcément de closer ou de commercial non, on parle de la vente
au sens général du terme. Un vendeur est avant tout une personne qui apporte satisfaction
à un prospect/client en lui vendant la solution qui correspond à son problème. De façon
objective, toute personne normalement constituée serait d’accord avec le fait que c’est une
bonne chose : d’apporter des solutions aux gens. C’est ça la vente, point final !
Petite piqûre de rappel, nous vivons dans une société qui évolue constamment, notamment
durant ces dernières années à travers des changements beaucoup plus grands et rapides
qu’à l’époque. Le monde prend un tournant énorme : reste à savoir si tu seras de la partie.
Imagine que les opportunités, qui sont nées durant ces 2 dernières années, sont représentées
par un train. Ce dernier est sur le point de partir. Heureusement, en achetant cet e-book, tu
arrives à temps sur le quai de la gare. Le train est là et nous t’y attendons à l’intérieur.
SE FORMER EN CONTINU
Aujourd’hui, le plus bel investissement que tu peux faire même si tu n’as pas ou peu d’argent,
c’est ce que tu viens de faire en prenant cet e-book : investir en soi-même, accumuler de la
connaissance, avoir la bonne connaissance et avoir accès à la bonne information pour te
permettre par la suite d’atteindre tous tes objectifs.
Cette citation résume parfaitement ce que nous voulons te faire passer comme message :
reste humble, écoute, applique et n’arrête jamais de te développer.
Finalement, tout le gap qu’il reste entre là où tu es et la situation que tu désires, c’est tout
simplement un manque d’information. Apprends à trouver cette information : que ce soit à
travers des livres, des vidéos ou des podcasts peu importe. Elle est là, quelque part en train
de t’attendre. Persévère et ne t’arrête donc pas avant d’être sûr(e) et certain(e) que c’est
l’information qu’il te manquait.
Que faire quand on ne trouve pas la bonne information ? Si tu as vraiment écumé 1 fois, 2
fois ou 3 fois, toutes les ressources qui étaient à ta disposition, mais que tu n’as toujours
pas réussi à trouver ce que tu cherchais, alors il va te falloir de l’aide. Trouve-toi un mentor,
c’est-à-dire quelqu’un qui a atteint tes objectifs. Que ce soit au niveau lifestyle, profession ou
valeurs, tu dois pouvoir te projeter au travers de ton mentor et te dire finalement, qu’il est
une métaphore vivante de ta vision. Une fois que tu auras trouvé cette personne, passe à la
seconde phase.
Duplique & modélise : chaque habitude, code, règle, façon d’agir, d’interagir, bref, répète au
maximum chaque chose que ton mentor dit, pense et fait. Surtout, fais en sorte de connaître
son cheminement, son histoire et comment il est arrivé là où il est aujourd’hui : qu’est-ce qu’il
a fait pour obtenir ses résultats et accomplir ses objectifs ?
Quand on est closer, il y a effectivement cette phase de formation, cette phase d’investissement
sur soi que tu dois comprendre et que tu dois accepter (surtout si tu pars from the scratch).
Aujourd’hui quand tu vas à l’école, tu fais un investissement sur toi-même. C’est pareil lorsque
tu fais une formation pour apprendre une compétence, notamment une compétence online.
En tant que closer, se former en continu passe par la remise en question perpétuelle tout
au long de ta carrière. Celle-ci est même applicable dans le reste de ta vie, jusqu’à ta mort.
Tu dois, par respect pour toi et le potentiel que tu as en toi, aller chercher toujours plus.
Pourquoi ? La bonne question ça n’est non pas « pourquoi ? » ni
« pour quoi ? », mais plutôt « pour qui ? ». En voyant les choses sous cet angle, la réponse te
semble beaucoup plus évidente d’un coup, on le sait pertinemment.
Aujourd’hui aller chercher toujours plus loin c’est devenu obligatoire car le mondequi nous
entoure change vite, très vite. Les technologies évoluent hyper rapidement : mais tu te dois
d’être toujours, toujours, toujours, à la page. C’est comme ça. L’Homme doit s’adapter et
ceux qui adoptent la politique de l’autruche s’en mordront les doigts demain. D’ailleurs, ce
sont souvent les mêmes personnes qui ont décidé consciemment de ne pas prendre leur
billet pour le train dont nous parlions avant.
En tant que closer, tu dois toujours aller plus loin et ne jamais te satisfaire de ta condition
actuelle. Bien sûr, fêter ses victoires et célébrer ses réussites est important, mais il faut
toujours que tu ailles chercher +++ en termes de potentiel. Comment ? La remise en question
continue :
Cette phase d’introspection sur nous-mêmes, sur nos calls et sur notre manière de vendre
quand on est closer, c’est elle qui va nous permettre d’avancer et de devenir meilleur chaque
jour. C’est ça qui fera la différence entre hier et demain : trouver et aller chercher le top 1%
des actions que personne ne fait.
On te rassure, on ne va pas parler d’écologie, bien que ce soit un sujet important. Non, ici,
on va parler d’environnement dans lequel tu évolues. Que ce soit psychique ou physique, le
milieu où tu travailles a un impact direct sur toi et tes résultats.
Programme ton cerveau à aller avec des gens, à les rencontrer et à networker avec eux. Par
contre, il est évident qu’il ne faut pas aller vers n’importe quelles personnes. Rapproche-toi
de celles qui vont t’aider à atteindre tes objectifs ou encore mieux : des personnes qui ont
déjà atteint les objectifs que tu voudrais atteindre. Tu as déjà dû entendre ça quelque part,
aucun principe n’est plus vrai que celui-ci : on est la moyenne des 5 personnes qu’on côtoie
le plus.
La plupart des gens, même ceux qui ont des prédispositions à réussir dans n’importe quel
domaine, se verront arrêtés malicieusement par un environnement qui les tire vers le
bas, comme un boulet ou un poids. Si on transpose ce contexte à ce livre, cet éventuel
environnement ne te permet pas de t’émanciper financièrement et de t’extraire justement
de ce milieu afin d’atteindre tes buts.
RESPONSABILITÉ ABSOLUE
Si demain ça se passe mal avec le prospect, il faut le comprendre, toujours. Le comprendre oui,
mais il faut s’excuser également et endosser toute la responsabilité « I take full responsability
for that », « si je t’ai dirigé vers la mauvaise offre, j’en suis désolé(e), j’en prends l’entière
responsabilité. ». Voici comment tu dois réagir face à un mauvais diagnostic fait de ta part.
Dans tous les cas d’ailleurs, si tu n’as pas d’offre aujourd’hui à proposer à ton prospect ou
pire si tu rates un close, il faut que tu apprennes à conscientiser que l’entière responsabilité
repose sur toi et toi seul.
Si le prospect est « casse-pieds » et qu’il ne répond pas à tes demandes : c’est que tu as mal
fait les choses et que tu aurais peut-être dû lui poser d’autres questions ou encore mieux
écouter ce qu’il avait à te dire.
En faisant ça, tu vas être techniquement beaucoup plus heureux(se) et aligné(e) avec toi-
même. Tu ne remettras plus, comme la plupart des Français le font, la faute sur les autres.
On est, encore une fois, toujours dans cette optique d’amélioration continue. Essaie de viser
l’optimisation de toute chose pour devenir la meilleure personne et le meilleur closer.
Soit, le/la meilleur(e) dans le domaine dans lequel tu te trouves. Maîtriser à 1 milliard de %
le véhicule qu’on a décidé d’emprunter : être l’expert par excellence, la référence dans ton
domaine, dans ton équipe.
L’UNIVERSALITÉ DE CE PRINCIPE
Prendre l’entière responsabilité : c’est valable dans n’importe quel domaine. Par exemple, tu
achètes un bien immobilier et tu prends une entreprise de travaux, sauf qu’il y a une fuite
d’eau qui arrive. 99 % des gens vont remettre la faute sur l’entreprise de travaux. Non, ce
n’est pas possible ! Il faut apprendre à se responsabiliser dans chaque chose.
Conclusion : c’est moi qui suis à l’origine du problème. ». Voilà l’angle sous lequel tu dois
regarder n’importe quelle situation qui ne se passe pas comme prévu.
Pour appuyer nos propos et si tu veux aller beaucoup plus loin dans ce principe-là, il y a un
livre qui s’appelle « extreme ownership », écrit par Jocko Willink un ancien Navy SEAL. Willink,
accompagné de son frère d’armes Leif Babin, raconte comment les situations de guerre en
Irak leur ont permis d’appliquer ce principe fondamental. C’est au travers de différentes
anecdotes réelles et d’épreuves qu’ils ont vraiment traversées, qu’ils nous enseignent
comment et au combien il est important de se responsabiliser en tout point et dans toutes
les situations.
Bien sûr, on t’encourage vivement à lire ce livre qui est un très bon complément à cette
partie.
Si mon rôle d’apporter le confort nécessaire à ma famille n’est pas respecté, et bien je vais
faire tout ce qui est en mon pouvoir pour changer ça.
Comment se trad
uit cette façon de pensée dans le closing ? Comment dois-je réagir si je viens de rater un
close ? C’est simple ! Même si le prospect me dit «non, ben non, c’est trop cher pour ce que
c’est», c’est de ma faute et pas la sienne. C’est moi qui n’ai pas su trouver les mots pour qu’il
puisse transformer sa vie. C’est également moi qui n’ai peut-être pas su lui poser les bonnes
questions ou lui proposer un produit ou une offre adapté à sa demande. Ne jamais remettre
la faute sur les autres. En effet, ça ne fait rien avancer.
Quelle que soit l’issue de la situation, que ce soit un oui, un non, une victoire, une défaite,
un succès ou un échec, quelle que soit l’issue, on en est responsable parce qu’on a fait les
efforts pour. C’est nous qui avons décidé de faire ça.
Revenons 2 secondes sur la manière dont on se doit de réagir lorsqu’en tant que closer, on
rate une vente. Encore une fois, ça signifie que ça devait se passer comme ça. Au-delà du fait
de prendre ce poids sur ses épaules, avance et responsabilise-toi maintenant sur ta façon
d’accueillir cet événement. Tu as raté un close : c’est fait. Ça ne sert à rien de remettre la
faute sur le prospect. Le but, c’est d’avancer.
Tu avances sur le suivant, tu prends ton prochain appel et ensuite, tu te remets en question.
Pourquoi as- tu raté cet appel-là ? Le soir quand tu auras fini tes appels, tu dois à nouveau
écouter tes calls de la journée et en particulier ceux qui n’ont pas abouti. Tu vas alors
comprendre ce qui a bloqué et ce en prenant le temps de décortiquer tous tes appels. Bien
sûr, n’oublie pas que dans cette phase chirurgicale, tu te dois d’être honnête avec toi-même.
C’est ça le plus dur, faire cette introspection sur soi-même et prendre la responsabilité « de
» afin d’à terme réussir à l’accueillir naturellement et complètement à bras ouverts.
Évidemment, si tu manges tous les jours au fast food, que tu ne te sens pas bien et que
tu ne fais pas de sport, cela va se ressentir sur ta manière de closer et surtout, sur cette
manière d’avoir confiance en toi. Ton énergie, ta voix, ton diagnostic : tout se verra impacté
immédiatement.
On ne donnera pas de routine à proprement parler, car tu l’auras compris : c’est chacun
ses règles, chacun sa manière de fonctionner. Notre routine nous convient à nous et à
nous seuls. D’ailleurs, nous en avons 2 différentes comme nous sommes deux individus
complètement différents : avec leurs qualités, leurs repères et leurs défauts. S’il existait une
routine universelle, ça se saurait.
Comment trouver sa routine ? Il s’agit surtout d’écouter son corps pour se sentir bien. La
finalité, c’est d’être dans un niveau de focus maximal/forte performance. Pour écouter son
corps, certains y arrivent naturellement et d’autres non. Apprends à tracker ton corps et ses
besoins. Fais des tests et tu auras tes réponses. Et pour savoir quels tests tu dois effectuer
pose-toi ce genre de question :
• Quels sont les aliments qui me font du bien quand je les mange ?
• Un moment de la journée ?
• Un événement qui s’est passé : déclencheur, inhibiteur ?
• Un facteur catalyseur ?
Parmi ces indices-là qui en réalité sont les petits détails de ta manière de fonctionner (d’être
productif ou pas), il y a « LE » détail qui en fait n’en est pas un. Parmi ces détails se trouve un
de tes « game changer », qui est encore
sous-exploité.
Qu’est-ce qu’un « game changer » ? C’est un élément qui, comme cet anglicisme le dit, change
le jeu. En d’autres termes, un facteur qui bouleverse totalement les règles du jeu. Comment
se peut-il qu’il y ait autant de changements d’un coup dans l’issue d’une situation donnée ?
Tout simplement parce que le « game changer » est bien souvent une prise de conscience,
un déclic. Certains le qualifient même de « saut quantique ». Sur cette info, on te laisse faire
tes recherches. Bref, si demain tu arrives à identifier ce petit détail-là qui peut multiplier par
3 ta productivité, évidemment que ça ne va rien changer pour autrui.
En revanche, ta compréhension intérieure combinée au fait que c’est justement toi qui es aux
commandes, fait que les actions que tu entreprends suivant ce déclic, font une différence
gigantesque. Nous te le répétons de nouveau, mais cela exige beaucoup de tests, de patience
et d’observation, pour à terme, te connaître par coeur et alors savoir ce qui marche et ce qui
ne marche pas sur toi.
Avoir de belles journées bien productives passe par être bien physiquement et mentalement.
Même si tu as des bad moods ou des petits couacs du quotidien qui t’arrivent dans la
journée, tu vas de cette manière aborder tes appels comme il se doit. Même si parfois il y a
de mauvaises nouvelles, ça peut arriver.
Tu ne peux pas ne pas poser ton bagage émotionnel avant de commencer un appel sous
prétexte que tu as eu une mauvaise journée. Poser son bagage émotionnel consiste à se
sentir bien mentalement, être aligné(e) avec qui on est, aligné(e) avec notre vision et notre «
pourquoi » en corrélation avec notre vision.
UN EXEMPLE DE ROUTINE
Une fois ta routine définie, n’oublie pas qu’elle mettra 20 à 30 jours (21 jours en moyenne)
pour que cette habitude soit adoptée. Par ailleurs, si tu souhaites qu’elle ne parte plus jamais,
si ton but est d’ancrer à tout jamais cette habitude : compte 90jours avant qu’elle ne soit
complètement adoptée.
Après avoir testé plein de choses, on peut t’assurer que ça ne sert à rien de mettre en place
une routine de Spartiate. Pense objectif SMART en accentuant sur le R de réaliste. Si on
devait énumérer donc ces points, voici ce qu’il en sort :
L’ÉCOUTE ACTIVE
• Être empathique, comme un psy. Le prospect doit se sentir écouté pour se livrer.
Il faut que tu comprennes en profondeur ses douleurs, ses peurs, ses doutes, sa
vision, ses objectifs, pourquoi toi et pas d’autres.
• L’écoute active nécessite une question de timing. En effet, s’il te manque des faits,
tu ne peux pas avancer dans l’appel de close. Tu ne pourras pas finaliser la vente.
• Comme un médecin le ferait, tu dois identifier les points de douleurs « pain points ».
En fonction de ces derniers : émettre le meilleur diagnostic possible.
LA DIFFÉRENCE
C’est la différence entre un closer et un top closer. Il s’agit tout simplement de savoir s’il
va réussir à maîtriser le jeu des objections. Toutes les personnes arrivent à décrocher le
téléphone lors de l’appel. C’est facile, tout le monde peut le faire. Tout le monde peut arriver
jusqu’à la fin et jusqu’à la présentation de l’offre, mais peu de gens restent solides lorsque le
prospect commence à envoyer ses objections les unes après les autres.
Être parmi les meilleurs vendeurs signifie maîtriser les objections. Mais tout d’abord, qu’est-
ce qu’une objection ?
C’est un mécanisme de défense venant du prospect qui est tout à fait normal. C’est un point
de friction qui se crée et ce dernier est aussi inconfortable pour l’entreprise en question que
pour le particulier. Lorsque l’on veut changer quelque chose à son business ou à sa vie, il faut
passer par un investissement. Soit un investissement en temps, un investissement en énergie
et investissement en argent. Forcément, derrière, il y a des objections qui apparaissent et qui
peuvent être des écrans de fumée. Il est tout à fait possible de retrouver de fausses objections
qui en cachent d’autres. C’est de celles-ci dont il s’agit, celles qu’il faut que tu arrives à faire
ressortir et à capter. En général, dans la plupart des cas, on est face à l’objection “argent”,
soit, par exemple, une question de produit qui ne vaut pas son prix.
Il arrive que tu ne puisses pas créer la confiance entre toi et le prospect. Sauf que la vente
passe essentiellement par ce lien de confiance avant tout. Il faut que tu sois certain(e) de
pouvoir apporter la solution aux problèmes de la personne que tu as au téléphone.
Cela passe par de la confiance venant du prospect : confiance dans le produit, confiance
dans le vendeur, confiance en l’entreprise mais également, confiance en lui/elle-même sur
le fait d’accomplir ses objectifs grâce à ce que tu vas lui présenter.
Quand tu fais l’offre : tout simplement, fais-le déroulé de l’appel en comprenant où est le
prospect et où est ce qu’il veut arriver. C’est seulement après où tu peux lui présenter l’offre.
On arrive alors souvent à une phase d’objection :
Le but est d’isoler l’objection en question pour trouver la vraie objection. L’important, c’est
d’être sûr de comprendre le prospect pour tout balayer, et ainsi dénicher la bonne objection.
Il y a parfois des cas où une objection peut en cacher d’autres. On s’assure qu’on isole en fait
le point de friction principal, qui est souvent l’argent.
Si dans l’équation, on retire le côté argent : « Est-ce que tu prendrais cet accompagnement?
On retire vraiment l’argent de A à Z. Qu’est ce qui t’empêche aujourd’hui de partir avec ? ». Si
tu arrives à ramener de lui-même le prospect sur ce terrain-là, alors tu maîtrises le jeu des
objections. C’est ce qui te permettra d’aller jusqu’au close.
Combien de commerciaux s’arrêtent parce que le prospect dit « Je dois réfléchir, je préfère
revenir un peu plus tard vers toi ». Combien de commerciaux s’arrêtent alors que justement,
c’est là où le début du close se fait. C’est à ce moment-là que tout se joue : comment battre
toutes les objections du prospect pour pouvoir accomplir une partie de son objectif.
Les objections, c’est là où la magie de la vente se fait. Cela consiste tout simplement à balayer
toutes ces objections pour pouvoir arriver à un deal. Et qui dit deal, dit paiement, dit bien
évidemment close, et enfin bien sûr, te voilà payé en commission et surtout en satisfaction :
satisfaction personnelle, mais aussi satisfaction d’avoir potentiellement transformé une vie.
Ton prospect, quant à lui, reçoit son service désiré.
On anticipe et le bon Closer anticipe toujours. Il a toujours une longueur d’avance sur ce
qu’il sait exactement. Il en a fait tellement des appels en termes de consistance, qu’il sait
exactement ce que va dire le prospect ou comment l’appel va se dérouler. Il sait où, quand
et comment le prospect va réagir et ce qu’il va dire.
Après, encore une fois, rien n’est pris pour acquis et surtout, il faut ne jamais se mettre des
idées dans la tête en lisant un questionnaire sur les premières minutes de l’appel. Si ça se
trouve, le prospect peut être froid et puis après, en lui posant des questions, il va se livrer à
toi. Donc, en résumant, ne mets surtout pas d’a priori ou d’étiquette sur le prospect.
Soit, tout passe par les objections. Si tu maîtrises le jeu des objections, tu closes.
C’est déjà le dernier secret et nous n’allons pas faire durer le suspense plus longtemps : il
s’agit du suivi prospect. En effet, même si nous te souhaitons de tout coeur que ta carrière
en tant que closer n’essuie aucun second rendez-vous (chose impossible d’ailleurs), il te faut
maîtriser cette compétence.
Mais avant de rentrer dans le « comment fait-on ? » de façon concrète, une petite définition
est la bienvenue. Le
suivi, c’est cette manière de prendre des nouvelles de son prospect au bon moment et
surtout de la bonne façon.
Comment cerner la bonne façon ? Cerne d’abord ton prospect et le choix en découlera, c’est
automatique.
Mais ce n’est pas le seul facteur déterminant, base toi aussi sur :
Sache qu’en moyenne, ce sont 21 touches qui sont nécessaires afin d’être sûr(e) et certain(e)
d’avoir perdu son prospect. 80 % des ventes se font au bout du sixième contact : la qualité de
ton follow up, c’est ce qui permettra de passer d’un closer lambda à un top closer et d’aller
chercher des ventes après plusieurs semaines ou même plusieurs mois.
50% des leads qualifiés ne sont pas prêts à acheter au premier rendez-vous.
C’est simple, à travers le follow up tu dois :
Voilà pourquoi il est primordial, voir obligatoire qu’en tant que membre de nos élèves
tu dois faire comme il se doit :
Il faut environ 21 touches (ads, mails, prises de contact, etc) pour convertir un prospect en
client. Parfois, il se peut qu’on ne veuille pas faire le follow-up. Il se peut qu’on craigne d’être
trop pushy et lourd mais il n’en est rien. On ne cesse de te le répéter, mais encore une fois,
vas au moins jusqu’à la 21ème touche pour arrêter le travail. Tu ne sais pas comment le faire,
quand le faire ou encore quel moyen de communication utiliser en fonction de la situation,
alors, apprends un maximum d’infos sur ton prospect.
La stratégie est dite multicanale car les moyens utilisés pour suivre comme il faut
son prospect sont nombreux (et encore cette liste n’est même pas exhaustive) :
Et voilà, tu es arrivé(e) au terme de ce livre, bravo à toi ! On espère que tu as pris toutes les
notes nécessaires à ton développement. Si tu hésites encore à te lancer, sache que le train
vient juste de partir. Il est encore temps de le rattraper.
Tu souhaites en savoir davantage sur le métier de closer ? Les opportunités qu’il permet ?
Combien de temps as-tu besoin avant de pouvoir vivre du closing ? On t’invite à t’abonner
sans plus attendre à notre chaîne YouTube où on partage énormément de vidéos et surtout,
du contenu 100% gratuit cette fois.
Bien sûr, dans le cas où cet e-book t’a plu, n’hésite pas à nous faire un retour directement par
mail ici à contact@bestcloser.fr ou sur nos réseaux.
Ce qui ne veut pas dire que les conseils sont moins importants. Tu verras souvent des simi-
litudes avec les notions abordées ici. Si tu souhaites franchir le pas, si tu sens qu’en réalité,
c’est ce métier, ce véhicule qu’il te faut, nos conseillers sont là pour éclaircir toutes les zones
d’ombre que tu peux encore avoir. Lorsque ce sera le bon timing pour toi, prends un appel
en cliquant juste là.
Lien du calendly
LES ÉTAPES
2. Une fois que tu t’es formé(e), il faut aller sur le terrain. Encore une fois,
c’est la pratique qui devance toujours la théorie. L’objectif est de te confronter
le plus tôt possible à la réalité. Il n’y a qu’en forgeant, que l’on devient forgeron.
Prends tes premiers appels.
Les domaines et secteurs dans lesquels tu vas pouvoir vendre sont illimités. Aujourd’hui, le
marché de l’infopreneuriat est énorme et couvre toutes les thématiques : tu as donc le choix.
Les typologies d’offres que tu vas rencontrer sont quant à elles bien définies.
Tu es maintenant fin prêt(e) à aller closer ! Si tu es arrivé(e) jusqu’ici, c’est que tu dois norma-
lement avoir appliqué chaque conseil avant de passer au suivant. Ce qui signifie que tu as
assimilé les 7 secrets pour devenir plus qu’un commercial : un closer d’élite. Il ne nous reste
plus qu’à te remercier de nous avoir lu, porte-toi bien !