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Avant propos

1- l’auteur explique d’où vient son écrit, qu’il provient d’une fois ou après avoir lu un article
que l’on lui avait proposé qui supposait / mentionnait la notion d’information comme ce qui
serait intrinsèque au mobilier ontologique, qui serait sa ligne directrice. Je ne sais pas si cela
est pertinent mais peut être des points commun avec le conatus (l’information) qui serait le
catalyseur de l’ordre entre les différentes échelle (énergies / particules / astres / big bang) et
donc un rapprochement avec le déterminisme ?
progression de l’étude :
objectivité du monde (par science nature) 1-2
subjectivité (part vivante) 3-4
mystère de l’esprit (à partir de nous même) 5
lien / créateur / toile de fond de ces stades (Dieu) 6-16

2- l’enchaînement de l’analyse (matière esprit création) avec d’un côté matière qui serait une
étude des faits en quelques sortes, avec de l’autre côté l’esprit la « dimension subjective » et
la création (le « pourquoi » ?) je ne vois pas très bien la distinction entre ces deux dernières
et ais peur de trop le rapprocher à ce qu’on a vu pour l’histoire du “pourquoi” (en
rapprochant le « facteur de l’évolution » au finalisme)

3- quand il mentionne l’aspect invraisemblable de l'anti entropie du monde, comme quoi on


aller du désordre vers l’ordre est normalement pas possible, au vu de son affirmation je
pense que c’est moi qui me trompe mais tel que je me représente la chose, peut importe
l’état initiale, si l’évolution suit des règles / lois (physiques), il est à l’inverse inévitable que le
résultat sur le long terme soit plus ordonné que celui de départ. (Comme une partie de uno
qui se termine forcément)

Objectivité du monde
Chap I
1- pour l’auteur, il n’y a pas d’information, de logos cosmologique dans la matière issue du
big bang car logiquement, cette information doit être transcendante (ce avec quoi je suis
d’accord) et stocké or le big bang étant le DÉBUT il n’a eu le temps de rien stocker, il n’a
pas eu le temps d’organiser un système qui jouerai le rôle d’information
l’information est forcément de nature physique
L’ordre peur être issue de la stabilité ou de dynamique “logique” (articulation)

3- encore une fois, cette information, de mon point de vue ne doit pas forcément être
stockée, de simples propriétés suffisent pour « ordonner » un système soumis à des lois
L’auteur prend pour exemple d’information l’ADN car effectivement, dans son organisation, il
véhicule de l’information, mais les propriétés du carbone qui les compose ne remplissent t-
elles pas les mêmes fonctions ?
On pourrait dire de vrais jumeaux qu’ils ont la même information de stocker, et pourquoi pas
de deux atomes de carbone similaires ? En ceci que leur devenir est identique si soumis à
des facteurs extérieures identiques et soumis aux mêmes lois

Chap 2
1- qu'au-delà d’une information stockée, le simple principe d’évolution par sélection
(naturelle) suffit à être vecteur d’information (ce dont je suis convaincu) rejoignant finalement
mes objections précédentes.
Qu’il y a toujours dans la nature un facteur hasardeux qui permet de ne pas stabiliser
totalement le système.
Et qu’il y a donc ces deux facettes, la sélection et le stockage, et que la deuxième découle
du premier comme une V2.0
une des conséquences serait en effet la conscience phénoménale car aucun support
physique ne peut être la cause logique de celle ci (on se peut conclure d’une chose
physique la phénoménalité)

3- déjà quant au facteur aléatoire qui garantit une évolution constante, un réductionnisme
physique dirait qu’il n’y en a pas, peut être certes pour des systèmes complexes sur une
période précise, mais des particules ayant des propriétés définirent, et soumises à des lois
(ou quoi que seule les lois suffisent), ne laissent pas de place à l’aléatoire (mais au niveau
quantique, ce qu’il s’y passe n’est pas comparable à la physique macroscopique). Ces
systèmes complexes continuent d’évoluer tant que les particules fondamentales n’ont pas
trouvé d’organisation fixe.
De même pour l’instabilité des systèmes astronomiques par exemples, rien de dit que ce
que l’on considère comme changement n’est pas infime partie d’un cycle (signe d’ordre)
Enfin, l’argument sur la phénoménologie implique l'existence de cette dernière, thèse réfuté
par les illusionnistes

Subjectivité
Chap 3
Il place la subjectivité (donc la phénoménologie je pense) comme “ontologiquement
essentielle” car :
a) irréductible
b) manifestations qui serait causalité universelle
il écrit en effet que l’organisation complexe dépend de propriétés extérieures (la “géométrie”)
ce qui rejoint mon objection précédemment formulée, en excluant le subjectif de cette
explication, en mettant en avant l’impossibilité de comparer les deux (on ne peut calculer
avec des valeurs de physiques et des valeurs de “sentir” malgré leurs interaction et leur
cohabitation au sein de l’organisme
Il pose la question de comment traiter ces deux phénomènes ontologiquement
Il dit que ce sont les dualistes qui ont permis de mettre en avant la pensée, le psyché en le
séparant de la matière, bien qu’il échoue et est peu soutenable aujourd’hui car
arg logique : ériger “L'ÂME” comme substance serait comme un deus ex machina, juste une
simplification de notre ignorance
arg phénoménologique : l'interaction / proximité des deux
Il rejette aussi le POV unilatéraliste moniste en disant qu’une explication purement physique
s’expose à davantage de contradiction
donc la réponse se doit d'être un monisme plus “complexe” car quand même, tout cela est
issu de phénomènes uniquement physique, mais il faudra prendre en compte des quantités
qui ne le sont pas (un moniste plus large de le matérialiste)

2- l'émergence de cette capacité subjective est empirique

Chap 4
1- il évoque le don de possibilité de la matière à avoir une intériorité, non pas comme
intrinsèque, ni comme “potentiellement” possible (car potentiellement ne veut pas dire
possible) ici il parle de don réalisé.
donc c’est pas que juste la matière le permet, mais c’est qu’elle “tend” vers cette intériorité
2 questions :
qui ou quoi “dota” la matière de cette intériorité ?
quelle part ce “don” prend-t-il dans le cours des événements (ses effets)
il explique même que ce don (l'éros cosmogonique) pourrait être plus véridique qu’un logos,
il serait plus vrai de dire que la matière évolue de tel façon par cause subjective que par
simple cause objective (géométrie des particules)
Il évoque ensuite la vie en mentionnant que c’est d’une part un truc exceptionnel qu’elle
apparaisse sur terre, que les chances sont infimes, et qu’elle a le statut particulier d'exister
dans le seul but d’exister encore plus (reproduction)
Il ajoute l’argument suivant : comme la finalité (le subjectif) intervient dans la nature (êtres
vivants) et que de là elle devient cause objective (les sensations humaines mènent à des
effets physiques, déplacement, température etc) elle doit être naturellement possible, donc
immanente à la nature (rejet thèses dualiste)
le subjectif doit être reconnu comme manifestation de la substance globale

2- la dernière page

3- pour la caractère “rare” de la vie, je suis en complet désaccord, ce n’est pas une
exception folle que la vie apparaisse sur terre, mais une conséquence des caractéristiques
de cette planète, on appelle “vie” littéralement une famille précise de systèmes complèxe
que l’on trouve sur Terre, et ne pas trouver de système identique sur d’autres planète est
tout à fait normal. Donc, un système complexe formé sur Mars, aurait un caractère tout aussi
“exceptionnel” que la vie (astrobiologie). D’après les caractéristiques de chaque planète,
certains systèmes sont possibles. Ce n’est pas parce que l’eau était liquide que la vie est
apparue, mais précisément PARCE QUE de l’eau liquide était sur Terre, qu’une vie est
apparue (l’affirmation semble identique mais j’insiste sur le parce que, l’eau n’est pas
directement la cause de la vie, mais la vie une manifestation de l’eau et d’autres facteurs)

Mystère de l’esprit
Chap 5
1- L’auteur mentionne “l’instance qui réfléchit” lui-même, à qui il incombe trois libertés
transcendente, trois libertés inexplicables par la matière
a) les thématiques abordées et la façon des les abordées
émancipe de la situation déterminé par l’extérieur
b) la transformation / creation
capacité de prédiction, dépasser les faits
c) transgresser les données (infini)
distinguer des idées voisines

ce sont pour l’auteur ces trois choses qui distinguent l’homme de l’animal
Puis évoque la liberté morale qui en découle, selon lui la plus dangereuse
autre distinction, entre l’homme et l’âme est la capacité de réflexion
mentionne le fait que pour parler d’éthique, le soi qui évalue et en même temps l’objet de
celle-ci
Pour lui, un Homme veut faire le bien, mais est piégé dans sa liberté, qui rend l’exercice du
bien compliqué car plus sa priorité tant sa liberté de transgression lui donne accès à d’autres
chose que du fini

2- suite du passage sur réflexion

3- concernant les libertés qu’il donne à la pensée, si l’on considère celle-ci comme soumise
à des lois, cela reviendrait à donner les comportements possibles, plutôt que des libertés,
comme dire que l’eau à la liberté de se solidifier, se liquéfier etc.
l’objection est cependant valable si l’on considère que l’esprit est entièrement soumis à
l’environnement dans le sens large, jusqu’au moindre signale électrique du cerveau (ce qui
ne semble pas être le point de vue de l’auteur)

Lien / créateur / toile de fond de ces stades


Chap 6
1- L’auteur ramène sur le sujet cosmologique en mentionnant que l'anthropologie peut nous
en apprendre sur la cosmologie, voire sur les causes première
Il mentionne la tentative de preuve ontologique d' Anselme (caduc depuis kant) mais en
faisant remarquer que bien que cette thèse soit fausse, savoir d'où nous vient cette idée
d’infini reste sans réponse (question formulé par Descartes
Il fait le lien entre constat d’une transcendance intérieur (le conscience / l’intériorité) et les
“causes premières”

2- passage avec platon et aristote

3- pour le coup, j’adhère au raisonnement comme quoi des causes premières d’un
phénomènes récent (ici l’anthropologie) qui est conséquence d’une autre chose, on peut en
apprendre sur cette autre chose

Chap 7
1- Il conclut des chap précédent que la raison la liberté et cette intériorité existent
(représentent des donnés cosmiques)
il dit que comme ces choses existent, alors l’univers doit être fait de sorte que ces choses
existent, donc qu’effectivement on peut en apprendre plus sur la création de ce dernier et le
problème devient donc cosmogonique
il annonce qu’il n’avancera que des hypothèses qui n’ont pas vertu à répondre une bonne
fois pour toute à ces questions (faisant de ces choses là une croyance raisonné plus
qu’autre chose (et non pas une révélation)
il récapitule l’argumentation :
s’il y a une forme de vie doté d’intériorité, cette dernière doit faire partie de la même matière
du monde, donc la question qui se pose est bien cosmogonique
il y avait dans la matière primitive la capacité d’intériorité, qui attendait en quelque sorte des
conditions extérieures favorables pour se manifester de cette façon (et s’oppose au pan
psychisme) et place bien la vie / intériorité comme immanent à la nature

Chap 8
1- il avance la question sur si l’esprit peut avoir une cause première qui n’est PAS spirituelle,
“première” car en secondaire, il est évident que non, le corps humain et le cerveau en sont
un exemple, en rejoignant l’idée de Descartes selon laquelle on a l’idée d'infini en nous. pour
le corps humain, seule la structure se fait sans esprit, le cerveau, d’autres esprits seraient
tout de même nécessaires pour forger celui du nouveau né.
Lorsqu’on revient en arrière sur l’histoire de l’information, on arrive à des organisme si
simple que sans intériorité, plus on revient en arrière, plus on s'éloigne de l’esprit
L’esprit serait une capacité émergente de la matière
(parallèle entre une naissance, création de vie / intériorité par phénomène physico-chimique,
et la cosmogonie et l’intériorité en général)
mais cependant il mentionne quand même (je crois) qu’une chose, une information tout de
même serait responsable de cette émergence

3- je ne sais pas si cela est approprié, mais étant fonctionnaliste (au moins en partie) je
pense aussi qu'effectivement, l’esprit peut être émergent à la matière dans le sens où pour
peu que l’on sache définir ce que c’est précisément, que l’on sache quoi chercher, il est tout
à fait possible de trouver quelque chose qui y ressemble dans n’importe quel domaine, et je
pense de façon très large, il est tout à fait concevable qu’il existe différente manières de
“faire fonctionner un esprit” donc, qu’il est possible avec tout, en l’arrangeant correctement,
d’en faire un esprit, donc la matière peut en effet, entre autre, présenter un esprit

Chap 9
Il mentionne l’argument comme quoi il faut faire attention à l’anthropomorphisme, car celui çi
brouille les tentatives d’investigation, et se demande comment, on peut effectivement
extrapoler ces choses là. et que notre pensée pourrait en être une simple création
Mais comme nous avons cette intériorité, il n’est pas concevable qu’une chose supérieur, en
ai une différente de la nôtre, par conséquent, il est presque nécessaire que ce que l’on
cherche ait une intériorité semblable

2- globalement pas compris

Chap 10
1- Arg : cela ne peut pas être un Dieu qui aurait placé la l’esprit car celui ci s’est fait comme
la matière sur une période, donc cela nécessite une intervention constante et non pas
ponctuelle mais cela n’est pas recevable car expliquer un truc par (y’a qqun qui gère” n’est
pas valable méthodologiquement)
il termine en disant que la réponse à la différence entre esprit et matière et qqch de vraiment
intime, les deux étant vraiment très proche
mais il doit y avoir qqch qui rend cette compatibilité, “réalisé”

3- Je comprends ce qu’il veut dire dans le sens qu’il ne doit pas y avoir un dieu au début,
mais quelque chose sur le long terme, et je rejoins sa pensée sur cette notion en générale.
Pour que l’univers fonctionne, le plus important n’est pas le “coup de pouce” du départ,
sinon cela ne serait pas possible de conserver un univers viable (cela rejoint l’argument de
Descarte sur le fait que conserver le monde est un acte aussi miraculeux que sa création)
mais plutôt à nouveau le lois qui lui permettent de tenir debout tout seul

Chap 11
1- il évoque la position panpsychisme qu’a eu spinoza plus tard.
pour Spinoza, les deux, l’étendu et la pensée ont toujours existés, en ceci que la substance
dont ils sont le témoignage a toujours existé aussi
un panpsychisme sans transcendance de l’esprit se rapprocherait d’un pandémoniste ou
pen diabolisme (je n’ai pas trouvé ce que c’est sur internet)
seule la thèse d’un début semble plausible, l’univers ne peut être éternel, la question est
tranché (je pense pas que cela soit ça qu’il veuille dire)
il met en avant qu’il faut considérer l’aspect exceptionnel et tardif de l’apparition de l’esprit
dans la question cosmologique

3- encore une fois, ne considérant personnellement pas l’esprit comme “exceptionnel”, du


point de vu illusionniste, il n’y a pas d’esprit qui est arrivé “tardivement” donc le passage de
l’étendu à l’’esprit est pour moi à considérer comme un autre, et non pas à part

Chap 12
1- Il faut donc partir d’une création, avec un matière qui contient la possibilité d’esprit, avec
qqch qui pousserait l’esprit à se réaliser.
Comme l’esprit peut naître de l’esprit (l’enfant et ses parents) si on explique sa création, on
explique comment elle a perduré
Cela pourrait être simplement le logos cosmique ? mais non comme réfuté dans les
premiers chapitres (l’information primitive n’est pas possible) on ne peut considérer qu’on
Eros cosmologique (pour dire que s’il y a quelque chose, il ne peut être objectif dans le sens
information stockée.
ça a été le rôle de la dynamique ensuite de réaliser cet esprit.

Chap 13
1- L’auteur fait référence à la dialectique Hegel (enchaînement thèse antithèse synthèse,
poussées par une Raison) et analyse ce que cela pourrait nous dire sur la question
cosmogonique
mais on se doit de la rejeter car “le témoignage contraire est trop accablant” :
comme Hegel n’en savait que très peu sur la grandeur de l’univers, si l’on considère
l’univers dans ses “infinis” l'apparition si récente et apparemment si hasardeuse de l’esprit
ne colle pas avec une raison qui pousserait une dialectique cosmologique à aller dans ce
sens. (Cela ne fait pas assez “ordonné” ou “clair” pour être le fruit d’un processus si précis
que la dialectique ?)
ou sinon cela voudrait dire que nous sommes le terme relatif de celle-ci, mais pour le
seconde guerre mondiale, cela ne semble pas être l’apogé de l’univers

3- pour la seconde guerre mondiale ça fait vachement


p
p => q
q nous rend triste
alors p est faux

Chap 14
Il rejette diverses théories métaphysiques en disant qu’elles se concluent sur une “réussite”
qui semble trop artificielle, cela serait plus satisfaisant pour notre esprit que effectivement
probable.

Chap 15
a) s’il y a eu une entité responsable de cette intériorité, alors en nous la donnant, elle a
renoncé à sa puissance (car maintenant l’univers peut avoir son Eros sans
problème ?)
b) si l’univers est fini, tout ce qui peut arriver doit arriver (en restant ocnforme aux lois
etc mais comme l’intériorité est possible dans la matière cela ne pose pas de
problème)
c) comme on peut finalement associé l’esprit aux animaux par exemple, il faut
considérer que l’esprit vient inévitablement avec la vie
d) en abandonnant sa puissance, cet Éros qui nous donna la conscience nous laisse
“maître” des lieux, et comme il (Eros) à disparu dans le processus, c’est à nous de
“tenir son héritage”

Chap 16
Il fait référence à un témoignage d’une juive qui s’est livrée au camp de Westerbork en
1942, qui énonce le fait que ce n’est pas dieu qui nous aide, qui est responsable de nous
mais bien nous qui agissons avec ce que dieu nous a donné (rejoignant l’argument du chap
précédent)

Chap 17
Il pose le questionnement sur les ambitions de la philosophie, car ayant spéculé sur ce dont
on aura jamais la réponse, plutôt sur ce dont il n’est pas forcément pertinent de spéculer, il
ferait “honte” à la philosophie. Cependant il fait remarquer que cette volonté de “réponse”
satisfaisante, est propre aux sciences de la nature et non à la philosophie.
Il soulève la différence entre science et métaphysique, en soulignant l’aspect “total” de cette
dernière, qui n’est pas l’ambition pour le coup des sciences naturelles.
Que même les thèse métaphysiques qui se sont avérée fausse, ou peu soutenable, ont
participée à l’élaboration d’une connaissance plus pleine de l’Être, car quelque part cela
signifierait que seule les sciences naturelles seraient “bonnes” et que les penseurs qui
faisaient avec une physique imparfaites, était destinée à rendre une pensée imparfaite

Chap 18
il interroge sur s’il existe une vie ailleur, en disant que savoir s’il est important de la savoir
mérite que l’on s’attarde à cette question plutôt
a) même si on pouvait le déterminer, cela ne changerait rien tant les communications
seraient compliqués
b) même le seul fait de savoir qu’il y a d’autres formes de vies ne changerait rien tant la
communauté est déjà très forte sur Terre, si l'on se sent déjà membre d’un groupe
(au sens trèèèèès large), cela ne changera rien, et si avec les 8 (à l'époque) milliards
d'autres êtres humains, on se sent déjà seul, une autre forme de vie de changerai
rien
c) au niveau de la conception de l’univers, cela ne changerait rien non plus (je n’ai pas
très bien compris celui-là)
d) au niveau morale cela ne changerait rien non plus, tant il serait compliqué d’avoir un
jugement différent sur leur condition que sur la notre (cela reviendrait à simplement
découvrir une autre espèce sur Terre

3- je le rejoins sur la difficulté d’en trouver (cf : le paradox de Fermi), et je pense que le
changement s’il y en avait, dépendrait de l'espèce en question, si elle est “intelligente”
comme nous, ou simplement vivante comme des organismes unicellulaires. Si il y en avait,
je pense que cela serait très intéressant pour pleins de domaine, tant la conception humaine
s’est toujours basée sur le fait d'être seul dans l’univers

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