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Analyse synthétique prop 1 – 12 :

Proposition 1 : Quand on parle de la cause seconde on se place d’emblée au niveau


métaphysique, non pas dans la physique d’Aristote.

Lorsque Albert le Grand comment l’ouvrage il spécifie qu’il y a une homologie entre les
causes logiques et ontologiques. Être et langage se réfèrent à une cause première qui est identique.
L’homologie de l’être et du logos n’est pas justifié dans les catégories d’Aristote, il n’est pas pour lui
possible de fonder l’origine commun de ces deux.

La vérité c’est l’adéquation de la chose et de l’intellect. La chose c’est la réalité extérieure.

Il y a une influence (distinguer de causalité, il ne s’agit pas d’une efficience).

Aristote :

formelle

efficiente cause finale

matérielle

Le livre des causes se trouve dans un autre registre de la causalité, sous l’influence. Cette
cause première a plus d’effet que là où les causes prochaines, les causes prochaines agissent à
l’indépendance de la cause première et cette cause première s’attache plus au effet que la cause
prochaine.

Vertu comme force d’agir, non pas tous qui est virtuel( potentialité, par opposition à ce qui
est en acte).
Les causes prochaines sont radicalement dépendantes de la cause première. Elles dépendent
de l’action continuelle de la cause première, c’est cette cause qui va donner l’unité du monde, en
revanche elle ne reçoit rien des causes prochaines.

Si on enlève rationalité et vie à l’homme, l’unité de la cause première à l’effet c’est l’être.
Qu’est-ce qu’il reste du monde si j’enlève tous les médiations, les causes prochaines ? Il n’y a plus de
spécification au monde.

Nominalisme (il n’y que l’être en singulier), Thomas d’Aquin, Albert le Grand (l y a de
l’universel dans l’être).

Donne Scot (référence médiéval d’Hegel) : l’être est vide, quand on dit être on ne dit rien
(interprétation de Métaphysique gamma).

Métaphysique landa : l’être est le degré le plus haut d’intensité de l’étant (l’acte)

Ce n’est pas la détermination ultime qui est la cause, mais la cause première. Le retour est
toujours plus facile, ma détermination ultime est moins forte que la cause première, le retour à l’un
n’est pas l’Odyssée, c’est tout simplement s’attacher à ce qui s’attache le plus à moi.

Même l’adhérence de l’effet à la cause prochaine provient de la cause première.

Proposition 2 :

La cause première est au-dessus de l’éternité. On ne vise pas les êtres supérieures sous leur mode
causale mais sur le mode de leur statut, l’être supérieure est par définition la cause de tout le reste,
à savoir l’éternité. L’être premier n’a aucun mode, il ne peut pas être dit ni connu  fondement
radical de la théologie négative.

L’être supérieur est au-dessus de l’éternité puisqu’il est sa cause. (ne faudrait-il pas distinguer
éternité et infinitude ?).

Habitus : catégorie relative.

La création est interprété comme une séparation.

Hypostases (voir dictionnaire universalis)

Proposition 3 : On traite de l’âme. C’est dans l’âme qu’il y a la possibilité de connaître autre chose
que soi, et ne pas connaître que soi-même (mais connaître soi-même est connaître le tout, car c’est
l’intelligence).
Ce n’est pas l’âme qui meut directement l’univers, l’âme meut le corps. Il y a toujours une
conjonction entre l’âme et le corps.

Il y a des fonctions attribuées à l’âme, les puissances de la cause première et de l’intelligence sont
habitées dans l’âme.

Les fonctions distincts de l’âme, elle est une copie, non pas une création, elle est une cause formelle.
L’âme est la copie de la puissance supérieure. L’âme est une copie est au même temps une création
par la cause première par l’intermédiaire de l’intelligence, il y a une création médiate. L’âme est un
substrat, et c’est l’intelligence qui agit dans l’âme.

L’âme a trois opérations puisqu’elle a trois puissance.

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