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Il s’agit de réduire toute causalité à des produits coefficients.

Les mondes coexistent, mais


est-il possible de parler d’un monde ? La causalité formelle, finale, sous la forme d’un esprit
scientifique omniscient revenait dans les pensées les plus objectifs.

Le monde est pensée dans un sens architectonique, il y a des causes dans les effets et des
effets dans les causes, c’est cette unité du monde dont on va parler dans la proposition 11.

On avait étudiée des manières d’être l’un dans l’autre, le mélange de l’eau et de le vin/

L’hésitation dans les manuscrits portent un problème philosophique. Si la cause se trouve


dans l’effet, elle se trouve sur le mode de l’effet, et pour cela elle se trouve elle-même causée.

Albert va penser la possibilité de la causalité réciproque pour qu’elle puisse se trouver dans
l’effet sur le mode de l’effet. En quoi les modèkes d’agrégat et le mélange ne convient pas pour
penser une manière du monde se tenir ensemble. Est-il possible plutôt possible penser d’un système
clos pour penser l’unité de la pluralité des mondes ? Les agrégats ne mélangent pas l’essence.
Logique et ontologique vont toujours ensemble . Il faut concevoir au sens fort que l’animal est l’être
en puissance de l’homme qui va se développer. Dans l’agrégat il n’y a pas la possibilité de penser un
être dans un genre qui est une cohésion, les éléments de l’agrégat demeurent distinct logiquement
et ontologiquement. Platon  le philosophe est celui qui s’est découpé l’être selon les bons points
d’articulation.

L’homme est en acte – dans un genre – qui revient à une unité

L’acte – inchoation (en puissance) – puissance

L’animalité est en puissance déterminé à devenir ce qui est l’homme.

L’agrégat ne répresent pas pour ses évènements la perfection des devenirs.

Unité du monde à la fois sur le plan logique et ontologique, sur l’essence et du devenir, la
définition décrit une genèse.

Est-il possible de penser l’unité du monde sur un mélange ?

L’être, la vie et l’essence n’appartient pas au même ordre du réel, il ne peuvent pas se
mélanger, il n’y a pas de rapport entre eux, il y a un raport hiérarchique. La causalité réciproque
propre au premier principe se déploie selon une logique de la manifestations  il révèle comment
l’être postérieur, ex homme, est en puissance dans l’antérieur, animal.  Description génétique
sur le plan métaphysique. Il y a une manière d’être de l’un dans l’autre dans une génèse
réciproque.
Nous ne décrivons pas seulement un processus de production physique, ce processus de
production est toujours déjà la manifestation du principe, l’animal se fait connaîté dans l’homme en
le spécifiant. Dans l’homme on peut expliquer en quoi il fait connaïte la vie, l’être, l’animalité,
production = manifestation.

Il y a une inchoation du sensible se trouve spécifié dans le sensible.

L’animalité en devenant rationnel s’accroit.

La logique – la métaphysique – la manifestation, tout est lié dans ce raisonnement.

L’un est comprise dans l’autre. La cohérence de l’univers repose sur l’intériorité réciproque
des principes et la causalité réciproque des uns dans les autres, ils peuvent être cause et effet dans
un et dan sl’autre.

III. L’être et la vie dans l’intelligence sont deux intelligences.

L’être et la vie dans l’intelligence, l’être et l’intelligence dans la vie, et l’intelligence et la vie
dans l’être.

L’interprétation albertienne consiste à accorder un sens notionnel à intellientsia, il s’agit non


pas d’une substance mais d’un sens d’intelligence. L’être dans l’intelligent et la vie de cette intelligent
trouve l’achèvement de l’acte dans la vie intelligente.

Dans la proposition 11 le problème est d’expliquer que l’intelligence est la spécification


ultime, qui se distingue de l’intellect. La spécification de l’être et la vie va se trouver dans l’homme.

La création de l’être est inconcevable dans la pensée néo-platonicienne, comment conserver


les deux ?

L’être et l’intelligence ne laissent d’être dans l’union qui est la vie.

La cause première est absolument transcendant. Il y a toujours un inconnaissable qui


produit tout le reste. La cause première est parou, mais l’être crée n’est plus ressemblant, l’être
rompe les ressemblances . La cause première continue de prouidre un flux d’où procède la vie,
l’intelligence, l’âme, les deux modèles entren en « collision », l’intelligence n’a rien à voir avec
l’intellect (voir notes dans le livre). L’un est dans tout qui procède de lui. Être, vie et l’intelligence,
est là pour expliquer la production biologique de l’homme.

Le paradigme de ce texte est la génération biologique.


En quel sens être et vie dans l’intelligence diffère-t-ils de (?)

On est dans un processus d’explication de l’animal rationnel. La difficulté de traduction et


interprétation repose sur les notions d’être et vie, ce sont deux notions d’instincts. L’être et la vie ne
forment qu’un seul être de l’intelligence, l’être et la vie sont deux intelligences distincts, ils sont
d’abord de l’intelligence dans la mesure qu’ils constituent ce que l’intelligence a besoin pour se
produire.

Ce qui est antérieur dans ce qui est postérieur (ci-dessus)

Ce qui est postérieur dans un qui est antérieur (ci-dessous)

Les deux termes (vie, et être, l’animal et le rationnel) dans une intelligence.

Ils ne vont pas être deux intelligences mais deux être, la vie et l’intelligence sont dans l’être deux
êtres. L‘intelligence dans la vie et l’être sont deux être.

Il faut rendre compte qu’il y a l’être lui-même, l’être de la vie dans l’être, et l’être de l’intelligence
dans l’être. C’est qui est dédoublé est la notion de la vie et celle de l’intelligence, lorsqu’ils sont dans
l’être.

L’intelligence dans l’être ne serait pas en effet selon l’être dans l’intelligence mais selon l’être du
premier crée, c’est-à-dire, de l’être.

Il y a chaque moment un triple être des choses, à chaque instant de l’observatoin de l’univers, il y a
l’univers en lui-même, présent, et l’univers selon les deux autres principes.

Principe du secondum modmum accipientis, selon le mode de ce qui reçoit. La variation ontologique
de l’essence de chaque chose dépend de ce principe. Nous nous recevons nous-mêmes et nous
sommes selon les modes de ce qui nous reçoit au même temps.

La métaphysique de liber causis se distingue d’une explication scientifique moderne, l’intelligence de


l’être démeure de l’intelligence, mais celui de l’être, l’intélligence dans l’être pense l’être, elle ne
pense pas à lui-même, ce n’est un monisme premier.

L’être est la première origine, et la vie est le milieu dans lequel l’intelligence s’applique. Se qui
nous permet de penser ce qu’à tout moment nous pouvons observer notre acte d’intelligence
(intelligence), la vie (vie, biologie), et cette ressemblance immédiate avec toute chose (être).

Nous sommes dans le milieu de l’intelligence

L’émanation platonicien + biologique aristotélicienne = Libera Causis.


Dans l’être, la vie et l’intelligence ne sont pas confondu dans l’être, la notion de l’intelligence dans
l’être est une chose, et la notion de la vie dans l’être est une autre.

Être en cohation avec la vie n’est pas la même chose comme être en cohation avec l’intelligence.

Il faut éviter qu’il ait un principe de l’être, un principe de la vie et un principe de l’intelligence
juxtaposées, l’interiorité de chacun permet de penser que la vie et l’intelligence procèdent de l’être,
mais le fait qu’ils demeurent c’est penser la vie et l’intelligence dans leur principalité, c’est dans l’être
qu’ils coexistent comme choses à devenir.

Julie.casteigt@mac.com

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