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PHILO GÉNÉRALE

Sartre : pas libre d’être libre (nécessairement libre) liberté est le contraire de la nécessité,
c’est le rapport à la contingence, si tout était nécessaire je ne serai pas libre, le pouvoir en situation
de choisir toujours. Les contraintes je les fais émerger par mon projet, c’est mon rapport au monde
extérieur qui fabrique les contraintes. Le projet fait naître les contraintes. Il est nécessaire que je
sois libre mais la liberté, le concept, ne l’est pas.
Le projet est universel
L’intention est toujours consciente et on agit toujours par intention.
Tout désir est conscient
L’inconscient ne nous détermine pas.
Le rêve, si il fait sens on est à moitié conscient, soit ils ne font pas sens du tout car nous n’étions pas
vraiment là.

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tel un héros j’affronte le destin
point pour la dissertation : le destin : puissance surnaturelle ou non par laquelle certains
event sont décidés à l’avance sont fixés d’avance ou par laquelle le cours de l’exist humaine est
soumise à des forces ext. Contrairement au concept du déterminisme (englobe une réflexion
générale sur les lois de la nature), peut s’opposer au hasard alors que le destin est plus pop.
Religieux et fait sens vers la vie individuelle.Désigne le caractère inéluctable de l’existence
humaine. Le destin renvoie à la mort, idée tragique, se dit Moïra en grec. Le héros connaît son
destin mais n’arrive pas à lui échapper. Le destin = énoncé à l’avance. Il faut l’accepter ou le
combattre.
Déterminisme = pensée scientifique de l’ordre des choses de la nature qui suivent des lois, la
causalité détermine tout, y compris peut-être l’homme. Le destin pas scientifique.

Lis Kant connard : CRP critique de la raison pure1, critique de la raison pratique2, critique
de la faculté de juger3
1 que puis-je connaître
2 que dois-je faire
3 question de la finalité

3ème antinomie (liberté)


à la fois phénomène et chose en-soi, manière dont je peux le connaître, la manière qu’à l’objet de
m’apparaître, mais il a aussi une part qui m’échappe, son en-soi. Je ne peux connaître qu’une partie.

1 il faut admettre une causalité par liberté, l’h est libre car capable d’initier une chaîne de causalités.
Nie l’idée que dans le monde tout arriverait selon une cause extérieure. Déterminisme non-absolue
Il existe forcément une causalité par liberté car il faut une première cause initiant les autres

Anti-thèse : causalité par liberté inexistant car tout n’arrive que par les lois de la nature. Tout vient
d’un effet qui suit des causes. Initier une cause à déjà une cause. La liberté c’est l’absence de loi,
sortir de celles de la Nature, mais impossible car le monde entier est le monde des lois, par les lois
de la Nature. Donc l’antithèse empirique dit que c’est impossible car il y a toujours une cause avant.

Kant dit que c’est la pierre d’achoppement de la philosophie, le nerf de la guerre. Sa solution est la
suivante : Les deux sont vrais pour l’homme à une facette phénomène, empirique où il est soumis
aux causalités des lois de la nature. Mais parallèlement à cela, en tant qu’en-soi nous sommes
susceptibles d’initier une causalité qui n’était pas avant. En ce sens nous sommes libres en tant
qu’individu mais non libre en tant que phénomène. Relation entre causalité par liberté et la loi
universelle de la nécessité=> intelligible.
Il y a deux causalités, la causalité empirique et intelligible.
Empirique : pourquoi du phénomène dans le monde sensible enchaîné par les lois constantes de la
Nature.
Causalité libre : concerne l’en-soi de l’homme qui dans le monde intelligible n’est plus soumis à la
condition du temps, ni à la nécessité, on ne peut pas prédire cette causalité elle ne peut être que
pensée et non démontrée.

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