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Ouvrage joint: Kant et l'avenir de la culture de Monique Castillo

La liberté comme passion naturelle


lundi 20 septembre 2021 12:44

Cours n°3

Le plus bas degré de la liberté


Liberté comme une liberté de mouvement, une aspiration à un mouvement non entravée (le plus
bas degré de la liberté)
C'est une fausse liberté qui fait l'objet d'une véritable preuve car on peut en attester l'existence
par une preuve empirico-psychologique à l'inverse de la vraie liberté qui est prouvé par le
factum rationis
Cette liberté est la plus violente et la plus intense de toute les passions
L'homme éprouve la liberté qui lui est essentiel sauf que cette liberté reste une liberté éprouvé
qui fait l'objet d'une respectivité sensible

L'inhérence de l'attribut de liberté vis-à-vis de l'humain peut-être connu au niveau de l'essence


de l'homme mais aussi dès la première strate de l'expérience sensible

La liberté dans l'état de nature


C'est la passion naturelle de l'homme pour la liberté
L'homme de l'état de nature est un homme isolé qui recherche la solitude
L'état de nature est une nature où les hommes refusant le contact cultivent une insociabilité et est
une manifestation de cette passion naturelle pour la liberté qui fait que l'homme voit ses
mouvements entravée
Dans l'état de nature, l'homme se laisse guidé par son instinct de liberté, il veut fuir ses
semblables et rejoindre des contrés isolés. Cette insociabilité qui pousse les hommes à se
disperser à la surface de la Terre et vertu d'une ruse de la Nature est une sagesse quasi-divine à
l'œuvre dans l'histoire universelle et une paix perpétuelle.
Les hommes en vertu d'une ruse naturelle sont appelées à occuper toutes les contrées même les
plus difficile.
Cette état de nature, pour Rousseau, est un état de liberté naturelle sans loi où les hommes
vivent éloignés les uns des autres et entretiennent un nombre limité de contact. L'état de société
civile fait de l'homme, un citoyen soumis à une loi. Cette loi est une loi juridique de contrainte
extérieure. Cette tentation de la liberté naturelle comme passion perdure dans la société civile

Le rôle de l'éducation et la nécessité d'un maître


L'un des rôles de toute éducation et le rôle de toute formation, c'est d'attacher l'homme à la
liberté légal.
L'un des buts de l'éducation de le dissuader de la liberté naturelle sans loi
L'éducation doit parachever cette liberté naturelle qui n'est que passion pour en faire une liberté
d'autonomie. La principale mission de l'éducation et le faire passer d'une liberté naturelle à la loi
morale qui se trouve en nous

Il faut transformer la passion innée et s'affranchir de toute loi pour aller vers l'obéissance à sa
propre loi à savoir la loi morale

Réflexion 1499 (Réflexion sur l'anthropologie): la particularité de l'humanité est qu'elle a besoin
d'éducation.
"La particularité de l’humanité est qu’elle a besoin d’éducation, qu’elle doit découvrir tout bien
par elle-même et se le procurer par la liberté"
Il n'y a de bien que par le filtre de la volonté
Les qualités naturelles ne sont pas des biens sauf au moment où il vont usage de la vertu

La passion naturelle de la liberté chez l'homme se traduit en l'homme par une humeur
capricieuse mais cette liberté n'est pas seulement cela, c'est aussi un penchant évident à s'écarter
du droit fil de l'ordre que la raison se donne et à se complaire dans ces aspirations au moyen
d'une épreuve qui vaut comme preuve de cette liberté
"Mais cette liberté n’est pas seulement cela, c’est aussi un penchant évident à s’écarter du droit
fil de l’ordre que la raison prescrit et à se complaire en ses goûts et en ses inclinations à y faire
exception"

Cette passion innée pour la liberté sauvage et sans loi qui rend non seulement impérieux le
besoin d'une éducation et cette passion naturelle explique en l'homme le besoin d'un maître.
Cette passion innée pour la liberté sauvage rend d'autant plus pressant le besoin d'être soumis à
une maîtrise de soi où d'un autre
L'homme en tant qu'il est sans loi, a besoin d'un maître pour le discipliner, l'homme est un
animal qui du moment qu'il vit parmi d'autre individu de son espèce a besoin d'un maître
L'homme est son propre maître et n'obéit à aucune loi.
"L’homme est un animal qui a besoin d’une instruction (culture), de discipline, d’un maître et
d’une moralité."
La transmutation de la liberté naturelle en liberté légale commence déjà dans la loi, puis chaque
homme doit être capable de soumettre sa volonté non pas l'universalité de la loi juridique mais à
l'universalité de la loi morale (interne à chaque homme)

La liberté dans l'histoire


Dans la réflexion n°1500, l'homme entre dans un même mouvement dans la légalité, dans
l'histoire en vertu de cette tendance innée à la liberté que rien ne limite ou ne discipline
"Néanmoins, il est toujours secrètement animé du désir de se soustraire à cette domination [de la
loi juridique et d'un maître] et de demeurer dans une liberté sans lien"

L'histoire et le progrès qui la caractérise peut être comprise comme l'espace d'un progrès
possible, le progrès est la fois juridico-politique ne commence que quand l'homme qui l'état de
nature fictif où règne une liberté illimité sans loi. L'histoire comme possibilité d'un progrès.
L'histoire n'est ni un progrès ni une régression ni une oscillation entre les deux: l'histoire est un
chaos qui doit être interprété comme susceptible de tendre téléologiquement vers un but final qui
est à la fois la moralisation du genre humain et la liberté civile comme la culture.
L'histoire du genre humain tend vers la paix, la finalité de l'homme est la moralité et la finalité
de la nature humaine est la culture.
Soumettre sa volonté à une loi est sortir de l'état de nature, ce n'est pas une évolution
chronologique

L'histoire n'est possible que lorsqu'on renonce à sa liberté sauvage et sans loi, la liberté qu'il
découvre est à la fois sa liberté civile et sa liberté morale qui se définissent comme une
obéissance aux lois que se prescrit l'homme à soi-même comme sujet morale ou la loi juridico-
civile qu'on se prescrit à soi-même comme loi morale. L'histoire ne s'inaugure qu'à partir du
moment où l'homme consent à renoncer à sa liberté individuelle.

Le triangle pouvoir-liberté-loi
Kant réfléchie sur des notions triangulaires entre pouvoir, liberté et loi. Il distingue 4 situations
dans la réflexion n°1501:
• la sauvagerie est le propre d'un état de nature où il y a ni pouvoir politique ni loi. On a bien
de la liberté mais cette dernière est défectueuse dans la mesure où elle est sans pouvoir ni
loi.
• La liberté sous la loi sans pouvoir politique capable de la faire respecter, c'est une liberté
faible
• Le despotisme, une autocratie où un monarque s'appuie sur la loi sauf que cette dernière
est l'expression d'un seul homme et il supprime toutes libertés civiles
• La barbarie qui est l'exercice d'un pouvoir fort mais sans loi ni liberté

"La société ne peut demeurer dans la liberté brute [(la liberté à l'état de Roheit): la liberté des
sauvages ou des animaux] d'où l'existence nécessaire d'une loi et d'un pouvoir"
Pour la société se maintienne et que l'état se donne une république, il faut que ces trois éléments
se conjuguent alors on n'a pas d'état républicain possible

L'ambivalence de la liberté
L'ambivalence de cette liberté qui est une chance pour l'homme mais en même temps un danger
La liberté est d'une part, le suprême degré de la vie (alors l'homme serait le seule animale
réellement vivant) car ce qui fait la vie véritable c'est la liberté.

La liberté est une propriété qui sert de condition nécessaire de fondement à toutes les perfections
que l'homme naturellement susceptibles d'acquérir

La liberté peut toujours se retourner comme l'homme et devient un risque et est la source de tous
les maux. L'homme est bon sortie des mains de la nature mais il devient mauvais par l'usage
qu'il fait de la liberté car la liberté est aussi la source des vices.
Elle est susceptibles de se retourner contre lui en tant qu'elle est source de tous les maux alors la
liberté est forme d'anarchie, une licence d'anarchie sans fin
Cette liberté de l'anarchie sauvage ne signifie pas que le recours à une liberté naturelle tuerait
l'homme moralement et juridiquement car l'homme cesserai d'être un homme pour n'être qu'un
simple animal
Il tuerai l'homme dans sa vocation morale à être pleinement raisonnable.
"La liberté qui n'est pas restreinte par des règles qui fixent les conditions de son usage est la
chose la plus terrible qui puisse être […]. Si la liberté n'était pas restreinte par des règles
objectives [la règle faut subjectivement alors que la loi vaut comme un principe objectivement
nécessaire] le désordre le plus sauvage régnerai dans le monde"
Un état excessive de désordre lié à une licence anarchique serait dommageable pour la liberté
car il n'est qu'une illusion ou un simulacre de liberté
Kant se demande qu'elle est la condition qui restreint objectivement la liberté des hommes : c'est
la loi.

"S'il est libre, il doit donc avoir une règle objective et cette règle est la fin essentielle de
l'humanité": c'est la quête d'une loi qui soumette la liberté. Un homme libre se soumet à une
règle objective et à une loi.
Kant distingue deux styles de philosophie:
• La scolaire ou scholastique (Schulbegriff) qui consiste à redire que des concepts et
doctrines. Le philosophe n'est qu'un artisan de la raison
• Il y a un manière de philosopher qui correspond aux concepts cosmiques de la philosophie
(Weltbegriff der Philosophie). La philosophie fait monde et l'a soumet à des lois, ce dernier
n'est plus un technicien de la chose naturelle mais il est devient le législateur du monde
(Gesetzgeber der Vernunft)

L'homme est la source unique de valeur


En quoi l'homme a la fois une chance et une source de maux, la liberté comme elle est une
source de choix qui rend possible le choix du mal
L'homme doit avoir une règle et cette règle est la fin de l'humanité
Le philosophe au sens noble pense la philosophie comme un système-monde organisé
rationnellement qui tend à réaliser les fins essentielles de l'humanité, la philosophie comme
législation de la création dont elle tire la seule valeur de l'homme
La seule vraie philosophie réfléchie sur les fins de l'homme

Une auto-régulation pour être libre


L'homme laisse libre cours à ces inclinaisons, un homme à l'état naturel et il s'abaisse à un
niveau inférieur à celui des animaux (cf. Contrat social 1-8)
La vraie liberté est légalité et demande une obéissance quelque soit la loi
"L'homme contredit ainsi les fins essentielles de l'humanité en sa personne et agit contre lui-
même. Tous les maux dans le monde proviennent de la liberté [la liberté comme passion
naturelle sans loi ni règle] […]. Il est nécessaire que l'homme agisse d'après des maximes et qu'il
restreigne par des règles les libres actions qu'ils se rapportent à lui-même s'il ne possède pas une
telle règle sa liberté est son plus grand malheur. La liberté ne vaut que s'il est restreinte par des
lois. Cette liberté doit pas conséquent être restreinte, non toutefois par d'autres propriétés ou
faculté, mais par elle-même"

Un bonheur interne à chacun


Cette indispensable auto-régulation prend la forme de la liberté d'autonomie de se soumettre à la
loi que l'on se prescrit sans abolir la loi que l'on se prescrit. L'expérience que Kant cite pour
prouver cette liberté plus encore qu'un hypothétique état de nature est l'expérience du nourrisson.
Cette expérience du nourrisson vient corriger le premier exemple en étant accessible à chaque
homme, elle est plus probante car concerne tous sans exception en refusant la dépendance par
rapport à la mère traduise un mal-être face à sa propre dépendance
Un homme véritablement homme ne saurait se contenter d'un bonheur qui serait donné de
l'extérieur car tous bonheur et tous biens viennent de lui. L'homme veut devoir son bonheur à
lui-même donc à l'exercice libre de sa volonté.
Pour la philosophie kantienne, l'homme ne saurait se contenter d'un bonheur externe

Kant insiste sur le fait que le bonheur est un idéal de l'imagination que chacun se forme par et
pour lui-même.

Kant fera le premiers des 3 droits de l'homme fondamentaux est la liberté de chaque homme de
choisir son propre bonheur.
"Nul n'accepterai d'être heureux sur un idéal de bonheur qui serait imposé par un autre"
Kant condamne tous les régimes politiques de type paternaliste et surtout le paternalisme-
despotique (régime où le souverain nie la liberté de ces sujets en considérant ses sujets comme
des enfants entièrement placés sous sa dépendance

Le souverain n'a pas à dicter son bonheur aux hommes


L'homme en vertu de sa nature et conformément au dessein de la sage nature, il doit tirer tout de
lui-même et ce qu'il constitue son bonheur

Cours n°4

Citation de l'IHU (Prop 3) "La Nature a voulu que l'homme tire entièrement de lui-même tout ce
qui dépasse l'agencement mécanique de son existence animale et qu'il ne participe à aucune
autre félicité ou perfection que celle qu'il s'est créée lui-même indépendamment de l'instinct par
sa propre raison"

Les dons de la Nature


La Nature a doté l'homme de l'instinct (bonheur personnelle de l'homme naturellement) et de la
raison (naturellement destinée vers des fins morales)
La Nature a muni l'homme par la raison de la liberté du vouloir et par ce dernier elle indique
clairement son dessein
"Il ne devait pas être gouverné par l'instinct ni secondé et informé par une connaissance innée: il
devait bien plutôt tiré tout de lui-même"
L'homme se donne les moyens d'existence, son habillement, sa sécurité, les divertissements, la
culture de son intelligence, la sagesse ainsi que tout ce qui dépende de sa volonté bonne de son
œuvre propre.
"La Nature semble même s'être ici complu à sa plus grande économie […] comme si elle voulait
que l'homme en doivent porter absolument seule tout le mérite et n'en être redevable qu'à lui-
même"
La Nature donne à l'homme la raison qui est assez polyvalente pour lui procurer du bonheur et
pour réaliser toutes les autres perfections qu'il peut réaliser
L'idée que l'homme a partir de la raison peut tout tirer de lui-même et acquérir le plus haut degré
de perfection qu'il soit grâce à la faculté rationnelle que la raison lui a donné.

Rousseau 2nd discours: L'homme se définit en propre par sa raison et sa liberté : par sa
perfectibilité
L'homme se distingue par sa raison, sa liberté et la perfectibilité

La Nature veut que l'homme ne dépendent que de lui-même ou qu'il soit question de sa
connaissance ou de sa vertu.
La Nature poursuit un but économique qu'elle dote l'homme d'instinct et de raison, elle aurait pu
ne donner que l'instinct mais elle a jugé plus économique de donner une faculté qui puisse
contribuer à sa perfectibilité

"Dans la constitution naturelle d'un être organisé, nous posons en principe qu'il ne se trouve pas
d'organe pour une fin quelconque qui ne soit du même coup le plus propre et le plus accommodé
à cette fin"
Si dans un être doué de raison et de volonté, la Nature avait pour but spéciale sa conservation,
son bien-être, son bonheur, elle aurait bien mal pris ces mesures en choisissant la raison comme
exécutrice de son intention car toutes les actions que cette être doit accomplir dans cette
intention […] lui aurait été indiqué bien plus précisément par l'instinct. Et cette fin aurait pu être
bien sûrement atteinte par l'insctinct qu'elle ne peut l'être par la raison
L'homme n'est donc plus dépendant de la nature

La Nature a assigné à l'homme un fin morale qui dépasse la simple considération pragmatique
du bonheur
C'est en vertu de sa raison et de sa liberté que l'homme se détache de tout autre êtres
C'est un présentiment de la liberté qui préfigure ce que serait la vraie liberté sous le loi morale
Kant place dans l'approche anthropologique, une liberté du vouloir sous la LM de la RPP qui
appelle son dépassement est déjà présente et inscrite dans la naturalité de l'homme. Le propre de
l'homme est de se donner des fins morales indépendante des réalités mécanique.

Si l'homme est différente aux autres créatures, il en résulte que l'homme doit être le maître de la
création
L'homme se doit tout en lui-même et en vertu de cette auto-suffisante, il est supérieur de toutes
créatures terrestres (il s'agit d'un seigneur de la nature)

Pour Kant, l'homme est la fin dernière de la nature et l'homme qui domine la nature, il est le
seigneur de la nature.
Arbre-résumé de Théorie et pratique
§83 de la CFJ: "En tant qu'il est sur terre, le seule être qui possède une raison, il reçoit […] le
titre de seigneur de la nature et […] si on considère la nature comme un système téléologique, il
est selon sa destination la fin dernière de la nature"
La Nature a donc donné à l'homme une volonté libre par laquelle, il se donne à lui-même ses
propres fins de manière autosuffisante et indépendante et donne à la nature sa valeur et son but
final
La Nature dote donc l'homme d'une perfectibilité, d'une autosuffisance qui s'épanouira dans sa Les droits de l'homme dans DDHC d'août 1789
liberté d'autonomie qui porte une trace de la passion naturelle pour la liberté.
La tendance innée à la liberté est indirectement lié à la différence essentielle qui distingue
l'homme de toutes les autres créatures. L'existence en lui de la raison l'appelle à des fins
supérieurs
L'homme est le seigneur de la nature et son but finale
La nature a ancré en lui le germe d'une liberté plus noble, le germe de la passion naturelle pour
la liberté Droit l'humanité qui garantisse le
status civilis
C'est trajectoire qui accompagne le processus d'éclosion de la liberté jusqu'à la liberté
d'autonomie morale
La liberté comme passion nous ancre dans l'état de nature et dans la Nature comme sagesse 3 droits fondamentaux:
providentielle 1. Libre choix du bonheur
2. Egale soumission à la loi
La passion de la liberté n'est encore que le plus bas degré de la liberté car elle n'en donne qu'une juridique sans privilège
simple représentation empirique et extérieur de la liberté, ce premier degré de liberté comme 3. Autonomie des citoyens
passion naturelle n'est pas l'autre radicale de la liberté. Certes Kant considère la passion de la Droit originaire actifs
liberté comme une gangrène pour la liberté de l'homme contient en elle la possibilité de sa d'humanité à la liberté
guérison en se donnant une loi pour guérir cette gangrène. Ces deux formes de liberté ne sont
pas deux formes opposés et incompatibles mais plutôt deux visages d'une seule et même liberté.
Il n'y a pas de radicale opposition entre ces deux figures dans la mesure où elles ne sont que
deux facettes de la même liberté. C'est liberté qui d'abord une non-dépendance vis-à-vis d'autrui
et au sens positif, une liberté au sens de loi morale.

Cette indépendance et autonomie sont lié de sorte qu'à chaque instant l'homme les as à porté.
L'homme possède une indépendance et une disposition à l'autonomie.

Toutefois, que devient la liberté dans la société civile ? Que devient la liberté quand l'homme se
soumet aux lois juridiques ?

Dans la société civile, on va observer deux formes de liberté:


• L'homme dans le choix de son bonheur
• Liberté du citoyen actif dans l'élaboration de la loi
○ Liberté de pensée et d'expression (Fondement des deux premières liberté)

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