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Liberté

Introduction :
Qu’est-ce que la liberté ? Rares sont ceux qui n’en ont pas une opinion, mais la
connaissons-nous vraiment ? Est-il seulement possible d’en faire le tour ?
Chose certaine, il est impossible d’en concevoir la fin, car c’est justement l’une
de ses principales caractéristiques, elle n’en a pas. Déjà Hegel, je crois, la
présentait ainsi, bien qu’il la conçût différemment : La liberté est la raison.

Il existe sans doute plusieurs façons de définir la liberté : la liberté de penser,


de parler et surtout d'exister car nous savons bien que la liberté est un pouvoir,
pouvoir d'agir sans être nuisible pour la liberté elle-même dans quelle
condition la liberté peut-elle devenir dangereux ? Peut-on alors vivre sans
liberté dans ces cas ?
La liberté est l'une des valeurs suprêmes que l'homme recherche depuis
longtemps
Notre meilleure liberté consiste á faire autant que possible prévaloir les bons
penchants sur les mauvais.
À liberté est un état une situation d'une personne qui n'est pas soumis à
quelqu'un
-la liberté signifie la possibilité d'agir selon sa propre volonté sans contrainte,
elle est un principe fondamental de la démocratie
-en politique la liberté signifie le pouvoir d'agir au sein d'une société selon sa
volonté
On ne doit pas limiter la liberté qui garantit à l'homme le respect de son droit
et son humanité
La liberté est une valeur noble et à la fois chère, pour cela la chercher signifie,
sans aucun doute payer une rançon assez grande pour l'avoir effectivement, la
liberté est la plus souvent payer par le sang et les hommes

La liberté est la seule valeur qui nous donne l'opportunité de s'affirmer et de


reconnaître soi-même : c'est une satisfaction à la fois intellectuelle et affective
La liberté est un état une situation d'une personne qui n'est pas soumis à
quelqu'un
-la liberté signifie la possibilité d'agir selon sa propre volonté sans contrainte,
elle est un principe fondamental de la démocratie
En politique la liberté signifie le pouvoir d'agir au sein d'une société selon sa
volonté
On ne doit pas limiter la liberté qui garantit à l'homme le respect de son droit
et son humanité
La liberté est un droit fondamental, elle est un besoin vital est consisté à se
libérer de tt les lois qui sont anormale, immorale.
-La liberté est le droit de faire tous ce q les lois permettent (Montesquieu) -la
liberté doit être limitée pour éviter les excès, elle organise la vie sociale e
partage les plus faibles. Les dérives de la liberté excessive sont nombreuses :
l’anarchies, l'insécurités et le désordre et l’instabilité
C'est vrai que la liberté ne peut pas être absolue mais plutôt réglementée par
des lois pour éviter l'anarchie et le chaos.
La liberté en fait plusieurs philosophes et écrivains ont essayé de définir ce
concept. "Lalande" par exemple, la conçoit comme étant " l'absence ou la
suppression de toute contrainte considérée comme anormale, illégitime,
immorale".
La liberté est un droit fondamental, elle est un besoin vital est consisté à se
libérer de toutes les lois qui sont anormale, immorale.
-la liberté est le droit de faire tous ce q les lois permettent (Montesquieu)
-la liberté doit être limitée pour éviter les excès, elle organise la vie sociale e
partage les plus faibles.
La raison :
La raison est la faculté de penser. Cette faculté est un pouvoir naturel, inné. Ce
pouvoir est la liberté. Il s’agit bien davantage que la liberté d’exprimer sa
pensée : c'est la liberté ou le pouvoir de penser. Reconnaître ce pouvoir, c’est
en prendre conscience. Grâce à la liberté de penser on peut concevoir les
autres libertés. Toutefois, il y a une certaine réciprocité, car la pratique des
libertés développe également la conscience.
Lorsqu’on parle des libertés on renvoie à des actions : action de s’associer, de
se mouvoir, de communiquer, etc. Celles-ci sont libres non seulement dans la
mesure où elles ne sont pas interdites, mais surtout où on en est conscient.
Choisir détermine la conscience qui détermine la liberté d’action. Autrement
dit, une action qui n’est pas la conséquence d’un choix n’est pas une action
libre. Il en va ainsi de toutes les libertés.
Cependant, si la capacité de choisir détermine une liberté de penser ou une
conscience, il ne s’ensuit pas nécessairement une liberté d’action. Être
conscient d’agir ne signifie pas nécessairement agir librement, sans contrainte.
Le prisonnier n’est pas libre de ses mouvements, mais petite ou grande
consolation, il maintient sa liberté de penser. Peut-être souhaite-t-il être
ailleurs ?
Autre exemple : Un homme soûl qui n’est plus conscient de ce qu’il fait a
d’abord choisi de boire. À ce titre, l’homme doué de conscience est
responsable de ses actes. La liberté bien comprise exige la non-agression afin
de préserver celle des autres. En ce sens, liberté et devoir ne font qu’un.
Moins il y a d’agression, plus les libertés se déploient, mais elles se déploieront
d’autant plus que la liberté de penser aura été enseignée. Les libertés se
pratiquent, mais seule la liberté de penser se transmet par l'enseignement, car
il s’agit d’une qualité ou caractéristique de l’homme. La liberté en général n’est
donc pas une absence d’interdiction ou d’agression, ces dernières constituent
seulement un frein à celle-là.
Déterminisme vs liberté
L’action qui vise un but est une action libre, tandis que le mouvement d’un
météore est déterminé, car celui-ci ne choisit pas son trajet. L’homme est libre
en autant qu’il est conscient. Qu’il étudie l’objet inanimé, l’action humaine ou
l’être vivant en général il utilise sa raison, il exerce sa liberté de penser. Ce n’est
pas parce qu’un objet agit de manière déterminée qu’on le comprend avec une
raison différente. La raison procède de la même manière pour tout le monde,
seul l’objet étudié est régi selon des lois différentes.
On ne peut pas opposer le pouvoir à la liberté, car celle-ci est elle-même un
pouvoir. Si l'on est libre d’agir, c’est que l'on peut agir. De même, si l'on est
libre de penser, c’est qu'on le peut. Cette liberté, ce pouvoir est la faculté de
penser, la raison, la conscience, l’esprit. La conscience ne nous est pas fournie
d’un bloc, elle se développe par expérience, réflexion et volonté.
«L’homme est libre en autant qu’il est conscient. Qu’il étudie l’objet inanimé,
l’action humaine ou l’être vivant en général il utilise sa raison, il exerce sa
liberté de penser. »
Droit vs liberté
Tant qu’il y a respect de la propriété la liberté reste entière. Une vie en société
appelle à la contrainte, mais non à la coercition. Dès qu’il y a coercition
gouvernementale, c’est-à-dire dès qu’il y a politique les libertés se réduisent
aux droits. Les fruits de votre travail vous sont confisqués à hauteur
déterminée par le droit. En ce sens, la portée des droits ne peut jamais être
plus grande que celle des libertés.

Dans un monde où règne l’oppression, la despotisme et l’injustice sociale, la


notion de la liberté paraît vaine et n’a aucune valeur tandis que les hommes
naissent libres et égaux en droits. En fait, homme a besoin plus que jamais de la
liberté afin de vivre dans la paix et réaliser tous ses rêves et ambitions.
D’ailleurs, la liberté est considérée à juste titre comme une valeur universelle
pour l’homme enquête toujours du bonheur et d’identifier sa propre identité et
Rousseau n’a pas tort de dire (renoncer à sa liberté est renoncer à sa qualité
d’homme) En réalité, dans une société frivole, inégale et corruptrice marquée
par l’injustice et la dépravation politique homme s’acharne de manifester et de
conquérir sa liberté. En fait, cette dernière est au principe de toutes les
révolutions, sans elle la justice paraît aux rebelles inimaginables. A cet égard, la
révolution tunisienne, actu tunisienne, actu un exemple patent qui met en
lumière le désir ardent des jeunes de réaliser ses libertés tout en luttant contre
l’oppression, la censure voire la dictature. En outre homme a besoin sans cesse
d’exprimer son opinion, d’associer dans le monde, de circuler et d’affirmer sa
religion, il est indéniable donc que la liberté est le droit de faire tout ce que les
lois permettent. En définitive, force est de remarquer que la liberté demeure
une valeur essentielle et un droit primordial pour l’homme rêveur et visionneur
mais il reste à savoir par conséquent que la liberté a des limites et ne consiste
pas à faire tout ce qu’on veut dans la mesure où la vraie liberté c’est pouvoir
toute chose sur soi. Bref (être libre c’est être responsable.
Essai :
Certains disent que « La femme ferait mieux de rester au foyer car au dehors
elle n'est capable de rien faire qui mérite d'être évoqué ou signalé » Qu'en
pensez-vous ?

REDACTION
La question du rôle jouée par la femme dans la société a toujours fait l'objet
d'une véritable polémique. Pour les uns, elle a démontré qu'elle est capable
d'égaler l'homme et de briller dans plusieurs domaines. Pour d'autres, cette
dernière « ferait mieux de rester au foyer car au dehors elle n'est pas capable
de rien faire qui mérite d'être évoqué ou signalé ». Alors, peut-on dire que la
femme est incapable de s'affirmer dans la société et d'apporter une
contribution digne de respect ? Dans plusieurs sociétés, l'homme persiste à
considérer la femme comme son inférieure en intelligence et en compétences.
Pour lui, elle n'est qu'un corps- plutôt un beau corps ! Ou encore une maîtresse
de maison juste bonne à élever ses enfants. L'homme est l'axe autour duquel
elle tourne et qu'elle ne peut donc jamais surpasser dans aucun domaine. Son
seul pouvoir résultera de sa relation privilégiée avec ses enfants quand elle
devient une mère puisque « le paradis est sous les pieds des mères », ce qui est
vrai d'ailleurs, mais en dehors du foyer, « la femme : c'est l'enfer » ! Par
conséquent, elle ne pourra jamais jouer aucun rôle important. Cependant,
depuis longtemps, ce « sexe doux » a fait preuve de courage, d'intelligence et
d'ingéniosité dans différents domaines. D'abord, dans le domaine politique on
trouve que la femme a milité héroïquement contre l'occupant. Kifa AFIFI, par
exemple, est une combattante palestinienne qui a porté les armes et connu les
prisons israéliennes. En plus, dans le monde de l'art, le film documentaire
quand la femme chante de Mustapha HASNAOUI présente nombre de
témoignages et d'archives sur certaines pionnières de la chanson égyptienne,
notamment Munira AL-MAHDIYYA et Oum KALTHOUM. De sa part, la
tunisienne Mouia TLATLI a brillé avec son film Les silences du palais. George
SAND, Simone DE BEAUVOIR et Fadwa TOUQAN sont des noms très connus
dans le monde littéraire. Dans le domaine physique, Marie CURIE a reçu le prix
Nobel en 1903. Ces derniers jours, on a commémoré la mort du journaliste,
article et cinéaste égyptienne Rose EL YOUSEF d'origine libanaise, surnommée
Sarah BERNHARD de l'Orient tellement elle est devenue très célèbre. Enfin,
dans le monde des affaires, maintenant, on peut retenir les noms de certaines
« businesswomen » comme Paris HILTON ou Victoria BECKHAM, la femme du
joueur mondial David BECKHAM. En somme, les sexistes qui continuent encore
à maltraiter la femme et à la sous-estimer ont tout à fait tort car la fille d'Eve et
d'Adam a prouvé qu'elle peut se frayer le chemin des grands. Même en
travaillant en dehors du foyer, elle ne cherche jamais à négliger ses tâches
domestiques, en tant que mère. Bien au contraire, elle continue à éduquer ses
enfants tout en contribuant efficacement à la prospérité économique de son
pays et à son développement culturel et scientifique.
Essai :
« L’ouverture sur autrui risque aujourd'hui, de tuer en nous l'attachement au
passée et la fidélité à soi-même », affirment plusieurs personnes. Partagez-
vous ce point de vue ?

REDACTION

Ancrer les valeurs nobles de la tolérance et de l'ouverture sur autrui dans le


cadre du respect de la liberté de confession et d'expression, est devenu
aujourd'hui d'une nécessité indiscutable. Cependant, plusieurs personnes
pessimistes affirment que « l'ouverture sur autrui, risque, aujourd'hui, de tuer
en nous l'attachement au passé et la fidélité à soi-même ».
Doit-on donc avoir peur de s'ouvrir sur les autres dans une époque où le
phénomène de la mondialisation envahit la planète toute entière ?
Il est certain que de nos jours personne ne peut nier que les hommes se sont
ouverts les uns sur les autres suites aux transformations radicales qu'a connues
le monde entier. Les progrès technologiques, et la démocratisation des moyens
de communication aidant, ont permis de réaliser cet objectif. Posté devant son
petit écran ou ordinateur, l'homme peut facilement enrichir ses connaissances
et se cultiver sans même prendre la peine de voyager ou de s'inscrire dans des
écoles spécialisées pour apprendre la langue de tel ou tel pays. Seulement, ce
flot d'informations et de cultures qui envahissent les maisons risquent de
déraciner les individus et de les faire parfois oublier leur propre héritage
culturel puisqu'on est influencé par la culture du plus fort. La nouvelle donne
imposée surtout par la mondialisation fait en sorte que les gens trouvent dans
cette culture européenne et étrangère, le seul modèle à suivre. Par
conséquent, certains jeunes vont, par exemple, Jusqu'à se noyer dans la mer
pour avoir toujours imaginé l'étranger comme étant un « Paradis terrestre » où
ils retrouveraient la liberté et l'argent ! Tandis que Roger GARAUDY, de sa part,
affirme que l'Occident lui-même « a beaucoup à apprendre de la sagesse
orientale » ? Donc si on comprend parfois l'envie de ces jeunes d'améliorer
leurs conditions de vie en partant à cet « Eldorado » et leur volonté d'ouvrir
leurs esprits, rien ne justifie la perte de l'identité ou le déracinement au point
de devenir parfois de pires ennemis de leurs propres patries. Doit-on pour ainsi
dire oublier sa culture, sa langue et ses racines ? Doit-on au nom du
recouvrement de sa liberté et du rétablissement de la démocratie, comploter
avec le diable pour déstabiliser son pays et le noyer dans un bain de sang ?
Ainsi, il faut bien saisir le vrai sens de l'ouverture. Elle est avant tout synonyme
de respect réciproque et d'enrichissement mutuel dans la dignité et la fidélité
raisonnable à son identité. Fidélité raisonnable oui, car il ne faut pas oublier de
noter qu'on ne doit garder de notre héritage que ce qui est bénéfique et
édifiant. Il faut vraiment savoir tirer profit de ces nouveaux moyens de
communication et de ces nouvelles technologies pour imposer le respect de sa
culture et ses habitudes et non pas pour s'effacer ou se plier devant les autres.
Oui pour la diversité culturelle donc et non à la standardisation. Il faut
apprendre à être fier de soi-même sans adopter non plus aucune attitude
xénophobe envers autrui. Car bien de personnes extrémistes ont commis des
actes de terrorisme au nom du refus catégorique de toute autre culture ou
civilisation. Il faut pour ainsi dire être modéré dans tout : ni ouverture aveugle
et mensongère ; ni fermeture sur soi, vengeresse et rancunière. Pour cela, ceux
qui ont une vision très pessimiste n'ont pas tout à fait raison, car tout dépend
finalement de l'intelligence de nos choix. Prenons l'exemple de la Lettonie qui
est placé « en sandwich » entre d'autres pays plus puissants comme la Russie
et l'Estonie. Si ce pays minuscule existe encore, c'est parce qu'il parle letton, sa
langue maternelle qu'il a su imposer partout tout en restant ouvert sur le
monde. C'est la langue d'ailleurs qui assure et nourrit notre identité depuis des
temps immémoriaux.
Finalement, il est bon de rappeler qu'en Andalousie, Averroès (Ibn ROCHD), le
musulman côtoyait Maïmonide, le juif et bien d'autres savants chrétiens en
collaborant ensemble afin que les lumières des sciences touchent l'humanité
toute entière. Pourtant, aucun d'eux n'a cherché à exclure l'autre ou à le
pousser à changer ses croyances.
Pourquoi ne pas suivre l'exemple de nos ancêtres qui ont toujours su concilier
entre identité et ouverture enrichissante et fructueuse sur les autres
Sujet :
Faut-il, à votre avis, accorder une grande liberté aux jeunes, ou au contraire
doit-on la limiter ?
Introduction :
Certaines disent qu’il faut accorder une grande liberté aux jeunes ; d’autre
soutiennent le contraire.
Développement :
La première partie : accorder plus de liberté
L’homme est né libre ; c’est un droit que reconnaissent les religions, les
constitutions, les différentes cultures.
Un individu dont on limite la liberté serait semblable à un esclave.
La liberté est une condition du bonheur de l’individu.
La liberté permet au jeune d’être autonome et responsable.
Priver un enfant de liberté, ou la réduire, c’est en faire un citoyen lâche et
peureux.
La liberté est une condition nécessaire de la créativité.
La deuxième partie : limite la liberté
Il faut protéger les jeunes car ils ne sont pas assez murs.
Les dangers qui menacent les jeunes sont de plus en plus nombreux.
Une grande liberté peut conduire le jeune à s’adonner à la drogue, au
tabagisme, à la prostitution…
Parfois, on fait un mauvais usage de la liberté.
La liberté débridée conduirait à la négligence des devoirs scolaires, familiaux,
sociaux…
La troisième partie : point de vue personnel
A mon avis, il est utile d’accorder une grande liberté aux jeunes. Cependant, il
faut leur faire comprendre qu’il y a une différence entre la liberté et l’anarchie.
Ils doivent savoir qu’il n’y a pas une liberté absolue ? mais une liberté
conditionnée par la religion, la loi et les valeurs éthiques de la société.
Conclusion :
Les partisans et les détracteurs avancent des arguments multiples. Mais, il faut
doser (équilibrer) la liberté.
Sujet :
Pensez-vous qu’il faille recourir à la violence pour conquérir la liberté,
Introduction :
L’homme est l’être de la liberté. Celle-ci est innée en lui, et depuis l’Age des
pierres, l’être humain n’a pas cessé de combattre et de lutter afin de conquérir
sa liberté. A ce propos, certains sont portés à croire que la liberté de l’homme
ou bien d’un peuple ne se reprend que par force et par violence. D’autres, à
l’opposé, s’accordant à dire que le mieux est de reprendre notre liberté outrée
pacifiquement.
Alors, à quelles limites ces pareils dires sont-ils reconnaissables ?
Le recours à la force est-il toujours légitime et justifié ?
Développement :
A priori, il semble indéniable que dans certains cas, la violence peut permettre
de conquérir la liberté.
En effet ? il se peut que l’être humain se trouve dans des conditions difficiles
d’injustice et d’hégémonie qui l’obligent, bon gré mal gré, à utiliser la force
dans le but de défendre son peuple et de combattre ceux qui viennent
violateur sa terre et son peuple. Il serait alors un traitre s’il demeure les bras
croisés devant l’ennemi qui, remplit de haine et d’avidité, est entrain de
massacre ses concitoyens et de semer la terreur dans leurs pauvres cœurs. « Ce
qui a été pris par force ne pourrait être récupérer que par force. », c’est ce qui
affirme cette idée : Our établir la justice, il faut combattre l’ennemi par sa
même arme en disant « il n’aura jamais de justice que lorsque les forces seront
égales ». Bref, la violence et la manière forte permettent aux peuples de
contraindre l’oppresseur, à lâcher prise et à s’incliner leurs vœux libertaires.
Néanmoins, on ne peut point nier que ce choix n’est pas toujours béni et
pardonnable vue les dégâts qui l’accompagnent. Une pareille orientation, un
pareil comportement ne sont pas toujours efficaces et capables de réaliser la
victoire et atteindre notre but celui de reprendre notre liberté perdue.
De prime abord, le recours à la violence est un acte bestial… En se perpétuant,
il peut se retourner contre les objectifs libertin aires. La violence se transforme
alors en un danger qui risque de mettre terme au désir de substituer
l’asservissement par l’émancipation. Il est pleinement possible à un peuple de
prôner sa terre et gagner son indépendance sans savoir recours à la violence et
à l’agression de l’autre. Citons à ce propos l’exemple de mahatma Ghandi qui
appelle à la paix et à la guerre pacifiste et qui a pu libérer son pays de la
colonisation sans aucune goutte de sang. Le principe de « les fins justifie les
moyens » qui marque l’attitude de plusieurs groupes aspirent à revendiquer
leurs libertés arrachées et défendre leur dignité outrée n’est pas toujours
raisonnable. On est, donc, devant la raison de la force et non pas la force de la
raison.
Par ailleurs, la violence barre les chemins a d’autre moyens plus humains. Elle
ne donne pas l’occasion à des démarches plus pédagogiques et plus éducatives
d’ancrer ce principe fondamental capable de rendre la vie de l’homme
meilleure. Innombrables sont les moyens volés. En témoignent les tunisiens
qui, autrefois ont pu résister le colonisateur et ont recouru à la force de l’esprit
pour se défendre et s’exprimer. D’où leur réussite à vaincre la guerre réussite
pourrait être des armes bien puissantes.
Enfin, on peut, toutefois, opter pour le dialogue qui a l’avantage de remettre en
ordre les choses et qui appelle à la concorde et à la fraternité humaine. Ainsi,
on s’écarte de l’anarchie et de la violence qui font entre le pays dans la
confusion et des troubles sans fin. L’écoute de l’autre et l’acceptation des
négociations vont évidemment aider à reprendre la liberté sans perte aucune.
L’exemple qui en atteste est celui du défunt Yasser Arafat qui optait pour le
dialogue avec les sionistes après être conscient de leur ouvroir et leur force qui
dépassent les siens.
Il résulte de tout ce qui a précède que le recours à la force semble parfois
être le chemin de salut et le garant des libertés. Mais, ceci ne doit pas nous
faire nier que ce choix présente des limites et qu’il existe d’autres moyens plus
efficaces et légitimes qui conduisent à la liberté sans mener des guerres ni
couleur du sang.

Citations :
"L’homme est né libre, et partout il est dans les fers."
Jean-Jacques Rousseau
"Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits."
Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (1789)
"La liberté de notre volonté se connaît sans preuve, par la seule expérience que
nous en avons."
René Descartes (1596-1650)
"L’esclave, à l’instant où il rejette l’ordre humiliant de son supérieur, rejette en
même temps l’état d’esclave lui-même."
Albert Camus (1913-1960)
"Qui cherche dans la liberté autre chose qu’elle-même est fait pour servir."
Alexis de Tocqueville (1805-1859)
"La préméditation de la mort est préméditation de la liberté. Qui a appris à
mourir, il a désappris à servir."
Michel de Montaigne (1533-1592)
"Ce que l’homme perd par le Contrat social, c’est sa liberté naturelle et un droit
illimité à tout ce qui le tente et qu’il peut atteindre ; ce qu’il gagne, c’est la
liberté civile et la propriété de tout ce qu’il possède."
Jean-Jacques Rousseau (1712-1778)
"L’obéissance à la loi qu’on s’est prescrite est liberté."
Jean-Jacques Rousseau (1712-1778)

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