Vous êtes sur la page 1sur 3

En engageant une bref discussion entre les différentes doctrines sur le

fondamentalisme des droits et libertés, nous avons introduit la matière en


examinant les dix concepts basiques de cette discipline ardente.

Voici synthétiquement ces différents termes : 1. le concept droit, qui à son


sein, renvoit à une pluralité des sens notamment objectif et subjectif ; 2. le
terme liberté: concept capital, faculté d'exercer ce que l'on veut sans
contrainte en respectant la sphèrede des droits d'autrui ; 3. le terme d'Etat
ainsi que ses éléments constitutifs : la population, le territoire, le
gouvernement et enfin la souveraineté ; 4. le terme règles de droit qui sont :
générales, impersonnelles, à une finalité sociale , externes, permanentes,
obligatoires et coercitives ; 5. l'etude du terme traité avec les éléments de
conformité de son existence en tant que tel ; 6. Le terme droit international ;
étude différentielle entre le droit public interne et le droit international public ;
7. le terme de droit international des droits de l'homme en tant qu'ensemble de
règles juridiques supranationales ; 8. Étude du terme communauté
internationale, terme énumérant quelque chose d'impréçis soit les État
siégeant comme membres permanents aux Nations-unies, soit les grandes
puissances de ce monde, soit encore les États-Unis d'Amérique et ses pays
clients ; 9. Le terme droits de l'homme vu dans ces deux acceptions :
subjective et objective ; 10. Compréhension du terme droit international
humanitaire ou droit de la guerre comme instrument de restriction au recours
des moyens de la guerre afin de limiter les dégâts catastrophiques, comme il
se faisait au paravent.

Au second chapitre, une analyse historique a été mis en œuvre afin d'être
informé sur les grandes périodes de l'histoire qui ont fortement marquées la
genèse des droits de l'homme et des libertés fondamentales. Trois moments à
retenir: 1. Avant la Première Guerre mondiale. Cette période est surtout
marquée par les contestations ou les remises en question du sévère pouvoir
autocratique du roi d'Angleterre, qui sont mises en évidence pour observer les
premières tentatives d'une floraison des droits et libertés dans certains
domaines quand bien même restreins. A ce tire nous citons les différentes
pacte, plus à valeur nationale : la magna carta de1215, la pétition de droits de
1628, la déclaration de l'État de Virginie du 12 juin 1776, la déclaration
d'indépendance des États-Unis d'Amérique adoptée le 4 juillet 1776, l'habeas
corpus de 1679, de droits de 1689, la Déclaration des droits de
l'homme et du citoyen du 26 août 1789,la déclaration du 26 juin 1793, Aussi
nous ajoutons la charte du kurunkan fuga ou Mande qui constitue aussi une
ligne de conduite pour les chasseurs dans le respect des droits fondamentaux.
2. Après la seconde guerre, l'événement qui est au centre de gravité, est
l'adoption de la déclaration universelle des droits de l'homme du 10 décembre
1948, un texte devenu de nos sacro-saint pour tous les États, organisations
ou tiers personnes engeant une lutte contribuable au respect des droits
fondamentaux. Par sa considération tant nationale, régionale qu'internationale,
plusieurs Etat pratiques ses principes étant désormais des éléments
principaux de sauverde de la valeur humaine. À l'époque contemporaine enfin,
des événements décevants vont s'en suivrent. Une succession des tueries,
des cahos, des génocides et des fortes violations. Il s'en suivra aussi
quelques closes pour remédier à ces diverses vacarmes.

En troisième position, une catégorisation des droits de l'homme et des libertés


fondamentales a été élucidé, recourant ainsi à une distinction sur leur
classification selon leur génération. Il se dégage trois générations : 1ère droits
civils et politiques, 2ème droits économiques, sociaux et culturels, 3ème droits
collectifs ou solidaires. Une classification faite aussi au niveau des
libertés fondamentales, généralement il s'agit de : la dignité humaine ; légalité;
la citoyenneté; liberté; solidarité et justice. Il s'est avéré aussi utile d'ajouter
une quatrième génération dont les éléments n'ont pas encore pleinement été
mis à justification: les droits des minorités importants surtout pour protéger les
ehnies à très faible démographie, le droit d'utiliser la langue maternelle, moyen
de sauvegarde des valeurs culturelles et le droit à la protection des données
numériques, etc.
À la quatrième étape de notre cours , une étude spécifique des divers normes
surtout internationaux qui forment la charte internationale des droits de
l'homme, a également contribué à la formation juridique mais surtout au
renforcement psychologique des apprenant en L1LMD en droit, afin de
participer effectivement à sauvegarde dea valeurs liés tacitement à la
personne humaine. À titre illustratif nous citons donc: les dispositions de la
Charte des Nations Unies du 26 juin 1945, la Déclaration universelle des droits
de l'homme du 10 décembre 1948, les Pactes internationaux des droits de
l'homme du 16 décembre 1966, les protocoles facultatifs des 16/12/1966,
15/12/1989 et 10/12/2008.

Finalement, le cinquième chapitre met en terme la matière, en nous envoyant


au différents moyens de recours de protection des droits de l'homme et des
libertés fondamentales tant au niveau national, régional, qu'international.
Suffisamment élucidé sous les divers moyen de promotion, de diffusion et de
protection aux droits de l'homme et libertés fondamentales, l'etudiant enseigné
se voit désormais être endetté moralement à y participer directement, sachant
bien les sacrifices et risques qu'il concourt, bien évidemment: la torture, la
méfiance de l'autorité étatique à son égard, la persécution, l'emprisonnement
parfois pouvant conduire à la mort. Aussi, l'étudiant devra vivre en conformité
au règles dites valeurs qu'il en deviendra défenseur à fin d'appliquer à fort un
principe du droit: " justitia omnibus"( une même justice pour tous )

Vous aimerez peut-être aussi