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Les droits humains sont de droits que possède chaque individu du fait d'être
humain. Chaque individu le possède face à l’appareil étatique. Leurs buts est la
protection fondamentale de la personne humaine et de sa dignité en temps de
paix comme en temps de guerre.
Ces droits sont garantis par divers traités internationaux et régionaux mais aussi
par des textes non contraignant établis sous les auspices des Nations-Unies qui
servent à établir des standards internationaux applicables à tous. Les plus
célèbres de ces textes est la DUDH adopté le 10 décembre 1948.
Le droit des droits de l’homme est une branche du droit international public
ayant pour but de protéger la vie, la santé et la dignité des individus mais dans
des circonstances différentes.
Nous allons envisager les principales de ce Droit, les principes catégorie de droit
concentrés et les mécanismes ainsi que institutions mises en place pour assurer
une garantie et une effectivité au droit.
Il faut garder à l’esprit que les droits de l’homme sont une idéologie qui prend
en compte l’homme de manière totale. Avoir un esprit critique par rapport aux
droits de l’homme, car ces droits de l’homme nous importer traduisent des
valeurs occidentales d’où il faut arriver au mimétisme juridique en vue de mieux
les adapter aux valeurs et réalités internes.
Ce cours partira d'une articulation internationale à une fluctuation en droit
interne.
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INTRODUCTION
Les droits de l’homme sont des droits que vous avez du simple fait d’être
humain. C’est la façon dont vous pouvez instinctivement vous entendre a être
traité.
Il existe toute sorte de droits, la plupart d’applique à un certain groupe mais seul
les droits de l’homme s’applique absolument partout et à tous c’est-à-dire aux
enfants, aux personnes âgées, aux basketteurs, aux politicien, aux Indiens, aux
juifs, au congolais,… tous ont le même droits en d’autres mots ils sont
universelles. Les règles et les principes qui les constituent ce sont confirmés au
fil des temps de la consécration, l’évolution et l’établissement obligatoire de
droits de l’homme.
D’après les nations unies on en compte 30. Ils sont beaucoup plus présenté en
bloc et figurent dans la DUDH qui est le document international de référence sur
le sujet.
innovant, et après avoir conquis la ville de Babylone (539 ACN ) Il libéra les
esclaves et fit une déclaration de quelques totalement révolutionnaire : Tout les
esclaves étaient libres de retourner chez eux. Et il ajouta que les gens pouvaient
être libres de choisir leurs propres religion quelque soit le milieu d’où ils
venaient. Il accord donc la liberté aux esclaves. Toutes ces paroles furent
enregistrer dans une déclaration sur des tablettes en argile connu sous le nom
de cylindre de cyrius. Ce document antique est identifié comme la première
déclaration de droit de l’homme dans le monde. Il est traduit dans le 6 langues
officielles de ONU. Ce en cette période que n’aquirent les droits de l’homme.
Il faut comprendre que les accords internationaux ont été rédigés pour garantir
beaucoup des droits en Europe, mais cela ne se limitait qu’en Europe. Ces droits
ne semblaient pas légitime dans d’autres parties du monde qui étaient envahies,
conquises et brûlés pour développer les vastes empires de l’Europe.
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En somme, au début seul quelques privilégiés avaient des droits. Puis un jour un
homme s’est dit que d’autres devraient en avoir aussi. Sauf que tout le monde
n’était pas d’accord. C’est au prix de lutte et de guerre de plusieurs millénaires
que chacun fini par accepter que les droits de l’homme devraient s’appliquer à
tous. Depuis lors les gens ont vécu des jours heureux. Sauf qu’il y a un léger
problème :
- Si les gens ont droit de se marier et d’avoir un abris, comment fait-il que
16000 enfants meurent chaque jour soit un enfant toute les 5 secondes ?
Différence entre droit de l’homme et droits humains : oui parce que ça renvoie à
la même réalité et bon parce que
L’effet que la DUDH n’avait pas pouvoir des lois ( pas contraignant) lorsqu’elle
a été signée, C’était facultatif. Mais en dépit de bon nombre des documents, les
conventions, des traités, des lois, c’est ne guère que des mots sur une page.
La question est de savoir : qui va faire de ce mots une réalité ?
Quand Martin Luther king protesté pour l’égalité de race, il le faisait pour des
droits garantie par les Nations-Unies depuis deux décennies.
Quand Nelson Mandela défendait la justice sociale aux années 90, son pays
avait déjà accepté quarante ans plutôt d’abolir la discrimination raciale et
pourtant il a dû combattre.
Ceux qui luttent de nos jours contre la pauvreté, la torture, la discrimination ne
sont pas des géants moins encore des supers héros, ce sont des gens, enfants,
père, mère, enseignants, des individus libre de penser qui refusent de se taire,
qui se rendent compte que les droits de l’homme ne sont pas une leçon de
l’histoire, ni des mots sur une page, ni des discours, ni des campagnes
publicitaires ou commerciales mais îles sont des choix que nous faisons chaque
jour en tant qu’être humain. Ils sont la part de responsabilité que nous
partageons tous ( Se respecter, s’entraider et se protéger ou encore protéger ceux
qui sont dans le besoin). Comme Eleanor Roosevelt l’a dit : « où est-ce que le
droit Universel de l’homme commencent ? Dans des endroits tout près de chez
nous ? Si près et si petit qu’on ne peut même pas le voir sur une carte et
pourtant ces endroits représentent le monde dd l’individu ; il s’agit du quartier,
de son école, son université, son auditoire, l’usine , la ferme ou le bureau. Ce
sont les endroits où chaque homme, femme et enfant aspirent à une justice
équitable, des chances équitable, une dignité équitable sans discrimination.
C’est dans la mesure où ses droits sont vraies, près de chez soit, qu’il pourrait
être partout ailleurs. Soyez conscient de vos droits ».
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Samedi 5 août/2023
Il cordonne les aspirations de l’État qui ne voient que leurs intérêts . La
conception de DH diffère d’un Etat à un autre. C’est un droit politique avec des
incidences sur le plan interne.
2. Conséquence quant à la protection de DH
A. Le principe de la compétence nationale exclusive : Toute l’ossature du droit
international est conçu en dehors de la perspective de DH comme déclare en
1927 le juriste Grec Nicholas Politis : « l’État souverain était pour ses sujets une
cage de fer d’où ils ne pouvaient juridiquement communiquer avec l’extérieur
qu’au travers des étroits barreaux.
Selon conception classique du Droit international, la question de DH reste de la
compétence exclusive des Etats. C’est à son prince, à son gouvernement que
l’homme confit sa conversation, sa protection ou sa sécurité.
La participation de l’individu à la vie internationale est médiatisée par l’État. Le
principe de la compétence nationale exclusive joint à la l’absence des principes
internationaux de la personnalité de l’individu, constitue un obstacle théorique
insurmontable à la prise en compte par le Droit international de l’intérêt
proprement dit Individuel. Cela étant, il ne faut pas penser que les
préoccupations d’ordre humanitaire soient pour autant totalement absente du
Droit international. Mais que la protection de l’homme n’est conçu qu’en
fonction des intérêts politiques envisagés.
L’autre élément essentiel est le rattachement national de l’individu. Ici les DH
vont alors répondre étroitement des relations entre l’homme à protéger et l’État
concerné, ainsi que de la qualité des relations que les Etats en cause
entretiennent. Ex : le Congo qui doit protéger ses ressortissants en Ukraine. On
rattache ici les individus à leur Etat. Mais les rapports dépendent de la qualité
des relations qu’entretiennent le deux Etats. La protection reste d’une
importance, en un peu plus fondamentale. Cette institution coutumière en Droits
international, ressort exclusivement de la souveraineté étatique.
Au-delà de la protection diplomatique, il importe d’intégrer aussi la pratique de
la protection d’humanité (en 1959 les français interviennent au SHABA
(ancienne appellation de la province de katanga).
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1. Contradiction majeur
La coexistence au seins du droit international général de deux
ensemble normatif, à savoir :
- Le droit international des droits de l’homme et le droit international
classique, soulèvent la contradiction entre la formulation internationale de
droits de l’homme et la garantie internationale de ces droits.
En bref : entre la proclamation et la réalité.
Mardi 15/08/2023
Qu’elle se situe au plan interne ou au plan international ne signifie
rigoureusement rien du point de vue des obligations juridiques susceptible d’être
sanctionner. Nous sommes là dans la zone imprécise du souhaitable de l’éthique,
de la conception d’un certains types de civilisation d’un système virtuel.
Or. Les droits humains ne sont pas des pures et simple proposition idéologique.
Même s’ils sont l’expression d’une philosophie politique, ils ont besoin d’être
articulé pour exister complètement.
Le point de vue positiviste est ici le seul véritablement opérationnel. Il n’y de
droits humains que par l’intervention du droit positif lorsqu’un régime juridique
est organisé, telle que le droit doit protégé par une action en justice.
Les droits de l’homme doivent être positiver comme le droit positif afin qu’il
puisse quitter la phase d’une simple idéologie.
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Les droits de l’homme ont leurs spécificités. Ça veut dire , ils ont des
caractéristiques qui n’appartiennent qu’à eux. Cette spécialité se remarque sur le
plan de l’objet , du titulaire des droits et aux plans des destinataires
correspondants.
Section 1 : Objet du droit
On s’accorde généralement à reconnaître un caractère objectif de droits de
l’homme. Ceci conduit à se demander si les normes qui incorporent les droits de
l’homme dans l’ordre international, revêtent à caractère des normes de « jus
conges ». ( Normes impératives, normes qui s’imposent).
Affirmer leurs caractères objectifs signifie que ces droits s’imposent.
- Négociation
- Arrêt de texte
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- Adoption
- Authentification
- Ratification