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Si dans une large mesure le droit de l’homme est un ensemble de droit reconnu à
l’homme entant qu’être humain, un droit universel a d’autre Etat s’il y a non-respect. D’où, sa
spécificité c’est un droit qui ne peut être cautionné seulement dans l’espace national mais est
reconnu par tous, un droit sans frontière donc ses origines remontes dans le temps modernes.
La première étincelle de son apparition est actionnée par l’indépendance des Etats Unis
d’ Amérique qui met en œuvre la première disposition de droit de l’homme sur l’égalité de
tout le monde à titre d’exemple. Mais ces sont les Français qui le proclame Haut et fort et de
façon direct le premier. Ce fut dans un contexte de révolution, de lutte contre un pouvoir
despotique, le peuple français ayant été fatigué par des exactions interne et voulait un nouveau
modèle droit que leur garantissait une droit égale et son les préjudicié. Des idées qui étaient
actionnées par les lumières telle ROUSSEAU. D’où, la déclaration de droit de l’homme de
1789 ce fut le premier de l’histoire.
Mais le droit de l’homme de 1789 est encore typiquement Français, ce n’étaient qui reconnut
en France. Ce n’était pas encore universel. Puis vient les années des guerres, surtout celle de
la Second Guerre mondiale qui d’après les historiens bouleversa l’ordre des choses sur notre
planète. L’Homme découvre avec stupeur la dangerosité de ses propres inventions cinquante
millions (50 000 000) des morts en 5ans un catastrophe « humanitaire » dise les historiens qui
ne s’est jamais produit dans l’histoire de l’humanité. Et les réactions de cela ne se fait pas
attendre les vainqueurs de cette guerre mis en place un organisme International qui travaille
dans le but d’éviter qu’une telle catastrophe se reproduit ; Ce fut la Genèse des Nations-Unis.
Dans cette optique donc, parmi les moyens y parvenir fut la déclaration universel de droit de
l’homme, cette fois-ci à l’échelle planétaire, car contrairement à la France, l’ONU avait gagné
l’unanimité parmi les notions du monde d’après-guerre différent de la situation de la France
qui était un pays qui même considéré à l’époque comme exportant des idées dangereuse d’où
les hostilités des pays de l’époque.
Donc, ce fut par l’ONU (Organisation des Nations-Unis) que la déclaration universel des
droits de l’homme (D.U.D.H) prend vie est celle que nous la connaissons aujourd’hui.
Pour le dire en un mot, la déclaration Universel des droits de l’homme est un moyen de paix
non négligeable car d’après ce qui a été dit en haut son application est universel contrairement
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à la compétence des lois des Etats son « rationae loci » est illimité car la compétence des Etats
est on sait limiter dans sa sphère territoriale. Et il faut noter à son sujet que son respect est
devenu une norme à laquelle les Etats qui aspirent à la démocratie se doit de le respecter et
tout d’autre Etat d’ailleurs, car on s’expose à un concert de sanction de la part de la
communauté International notant le triste, cas de l’Afrique du Sud apartheid du régime de Pol
Pot des KHMERS rouges. Bref, entend à le respecter.
Mais malgré cette objectif, on doit dire louage de l’existence c’est un instrument de paix avec
des imperfections, car c’est tous les Etats se veulent être démocratique, ils ne sont pas
d’accord sur la façon d’y parvenir dans notre contexte d’adhésion à ses principes ne fait pas
l’unanimité. Certain sont réticent sur certain dispositifs d’autre ne peuvent y adhéré à défaut
de développement économie suffisant.
D’où, une question qui mérite réflexion, quelles sont ses entraves ? A voir en profondeur leur
manifestation.
L’intérêt est donc pertinent à savoir les solutions qui peuvent être apporté en vue de son
universalité pour la rendre effectif n’ importe où.
Donc, dans un souci de répondre à la question voyons d’abord dans le premier chapitre les
entraves à l’universalité de droits de l’homme et ensuite dans le deuxième chapitre l’impact
des problèmes à l’universalité des droits de l’homme.
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CHAPITRE I- LES ENTRAVES A
L’UNIVERSALITE DES DROITS DE L'HOMME
A- CAUSE SUR LA FORME
Dans le monde, on sait que les principes des droits de l’homme ne sont pas encore
appliqués. Alors dans les pays occidentaux ces principes ne sont pas aussi en vigueur, car ces
droits sont en effet ancrés dans une conception politique particulière ;
Les groupes de personnes qui élaborent ces principes des droits de l’homme, ils
cherchent leurs intérêts individuels, mais ne sont pas d’ordre général.
Alors, ces droits attribuent à l’homme la faculté d’avoir sa propre liberté.
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le Manifeste du Parti communiste, dans lequel l’histoire est présentée comme une succession
de luttes entre les classes dominantes (appelées le patronat) et les classes dominées (le
prolétariat).
En ce sens, Marx considère que les Révolutionnaires françaises n’ont fait que
proclamer : « Solennellement le droit de l’homme égoïste »
Marx qui soulignait la différence existant entre libertés formelles et libertés réelles, a
reproché à la notion de droit de l’homme de se borner à une conception « égoïste » des
intérêts individuels, fondée sur le droit de propriété et sur l’opposition théorique entre
l’individu et la société. Et par conséquent avec l’évolution des moyens de production et de
communication dans le monde contemporain, entraîne les inégalités entre les hommes.
On dit que ces droits sont abstraits, car ces droits selon plusieurs philosophes, ne sont
pas inscrits dans le temps et dans la réalité.
Par exemple, selon EDMOND BURKE (1729-1797) qui est un homme politique et
théoricien britannique dont la critique de la Révolution française apparait comme le
fondement du conservatisme Européen modernes, va rapidement considérer que les droits de
l’homme déclarés en 1789 sont totalement abstraits et situés en dehors de toute temporalité.
Ces droits n’ont pour seul but que de mettre en place une masse populaire contrôlable.
Pour lui, le travail du législateur doit s’adapter au caractère de chaque nation et aux
circonstances réelles.
Et pour Joseph de Maistre (1753-1821) qui est un homme politique français, l’un des
principaux conservateurs de la Révolution française. Il pense également que les droits de
l’homme sont abstraits, et oublient la finalité humaine.
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La philosophie politique de Joseph de Maistre, empreinte d’un pessimisme absolu,
pose le principe selon lequel l’injustice ne peut être vaincue, comme le prouve la mort de juste
par excellence qui est le Christ. Son principal ouvrage politique, Considération sur la France
(1797), présente la Révolution française.
Dans la mise en exécution, le droit de l’homme se manifeste dans les différentes types
de son réalisation. La réalisation et l’exécution de ce Droit dépend beaucoup surtout à forme
de l’Etat qui lui exécute.
Donc, cela signifie que le traitement de le dit droit est plus en plus différents et inclus
beaucoup au système, le régime et la législation interne de la notion ou de l’Etat.
Ainsi, au niveau international, c’est le traitement des Etats occidentaux sont restent
toujours la modèle parce que, ils sont les Etats fondateurs du droit de l’homme et aussi les
pays contrôleurs au niveau international dans le cadre de l’exécution du droit de l’homme
surtout leur traitement.
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Afrique sub-saharienne : répression et mauvais traitements
Les forces de l'ordre continuent de violer les droits de l'homme dans de nombreux
pays d'Afrique, torturant et exécutant des suspects sans jugement, déplore Amnesty
International. L'usage excessif de la force et de mauvais traitements aboutit régulièrement à
des homicides illégaux dans des pays tels que l'Afrique du Sud, le Nigeria, le Mozambique ou
l'Ouganda.
Au Nigeria, la situation dans le delta du Niger s'est ainsi détériorée en 2010, avec de
nombreux enlèvements de travailleurs du pétrole et de leurs proches, ainsi que des attaques
d'installations pétrolières par des groupes armés. « La réaction des forces de l'ordre
nigérianes a souvent conduit à des violations des droits de l'homme, y compris des exécutions
sans jugement et des tortures », écrit Amnesty International.
Au Mozambique, la police a utilisé des balles réelles contre les manifestants qui
protestaient contre la cherté de la vie, et a tué au moins 14 personnes.
Les forces de sécurité guinéennes ont également tiré à balles réelles sur des manifestants
pacifiques.
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Les processus électoraux dans des pays comme le Soudan, l'Ethiopie, le Burundi, la
Guinée ont été marqués par des violences et des entraves à la liberté d'expression, le
harcèlement de militants et des arrestations illégales.
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Elle a recensé les cas d'atteintes à la liberté d'expression, de prisonniers politiques, les
cas de torture et de mauvais traitements, les procès inéquitables... Sur l’ensemble du continent
africain, Amnesty fait état de certaines avancées en la matière, mais il reste beaucoup à faire.
Selon Amnesty encore, des défenseurs des droits de l'homme ont été arrêtés en
Angola, en Gambie, au Niger, ou en Centrafrique. Les Etats manquent de volonté politique,
notamment pour mettre un terme aux expulsions forcées menées en Angola, en Guinée
Equatoriale, au Zimbabwe, ou encore à Ndjamena au Tchad.
L’utilisation, par les forces de sécurité et les agents de l’État sous son contrôle effectif,
de balles réelles et d’armes lourdes pour mener la répression et des bombardements
indiscriminés des populations civiles constituent des violations graves du droit international
des droits de l’Homme et du droit international humanitaire.
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34 al. 3 du Protocole portant création de la Cour africaine qui donne compétence à la Cour de
juger des violations des droits de l’Homme perpétrées par un État-partie - ce qui est le cas de
la Libye depuis le 19 novembre 2003 –
Et de l’article 119 al. 4 du Règlement intérieur intérimaire de la Commission africaine qui
autorise cette dernière à saisir la Cour africaine d’une situation constitutive de violations
graves et massives des droits de l’Homme.
Alors que la Commission africaine des droits de l’Homme et des Peuples, doit se réunir
en session spéciale, à partir du 23 février jusqu’au 3 mars 2011, « nous nous étonnons du
silence de la commission et des différents commissaires chargés de mandat spécifiques
relatifs aux différents aspects de la promotion et la protection des droits de l’Homme, sur les
événements en Libye et plus largement sur des situations comprises dans leurs mandats et qui
ont engendré de graves violations des droits de l’Homme dans le reste de la région comme en
Tunisie, en Égypte ou en Algérie » a déclaré Souhayr Belhassen, présidente de la FIDH.
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*D’adopter une résolution d’urgence saisissant la Cour africaine des droits de l’Homme
des violations graves et massives qui se déroulent en Libye conformément aux dispositions et
mandats de la Commission et de la Cour ;
*D’adopter une résolution soutenant les pays en transition politique, et qui notamment :
*De condamner les violations des droits de l’Homme commises par les forces de
sécurité ;
* De soutenir les processus démocratiques qui visent à faire pleinement bénéficier les
peuples des droits garantis par la Charte africaine des droits de l’Homme et des peuples ;
*De rappeler aux États leur obligation de respecter les droits garantis par la Charte
africaine des droits de l’Homme et des Peuples
*De saisir le Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union africaine sur les violations en
Libye.
La «grande politique » est, selon Nietzsche, l’œuvre des grandes cultures qui pour
exister durablement ont besoin d’esclaves et proclament pour ce faire la dignité
humaine. Dans Humain trop humain, il assimile l’action des Européens, voire des
Occidentaux du XIXe à celle des Grecs de la période Antique.
Le droit, aux yeux de Nietzsche, doit être conquis de haute lutte parce qu’il repose sur
la puissance. Et Nietzsche se réjouit justement que les hommes du XIXème siècle aient
compris que la politique est une affaire de quantum de puissance. Or on sait avec lui que
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L’espèce supérieure n’a pas pour tâche d’éduquer l’inférieur, de l’élever, mais bien plutôt de
vaincre ses résistances et d’être en mesure de dominer.
Une seconde critique qui viendrait limiter la portée des droits de l’homme résiderait
dans leur origine occidentale. Sous couvert d’un universel, ils ne seraient que le reflet des
valeurs européennes et nord-américaines.
Cet argument peut apparaître contestable dans la mesure où des dissidents s’appuient
sur des données issues de leurs propres traditions historiques -qui peuvent être certes des
courants minoritaires au sein de leur histoire - qui leur permettent d’établir des ponts avec les
droits de l’homme issus de la tradition occidentale. Il est ainsi possible de soutenir que le
mouvement des Lumières - entendu comme critique de la tradition et affirmation de valeurs
telles que la liberté et l’égalité - ne sont pas propres à l’Occident, mais ont pu exister
également dans d’autres régions et à d’autres époques que ce soit dans la civilisation
islamique ou en Chine par exemple.
Ainsi les mouvements abolitionnistes et de décolonisation dans les pays du Sud ont pu
s’appuyer conjointement sur une histoire qui leur était propre de mouvements de révolte
contre l’oppression et les mettre en parallèle avec l’histoire des luttes des peuples occidentaux
et les déclarations qui en étaient issues, revendiquant par exemple le droit pour tout peuple
asservi par un autre de se libérer. Ainsi la Déclaration d’indépendance des Etats-Unis a-t-elle
pu être une référence citée dans ces luttes d’émancipation: “les gouvernements sont établis
parmi les hommes pour garantir ces droits, et leur juste pouvoir émane du consentement des
gouvernés. Toutes les fois qu'une forme de gouvernement devient destructive de ce but, le
peuple a le droit de la changer ou de l'abolir et d'établir un nouveau gouvernement, en le
fondant sur les principes et en l'organisant en la forme qui lui paraîtront les plus propres à lui
donner la sûreté et le bonheur” (Déclaration d’indépendance des Etats-Unis, 1776).
Ainsi n’est-il pas impossible qu’aujourd’hui encore des membres des peuples
palestinien, afghan ou irakien renvoient à ceux qu’ils considèrent comme leurs oppresseurs la
citation de leurs propres textes fondateurs.
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b°) Existence des réserves :
Enfin, ce droit peut être limité dans un ressort territorial bien déterminer mais il n’est
peut pas universel en réalité
Les droits de l'homme sont les droits subjectifs, garantis par le droit international, qui
détient toute personne à l’encontre de l’Etat. Ils servent à protéger la personne humaine et sa
dignité en temps de paix comme en temps de guerre. On distingue fondamentalement 3 types
de droits de l'homme:
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- Les droits civils et politiques: par exemple, le droit à la vie, la liberté de réunion
ou la liberté religieuse
La politique humanitaire définit les conditions cadre pour l’action humanitaire dans
les forums internationaux - tels que l’ONU, par exemple - qui a pour objectif de protéger la
vie, les droits et la dignité des individus avant, pendant et après les situations de crise (conflits
armés, troubles intérieurs et catastrophes).
- Droits de l'homme et politique
Les droits de l'homme sont les règles formelles et idéales d'une démocratie mais ne
définissent pas une vision politique quant au contenu des décisions à prendre qui engagent des
moyens, des ressources, des choix de priorités et des intérêts concrets dans des situations où
tout n'est jamais possible en même temps et où la plupart désirent pour eux même "le beurre
et l'argent du beurre" etc... Toute politique à se prononcer sur des décisions concrètes (ex:
faire la guerre à l'Irak ou non, privatiser l'EN ou la Sncf ou non, couverture sociale universelle
ou non) et cela ne se résume pas à appliquer des règles de droit mais à donner les moyens
d'établir une justice vécue comme "authentique" dont la définition est toujours problématique
et fait nécessairement l'objet d'un débat entre des positions contradictoires et concurrentes.
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b°) Les droits de l’homme sont un moyen de la domination des pays
puissant ou développé aux pays pauvres
Question de la dénomination
Depuis la fin du XXe siècle, nombreux sont ceux qui préfèrent le terme de « droits
humains » (qu'ils trouvent moins sexiste et plus cohérent, et qui se trouve par ailleurs être la
traduction littérale de l'équivalent dans les autres langues romanes ou en anglais : « diritti
umani » (italien), « derechos humanos » (espagnol), « direitos humanos » (portugais),
« humanrights » (anglais).
La dénomination française héritée du XVIIIe siècle est la seule parmi les langues
romanes à véhiculer l'ambiguïté entre droits de l'homme « mâle » et droit de l'homme « être
humain », alors que le mot latin homo dont elle découle étymologiquement désignait plutôt
l'être humain (l'homme mâle étant désigné par le mot vir). L’homme réfute ces arguments
dans un avis daté du 19 décembre 1998 et la dénomination traditionnelle reste la plus utilisée
en France.
Cela dit, les Français utilisent souvent l'expression « droits des femmes » lorsqu'il est
explicitement question de femmes, ce qui rajoute à l'ambiguïté d'origine en suggérant que les
femmes auraient des droits différents de ceux des hommes. Pour sortir de ces ambiguïtés,
même en France certains, comme le Mouvement français pour le planning familial (MFPF),
proposent de parler de « droits de la personne », comme on le fait au Canada ; Amnesty
International en France a explicitement choisi de parler de « droits humains » comme le fait la
section suisse de cette organisation dans ses publications en français. Il est à noter que les
autorités suisses utilisent régulièrement, au plus haut niveau, l'expression « droits humains »
plutôt que « droits de l'homme »
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CHAPITRE II- L’IMPACT DES PROBLEMES A
L’UNIVERSALITE DES DROITS DE L’HOMME
Donc au niveau d’où sur le plan du Droit de l’homme qu’ils ont censés que le droit de
l’homme comme un arme ou moyen c’est –à –dire le droit de l’homme présume un texte
fondamental à régler le litige ou conflits à l’Etat, au droit des individus, au droit politique, au
droit civil. Puisque de droit de l’homme possède une particularité de protéger individu. De
toute face la conception de l’Est constitue De conception individualisme. Par exemple, s’il
y a des problèmes selon le droit des enfants, le droit de l’homme tient une place important
par rapport au autre droit qu’il y a lien.
Par contre, sur le pays socialiste relève la considération de l’ensemble des individus ou
des personnes.
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B-LES ENTRAVES ECONOMIQUES
Cet insuffisance des besoins fondamentaux est souvent concerner le pays sous
développer. Les besoins fondamentaux sont les aliments, alphabétisations, soins sanitaires, le
logement, l’emploi, et la répartition équitable de revenu.
Par exemple les taux d’analphabètes sont plus élevés ,par conséquents ils obtient des
entraves .
Donc, la majorité de la population mondiale vit dans les misères, telles la malnutrition,
sous nutrition, an alphabétisation et de chômage. Etant donné que la plupart des pays africains
se trouvent à cette situation les besoins fondamentaux de l’individu restent à critiquer.
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Par exemple en 1994, 35 Etat Africains avaient ratifié le pacte sur les droits civil et
politique des nations Unis, mais seulement 20 avaient accepté le droit de recours individuel
devant le comité de droit de l’homme.
La notion de réserve selon l’article 2 alinéa 1er de la convention de Vienne est une
déclaration unilatérale modifiant ou excluant les effets juridiques de certaines dispositions du
traité à l’égard de celui qui a fait la réserve. Cette expression ne désigne qu’un Etat s’engage
qu’à une partie des conventions qui la ratifié. En effet le pouvoir de faire des réserves est une
compétence discrétionnaire des Etats.
Malgré, l’établissement des ratifications envers des traités, l’unanimité à toutes les
dispositions n’est pas satisfaisante.
Depuis l’évolution de l’acceptation des réserves en 1945 les Etats réservataires fait partie du
traité même s’ils n’exécutent pas tous les articles, comme à la convention sur la prévention et
répression des crimes de génocides plus les réserves sur la déclaration fait à l’égard de
l’article 27 relative à la protection des minorités.
Les réserves sont les facteurs de blocage de droit de l’homme car si un pays fait la réserve
cela veut à l’inégalité de ratification.
Le cas du pacte sur les droits
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CONCLUSION
En guise de conclusion, le sujet à laquelle on s’est attelé à résoudre est d’une
importance capitale dans le cadre de la relation humaine et dans les relations internationales
car elle touche le droit de l’homme un corpus de norme opposable à tous Etat quel que soit sa
nationalité, son origine ou encore son sexe.
Bref, Tous ces problèmes que l’on de l’homme entrave peuvent être surmontés, tout
dépend de notre volonté .Et donc si tous ceci seront appliqués, serait-il suffisant pour faire
face ce problème ? Il semble que oui, mais reste savoir comment désormais les sceptiques ?
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LISTE DES ABREVIATIONS
UA : Union Africaine
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BIBLIOGRAPHIE
WEBOGRAPHIE :
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SOMMAIRE
INTRODUCTION…………………………………………………….….1-2
CONCLUSION……………………………………………………………………………..18
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TABLE DES MATIERES Pages
INTRODUCTION…………………………………………………….….1-2
CONCLUSION……………………………………………………………………………..18
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