Vous êtes sur la page 1sur 12

1

INTRODUCTION

Le concept « droits de l’homme » décrit les droits inhérents à tous les êtres humains en raison
de leur nature humain. Les droits de l’homme sont une série de droits moraux fondamentaux
considérés comme nécessaires à la vie de l'homme dans sa dignité et sont fondés sur le respect
de l’égalité et de l’autonomie des individus.

Les droits de l’homme sont :

● Universels : ils appartiennent à toutes les personnes, partout, quelle que soit l’origine
ethnique, le sexe, la nationalité, la religion, la langue, la classe sociale ou tout autre
statut.
● Inaliénables : on ne peut pas y renoncer, ils ne sont insusceptibles d’être perdus ou
abandonnés.
● Indivisibles, interdépendants et étroitement liés : ils sont intrinsèquement liés et ne
doivent pas être considérés isolément les uns des autres.

Les droits de l’homme appartiennent à tous les êtres humains de manière égale. Cependant, en
pratique, tous les êtres humains ne bénéficient pas de la protection de leurs droits d’une
manière universelle. Par exemple, même si tous les êtres humains ont le droit d’être à l’abri de
traitements inhumains ou dégradants, il existe des personnes dans le monde souffrant dans des
prisons surpeuplées et insalubres, sujettes à des punitions humiliantes et torturées. Ces
personnes n’ont pas perdu leurs droits ; ces leurs droits qui ont été violés.

Il est important de distinguer les droits moraux des droits légaux. Toutes les choses désirables,
ou « justes » au sens de « bonnes » ne sont pas des droits de l’homme légaux. Par exemple, il
serait idéal que toutes les personnes aient la possibilité d’apprendre à jouer d’un instrument
musical. Cette possibilité constituerait un bien moral, insusceptible d’être qualifié de droit,
s’agissant d’un désir (le « droit » d’apprendre à jouer). Il n’existe pas de droit de l’homme
protégeant ce bien désirable. Les droits de l’homme structurent des relations entre le peuple et
l’État et indirectement, entre une personne et une autre.

Il sied de noter qu'il existe 3 générations des droits de l'homme, à savoir :

Première génération : droits civils et politiques


- Les droits civiles sont des droits personnels (ex : droit à la vie, liberté d'expression, liberté
de religion, etc.). --
2

- Les droits politiques sont des droits qui permettent aux citoyens d'un Etat de participer à la
vie politique (ex: droit de vote, droit de résistance à l'oppression).

Deuxième génération: droits économiques, sociaux et culturels

- Les droits économiques sont des droits relatifs aux conditions économiques essentielles à
une vie digne et libre (ex : droit au travail, droit à un niveau de vie adéquat, droit au
logement).

- Les droits sociaux sont des droits essentiels à une pleine participation à la vie sociale (ex :
droit à l'éducation, droit de fonder une famille, droit de subvenir à ses besoins).
- Les droits culturels sont des droits reconnus à chaque personne de vivre et exprimer sa
culture (ex : droit de prendre part à la vie culturelle de la communauté).

Troisième génération: droits collectifs ou de solidarité


Les droits collectifs ou de solidarité sont des droits exercés par une communauté en tant que
telle (ex : le droit à un environnement sain, le droit à un développement durable, le droit à la
paix).

NB: la déclaration universelle des droits de l'homme adoptée par l'assemblée générale des
Nations Unies le 10 décembre 1948, est le texte fondateur des droits de l'homme.
Malheureusement, ce texte n'avait pas un caractère contraignant puisqu'il n’était qu'un simple
texte de déclaration. Ainsi, l'assemblée générale des Nations Unies a adopté la charte
internationale des droits de l'homme, laquelle avait un caractère contraignant. Cette charte
comprenait :
- La déclaration universelle des droits de l'homme.
- Le pacte international relatif aux droits civils et politiques.
- Le pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels.
- Deux protocoles facultatifs.

Après cette présentation exhaustive du concept « droits de l’homme », nous en sommes au


point où nous devrons aborder nos deux chapitres relatifs à notre sujet, lesquels sont :

● CHAPITRE 1. La protection juridique des droits de l’homme en RDC


● CHAPITRE 2. La protection juridique du droit à la vie privée de la
personne humaine en RDC
3

CHAPITRE 1. LA PROTECTION JURIDIQUE DES DROITS DE


L'HOMME EN RDC

La préoccupation qui est nôtre, dans cet article, est le respect et la sauvegarde des droits de
l’homme en RD Congo. Il vise à faire un recensement des prescrits légaux dans différentes
époques qu’a connu le pays pour déceler et évaluer comment les droits de l’homme ont évolué
dans notre pays la République Démocratique du Congo.

La RD Congo a connu des événements dans son histoire, ceux-ci ont été suscités et guidé par
la colonisation, la dictature, la transition démocratique, tout comme aussi la démocratie, ils
font partie de son histoire qui est à la base de mouvements d’idées qui ont portés leur
influence sur les différentes manière de concevoir les constitutions ainsi que les différentes
lois dans ce pays.

Les textes régissant toutes ces époques ont été adoptées dans des contextes non favorables à
l’émergence des droits de l’homme. Il est donc important de s’interroger sur la manière dont
les droits de l’homme ont été agencés dans ces différentes législations et ce, quelles que soient
leur source, et surtout malgré la diversité des sources des droits humains (nationale, régionale
et internationale), que l’on retrouve généralement et le plus souvent dans divers instruments
juridiques, les mêmes droits sous des formulations diverses.

C’est dans un souci pédagogique que les droits de l’homme sont répertoriés dans la législation
congolaise dans différentes époques de son histoire. Ces droits inhérents à la personne
humaine, et surtout affirmant la personne ou l’individu face à l’Etat mieux, c’est les droits de
l’individu sur le plan civil et politique. Ils sont inaliénables, généraux, imprescriptibles et
opposables à l’Etat.

Pour parvenir à aborder cette problématique, il est important de s’appuyer sur différentes
constitutions, lois ou autres documents, ceux-ci pour nous permettre d’apporter plus de
lumière. Et cela dans une démarche compréhensive avec une méthodologie documentaire,
voilà en quoi cet article consistera.

Pour une bonne analyse du respect et de la sauvegarde des droits de l'homme en RDC, nous
avons jugé bon de se prononcer suivant les périodes ci-après :
Du 24 Avril 1990 au 17 Mai 1997 ;
Du 17 Mai 1997 au 4 Avril 2003 ;
Du 04 Avril 2003 à la 3ème république
4

SECTION 1. Du 24 Avril 1990 au 17 Mai 1997

Pendant cette période, notre pays avait comme constitution, l’ACT de la CNS qui, dans son
2ème titre, se rapporte aux droits fondamentaux de l’Individu.

SECTION 2. Du 17 Mai 1997 au 4 Avril 2003.

Ici, c’est le décret-loi constitutionnel nº003/97 qui a régi le Congo ; et il est indiqué que les
droits universellement reconnus à l’Homme sont garantis, d’autre part l’article 14 du texte
précité indique que sont abrogées toutes les dispositions légales et règlementaires contraires à
ce décret-loi constitutionnel.

De ce fait, nous pouvons nous permettre de penser à juste titre que dans l’esprit du législateur,
toutes les dispositions antérieures non contraires au décret-loi constitutionnel précité sont
valables ; il en est ainsi du titre II de l’A.C.T à ce qu’il se rapporte aux droits fondamentaux
de l’individu.

SECTION 3. Du 04 Avril 2003 à la 3ème république

Pendant cette période, il sied de rappeler que c’est le dialogue inter congolais qui a accouché
d’une constitution de cette phase transitoire à la RD Congo ; et, celle-ci (la constitution) du 04
Avril 2003.

Ainsi, le titre III de ladite constitution est intitulée « des libertés publiques, des droits et des
devoirs fondamentaux du citoyen » ; par-là, il y a lieu d’affirmer que cette période reconnait
et respecte les droits de l’Homme.

Comme nous l’avons dit précédemment, la Constitution du 18 février 2006, consacre des
avancées significatives sur l’indépendance de la justice (socle et fondement de la sauvegarde
et du respect des droits de l’homme).

C’est pourquoi, il serait indiqué de considérer que la 3ème République naissante est favorable
au respect et à la sauvegarde des droits de l’homme. Il reste enfin que cette volonté soit
concrétisée dans les faits.

En l’occurrence, le titre II de ladite constitution s’intitule : « Des droits humains, des libertés
fondamentales et des devoirs du citoyen et de l’Etat ».

Une autre illustration de cette affirmation tient à la place réservée aux droits de la femme. En
effet, longtemps marginalisée, la femme congolaise se voit restituer dans tous ses droits civils
5

et politiques tant cette constitution consacre expressément la parité homme-femme au sein de


futures institutions aussi bien nationales, provinciales que locales.

La même constitution laisse à l’article précité le soin aux pouvoirs publics de veiller à
l’élimination de toute forme de discrimination à l’égard de la femme et de prendre des
mesures pour lutter contre toute forme de violences faites à la femme dans la vie publique et
dans la vie privée affirmant ce faisant, que la troisième république qu’elle va régir, entendant
restaurer à la femme (congolaise) toute sa dignité.
6

CHAPITRE 2. PROTECTION JURIDIQUE DU DROIT A LA VIE


PRIVÉE DE LA PERSONNE HUMAINE EN RDC

Chacun de nous a le droit de garder secrète l'intimité de son existence, afin de ne pas être livré
en pâture à la curiosité publique. Personne ne peut donc s'immiscer dans ce domaine contre le
gré de l'intéressé.

Section 1. Notions

Il n'existe pas de définition légale de la « vie privée », cependant les juges ont délimité les
contours de cette notion en considérant comme des atteintes à la vie privée toutes les
informations faisant intrusion dans l'intimité de la personne, notamment :

- Les relations sexuelles : tout individu a le droit d'organiser librement sa vie sexuelle.
A ce titre, l'information sur l'homosexualité rentre dans le cadre du respect de la vie
privée et de la non-discrimination ;
- La vie sentimentale : l'immixtion dans la vie sentimentale d'une personne (liaison,
divorce, rupture etc.) peut faire l'objet de poursuites judiciaires ;
- La vie familiale : l'ingérence dans la vie familiale, et en particulier la divulgation
d'informations telles que la correspondance, la domiciliation, les lieux de vacances, la
maternité, le PACS, est prohibée. Sont ainsi répréhensibles les photographies
représentant une personne se trouvant dans un lieu privé (à plus forte raison à
domicile) ;
- Situation financière : la révélation d'informations sur la situation financière d'un
individu et de sa famille tombe sous la protection de la vie privée ;
- Souvenirs personnels : les anecdotes et confidences appartiennent au domaine de la
vie privée. Seule la personne concernée est en droit de décider de leur publication ;
- Etat de santé : le secret médical, s'appliquant à tous les professionnels de santé, est une
obligation de discrétion visant au respect de la vie privée des patients.
- Convictions politiques ou religieuses : les opinions politiques et croyances religieuses
des personnes font l'objet d'une obligation au secret.

Le droit au respect de la vie privée n'est pas absolu ; il est empreint d'une flexibilité nécessaire
à « la balance des intérêts en présence ». Ainsi personne ne peut se plaindre d'une atteinte à
laquelle elle a préalablement et expressément consenti et si l'intérêt légitime de l'information
justifie la publication litigieuse. Un certain nombre de droits fondamentaux sont inséparables
7

de la personnalité humaine. Ce sont notamment le droit au nom, le droit sur les lettres
missives, le droit à l'intégrité physique, le droit moral de l'auteur et, dans le domaine qui nous
intéresse, le droit à l'image, le droit à l'honneur ou le “droit au secret”.

Section 2. La protection juridique du droit à la vie privée de la personne humaine


en RDC

L'idée d'une quelconque intérêt sur la vie privée d'une personne est une résolution assez
lointaine, mais, sa juridicité est l'une des créations de la modernisation. En RDC, la
constitution prévoit en son article 17 : « La liberté individuelle est garantie. Elle est la règle, la
détention l’exception.», ceci dit, il est prévu selon la constitution du que toute personne est
libre, d'où elle doit détenir son intimité sans être victime d'une violence quelconque. Plusieurs
législations du monde organisent la question de la vie privée. Il conviendra pour ce faire de
cerner le développement de cette analyse selon qu'il s'agit du droit international, du droit
régional et du droit interne. Il sied de noter qu'en dépit de toutes ces dispositions, le droit à la
vie privée garde son caractère non absolu.

Les Etats sont tenus de garantir les droits de l'homme, c'est-à-dire de veiller à ce que ceux-ci
deviennent le plus possible une réalité pour leurs titulaires. Cela nécessite, selon les
circonstances, des mesures légales ou administratives qui créent les conditions juridiques,
institutionnelles et procédurales nécessaires pour que le droit puisse être pleinement réalisé.
L'article 17 du pacte prévoit le droit de toute personne à être protégée contre les immixtions
arbitraires ou illégales dans sa vie privée, sa famille, son domicile et sa correspondance ainsi
que contre les atteintes illégales à son honneur et à sa réputation.

Les obligations imposées par cette disposition exigent à la RD Congo l'adoption des mesures
d'ordre législatif ou autres, destinés à rendre effective l'interdiction des immixtions et atteintes
à la protection de ce droit.

L'Etat congolais doit donc elle-même s'abstenir d'agissements non conformes et créer le cadre
législatif nécessaire pour empêcher que des personnes physiques ou morales ne s'y livrent.
Voilà pourquoi le comité estime fondé le fait que doivent figurer dans les rapports, des
renseignements sur les autorités et organes prévus par le système juridique interne du pays qui
ont compétence pour autoriser les immixtions admises par la loi.

La RD Congo est donc tenue à mettre en place des mesures compatibles avec les obligations
inhérentes à la Déclaration et au Pacte. Le système juridique national servira alors à fournir la
8

protection juridique principale du droit à la vie privée garantit par le droit international. Ainsi,
lorsque les procédures juridiques internes ne remédient pas aux violations des droits, les
mécanismes et procédures pour traiter les plaintes individuelles et des groupes au niveau
régional ou international seront alors déclencher pour veiller à ce que les normes
internationales de droits de l'homme soient effectivement respectées, mise en œuvre et
appliquées au niveau local.

§1. Le principe de protection de la vie privée dès la conception

Les initiatives d'autoréglementation des sociétés commerciales ne vont pas en soi en matière
de la vie privée parce que, pour la plupart des fournisseurs d'accès à internet et des
fournisseurs de service en ligne, les intérêts commerciaux le poussent tous dans le sens
contraire à l'exception du poids de l'opinion publique qui ne représente un frein puissant que
pour un nombre restreint d'entreprises. C'est pourquoi, de nombreux commentateurs se
montrent sceptiques à l'égard des efforts d'autoréglementation.

Cependant, il est possible de prétendre à une stricte protection de la vie privée grâce à une
meilleure application des principes par les autorités dans la pratique étant donné que les
utilisateurs des services technologiques d'informations et de communications à savoir ; les

entreprises, le secteur public et plus encore les personnes physiques ne sont pas en mesure de
prendre eux-mêmes les mesures de sécurité appropriées pour protéger leurs propres données à
caractère personnel ou celles d'autres personnes. Par conséquent, ces services et technologies
doivent être conçus avec un paramétrage par défaut favorable au respect de la vie privée.

Les initiatives d'autoréglementation des sociétés commerciales ne vont pas en soi en matière
de la vie privée parce que, pour la plupart des fournisseurs d'accès à internet et des
fournisseurs de service en ligne, les intérêts commerciaux le poussent tous dans le sens
contraire à l'exception du poids de l'opinion publique qui ne représente un frein puissant que
pour un nombre restreint d'entreprises. C'est pourquoi, de nombreux commentateurs se
montrent sceptiques à l'égard des efforts d'autoréglementation.

Cependant, il est possible de prétendre à une stricte protection de la vie privée grâce à une
meilleure application des principes par les autorités dans la pratique étant donné que les
utilisateurs des services technologiques d'informations et de communications à savoir ; les
entreprises, le secteur public et plus encore les personnes physiques ne sont pas en mesure de
prendre eux-mêmes les mesures de sécurité appropriées pour protéger leurs propres données à
9

caractère personnel ou celles d'autres personnes. Par conséquent, ces services et technologies
doivent être conçus avec un paramétrage par défaut favorable au respect de la vie privée.

La prise des mesures législatives adaptées à la protection de la vie privée et l'établissement


d'un cadre législatif autonome repousse déjà les limites de la démocratie délibérative et du
débat.

§2. Mesures législatives adaptées et l'établissement d'un cadre législatif autonome

La prise des mesures législatives adaptées à la protection de la vie privée et l'établissement


d'un cadre législatif autonome repousse déjà les limites de la démocratie délibérative et du
débat.

En outre, il est prévu que les renseignements concernant la vie privée d'individus sur des
ordinateurs dans la banque des données (ci-après : publique ou privée) soient réglementés par
la loi. Obligation est donc faite aux Etats de prendre des mesures efficaces afin que ces
renseignements ne tombent pas dans les mains des personnes non autorisées par la loi ou
encore que toute incursion arbitraire dans la banque des données personnelles fasse l'objet
d'une infraction. Cette infraction n'étant pas encore prévue dans notre droit constitue un grave
manquement de la RDC aux obligations fondamentales qui lui incombe dont celle de
protection.

Il est donc souhaitable de criminaliser cette pratique et de l'ériger en infraction afin que
chaque individu puisse recevoir protection de ses renseignements ou données privées stockées
dans sa banque personnelle.

La vie privée ne peut recevoir une meilleure protection que s'il existe une loi spéciale
protégeant particulièrement chacun des éléments qui rentre dans ce cadre. Au paragraphe 9 de
l'observation générale sur l'article 17 du Pacte, le Comité avait déjà mis en place une
obligation aux Etats, celle de créer un cadre législatif nécessaire pour empêcher la violation
des droits garantis par le Pacte lorsque les possibilités de violation se dégagent inévitable.
10

Conclusion

La protection juridique du droit de l'homme en RDC est une notion qui a une importance
internationale avec obligation de la respecté, mais malheureusement malgré les nombreuses
tentatives, les moyens misent en œuvres pour la bonne réalisation et sauvegarde de celle-ci, le
respect de la protection juridique du droit de n'avait toujours pas eu lieu.

Chaque période a contribué, du moins a essayé de contribuer au respect de la protection du


droit de l'homme à sa manière et avec ses propres méthodes, faut croire que ça n'a vraiment
jamais réussi. Dans certaines périodes la promesse du respect des droits de l'homme s'avérait
souvent être un leurre, une fausse promesse pour garantir et préserver sa souveraineté comme
fut le cas de beaucoup des démagogues. Nous concluons en disant que la protection juridique
des droits de l'homme en RDC est un concept approuvé mais non respecté et mit en pratique
par beaucoup par beaucoup des gouvernements de certaines périodes de notre pays, avec le
régime totalitaire de la période période coloniale, l'inéxpertise de la première république et la
dictature de la deuxième république le respect des droits de l'homme n'était subjectif comme
une mœurs. Mais l'avènement de la période de la transition et de la 3ème république a changer
l'angle au quel on voyait autrefois le respect et la protection des droits de l'homme, notre
gouvernement a adopté des nouvelles lois sur le respect des droits de l'homme et les a
protégées en les rendant coercitives.
11

BIBLIOGRAPHIE

1. NGONDANKOY NKOY-EA-LOONGYA, Droit congolais des droits de l’homme,


éditions Academia, 2012.

2. PATIENT MPUNGA BIAYI, La protection des droits de l’homme en République


Démocratique du Congo, éditions l’Harmattan, 2021.
12

TABLE DES MATIERES

INTRODUCTION……………………………………………………………………………..1

CHAPITRE 1. LA PROTECTION JURIDIQUE DES DROITS DE L'HOMME EN


RDC…………………………………………………………………………………….……...3
SECTION 1. Du 24 avril 1990 au 17 mai
1997……………………………………………………...…………………………………......4
SECTION 2. Du 17 mai 1997 au 04 avril
2003………………………………………………….………………………………....………4
SECTION 3. Du 04 avril 2003 à la 3ème
république…………………………………………………………………………..…………..4

CHAPITRE 2. PROTECTION JURIDIQUE DU DROIT AU RESPECT DE LA VIE


PRIVÉE DE LA PERSONNE EN
RDC………………………………………………………….…..………………………….....6
SECTION 1.
Notions………………………….…………………………………………..…………….........6
SECTION 2. Protection juridique du droit à la vie privée de la personne humaine en
RDC……………………………………………………………………….…………………...7
§1. Le principe de protection de la vie privée dès la
conception………………………………………………………………………….………......8
§2. Mesures législatives adoptées et l'établissement d'un cadre législatif
autonome………………………………………………………………………………….........9

CONCLUSION……………………………………………………………………………….10

BIBLIOGRAPHIE……………………………………………………………………………11

TABLE DE MATIERE…………………………………………………………………….…12

Vous aimerez peut-être aussi