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UNIVERSITÉ CATHOLIQUE DU CONGO

FACULTÉ DE DROIT

Travail pratique d’ECONOMIE POLITIQUE

Sujet : ÉVOLUTION DE L’INFLATION AU SEIN L’ECONOMIE


CONGOLAISE

Travail rédigé par : NJIBA KABALA BENEDICT


SAFI ZAWADI DEBORAH
KIMINU N’SITA JAEL
KUMBI MBALO CYNTHYA
MESIA YA NZAMBI EDARSY
ANASAKA ORADI MARIE-HELENE
TSHIBANDA MUSWAMBA SAMUEL
KASHEMWA LOANGO PLAMEDI
ILUNGA KITOMPA NEHEMA
MAKAYA MBO RUTH

DIRIGÉ PAR LE PROFESSEUR MALUKISA NKUKU Albert


L’inflation a d’abord été considérée comme un désordre attribué à l’augmentation de la masse
monétaire en circulation. C’est le point de vue théorique avancé par l’école quantitativiste au
19 siècle, à la suite d’Irving Fisher et, au 20 siècle avec l’école monétariste.
Un excès de masse monétaire créé par les banques commerciales ou par le financement du
déficit public par la banque centrale est à l’origine de L’inflation. Cette dernière est donc
alimentée par un excès de demande et la dépréciation du taux de change.
Définition des concepts
L’inflation sur le plan économique C’est lorsque les prix des biens et des services varient.
Certains augmentent, d’autres diminuent. On parle inflation lorsque le prix augmente
globalement, et non uniquement les prix de quelques biens et services.
L’inflation de la demande est causée par un déséquilibre entre la demande et l’offre. Si la
demande d’un produit ou d’un service essentiel excède l’offre, et que les producteurs ne
peuvent ou ne veulent pas augmenter immédiatement la production alors l’excès de la
demande va conduire à l’augmentation des prix. Un phénomène d’inflation peut être provoqué
par une hausse de la demande de biens ou de services augmente, mais que l’offre elle,
n’augmente pas. L’exemple le plus flagrant est peut être L’inflation des prix de l’immobilier.
Problématique
La problématique de l’inflation en RDC se résume par le fait que les taux trop élevé d’expansion
monétaire par rapport aux taux de croissance réelle de l’économie , la RDC a des routes délabrées et
cela influence négativement l’économie congolaise pour la facilité du transport, toute la production est
axé sur le domaine minier, ainsi, il y a plus d’importation des denrées nécessaire ce qui entraine la
dévalorisation de la monnaie locale
Approche de l’état de l’inflation
Les taux d’inflation sont fixés par qui en RDC?
Le taux d’inflation en RDC est fixé par le fonds monétaire international en sigle FMI qui a révisé ses
prévisions de croissance économique à la hausse pour la République Démocratique du Congo.
L’institution table désormais sur de taux de 5,4%et 6,2% respectivement en 2021 et 2022.
Ses principales composantes sont les produits industriels non énergétiques(ou produits de base) les
services. Les ralentissements de L’inflation de ces deux composantes a probablement des sources
différentes.
L’inflation à été mieux maîtrisée résultant en une baisse de 11,4% en 2020 à 9,3% en 2021, avec un
objectif de 7% ce qui est permis à la banque centrale de baisser son taux préférentiel de 18,5% à 8,5%
en 2021. Dans les lignes suivantes, nous allons détailler la problématique de l’inflation en RD. Congo,
en parcourant l’histoire économico-politique du pays.
2. les ciblages spatiaux-temporels en termes de politiques économique
Le taux d'inflation a été en République Démocratique du Congo, depuis des cinquantaines d'années, un
revers d'instabilité continue. Le taux d'inflation, qui, partant de notre cours d'économie politique en
son chapitre premier, est un indicateur macroéconomique qui mesure le taux d'augmentation des prix
au cours d'une période donnée et aussi, est la perte de la valeur de la monnaie qu'on observe
notamment par une hausse de prix. Le débat sur les indicateurs avancés d’inflation est au cœur de
l‟analyse monétaire depuis les années 90 avec l’adoption du régime de ciblage d’inflation comme
cadre de référence dans la conduite de la politique monétaire.
Par indicateurs avancés d‟inflation, il faut entendre un ensemble de variables économique et financière
qui ont pour fonction de transmettre à la banque centrale les informations sur les variations actuelles et
futures du niveau général des prix. Et l'on ne peut pas parler d'inflation sans éclairer sur le sujet des
indicateurs utilisés dans les banques centrales en rapport avec celui ci, tel que La croissance de la
masse monétaire (Cette variable est traditionnellement considérée comme un indicateur avancé de
l'inflation), Le taux de croissance de la consommation publique (utilisé comme proxy du déficit
budgétaire afin de mieux mesurer l'impact de la politique budgétaire sur l'inflation), L'indice du taux
de change (C'est un indicateur par lequel les chocs externes influent sur le niveau de l'inflation. Le
suivi de cet indicateur dans une petite économie ouverte à régime de change flexible semble
intéressant pour l'orientation de la politique monétaire), Le taux croissance de l'économie, PIB.
3. Résultats des recherches
La stabilité des prix constitue l'objectif prioritaire de la plupart des Banques Centrales modernes. Cet
objectif est, le plus souvent, un principe de la législation nationale ou sous régionale qui oblige bon
nombre des Banques Centrales à garantir la stabilité des prix c'est-à-dire, assuré que le taux de
variation des prix soit faible et régulier. La sous région CEMAC, comme la plupart des regroupements
économiques et monétaires a adopté une directive entrée en vigueur en 2002 stipulant que le taux
d'inflation en moyenne annuelle ne devra pas excéder 3 %. Ainsi, la maîtrise de l'évolution des prix
devrait être l'un des objectifs auxquels les pays de la CEMAC doivent accorder une importance
particulière. Mais, l'actuelle tendance inflationniste observée dans l'économie congolaise mérite une
attention toute particulière.
Il ressort de nos analyses qu'à court et long terme le coefficient du taux de change présente un signe
négatif et est statistiquement significatif au seuil de 1%. Cela traduit une dépréciation persistante de la
monnaie nationale face au dollar. On constate alors que toute dépréciation de 1% de la monnaie
nationale entraîne une hausse de prix de 1,8% à court terme et 0,26% dans le long terme. Ce résultat
s’accorde avec celui obtenu en chine où le taux de change joue aussi un rôle dans la formation des
anticipations d’inflation et possède un impact très significatif sur l’inflation (S. GUERINEAU et S. G.
JEANNENEY, 2003).
Ce résultat peut s’expliquer par le fait que le pays étant caractérisé par un niveau élevé de
dollarisation, la dépréciation du franc congolais face au dollar amène les agents à se dessaisir de la
monnaie nationale au profit de la devise, plus précisément le dollar américain, pour préserver un
minimum de pouvoir d'achat surtout que le panier de calcul de l'indice des prix à la consommation est
essentiellement constitué par les biens et services importés.
Il s'en suit que les anticipations à la hausse de la demande des devises accélèrent la dépréciation de la
monnaie nationale. Comme les prix des biens et services sont indexés sur l'évolution du taux de
change, ils sont à leur tour revus à la hausse ; ce qui finalement entraîne l'inflation.
Le taux de croissance de la masse monétaire présente un coefficient positif et statistiquement
significatif seulement à long terme au seuil de 1%. Ce résultat révèle qu'un accroissement de 1% de la
masse monétaire se traduit par une augmentation 2,7% du niveau de prix. Il s'ensuit alors qu'à long
terme le processus inflationniste en R.D.Congo est expliqué par l'expansion monétaire
conformément à la prédiction théorique. (S.BRANA, 1999 ; J.BAUMGARTER, 1995 ;
F.BARARUZUNZA). Il ressort de nos analyses que si la relation entre l‟inflation et le déficit
budgétaire est très faible à court terme, à long terme, la variation du niveau général des prix est
fortement expliquée par le déficit budgétaire. Son influence positive est significative au seuil de 5%. Il
apparaît donc qu’un accroissement de 1% du déficit budgétaire entraîne une augmentation de 0,89%
de l'inflation. Ce résultat trouve sa justification dans le recours accru à la monétisation du déficit
budgétaire qui demeure un des facteurs très aggravant de l'inflation en R.D.Congo (F.SYLLA ET
SALL, 2007). Cependant, nous pouvons faire une approche détaillée sur l'économie et l'inflation de la
nation depuis son indépendance.
Les grandes évolutions de l'économie nationale peuvent être circonscrites en quatre périodes à savoir :
● 1959 - 1973 : croissance et inflation modérée
● 1974 - 1988 : ralentissement de la croissance et inflation ouverte
● 1989 - mai 1997 : déclin de la croissance, destruction des richesses et hyper inflation
● Après mai 1997 - 2001 : déflation et hyper inflation
● 2002 à nos jours : reprise de la croissance et inflation sous contrôle
La première période sous entend des efforts consentis pour un redressement économique qui ont
permis un rehaussement de la croissance économique ainsi avec une coïncidence d'un environnement
international favorable porté par la hausse du cours de cuivre. Ce dit, des résultats positifs ont été
observés à la suite de ces efforts et on enregistra une croissance de PIB réel de 2,7% et une hausse
générale de prix de 27% en moyenne annuelle. La seconde période a été marquée par une croissance
de 0,03% et une inflation de 57,6% en moyenne annuelle. Deux phases sont accouru de cette période ;
1. D'abord, la phase de 1974 à 1982 caractérisées par des mauvais choix en matière de politique
économique ayant abouti au surendettement du pays pour des fins de travaux publics (Inga 2, CCIZ,
sidérurgie de Maluku,...) sous le sceau de la corruption et de retro commission.
2. La phase de 1983 à 1989, reflète les efforts d'ajustement de l'économie grâce à la mesure
d'assainissement de la politique budgétaire et des efforts des réformes
Entreprises au niveau de la politique (libéralisation des taux d'intérêt), de la politique de change
(adoption du régime des changes flottants et de l'assouplissement de la réglementation de changes).
La période deuxio représente le déclin de l'économie et de la société congolaise, la longue transition de
la politique marque non seulement le couronnement de l'instabilité institutionnelle (plus de 12
gouvernements en l'espace de 10 ans) mais surtout des malaises sociaux (grèves, conflits
interethniques, événement de Lubumbashi,...) et économique (hyper inflation, pillage de 1991 et
1993,...). Au cours de cette période, le PIB réel a reculé de 4,5% en moyenne, la hausse des prix au
niveau national était de 2000% en moyenne, l'incidence de la pauvreté est établie en moyenne de 80%
et le taux de chômage de 84%
La période tertio partant de mai 1997, marque la prise de pouvoir de Laurent Désiré Kabila, qui,
entama un programme de reconstruction nationale et d'assainissement économico financière. Mais cela
ne put prendre vraiment de l'ampleur à cause de dettes encaissées par le pays. Durant toute cette
période, la problématique de l’assainissement des finances publiques était caractérisée par un échec
La quatrième période, était caractérisée par la reprise de la coopération multilatérale et bilatérale,
l’application des politiques économiques conjoncturelles restrictives et des réformes structurelles de
première génération. Comme conséquence : la maîtrise de l’hyperinflation (hausse du niveau général
des prix de 17% en moyenne annuelle, la relance de la croissance économique, la réduction de
chômage (passant de 84% à 40 % en moyenne) et la pauvreté de 80% à 63%. Cette période constitue
un tournant décisif pour l’économie congolaise, avec l’amélioration des taux de croissance
économique, atteignant un pic de 9,5% en 2014, associée à une baisse sensible des volatilités des prix
intérieurs et une relative amélioration de l’environnement des affaires. Ladite croissance s’est ralentie
à près de 2,5% du PIB en 2016, suite à la baisse sensible des cours des matières premières. Entre 2017
et 2019, ce taux de croissance est passé respectivement à 3,7% ; 5,8% et 4,6% occasionné par
l’augmentation sur le marché international des cours de certaines matières dont le cobalt. Pendant la
même période, l’inflation a été maintenue suite à une politique monétaire voire budgétaire orthodoxe.
En effet en l’absence des chocs extérieurs importants, le cadre macroéconomique est demeuré stable.
L’évolution du taux d’inflation se présente comme suit : 15,8% ; 4,4%
21,3% ;18,2% ;27,6% ;53,4% ;9,8% ;2,7% ;1,1% ;0,5% ;0,8% ;26% ;53% ;7,2% et 4,4%
Le Comité de politique monétaire (CPM) de la Banque centrale de la République démocratique du
Congo (BCC), réuni le 30 décembre 2021, projette une croissance de 6,1%, une inflation annuelle
autour de 5% et la poursuite de la relative stabilité de la monnaie nationale, le franc congolais, au titre
de l’année 2022.
Le taux d’inflation est passé de 15,8% en 2020 à 5,3% à la fin de l’année 2021 (CCE), cependant, le
Fonds monétaire international (FMI) a révisé ses prévisions de croissance économique à la hausse
pour la République démocratique du Congo. L’institution table désormais sur des taux de 5,4% et
6,2%, respectivement en 2021 et 2022. « Malgré la persistance de la pandémie de Covid-19,
l’économie se redresse », a-t-elle indiqué dans un communiqué publié à la suite d’une mission
conduite à Kinshasa entre le 20 et le 27 octobre 2021, pour la première revue de l’accord triennal au
titre de la Facilité élargie de crédit (FEC).
Le Premier Ministre congolais, Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge, a présidé, le mercredi 12 janvier
2022, à la Primature, la traditionnelle réunion du comité de conjoncture économique. Au cours de cette
séance de travail, le Comité de conjoncture économique a noté une amélioration sensible des
indicateurs macro-économiques. (PATRICK BOMBOKA)
« Il y a une nette amélioration de la situation économique du pays qui est passée du rouge en 2020 au
jaune à la fin de l’année 2021, lorsque nous examinons les paramètres économiques notamment le taux
d’inflation qui est passé en 2020 de 15,8% à 5,3% à la fin de l’année 2021. Le taux de croissance est
de 5,7% en 2021 contre 1,7% en 2020. Nous avons l’augmentation des recettes de la République qui
ont augmenté à peu près de 68%, passant à 11 800 milliards de CDF cette année-çi alors qu’elles
étaient à 7000 milliards de CDF en 2020. Ces paramètres là démontrent que l’évolution économique
est bien maîtrisée et vous verrez également qu’en termes de taux de change, nous avons bougé
simplement de 1,4% en 2021. Nous sommes aujourd’hui autour de 1999,11 CDF pour 1 dollar
américain. Ce qui est une bonne tenue de l’économie. », A déclaré Christian Mwando Nsimba qui en a
fait le compte-rendu.(PATRICK BOMBOKA)
Pour le Gouvernement congolais, a dit Mwando Nsimba, le challenge est que ces bonnes performances
économiques permettent d’améliorer le vécu quotidien des populations. Dans cette optique, le Premier
Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, a recommandé aux membres du Comité de conjoncture
économique, conformément aux instructions du Président de la République à la dernière réunion du
Conseil des Ministres, de s’activer en vue d’atteindre l’objectif visant à faire bénéficier à la population
les effets de la stabilité du cadre macro-économique. Maintenant la préoccupation et les instructions
reçues du Président de la République et du Premier Ministre c’est qu’on traduise justement ces bonnes
performances économiques dans le vécu quotidien des populations. Il s’agit notamment d’examiner
avec les ministres sectoriels la possibilité d’augmenter la production locale notamment en ce qui
concerne les produits de première nécessité. Il s’agit également d’avoir des investissements qui
permettent de pousser la croissance économique pour qu’au niveau le plus bas on se retrouve
également. La priorité c’est l’accès aux services socio-économiques de base notamment par le projet
de développement à la base de 145 territoires. Après une année de croissance modérée, 1,7 % en 2020,
l’économie a enregistré une expansion de 5,7 % en 2021, grâce à une hausse de la production minière
et aux prix mondiaux élevés des produits d’exportation tels que le cuivre et le cobalt. La croissance
des secteurs non extractifs est passée d’une contraction de 1,3 % en 2020 à une croissance de 3,3 % en
2021, grâce aux télécommunications, à l’énergie et aux services non commerciaux. La croissance du
pays est tirée par de fortes exportations de matières premières (11,5 %) et des investissements privés
(9,8 %). Malgré le niveau élevé des dépenses courantes (dépenses salariales dépassant leur budget de
10,9 %), la hausse de 39,3 % des recettes fiscales, grâce aux contrôles fiscaux et aux pénalités, a
relativement baissé le déficit budgétaire de 2,1 % à 1,6 % du PIB entre 2020 et 2021. La dette
publique reste toutefois modérée, à 22,8 % du PIB. L’inflation a été mieux maîtrisée résultant en une
baisse de 11,4 % en 2020 à 9,3 % en 2021, avec un objectif de 7 %, ce qui a permis à la banque
centrale de baisser son taux préférentiel de 18,5 % à 8,5 % en 2021. Le ratio des créances douteuses
par rapport au total des prêts bruts a diminué de 9,2 % à 8,8 % entre 2020 et août 2021. Les réserves
de change sont passées de 709 millions de dollars en 2020 à 3,344 milliards de dollars en 2021, en
partie grâce à la réception de 50 % de l’allocation de DTS de 1,52 milliard de dollars, le reste étant
affecté à des investissements prioritaires. Avec l’augmentation des exportations minières, le déficit de
la balance courante est passé de 2,2 % du PIB en 2020 à 1,0 % en 2021. Le chômage, tel que défini par
l’OIT, est passé de 4,7 % en 2012 à 3,0 % en 2020. La pauvreté monétaire a diminué de 63,4 % en
2012 à 56,2 % en 2020, grâce à une période de croissance économique solide.
Nous avons essayé d'illustrer graphiquement les propos que nous avons avancés ci dessous
Graphique n°1 : Evolution du taux de croissance du PIB de 2009-2019
Graphique n°2 : Projection du Taux de croissance du PIB (2019 – 2024)

Graphique n°3 : Evolution du taux d’inflation de 2002 à 2019

Graphique n°4 : Projection de l’évolution du taux d’inflation (2019-2024)


4. Conclusion
Ainsi nous pouvons dire que l’inflation en RDC est tout une histoire ayant connu des vrai haut et bas
qui ont influencé les conditions de vie de la population. Tout cela a été synonyme de la devalorisation
de la monnaie locale, le franc congolais. En somme, les recettes exceptionnelles.
En raison des conséquences énormes de l'inflation sur le bien-être social en R.D.Congo pendant des
nombreuses années, notamment le ralentissement de la croissance économique, la réduction de
l'attractivité de l'économie et donc de la compétitivité des entreprises nationales, il serait souhaitable
que les autorités monétaires congolaises de connivence avec le gouvernement annoncent de manière
explicite l'objectif quantitatif d'inflation, sous forme ponctuelle ou à travers une fourchette cible, qui
serait comptable avec un niveau de croissance durable.

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