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La liberté:

La place:
L’individu peut avoir connaissance de toutes les cause un instant T. Il suppose donc l’existence
d’une science de la totalité de l’univers, qui permettrai de rendre compte de la nécessité universelle.
-Elle démontre une thèse métaphysique.
Les stoïciens maintient l’importance de la nécessité tout en maintenant l’idée de liberté, mais ils ne
sont pas fatalistes. (Epictète)
Le destin gouverne tout dans la nature , «tout ce qui ne dépend pas de moi est nécessaire». Donc les
actes ne sont pas libres. Les choses qui arrivent je dois les accepter et accepter le destin. Etre libre
est avoir un détachement pour ce qui arrive, nos idées sont hors d’atteinte du destin.

Epictète→ celui qui espère que les choses soient favorables à lui → folie
→ celui qui accepte les évènements et sont destin→ libre → indépendance aux évènements,
«ça ne m’affecte pas»
L’inversion
Le pouvoir de penser est influencer par les autres qui nous entours. Nos pensées dépendent de notre
cerveau ainsi comment est ce possible d’envisager une liberté.

La critique du Fatalisme: Il y a une erreur logique nous consiste a croire que nos actions sont sans
effet. Hors selon le principe de causalité, toute action entraîne des effets et modifie la site des
évènements.

Le sentiment de ma liberté prouve-t-il que sois libre?


L’indétermination est un sentiments qui accompagne mes actions et les pensées que j’accepte et les
refus que j’impose à autrui. Le sentiment que j’éprouve est il une preuve de ma liberté. De
nombreuses disciplines nous explique. Ce sentiments est il une illusion?
Je peux vouloir exprimer ma liberté en agissant sans raison et pour rien. L’acte gratuit exprime la
pure volonté de son auteur. Dans le texte, le meutre gratuit est sans motif valable, qui est
complément imprévisible, qu’il croit libre parce qu’il est déterminé par rien. Un crime immotivé
don il remet la décision au hasard en se proposant un jeu don le crime est une issues possible. Est-ce
qu’il ne prend par pour absence de motif, la simple ignorance des vrais motifs de son acte. Est ce
qu’i ne se lance pas un défi? Est ce qu’il n’a pas au fond le désire de se prouver à lui même sa
liberté?

B-La liberté d’indifférence


On a l’image d’une balance qui reflete le fait de ne pas savoir faire de chois par soi même.
L’âne de Buridan→ qui a le choix entre de l’eau ou à manger→ il est mort de faim et de soif parce
qu’il ne savait pas lequel choisir
Des individus n’arrivent pas à arriver à un choix résolut
Descartes dit que c’est le plus bas degré de liberté, parce que ça revient à ne pas choisir, se ranger à
l’avis de quelqu’un d’autre alors qu’on ne sait pas si le choix fait par l’autre est pertinant où s’il a
fait un bon choix pour nous. C’est dommageable de laisser les autres faire un choix pour nous.
«L’irrésolution», est le plus grand des maux→ il prend l’exemple d’un homme perdu dans la foret:
incertitude prend un chemin, puis un autre parce qu’elle n’est pas sur de ce qu’elle fait et certitude
prendre un et même chemin qui va dans une même direction.
«Un des plus grandes liberté consiste dans une plus grande facilité de se déterminer mais aussi dans
un plus grand usage de cette puissance positive que nous avons de suivre le pire tout en voyant le
meilleur». Nous avons la liberté d’aller contre la morale.Selon Descartes si le choix est fait en
connaissance de cause, il est libre. On est davantage libre quand on distingue le bien et le mal que
quand on est indifférent.
Plus on a de raisons d’agir plus il est facile d’exercer la liberté.
C. Les hommes ont l’illusion d’être libres

Qui restreint la liberté à celle du sage, la plus part des êtres humains ne sont pas libres. La plus part
des hommes se font conduire par leur désirs. Ils en sont esclaves, mais ne le voient pas. Ils
confondent désirer et vouloir. Ainsi, ils croient ne pas être prisonnier e leur désirs car ils prétendent
pouvoir y renoncer. En réalité d’après Spinoza, quand un homme renonce à un désire, c’est quand il
est attiré dans autre.
La liberté de l’homme réside dans l’autonomie de son action, lorsque celle-ci résulte exclusivement
de sa propre essence, c’est une causalité parfaite selon Spinoza. La liberté désigne donc la
réalisation de soi et la nécessité de sa nature.

4/ La liberté n’est possible qu’au sein du déterminisme


a. Alain
Alain met l’accent sur le pouvoir du déterminisme sur les actions, pour soutenir la thèse selon
laquelle, notre liberté réside plus dans la fidélité au choix, que dans le choix lui même.

2) Impératif catégorique et impératif hypothétique


On appel impératif toute décision de la volonté qui prend la forme d’une obligation et qu’on peut
exprimer par le terme de devoir. Certain sont liés à une fin particulière et n’ont de valeur que par
rapport par cette fin. Par exemple: si tu veux rester en bonne santé, tu dois éviter de fumer
On appel cela l’impératif hypothétique, l’impératif ne se justifie que de la manière d’une
hypothèse→ (Si….. alors……).
Il ne concerne pas la moral, mais ce que Kante appel la Prudence.

3) Le respect:
Les rapport sociaux et inter subjectifs, amènent à utiliser les autres dans le cadre de son action. Les
èleves se servent de profs pour apprendre,… Rien de cela est en soit immoral. Ce qui serai immoral
par contre c serai de considérer autrui comme un moyen à sa disposition. Sans reconnaître qu’il est
d’abord à lui même sa propre fin. ET ce respect inconditionnel je me le dois aussi à moi-même. Et
c’est ce qui ammène Kante à nous donner une autre formule à l’impératif catégorique: Agis toujours
de telle sorte que tu traites l’humanité aussi bien dans ta personne que dans la personne de tout
autre. Toujours en même temps comme une fin, et jamais comme un moyen.
Le respect est une valeur absolu, un sentiment.

4) La liberté est une conquête:


Chacun à l’expérience de ses faiblesses, une forme de lâcheté, par lesquelles il renonce à être maître
de lui même. Il est toujours plus facile de se laisser influencer, que de décider de son propre chemin.
La liberté, la moralité, est le refus de l’ordre naturel. Il donne lieu a une lutte qui dépasse largement
le cadre de l’individu.
Si il n’y a pas de règle de d’action, il n’y à pas d’action possible.

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