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La place:
L’individu peut avoir connaissance de toutes les cause un instant T. Il suppose donc l’existence
d’une science de la totalité de l’univers, qui permettrai de rendre compte de la nécessité universelle.
-Elle démontre une thèse métaphysique.
Les stoïciens maintient l’importance de la nécessité tout en maintenant l’idée de liberté, mais ils ne
sont pas fatalistes. (Epictète)
Le destin gouverne tout dans la nature , «tout ce qui ne dépend pas de moi est nécessaire». Donc les
actes ne sont pas libres. Les choses qui arrivent je dois les accepter et accepter le destin. Etre libre
est avoir un détachement pour ce qui arrive, nos idées sont hors d’atteinte du destin.
Epictète→ celui qui espère que les choses soient favorables à lui → folie
→ celui qui accepte les évènements et sont destin→ libre → indépendance aux évènements,
«ça ne m’affecte pas»
L’inversion
Le pouvoir de penser est influencer par les autres qui nous entours. Nos pensées dépendent de notre
cerveau ainsi comment est ce possible d’envisager une liberté.
La critique du Fatalisme: Il y a une erreur logique nous consiste a croire que nos actions sont sans
effet. Hors selon le principe de causalité, toute action entraîne des effets et modifie la site des
évènements.
Qui restreint la liberté à celle du sage, la plus part des êtres humains ne sont pas libres. La plus part
des hommes se font conduire par leur désirs. Ils en sont esclaves, mais ne le voient pas. Ils
confondent désirer et vouloir. Ainsi, ils croient ne pas être prisonnier e leur désirs car ils prétendent
pouvoir y renoncer. En réalité d’après Spinoza, quand un homme renonce à un désire, c’est quand il
est attiré dans autre.
La liberté de l’homme réside dans l’autonomie de son action, lorsque celle-ci résulte exclusivement
de sa propre essence, c’est une causalité parfaite selon Spinoza. La liberté désigne donc la
réalisation de soi et la nécessité de sa nature.
3) Le respect:
Les rapport sociaux et inter subjectifs, amènent à utiliser les autres dans le cadre de son action. Les
èleves se servent de profs pour apprendre,… Rien de cela est en soit immoral. Ce qui serai immoral
par contre c serai de considérer autrui comme un moyen à sa disposition. Sans reconnaître qu’il est
d’abord à lui même sa propre fin. ET ce respect inconditionnel je me le dois aussi à moi-même. Et
c’est ce qui ammène Kante à nous donner une autre formule à l’impératif catégorique: Agis toujours
de telle sorte que tu traites l’humanité aussi bien dans ta personne que dans la personne de tout
autre. Toujours en même temps comme une fin, et jamais comme un moyen.
Le respect est une valeur absolu, un sentiment.