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SPINOZA (XVIIe siècle)

Selon Spinoza, l'homme n'est pas vraiment libre : citations « les hommes se croient libres car
ils ignorent les causes qui les déterminent » Éthique.

Explication : les hommes ont une impression de liberté, mais c’est qu'une illusion, car ils sont
soumis au déterminisme, ils n’ont pas conscience de ce qui les influence.

« L’homme n'est pas un empire dans un empire » Éthique.

Explication : l'empire est une métaphore pour parler de la nature. L’homme n'est pas une
exception dans la nature → soumis aux mêmes lois, règles que les autres êtres naturels.

SCHOPENHAUER (XIXe siècle)

Pour lui, nous sommes en quelque sorte les pantins (marionnettes) de la nature. La nature est
commandée par une volonté de vivre aveugle, elle n'a pas de finalité et ne cherche que sa
propre affirmation. La vie veut vivre. L'homme obéit à cette tendance de la nature. Exemple :
quand nous formons un couple et avons des enfants, nous pensons faire des choix personnels
et exprimer notre liberté. Nous obéissons au commandement de la nature, qui veut la
perpétuation de l'espèce. Ainsi, si l’amour est un plaisir, c'est parce que la nature nous invite à
nous reproduire. Objection :

1. Cependant, on peut décider de ne pas avoir d’enfants. Comme Schopenhauer, on garde


une marge de manœuvre par rapport aux désirs naturels, aux instincts. En effet, à la
différence de l'animal, l’homme peut s'éloigner de ses instincts.

2. Le simple fait de se demander si l'homme est vraiment libre, c'est déjà un acte de
liberté car de réflexion. Exemple : le robot ne peut pas se demander s'il est libre, il n'a
pas la conscience de soi.

3. On peut faire l'expérience de la liberté comme dans les dilemmes, on a le choix.


Passons maintenant à la deuxième hypothèse : que l'homme est vraiment libre. Par
Sartre, la liberté n'est pas une illusion mais le propre de l'homme. "La liberté est
l'étoffe de mon être" → l'homme est habillé de liberté.

Sartre : Pour Sartre, je suis libre car je suis conscient de moi-même, cf les 2 degrés de
consciences (immédiate et réflexive). Pour Sartre, toutes nos actions sont libres. Sartre
critique la notion d'inconscient, pour lui la notion de refoulement a quelque chose de
contradictoire, pour refouler quelque chose il faut déjà savoir ce que je refoule, il n'y a pas de
pensées inconscientes mais plutôt un mensonge à soi-même. C'est ce refus de s'avouer
certaines choses à soi-même que Sartre appelle la mauvaise foi. Pour Sartre, je sais ce que je
refoule mais je refuse de l'admettre. Pour Sartre, je suis fondamentalement libre et mes actions
s'expliquent par des décisions existentielles qui restent implicites. La "psychanalyse
existentielle" permet d'expliquer les choix de vie implicites d'un individu. Pour Sartre,
l'homme étant libre, il n'y a pas de nature humaine au sens d'une définition préalable de
l'homme. Exemple : l’homme n'est ni naturellement bon ni naturellement mauvais. Chaque
individu va inventer une figure possible de l'humanité par ses choix. Les deux sens du mot
humanité, à savoir le premier sens : au sens biologique, c'est l'appartenance à l'espèce
humaine. Deuxième sens : au sens moral, à savoir le fait de manifester des qualités morales.
L'humanisme, c’est perfectionner sa propre humanité grâce à la culture et aux voyages. Au
sens moral, on peut décider d'être humain ou inhumain, c’est-à-dire faire le bien ou le mal.
Dès lors, que faire pour éviter des actions inhumaines ? Réponse de Kant : l'humanité au sens
morale se conquiert par l'éducation, qui est comment apprendre à faire un bon usage de sa
liberté. Il y a une éducation qui renvoie au paradoxe de la liberté. Éduquer, c'est imposer des
règles, mais elles n'ont pas leur fin en elles-mêmes, le but c'est d'obtenir un comportement
autonome de l'enfant. L'enfant, s'il a intériorisé les règles, peut se maîtriser lui-même. Ainsi,
être libre, c'est maîtriser sa liberté. "Pour Sartre, être libre, c'est faire quelque chose de ce que
l'on a fait de moi." Explication : je commence par être un enfant (dans la vie) influencé par
mon entourage, mais au final, c'est toujours moi qui donne un sens à ce qui m'influence, je
fais un tri dans ce que je dis en donnant de la valeur à telle personne, à tel événement. Je reste
libre même à travers tout ce qui m'influence. Si l’homme est libre, y a-t-il des degrés dans la
liberté, peut-on être plus ou moins être libre?

1 réponse : il n’y a pas de degrés car l’homme est toujours libre quelque soit les circonstances
Pour sartre du fait que je suis conscient je suis entièrement libre et donc entièrement
responsable de moi je suis sans excuse « nous sommes condamné a être libre » Explication :
lhomme ne peut pas échapper a sa liberté qui est a la fois un privilège et un fardeau. Privilege
car la liberté nous permet de choisir qui on veuc être et ce qu’on veut être. Fardeau car être
libre implique être responsable de ses choix ce qui est peut être angoissant, l’angoisse est liée
a la liberté.
Chapitre 4 : La Quête du Bonheur

Notion : Bonheur (Lecture suivie d’Épicure)

Introduction

À la question "Qu'est-ce que l'homme ?", on peut répondre que l'homme est un être de désir.
Or, il a une attitude ambivalente vis-à-vis du désir. D'une part, l'homme cherche à satisfaire
ses désirs, mais d'autre part, il cherche à les amplifier pour mieux se sentir exister.

Exemple du désir amoureux : dans l'amour, on cherche à la fois à satisfaire le désir et à


l'amplifier. Si on est amoureux, on n'est pas seulement amoureux d'une personne, mais de
l'amour lui-même.

Désirer crée des manques et, de ce fait, d'une certaine manière, c'est souffrir. L'homme aime
souffrir car l'amour plonge dans un état de crise qui le fait vivre plus intensément. D'autre
part, l'amour est un projet impossible au sens où on ne possédera jamais une personne. Cet
échec de l'amour relance le désir, au-delà du désir amoureux, maintenant dans une forme
d'insatisfaction. Comment alors accéder au bonheur ?

Soit on pense que pour être heureux, il faut limiter ses désirs pour ne pas être frustré et
insatisfait. Soit on pense que pour être heureux, il faut aller au bout de ses désirs (Nietzsche).
Le bonheur serait-il dans une modération ou une exaltation des désirs ?

Qu'est-ce que le Bonheur ?

Difficile de répondre si le bonheur est propre à chacun, mais on peut le décrire comme un état
de facilité durable fait de satisfaction intérieure et de bien-être corporel. La différence entre la
joie et le bonheur réside dans le caractère momentané de la joie et la durabilité du bonheur.
De même, la différence entre le plaisir (satisfaction du corps) et le bonheur (satisfaction de
l'esprit).

Deux Types de Bonheur

1. Bonheur Immédiat : Il provient du simple fait d'exister, une pure satisfaction d'être en
vie.

Objection : Est-ce un bonheur superficiel, n'ayant rien fait pour le mériter ?

Reponse : Au contraire, il nous donne deux indications précieuses sur l’existence ?

Si je suis heureux d'être en vie cela veut dire que la vie est un bien ce n'est pas seulement un
fait mais une valeur qui s'oppose au nihilisme (penser que la vie ne vaut rien et donc ne vaut
pas la peine d'être vécue)
De l'inconvénient d'être né" - Emil Cioran

André Malraux a déclaré : « La vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie », titre du livre "De
l'inconvénient d'être né".

Le nihilisme se réfute au moment où il s'énonce, car il y a une contradiction intérieure au


nihilisme. Ce bonheur immédiat nous rappelle la gratuité de la vie, car je n'ai rien fait pour
mériter d'être en vie. Cela renvoie à la noblesse de l'existence, qui est gratuite au sens où elle
n'a pas de but, sauf celui que je vais lui donner.

2. Bonheur Réfléchi : Etat de satisfaction que l’on obtient par ses actions. La satisfaction
est proportionnelle à mes efforts.

A partir de la question : Où se situe le véritable bonheur ? le bonheur signifie le moment


favorable, est ce que je dois l’attendre ou le provoquer, le bonheur est – il affaire de besoin ou
de nécessité.

Le philosophe pense par la 2e option à savoir le bonheur synonyme de sagesse doit venir de
moi et non des circonstances.

Objection : Un bonheur durable est-il possible, est-il meme souhaitable ?

Première question : non car il faudrait maîtriser tous les aspects de son existence c'est ce que
fait dire à Kant que le bonheur est un idéal de l'imagination au sens où je ne l'atteins jamais
vraiment.

Cependant, on peut comme les philosophes stoïciens chercher le bonheur en distinguant entre
les choses qui dépendent de moi et ce qui ne dépend pas de moi je dois me concentrer sur ce
qui est dans mon pouvoir et accepter de manière stoïque ce qui ne dépend pas de moi.

Marc-Aurèle « que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé et le
courage de changer ce qui peut l’être mais aussi la sagesse de distinguer l’un de l'autre »

Même un empereur ne peut pas tout maîtriser, en revanche il peut rester maître de lui-même et
lucide sur ce qui est en son pouvoir le stoïcisme intègre ainsi une forme d'acceptation et de
renoncement

Deuxième question : Pas forcément car un bonheur continue ne serait même pas conscient de
lui-même, pour apprécier le bonheur il faut avoir connu l'inverse c'est-à-dire la souffrance : le
malheur. Le bonheur est donc une victoire sur le malheur et ça valeur vient de sa fragilité.

I. Le Bonheur comme Imitation des Désirs - Lecture d'Épicure


Lecture suivie : la lettre à merécée d’Epicure

Présentation du texte

Il s’agit d’un vrai lettre que Epicure à adresse à l’un de ses disciples

Ecole d’Epicure s’appelle le Jardin

Dans ce texte, il résume sa philosophie seous forme de maxime, forme de sagesse

- L’Œuvre de Epicure s’est perde car son matériels Nest pas compatible avec les
croyances des moines donc copiste du moyen age
- Il nous reste quelques textes grâce a Diogebe Laerle, lettre a venise dans vie et
doctrines de philosophes russe

Pour epicure le bonheur est possible si on arrive à maitriser ses désirs, pour être heureux il
faut suivre l’enseignement de la nature. La nature s’exprime à travers nos sensations (et nous
dit que) à savoir le plaisir est un bien, la souffrance est un mal.

Cependant tous les plaisirs ne sont pas a éviter ; donc il faut faire un calcul des plaisirs.
Certain plaisirs présents peuvent entrainer des douleurs futures et inversement certains plaisirs
peuvent endurer des souffrance et certaines souffrance des plaisirs.

Moralité il ne faut pas livrer a tous les plaisirs mais apprendre à se contenter de peu et
apprécier les plaisirs simples / ascetisme = se contenter du minimum pour vivre

Ne pas confondre avec l’ascetisme crétien, il s’agit notamment de renoncer aux plaisirs
charnel qui sont lié aux péchées dans l’ascetisme epicurien, il n’ya pas de condamnation
moral au plaisir mais juste des règles de prudence

Pour epicure tous les hommes chrchent le bonheur mais ne sont pas toujours heureux, ce
decalage s’explique par le fait que l’homme est un être de désirs donc toujours insatisfait
donc pas toujours heureux.

On peut penser que le désir est le moteur de l’existence au sens ou ce qui lui donne son sens ,
son orientation négativement si je ne desire plus rien alors mon existence payera son sens et
elle devient un poids comme dans la depression, en temps normal je passe mon temps a
désirer ce qui me fait vivre dans une forme d’insatisfaction et c’est ce qui déplait à Epicure.
Epicure propose de briser ce cercle visieux de désisr en renoncent a certains désirs pour être
heureux.
Comparaison stoïcienne : il faut renoncer a modifier les circonstances exterieur du monde ce
qui ne dépend pas de moi pour être heureux.

Epicussiens : Il faut renoncer intérieurement à certains désirs pour ne pas être prit dans une
spirale d’insatisfaction.

Epicure est un philosophe matérialiste  le sens courant = être attaché au bien matériel / le
sens philosophique = une these sur la réalité qui dit que tous ce qui est réel est materiel. Ce
matérialisme s’oppose à platon pour lequel on peut distinguer l’ame du corps et donc
imaginer une survie de l’ame après la mort du corps. Le matérialisme est inventé par
Démocrite et qui pour lequel lunivers est composée d’atome et de vide
Paragraphe 12, conclusion de la lettre Epicure a rappelle a son disciples ses préceptes,
il dit que la sage est semblable au dieu si il l’applique le quadruple remède, le quadruple
remède c’est « les dieux ne sont pas à craindre » « la mort n’est rien pour nous ». il y a le
bonheur est facile a atteindre, parce qu’il en faut peut pour être heureux et la douleur est
surmontable.

Il existe deux types de douleurs : moral et physique

Moral pour Epicure, elle est surmontable si je mets fin au désirs vain et au crainte infondée.

Physique pour Epicure, la douleur physique est soit brève soit prolongé, si elle est brève elle
ne pose pas de soucis puisqu’elle précédé et suivie de plaisirs et elle est donc facile à
surmonter si elle est prolongée, il reste deux choses à faire :

- M’aider, profiter des amis.


- Me souvenirs du bon temps passé.

Fin du paragraphe

Epicure critique a niveau l’idée de destin c’est a dire pas de fatalité, et puis il dit croire au
destin ou croire a l’influence des dieux son deux illusions, mais la seconde illusions est
préférable puisque le destin est implacable (personne n’a d’influence sur lui) alors qu’on peut
s’imaginer s’attirer les faveurs des dieux

Moralité de tous sa toute façons le mieux est de ne compter que sur soit pour construire son
bonheurs

Paragraphe 13 pour Epicure il n’y a pas de destin mais un mélange hasard et de nécessité, le
monde c’est un monde matériel composer d’atome et de vide sans projet divin.
L’avenir étant imprévisible est bien je peux souhaiter que la chance soit de mon côté même si
le plus importants c’est de bien raisonner.

Paragraphe 14 : la réflexion philosophique est une méditation c-a-d au sens ou elle doit
aboutir a une transformation intérieur, l’idéal c’est de n’être troubler par rien (similitude entre
épicurisme stoïcisme) afin de connaitre un bonheur continu est d’être semblable au dieu qui
sont bien heureux.

2/ Le bonheur dans l’exaltation des désirs : Nietzsche.

Selon epicure le desir est une source de trouble, et c’est pourquoi il cherche a limiter les désirs
Cependant, le bien leffort pour limiter les désirs peut paraitre a la fois interminable et a la fois
impossible, interminable et impossible car il resurgisse et on ne choisi pas de les eprouvée

D’autre part on peut se demander si l’objectif d’Epicure est souhaitable. Son objectif c’est
s’en tenir au plaisirs les plus simple.

Pour nietsch c’est une approche appauvrie de lexistence car selon lui la volonté de limiter ses
désirs exprime enfaite une crainte devant la vie, a savoir la crainte d’être emporté par ses
passions (de ne plus les controlé)

Epicure propose de vivre le plus tranquillement possible dans l’absence de trouble. Pour
Nietzsche il faut au contraire accepter de vivre dangereusement donc autrement il change
dideal, lideal ce nest plus la paix de lame mais c’est de mener l’existence la plus intense
possible

Pour Nietzsche tous les êtres sont dirigé par la volonté de puissance = tendance qui vise a
l’augmentation de sa propre force vitale, puissance sur soi et pas sur les autre

 Désigne la capacité a se dépasser soit même en augmentant sa force intérieur.

Conséquence : Nietzsche critique la sagesse comme tranquillité ou impossibilité, il faut pour


lui faire l’épreuve de ses désirs. Il ne faut pas se livrer a tous ses désirs de manière aveugle
mais les explorer pour atteindre une meilleure connaissance de soi.
Cela comportes des dangers car c’est sur nous même (lexperience) mais permet d’explorer les
profondeur de la vie.

Le bonheur visé par Nietzsche c’est le bonheur tragique car souvent nos désirs sont
contradictoires, il faut donc apprendre à accepter nos contradictions intérieures. D’autre part
la vie est toujours un mélange de plaisir et de souffrance qu’il faut selon lui accepter en bloc.
Je dois en effet accepter la vie telle qu’elle se présente.

Nietzsche propose une expérience de penser qui est l’éternel retour = idée selon laquelle notre
vie va se répéter à l’infinie et à l’identique

2 réactions possible :

- Idée m’enthousiasme ce qui témoigne de mon amour de la vie.


- Idée macabre car je ne veux pas revivre à l’infinie certaine choses ce qui témoigne que
je n’aime pas assez de la vie.

Cette expérience de pensée vise à tester le degré de notre amour de la vie. Pour Nietzsche je
dois vivre ce moment de tel manière que je puisse souhaiter son retour éternel. D’autre part je
dois aimer la vie dans son ensemble sans séparer les bon et mauvais moments. Ainsi, je ne
dois pas fuir la souffrance et c’est en qui le bonheur selon Nietzsche est un bonheur tragique

Texte de Bergson sur le temps :

Pour Bergson le temps c’est une durée en elle-même indivisible mais qu’on a pris l’habitude de
découper pour des raisons pratiques. Il y a deux dimensions du temps qui corresponde a deux couche
du « moi » : le moi profond (celui de la durée indivisible) et le moi superficiel (celui du découpage du
temps).

Dans la vie quotidienne, le moi profond est recouvert par le moi superficiel car je suis plongé dans
l’action présente

Remarque sur l’art, pour Bergson l’expérience artistique a une grande valeur car elle permet de
rompre avec l’action immédiate et de retrouver notre moi profond. En effet pour créer son œuvre
l’artiste se replonge lui-même dans la durée créatrice du temps. Le temps étant pour lui création de
nouveauté.

Dans son livre intitulé l’évolution créatrice, Bergson discute avec la théorie de l’évolution, il
interprète l’évolution de l’espèce comme une création perpétuelle de nouveauté.

Ainsi pour Bergson ; le cœur du réel c’est la durée ce qui veux dire que l’être est devenir = ce qui est =
ce qui devient.

1er Objection : si tout est devenir, alors il ny a plus rien de stable et donc on peut se demander sur
quoi s’appuyer pour connaitre le réel
2eme objection : si tout est devenir, alors le discours sur le monde qui cherche a fixer les choses sera
toujours en décalage par rapport à la réalité des choses.

Reponse 1 er objection : Pour Bergson la véritable réalité est la durée autrement dit elle est même ce
qui a de plus solide, au sens où elle porte le monde. La durée c’est la continuité du monde.

Réponse 2eme objection : Pour Bergson le langage est en effet simplificateur et en un sens inadéquat
pour décrire le réel, d’où l’intérêt du langage poétique qui grâce par exemple a la métaphore va
élargir le pouvoir du langage et mieux épouser le réel.
Chapitre 6 : L’HOMME ENTRE NATURE ET CULTURE.

Notions : nature / culture.

La nature : c’est tout ce qui n’est pas créer par l’homme, c’est ce qui existe par soi indépendamment
par l’homme.

Culture : c’est ce qui est créer par l’homme, ajouté à la nature.

A la question, Qu’est-ce que l’homme ? on a répondu l’homme est être de désir, hors le désir nous
fait a la fois appartenir a la nature et sortir de la nature

En effet désirer, c’est ressentir éprouver qlq chose pour cela pour ressentir qlq chose, il faut avoir un
corps.

Cependant le désir est réductible au instinct et au besoins

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