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Avant la philosophie de la nature – idée basée sur le déterminisme = Auguste Comte : les avancés de l’entendement
humain rendent possible le calcul de tous les phénomènes : déterminisme généralité.
La science = but ultime de l’intelligence humaine qui met fin à l’incertitude.
L’unité de l’espace-temps est rompue par la relativité. Ex : Bergson La pensée et le mouvant état de mouvement
analogue les 2 trains à la même vitesse dans le même sens. Question de mouvement et de référentiel. La causalité
est relative à l’espace-temps. Cependant dans la mécanique la causalité est toujours définie par l’espace-temps.
= La révolution en science provoque une révolution en philosophie également – (Philosophie du non- Bachelard)
2- Le développement de la technique par la science fait qu’elle devient un pouvoir social et politique.
Foucault Histoire de la folie – la science médicale psychiatrique a un pouvoir sociale de normalisation = les fous sont
considérés comme malade = anormalité théorique.
Science devient idéologique = Bourdieu les études scientifique = idéologie de classement sociale – certaines
connaissances sont reléguées hors de la science moderne. -> renversement social et rationnel de la science
provoque des renversements métaphysiques (Philosophie du non – Bachelard)
3- Le positivisme
Auguste Comte : vision messianique de la philosophie et de la science XIXème. Cours de philosophie positive -> leçon
1 : 3 stades du développement intellectuel humain analogues aux stades de l’humanité. « 2 états théoriques
différents : l’état théologique, ou fictif, l’état métaphysique, ou abstrait ; et l’état scientifique ou positif. »
Théologique/fictif/enfance = Instinct humain « loi absolue de l’esprit humain qui a besoin de théorie pour
comprendre la nature » - leçon2 = besoin d’un système théorique pour saisir l’unité de l’expérience. Mais
stade incapable d’expliquer mécaniquement les phénomènes = création d’agent surnaturel avec une volonté
arbitraire (Dieu) pour expliquer le monde = études causes finales au nom d’une fin.
Abandon de la notion de finalité -> existence d’un mécanisme de la nature dans tous les domaine même
sociologique (mécanique de la psychologie humaine)
4- Emergence de la question logique
La science est composée d’une philosophie(déterministe) et d’une méthode (science expérimentale) d’une
technique = preuve de la vérité théorique.
Comte – objet de la science c’est de donner des moyens techniques : « calculer pour prévoir, prévoir pour agir » -
l’action confirme la prévision/calcul = théorie
Emergence d’un problème avec la géométrie non euclidienne => CSQ les maths qui gouverne la majorité des
science, ne serait qu’une représentation, une langue parmi d’autres et non pas La langue de lanture = doute sur les
maths et la science La science est juste u langage ?
Popper La logique de la découverte scientifique (voir fiches) – remet en question la science à partir de la logique des
énoncées -> statut de l’expérimentation, problème de la formulation des hypothèses….
Logique inductive = du + grand nombre de cas confirmé par les expérimentation = on en tire une loi générale =
principe de variation concomitante. EX : lien scientifique entre pression atmosphérique et fusion d’un bloc de glace -
> vérification en faisant varier les quantité d’1 pour observer que le 2 ème varie aussi = pas une méthode naturel =
c’est une induction provoquée = CSQ même s’il y a bcp de variation concomitante, impossible d’atteindre
l’universalité requise dans l’énoncée scientifique = seulement probable. Conclusion = impossible de vérifier un
énoncé scientifique. énoncé existentiel particulier et l’énonce d’une loi générale = observation vers la loi =
impossible sauf si obs infini
Induction= régularité dans les phénomènes naturels pour induire une loi générale.
Naturel ou psychologique = tendance spontanée à inférer = besoin de prédire des régularité au quotidien.
Ex : l’eau et le feu -> relation créée par mon esprit, le choix de lier (décision) les deux sujets. On n’observe
jamais le ciel mais une corrélation entre les oiseaux, le ciel et les nuages qui n’ont pas de rapport immédiat
entre eux dans la nature. L’induction est une manière empirique de dépasser l’expérience.
La science expérimentale donne des résultats attendus (relation régulière entre plusieurs variables). L’observation
dans la science expérimentale = les variations sont manipulées/instrumentalisées -> décomposition des
phénomènes = recherche de la pureté hors de la nature impure et complexe. Les choses sont construites à partir de
la théorie pour l’expérience.
La vérité de la science expérimentale vient de la déduction = l’universalité de la loi en 1 er puis on déduit des cas
particuliers
Le but de la démarche expérimentale est de réfuter les hypothèses. Il faut soumettre les hypothèses à des tests
réfutatifs. =CSQ seule certitude de la démarche expérimentale est que la théorie est fausse -> le progrès
scientifique se fait par la négation -> la croissance des théories invalidé
Une théorie scientifique sera considérée comme vraisemblable tant qu'un certain nombre d'expériences ne seront
pas venues l'invalider. C'est un argument très solide de scientificité.
Les thèses philosophiques sous-jacentes sont la cause de l’empêchement du progrès scientifiques => les préjugés
philosophiques rendent impossibles la science. Ex : La conception de la matière par les Platoniciens rend impossible
la chimie
Science est une processus de rupture « Philosophie du Non » Evolution scientifique = se base sur l’effondrement des
système théorique.
La matière est un objet fondamentalement historique = production de raison = en permanence révolutionné. ( Pierre
Duhem – La théorie, son objet et sa structure