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Affaire 2:22­cv­00773­MAK Document 5 déposé le 09/03/22 Page 1 sur 14

AU TRIBUNAL DE DISTRICT DES ÉTATS­UNIS


POUR LE DISTRICT EST DE LA PENNSYLVANIE

JUSTIN MOHN : ACTION CIVILE


:
dans. : NON. 22­773
:
MIGUEL CARDONA, et al. :

MÉMORANDUM

KEARNEY, J. 9 mars 2022

Justin Mohn, diplômé de la Pennsylvania State University, est déçu de son université de 2014

un diplôme en gestion de l'agro­industrie le rend surqualifié pour les opportunités d'emploi en 2022

marché de l'emploi. Il a emprunté l’argent des contribuables à partir de 2010 pour financer ses études. Il blâme

les lois d'action positive lui coûtent désormais des opportunités d'emploi en tant qu'homme blanc suréduqué. Mais

il a signé des documents de prêt étudiant il y a douze ans. Il prétend rembourser ces prêts à

environ 160 $ par mois lui causent une détresse émotionnelle, une angoisse mentale et une perte de

qualité de vie. Il poursuit maintenant le secrétaire du ministère de l'Éducation sans payer

les frais de dossier et réclame 10 millions de dollars de dommages et intérêts. Le Congrès exige que nous examinions une plainte que nous

permettre de procéder sans payer les frais de dépôt avant d'engager les frais de signification. Notre projection

confirme qu'il ne formule aucune réclamation. Il n'allègue aucun fait qui pourrait étayer une réclamation pour

non­divulgation. Il n’explique pas comment le ministère a mal appliqué la loi sur l’enseignement supérieur. Il

n'invoque pas un fait nous permettant de faire valoir la barre du délai de prescription de deux ans clairement évident d'après

Selon les aveux judiciaires, il a obtenu le prêt en 2010 et a commencé à le rembourser fin 2014. Nous rejetons son

plainte suite à un examen préalable avec autorisation de modification pour alléguer des réclamations autres que celles relevant de la Haute

Loi sur l'éducation.


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Affaire 2:22­cv­00773­MAK Document 5 déposé le 09/03/22 Page 2 sur 14

JE. Faits pro se allégués.

Justin Mohn a emprunté l'argent des contribuables fédéraux pour financer ses études universitaires à partir de 2010

1 Son
jusqu'en 2014 à la Pennsylvania State University. Ses parents ont « organisé » le prêt en son nom.

« les parents et le ministère de l'Éducation et/ou le gestionnaire de prêt se sont mis d'accord sur » les conditions du prêt

paiements.2

Il a signé un prêt étudiant fédéral avec le ministère de l'Éducation en 2010 pour financer ses études.

éducation à la Penn State University.3 Il a obtenu quatre ans plus tard un baccalauréat ès sciences en

gestion de l’agro­industrie.4 M. Mohn a depuis occupé des emplois sans rapport « parmi la majorité des

des collègues et des patrons ayant moins d'éducation formelle que [lui]. »5 Il attribue en partie son incapacité

pour obtenir l'emploi souhaité grâce aux lois d'action positive autorisant et encourageant « le harcèlement,

discrimination et licenciement abusif » de « l’homme blanc suréduqué ».6 M. Mohn allègue

le ministère de l’Éducation « aurait dû être conscient de l’action positive en vertu des lois de l’EEOC, car

ainsi que la tendance croissante de l'Amérique à un marché du travail médiocre pour les récents diplômés universitaires. »7 Son incapacité à

l'avertir de ces dangers, couplés à ses exigences en matière de remboursement de prêt étudiant de 200 $ par mois...

plus tard réduit à 160 $ par mois – « l’a amené à s’endetter sans cesse auprès d’autres créanciers. »8 M.

Mohn allègue que le ministère de l'Éducation et son secrétaire, Miguel Cardona, « ont caché et/ou

a déformé les risques et/ou le caractère approprié » de ses prêts étudiants fédéraux, ce qui a effectivement

il a mal appliqué la loi sur l’enseignement supérieur pour rendre sa « vie pire que si [il] n’était pas allé à l’université ».

collège payé par le prêt en question. »9

M. Mohn affirme avoir souffert de détresse émotionnelle, d'angoisse mentale et d'une perte de qualité de vie.

vie par son incapacité à obtenir un emploi correspondant à ses qualifications.10 Il demande 10 millions de dollars en

dommages­intérêts.11 M. Mohn demande également que nous ordonnions au ministère de l’Éducation de lui rembourser les

le principal qu'il a déjà payé sur le prêt et régler son solde restant.12

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II. Analyse

Parce que nous avons accédé à la demande de M. Mohn de procéder in forma pauperis, le Congrès

nous ordonne de rejeter une réclamation déposée sans payer de frais que nous jugeons frivoles ou malveillants ; rater à

indiquer une créance sur laquelle une réparation peut être accordée ; ou demande une réparation pécuniaire contre un défendeur qui est

l’immunité contre une telle réparation.13 Lorsqu’il s’agit d’examiner s’il y a lieu de rejeter une plainte pour défaut de déclaration d’une

réclamation en vertu de la section 1915(e)(2)(B)(ii), nous appliquons la même norme que celle utilisée en vertu de la règle fédérale de

14
Procédure civile 12(b)(6). Nous acceptons toutes les allégations de faits comme vraies et interprétons ces faits de la manière

lumière la plus favorable à la demanderesse pour déterminer si elle présente une demande de réparation plausible sur le plan

son visage.15 Nous devons être « conscients de notre « obligation d’interpréter libéralement les plaidoiries d’un plaideur pro ».

…' »16 Nous « restons flexibles » et « appliquons le principe juridique pertinent même lorsque la plainte a été déposée ».

n’a pas réussi à le nommer. »17 Mais « les plaideurs pro se doivent quand même alléguer suffisamment de faits dans leurs plaintes pour

soutenir une demande » et « ne peuvent pas bafouer les règles de procédure – ils doivent respecter les mêmes règles qui s’appliquent

à tous les autres justiciables. »18

A. Nous devons rejeter la plainte de M. Mohn pour défaut de formuler une réclamation.

M. Mohn affirme que le ministère américain de l'Éducation et le secrétaire Cardona n'ont pas averti

lui parler des risques allégués et de l'opportunité de contracter un prêt étudiant fédéral en 2010.19 Il ne

allèguent que le Ministère a fait de fausses déclarations affirmatives. Il le prétend plutôt délibérément

omis ou dissimulé les risques liés au prêt étudiant. M. Mohn allègue que le ministère a échoué

prendre en compte ou divulguer aux étudiants emprunteurs potentiels le coût de la vie élevé et les mauvaises années sur le marché du travail

plus tard, et les dangers de « harcèlement, de discrimination et de licenciement abusif [des] hommes blancs »

en raison de l’interprétation que donne l’EEOC des lois sur l’action positive.20

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Nous interprétons libéralement sa plainte pour soulever quatre allégations : (1) fausse déclaration par négligence ;

(2) dissimulation frauduleuse ; (3) non­divulgation frauduleuse ; et (4) une mauvaise application du niveau supérieur

Loi sur l'éducation. Les allégations sommaires de M. Mohn ne constituent pas une affirmation.

1. M. Mohn n’allègue pas de fausse déclaration substantielle affirmative requise pour plaider une fausse déclaration
négligente.

La loi de Pennsylvanie reconnaît une réclamation pour fausse déclaration par négligence lorsqu'une partie

dénature un fait important pour inciter autrui à agir.21 Pour plaider suffisamment un fait négligent

réclamation pour fausse déclaration, M. Mohn doit alléguer « (1) une fausse déclaration sur un fait important ; (2)

fait dans des circonstances dans lesquelles la fausse déclaration aurait dû connaître sa fausseté ; (3) avec

une intention d'inciter un autre à agir en conséquence ; et; (4) qui entraîne un préjudice pour une partie agissant de manière justifiable

la confiance dans la fausse déclaration. »22 La réclamation doit également être « fondée sur une obligation due par une personne ».

partie à une autre. »23

M. Mohn allègue que « [l]e ministère de l’Éducation a caché ou dénaturé les risques et/ou

24
pertinence de [son] prêt étudiant fédéral. Mais il ne revendique pas le Département ou le Secrétaire

Cardona a fait une fausse déclaration affirmative sur le coût de la vie élevé et le mauvais travail

marché, ou une prétendue menace d’action positive douze ans plus tard. Nous ne pouvons pas non plus imaginer comment

Le ministère pourrait faire une telle représentation. Une réclamation pour fausse déclaration par négligence nécessite « un

fausse déclaration de la part du défendeur. »25

Le Ministère n'aurait pas pu faire de telles fausses déclarations puisqu'il n'avait aucune

communications avec l’un de ses agents. M. Mohn explique que ses parents ont « organisé » le prêt sur son

26 Ses « parents et le ministère de l’Éducation et/ou le gestionnaire de prêts ont convenu »

conditions de remboursement du prêt.27 M. Mohn ne peut pas réclamer au Ministère ou à l'un de ses agents

a déformé les risques du prêt tout en affirmant qu'il n'avait jamais parlé à personne du

Ministère des modalités et conditions du prêt.28 M. Mohn allègue tout au plus que le Ministère

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de l'Éducation aurait dû lui révéler les risques en raison de la nature de la transaction et

son statut d’étudiant emprunteur simple et vulnérable. Comme « une fausse déclaration par négligence

aucune réclamation ne peut être fondée sur un défaut de divulgation », nous devons rejeter cette affirmation.29

2. M. Mohn ne prétend pas que le Ministère avait l'intention nécessaire ou une relation spéciale qui donnerait
lieu à une obligation de parler pour plaider la dissimulation frauduleuse.

Une plainte pour fraude pouvant donner lieu à une action ne nécessite toujours pas une fausse déclaration faite par l'intermédiaire d'un

affirmation positive; il peut s'agir plutôt de « tout artifice par lequel une personne est trompée à son désavantage ».

[y compris] . . . dissimulation de ce qui aurait dû être divulgué, qui trompe ou est

destiné à tromper autrui pour agir à son détriment. »30 Pour présenter une réclamation pour fraude

dissimulation, M. Mohn doit plaider : (1) Le ministère de l'Éducation et le secrétaire Cardona

causé une omission; (2) important pour la transaction ; (3) fait faussement, en connaissance de sa fausseté

ou l'imprudence quant à savoir si c'est vrai ou faux ; (4) dans l'intention de l'induire en erreur en lui faisant se fier

dessus; (5) et sur lequel il s’est appuyé à juste titre ; et (6) a causé le dommage à proximité.31

M. Mohn doit également plaider l'existence d'une relation privilégiée qui donnerait au

ministère de l’Éducation a le devoir de parler.32 « [M]e silence ne suffit pas [pour établir des

dissimulation] en l’absence d’obligation de parole », même si tous les autres éléments sont établis33 .

le devoir de parler en Pennsylvanie « n’existe que dans des circonstances limitées », telles que « (1) lorsqu’il y a un

relation fiduciaire ou confidentielle entre les parties ; (2) lorsqu'une partie est la seule source

d'informations à l'autre partie ou les problèmes ne peuvent pas être découverts par d'autres moyens raisonnables ;

(3) lorsque la divulgation est nécessaire pour empêcher qu’une déclaration ambiguë ou partielle soit

trompeur; (4) lorsque des connaissances acquises ultérieurement rendent fausse une représentation antérieure ; ou

(5) lorsque le fait non divulgué est essentiel à la transaction. »34

Le devoir de parole naît le plus souvent de la démonstration d'une relation fiduciaire entre les

parties.35 Une relation fiduciaire requiert « la confiance » entre les parties.36 Fiduciaire

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les relations peuvent naître du fait de l’effet de la loi ; par exemple, entre le mandant et l'agent,

les relations avocat­client, ainsi que les relations de partenariat.37

Parce que M. Mohn allègue une fraude, il doit également « énoncer avec précision les

circonstances constituant une fraude ou une erreur. Malice, intention, connaissance et autres conditions d'un

l'esprit d'une personne peut être allégué de manière générale. »38 Les allégations de M. Mohn doivent être plaidées avec « suffisamment de

particularité d'avertir le [Département de l'Éducation] de la faute précise avec

dont il est accusé. »39

M. Mohn ne prétend pas que l'omission alléguée du Ministère « a été faite faussement » ou « avec

l’intention d’induire en erreur. M. Mohn décrit son prêt comme étant « de nature prédatrice, peut­être même

constituant un délit » à la lumière du « point de vue des employeurs sur [lui] en tant qu'homme blanc suréduqué »,

et la médiocrité du marché du travail accessible aux diplômés comme lui.40 Mais il admet que « le Département américain de

L'éducation n'était peut­être pas consciente qu'[il] obtiendrait de meilleurs résultats et serait plus instruit que son

collègues de travail à l'avenir. »41 Malgré l'incapacité du ministère à prédire les

capacité à « surpasser et être plus instruit que ses collègues » et la lutte qui en résulte pour

trouver un emploi des années après avoir accordé le prêt, M. Mohn allègue que le ministère aurait dû l'avertir

de ces risques « à son insu au moment de contracter le prêt étudiant ».42 M. Mohn ne

ne prétend pas que le ministère a délibérément dissimulé ces risques pour l'inciter à emprunter des fonds dans le cadre de

un document de prêt. Il ne prétend pas non plus s'être fondé à juste titre sur l'omission du ministère pour décider

pour emprunter des fonds. M. Mohn n'allègue pas de faits démontrant que le ministère a commis les allégations

omissions à tort ou dans l'intention d'induire M. Mohn en erreur.

M. Mohn ne prétend pas non plus que le ministère de l'Éducation ou le secrétaire Cardona lui doivent

une obligation fiduciaire ou entretenir une relation particulière qui les obligerait à divulguer les informations prétendument

informations cachées. M. Mohn ne prétend même pas avoir interagi directement avec le ministère

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de l'Éducation, expliquant plutôt que ses parents avaient « organisé » le prêt en son nom.43 M. Mohn le fait.

ne plaide pas adéquatement l'intention du Ministère ni l'existence d'un quelconque type de relation spéciale.

M. Mohn ne formule aucune plainte pour dissimulation frauduleuse.

3. M. Mohn n'allègue pas de relation entre les parties ou de circonstances qui déclencheraient l'obligation du ministère
de parler comme l'exige pour plaider la non­divulgation frauduleuse.

M. Mohn « doit alléguer que les défendeurs [étaient] dans l’obligation de divulguer les

informations » pour procéder à une demande frauduleuse de non­divulgation.44 Cette obligation peut survenir dans certains

circonstances limitées, y compris « (1) lorsqu’il existe une relation fiduciaire ou confidentielle

entre les parties ; (2) lorsque la divulgation est nécessaire pour éviter une déclaration ambiguë ou partielle

d'être trompeur ; (3) lorsque les connaissances acquises ultérieurement constituent un précédent

représentation fausse; [et] (4) lorsque le fait non divulgué est essentiel à la transaction. »45 Comme dans le cas de son

réclamation de dissimulation frauduleuse, M. Mohn omet d'alléguer une relation entre les parties ou

circonstances qui déclencheraient l'obligation du ministère de l'Éducation ou du secrétaire Cardona de

parler. M. Mohn n'identifie pas de relation avec le Ministère qui constituerait la base

de l'obligation pour elle de divulguer les informations prétendument omises. M. Mohn n'allègue pas non plus

circonstances exigeant les divulgations souhaitées. M. Mohn ne formule aucune plainte pour fraude

non­divulgation.

4. M. Mohn ne peut pas prétendre que le ministère a violé la loi sur l'enseignement supérieur.

M. Mohn allègue en une phrase que le « ministère de l'Éducation... » . . mal appliqué le Supérieur

Loi sur l'éducation pour aggraver la situation de [sa] vie s'il n'était pas allé à l'université financée par le prêt de

question. »46 Mais il ne peut pas déposer de plainte en vertu de la loi sur l’enseignement supérieur puisque le Congrès ne l’a pas fait.

confèrent un droit d’action privé en vertu de la Loi.47 « Le libellé exprès de la [Loi] et le

les règlements promulgués en vertu de ceux­ci ne « créent pas de cause d'action privée, et il n'y a rien

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dans le langage, la structure ou l'historique législatif de la Loi à partir desquels l'intention du Congrès de fournir

un tel remède peut être implicite. »48 Le juge Bartle a constaté il y a près de trois décennies que la Cour suprême

La Loi sur l'éducation ne confère pas de droit d'action privé aux étudiants qui souhaitent empêcher

l’application des prêts étudiants garantis par le gouvernement fédéral.49 Nous suivons un précédent bien établi en

concluant que M. Mohn ne peut pas présenter de réclamation en vertu de la loi sur l'enseignement supérieur.

B. Nous devons rejeter les réclamations de M. Mohn car prescrites.

Nous pouvons rejeter une réclamation si le contenu de la plainte confirme clairement que les réclamations sont prescrites.

par le délai de prescription en vigueur.50 Comme notre Cour d’appel l’a expliqué, « [m]ême si le

le délai de prescription est un moyen de défense affirmatif, un tribunal de district peut de sa propre initiative rejeter une plainte

en vertu du § 1915(e) où la défense ressort clairement de la plainte et aucun développement des faits

un dossier est requis. »51 Par exemple, dans Peele c. McLaughlin52, la Cour d’appel a confirmé

le rejet par le tribunal de district des réclamations du demandeur § 1983 pour dépassement du délai de deux ans de

limitations parce que, même si le demandeur a affirmé qu'il était au courant de l'acte répréhensible allégué à ce moment­là

cela s'est produit en octobre 2011, il n'a entamé son action civile qu'en juillet 2015.53 Lorsque la plainte a été déposée

indique clairement quand la cause d'action s'est accumulée, et cette date établit fermement le statut de

les délais ont expiré, nous pouvons rejeter la plainte.

M. Mohn allègue des faits qui, selon une interprétation très libérale, sont régis par

Le délai de prescription de deux ans en Pennsylvanie pour les délits. Ses faits découlent de prétendues non­divulgations

lorsqu'il a commencé à emprunter l'argent des contribuables en 2010 pour fréquenter la Penn State University.

Sa plainte confirme clairement que les affirmations de M. Mohn sont interdites par la loi de Pennsylvanie.

de limitations. « Les délais de prescription sont « conçus pour promouvoir la justice en évitant les surprises »

par la résurgence de revendications laissées en sommeil jusqu'à la perte des preuves,

les souvenirs se sont estompés et les témoins ont disparu. »54 La loi exige qu'un plaignant dépose

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réclamations « dans un délai spécifié après la survenance de l’incident qui a donné lieu à la réclamation. »55

Le délai de prescription « commence généralement à courir lorsque la cause d'action du demandeur survient ou

s’accumule. »56 La cause d’action s’accumule à la date du préjudice dans une affaire délictuelle.57

« [Une] partie a deux ans pour poursuivre en justice pour fraude. »58 Les délais de deux ans s’appliquent aux actes négligents.

réclamations pour fausses déclarations.59 Lorsque la fausse déclaration par négligence découle de commentaires

concernant un contrat, la date la plus tardive à laquelle les délais de prescription peuvent commencer à courir est la date

le contrat est délivré à l’emprunteur.60 Ce délai de prescription de deux ans s’applique à « [t]out autre

action ou procédure visant à recouvrer des dommages­intérêts pour préjudice corporel ou matériel fondée sur

négligente, intentionnelle ou autrement délictuelle de M. Mohn . . . y compris la tromperie ou la fraude. »61 La conduite

les réclamations pour dissimulation frauduleuse et non­divulgation frauduleuse sont également liées par la loi de deux ans

de limitations.62

Le délai de prescription peut être prolongé jusqu'à ce que le préjudice aurait raisonnablement pu être résolu.

découvert lorsque l’existence d’un préjudice n’est pas connue et que cette connaissance n’a pas pu être

raisonnablement établie dans le délai de prescription.63 M. Mohn a la « charge d’établir

[son] incapacité à prendre connaissance du préjudice malgré l’exercice d’une diligence raisonnable. »64 Erreur,

les malentendus ou le manque de connaissances n’entraînent pas de prescription.65

M. Mohn a emprunté l'argent des contribuables en 2010. M. Mohn a découvert pour la première fois le mauvais travail

marché, coût de la vie élevé et défis supplémentaires apparents présentés par l'action positive

après avoir obtenu son diplôme en 2014 après avoir eu du mal à trouver un emploi approprié. Mais il n'explique pas pourquoi

il a attendu 2022 pour porter ces réclamations. Les affirmations de M. Mohn sont apparemment interdites au­delà

le délai de prescription de deux ans pour ses réclamations pour fraude. Il lui incombe de montrer pourquoi la loi

devrait être payé, mais il n'a fait aucune tentative en ce sens. Même si M. Mohn avait allégué suffisamment de faits

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pour soutenir l'une de ses réclamations, il serait toujours frappé de prescription. Nous devons rejeter

ses prétentions.

III. Conclusion

Justin Mohn poursuit le secrétaire Cardona et le ministère de l'Éducation pour avoir caché ou

dissimuler les risques pratiques associés à la souscription d'un prêt fédéral, affirmant que les emprunteurs étudiants

comme lui, il aurait dû être informé du coût de la vie élevé, de la médiocrité du marché du travail et des difficultés

existant douze ans plus tard, présenté par une politique d'action positive qui rendrait difficile le paiement

du prêt. Nous interprétons libéralement M. Mohn comme alléguant : (1) une fausse déclaration négligente, (2)

dissimulation frauduleuse, (3) non­divulgation frauduleuse et (4) mauvaise application des

Acte. Les allégations sommaires ne fournissent pas suffisamment d’éléments factuels pour conclure qu’il a suffisamment plaidé

aucune de ces affirmations. M. Mohn ne prétend pas non plus qu'il justifie un péage équitable ou un autre

exception qui lui permettrait de surmonter le délai de prescription de deux ans pour les réclamations

certes survenu lors de la signature des documents de prêt à partir de 2010. Nous rejetons le

Plainte sans préjudice d'une modification en temps opportun pour montrer en quoi il mérite une exception au statut de

limitations et de plaider les faits de bonne foi, nous permettant de déduire de manière plausible une réclamation conforme à

Règle 11.

1 Doc. FEC. N°2 à 5 heures.

2
Identifiant.

3
Doc. FEC. N° 2, p. 5. M. Mohn ne précise pas quel prêt il a contracté et il ne fournit pas non plus les documents de prêt avec les informations
divulguées. Nous ne savons pas à quel prêt fédéral M. Mohn conteste.

4
Identifiant.

5
Identifiant. à 6.

6
Identifiant. à 7 heures.

dix
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7
Identifiant.

8
Identifiant. à 6­7.

9
Identifiant. à 7 heures.

10 Id. à 8.

11
Identifiant.

12
Identifiant.

13
28 USC § 1915(e)(2)(B).

14
Elansari c.Univ. de Pa., 779 F. App'x 1006, 1008 (3d Cir. 2019) (citant Allah c. Seiverling, 229
F.3d 220, 223 (3d Cir.2000)).

15
Identifiant. (citant Fleisher c. Standard Ins. Co., 679 F.3d 116, 120 (3d Cir. 2012)).

16
Dooley c.Wetzel, 957 F.3d 366, 374 (3d Cir. 2020) (citant Higgs c. Att'y Gen., 655 F.3d 333,
339 (3d Cir.2011)).

17
Yogt c. Wetzel, 8 F.4th 182, 185 (3d Cir. 2021) (citant Mala c. Crown Bay Marina, Inc., 704
F.3d 239, 244 (3d Cir.2013)).

18
Identifiant. (citant Mala, 704 F.3d à 245).

19 Doc. FEC. N°2 à 7 heures.

20
Identifiant.

21
Advance Capital Partners, LLC contre Rossmann, 495 F. App'x 235, 237 (3d Cir. 2012).

22
Identifiant. (citant Botrz c. Noon, 729 A.2d 555, 561 (Pa. 1999)).

23
Tanksley c. Daniels, 259 F.Supp. 3d 271, 303 (ED Pa. 2017) (citant Abdul­Rahman c. Chase
Fin de la maison. Co., n° 13­5320, 2014 WL 3408564, à *5 (ED Pa. 11 juillet 2014)).

24
Doc. FEC. N°2 à 7 heures.

25
Cooper c.Sirota, 37 F. App'x 46, 48 (3d Cir.2002).

26 Doc. FEC. N°2 à 5 heures.

27
Identifiant.

11
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28
M. Mohn ne peut pas non plus déposer de plainte pour conduite trompeuse en vertu de la loi de Pennsylvanie sur les
pratiques commerciales déloyales et la protection des consommateurs pour les mêmes raisons. Il ne prétend pas s’être
fondé de manière justifiable sur une conduite trompeuse. 73 PA. LES INCONVÉNIENTS. ÉTAT. §§201­4 & 201­9.2 ; Gregg
contre Ameriprise Financial, Inc., 245 A.3d 637, 644 (Pa. 2021) (« L'article 201­9.2 crée un élément de causalité, qui exige
qu'un plaignant privé démontre une confiance justifiable... Quelle que soit la méthode déloyale de concurrence qu'un
demandeur conteste dans le cadre d'une cause d'action privée, par conséquent, l'article 201­9.2 exige que le demandeur
établisse une confiance justifiable. »).

29
Advance Capital Partners, LLC contre Rossmann, 495 F. App'x 235, 238 n.1 (3d Cir. 2012) (citant Lazin contre Pavilion
Partners, n° 95­601, 1995 WL 614018, à *7 (ED Pa. 11 octobre 1995) (« La non­divulgation d'un fait important donnerait
lieu à une cause d'action pour non­divulgation frauduleuse, et non pour fausse déclaration par négligence. »)).

30
Bucci c.Wachovia Bank, NA, 591 F. Supp. 2d 773, 782 (ED Pa. 2008) (citant Wilson c.
Donegal Mut. Ins., 598 A.2d 1310, 1315­16 (Pa. Super. Ct. 1991)).

31
Marcum contre Columbia Gas Transmission, LLC., 423 F. Supp. 3d 115, 121 (ED Pa. 2019) (citant Gaines c. Krawczyk,
354 F. Supp. 2d 573, 587 (WD Pa. 2004)).

32 Identifiant.

33
Marcum, 423 F. Supp. 3d à 121 (citant Duquesne Light Co. c. Westinghouse Elec. Corp., 66
F.3d 604, 612 (3d Cir.1995)).

34
North Penn Towns, LP contre Concert Golf Partners, LLC, n° 19­4540, 2021 WL 3562849, à *27 (ED Pa. 12 août 2021)
(guillemets internes omis) (citant Bucci, 591 F. Supp .2d à 783, et Duquesne Light Co., 66 F.3d à 611 (3d Cir. 1995)).

35
Marcum, 423 F. Supp. 3d à 121 (citant eToll, Inc. c. Elias/Savion Adv. Inc., 811 A.2d 10, 23
(Pa. Super. Ct. 2002)).

36
Bucci, 591 F. Supp. 2j à 783.

37
Marcum, 423 F. Supp. 3d à 121 (citant Yenchi c. Ameriprise Fin'l, Inc., 161 A.3d 811, 820 (Pa. 2017)).

38
North Penn Towns, 2021 WL 3562849, à *25 ; voir aussi Fed. R.Civ. P.9(b).

39
Shuker c. Smith & Nephew, PLC, 885 F.3d 760, 778 (3d Cir. 2018) (citant Frederico c. Home
Dépôt, 507 F.3d 188, 200 (3d Cir.2007)).

40 Doc. FEC. N°2 à 7 heures.

41 Identifiant.

42 Identifiant.

12
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Affaire 2:22­cv­00773­MAK Document 5 déposé le 03/09/22 Page 13 sur 14

43 Doc. FEC. N°2 à 5 heures.

44
Bionix Dev't Corp. c. Sklar Corp., n° 07­4465, 2008 WL 11365215, à *2 (ED Pa. 29 janvier 2008).

45
Duquesne Light Co. c.Westinghouse Elec. Corp., 66 F.3d 604, 611 (3d Cir. 1995)).

46 Doc. FEC. N°2 à 7 heures.

47
Williams c.Nat'l School of Health Tech., Inc., 836 F. Supp. 273, 281 (ED Pa. 1993).

48
Morgan c.Markerdowne Corp., 976 F. Supp. 301 (DNJ 1997) (citant L'ggrke c. Benkula, 966 F.2d 1346, 1348 (10th Cir.
1992)). Voir également Thomas c. Nova Southeastern Univ., Inc., n° 11­
2089, 2011 WL 3205298, à *3 (DNJ 27 juillet 2011).

49
Williams, 836 F. Supp. aux pages 278 à 281 (expliquant pourquoi la loi sur l'enseignement supérieur ne confère pas
d'action privée).

50
Wisniewski c. Fisher, 857 F.3d 152, 157 (3d Cir. 2017) (« Une plainte est passible d'un rejet pour défaut de déclaration
d'une réclamation fondée sur le délai de prescription uniquement lorsque la défense relative au délai de prescription est
apparente à première vue. de la plainte. »).

51
Peel c. McLaughlin, 641 F. App'x 111, 112 (3d Cir. 2016) (par tribunal).

52
641 F. App'x 111 (3d Cir. 2016) (par tribunal).

53 Ident. à 112.

54
Cunningham c.M & T Bank Corp., 814 F.3d 156, 164 (3d Cir. 2016) (citant l'ordonnance du RR
Télégraphes c.Ry. Agence express, 321 US 342, 348­49 (1944)).

55
Mast contre Lafayette Coll., n° 13­4161, 2015 WL 409774, à *4 (ED Pa. 30 janvier 2015).

56
Cooper c. Sirota, 37 F. App'x 46, 48 (3d Cir. 2002) (citant Leedom c. Spano, 647 A.2d 221, 336
(Pa. Super. Ct. 1994)).

57
Id. (citant Stroback c. Camaioni, 674 A.2d 257, 262 (Pa. Super. Ct. 1996)).

58
SodexoMAGIC, LLC contre Drexel Univ., 24 F.4th 183, 218 (3d Cir. 2022).

59
Cooper, 37 F. App'x à 48 (citant 42 PA. CONS. STAT. ANN. § 5524(7)).

60
Voir identifiant. (trouver la date la plus tardive possible pour les deux­
l'année où le délai de prescription pourrait commencer serait la date à laquelle le défendeur lui a délivré les polices).

13
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Affaire 2:22­cv­00773­MAK Document 5 déposé le 03/09/22 Page 14 sur 14

61
42 Pa. Contre. Stat. Anne. Article 5524(7).

62
Dans la mesure où M. Mohn a tenté de déposer une plainte pour conduite trompeuse en vertu de la loi sur la
protection des consommateurs de Pennsylvanie, le délai de prescription est de six ans. Brock c.Thomas, 782 F.
Supplément. 2d 133 (ED Pa. 2011). Cette réclamation est également prescrite par le délai de prescription pour le même
les raisons.

63
Cooper, 37 F. App'x à 48.

64
Identifiant.

65
Fine c. Checcio, 870 A.2d 850, 857 (Pa. 2005) (citant Nesbitt c. Erie Coach Co., 204 A.2d 473,
475 (Pa. 1964)).

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