Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Encadré par :
PR. ABDERRAHMANE HAJRAOUI
Réalisé par :
• KHADRI Salma
• EL GHAILANI Amal
Remerciements
La lumière est une énergie radiante perçue visuellement par l’œil. Elle
provient de sources naturelles (soleils, étoiles) ou artificielles (ampoule)
ou d’un objet réfléchissant la lumière comme la lune quand elle est
éclairée par le soleil.
a) Flux lumineux :
Le flux lumineux Ø est la quantité de lumière rayonnée par une
source dans toutes les directions de l’espace. Son unité est le
lumen (lm).
b) Eclairement :
L’éclairement E est la quantité de flux lumineux reçue par une
Ø
surface S. il est exprimé en lux (lx) ou lm/m² : 𝐸=
𝑆
Les valeurs d’éclairement rencontrées à l’extérieur varient. Voici quelques
exemples de valeurs d’éclairement de différents types de surfaces :
c) Intensité lumineuse :
d) Luminance :
La luminance est la seule grandeur réellement perçue par l’œil
humain. Elle représente le rapport entre l’intensité de la source
dans une direction donnée et la surface apparente de cette
source. Elle s’exprime en candélas par mètre carré (cd /m²). L’œil
humain perçoit des valeurs de luminance allant de 0,001 à 100 000
cd/m².
I*
Capteur
𝑝
𝐾. (1 + 𝑤1)
𝑝 𝑝2 𝑝
1 + 2𝑧 𝑤2 + 2 𝐾. (1 + 𝑤1)
𝐻(𝑝) = 𝑤2 =
𝑝 𝑝 𝑝2 𝑝
1 + 𝑤1 1 + 2. 𝑧 𝑤2 + + 𝐾. (1 + 𝑤1)
𝑤2 2
1 + 𝑘.
𝑝 𝑝2
1 + 2. 𝑧 𝑤2 +
𝑤22
𝑝
𝐾. (1 + 𝑤1)
=
2. 𝑧 𝐾 𝑝2
(1 + 𝐾) + ( + ) . 𝑝 +
𝑤2 𝑤1 𝑤22
Si K>>1 (ce qui est généralement vérifié, c’est un des principes de base des
2𝑧 𝐾 𝐾
asservissements), alors (1+K) ≈ K et (𝑤2 + 𝑤1) ≈ 𝑤1 et on peut écrire :
𝑝 𝑝
𝐾(1 + 𝑤1) 1 + 𝑤1
𝐻(𝑝) = =
𝐾 𝑝² 1 𝑝²
𝐾 + 𝑤1 . 𝑝 + 1 + 𝑤1 . 𝑝 +
𝑤2² 𝐾. 𝑤2²
Cherchons à décomposer le dénominateur :
1 4 1 4 1 4
Δ=𝑤1² − 𝐾.𝑤2² → √𝛥 = √𝑤1² − 𝐾.𝑤2² = 𝑤1 . √1 − 𝐾.𝑤2²
4.𝑤1²
Si K est suffisamment grand, alors ≪ 1 et il est possible de réaliser un
𝐾.𝑤2²
1
développement limité au premier ordre de √1 − 𝜀 ≅ 1 − 2 𝜀 , d’où :
1 2. 𝑤12
√∆ ≅ . (1 − )
𝑤1 𝐾. 𝑤22
−1 1 2. 𝑤12
𝑤1 − 𝑤1 . (1 − 𝐾. 𝑤22 ) 𝐾. 𝑤22
𝑥1 = ≅− 𝑒𝑡
2 𝑤1
𝐾. 𝑤2 2
−1 1 2. 𝑤1²
+ . (1 − )
𝑤1 𝑤1 𝐾. 𝑤2²
𝑥2 = = −𝑤1
2
𝐾. 𝑤2²
D’où :
𝑝
1 + 𝑤1 1
𝐻(𝑝) = =
𝑝 𝑝. 𝑤1 𝑝. 𝑤1
(1 + ) (1 + ) 1 +
𝑤1 𝑘. 𝑤22 𝐾. 𝑤2²
Circuit :
𝐼𝑑
𝐼𝑒𝑟𝑟𝑒𝑢𝑟 = 𝐼𝑏 = 𝛽
Domaine de la validité :
En effet, on a
𝑉𝑐𝑐 = 𝑉𝑙 + 𝑉𝑐𝑒 + 𝑉1
Avec :
Vl est la tension aux bornes de la charge.
Vce est la tension entre le collecteur et l’émetteur du transistor.
V1 est la tension aux bornes de la résistance R3 qu’est aussi notre
tension de commande.
Vl doit rester toujours inférieur à Vcc, en cas contraire, le générateur de
courant constant ne fonctionnera plus.
Il faut donc assurer une alimentation bien supérieure à la somme des
tensions de la branche.
A noter que toute puissance non dissipée par la charge et la résistance
R3 sera dissipée au niveau du transistor.
Simulation :
Composants :
- Un générateur DC de 12V
- Une résistance de 90KΩ
- Un potentiomètre anti-log de valeur 10kΩ
- Un amplificateur opérationnel TLC2201
- Une paire de Darlington NPN TIP122
- Une résistance 10Ω
- Un potentiomètre linéaire de 250Ω
- Une résistance de 500Ω
- Une LED haute puissance
- Un générateur DC 120V
Caractéristiques :
La LED haute puissance utilisée a une tension de seuil de 3,3V et un
courant maximal de 120 mA
Elle est équipée d’un dissipateur thermique.
Comme son modèle n’existe pas sur Proteus, on travaille avec une LED
rouge avec les caractéristiques de la LED de puissance.
𝐼𝑑 × 𝑅3 + 𝑅2𝑚𝑎𝑥 × 𝐼𝑑 + 3.3 + 𝑅4 × 𝐼𝑑
Ce qui reste très faible devant la puissance maximale qu’il peut dissiper (65
W).
Conclusion :