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I’

I1

I2 I

2𝑉1 = 4. 𝑅. 𝐼1 + 2𝑅. 𝐼2 (1)

𝑉2 = 2. 𝑅. 𝐼2 + 𝑅. 𝐼1 (2)
2𝑉2 − 𝑉1
𝐼2 =
3. 𝑅
2𝑉1 − 𝑉2
𝐼1 =
3. 𝑅
Ainsi le courant I :
𝑉1 + 𝑉2
𝐼 = 𝐼1 + 𝐼2 =
3. 𝑅
𝑉𝑆 = 𝑅. 𝐼 ′ + 𝑅. 𝐼 (3)
𝑉𝑆
𝑉𝑆 = 2𝑅. 𝐼 ′ → 𝐼 ′ = (4)
2𝑅
𝑉𝑆 𝑉1 + 𝑉2
𝑉𝑆 = + (3)
2 3
Soit au final :
2
𝑉𝑆 = (𝑉1 + 𝑉2 )
3
Montage à gauche : voir cours
𝑅2 (𝑅3 + 𝑅4 ) 𝑅4
𝑉𝑆 = 𝑉 − 𝑉
𝑅3 (𝑅1 + 𝑅2 ) 1 𝑅3 2
Montage à droite

V’2 en fonction de V2

Il s’agit du montage amplificateur inverseur :


𝑅2
V2′ = − 𝑉
𝑅1 2
VS en fonction de V1 et V’2

Il s’agit du montage sommateur inverseur (voir cours) :

𝑉1 V2′
𝑉𝑆 = −𝑅4 ( + )
𝑅5 𝑅3
1) Il s’agit du montage soustracteur (il faut identifier les résistances pour le correspondre au
montage soustracteur, faire aussi attention aux tensions V1 et V2)

Montage du cours
𝑅2 (𝑅3 + 𝑅4 ) 𝑅4
𝑉𝑆 = 𝑉1 − 𝑉2
(𝑅
𝑅3 1 + 𝑅2 ) 𝑅3
Correspondance
2𝑘
𝑉𝑆 = 𝑉 − 𝑉1
(1 + 𝑘) 2
2) Ecrire en fonction du gain différentiel et du mode commun
2𝑘 𝑉1 + 𝑉2
𝑉𝑆 = 𝑉2 − 𝑉1 = 𝐺𝑑 (𝑉2 − 𝑉1 ) + 𝐺𝐶 ( )
(1 + 𝑘) 2
𝐺𝐶 2𝑘
𝐺𝑑 + =
2 (1 + 𝑘)
𝐺𝐶
𝐺𝑑 − =1
2
2𝑘 3𝑘 + 1
2𝐺𝑑 = + 1 → 𝐺𝑑 =
(1 + 𝑘) 2(1 + 𝑘)
3𝑘 + 1 𝐺𝐶 𝑘−1
− = 1 → 𝐺𝐶 =
2(1 + 𝑘) 2 (1 + 𝑘)
b. le montage fonctionne comme amplificateur différentiel idéal lorsque Gc = 0 c’est-à-dire lorsque
k=1

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