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14 décembre 2023

Rapport de l'outil de diagnostic de l’OMPI en matière de


propriété intellectuelle pour l’OAPI

PRODUITS OU PROCÉDÉS INVENTIFS ET


INNOVANTS
Ce rapport est généré automatiquement en fonction de vos réponses.

Brevets et modèles d’utilité dans l’espace OAPI

Brevetabilité

Compte tenu de vos réponses, votre premier diagnostic en matière de propriété


intellectuelle, à confirmer par un examen, par exemple par l’intermédiaire de l’OAPI,
semble indiquer que votre nouveau produit ou procédé de production ou votre ajustement
technique pourrait ne pas être brevetable.

Pour qu’une invention soit brevetable, elle doit être nouvelle, impliquant une activité
inventive et susceptible d’application industrielle. L’obtention d’un brevet est donc
subordonnée à trois (3) critères obligatoires :

• L’invention doit être “nouvelle” : Une invention est nouvelle, si elle n’a pas
d’antériorité ou ne fait pas partie de l’état de la technique. Il ressort de ce texte que
l’état de la technique désigne toutes les connaissances techniques pertinentes à la
disposition du public, où que ce soit dans le monde, avant la première date de dépôt
de la demande de brevet en question. Il comprend notamment les brevets, les
demandes de brevet et la littérature non-brevet de toutes sortes.
- Les actes qui détruisent la nouveauté : Plusieurs actes peuvent être considérés
comme pouvant détruire le critère de la nouveauté en matière de brevetabilité.
Ainsi, si quelqu’un d’autre a déjà breveté ce que vous considérez comme un
nouveau produit, procédé ou ajustement technique, votre invention ne sera pas
nouvelle. L’invention ne sera pas non plus considérée comme nouvelle si elle a été
divulguée publiquement avant le dépôt d’une demande. Cette divulgation publique
peut se faire par des essais, une collaboration avec un tiers ou par la publicité.
- Le délai de grâce prévu par l’OAPI : L’OAPI a mis en place un “délai de grâce”,
c’est-à-dire que si la divulgation a été faite pendant ce délai de grâce, l’obtention
d’un brevet est encore possible. C’est pourquoi la nouveauté d’une invention n’est
pas mise en échec si, dans les douze (12) mois précédant le jour du dépôt de la

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demande de brevet, cette invention a fait l’objet d’une divulgation résultant d’un
abus manifeste à l’égard du déposant de la demande ou de son auteur, ou du fait
que le déposant de la demande ou son auteur l’a exposée dans une exposition
internationale officielle ou officiellement reconnue. Il est important de parler à un
expert pour comprendre si la protection par brevet est encore une option dans ce
cas. Compte tenu de vos réponses, cela pourrait être le cas pour vous.

• L’invention doit impliquer une “activité inventive” : Une invention est considérée
comme impliquant une activité inventive ou comme ayant un caractère non évident
quand, compte tenu de l’état de la technique, l’invention n’aurait pas été évidente pour
une personne du métier dans le domaine technique considéré. Une invention est
considérée comme résultant d’une activité inventive si, pour un homme du métier
ayant des connaissances et une habileté moyenne, elle ne découle pas d’une manière
évidente de l’état de la technique à la date du dépôt de la demande de brevet ou bien,
si une priorité a été revendiquée, à la date de la priorité valablement revendiquée pour
cette demande. La condition de non-évidence vise à faire en sorte que les brevets
soient délivrés seulement pour des réalisations impliquant véritablement une activité
créative et inventive et non pour des améliorations qu’une personne possédant des
compétences normales peut aisément déduire de l’état de la technique existante.
• L’invention doit être “susceptible d’application industrielle” : Une invention est
susceptible d’application industrielle si son objet peut être fabriqué ou utilisé dans tout
genre d’industrie. Le terme industrie doit être compris dans le sens le plus large,
c’est-à-dire qu’il couvre notamment l’artisanat, l’agriculture la pêche et le service. Une
invention ne peut pas être un simple phénomène théorique; elle doit être utile et offrir
certains avantages pratiques.
• L’invention ne doit pas figurer sur une liste de choses qui, par définition, ne
sont pas brevetables : L’Accord de Bangui exclut certains types d’inventions de la
protection par brevet. Ne peuvent être donc brevetables, les inventions dont
l’exploitation est contraire à l’ordre public ou aux bonnes mœurs, les méthodes de
traitement du corps humain ou animal par la chirurgie ou la thérapie ainsi que les
méthodes de diagnostic, l’invention qui a pour objet des variétés végétales, races
animales, procédés essentiellement biologiques d’obtention de végétaux ou
d’animaux, autres que procédés microbiologiques et produits obtenus par ces
procédés. Cette catégorie d’exclusion n’est pas exhaustive. Elle n’est qu’à titre
indicative. L’on pourrait inclure dans les exclusions, les programmes d’ordinateurs
dans la mesure où ces derniers sont protégés dans l’espace OAPI, en principe, par le
droit d’auteur sauf s’ils permettent d’aboutir à un aspect technique. En tout état de
cause, il peut être difficile de déterminer si une invention particulière entre dans une
catégorie exclue pour un pays donné et il peut être utile de consulter un expert pour
analyser le potentiel de protection d’une invention donnée.

Veuillez noter qu’en fonction des lois de chaque pays (hors OAPI), tous les brevets ne
sont pas examinés. En l’absence d’examen, aucun fonctionnaire ne comparera votre
invention aux bases de connaissances existantes ou à l’“état de la technique” pour
déterminer si elle est réellement nouvelle ou inventive. Lors de la revendication d’un
brevet, un tiers pourrait trouver une référence qui remet en question sa validité. Cela peut
même se produire lorsqu’un brevet a été examiné. Par conséquent, bien qu’un brevet ait
été délivré, un tribunal peut par la suite déclarer la nullité du brevet.

Quelques recommandations utiles

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• Nous invitons tous les inventeurs qui aspirent à obtenir un brevet d’invention, à
consulter les bases de données sur les brevets pour voir si l’invention qu’ils
envisagent de protéger n’a pas déjà été brevetée par quelqu’un d’autre. Pour ce qui
est de la protection souhaitée à l’OAPI, vous êtes invités à consulter les bases de
données brevets disponibles sur le service en ligne de l’OAPI sur le site www.oapi.int
pour une protection internationale, le site de l’OMPI : https://patentscope.wipo.int/
search/fr/search.jsf
• Il est important pour l’inventeur de se garder de ne divulguer aucune information avant
de déposer une demande de brevet (lors d’un salon, d’une exposition, etc.), sauf dans
les cas suivants :
- En d’abus manifeste à l’égard de l’auteur de la demande,
- Lorsque l’auteur de la demande a exposé son invention dans une exposition
internationale officielle ou officiellement reconnue.

• Si vous devez parler par exemple avec un investisseur ou un autre partenaire de


développement, assurez-vous que vous le faites après avoir signé un accord de
non-divulgation.
• Il faut noter qu’il est très important de faire recours au service d’un professionnel qui
peut être un Conseil en Propriété Industrielle (CPI) ou Mandataire agréé auprès de
.l’OAPI, dont la liste est disponible sur le site web, https://www.oapi.int.

Toutefois, il importe de noter que si les brevets sont un moyen important de protéger et
d’exploiter commercialement les inventions techniques, ils ne constituent pas toujours le
meilleur choix selon les circonstances. Vous trouverez ci-dessous quelques situations
dans lesquelles vous pouvez considérer que la protection par brevet n’est pas la meilleure
option et que d’autres options, y compris les secrets d’affaires, sont préférables selon les
intérêts stratégiques de l’entreprise.

• Coûts de brevets et applicabilité : Les petites entreprises disposant de budgets limités


peuvent être en mesure de déposer une demande de brevet, mais peuvent avoir des
difficultés à réunir l’argent nécessaire pour franchir toutes les étapes du processus
jusqu’à l’obtention d’un droit de brevet et, une fois obtenu, pour le faire appliquer. En
tant que petite entité, il est probable que vous puissiez bénéficier de la subvention de
l’OAPI accordé aux déposants économiquement faibles. Les conditions d’obtention de
cette subvention sont disponibles dans les structures nationales de liaison de chacun
des Etats membres de l’OAPI, dont les adresses se trouvent sur le site www.oapi.int.
Certaines réductions de taxes peuvent également être accordées dans le cadre du
Traité de coopération en matière de brevets (PCT), en fonction de votre nationalité.
En ce qui concerne les coûts liés à l’obtention d’un brevet, le Programme d’aide aux
inventeurs de l’OMPI peut vous aider. Le programme met en relation des inventeurs
avec des conseils en brevets qui leur fournissent une assistance juridique à titre
gracieux pour qu’ils puissent obtenir une protection par brevet dans certains pays (voir
https://www.wipo.int/iap/fr/index.html ).
• Si votre invention est utilisée uniquement au sein de votre entreprise (par exemple,
elle peut se rapporter à un procédé de production), ou s’il n’est pas facile de faire de
l’ingénierie inverse, la protection des secrets d’affaires peut offrir une meilleure
protection.
• Capacité à toujours garder une longueur d’avance : Si vous êtes sûr de toujours avoir

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une longueur d’avance sur vos concurrents et que votre entreprise ne souffrira pas de
l’utilisation par vos concurrents de vos inventions de dernière génération, il se peut
que des brevets ne soient pas nécessaires.
• Produits ayant des cycles de vie plus courts : La délivrance d’un brevet peut prendre
de plusieurs mois à quelques années. Si la durée de vie prévue du produit est très
courte, il se peut que les brevets ne soient pas un outil efficace pour fournir une
protection sur le marché, et il peut être plus logique d’opter pour les secrets d’affaires
ou de s’appuyer sur d’autres stratégies commerciales pour obtenir un avantage
concurrentiel durable.
• Protection au-delà de 20 ans : La protection par brevet est généralement assurée
pour une période maximale de 20 ans. Si vous avez besoin d’une protection au-delà
de la durée maximale du brevet, et si vous pouvez raisonnablement supposer que les
principes qui sous-tendent l’invention peuvent être gardés secrets, il se peut que vous
choisissiez la protection des secrets d’affaires plutôt que la protection par brevet.

Viabilité des modèles d’utilité

Peuvent constituer un Modèle d’Utilité, les instruments de travail ou des objets destinés à
être utilisés ou les parties de cet instrument ou objets pour autant qu’ils soient utiles au
travail ou à l’usage auquel ils sont destinés à une configuration nouvelle, à un
arrangement ou à un dispositif nouveau et qu’ils soient susceptibles d’application
industrielle. Dans l’espace OAPI, les modèles d’utilité constituent une alternative aux
brevets en raison de leurs critères de validité qui sont presque semblables et qui peuvent
également être moins chers par rapport au brevet d’invention. Cette invention est
considérée dans l’espace OAPI, comme étant « un petit brevet ». Pour que les
instruments ou objets soient considérés comme Modèles d’Utilité, il doit nécessairement
remplir deux conditions à la différence du brevet qui en exige trois : la nouveauté et
l’application industrielle.

Les conditions de validité du Modèle d’Utilité

Les instruments ou les objets doivent être nouveaux et susceptibles d’application


industrielle. En effet, les instruments ou objets tels que visés à l’article 1er sont considérés
comme nouveaux, si à la date du dépôt de la demande auprès de l’Organisation, ils ont
été décrits dans des publications ou s’ils ont été notoirement utilisés depuis au moins six
(06) mois sur le territoire de l’un des Etats membres de l’Organisation ou sur le territoire
d’un Etat tiers. La nouveauté n’est pas mise en échec si, dans les douze (12) mois
précédant la date visée à l’alinéa 1, l’instrument ou l’objet ou les parties de l’un ou de
l’autre ont fait l’objet d’une divulgation résultant :

• soit d’un abus manifeste à l’égard du déposant de la demande ou de son


prédécesseur en droit
• soit du fait que le déposant de la demande ou son prédécesseur en droit les a
exposés dans une exposition internationale officielle ou officiellement reconnue.

Ne peut faire l’objet d’enregistrement, le modèle d’utilité qui serait contraire à l’ordre public
ou aux bonnes mœurs, à la santé publique, à l’économie nationale ou à la défense
nationale ou si le modèle d’utilité basé sur une demande antérieure ou une demande
bénéficiant d’une priorité antérieure. La durée de la protection conférée par le certificat

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d’enregistrement d’un modèle d’utilité expire au terme de la dixième année à compter de
la date de dépôt de la demande d’enregistrement.

En général, par rapport aux brevets, les systèmes de modèles d’utilité sont moins
exigeants et nécessitent des niveaux d’innovation moins élevés. Il en résulte des
procédures plus simples qui se traduisent souvent par des délais de délivrance plus
courts, ce qui en fait un outil plus rapide à utiliser contre les auteurs d’atteintes aux droits
de propriété intellectuelle. Toutefois, du fait de l’examen moins rigoureux effectué pour les
modèles d’utilité, ces derniers ont plus de chances d’être invalidés lorsqu’ils sont
examinés dans le cadre d’une procédure judiciaire. Si la rapidité est une préoccupation
majeure, il se peut que certains pays hors de l’espace OAPI aient également prévu des
dispositions visant à accélérer l’examen des brevets ordinaires, ou une réduction des
taxes par exemple pour les petites entités, qui devraient être prises en considération lors
du choix entre une demande de brevet ou une demande de modèle d’utilité. Par
conséquent, veuillez demander conseil à votre agent de brevets ou à votre conseiller en
brevets local ou mandataire, ou encore la structure nationale de liaison de votre pays, qui
déterminera si un modèle d’utilité est une bonne alternative à un brevet dans votre cas.

Bien qu’un modèle d’utilité ne semble pas à première vue être un choix intéressant pour la
protection dans votre cas, vous pouvez voir avec votre agent de brevets ou votre conseil
en brevets local si une demande de modèle d’utilité serait néanmoins avantageuse.

Attirer des investissements

Dans l’économie d’aujourd’hui, fondée sur le savoir, les actifs incorporels des entreprises
constituent une part plus importante de la valeur globale des entreprises. Les actifs
physiques des entreprises représentent une part de plus en plus faible de la valeur des
entreprises. Par conséquent, une entreprise qui a pris des mesures pour protéger ses
innovations et qui a des brevets ou déposé des demandes de brevet aura des actifs
commerciaux puissants, des actifs qui sont négociables. Ils peuvent constituer un élément
important de la valeur de l’entreprise et, à ce titre, seront soigneusement pris en
considération par les investisseurs pour déterminer s’ils doivent investir dans cette
entreprise. À cet égard, il importe de connaître la valeur des brevets. Cela nécessite, bien
entendu, d’être capable d’évaluer les brevets. D’autres raisons peuvent expliquer cette
nécessité d’évaluer le brevet (comme dans le cadre d’un litige, aux fins de la production de
rapports financiers, etc.). Il existe des méthodes bien établies pour déterminer la valeur
d’un brevet et un expert en évaluation peut être consulté à cette fin.

Il existe principalement trois méthodes d’évaluation. Il s’agit de la méthode fondée sur le


coût, de la méthode fondée sur le marché et de la méthode fondée sur le revenu. La
méthode fondée sur le coût consiste à déterminer la valeur d’un actif de propriété
intellectuelle en calculant le coût d’élaboration d’un actif de propriété intellectuelle
analogue (ou exact) en interne ou en externe. La méthode fondée sur la valeur de marché
s’appuie sur une comparaison avec le prix réel payé pour un actif de propriété
intellectuelle similaire dans des circonstances similaires. La méthode fondée sur le revenu
consiste à estimer la valeur d’un actif de propriété intellectuelle en partant du revenu
économique que l’on s’attend à ce qu’il produise, et en l’actualisant.

Invention créée par un tiers pour vous

Dans cette partie, vous avez indiqué que l’invention que vous utilisez n’a pas été créée
pour vous par un tiers. Dans cette hypothèse où l’invention a été créé par vous-même, il

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est clair qu’incontestablement elle vous appartient.

Si l’invention a été créée par un employé, dans l’espace OAPI, trois (3) cas de figure
peuvent se présenter :

• La première : Les inventions de mission. Les inventions développées par le salarié


dans l’exécution, soit d’un contrat de travail comportant une mission inventive qui
correspond à ces fonctions effectives, soit d’études et de recherches qui lui sont
explicitement confiées, appartiennent à l’employeur. Dans ce cas, le salarié auteur
d’une telle invention, bénéficie d’une rémunération supplémentaire qui, à défaut d’être
déterminée par voie de négociation collective ou individuelle, est fixée par la juridiction
nationale compétente.
• La seconde : Les inventions hors mission attribuable. Lorsqu’un salarié n’est pas
tenu par son contrat de travail d’exercer une activité inventive, mais invente en
utilisant les techniques ou les moyens spécifiques à l’entreprise, ou les données
procurées par elle, le droit au brevet appartient au salarié. Toutefois, l’employeur a le
droit de se faire attribuer la propriété ou la jouissance de tout ou partie des droits
attachés au brevet protégeant l’invention de salarié. Dans ce dernier cas, le salarié
doit en obtenir un juste prix qui, à défaut d’accord entre les parties est fixé par la
juridiction nationale compétente. Celle-ci prendra en considération, tous les éléments
qui pourront lui être fournis notamment par l’employeur et par le salarié pour calculer
le juste prix, tant en fonction des apports initiaux de l’un et de l’autre que de l’utilité
industrielle et commerciale de l’invention.
• La troisième : Les inventions hors mission non attribuables. Toutes les autres
inventions appartiennent au salarié. En d’autres termes, toutes les inventions faites
par le salarié en dehors des deux premières hypothèses appartiennent exclusivement
au salarié dans l’espace OAPI.

La question des inventions qui sont mises au point par des tiers, ou conjointement avec
des tiers ou mises au point par vous pour des tiers, a acquis une importance particulière
aujourd’hui dans le contexte de l’environnement de plus en plus collaboratif de l’innovation
ouverte. L’innovation ouverte, par opposition à l’innovation fermée, est établit que pour
créer véritablement des produits innovants, il faut un environnement ouvert aux idées de
personnes extérieures à l’organisation en question. Auparavant, l’innovation se faisait
dans un environnement fermé, entre les quatre murs d’une organisation, avec peu
d’apports extérieurs. Aujourd’hui, on observe une tendance croissante à une approche
plus collaborative où de nombreuses organisations recherchent l’apport de parties
extérieures à leurs projets. Les droits de ces parties externes sur les résultats de leur
travail d’innovation doivent être établis dès le départ. C’est également un environnement
auquel les petites entreprises cherchent de plus en plus à participer et, si celles-ci ont pris
des mesures appropriées pour gérer la propriété intellectuelle liée à leurs innovations,
elles deviennent des candidats intéressants pour les grandes entreprises.

Dans les cas où des entreprises sont engagées par des acteurs plus importants pour
effectuer certaines tâches ou pour apporter des solutions à des problèmes techniques
spécifiques, il faut déterminer à qui appartiendront les résultats des travaux. Ces questions
complexes nécessitent une préparation et une réflexion approfondies avant toute
collaboration de la sorte.

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Avertissement

Le contenu des rapports générés par l'outil de diagnostic de l’OMPI en matière de


propriété intellectuelle ne constitue pas, et n’est pas destiné à constituer, un avis ou
un conseil juridique, et ne doit pas être traité comme tel. Les rapports sont générés
automatiquement et uniquement à des fins d’information générale, et leur contenu
peut ne pas correspondre à la situation particulière de la PME participante. Personne
ne doit agir, ou s’abstenir d’agir, en se fondant uniquement sur le contenu de ces
rapports sans avoir consulté un juriste ou tout autre professionnel compétent. Ni
l’OMPI ni l’OAPI ne sont responsable des pertes, coûts ou dommages de quelque
nature que ce soit résultant de l’utilisation de ces rapports ou des mesures prises ou
non prises sur la base de leur contenu. Pour de plus amples informations, bien
vouloir vous rapprocher de la Structure nationale de Liaison de votre pays ou d’un
mandataire agréé de l’OAPI, dont les adresses se trouvent ci-dessus.

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