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14 décembre 2023

Rapport de l'outil de diagnostic de l’OMPI en matière de


propriété intellectuelle pour l’OAPI

SANCTION DES DROITS DE PROPRIÉTÉ


INTELLECTUELLE
Ce rapport est généré automatiquement en fonction de vos réponses.

Les conséquences des atteintes à la propriété intellectuelle dans


l’espace OAPI

D'après votre réponse, vous savez qu’utiliser sans autorisation les actifs de propriété
intellectuelle de tiers constitue une infraction.

L'utilisation non autorisée d’actifs de propriété intellectuelle détenus par un tiers dans
l’espace OAPI peut avoir des conséquences désastreuses pour votre entreprise. Dans
l’espace OAPI, ces atteintes aux droits du titulaire sont qualifiées d’actes de contrefaçon.
Cette contrefaçon est visée dans tous les Annexes relatifs à la propriété intellectuelle dans
l’Accord de Bangui. La contrefaçon engage la responsabilité civile et pénale de son
auteur, son coauteur et son complice. En effet, ce dernier (le titulaire de droit ou le
licencier exclusif ou le cessionnaire) peut vous poursuivre en justice et exiger, selon le
pays ou le territoire concerné, que vous mettiez fin à l'utilisation, la production,
l'importation ou la vente de marchandises ou la prestation de services portant atteinte à
ses droits. En outre, il peut exiger que les marchandises contrefaisantes soient saisies et
retirées des circuits commerciaux ou détruites. Là encore, selon le pays ou le territoire
concerné, des injonctions préliminaires peuvent être prononcées pour vous ordonner de
mettre fin aux actes incriminés jusqu'à ce que les tribunaux déterminent si l'atteinte est
avérée ou non. Le titulaire du droit peut également demander que des documents soient
remis aux tribunaux. En plus de ce qui précède, si la contrefaçon est avérée, vous pouvez
être condamné à verser des dommages-intérêts. L'argument selon lequel vous ne saviez
pas que vous portiez atteinte à des droits de propriété intellectuelle ne constituera pas une
excuse légitime et encore moins une défense recevable.

Il importe donc d’effectuer régulièrement des recherches sur la liberté d'exploitation, en


particulier avant de commencer à développer un nouveau produit ou service. Ces
recherches permettent de savoir si la fabrication, l'utilisation, la vente ou l'importation d'un
nouveau produit ou l'offre d'un nouveau service porte atteinte aux droits de propriété
intellectuelle de tiers, étape importante avant de décider s'il faut lancer ou poursuivre des
projets de recherche-développement et utiliser ou commercialiser de nouveaux produits.

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Les recherches sur la liberté d'exploitation font souvent ressortir des droits de tiers.
Plusieurs options peuvent alors être envisagées, notamment :

• Acquérir les droits de propriété intellectuelle ou négocier une licence afin que votre
entreprise puisse utiliser ces droits. En général, plus tôt vous engagez de telles
négociations, moins l'obtention de ces droits sera coûteuse. Il importe de noter qu'une
licence donne le droit d'utiliser un actif de propriété intellectuelle dans un domaine et
dans un lieu donné. Il faut tenir compte des prévisions d'évolution du produit ou
service que vous proposez lors de la négociation des conditions pour ne pas avoir à
les négocier de nouveau par la suite.
• Faire établir un avis juridique expliquant pourquoi les droits de propriété intellectuelle
mis en évidence ne sont pas valables ou ne font pas l’objet d’une violation. Vous
pensez peut-être que votre produit ou service ne porte pas atteinte aux droits de tiers,
ou qu’un droit en particulier n'est pas valable. Par exemple, dans le cas d'un brevet,
vous estimez peut-être que l'invention telle que décrite n'est pas nouvelle et qu'elle ne
peut donc pas bénéficier d'une protection. Vous pouvez faire appel à un expert
juridique pour évaluer le risque de poursuites et éventuellement prendre des mesures
pour faire invalider le droit de propriété intellectuelle. Vous pouvez enregistrer ces
informations ou demander une clause de non-poursuite, en vertu de laquelle le
titulaire s’engage à ne pas faire valoir ses droits dans des circonstances, des
domaines ou des zones géographiques déterminés.
• Contourner le droit de propriété intellectuelle. Vous pouvez également envisager de
contourner le droit de propriété intellectuelle protégé afin d'éviter toute atteinte. Dans
ce cas, vous pouvez adapter votre projet en tenant compte des droits existants et en
modifiant le produit ou le service d'une manière qui n'utilise pas ces droits. Cette
stratégie peut même déboucher sur des inventions susceptibles de générer de
nouveaux droits.
• Demander une licence obligatoire. Dans le cas des droits de brevet ou celui du
modèle d’utilité, si le titulaire de droit n'est pas disposé à concéder une licence
volontaire, vous pouvez demander aux autorités de délivrer une licence obligatoire,
conformément à la législation et aux dispositions pertinentes dudit Accord. Au regard
de la complexité de cette procédure, il est souhaitable de consulter un spécialiste
(Conseil en Propriété Intellectuelle ou Mandataire agréé auprès de l’OAPI), au sujet
des questions de propriété intellectuelle pour vérifier la faisabilité d'une telle
démarche.
• Si aucune des options ci-dessus n'est réalisable, vous pourriez décider d'abandonner
le projet.

Consulter régulièrement les sources d'information sur les atteintes aux


droits de propriété intellectuelle

Dans votre réponse, vous avez indiqué ne pas avoir envisagé de consulter régulièrement
les registres officiels ou d’autres sources d’information afin de déterminer si une atteinte
avait été portée à votre propriété intellectuelle. Vous avez également indiqué ne pas savoir
qu’il vous incombe de répertorier les atteintes à vos droits de propriété intellectuelle et de
prendre des mesures à l’encontre de leurs auteurs.

La consultation régulière de différentes sources d'information pour mettre en évidence les


actes qui pourraient constituer une atteinte à vos droits devrait être au premier plan de

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votre stratégie de propriété intellectuelle. C'est une condition préalable pour prendre des
mesures contre les pratiques commerciales préjudiciables des concurrents et utiliser
pleinement vos droits aux fins prévues. Ceci est d'autant plus important qu'aucune autorité
publique n'est tenue de prendre ni ne prendra de mesures en votre nom sans que vous
n'en fassiez la demande même s’il est vrai qu’en théorie cela est possible en matière
pénale en ce qui concerne le procureur qui peut mettre l’action publique en mouvement
lorsque l’ordre public est troublé par des actes de contrefaçon. En effet, les questions de
propriété intellectuelle relèvent pour la plupart du droit civil (litiges entre parties privées) et
non du droit pénal (dans le cadre duquel la police ou les procureurs doivent prendre des
mesures de leur propre initiative). Certains ressorts juridiques, tout comme l’OAPI,
prévoient néanmoins des procédures pénales, par exemple lorsque l'atteinte est commise
délibérément et à une échelle commerciale.

Il existe des sources d'information de référence que vous devriez prendre en considération
:

• Bases de données de propriété intellectuelle : il serait judicieux de consulter


régulièrement les bases de données de propriété intellectuelle, notamment les bases
de données sur les brevets et sur les marques. Même si un office de propriété
intellectuelle examine les demandes pour savoir si elles sont recevables ou non, les
examinateurs peuvent commettre des erreurs. Plus tôt vous mettrez en évidence un
droit qui pourrait être en conflit, plus tôt vous pourrez prévenir les dommages qui
pourraient être causés à votre entreprise.
• Autres services d'enregistrement : certains concurrents pourraient simplement
copier votre propriété intellectuelle et l'incorporer dans leurs produits et services, de
mauvaise foi ou à leur insu. De nombreuses organisations douanières (et parfois
aussi de police) tiennent des bases de données dans lesquelles vous pouvez saisir le
descriptif de vos produits incorporant un droit de propriété intellectuelle. Lorsque les
agents identifient des marchandises suspectes, ils peuvent les comparer avec les
données figurant dans leur base et vous alerter afin que vous puissiez (leur
demander) de prendre des mesures. Dans le monde numérique, les plateformes de
vente et d’achat de marchandises peuvent mettre en place des lignes d'assistance
téléphonique et des bases de données similaires à cette fin.
• Prestataires de services spécialisés : un certain nombre de prestataires de services
spécialisés peuvent vous aider à répertorier les produits et services protégés par la
propriété intellectuelle, à identifier les auteurs d'atteintes et à obtenir des informations.
Il peut s'agir de services d'enquêteurs privés, mais aussi d'ingénierie, par exemple des
cabinets de conseil qui peuvent désassembler un produit et l'étudier en vue de
déterminer si des technologies portent atteintes à des brevets.
• Salons professionnels, clients : il ressort de plusieurs études que les clients et
salons professionnels sont les principaux canaux par lesquels on peut mettre en
évidence des preuves d’actes constituant une atteinte à des droits de propriété
intellectuelle. Vous pourriez envisager de sensibiliser les clients à la manière de
différencier les produits et services originaux des produits et services copiés et de les
encourager à signaler l'existence de copies qui pourraient être illicites. Lors des
salons professionnels, soyez attentifs aux stands dans lesquels des produits et
services portant atteinte à vos droits de propriété intellectuelle pourraient être
exposés, ainsi qu'aux visiteurs de vos propres stands qui pourraient essayer de percer
les secrets qui sous-tendent vos produits. De nombreux salons professionnels
proposent des services spécialisés en matière de propriété intellectuelle (souvent en

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collaboration avec les organismes chargés de l'application de la loi) dont vous
souhaiterez peut-être prendre connaissance.

Connaissance des possibilités de faire respecter vos droits de propriété


intellectuelle

Vous avez déclaré ne pas avoir connaissance des possibilités dont vous disposez pour
faire respecter vos droits de propriété intellectuelle. Vous avez également indiqué ne pas
connaître les mécanismes de règlement extrajudiciaire des litiges.

Les différents systèmes juridiques, ainsi que ceux de l’OAPI, offrent tout un éventail de
possibilités pour faire appliquer les droits de propriété intellectuelle, qui peuvent aller d’un
droit d'information (la possibilité de demander des informations au tiers qui semble porter
atteinte à vos droits par exemple) au droit de préservation des preuves, en passant par le
droit de demander la saisie et l'élimination ou la destruction de marchandises, les
injonctions préliminaires concernant les activités commerciales des auteurs de l'atteinte
(jusqu'à ce que l'affaire soit résolue) et, une fois la décision rendue, la possibilité de
demander des dommages-intérêts.

Dans l’espace OAPI, par exemple, les procédures pour lutter efficacement contre les actes
de contrefaçon ou les atteintes aux droits du titulaire peuvent être classées de notre point
de vue en deux catégories : Les mesures préventives et les actions coercitives. Toutefois,
il faut préciser qu’avant le déclenchement d’une action en contrefaçon, il est nécessaire de
s’assurer que les conditions d’existence suivantes sont réunies :

• L’enregistrement doit exister dans le temps, c’est-à-dire que l’enregistrement de l’objet


de propriété intellectuelle doit être toujours valable, en vigueur.
• L’objet de propriété intellectuelle doit avoir été enregistré sur un territoire donné
comme l’espace OAPI, l’ARIPO ou l’Union Européenne. On parle dans ce cas du
principe de territorialité.

S’agissant des mesures préventives comme sus-évoquées : Dans l’espace OAPI,


plusieurs mesures peuvent être qualifiées de préventives parce qu’elles ont pour objectif
en général de permettre au titulaire de l’atteinte de préconstitué des preuves. Nous
pouvons citer notamment la mise en demeure ou l’injonction de faire cesser les atteintes,
la saisie de contrefaçon et les mesures aux frontières.

Quant aux actions coercitives : ce sont des actions qui ont pour but de contraindre
quelqu’un à accomplir son devoir ou d’obéir à la loi. Pour atteindre cet objectif, la victime
peut avoir recours :

• aux modes alternatifs de règlement de conflit, c’est-à-dire l’arbitrage et la médiation


prévue dans l’espace OAPI.
• aux procédures administratives de règlement de conflit devant l’OAPI qui sont :
l’Opposition à la délivrance du titre, la revendication du droit au titre et le recours
devant la Commission Supérieur de Recours (CSR).
• aux juridictions judiciaires nationales compétentes des Etats membres de l’OAPI telles
que le Tribunal Civil, le Tribunal Pénal et le Tribunal de Commerce crée
exceptionnellement dans certains Etats membres pour connaître exclusivement des

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questions économiques liées à la contrefaçon.

Généralement, la première étape d'une action pour atteinte à un droit consiste à rédiger
une lettre de mise en demeure dans laquelle vous pouvez faire savoir au tiers qu'il porte
atteinte à vos droits de propriété intellectuelle et qu'il devrait mettre fin aux actes
incriminés (et formuler des demandes supplémentaires, par exemple pour obtenir des
dommages-intérêts). L'envoi de cette lettre est souvent suivi d'une période de
négociations qui, dans la plupart des cas, aboutissent à un règlement à l'amiable. En règle
générale, le tiers mettra fin aux actes incriminés ou vous demandera de lui octroyer une
licence afin que vous puissiez profiter financièrement de vos succès commerciaux.

Si le tiers s'oppose à votre demande ou n’y donne pas suite, l'affaire peut être portée
devant les tribunaux. Cependant, vous devez savoir qu'une procédure judiciaire peut être
longue et coûteuse et qu’elle comporte certains risques quant à son résultat. C'est
également la raison pour laquelle la plupart des litiges de propriété intellectuelle sont
finalement réglés à l'amiable. En tant que PME, vous devez donc vous assurer de
disposer des ressources financières nécessaires en tenant compte des coûts et avantages
d’une telle procédure. Toutefois, le montant élevé des coûts ou de la confrontation avec
une grande entreprise très puissante ne devrait pas non plus vous effrayer. Même avec
des ressources financières limitées, il peut y avoir des options (comme dans certains
ressorts juridiques où les avocats touchent des honoraires subordonnés aux résultats; ou
en vendant vos actifs de propriété intellectuelle à une entreprise aussi importante que
celle de la partie adverse, qui fera ensuite respecter vos droits; ou en ayant recours aux
services d'entreprises spécialisées dans l'application des droits de propriété intellectuelle).

Il faut noter que les atteintes aux droits de propriété intellectuelle dans l’espace OAPI
peuvent être inopérantes dans les cas suivants :

• En cas d’atteintes voulues par le titulaire de droit, le titulaire ne peut agir en


contrefaçon contre le tiers bénéficiaire d’une licence contractuelle. Sauf si le licencié
outrepasse les limites du contrat de licence. De même, lorsque l’exploitation illicite de
l’objet de propriété intellectuelle a été tolérée pendant 3 ans en connaissance de
cause, sauf s’il est avéré que le dépôt querellé a été effectué de mauvaise foi.
• En cas d’atteintes autorisées par le législateur, c’est-à-dire avec la permission de la
loi, le titulaire de droit ne peut pas non plus agir en contrefaçon contre les tiers lorsque
son droit sur l’objet de propriété industrielle est épuisé, notamment, par l’utilisation du
produit breveté ou la marque de produit ou de service mis en circulation de manière
licite ou avec son consentement sur le territoire d’un Etat membre de l’espace OAPI.

Une alternative au règlement judiciaire des litiges pourrait consister à recourir aux services
de règlement extrajudiciaire des litiges et de médiation, qui sont souvent plus rapides et
moins coûteux. Le Centre d’arbitrage et de médiation de l’OMPI (https://www.wipo.int/amc/
fr/ ) est une institution de règlement extrajudiciaire des litiges neutre, internationale et sans
but lucratif, qui propose des procédures de règlement des litiges rapides et économiques.
Les procédures de médiation, d’arbitrage, d’arbitrage accéléré et d’expertise de l’OMPI
permettent aux parties privées de régler efficacement leurs litiges de propriété
intellectuelle ou de technologie, nationaux ou transfrontalières, sans recourir aux
tribunaux. Le Centre d'arbitrage et de médiation de l'OMPI est également, à l’échelle
mondiale, la principale institution à proposer des services de règlement des litiges relatifs
aux noms de domaine de l’Internet.

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Il existe au sein de l’espace OAPI depuis 2016, à l’instar du Centre de Médiation et de
l’Arbitrage de l’OMPI, des procédures extrajudiciaires de règlement des litiges. Pour
l’instant, ce centre n’est pas encore opérationnel (fait établi en Novembre 2022). Ils
constituent donc une procédure alternative au procès soumis aux juridictions d’Etats et
présentent plusieurs avantages. Le Conseil d’Administration de l’OAPI en sa session du 7
décembre 2016 tenue à Nouakchott, en Mauritanie, ce sont :

• le règlement portant création et organisation du Centre d’Arbitrage et de Médiation de


l’OAPI adopté par résolution N°56/22. Il est entré en vigueur depuis le 1er janvier
2017;
• le règlement de Médiation du Centre d’Arbitrage et de Médiation de l’OAPI, objet de la
résolution n°56/23, dont l’entrée en vigueur depuis le 1er mars 2017;
• le règlement d’Arbitrage du Centre d’Arbitrage et de Médiation de l’OAPI adopté par
résolution n°56/24 qui est rentré en vigueur depuis le 1er janvier 2018.

Les modes alternatifs de règlement des différends en matière de propriété intellectuelle


initiés par l’OAPI ont pour objectif de contribuer à la sécurisation et l’attractivité des
investissements dans les Etats membres de l’OAPI.

Il importe en outre de garder à l'esprit que, lorsque l'atteinte à des droits de propriété
intellectuelle constitue une infraction pénale, le titulaire du droit peut alerter les autorités et
demander qu’une enquête soit diligentée.

De même, si le titulaire de droits de propriété intellectuelle apprend que des marchandises


portant atteinte à ses droits sont importées dans un pays, il peut demander aux autorités
douanières de suspendre la libre circulation de ces marchandises. Il en de même dans
l’espace OAPI. En effet, l’Accord de Bangui révisé du 14 décembre 2015 a repris les
dispositions des Aspects sur le Droit de la Propriété Intellectuelle qui touche au Commerce
(ADPIC) sur les mesures à la frontière. Ces mesures, ont été reprisent également par le
Code des Douanes des Etats membres de l’Union Economique et Monétaire Ouest
Africaine (UEMOA) qui sont tous membres de l’espace OAPI. Ainsi, dorénavant, les
douanes sont autorisées à pratiquer des saisies sur des marchandises aux frontières des
Etats membres portant atteinte aux droits d’un titulaire, soit sur requête de la victime, soit
d’office, c’est-à-dire à sa propre initiative.

En tout état de cause, il vous est vivement conseillé de consulter un expert spécialisé
dans les litiges de propriété intellectuelle en premier lieu.

Avertissement

Le contenu des rapports générés par l'outil de diagnostic de l’OMPI en matière de


propriété intellectuelle ne constitue pas, et n’est pas destiné à constituer, un avis ou
un conseil juridique, et ne doit pas être traité comme tel. Les rapports sont générés
automatiquement et uniquement à des fins d’information générale, et leur contenu
peut ne pas correspondre à la situation particulière de la PME participante. Personne
ne doit agir, ou s’abstenir d’agir, en se fondant uniquement sur le contenu de ces
rapports sans avoir consulté un juriste ou tout autre professionnel compétent. Ni

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l’OMPI ni l’OAPI ne sont responsable des pertes, coûts ou dommages de quelque
nature que ce soit résultant de l’utilisation de ces rapports ou des mesures prises ou
non prises sur la base de leur contenu. Pour de plus amples informations, bien
vouloir vous rapprocher de la Structure nationale de Liaison de votre pays ou d’un
mandataire agréé de l’OAPI, dont les adresses se trouvent ci-dessus.

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