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QCM corrigé Matériaux métalliques

Désignation des alliages :

1. Soit l’alliage Ti Al 6 V4
Il s’agit
a. D’un alliage de Titane
b. D’un alliage d’Aluminium
c. D’un alliage de Vanadium
d. Autre réponse

2. Soit l’alliage 42 Cr Mo 4
Il s’agit
a. D’un acier faiblement allié
b. D’un acier fortement allié
c. D’un alliage de Chrome
d. D’un alliage de Molybdène

3. Soit l’alliage Mg Al 3 Zn 1.
Il s’agit
a. D’un acier non allié
b. D’un acier faiblement allié
c. D’un acier fortement allié
d. D’un alliage de Magnésium
e. D’un alliage d’Aluminium
f. D’un alliage de Zinc

4. Soit l’alliage 35NiCrMo16


Il s’agit
a. D’un acier non allié
b. D’un acier faiblement allié
c. D’un acier fortement allié
d. D’un alliage de Nickel
e. D’un alliage de Chrome
f. D’un alliage de Molybdène
5. Soit l’alliage Zn Al4 Cu1.
Il s’agit
a. D’un acier non allié
b. D’un acier faiblement allié
c. D’un acier fortement allié
d. D’un alliage de Zn
e. D’un alliage d’Aluminium
f. D’un alliage de Cuivre

6. Soit l’alliage 30 Cr Ni Mo 8
Il s’agit
a. D’un acier non allié
b. D’un acier faiblement allié
c. D’un acier fortement allié
d. D’un alliage de Chrome
e. D’un alliage de Nickel
f. D’un alliage de Molybdène

7. Soit l’alliage Al Cu 4 Mg 1.
Il s’agit
a. D’un acier faiblement allié
b. D’un acier fortement allié
c. D’un alliage d’Aluminium
d. D’un alliage de Cuivre
e. D’un alliage de Magnésium

8. Soit l’alliage X6 Cr Ni 18 9
Il s’agit
a. D’un acier faiblement allié
b. D’un acier fortement allié
c. D’un alliage de Chrome
d. D’un alliage de Nickel

9. Soit l’alliage Cu Al 7 Fe 2.
Il s’agit
a. D’un acier faiblement allié
b. D’un acier fortement allié
c. D’un alliage d’Aluminium
d. D’un alliage de Cuivre
10. Soit l’alliage 100 Cr Mn Si 6-4
Il s’agit
a. D’un acier faiblement allié
b. D’un acier fortement allié
c. D’un alliage de Chrome
d. D’un alliage de Manganèse
e. D’un alliage de Silicium

11. Soit l’alliage CuCo1Ni1Be


Il s’agit
a. D’un alliage de Cuivre
b. D’un alliage de Cobalt
c. D’un alliage de Nickel
d. D’un alliage de Beryllium

12. Soit l’alliage X10CrNi18-8


Il s’agit
a. D’un acier faiblement allié
b. D’un acier fortement allié
c. D’un alliage de Chrome
d. D’un alliage de Nickel

13. Voici le tableau permettant de calculer les teneurs en éléments d’addition de


certains types d’alliages.

Eléments Facteur
Multiplicateur

Cr, Co, Mn, Ni, Si, W 4


Al,Be,Cu, Mo, Nb, Pb, Ta, 10
Ti,V,Zr 100
N, P,S 1000
B

Soit l’alliage 42 Cr Mo 4
Il s’agit
a. D’un acier faiblement allié
b. D’un acier fortement allié
c. D’un alliage de Chrome
d. D’un alliage de Molybdène
14. Cet alliage comporte
a. 0,42% de Cr et à 0,4% de Mo
b. 0,42% de C, 1% de Cr et une quantité inférieure à 1% de Mo
c. 4,2% de Cr et 0,4% de Mo
d. 0,42% de C, 16% de Cr et une faible quantité de Mo,
e. autre réponse

15. Les alliages d’Al de la série 2000 sont des alliages Al-Cu.
a. Vrai
b. Faux

Tenacité :

16. La ténacité est la capacité d’un matériau à résister à la propagation rapide


d’une fissure.
a. Vrai
b. Faux

17. Les matériaux à grains fins sont plus tenaces que les matériaux à grains
grossiers.
a. Vrai
b. Faux

18. Plus la teneur en carbone d’un acier est faible en C, plus sa résilience est
grande.
a. Vrai
b. Faux

19. Voici les courbes de résilience Charpy obtenus sur trois aciers.
Les 2 questions suivantes concernent ces trois aciers.
Quel acier préfèrera-t-on utiliser à une température supérieure à 50°C ?
a. A
b. B
c. C

20. Quel acier préférera-t-on utiliser à des températures de service comprises


entre -25°C et 50°C ?
a. A
b. B
c. C

21. Quel acier possède la température de transition ductile fragile la plus


élevée ?
a. A
b. B
c. C

22. Voici la courbe de traction de trois matériaux.

Déterminer le matériau le moins tenace


a. I
b. II
c. III

23. En première approximation, on peut évaluer la ténacité d’un matériau à l’aide


de sa courbe de traction.
Plus l’énergie de déformation à la rupture par unité de volume WR est
grande, plus la tenacité du matériau est grande. Ainsi :
a. Un matériau est tenace s’il a une limite d’élasticité élevée.
b. Un matériau est tenace s’il possède une ductilité élevée.
c. Un matériau est tenace s’il est à la fois ductile et résistant.
24. Comparons la ténacité des grandes familles de matériaux à température
ambiante:
a. Les polymères et les céramiques ont une ténacité nettement
supérieure aux métaux ; les composites ont une ténacité
intermédiaire.
b. Les polymères et les métaux sont beaucoup plus tenaces que les
céramiques. Les composites ont une ténacité intermédiaire.
c. Les métaux sont les matériaux les plus tenaces. Les polymères et
les céramiques ont de faibles ténacités. Les composites ont une
ténacité intermédiaire.

25. Les essais Charpy sont des essais très répandus, faciles à mettre en œuvre
permettant de déterminer la résilience d’un matériau et d’évaluer sa tenacité.
Plus l’énergie absorbée par le matériau lors du choc du pendule sur
l’éprouvette est élevée, plus la résilience du matériau est grande, plus il est
tenace.
a. Vrai
b. Faux

26.En première approximation, on peut évaluer la tenacité d’un matériau par le


calcul de l’énergie de déformation à la limite d’élasticité.
a. Vrai
b. Faux

27. On peut évaluer la ténacité d’un matériau à l’aide de sa résilience déterminée


par les essais de Charpy.
En général, plus la résilience est grande, plus la ténacité est élevée.
a. Vrai
b. Faux

28. La ténacité d’un alliage métallique est caractérisée par son facteur d’intensité
de contrainte critique KC . Plus KC est faible, plus la propagation des fissures
est difficile dans le matériau, plus le matériau est tenace.
a. Vrai
b. Faux
29. Voici les courbes de résilience Charpy d’un acier :

Déterminer la température de transition ductile-fragile de cet acier


a. -60°C
b. -20°C
c. 0°C
d. 20°C
e. 60°C

30. Comparés aux céramiques et aux polymères, les métaux sont des matériaux
tenaces car ils ont à la fois une énergie de rupture Gc élevée et un module
d’Young élevé.
a. Vrai
b. Faux

31. Voici les courbes de résilience Charpy d’une série d’aciers au carbone à l’état
normalisé.
Lequel des aciers ci-dessous possède la température de transition ductile
fragile la plus élevée
a. L’acier contenant 0,11% de carbone
b. L’acier contenant 0,31% de carbone
c. L’acier contenant 0,53% de carbone

32. Pour la majorité des métaux courants, la température de transition ductile-


fragile varie
a. entre – 150°C et 20°C
b. entre – 60°C et 50°C
c. entre -20°C et 200°C
d. autre réponse

33. La résilience d’un matériau est le rapport de l’énergie pour rompre


l’éprouvette de Charpy sur la section de l’éprouvette au niveau de la rupture.
Elle s’exprime en J/cm2
a. Vrai
b. Faux

34. La ténacité d’un métal diminue quand:


• la température augmente
• la vitesse de déformation diminue.
a. Vrai
b. Faux

35. Un matériau très résistant est aussi très tenace.


a. Vrai
b. Faux

36. L’affinement du grain permet de diminuer la température de transition


ductile fragile d’un métal de réseau CC ou HC.
a. Vrai
b. Faux

37. Plus un acier au carbone est riche en carbone, plus sa température de


transition ductile fragile est élevée.
a. Vrai
b. Faux
38. Voici les courbes de résilience Charpy de trois aciers au carbone.
39.

Lequel de ces aciers est le plus tenace à température ambiante ?


a. L’acier contenant 0,01% de carbone
b. L’acier contenant 0,3% de carbone
c. L’acier contenant 0,5% de carbone

Compressibilité :

40. Soit une pièce soumise à une pression hydrostatique P. On souhaite que, sous
l’effet de cette pression P, la variation de volume de la pièce soit minimale.
On choisira, pour fabriquer cette pièce, un alliage ayant un module de
compressibilité volumique le plus faible possible.
a. Vrai
b. Faux

41. On rappelle que :


E = 2G (1 + n )
E
K=
3(1 - 2n )
Soit une pièce soumise à une pression hydrostatique.
On cherche à minimiser la variation de volume de la pièce sous l’effet de
cette pression.
Lequel des deux alliages ci-dessous devra-t-on choisir ?
Module d’Young Coefficient de Poisson
Al 7075 71 GPa 0,33
X6CrAl13 200 GPa 0,30

a. Alliage d’aluminium
b. Acier inoxydable
Courbes TRC :

42. Considérons l’acier dont le diagramme TRC est présenté ci-dessous.

Il s’agit
a. d’un acier hypoeutectoïde
b. d’un acier hypereutectoïde
Les quatre questions suivantes traitent de cet acier.

43. Cet acier est austénitisé puis refroidi.


Si la vitesse de refroidissement est égale à 0,1° C/s alors la structure formée
comporte
a. De la martensite seule
b. De la martensite, de la bainite et de la ferrite
c. De la perlite et de la ferrite
d. De la martensite, de la ferrite, de la perlite et de la bainite.
44. Cet acier est austénitisé puis refroidi.
Si la vitesse de refroidissement est égale à 8°C/s alors la structure formée,
structure A, comporte
a. De la martensite seule
b. De la martensite, de la bainite et de la ferrite
c. De la perlite et de la ferrite
d. De la martensite, de la ferrite, de la perlite et de la bainite.
e. De la martensite et de bainite

45. Cet acier est austénitisé puis refroidi.


Si la vitesse de refroidissement est égale à 0,005°C/s alors la structure
formée, structure B, comporte
a. De la martensite seule
b. De la martensite, de la bainite et de la ferrite
c. De la perlite et de la ferrite
d. De la martensite, de la ferrite, de la perlite et de la bainite.
e. De la martensite et de bainite

46. Considérons les structures formées par les traitements thermiques décrits
aux deux questions précédentes.
Laquelle des deux est la plus dure ?
a. Structure A
b. Structure B

47. Vous trouverez, ci-après, la courbe TRC d’un acier. Cette courbe doit être
utilisée pour la question
Cet acier est austénitisé à 850°C durant 30mm puis il subit un
refroidissement continu.
A l’issue du traitement, sa dureté HRC est égale à 30. Quels sont alors les
constituants de l’acier ?
a. Ferrite + perlite + austénite + martensite
b. Ferrite + perlite + martensite
c. Ferrite + perlite + bainite + martensite
d. Austénite + ferrite+ cémentite+ martensite
48. Considérons le diagramme TRC ci-dessous :
La structure de dureté HRC 27, obtenue après austénisation et refroidissement
jusqu’à la température ambiante, comporte
a. 100% de martensite,
b. 55% de perlite, 20% de bainite et 25% de martensite,
c. 55% de ferrite, 20% de perlite et 25% de martensite,
d. de la ferrite, de la perlite, de la bainite et de la martensite,
e. de la ferrite en quantité majoritaire, 20% de bainite et de la
martensite.

49. Vous trouverez, ci-après, la courbe TRC de l’acier 35 Cr Mo 4.


Cet acier est austénitisé à 850°C durant 30mm puis il subit un
refroidissement continu.
A l’issue du traitement, sa dureté HRC est égale à 40. Quels sont alors les
constituants de l’acier ?
a. Ferrite + perlite + austénite + martensite
b. Ferrite + bainite + martensite
c. Ferrite + perlite + bainite + martensite
d. Austénite + ferrite+ cémentite+ martensite
50. On souhaite maintenant qu’à l’issue de l’austénisation et du refroidissement,
l’acier, dont la courbe est présentée ci-dessus, ait une dureté HV égale à 52.
On appelle v2 la vitesse de refroidissement que l’on doit choisir pour obtenir
cette dureté.
On appelle v1 la vitesse de refroidissement de la question précédente.
a. v2 doit être plus grande que v1
b. v2 doit être plus petite que v1

51. Voici la courbe TTT de l’acier 4140.

Après austénitisation, cet acier est soumis au traitement B comportant un


maintien isotherme à 600°C.
Quels sont les constituants de l’acier à l’issue du traitement?
a. Ferrite + perlite + bainite + martensite
b. Ferrite + bainite
c. Bainite + martensite
d. Ferrite + Martensite
e. Ferrite + perlite + martensite

Recuit de recristallisation :

52. Un traitement de recristallisation permet, après un écrouissage, une


restauration des propriétés cad une augmentation de la ductilité et une
diminution de la résistance. Plus le taux d’écrouissage est élevé, plus la
structure recristallisée comporte des grains fins.
a. Vrai
b. Faux
53. Un recuit de recristallisation, après écrouissage, génère une augmentation
de la ductilité et une diminution de la résistance.
a. Vrai
b. Faux

54. La taille moyenne des grains recristallisés


a. est indépendante du taux d’écrouissage initial,
b. est d’autant plus faible que le taux d’écrouissage initial est grand,
c. est d’autant plus faible que le taux d’écrouissage initial est faible.

Durcissement structural :

55. On peut durcir structuralement les aciers en y ajoutant des éléments


carburigènes (tels que Cr, Mo….) qui permettent la formation de carbures
durant le revenu.
La présence de ces carbures pallie la diminution de la dureté de la
martensite au cours du revenu.
a. Vrai
b. Faux

56. Considérons l ‘alliage d’Al 6061


A l’état recuit, son allongement à la rupture est de 30%.
Après traitement thermique et vieillissement, son allongement à la rupture
est de 17%.
Pour des opérations de formage, préfèrera-t-on
a. L’alliage à l’état recuit
b. L’alliage traité thermiquement et vieilli.

Recuit de sphéroïdisation :

57. On effectue des recuits de sphéroïdisation généralement sur des aciers à


moyenne ou forte teneur en carbone afin de former de la sphéroïdite. La
sphéroïdite est plus ductile et moins dure que la perlite grossière. Elle est
donc facile à usiner et à déformer.
a. Vrai
b. Faux
Traitements de surface :
58. La trempe superficielle est un traitement thermique permettant le
durcissement superficiel des alliages ferreux. Ce durcissement est dû à la
formation de martensite uniquement en surface de la pièce.
a. Vrai
b. Faux

59. La trempe superficielle est un traitement de surface ne concernant que les


alliages ferreux. Elle consiste à austénitiser la surface de la pièce puis à la
tremper afin de former de la martensite en surface. Ensuite on effectue
éventuellement un léger revenu.
L’objectif du traitement est d’augmenter la dureté superficielle.
a. Vrai
b. Faux

60. La trempe superficielle des aciers consiste à austénitiser la surface de la


pièce puis à la tremper afin de former de la martensite en surface. Ensuite on
effectue éventuellement un léger revenu.
Les sources thermiques permettant l’austénitisation sont diverses: induction,
chalumeau, faisceaux laser, bombardement d’électrons....
a. Vrai
b. Faux

61. La trempe superficielle des aciers permet entre autres :


a. d’augmenter la dureté superficielle et donc la résistance à l’usure
b. d’améliorer la résistance à la corrosion
c. d’améliorer la tenue en fatigue

62. Un traitement de cémentation ne nécessite pas de trempe finale.


a. Vrai
b. Faux

63. Un traitement de cémentation comporte trois étapes : enrichissement en


carbone de la surface par diffusion, trempe permettant la formation de
martensite en surface, revenu. Les aciers utilisés pour de tels traitements
ont une forte teneur en carbone donc une excellente trempabilité
indispensable pour ce traitement.
a. Vrai
b. Faux
64. Est il judicieux de parler d’adhérence pour un traitement de cémentation ?
a. Oui
b. Non

65. Lors d’une cémentation, la profondeur de carburation est fonction de la


température du traitement mais elle est indépendante du temps du
traitement.
a. Vrai
b. Faux

66. La chromisation est un traitement chimique de surface permettant une


modification chimique de la surface métallique et générant une amélioration
de la tenue à la corrosion.
a. Vrai
b. Faux

67. Un traitement de nitruration consiste à ramollir le matériau en surface.


a. Vrai
b. Faux

68. La nitruration est un traitement de surface permettant d’augmenter la


dureté superficielle des aciers et des fontes. Les aciers de nitruration
comportent des éléments nitrugènes qui, lors de l’exposition en milieu riche
en azote, permettent la formation de nitrures durcissants.
a. Vrai
b. Faux

69. Un traitement de nitruration nécessite une trempe finale.


a. Vrai
b. Faux

70. Un traitement de nitruration consiste à durcir le matériau en surface. C’est la


présence de nitrures durcissants en surface qui engendre ce durcissement.
a. Vrai
b. Faux

71. La phosphatation permet de déposer à la surface d’une pièce des revêtements


destinés d’améliorer la résistance à la fatigue.
a. Vrai
b. Faux
72. La phosphatation et les dépôts électrochimiques permettent d’effectuer des
revêtements de surface permettant d’améliorer la résistance à la fatigue.
a. Vrai
b. Faux

73. La phosphatation est un traitement chimique de surface permettant une


modification chimique de la surface métallique et la formation d’une couche
superficielle de phosphates. Ce traitement permet, entre autres, d’augmenter
la résistance à la corrosion de la pièce et d’améliorer l’adhérence des
peintures.
a. Vrai
b. Faux

74. La chromatation d’un alliage de Mg consiste à déposer un revêtement de


chrome sur l’alliage pour améliorer sa résistance à la corrosion.
a. Vrai
b. Faux

75. L’anodisation d’un alliage d’Al consiste à déposer un revêtement d’alumine à


la surface de la pièce pour améliorer sa résistance à la corrosion.
a. Vrai
b. Faux

76. L’anodisation des alliages d’Al permet augmenter l’épaisseur de la couche


d’alumine formée en surface et améliore la résistance à la corrosion de
l’alliage.
a. Vrai
c. Faux

77. Les dépôts électrochimiques ou galvanoplastie sont des traitements


permettant d’augmenter par électrolyse l’épaisseur de la couche passive en
surface d’une pièce afin d’améliorer la résistance à la corrosion de la pièce.
a. Vrai
b. Faux

78. La galvanoplastie permet d’effectuer un dépôt électrochimique d’un métal sur


un autre (ex : chromage, zingage, argentage, dorure, cuivrage…)
a. Vrai
b. Faux
79. Le grenaillage permet de durcir en surface le matériau et donc d’améliorer sa
résistance à l’usure.
a. Vrai
b. Faux

80. Le grenaillage est un traitement mécanique permettant d’augmenter la


résistance à l’usure des alliages métalliques. En effet, la projection de
grenailles sur la pièce traitée génère des déformations plastiques ponctuelles
en surface de la pièce et entraine une augmentation de la dureté superficielle
et donc de la résistance à l’usure.
a. Vrai
b. Faux

81. Le grenaillage permet de générer des contraintes résiduelles de


compression en surface du matériau et donc d’augmenter sa résistance à la
fatigue.
a. Vrai
b. Faux

82. La chromisation et le zingage sont des traitements de surface consistant à


déposer un revêtement métallique (Cr et Zn) à la surface de la pièce.
Plusieurs procédés permettent d’effectuer ce dépôt : PVD, dépots
chimiques et électrochimiques, projection thermique…. Ces 2 traitements
permettent d’augmenter la résistance à la corrosion des alliages
recouverts.
a. Vrai
b. Faux

83. Le revêtement par projection thermique consiste à projeter des particules


de matériaux à l’état fondu sur un substrat, à grande vitesse par un jet de
gaz (gaz de combustion, jet plasma …).
a. Vrai
b. Faux

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