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Résumé
De nombreux algorithmes mathématiques sont développés pour chiffrer des données mais
Ils ont eu des limites. Comme la plupart des algorithmes de chiffrement modernes sont cassés
Partiellement voire entièrement parfois, le monde de la sécurité de l’information pensait à une
Nouvelle direction pour la protection des données qu’il transmet.
Le concept d’utiliser le calcul d’ADN dans le domaine de la cryptographie a été identifié
comme Une technique possible qui peut apporter un nouvel espoir des algorithmes hybrides
incas- sables.
De nombreux travaux sont réalisés dans ce domaine et de nombreux chercheurs ont proposé
Des chiffrements basé sur les différentes techniques telles que l’encodage numérique de
l’ADN, La réaction de polymérisation en chaîne), la synthèse de l’ADN et l’OTP (le one time
pad). Dans ce mémoire, nous proposons une technique de chiffrement et de génération de
signature Numérique en utilisant des séquences d’ADN. La performance, les temps de
chiffrement, dé- chiffrement
et de la signature sont également examinés en effectuant des expériences des textes
clair avec différents contenus.
Les résultats expérimentaux montrent que notre technique améliore la sécurité du texte chiffré
et dispose d’un grand espace de clé, capable de résister à l’attaque de Berleckamp massey,
montrent aussi que la variation du temps de chiffrement, déchiffrement requis par le
cryptosys- tème
RC4 est plus élevé que le nôtre
Mots clés : ADN, codage numérique d’ADN, ADN informatique, ADN cryptographie,
Algorithme de Berlekamp masse.
1. Sage-femme
Une sage-femme est une profession médicale à compétence et à prescriptions limitées. Elle est
dépendante du code de déontologie des sages-femmes et elle possède également son ordre
propre.
Selon les articles L4151-1 à L-4151-9 du code de la santé publique, «L’exercice de la profession
de sage-femme comporte la pratique des actes nécessaires au diagnostic,à la surveillance de la
grossesse et à la préparation psychoprophylactique à l’accouchement, ainsi qu’à la surveillance
et à la pratique de l’accouchement et des soins postnataux en ce qui concerne la mère <et
l’enfant » [28].
1. Accouchement
L’accouchement est l’ensemble des phénomènes qui aboutissent à l’expulsion du fœtus et ses
annexes hors des voies génitales maternelle, à partir du moment où la grossesse a atteint le
terme théorique de 24 semaines d’aménorrhée.
L’accouchement qui se produit entre le début de la 38e SA et la fin de la 42e SA est dit à terme.
Nous parlons d’accouchement prématuré s’il a lieu avant 37 SA et d’accouchement post-terme
s’il a lieu après 42 SA.
L’accouchement est spontané lorsqu’il se déclenche de lui-même. Il est provoqué s’il est induit
par une intervention extérieure : nous parlons alors de déclenchement.
L’accouchement est dit provoqué quand il est consécutif à une intervention extérieure d’ordre
thérapeutique.
L’accouchement est dit naturel s’il est sous l’influence de la seule physiologie.
L’accouchement est dit artificiel quand il est le résultat d’une intervention manuelle ou
instrumentale, par voie basse ou par voie abdominale. L’accouchement est dit dirigé lorsqu’il
est sous l’influence d’une thérapeutique médicamenteuse.
2. Physiologie de l’accouchement
Ce phénomène est régit par l’adaptation des dimensions des diamètres fœtaux, celle de la tête
en particulier, celle du bassin maternel et des parties molles, permettant au fœtus de traverser
la filière génitale et par les contractions utérines pendant le travail qui poussent le fœtus vers le
dehors [4].
3. Phases d’accouchements
• La première est la phase de dilatation qui commence avec les contractions de l’utérus,
qui pressent la membrane amniotique sur le col de l’utérus ;
• La deuxième phase du travail est celle de l’expulsion : les contractions utérines s’accu-
mulent, les muscles abdominaux se contractent, contribuant à l’expulsion du fœtus par
le vagin. C’est la naissance du bébé ;
• La troisième phase est la délivrance, c’est-à-dire le moment où le placenta est expulsé
en dehors de l’utérus.
Les deux premières phases de l’accouchement sont parfois regroupées sous le terme de
travail.
Les contractions utérines sont cliniquement observées par le palper de l’utérus qui se durcit.
Au début, espacées, involontaires, totales, intermittentes et rythmés, elles deviennent de plus
en plus progressives, douloureuses, efficientes, et ne sont pas calmées par les antispasmodiques.
Pendant la contraction, le pouls maternel s’accélère. La palpation de l’abdomen apprécie les
modifications de l’utérus, le corps utérin devient cylindrique, son grand axe se redresse et se
rapproche de la paroi abdominale antérieure. Surtout, il se durcit.
La formation de la poche des eaux (PDE) se forme durant la dilatation du col. Pendant la
contraction utérine, sous la pression du liquide amniotique, les membranes se tendent et forment
dans l’orifice cervical, une saillie plus ou moins marquée : c’est la poche des eaux. C’est la
partie décline des membranes. Elle est protégée contre les infections et les traumatismes. Elle a
également un rôle mécanique. Elle doit rester intacte et être rompue entre 6 et 7 cm. La poche
des eaux est la portion membraneuse du pôle inférieur de l’œuf qui occupe l’aire du col dilaté.
Sous la pression du liquide amniotique, surtout pendant la contraction, les membranes se
tendent et forment dans l’orifice cervical une saillie plus ou moins marquée : la poche des eaux,
lisse au toucher.
L’expulsion du bouchon muqueux est l’écoulement par la vulve de glaire épaisse et brunâtre
parfois sanguinolentes.
La modification du col se fait par plusieurs phénomènes qui vont se succéder pour assurer
l’effacement et la dilatation du col. La formation du segment inferieure qui est la zone
intermédiaire entre le col et le corps utérin ; il doit être bien empilé sur la présentation.
L’effacement du col est la disparition progressive de l’orifice interne du col qui est absorbé
par le segment inferieure et le corps utérin.
La dilatation est l’ouverture progressive du disque cervical qui s’apprécie de 1 à 10 cm. Chez
la primipare, la dilatation dure en moyenne dans les cas non pathologiques 8 à 10 heures de
temps chez la primipare et chez la multipare 6 à 8 heures de temps.
L’engagement proprement dite se fait de façon synclite quand les deux bosses pariétales
passent simultanément ou de façon asynclite par inclinaison latérale de la tête. Le diagnostic de
l’engagement se fait de deux manières :
Au toucher vaginale, lorsque la présentation est engagée les deux doigts introduites sous la
symphyse et dirigées vers la deuxième vertèbre sacrée, butent sur la présentation : signe de
FARABOEUF. La descente et la rotation s’effectuent au niveau de l’excavation pelvienne ou
détroit moyen.
Descente : la tête descend en suivant l’axe ombilicaux -coccygien (axe du détroit supérieur est
oblique en arrière et en bas).
La rotation ramène la tête fœtale qui s’était engagée en oblique à s’orienter au bas de
l’excavation en antéropostérieur (d’avant en arrière). La rotation intra pelvienne est une
obligation puisque l’engagement se fait dans un diamètre oblique mais que le dégagement ne
peut se faire que dans le diamètre sagittal du bassin.
La rotation se fait presque toujours vers l’avant : toutes les variétés antérieures (OIGA et OIDA)
et la très grande majorité des variétés postérieures (OIDP et OIGP tournent en Occipito-
pubienne . Cette rotation va amener l’occiput sous la symphyse pubienne. Les variétés
antérieures font une petite rotation de 45° qui est facile. Les variétés postérieures doivent faire
une grande rotation.
Le dégagement de 135°, souvent plus laborieuse : elle s’effectue au niveau du détroit inferieur
en 3 temps par :
Une ampliation du périnée, sous la poussée des contractions utérines et des efforts expulsifs,
la présentation refoule le coccyx vers l’arrière et les muscles du périnée se tendent. Il y a d’abord
l’ampliation du périnée postérieure avec béance prononcée de l’anus (perte de matières fécales)
ensuite l’ampliation du périnée antérieure qui va se manifester par une dilatation de l’orifice
vulvaire par déflexion de la tête.
c) Délivrance
La phase d’expulsion : sous l’influence des contractions utérines et de son propre poids, le
placenta tombe dans le segment inferieur qui se déplisse, surélevant le corps utérin.
Des femmes décèdent par suite de complications survenues pendant la grossesse, pendant ou
après l’accouchement. La plupart de ces complications apparaissent au cours de la grossesse et
pourraient être évitées ou traitées. D’autres, qui existaient auparavant, s’aggravent à ce
moment-là surtout si elles ne sont pas prises en compte dans le cadre des soins. Les principales
complications, qui représentent 75% de l’ensemble des décès maternels, sont les suivantes (1)
:
C'est la première cause de mortalité maternelle (18 %). Ces hémorragies sont notamment liées
à un placenta prævia, des hématomes retro-placentaires ou des troubles de la coagulation. Or
près des 3/4 des décès par hémorragie du post-partum sont évitables.
La survenue d'une fièvre après un accouchement doit faire rechercher une origine infectieuse
(infection urinaire, infection de l'épisiotomie, etc.). À la maternité, les infirmières surveilleront
la température dans les heures et jours qui suivent la naissance [13].
Les patientes hypertendues présentent un risque plus élevé lors de l'accouchement, qui fait
classer cette grossesse comme à risque. Dans 89 % des cas, il existait justement des facteurs
d'alarme, notamment 37 % des femmes qui souffraient d’hypertension gravidique et 12 % qui
avaient des antécédents de pré éclampsie. Les maladies thromboemboliques : souvent, il s’agit
d’accidents vasculaires cérébraux (AVC). Or il faut souligner que ces AVC ne sont pas
provoqués directement par la grossesse mais apparaissent à la suite (un anévrysme qui va se
rompre lors de l'accouchement par exemple).
o Embolie amniotique ;
C'est le passage de liquide amniotique dans le sang, une cause de décès fréquente et impossible
à prévenir. En revanche, la prise en charge lors de ce type d'événement doit être extrêmement
précise.
Les autres causes de complications sont associées à des maladies comme le paludisme, et le
VIH durant la grossesse.