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LE CHAMP DE FORCE ENTRE LES REFUGIES SYRIENS


ET LES TURCS À OSMANGAZI, BURSA

Production de l’espace

Le monde social sous la forme d'un espace construit sur la base de principes de
différenciation ou de distribution constitués par l'ensemble des propriétés agissantes
dans l'univers social considéré. Les agents et les groupes d'agents sont ainsi définis
par leurs positions relatives dans cet espace. L’espace qu’on peut décrire aussi
comme champ de force est comme un ensemble de rapports de force objectifs qui
s'imposent à tous ceux qui entrent dans ce champ. (Bourdieu, 1984)
Le champ de force est un terme important qu’on doit définir déraillement à
propos de comprendre l’idée de l’espace et la différenciation et la distribution dans
lequel les agents ou les acteurs sont devenir un sujet d’une lutte urbaine. Car les
groupes sociaux, inégalement dotés en ressources économiques, culturelles et
sociales (diplômes, revenus, etc.), se répartissent de façon inégale entre les quartiers
d’une ville. La distribution des ressources économiques, culturelles et sociales est un
enjeu naturel qui est développé inévitablement dans la lutte pour s’emparer de
ressources limitées sur l’espace c’est-à-dire sur le quartier d’une ville.
Dans la construction de l’espace sociale, les propriétés agissantes sont les
diffèrent espèces de pouvoir ou de capital de différents champs. Les espèces du
capital sont des pouvoir qui définissent les chances de profit dans un champ
déterminé. Chaque champ ou sous-champ correspond une espèce de capital
particulière comme pouvoir et comme enjeu. Par exemple le volume du capital
économique détermine les chances de profit dans tous les champs où le capital
économique est efficient, contribuant à déterminer la position dans l’espace social.
(Bourdieu, 1984)
La position d’un agent déterminé dans l’espace sociale est tout simplement
définie par la position qu’il occupe dans les champs différents. L’ensemble de
distributions des différentes espèces de capital définit l’état des rapports de force.
Elles déterminent les pouvoirs actuels ou potentiels dans les différents champs et les
chances d’accès aux profits spécifiques. (Bourdieu, 1984)
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Quant à la question de la production de l’espace, si l’on peut considérer que


l’espace a un contenu, on arrive déjà une conclusion lequel l’espace contient les
relations sociales. Dans le quartier de Başaran, Yeşilova, Bahar et Kovukçınar, il
existe tout simplement des résidences, lieux de travail. L’espace d’ici, inclut et
englobe les relations sociales. Ces espaces sont produits. (Lefebvre, 1974) Ils devient
un champ de force à cause des ressources limités et sont les lieux de lutte afin
d’obtenir la chance de profit du pouvoir qui vient de la propriété de ces espaces.
La compréhension du concept de la production de l’espace ainsi n'élimine
certes pas le rapport « production-consommation » appliqué aux choses (biens,
marchandises, objets d'échange), mais il l'étend et le transforme. Une unité se fait
sentir entre les niveaux d'analyse habituellement séparés : les forces productives et
leurs composantes (nature, travail, technologie, savoir), les structures (rapports de
propriété), les superstructures (les institutions et l'État lui-même). (Lefebvre, 1974)
Le sujet qu’on examine dans ce travail, exige donc l’observation des propriétés
agissantes, c’est-à-dire le capital culturel, le capital social et le capital économique
des agents et des groupes qu’il est sur l’espace en question de la lutte urbaine.
Ensuite, les positions des agents qu’ils occupent dans la nature de l’espace du
quartier d’un ville révèlent le niveau de l’équilibre, dans tous les différents champs,
entre les deux positions extrêmes. Finalement, dans ce travail, on regarde les
structures et ses conséquences sociales dans l’espace social, c’est-à-dire lutte urbaine
sur les chances de profit de champ de force.

Entre les quatre quartiers

La rue Badem est en fait un lieu de passage entre quatre petites quartiers,
Bahar, Kovukçınar, Yeşilova et Başaran qui sont situe dans le district Osmangazi de
la ville Bursa. Les Turcs de la Bulgarie, qui ont dû émigrer vers la Turquie en raison
des pressions politiques auxquelles ils étaient confrontés, préféraient pour la plupart
s'installer dans la ville de Bursa et étaient installés principalement dans le district
central de Bursa : le district de Osmangazi. La majorité de ces endroits, où les
immigrants sont densément installés, sont inclus dans les frontières du district
d'Osmangazi. C’est pour cette raison que le district d’Osmangazi a été choisi comme
zone d’étude. (Eşim, 2021)
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Le but de ce travail est de révéler scientifiquement les résultats de la


concentration spatiale des immigrants syriens dans la ville de Bursa et de décrire plus
en détail les établissements avec une population immigrante syrienne dense à Bursa.
Le fond conceptuel de cette recherche est la production de l’espace et le
positionnement sur celui-ci, basées sur des capitaux économiques, culturels, sociaux
et politiques, qui considèrent l'espace comme un champ de force et permettent de
voir les résultats des relations de pouvoir qui existent dans l'espace. Parallèlement, un
autre objectif de ce travail est d'évaluer la situation sociale actuelle des immigrés
syriens dans le cadre du cycle des relations raciales. L'évolution de ces concepts au
fil du temps, de leurs catégories et méthodes de mesure ; On a essayé de le situer sur
une base où les dynamiques locales sont également prises en compte, à travers les
exemples de la province de Bursa et du district d'Osmangazi. Dans l'étude, également
à partir des résultats des entretiens ; Il a été utilisé pour définir et décrire l’installation
à forte concentration d’immigrants syriens à Bursa. Dans ce contexte, des Turcs
résidant dans la région ont été interrogés et ces entretiens ont été menés avec des
yeux qui observent les immigrés syriens depuis leur première migration.
Les quatre quartiers sont développés par les immigrés notamment Balkans
après les années 1960. Car autour de deux districts existe des sites industriels qui
sont suffisantes pour répondre aux besoins économiques des habitants de ces
quartiers. Les immigrés Balkans situé au-dessus dans la hiérarchie de l’acceptation
de la Turquie (Danış, 2009) ont d’abord assuré ses sécurités économiques et après ils
ont déménagé dans d'autres quartiers de Bursa. Les immigrés d'autres endroits se
sont installés dans les maisons vacantes. Une mixité urbaine se sont fondés
naturellement avec un processus de l’immigration comme naturelle.
Avec une population de 169.559 (Türkiye’deki Suriyeli Sayısı, 2023) les
Syriennes ont une vraie visibilité dans la vie sociale de Bursa. Après que les Syriens
ont commencé à s’installer dans la région, la lutte pour des ressources limitées a
commencé à s’intensifier. Alors que les prix de location dans le quartier étaient loués
aux Syriens à un niveau exorbitant, ils étaient loués aux Turcs à un prix inférieur.
Cela cause une densité et une surcapacité de digestion dans les quartiers de Bursa.
Car en 2023, les 19 quartiers sont fermés à l’installation des syriennes à cause dès
leur population très densité dans certains quartiers. (Mahalle Kapatma Duyurusu Hk.,
2023)
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Le champ de force dans la rue de Badem est notablement visible. Avec une
visite sur le terrain, c’est suffisant afin de voir le vrai changement dans la rue Badem.
Même les anciens panneaux turcs n’ont pas été complètement démontés et des
panneaux syriens en forme de patch apparaissent à leur place.

Figure 1 La photo montre le magasin ouvert par un Syrien, remplaçant un ancien magasin turc vendant
du poulet et des produits à base de poulet.

Figure 2 La photo montre un magasin de téléphonie ouverte par un Syrien, au lieu d'une magasin de
téléphonie d’un Turc. La rue Badem.

Les exemples de remplacement d’un magasin à un autre, d’un turc vers un syrien, sont
multiples et visiblement claires. Ce remplacement se montre qu’un champ de force entre les
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habitants turcs et syriens de ces quatre quartiers, est forte et au niveau de conflit au lieu de
compétition. Les enquêtés ont vérifié ce remplacement et ce changement raid avec ses mots :
E 1 : « Ensuite, tous nos Turcs ont commencé à immigrer vers les autres places. Ils ont
déménagé dans le district de Millet, en particulier du côté de Nilüfer. Pour leur échapper, ces
gens étaient propriétaires des maisons qui s'y trouvaient. Bien sûr, quand ils sont partis, nous
qui vivions là-bas, avons été complètement exposés à cela. Il y avait un magasin vendant
spécifiquement ce poulet. Celles-ci étaient très connues dans notre quartier. À son départ, un
Syrien a pris sa place. Il a été acheté ce magasin. Il a probablement continué à vendre du
poulet de la même manière. Mais nous avons commencé à ne plus pouvoir acheter de poulet
au même endroit. Parce que l’homme chez qui nous sommes allés ne connaissait pas le turc.
Les Syriens ont commencé à faire leurs achats auprès de leur propre peuple. Nous avons
donc commencé à acheter auprès de nos propres collaborateurs. »
E 2 : « Ils (Les syriens) se sont installés instantanément à la rue Badem. Nous n'avons
pas réalisé comment le changement s'est produit. »

L’un des enquêtés a tiré de l’attention aux conflits entre les syriens et les turcs qui est
maintenant dans un état stable par rapport au précédent d’après les deux enquêtés :
E 1 : « Le conflit a commencé. Avec cette incompatibilité, forcément les gens ne
pouvaient plus s'entendre. »
« C’est ainsi que notre peuple ne peut pas s'entendre avec les autres. Des conflits
éclatent entre eux. Les Syriens battent quelqu'un, puis les nôtres se rassemblent et font
irruption dans leurs cafés, etc. Ou alors ils font pareil. Ils pressent du café turc dans le café. Il
y avait de tels conflits. La police est également intervenue, mais cela n'a servi à rien. Plus.
Voici ce qui s'est passé, les discussions se sont développées, etc., mais elles n'ont pas abouti.
Puis ils ont soudainement continué comme si de rien n'était. Ils sont désormais en harmonie.
C'est juste que rien ne se passe pour le moment. Plus personne ne parle des Syriens. Les
Syriens aussi s’y sont habitués. Vous savez, il y a encore des gens qui se promènent en
groupe, mais il n'y a pas de problèmes majeurs. C'est ce qui s'est passé au début. »

Le troisième enquête souligne l’adaptation et la solidarité parmi les syriens avec ces
mots :
E 3 : « Ils se sont complètement adaptés ici maintenant. Dans certains cas, ils peuvent
même faire preuve de solidarité entre eux. Par exemple, l’homme sait que s’il quitte son
emploi, le patron ne pourra pas le retrouver. Dans ce cas, il réclame un salaire et le patron
augmente son salaire. Puis il raconte cela à ses amis et ils font de même. Parce que le patron
doit le faire. Il n’y a pas d’homme et ce sont des gens qui connaissent vraiment leur métier. »
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Figure 3 La photo montre une boucherie syrienne située à côté de deux magasins fréquentés par des
Turcs.

Les Relations Economiques et Les Relations Raciales

Robert Ezra Park dans son article « Notre Frontière Racial dans le Pacific » désigne
que Les relations raciales sont géographiques plutôt qu’humaines et sociales. Ses
géographiques bases des relations raciales se montre une relation entre le race et l’espace. Il
souligne le développement des moyens de transport met floue les barrières qui a protégé les
races contre les autres. (Park, 1926) Dans le cadre de capital économique de différentes
races, les différentes races peuvent être économiquement utiles de l’un à l’autre, c’est parce
qu’ils sont différentes culturellement et physiquement. Dans ces quatre quartiers, les rapports
économiques et les relations économiques entres les différentes races de peuple engendre la
phase de l’accodomation qui est la phase troisième dans le cycle des relations raciales de
Robert Ezra Park. Avec les contacts économiques, les relations économiques et les
engagements multiculturels surtout les vies parallèles (Kaplan, 2019), le cycle d’événements
de Park semble sur le point de se compléter.
« Dans les relations raciales, il existe un cycle d'événements qui tend partout à se
répéter » écrit-il Park dans son article susmentionné. Dans le même paragraphe, ajoute-il,
« Nous avons importé le travail comme s'il s'agissait d'une simple marchandise, et nous
avons parfois été déçus de constater, comme nous le faisons invariablement, que les
travailleurs étaient des êtres humains, comme nous. De cette manière, les relations raciales
qui étaient économiques deviennent plus tard politiques et culturelles. » (Park, 1926) En fait
l’enquête 3 confirme de ce changement d’économique à politique et culturelle dans les
relations raciales :
E 3 : « Je ne sais pas grand-chose des commerçants de Başaran. La situation y est
différente. Il y a aussi parmi eux des gens talentueux. Par exemple, j’ai entendu dire qu’un
téléphoniste était très gentil. Beaucoup d’amis d’ici vont maintenant dans ce magasin de
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téléphonie pour faire réparer leur téléphone. Ils ont peut-être pris les magasins aux Turcs. Ils
font bien leur travail et travaillent dur. »
Park, dans les pages suivantes, définit le cycle de relations raciales comme « Le cycle
des relations raciales qui prend la forme, pour le dire de manière abstraite, de contacts, de
compétition, d'accommodement et d'éventuelle assimilation, est apparemment progressif et
irréversible. Les réglementations douanières, les restrictions à l'immigration et les barrières
raciales peuvent ralentir le rythme du mouvement ; peut-être l’arrêter ensemble pendant un
certain temps ; mais ne peut pas changer de direction ; ne peut en aucun cas l’inverser. »
Le deuxième enquêté confirme cette transformation avec ses 2 réponses.
Premièrement par la définition de leur situation de l’exclusion sociale :
E 2 : « Bien entendu, les Syriens ont été exclus à leur arrivée. Cependant, ils ont
ensuite essayé de se faire accepter par la société en travaillant dur. Ils travaillent encore plus
dur. Trois enfants syriens travaillent en face de nous. Je n'ai vu aucun mal. Ils ont une
attitude honnête et travailleuse. »
Et deuxièmement en montrant leur participation à la vie sociale et leur
acceptation par la communauté turque :
E 2 : « Nous nous rencontrons toujours au bazar et aux magasins. Par exemple,
les vendeurs du bazar aiment beaucoup les Syriens. Pendant que nous achetons un
demi-kilo, ils achètent 3,4 kilos. Ils n’ont plus l’air aussi timides qu’avant mais
maintenant ils nous regardent avec des sourires lorsque nous passons. Les styles
vestimentaires se sont également adaptés à nous. Ils s'efforcent de s'adapter à la
société et de se faire accepter. »

Le champ de force sur la rue Badem coincé entre quatre quartiers

Si l’on décrire l’espace comme un champ de force -comme on avait fait au début », les
rapports de force peuvent être visible par leur positionnement relatif dans cet espace. Pour
comprendre mieux le champ de force entre les groups d’agents, il faut mieux de
regarder les discours des enquêtes qu’ils ont décrit le processus de conflit :
E 1 : « Ainsi, les Turcs seuls ne suffisent plus. Parce que ces Turcs sont partis. Il faut
aussi qu’elle vende aux Syriens. Ainsi, l’homme lui-même a commencé à accrocher
consciemment des enseignes de magasin en arabe. Bien. Cela a rendu les choses encore plus
confuses. Par exemple, la même chose se produit du côté d’Altıparmak. Les gens qui
vivaient à Altıparmak. À tel point que lorsque les Syriens sont entrés dans le segment de
l’élite, cela est devenu très confus et très trash. Je ne dis pas cela du tout, mais c'était un
endroit très fréquenté, avec des gens très uniformes. Puis, à leur retour à Yeşilova, ils se sont
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progressivement installés dans des maisons à Yeşilova. Tu sais. Aujourd'hui, c'est presque
comme un quartier syrien. »
Apres le premier enquêté encore conclut ses mots en soulignant le processus de
l’adaptation entre les turcs et les syriens :
E 1 : « . Ils sont désormais en harmonie. C'est juste que rien ne se passe pour le
moment. Plus personne ne parle des Syriens. Les Syriens aussi s’y sont habitués. Vous
savez, il y a encore des gens qui se promènent en groupe, mais il n'y a pas de problèmes
majeurs. C'est ce qui s'est passé au début. »
En plus le deuxième enquêté confirme ce processus avec les mots semblable de
l’enquêté 1 :
« Ils sont désormais parfaitement adaptés. Ils sont l'un des nôtres. Tout le monde ici a
accepté cela. »
La distribution des ressources rendre visible la compétition et cela cause une
transformation de la compétition au conflit. Avec le temps, les conflits sont résolus et
acceptés par la communauté turc et les syriens sont acceptés par les turcs de ces quartiers
d’après l’enquêté 3 :
E 3 : « Les Syriens font des choses que les Turcs ne veulent pas faire. Dans ce cas,
nous ne pouvons pas trouver un autre employé. Ils fonctionnent bien aussi. En d’autres
termes, ils gagnent leur vie grâce à leur main-d’œuvre. »
Ensuite les relations raciales qui étaient seulement économiques se transforment
politiquement et culturellement. Les discours de l’enquêté 2 se montre une existence de
l’engagement multiculturelle au niveau de l’engagement vrai (True engagement) : (Kaplan,
2019)
E 2 : « Certains magasins syriens peuvent également être parfaits pour faire du
shopping. Bien sûr, ils ont ouvert de nombreux magasins parce qu’ils ne payaient pas
d’impôts. Désormais, certains d’entre eux peuvent également être préférés par les Turcs. Par
exemple, il y a un endroit qui vend des fruits et légumes à bas prix, j'ai des amis qui vont y
faire leurs courses. »
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Figure 4 La photo montre comment les Syriens tiennent les magasins de la rue Badem, en face des lieux
de socialisation comme la Mosquée des Canlılar, très activement utilisée par les Turcs.
Le volume du capital économique détermine les chances de profit dans tous les
champs où le capital économique est efficient, contribuant à déterminer la position dans
l’espace social. Dans la photo, on peut voir comment les Syriens tiennent les magasins de la
rue Badem, en face des lieux de socialisation comme la Mosquée des Canlılar, très
activement utilisée par les Turcs. Le volume du capital économique a permis aux Syriens de
prendre possession de ces magasins et ce volume du capital économique a changé et
transforme l’espace visiblement turc à syrien.
Au point de vue structurelle et super-structurelle, il existe des inégalités à propos de
rapports de propriété entre deux communautés. L’intensification de transformation syriennes
des petit-commerçants, en fait est lié aux premières politiques fiscales du gouvernement.
E 2 : « Lorsque les Syriens sont arrivés pour la première fois, il leur a été facilité de
créer des magasins et aucun impôt n'a été collecté, afin de leur permettre de devenir
économiquement plus forts. »
Deuxième inégalité c’est plutôt super-structurelle :
E 3 : « Beaucoup (les syriens) ne peuvent pas acheter une maison. Car pour acheter
une maison, il faut être citoyen ou payer beaucoup d’argent. C’est pourquoi il semble
qu’aucun Syrien n’ait de logement. »
La rue Badem coincé entre ces quatre quartiers se montre une augmentation de chance
de profit de champ de force des syriens. Les discours des enquêtés signale une adaptation des
syriens et phase de paix entre les syriens et turcs de ces quartiers. Dans le cadre de la
production de l’espace, les forces productives et leurs composantes sont avec les syriens et
aident aux syriens pour leur positionnement relatives dans ces espaces. Mais les structure,
c’est-à-dire les rapports de propriété et les superstructures, c’est-à-dire les institutions
et l'État lui-même met en danger la solide position économique des Syriens. Peut-être
pourrions-nous réduire toutes ces pensées à une seule phrase. Les Syriens de la
Turquie occupent un espace économiquement visible, culturellement plutôt adapté et
politiquement temporaire.
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Bibliographie
Bourdieu, P. (1984). Espace social et genèse des "classes". Actes de la Recherche en
Sciences Sociales, 3-14.
Danış, D. P. (2009). Nafile soydaşlık: Irak ve Bulgaristan Türkleri örneğinde göçmen,
dernek ve devle. Toplum ve Bilim, 131-158.
Eşim, İ. v. (2021). BALKANLARDAN ANADOLU’YA YÖNELİK GÖÇLERİN
MEKÂNSAL ETKİLERİNE BİR ÖRNEK: BULGARİSTAN KAYNAKLI GÖÇLERİN
BURSA- OSMANGAZİ İLÇESİNDE YER ADLARINA ETKİSİ. Uluslararası Türkçe
Edebiyat Kültür Eğitim Dergisi, 875-902.
Kaplan, D. H. (2019). Multicultural Engagements in Lived Spaces: How Cultural
Communities Intersect in Belleville, Paris. American Sociological Association.
Lefebvre, H. (1974). La Production de L'espace.
Mahalle Kapatma Duyurusu Hk. (2023, 01 06). T.C. Bursa Valiliği İl Göç İdaresi
Müdürlüğü: https://bursa.goc.gov.tr/yabanci-kaydina-kapatilan-mahalleler-hakkinda
adresinden alındı
Park, R. E. (1926). Our Racial Frontier on the Pacific. R. E. Park içinde, Race and
Culture (s. 140).
Türkiye’deki Suriyeli Sayısı. (2023, Novembre 30). Mülteciler Derneği:
https://multeciler.org.tr/turkiyedeki-suriyeli-sayisi/ adresinden alındı

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