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01 84 60 03 50 (tel:01 84 60 03 50)
Que vous soyez au début de votre réflexion ou prêt à franchir le pas, ce guide est conçu pour vous
accompagner dans chaque étape de votre parcours entrepreneurial et vous aider à poser des bases
solides pour votre future entreprise.
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Sommaire
Simplicité Administrative :
La micro-entreprise est conçue pour faciliter les démarches administratives. L’inscription se fait en
ligne et est relativement rapide. Les micro-entrepreneurs bénéficient d’un régime simplifié de
déclaration et de paiement des cotisations sociales et fiscales.
Les micro-entreprises sont soumises à un régime fiscal spécifique, basé sur le régime micro-fiscal.
Cela implique que l’imposition se fait sur la base d’un pourcentage du chiffre d’affaires, avec un
abattement forfaitaire pour frais professionnels. Pour la sécurité sociale, les contributions sont
également calculées en pourcentage du chiffre d’affaires.
Plafonds de Chiffre d’Affaires :
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Pour bénéficier de ce statut,En savoir plus (https://societefacile.com/politique-de-confidentialite-2/)
l’entreprise doit respecter des plafonds annuels de chiffre d’affaires.
Ces plafonds varient en fonction de l’activité (vente de marchandises, prestations de services,
activités libérales) et sont régulièrement révisés.
Absence de TVA :
Sous certaines conditions, les micro-entreprises peuvent être exemptées de TVA. Cela signifie
qu’elles ne la facturent pas à leurs clients et ne la récupèrent pas sur leurs achats. Cet avantage est
lié au respect des plafonds de chiffre d’affaires mentionnés ci-dessus.
Statut de l’Entrepreneur :
Secteurs d’Activité :
Ce statut est ouvert à de nombreux secteurs d’activité, que ce soit dans le commerce, l’artisanat, les
prestations de services ou les professions libérales réglementées ou non.
Ce statut est particulièrement adapté pour les petites entreprises, les entrepreneurs individuels, et
ceux qui souhaitent tester une idée d’entreprise avec un minimum de contraintes administratives et
financières. Toutefois, il est important de bien comprendre les implications légales, fiscales et
sociales avant de choisir ce statut.
Avantages :
1. Simplicité Administrative :
Les micro-entrepreneurs bénéficient d’un régime fiscal allégé avec des cotisations sociales
calculées en pourcentage du chiffre d’affaires, ce qui peut être particulièrement attractif pour les
entreprises ayant des coûts de fonctionnement faibles.
3. Exonération de TVA :
Sous le seuil de chiffre d’affaires, les micro-entreprises sont exemptées de TVA, ce qui simplifie
la facturation et peut rendre leurs prix plus compétitifs pour les clients non assujettis à la TVA.
4. Flexibilité :
Ce statut est idéal pour tester une idée d’entreprise avec un risque financier limité, pour
compléter un revenu ou pour exercer une activité professionnelle à temps partiel.
Inconvénients :
L’exonération de TVA signifie également qu’ils ne peuvent pas récupérer la TVA sur leurs achats
professionnels, ce qui peut être un désavantage pour ceux qui ont des dépenses importantes.
4. Limites de Développement :
Les contraintes liées au statut, notamment en termes de chiffre d’affaires et de gestion, peuvent
limiter les possibilités de développement de l’entreprise.
La protection sociale des micro-entrepreneurs peut être moins avantageuse que celle des
salariés, notamment en ce qui concerne la retraite et l’assurance chômage.
Pour bénéficier du statut de micro-entreprise, il est impératif de ne pas dépasser certains seuils
de chiffre d’affaires annuel. Ces plafonds diffèrent selon le type d’activité (vente de
marchandises, prestations de services, professions libérales).
2. Activité Individuelle :
La micro-entreprise est destinée aux entrepreneurs individuels. Il n’est pas possible de créer une
micro-entreprise sous forme de société ou en association avec d’autres personnes.
L’entrepreneur doit être résident fiscal en France. Cela signifie qu’il doit payer ses impôts en
France et y posséder le centre de ses intérêts économiques.
4. Activités Autorisées :
5. Absence de TVA :
Les micro-entreprises ne sont pas soumises à la TVA sous le seuil de franchise de base. Si
l’entreprise dépasse ce seuil, elle perd le bénéfice de cette exonération.
6. Réglementations Professionnelles :
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7. Situation Personnelle :
Le statut de micro-entrepreneur doit être compatible avec d’autres statuts possédés par
l’entrepreneur (par exemple, étudiant, retraité, etc.)
Avant de vous lancer, clarifiez votre projet d’entreprise. Déterminez le type d’activité que
vous souhaitez exercer, votre marché cible, et les ressources nécessaires.
2. Vérifier les Conditions d’Éligibilité :
Suite à votre inscription, vous recevrez un numéro SIRET. Ce numéro est essentiel pour toutes
vos démarches administratives et commerciales.
6. Ouverture d’un Compte Bancaire Professionnel :
Bien que cela ne soit pas toujours obligatoire, il est conseillé d’ouvrir un compte bancaire
dédié à votre activité pour une meilleure gestion financière.
7. Souscription aux Assurances Nécessaires :
Selon votre activité, certaines assurances peuvent être obligatoires (responsabilité civile
professionnelle, etc.). Évaluez vos besoins en assurance.
8. Connaissance des Obligations Comptables et Fiscales :
Une fois votre entreprise immatriculée, vous devrez effectuer vos déclarations de chiffre
d’affaires selon la périodicité choisie (mensuelle ou trimestrielle).
10. Adhésion à un Régime de Retraite :
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Bien que le régime de la micro-entreprise offre un cadre simplifié, il existe néanmoins certaines
obligations comptables que les micro-entrepreneurs doivent respecter :
Les factures émises doivent respecter certaines normes (numérotation, date, identité du
vendeur et de l’acheteur, description du produit ou service, etc.). Il est important de noter que
les micro-entrepreneurs bénéficiant de la franchise en base de TVA ne doivent pas collecter
ni mentionner la TVA sur leurs factures.
4. Déclarations de Chiffre d’Affaires :
Sur la base de ce chiffre d’affaires déclaré, les cotisations sociales sont calculées et dues. Le
micro-entrepreneur peut également opter pour le versement libératoire de l’impôt sur le
revenu, calculé également en pourcentage du CA.
6. Conservation des Documents :
Tous les documents comptables et justificatifs (factures, livres des recettes et des achats)
doivent être conservés pendant une durée minimale de 10 ans pour d’éventuelles
vérifications par l’administration fiscale.
7. Gestion de la Contribution à la Formation Professionnelle (CFP) :
Les micro-entrepreneurs sont également assujettis au paiement de la CFP, qui est calculée en
fonction du CA et doit être déclarée et payée annuellement.
Les micro-entrepreneurs doivent déclarer régulièrement leur chiffre d’affaires (CA), soit
mensuellement, soit trimestriellement. Cette déclaration est cruciale car elle détermine le
montant des cotisations sociales et des impôts à payer.
2. Impôt sur le Revenu :
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Bien qu’il s’agisse d’une obligation sociale, les cotisations sociales ont un impact fiscal
important. Elles sont calculées en pourcentage du CA et doivent être déclarées et payées
selon la périodicité choisie lors de l’inscription.
5. Contribution à la Formation Professionnelle (CFP) :
Les micro-entrepreneurs doivent payer la CFP, qui est aussi calculée en pourcentage du CA et
est destinée à financer leur droit à la formation professionnelle.
6. Contribution Foncière des Entreprises (CFE) :
La plupart des micro-entrepreneurs sont assujettis à la CFE, une taxe locale basée sur la
valeur locative des biens immobiliers utilisés pour l’activité professionnelle. Il existe certaines
exonérations et réductions, notamment pour les nouvelles entreprises.
7. Déclarations Fiscales Annuelles :
Les micro-entrepreneurs relèvent d’un régime simplifié de sécurité sociale, qui couvre les
prestations de base telles que l’assurance maladie, les allocations familiales, la retraite de
base, et la retraite complémentaire.
3. Protection Sociale :
Bien que simplifiée, la protection sociale offre une couverture en cas de maladie, maternité, et
pour la retraite. Cependant, elle peut être moins complète que celle des salariés ou des
autres catégories de travailleurs indépendants, notamment en ce qui concerne la retraite
complémentaire et l’assurance chômage.
4. Versement des Cotisations :
Les cotisations sociales doivent être déclarées et payées selon la périodicité choisie
(mensuellement ou trimestriellement), en fonction du CA déclaré. En l’absence de CA, aucune
cotisation sociale n’est due.
5. Droits à la Formation Professionnelle :
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Comme le régime est basé sur le CA et non un salaire, il n’existe pas de salaire minimum
garanti. Les revenus dépendent entièrement du succès de l’activité de l’entrepreneur.
En tant que micro-entrepreneur, vous êtes personnellement responsable des dettes et des
engagements de votre entreprise. Cela signifie que vos biens personnels peuvent être utilisés
pour couvrir les dettes professionnelles, sauf si vous optez pour le statut d’EIRL
(Entrepreneur Individuel à Responsabilité Limitée).
2. Statut d’EIRL pour Protéger votre Patrimoine Personnel :
Cette assurance est essentielle pour couvrir les dommages que votre activité pourrait causer
à des tiers. Elle est obligatoire pour certaines professions et fortement recommandée pour
d’autres.
4. Protection des Données Personnelles et RGPD :
Si votre entreprise collecte et traite des données personnelles, vous devez respecter le
Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD). Cela implique de mettre en place
des mesures pour protéger ces données et informer les personnes concernées de leurs droits.
5. Propriété Intellectuelle et Marques :
Protégez vos créations, marques, logos, et noms commerciaux en les enregistrant auprès des
organismes compétents. Cela vous assure un droit exclusif d’exploitation et vous protège
contre les contrefaçons.
6. Contrats et Conditions Générales de Vente (CGV) :
Rédigez des contrats et des CGV clairs et conformes à la législation pour encadrer vos
relations commerciales. Cela minimise les risques de litiges et clarifie les attentes entre vous
et vos clients.
7. Gestion des Litiges :
En cas de litige, la médiation ou l’arbitrage peuvent être des solutions efficaces et moins
coûteuses que la voie judiciaire. Prévoyez également des clauses de résolution de litiges dans
vos contrats.
8. Veille Juridique :
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Souscrire à des assurances adéquates est essentiel pour protéger votre micro-entreprise ou auto-
entreprise contre divers risques :
Cette assurance est cruciale pour couvrir les dommages causés à des tiers dans le cadre de
votre activité professionnelle. Elle est obligatoire pour certaines professions (comme les
métiers du conseil, de la santé, du bâtiment) et fortement recommandée pour d’autres.
2. Assurance Multirisque Professionnelle :
Elle combine généralement la RC Pro avec une protection contre les dommages aux biens de
l’entreprise (matériel, locaux, stocks). Cette assurance est particulièrement importante si vous
possédez un local ou du matériel de valeur.
3. Assurance de Protection Juridique :
Elle vous aide à couvrir les frais de justice en cas de litige avec un client, un fournisseur ou un
concurrent. Cette assurance peut être précieuse pour défendre vos droits en cas de conflit.
4. Assurance Perte d’Exploitation :
Elle permet de compenser une perte de revenu en cas d’impossibilité d’exercer votre activité
(suite à un sinistre, par exemple).
5. Assurance des Véhicules Professionnels :
Si vous utilisez un véhicule pour votre activité, une assurance spécifique est nécessaire. Elle
est différente de l’assurance personnelle et adaptée à l’usage professionnel.
6. Assurance Santé et Prévoyance :
Ces assurances complètent la couverture sociale de base et peuvent offrir une meilleure
protection en cas d’accident, de maladie, ou d’invalidité, garantissant ainsi la continuité de
vos revenus.
7. Assurance Chômage du Dirigeant :
Bien que facultative, cette assurance peut être pertinente pour les entrepreneurs souhaitant
se protéger contre le risque de perte d’activité.
Ces assurances sont essentielles pour sécuriser votre activité et vous protéger contre les risques
inhérents à la gestion d’une entreprise. Chaque micro-entreprise ou auto-entreprise étant unique, il
est recommandé de réaliser une évaluation des risques spécifiques à votre activité pour choisir les
assurances les plus adaptées.
Surveillez régulièrement votre trésorerie pour vous assurer de pouvoir couvrir vos dépenses
courantes et anticiper les besoins futurs. Cela implique un suivi des entrées et sorties
d’argent, ainsi que la gestion des délais de paiement.
3. Déclarations et Paiements des Cotisations :
Respectez les échéances pour déclarer votre chiffre d’affaires et payer vos cotisations
sociales. En cas de retard, vous pourriez être pénalisé.
4. Relation avec les Clients :
Développez votre présence en ligne et hors ligne. Utilisez les réseaux sociaux, votre site web,
et les relations publiques pour promouvoir votre activité et attirer de nouveaux clients.
6. Optimisation des Processus :
Cherchez constamment à optimiser vos processus pour gagner en efficacité et réduire les
coûts. Cela peut inclure l’automatisation de certaines tâches ou la sous-traitance de services
non essentiels.
7. Formation et Mise à Jour des Compétences :
Investissez dans votre formation continue pour rester compétitif dans votre domaine. Cela
peut impliquer des formations techniques, commerciales ou en gestion d’entreprise.
8. Veille Concurrentielle et de Marché :
Restez informé des tendances du marché et des actions de vos concurrents pour adapter
votre stratégie et offrir des produits ou services pertinents.
9. Gestion du Temps et Équilibre de Vie :
Gérez efficacement votre temps pour équilibrer les exigences de l’entreprise avec votre vie
personnelle. Cela est crucial pour éviter l’épuisement professionnel et maintenir une qualité
de vie.
Modifier une auto-entreprise peut être nécessaire pour diverses raisons, telles que le changement
d’adresse, de statut juridique, ou d’activité. Voici les étapes à suivre :
Les modifications doivent être déclarées auprès du Centre de Formalités des Entreprises
(CFE) compétent, généralement l’URSSAF pour les auto-entrepreneurs. Certains
changements peuvent être effectués en ligne via le portail officiel des auto-entrepreneurs.
3. Changement d’Adresse :
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Pour changer l’activité de votre auto-entreprise, vous devez déclarer la nouvelle activité au
CFE. Assurez-vous que la nouvelle activité est compatible avec le régime de l’auto-
entrepreneur.
5. Changement de Statut Juridique :
Pour changer de régime fiscal (opter ou renoncer au versement libératoire de l’impôt sur le
revenu, par exemple), vous devez en faire la demande auprès de l’administration fiscale,
généralement à la fin de l’année civile pour l’année suivante.
7. Informations à Mettre à Jour :
Suite à une modification, n’oubliez pas de mettre à jour vos documents commerciaux, votre
site internet, vos cartes de visite, etc.
8. Notifications et Conséquences :
Tenez compte des délais nécessaires pour l’enregistrement des modifications et des éventuels
frais associés.
La fermeture d’une micro-entreprise ou auto-entreprise est une démarche qui doit être effectuée
avec soin pour s’assurer que toutes les obligations légales et administratives sont remplies :
1. Décision de Fermeture :
La première étape consiste à prendre la décision de fermer l’entreprise. Cette décision peut
être motivée par divers facteurs, tels que des raisons personnelles, un changement de projet
professionnel, ou des difficultés économiques.
2. Déclaration de Cessation d’Activité :
Vous devez déclarer la cessation de votre activité auprès du Centre de Formalités des
Entreprises (CFE) compétent, généralement l’URSSAF pour les auto-entrepreneurs. Cette
déclaration peut souvent être effectuée en ligne.
3. Régularisation des Dernières Obligations Comptables et Fiscales :
Avant de fermer définitivement, il est important de mettre à jour toutes les obligations
comptables et fiscales : déclaration et paiement des dernières cotisations sociales,
déclaration de chiffre d’affaires jusqu’à la date de cessation, paiement des impôts dus.
4. Clôture des Comptes Bancaires Professionnels :
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Informez vos clients et fournisseurs de la fermeture de votre entreprise. Cela inclut la fin des
services, la résiliation des contrats en cours, et le règlement des comptes ouverts.
6. Annulation des Assurances et Abonnements :
Résiliez toutes les assurances, abonnements, et services liés à l’entreprise pour éviter des
frais inutiles après la fermeture.
7. Conservation des Documents :
Si vous avez des stocks ou du matériel, organisez leur vente, leur don, ou leur élimination de
manière appropriée.
9. Demande d’Aide ou d’Accompagnement :
En cas de difficultés, notamment financières, renseignez-vous sur les aides disponibles pour
les entrepreneurs en cessation d’activité (accompagnement, aide à la reconversion, etc.).
Les micro-entreprises en France peuvent bénéficier de diverses aides financières, conçues pour
soutenir leur création, leur développement, ou les aider en période de difficultés :
L’ACRE est une aide permettant une exonération partielle des charges sociales pendant la
première année d’activité. Elle est destinée aux créateurs ou repreneurs d’entreprise et peut
être particulièrement bénéfique pour les micro-entrepreneurs.
2. Prêts d’Honneur et Microcrédits :
Des organismes comme Initiative France, Réseau Entreprendre, ou l’ADIE proposent des prêts
d’honneur sans intérêts ou des microcrédits pour aider à financer le démarrage ou le
développement de l’entreprise.
3. Subventions Régionales et Locales :
Selon votre région ou votre localité, des subventions ou aides financières peuvent être
disponibles. Ces aides sont souvent liées à des secteurs d’activité spécifiques ou à des projets
innovants.
4. Crédit d’Impôt pour la Formation des Dirigeants :
Les micro-entrepreneurs peuvent bénéficier d’un crédit d’impôt pour financer leur formation
professionnelle.
5. Exonérations Fiscales Locales :
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collectivitésEnlocales
savoir plus (https://societefacile.com/politique-de-confidentialite-2/)
offrent des exonérations de taxes foncières ou de cotisation
foncière des entreprises (CFE) pour attirer et soutenir les entreprises sur leur territoire.
6. Aides Spécifiques en Cas de Crise :
En périodes de crise économique ou sanitaire, des aides spécifiques peuvent être mises en
place par le gouvernement, telles que des fonds de solidarité, des prêts garantis par l’État, ou
des aides au paiement des loyers.
7. Incitations à l’Innovation :
Pour les micro-entreprises innovantes, des dispositifs comme le Crédit d’Impôt Recherche
(CIR) ou le statut de Jeune Entreprise Innovante (JEI) peuvent offrir des avantages fiscaux
importants.
8. Conseils et Accompagnement :
Bien que non financières directement, certaines structures offrent un accompagnement et des
conseils précieux qui peuvent aider à optimiser la gestion financière et accéder à des
financements (chambres de commerce, incubateurs, réseaux d’entrepreneurs).
Pour gérer efficacement une micro-entreprise, il est important de connaître et d’utiliser diverses
ressources disponibles. Voici une sélection de ressources utiles pour les micro-entrepreneurs :
1. Portails Gouvernementaux :
Réseau Entreprendre, Initiative France, ADIE : Ces associations proposent des prêts
d’honneur, des conseils, et un accompagnement pour les créateurs d’entreprise.
Groupes et forums en ligne spécifiques aux entrepreneurs pour partager des expériences et
obtenir des conseils.
4. Outils de Gestion et de Comptabilité :
Utilisez des logiciels de comptabilité adaptés aux micro-entreprises pour simplifier la gestion
des finances.
Des applications de gestion de projet et de suivi du temps de travail peuvent également être
utiles.
5. Formations et Évènements :
Sites spécialisés en droit des affaires et en fiscalité pour rester informé des dernières
évolutions législatives et réglementaires.
7. Réseaux Sociaux Professionnels :
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Conclusion
Bien que le statut de micro-entrepreneur offre de nombreux avantages, tels que la simplicité
administrative et un régime fiscal allégé, il implique aussi des responsabilités et nécessite une
gestion rigoureuse et organisée. La clé du succès réside dans une bonne préparation, une
compréhension claire des enjeux et des défis, et une capacité à s’adapter et à évoluer.
N’oubliez pas que l’entrepreneuriat est un parcours d’apprentissage continu. Profitez des
nombreuses ressources disponibles, restez informé des changements législatifs et réglementaires,
et n’hésitez pas à solliciter de l’aide et des conseils auprès de professionnels lorsque cela est
nécessaire.
Enfin, rappelez-vous que chaque entreprise est unique. Votre passion, votre détermination et votre
créativité seront vos meilleurs atouts pour mener votre projet à succès. Bonne chance dans cette
formidable aventure entrepreneuriale !
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