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ANNALES D’ODONTOLOGIE

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de ses usagers que les sujets d’examens qui lui
sont communiqués.
Sujets d'examens d’odontologie

FGSO 3

2021-2022

Annales de l'Université Lyon 1

Faculté d’odontologie
Année universitaire
2021-2022

Université Lyon 1
Faculté d’odontologie

FGSO 3

1er semestre – 1ère session


2021-2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN – SEMESTRE 1 – SESSION 1


Epreuve : ODL311P2 – UE 1- M1 Odontologie Conservatrice et Endodontie
Responsables : Pr C. VILLAT – Dr T. SELLI

DATE : 13 décembre 2021

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 15

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

Question 1. Correcteur Pr. C. Villat

A. Définir et expliquer les différentes étapes du diagnostic en endodontie


(3 points)

B. Citer les objectifs de la reconstitution coronaire préendodontique


(1,5 points)

C. Une fois votre préparation canalaire terminée, vous choisissez de


réaliser une obturation en condensation latérale à froid. Décrivez la
procédure (3 points)

Question 2. Correcteur Dr T. Selli

L’irrigation en endodontie : pourquoi ? quand ? comment ? (7,5 points)

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2021-2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN – SEMESTRE 1 – SESSION 1


Epreuve : ODL317P2 – UE 1- M7 Prothèse Amovible
Responsable : Dr C. JEANNIN

DATE : 13 décembre 2021

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 15

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

QUESTION(S) (correcteur Dr C. JEANNIN):


1) Énumérez, par ordre chronologique, les étapes de réalisation (clinique et
laboratoire) d’une Prothèse Partielle Adjointe Métallique (jusqu’au stade du
châssis métallique) (4 points)
2) Citer les différences entre une Prothèse Partielle Adjointe Résine et une Prothèse
Partielle Adjointe Métallique (4 points)
3) Quelle est la classe de Kennedy-Applegate de cet édentement (figure 1 ci-
dessous) (1 point)
4) Quels sont les crochets souhaités pour le châssis (figure 1) ? (1 point)
5) Dessiner, selon la technique du double trait, le tracé du châssis de la Prothèse
Partielle Adjointe Métallique destinée à compenser cet édentement (figure1)
(5 points)

Figure 1 :

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2021-2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN – SEMESTRE 1 – SESSION 1


Epreuve : ODL312P2 – UE 1- M3 Prothèse Fixée
Responsable : Dr R. NOHARET

DATE : 14 décembre 2021

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 15

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

QUESTION(S) : (R.NOHARET – 15 points)

- Une patiente se présente en première consultation suite au descellement de sa couronne


sur 25 (manque d’adaptation cervicale). La patiente a une demande esthétique
importante : une couronne céramo-céramique est donc envisagée sur 25 et un implant en
remplacement de 24. En fonction des images cliniques fournies :

Quel type de reconstitution corono-radiculaire choisissez-vous pour la 25 ? Argumentez.


cf photos jointes. 5 points

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- Concernant la même patiente, vous devez donc envisager la réalisation d’une prothèse
provisoire en urgence.

Quelle technique allez-vous utiliser ? Justifiez et décrivez les grandes étapes de réalisation.
5 points

Ensuite, cites les étapes de réalisation clinique et laboratoire jusqu’à la mise en place finale
la couronne céramo-céramique ? 5 points

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2021-2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN – SEMESTRE 1 – SESSION 1


Epreuve : ODL321P2 – UE 2- M1 Anatomo-Pathologie générale et osseuse
Responsable : Dr F. VIRARD

DATE : 13 décembre 2021

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 20

Les QCM sont à REPONSES MULTIPLES. Chaque question comporte 5 propositions.


Cochez sur la grille de réponse uniquement la ou les propositions exactes.
Notation :
0 erreur = 5 pts
1 erreur = 3 pts
2 erreurs = 1 pts
plus de 3 erreurs = 0 pts

1. Les tumeurs
A. Les tumeurs sont des corps étrangers ayant élu domicile chez le malade
B. Les tumeurs sont formées de cellules procaryotes
C. Les cellules tumorales peuvent se déplacer d’un organisme à un autre
D. Les cellules tumorales peuvent se déplacer au sein d’un organisme
E. Les tissus tumoraux ont une forme et une fonction normale

2. Classification des cancers


A. Les cancers conservent certaines caractéristiques histologiques de leur tissu d’origine
B. Certains cancers du côlon et de la cavité orale peuvent être du même type
C. On peut identifier le tissu d’origine d’un cancer à partir de son analyse histologique
D. La classification des cancers ne prend pas en compte l’organe dont est issue la tumeur
E. On peut retrouver regroupés sous la même désignation des cancers issus d’organes différents

3. Bénin vs malin
A. Une tumeur est considérée comme maligne quand elle est localisée
B. Une tumeur est considérée comme bénigne quand elle est localisée
C. Une tumeur prend la désignation de maligne quand elle envahit le tissu adjacent
D. Une tumeur prend la désignation de bénigne quand elle envahit le tissu adjacent
E. Les tumeurs bénignes représentent 90 % des morts liées au cancer

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4. Les cancers d’origine épithéliale
A. La majorité des cancers sont d’origine épithéliale
B. Le carcinome est un des cancers les plus courants chez l’homme
C. Les cancers de la cavité orale sont principalement des carcinomes
D. Les adénocarcinomes sont liés à des épithéliums glandulaires
E. Les carcinomes épidermoïdes sont liés à des cellules sécrétrices

5. Les cancers d’origine non épithéliale


A. Les sarcomes sont des cancers d’origine hématopoïétique
B. Les sarcomes dérivent de cellules d’origine mésenchymateuse
C. Le système nerveux ne peut être à l’origine de cancers
D. Les sarcomes représentent près de 70% des cancers
E. Les cellules hématopoïétiques sont à l’origine de sarcomes

6. La transformation tumorale
A. Une hyperplasie contient des cellules proches de la normale, mais avec un nombre fortement
réduit
B. Dans une hyperplasie, les cellules ont perdu leur capacité à s’organiser en tissu
C. Dans une dysplasie, les cellules ont perdu leur capacité à s’organiser en tissu
D. La dysplasie est considérée comme un stade prémalin
E. Dans un tissu hyperplasique, le nombre de cellules est anormal

7. La transformation tumorale
A. Un néoplasme peut être bénin ou malin
B. Un cancer est forcément bénin
C. Une tumeur bénigne peut donner des métastases
D. Une métastase est toujours issue d’une tumeur primaire
E. La présence de cellules épithéliales envahissant le tissu conjonctif sous-jacent suggère la
malignité

8. Etiologie des cancers


A. La majeure partie des cancers est due au hasard
B. L’hérédité peut contribuer à certains cancers
C. Tous les cancers sont liés à l’environnement
D. Certains cancers peuvent être induits par des virus
E. On peut induire des cancers expérimentalement en appliquant de façon répétée un carcinogène

9. Maladie induite par les gènes


A. Les mutagènes sont des carcinogènes
B. Tous les composés carcinogènes sont des mutagènes
C. Il existe une corrélation entre le taux de mutations et le pouvoir carcinogène des substances
D. Les promoteurs sont des mutagènes
E. Les promoteurs sont capables de favoriser le développement des tumeurs en induisant des
mutations

10. Mécanismes moléculaires


A. Un proto-oncogène peut être transformé en oncogène par une mutation
B. Un proto-oncogène peut être transformé en oncogène par une translocation
C. Les gènes suppresseurs de tumeur peuvent être perdus suite à une amplification génique
D. Les proto-oncogènes codent pour des protéines impliquées dans la division cellulaire
E. Les gènes suppresseurs de tumeur sont des gènes stimulant la division cellulaire

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11. La lésion périapicale
A. Elle découle d'une réponse inflammatoire
B. Elle se traduit par une destruction osseuse
C. Elle peut s’observer en absence de dents
D. Elle n’est pas observable radiologiquement
E. Elle n’est observable que lors d’une analyse anatomopathologique

12. Etiologie de la lésion périapicale


A. Elle peut être provoquée par les produits de dégradation de la pulpe
B. Elle peut apparaître dans un environnement stérile
C. Elle est induite par des communautés de bactéries
D. Elle est induite par la présence de bactéries dans les canaux endodontiques
E. Elle est induite par des bactéries capables de détruire directement l’os

13. Limite de l’infection


A. La qualité de la réponse de l’hôte influe sur la localisation de la limite de l’infection
B. Les facteurs de virulence de la communauté bactérienne influent sur la limite de l’infection
C. Une infection non contrôlée peut évoluer en cellulite
D. Une infection non contrôlée peut évoluer en fistule
E. Une infection non contrôlée reste localisée au périapex

14. La parodontite apicale aiguë avec abcès


A. Elle contient un grand nombre de bactéries au sein du parodonte périapical
B. Elle contient du pus dans le parodonte périapical
C. Elle est aseptique
D. Elle présente une destruction osseuse
E. Elle peut survenir après la formation d’un granulome

15. La parodontite apicale chronique


A. Elle contient des bactéries au sein du parodonte périapical
B. Elle contient du pus dans le parodonte périapical
C. Elle est aseptique
D. Elle présente toujours une destruction osseuse
E. Elle peut être épithélialisée

16. Le kyste en poche


A. Est un kyste ayant maintenu une relation avec la dent
B. Est une lésion épithélialisée
C. Est une lésion chronique
D. Il contient de nombreux vaisseaux entre l’épithélium et la capsule fibreuse
E. Il peut être distingué radiologiquement d’un kyste vrai

17. Kyste vrai


A. La majeure partie des kystes périapicaux sont des kystes vrais
B. Est une cavité présentant une communication avec la dent
C. Est une lésion aiguë
D. Il peut être confondu avec un kyste en poche suivant le plan de coupe histologique
E. Est une évolution possible d’un granulome

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18. Les kystes périapicaux
A. Ils sont issus de la prolifération de l’épithélium oral
B. Ils sont d’origine inflammatoire
C. Ils pourraient provenir de la cavitation d’une lésion épithélialisée par nécrose
D. Ils pourraient provenir de la prolifération de cellules épithéliales pour isoler un abcès
E. Ils peuvent dériver des restes épithéliaux de malassez

19. Mr M, 36 ans consulte pour des douleurs intenses, spontanées secteur 2


L’examen clinique révèle la présence d'une carie profonde sur la 24
Le test de vitalité est négatif
L'examen radiologique révèle la présence d'une lésion périapicale en regard de la 24
A. les signes cliniques suggèrent que la dent est vivante
B. les signes cliniques suggèrent que la dent est nécrosée
C. les signes cliniques suggèrent que la dent est en pulpite irréversible
D. Le tableau clinique suggère que la 24 présente un abcès périapical
E. Le tableau clinique suggère que la 24 présente un granulome périapical

20. Mr M, 36 ans consulte pour des douleurs intenses, spontanées secteur 2


L’examen clinique révèle la présence d'une carie profonde sur la 24
Le test de vitalité est positif et douloureux
A. les signes cliniques suggèrent que la dent est vivante
B. les signes cliniques suggèrent que la dent est nécrosée
C. le tableau clinique suggère que la dent est en pulpite irréversible
D. Le tableau clinique suggère que la 24 présente un abcès périapical
E. Le tableau clinique suggère que la 24 présente un granulome périapical

21. Mr M, 36 ans consulte pour une gêne sur sa 24


L’examen clinique révèle la présence d'une carie profonde sur la 24
La dent est sensible à la palpation et à la percussion
Le test de vitalité est négatif
L'examen radiologique révèle la présence d'une lésion périapicale en regard de la 24
A. les signes cliniques suggèrent que la dent est vivante
B. les signes cliniques suggèrent que la dent est nécrosée
C. les signes cliniques suggèrent que la dent est en pulpite irréversible
D. Le tableau clinique suggère que la 24 pourrait présenter un abcès périapical
E. Le tableau clinique suggère que la 24 pourrait présenter un granulome périapical

22. Mr M, 36 ans consulte pour une carie sur sa 24 qui est sensible à la mastication.
L’examen clinique révèle la présence d'une carie profonde sur la 24
La dent est sensible à la palpation et à la percussion
Le test de vitalité est négatif
L'examen radiologique révèle la présence d'une lésion périapicale en regard de la 24
A. la présence d'une lésion périapicale suggère que la dent est vivante
B. la présence d'une carie profonde sur la 24 permet de conclure que la dent est nécrosée
C. les signes cliniques suggèrent que la dent est en pulpite irréversible
D. Le tableau clinique suggère que la 24 présente un abcès périapical
E. Le tableau clinique suggère que la 24 présente une lésion chronique

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23. Mr M, 36 ans consulte pour une cellulite gauche.
A l’examen clinique, le test de vitalité de la 23 est négatif
L'examen radiologique révèle la présence d'une lésion périapicale en regard de la 23.
Vous soupçonnés que :
A. la 23 est nécrosée
B. la 23 est en pulpite
C. la 23 présente un abcés périapical
D. la 23 présente un granulome périapical
E. la cellulite a été provoquée par une fistule de la 23

24. Kystes odontogènes (1)


A. Ce sont des kystes d’origine inflammatoire
B. Ils sont liés à une anomalie de développement des dents
C. Ils dérivent de l’épithélium odontogène
D. Ils peuvent dans le cas des kystes folliculaires empêcher l’éruption d’une dent mature
E. Ils ne sont pas composés de cellules épithéliales

25. Kystes odontogènes (2)


A. Ils peuvent provenir des restes épithéliaux de Malassez
B. Ils peuvent issus de l’épithélium oral
C. Ils peuvent issus de l’épithélium laryngé
D. Ils peuvent provenir de résidus de la lame dentaire
E. Ils peuvent provenir de la membrane de Schneider

26. Tumeurs odontogènes bénignes


A. Elles sont uniquement radio-claires
B. Elles peuvent récidiver
C. Elles peuvent être d’origine épithéliale
D. Elles peuvent être d’origine mésenchymateuse
E. Bien que bénignes, elles peuvent être très délabrantes

27. Les améloblastomes


A. Ce sont les seuls kystes odontogènes à ne pas se développer à partir de l’épithélium odontogène
B. Ils ne produisent pas de tissu calcifié
C. Ils peuvent entraîner une résorption des dents adjacentes
D. Ils se développent lentement sans envahir les tissus adjacents
E. Ils peuvent récidiver

28. Les cémentoblastomes


A. Radiologiquement, ils présentent un aspect uniloculaire bien délimité́
B. Ils produisent un tissu calcifié
C. Ils sont issus d’une prolifération des odontoblastes
D. Ils correspondent à une malformation de type hamartomateux
E. Ils produisent un tissu améloïde mal structuré

29. Les odontomes


A. Ils sont souvent associés à une dent incluse
B. Ils produisent un tissu calcifié
C. Ils correspondent à une malformation de type hamartomateux
D. Ils produisent un tissu améloïde mal structuré
E. Ils peuvent récidiver

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30. Les tumeurs odontogénique épithéliale calcifiante
A. Elles ne produisent pas de tissu calcifié
B. Elles présentent un dépôt de substance amyloïde
C. Elles sont issues des restes épithéliaux de la gaine de Hertwig
D. Elles sont malignes
E. Elles correspondent à une malformation de type hamartomateux

31. D’après le schéma suivant

A. La légende (4) correspond au canal de Wharton


B. La légende (3) correspond à la glande sublinguale
C. La légende (5) correspond au canal de Sténon
D. La légende (5) correspond au canal de Wharton
E. La légende (6) correspond à la glande sous-mandibulaire

32. Les sialodochites


A. Elles correspondent à une inflammation de la glande salivaire
B. Elles correspondent à une inflammation du canal excréteur
C. Elles peuvent être d’origine virale
D. Elles peuvent être liées à la présence d’une lithiase
E. Elles peuvent entraîner une dysphagie

33. Les sialadénites


A. Elles correspondent à une inflammation de la glande salivaire
B. Elles correspondent à une inflammation du canal excréteur
C. Elles peuvent être d’origine virale
D. Elles peuvent être liées à la présence d’une lithiase
E. Elles peuvent entraîner une dysphagie

34. Les Whartonites


A. Elles sont bilatérales quand elles sont d’origine virale
B. Elles présentent une inflammation à l’ostium sans écoulement purulent
C. Elles sont d’origine bactérienne
D. Elles entraînent une tuméfaction préauriculaire douloureuse
E. Elles peuvent être la conséquence d’un obstacle à l’écoulement de la salive

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35. Les Paroditites
A. Elles correspondent à des sialodochites
B. Elles sont bilatérales quand elles sont d’origine virale
C. Elles peuvent correspondre aux oreillons
D. Elles peuvent survenir en absence de tout obstacle à l’écoulement de la salive
E. Elles peuvent entraîner rougeur de la peau en regard de la glande

Vous recevez un patient de 33 ans pour une tuméfaction sous mandibulaire fluctuante. A
l’interrogatoire, il décrit des gonflements au moment des repas de la glande sous
mandibulaire, parfois accompagnés de douleurs.

36. Que soupçonnez-vous ?


A. Une parotidite ourlienne
B. La présence d’une lithiase
C. La présence d’une infection virale
D. Une tumeur de la glande salivaire
E. La présence d’un kyste

37. Que recherchez-vous à l’examen physique pour vous conforter dans ce diagnostic ?
A. La présence d’une lithiase à l’aide d’une palpation bidigitale
B. Une inflammation du canal de Sténon
C. La présence de pus au niveau de l’orifice de Wharton
D. La présence d’une maladie parodontale
E. La présence d’une kératose tabagique

38. Quel examen complémentaire réalisez-vous pour confirmer ce diagnostic ?


A. Une radiographie panoramique
B. Un cliché rétroalvéolaire
C. Un test de vitalité
D. Un dosage PSA
E. Une biopsie

39. Quelles prises en charge pourront être envisagées ?


A. Prescription d’un sialogogue
B. Prescription d’une sialendoscopie
C. Réalisation d’une exérèse chirurgicale de la glande
D. Prescription d’un antalgique
E. Prescription d’un antiviral

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40. Un patient se présente avec la lésion suivante :

A quoi pensez-vous ?

A. Une grenouillette
B. Une inflammation de la glande sublinguale
C. Une tumeur maligne
D. Une irritation mécanique liée à la présence de tartre sur les 31 et 41
E. Une parotidite ourlienne

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2021-2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN – SEMESTRE 1 – SESSION 1


Epreuve : ODL322P2 – UE 2- M2 Oncologie-Hématologie
Responsables : Dr A. LAFON – Dr F. VIRARD

DATE : 17 décembre 2021

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 10

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

QUESTION(S) :

Dr LAFON (5 points) 1 point par question


Un patient de 12 ans consulte aux urgences pour une hémorragie buccale suite à l’extraction de la
dent 14 la veille. Il a saigné toute la nuit. Sa maman ne signale aucun antécédent particulier. Il est
asthénique et pâle. Le bilan sanguin, demandé par l’urgentiste, montre les résultats suivants :

GR 3.18 T/L (4,2-5,7); Hb 9 g/l(13-18) ; Ht 39.2% (40-52); VGM 93fl (N :80-100); Leucocytes 7
G/L(4-10) ; Plaq 245G/L(150-450)
TP 90 % ; TCA 42 sec (témoin 30 sec), Groupe A+

1. Interprétez ces résultats


2. Quelles sont vos hypothèses diagnostiques ?
3. Que faites-vous en urgence? Quels examens complémentaires doivent être prescrits pour
évaluer le risque d’une prochaine chirurgie orale ?
4. Les examens sont anormaux avec notamment un déficit en facteur VIII. Quelle est finalement
l’hypothèse diagnostique la plus probable ?
5. Pratiquez-vous la chirurgie? Si oui, doit-on instaurer un traitement spécifique de l’hémostase ?

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Dr Lafon (5 points)

Un Homme de 73 ans consulte pour une « douleur » à type d’hypersensibilité labiale à la mandibule
inférieure gauche. Le patient décrit une légère asthénie, des douleurs lombaires et des douleurs au
niveau du sinus maxillaire D depuis quelques jours.
L’examen clinique révèle une volumineuse tuméfaction labiale inférieure droite positionnée à
l’émergence du nerf dentaire inférieur, comblant en partie le vestibule. La muqueuse de recouvrement
est normale. La palpation cervicale en sous mandibulaire retrouve des ganglions volumineux, mobiles,
élastiques, non douloureux.
L’examen radiologique (orthopantomogramme) montre plusieurs radioclartés en « médaillons
osseux » réparties dans la mandibule.
- Son médecin référent a demandé une NFS dont voici les résultats ci-dessous (tableau).

1- Décrire les anomalies retrouvées (1 point)


2- Au vu de ces données, quel(s) est (sont) le (ou les) examen(s) complémentaire(s) nécessaire(s) ainsi
que le(s) risque(s) pour le patient? (2 points)
3-Quelle est votre suspicion de diagnostic et votre prise en charge? (2 points)

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2021-2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN – SEMESTRE 1 – SESSION 1


Epreuve : ODL323P2 – UE 2- M3 Histologie et Histopathologie des tissus
Responsables : Dr M. BEKHOUCHE – Dr F. VIRARD

DATE : 17 décembre 2021

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 10

HISTOLOGIE & HISTOPATHOLOGIE DES TISSUS PARODONTAUX ET DES


MUQUEUSES BUCCALES

QUESTION 1 (2 points – Correcteur Dr M. BEKHOUCHE) :


Légendez cette coupe de la région apicale d’une molaire inférieure de rat en formation colorée
au Trichrome de Masson. Sélectionnez les légendes appropriées parmi la liste de propositions
(une proposition possible par légende).

- Cément cellulaire - Dentine radiculaire


- Cément acellulaire - Os alvéolaire
- Ostéoplastes avec son ostéocyte - Fibroblaste pulpaire
- Pulpe radiculaire - Cémentocyte dans son cémentoplaste
- Odontoblaste - Moelle osseuse
- Lame cribliforme - Cémentoblaste
- Gaine de hertwig - Moelle osseuse

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QUESTION 2 (3 points – Correcteur Dr M. BEKHOUCHE) :
Citez deux types/groupes de xérostomie. Décrivez succinctement les manifestations
cliniques en lien avec les fonctions de la salive.

QUESTION 3 (5 points – Correcteur Dr M. BEKHOUCHE) :


QCMs – Indiquez lisiblement pour chaque QCM la/les lettres (A à E) correspondant aux
affirmations justes dans le livret réponse. Chaque QCM vaut 0,25 point.

QCM 1 : La lame basale


A. la lamina propria sert à l'ancrage de la membrane basale au tissu conjonctif sous-jacent
B. La lamina densa contient du collagène de type IV
C. la lamina lucida sert à l'ancrage de la lame basale à la lamina propria
D. présente en microscopie électronique 3 parties : lucida, densa et propria
E. la lamina fibroreticularis est organisée sous la forme d'un treillis de fibres de collagène

QCM 2 : La maturation épithéliale


A. Le type de maturation (kératinisé/non kératinisé) est établi à la naissance et ne peut être
modifié au cours du temps par des contraintes mécaniques par exemple
B. Seules les cellules de la couche basale se divisent dans un épithélium normal
C. Les épithéliums kératinisés et non kératinisés ont des propriétés mécaniques identiques
D. Les cellules de la couche épineuse se divisent en continu
E. Les épithéliums non kératinisés ne présentent pas de couche granuleuse

QCM 3 : Structure des épithéliums (1)


A. Les kératinosomes des épithéliums kératinisés ont un aspect circulaire
B. La couche basale des épithéliums kératinisés et non kératinisés est composée de cellules
étoilées
C. Des tonofibrilles sont observées au sein des épithéliums kératinisés
D. Les kératinosomes sont absents des épithéliums kératinisés
E. La quantité de glycogène dans les cellules épineuses est liée au degré de kératinisation

QCM 4 : Structure des épithéliums (2)


A. Des granules de kératohyaline sont retrouvées dans la couche granuleuse des
épithéliums kératinisés
B. La couche épineuse est spécifique des épithéliums kératinisés
C. Les épithéliums non kératinisés ne présentent pas de cellules nuclées à leur surface
D. La kératohyaline est intimement associée aux kératinosomes
E. Les tonofibrilles participent à la formation d'une barrière mécanique et chimique par les
épithéliums

QCM 5 : Les muqueuses de la cavité orale


A. L'épithélium vestibulaire est kératinisé
B. L'épithélium de la langue est dit mixte
C. L'épithélium de la gencive libre est non kératinisé
D. L'épithélium sulculaire est non kératinisé
E. Les muqueuses jugales sont dites masticatoires

QCM 6 : Le cément (1)


A. Le cément est plus minéralisé que la dentine
B. Appartient fonctionnellement à la dent
C. Appartient anatomiquement à la dent
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D. Appartient fonctionnellement au parodonte
E. Appartient anatomiquement au parodonte

QCM 7 : Le cément (2)


A. La formation du cément débute après la mise en occlusion de la dent sur l’arcade
B. Le cément est formé par les fibroblastes parodontaux.
C. Le cément est formé lors de l'édification radiculaire
D. Le cément est formé par les cellules de la boucle cervicale
E. Le cément commence à être formé directement au-dessus de la pulpe radiculaire

QCM 8 : La gaine épithéliale de Hertwig


A. Est essentiellement composée de cellules issues du réticulum étoilée de l'organe de
l'émail
B. Est essentiellement composée de cellules issues de la pulpe radiculaire
C. Ne subit pas de fenestration lors de sa formation
D. Est issue de la fusion de l'épithélium adamantin interne et externe
E. Est à l'origine des restes épithéliaux de Malassez trouvés au sein du ligament parodontal

QCM 9 : Les groupes de fibres gingivales incluent :


A. Les fibres alvéolo-gingivales
B. Les fibres horizontales
C. Les fibres circulaires
D. Les fibres dento-périostées
E. Les fibres transseptales

QCM 10 : Les groupes de fibres parodontales incluent :


A. Les fibres crestales
B. Les fibres obliques
C. Les fibres interradiculaires
D. Les fibres transseptales
E. Les fibres horizontales

QCM 11 : L’épithélium de jonction (1)


A. Relie directement l’émail à l'os alvéolaire
B. Relie directement le cément à la gencive libre
C. Relie directement le cément à la gencive attachée
D. Débute au fond du sulcus et se termine à la jonction amélocémentaire
E. Relie l'émail à la gencive

QCM 12 : L’épithélium de jonction (2)


A. La membrane basale externe présente une lamina fibroreticularis épaisse fermement
ancrée dans la dent
B. Présente une membrane basale externe le reliant au tissu conjonctif
C. Présente une membrane basale interne le reliant à la dent
D. Présente une membrane basale interne le reliant au tissu conjonctif
E. Présente une membrane basale interne le reliant à l’os alvéolaire

QCM 13 : L’épithélium de jonction (3)


A. Provient de l'épithélium dentaire réduit
B. Fait suite à l'épithélium jugal.
C. Provient de l'épithélium gingival
D. Provient de l'épithélium oral
E. Provient de la papille ectomésenchymateuse

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QCM 14 : L’épithélium de jonction (4)
A. Contient des polynucléaires neutrophiles.
B. Contient des cellules arrondies et reliées les unes aux autres
C. Présente une couche suprabasale au turnover lent.
D. Contient des cellules desquamant au fond du sulcus.
E. Contient des fibroblastes fermement reliés les uns aux autres.

QCM 15 : Le ligament parodontal (1)


A. Est relié au cément par les fibres de Sharpey osseuses
B. Des fibres d'oxytalane confèrent une certaine élasticité au ligament parodontal
C. Les fibres de Sharpey cémentaires sont produites par les odontoblastes
D. Le ligament parodontal est relié à la lamina dura par les fibres de Sharpey osseuses
E. Le ligament parodontal est formé de fibres de collagènes qui ont la particularité de ne pas
se renouveler

QCM 16 : Le ligament parodontal (2)


A. Permet l'ancrage de l'os alvéolaire au cément
B. Permet l'attache entre deux dents adjacentes
C. Permet l'attache de l'os alvéolaire à la muqueuse alvéolaire.
D. Est formé par les cémentoblastes
E. Permet de relier le cément à l'os alvéolaire

QCM 17 : L’os alvéolaire (2)


A. Présente une lame cribliforme permettant le passage des nerfs et vaisseaux
B. L'unité métabolique de l'os est également nommée canal de Havers
C. L'unité métabolique de l'os est composée du canal de Volkmann et d'os concentrique
D. Est produit par les ostéoblastes, les ostéocytes et les cellules bordantes de l'os
E. Est composé uniquement de lamelles circonférentielles

QCM 18 : Les glandes salivaires


A. Sont principalement localisées au sein du tissu conjonctif
B. Sont restreintes aux muqueuses bordantes
C. Sont absentes des muqueuses masticatoires
D. Sécrètent toutes de la salive en continue
E. Sont absentes des muqueuses bordantes

QCM 19 : Les glandes salivaires principales


A. Produisent de la salive en réponse à des stimuli
B. Produisent une salive uniquement séreuse
C. Présentent des canaux excréteurs longs
D. Produisent une salive uniquement muco-séreuse
E. Sont au nombre de 5

QCM 20 : Les unités sécrétrices


A. L'acinus séreux est composé de cellules cylindriques
B. L'acinus séreux produit une salive sero-muqueuse
C. L'acinus muqueux est composé de cellules prismatiques
D. L'acinus séro-muqueux est également nommé tubulo-acinus mixte
E. Le tubulo-acinus mixte est composé de cellules séreuses entourées d'un croissant de
cellules muqueuses

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2021-2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN – SEMESTRE 1 – SESSION 1


Epreuve : ODL341P2 – UE 4- M1 Hygiène, Prévention, Service
Sanitaire
Responsable : Dr B. COMTE

DATE : 14 décembre 2021

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 15

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

QUESTION 1 : (Laurent LAFOREST – 5 points)

Vous recevez à votre cabinet un.e patient.e de 35 ans qui présente une érosion
généralisée des dents. Vous remarquez aussi des signes d’abrasions au niveau
des incisives inférieures. Pas de signes d’attrition, d’abfraction, ni d’hyposialie
notable. Pas de pathologie particulière ou de traitement en cours.

1.1. Quelles questions allez-vous lui poser pour déterminer l’étiologie de ces lésions ?
1.2. Dans le cas de ce.tte patient.e, que suggérez-vous comme mesures préventives ?

QUESTION 2 : (Louise ALDEBERT - 5 points)

Une femme enceinte de 26 semaines, se présente à votre cabinet avec des


douleurs provoquées au chaud, froid et au sucré. Après examen clinique, la dent
causale est la 26 avec une grosse carie sous l'amalgame. La patiente est persuadée
qu'on ne peut pas la prendre en charge à cause du risque toxique des
anesthésiants et de l'ingestion de mercure.

1. Que lui répondez-vous? (Argumenter)

Après 20min de soins, la patiente ne se sent pas bien, elle présente des vertiges.

2. Qu'est-ce que cela peut être ? (expliquer) comment l'éviter ?

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QUESTION 3 : (Jean-Jacques MORRIER – 5 points)

Ce jeune patient, âgé de 5 ans, se présente à votre consultation. L’examen de la


cavité buccale vous révèle cette image. Cet enfant est donc à risque carieux
élevé.

1. Quel dentifrice recommandez-vous à la maman?

2. Quelles explications lui donnez-vous sur les mécanismes d’action des


fluorures ?

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2021-2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN – SEMESTRE 1 – SESSION 1


Epreuve : ODL342P2 – UE 4- M2 Prévention des IAS
Responsable : Dr B. Comte

DATE : 17 décembre 2021

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 15

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

QUESTION 1 : (Dr Carrouel, 5 points)

Choisissez la ou les réponses justes et reporter vos réponses dans la grille ci-jointe

1. Les infections associées aux soins


a) peuvent concerner les professionnels de santé de l’établissement
b) peuvent avoir pour origine les autres malades
c) peuvent avoir pour origine les personnels de santé
d) concernent uniquement les patients
e) concernent uniquement le personnel soignant

2. La transmission des agents infectieux aux patients se fait :


a) par voie aérienne
b) par voie manuportée
c) par les germes des soignants
d) par les germes d’autres patients
e) par les germes de l’environnement

3. En cas d’accident d’exposition au sang, si la personne source est infectée par le VIH, le risque
moyen pour les soignants :
a) est < 0,09% en cas d’exposition cutanée sur peau non saine
b) est de 0,03 à 0,09% en cas d’exposition muqueuse
c) est de 0,32% en cas de blessure percutanée
d) est de 10% en cas de piqûre
e) est de 30% en cas de coupure

4. La transmission de micro-organismes par voie respiratoire :


a) se fait directement par voie inter-humaine
b) se fait par les aérosols générés par les soins
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c) concerne les germes présents dans l’oropharynx du patient
d) concerne les germes présents dans la salive du patient
e) concerne les germes présents dans l’eau des units dentaires

5. L’eau des conduits d’eau des units dentaires (CEUDs) :


a) contient 102 UFC/mL
b) peut être une source importante d’endotoxines jusqu’à 100 000 UI/mL
c) devrait être potable c’est à dire contenir au maximum 106 UFC/mL (bactéries aérobies
revivifiables à 22°C)
d) peut présenter un risque pour les patients immunodéprimés
e) a entraîné le décès d’une patiente en 2012 suite à une pneumopathie due à Legionella
pneumophila.

6. Ce sont les vaccinations recommandées pour les étudiants des professions médicales :
a) grippe saisonnière
b) coqueluche
c) rougeole
d) hépatite B
e) tuberculose

7. La flore résidente des mains :


a) comprend des Staphylococcus epidermidis
b) comprend des Candida albicans
c) est éliminée partiellement par une friction hydro-alcoolique
d) est éliminée partiellement par un lavage simple
e) est éliminée durablement par une friction hydro-alcoolique

8. Les gants de protection :


a) doivent répondre en particulier à la norme européenne EN 374 qui teste leur résistance
à la perméation
b) protègent des risques chimiques, associés ou non à un risque infectieux
c) protègent des risques thermiques, associés ou non à un risque infectieux
d) protègent des risques mécaniques, associés ou non à un risque infectieux
e) protègent des risques liés aux radiations, associés ou non à un risque infectieux

9. Les masques chirurgicaux des soignants :


a) ne protègent pas le porteur d’une « transmission air »
b) doivent être changés entre 2 patients
c) doivent être éliminés avec les déchets d’activité de soins à risque infectieux mous
(DASRI)
d) protègent le porteur vis-à-vis d’un patient atteint de SRAS
e) protègent le porteur vis-à-vis d’un patient porteur du virus Ebola

10. Ils protègent le soignant vis-à-vis des aérosols et/ou de leur infectiosité :
a) masques
b) lunettes
c) bain de bouche antiseptique au patient avant les soins
d) digue
e) maîtrise de la qualité microbiologique des fluides au fauteuil

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QUESTION 2 : (Dr Carrouel, 5 points)
Compléter le tableau directement dans le livret réponse :

Types de Objectifs par rapport Indications. Quand faut-il le faire ?


procédures aux différentes
flores

Lavage simple

Friction
Hygiénique

Désinfection
chirurgicale par
Friction hydro-
alcoolique

QUESTION 3 : (Dr Carrouel, 5 points)


Quelle est la conduite à tenir en cas d’accident d’exposition au sang suite à une piqûre ou une
coupure ?

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2021-2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN – SEMESTRE 1 – SESSION 1


Epreuve : ODL343P2 – UE 4- M3 Santé Publique/Service Sanitaire
Responsable : Dr L. LAFOREST

DATE : 14 décembre 2021

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 10

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

Correcteur Docteur LAFOREST

QUESTION 1

1.1. Dans le cadre d’un programme éducatif à l’hygiène buccodentaire destiné à des CM2,
donnez trois exemples d’objectifs spécifiques différents (2 points)

1.2. Avant votre intervention, quelles questions allez-vous poser à l’infirmière scolaire ou à
l’enseignant responsable de la classe où vous interviendrez ? (3 points)

QUESTION 2

Vous animez une séance éducative sur le sommeil et les écrans dans une classe de 3 e. Vous
mettez spontanément en garde les élèves que regarder le soir son téléphone ou sa tablette nuit
au sommeil avec des conséquences néfastes sur l’état général le lendemain matin.

Un élève visiblement agacé par vos propos vous interpelle avec agressivité en affirmant que
l’utilisation d’écrans le soir ou même plus tard dans la nuit n’a aucune conséquence à son âge.

2.1. Comment allez-vous réagir ? (3 points)

2.2. Comment aurait-on pu procéder pour limiter le risque de ce genre de réaction agressive ?
(2 points)
____________

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Année universitaire
2021-2022

Université Lyon 1
Faculté d’odontologie

FGSO 3

1er semestre – 2ème session


2021-2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN – SEMESTRE 1 – SESSION 2


Epreuve : ODL312P2 – UE 1- M3 Prothèse Fixée
Responsable : Dr R. NOHARET

DATE : 14 février 2022

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 15

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

QUESTION(S) : (Dr TIDIERE – 5 points par question)

Un patient se présente pour la réalisation d’une couronne céramo -métallique sur une 35. Le reste
de la bouche est sain et denté. Le traitement endodontique est correct.

Question 1 :

 Quels sont les critères décisionnels pour le choix de la RCR directe (inlay core coulé) ou
indirecte (RMIPP) ?

Question 2 :

 De l’arrivée du patient le premier Rdv au jour de la pose de couronne, combien et à quelles


étapes clefs vous réalisez des clichés radiographiques ? Pour obtenir quelles informations?

Question 3 :

 10 étapes prothétiques sont listées ci-après et classées par ordre alphabétique. Veuillez les
reclasser par ordre chronologique.

- Décision du type de RCR réalisé


- Empreinte de l’arcade de travail
- Empreinte de l’antagoniste
- Enregistrement de la clef d’isomoulage
- Enregistrement de la relation intermaxillaire
- Pose du cordonnet rétracteur
- Préparation externe
- Préparation interne
- Réalisation de la provisoire en isomoulage
- Scellement de la provisoire

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2021-2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN – SEMESTRE 1 – SESSION 2


Epreuve : ODL317P2 – UE 1- M7 Prothèse Amovible
Responsable : Dr C. JEANNIN

DATE : 14 Février 2022

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 15

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

QUESTION(S) : (correcteur Dr C. JEANNIN) :

1) Expliquer les différences de conception entre les Porte-Empreintes Individuels


destinés aux édentements encastrés et ceux destinés aux édentements
postérieurs libres (uni- ou bilatéraux) (7 points)

2) Pourquoi réaliser des butées d’enfoncement dans les Porte-Empreintes


Individuels ? (3 points)

3) Quelle est la classe de Kennedy-Applegate de cet édentement (figure 1 ci-


dessous) (2 points)

4) Quels sont les crochets possibles pour le châssis (figure 1) ? (2 points)

5) Dessiner, selon la technique du double trait, le tracé du châssis de la Prothèse


Partielle Adjointe Métallique destinée à compenser cet édentement (figure1)
(6 points)

Figure 1 :

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2021-2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN – SEMESTRE 1 – SESSION 2


Epreuve : ODL322P2 – UE 2- M2 Oncologie-Hématologie
Responsable : Dr A. LAFON – Dr F. VIRARD

DATE : 15 février 2022

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 10

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

Consigne : répondre de manière claire, précise et succincte.

QUESTION 1 : Dr LAFON (25 points) 5 points par questions

Un patient de 50 ans consulte aux urgences pour une hémorragie buccale suite à l’extraction des dents
15-16 et 17, 2 jours auparavant. Il a saigné toute la dernière nuit. Il présente comme antécédents une
valve cardiaque aortique mécanique. Il est asthénique et pâle. Le bilan sanguin, demandé par

l’urgentiste, montre les résultats suivants:

GR 3.18 T/L (4,2-5,7) ; Hb 8 g/l (13-18); Ht 39.2%(40-52) ; VGM 93fl (80-100); Leucocytes 7 G/L (4-
10); Plaq 245G/L (150-450)
TP 90 % ; TCA 28 sec (témoin 30 sec), INR à 4,8

1. Interprétez ces résultats


2. Quelles sont vos hypothèses diagnostiques ?
3. Que faites-vous en urgence ?
4. Une autre chirurgie pour une avulsion est prévue dans 2 semaines. Pratiquez-vous la
chirurgie ? Si oui, doit-on instaurer un traitement spécifique de l’hémostase ?
5. Citer les examens à demander pour un bilan l’hémostase

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QUESTION 2 - Dr Lafon (25 points)

Un Homme de 62 ans est adressé par son médecin référent pour une tuméfaction gingivale persistante.
L’interrogatoire relève une légère asthénie. Plusieurs détartrages n’ont pas donné de résultat.
Les muqueuses buccales sont pâles, les gencives sont nécrotiques, gonflées et saignent spontanément. Des
adénopathies bilatérales, mobiles et élastiques sont retrouvées à la palpation de la région cervicale.

- Quel serait votre prise en charge lors de la première consultation ? Faut-il demander un examen
sanguin ? si oui le (les) quel(s)?

Un hémogramme a été prescrit (voir ci-dessous) :

1- décrire les anomalies retrouvées (5 points)


2- Au vu de ces données, quel(s) est (sont) le (ou les) examen(s) complémentaire(s) nécessaire(s) ainsi
que le(s) risque(s) pour le patient? (10 points)
3- Quelle est votre suspicion de diagnostic et votre prise en charge ? (10 points)

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2021-2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN – SEMESTRE 1 – SESSION 2


Epreuve : ODL323P2 – UE 2- M3 Histologie et Histopathologie des tissus
Responsable : Dr M. BEKHOUCHE – Dr F. VIRARD

DATE : 15 février 2022

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 10

HISTOLOGIE & HISTOPATHOLOGIE DES TISSUS PARODONTAUX ET DES


MUQUEUSES BUCCALES

QUESTION 1 (4.5 points – Correcteur Dr M. BEKHOUCHE) :

Légendez cette coupe mésio-distale du ligament parodontal de rat colorée au Trichrome de Masson.
Sélectionnez les légendes appropriées parmi la liste de propositions (une proposition possible par légende).

- Cémentocyte dans son cémentoplaste - Cément cellulaire


- Os alvéolaire - Moelle osseuse
- Cémentoblaste - Fibres de Sharpeys
- Dentine - Ostéocyte dans son ostéoplaste
- Lame cribliforme - Artéfact
- Pulpe radiculaire - Cément acellulaire
- Ostéoblaste ou ostéoclaste - Ligament parodontal

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QUESTION 2 (1,5 points – Correcteur Dr M. BEKHOUCHE) :

Citez le nom des 3 glandes salivaires principales et de leurs canaux collecteurs débouchant
dans la cavité orale.

QUESTION 3 (4 points – Correcteur Dr M. BEKHOUCHE) :

QCMs – Indiquez lisiblement pour chaque QCM la/les lettres (A-E) correspondant aux
affirmations justes (de 1 à 5). Chaque QCM vaut 0,25 point.

QCM 1 : Structure des épithéliums (1)


A. La couche basale des épithéliums kératinisés et non kératinisés est composée de cellules
prismatiques
B. La couche granuleuse des épithéliums non kératinisés présente des tonofibrilles
C. Les kératinosomes sont absents des épithéliums non kératinisés
D. La présence de glycogène dans les cellules épineuses est liée au degré de kératinisation
E. Les kératinosomes sont entourés d'une enveloppe lipidique

QCM 2 : Structure des épithéliums (2)


A. Une couche épineuse est retrouvée dans les épithéliums kératinisés et non kératinisés
B. Les épithéliums non kératinisés ne présentent pas de cellules nuclées à leur surface
C. Des granules de kératohyaline sont retrouvées dans la couche granuleuse des épithéliums kératinisés
D. La kératohyaline est intimement associée aux kératinosomes
E. Les tonofibrilles participent à la formation d'une barrière mécanique et chimique par les épithéliums

QCM 3 : Les muqueuses de la cavité orale (1)


A. Les muqueuses jugales sont non kératinisées
B. Les muqueuses jugales sont dites masticatoires
C. Les muqueuses bordantes ont tendance à être non kératinisées
D. L'épithélium de la gencive libre est non kératinisé
E. L'épithélium sulculaire est non kératinisé

QCM 4 : Les muqueuses de la cavité orale (2)


A. L'épithélium jugal est non kératinisé
B. L'épithélium palatin présente des cellules nucléées dans sa couche superficielle
C. L'épithélium vestibulaire est kératinisé
D. L'épithélium de la langue est mixte
E. L'épithélium de la langue est moins perméable que celui du plancher

QCM 5 : Le cément (1)


A. Permet l'ancrage de la dentine coronaire au ligament parodontal
B. appartient fonctionnellement à la dent
C. appartient anatomiquement au parodonte
D. appartient fonctionnellement au parodonte
E. permet l'ancrage des fibres du ligament parodontal à la dentine radiculaire

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QCM 6 : Le cément (2)
A. est richement vascularisé dans le 1/3 coronaire de la racine
B. est richement vascularisé dans le 1/3 apical de de la racine
C. est richement innervé dans le 1/3 coronaire de la racine
D. est richement innervé dans le 1/3 apical de la racine
E. croît continuellement en épaisseur

QCM 7 : La gaine épithéliale de Hertwig


A. est issue de l'épithélium adamantin interne et externe
B. subit une fenestration avant la minéralisation de la prédentine
C. est à l'origine des restes épithéliaux de Malassez trouvés au sein du ligament parodontal
D. est composée de cellules issues du réticulum étoilée de l'organe de l'émail
E. disparait après éruption de la dent sur l'arcade

QCM 8 : Les différents types de céments


A. Le cément acellulaire est situé en position coronaire de la racine
B. Le cément acellulaire est situé en position apical de la cellule
C. Le cément acellulaire est également nommé cément primaire
D. Le cément acellulaire est absent des dents pluriradiculés
E. Le cément acellulaire joue un rôle essentiel dans l'ancrage de la dent dans l'arcade

QCM 9 : L'épithélium de jonction (1)


A. est fermement attaché au cément
B. relie le cément à l'os alvéolaire
C. relie le cément à la gencive attachée
D. relie la dent à la gencive libre
E. relie le cément à la gencive libre

QCM 10 : L'épithélium de jonction (2)


A. présente une membrane basale externe le reliant à la dent
B. présente une membrane basale interne le reliant à la gencive
C. présente une membrane basale externe le reliant à la gencive
D. présente une membrane basale interne le reliant à la dent
E. la membrane basale interne présente une lamina fibroreticularis épaisse fermement ancrée
dans la dent

QCM 11 : Les cellules DAT


A. reposent sur une membrane basale externe de faible épaisseur
B. sont fermement attachées à l'émail
C. ne participent pas au renouvellement de la couche suprabasale
D. constituent la couche basale de l'épithélium de jonction
E. présentent de nombreux hémidesmosomes
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QCM 12 : L’épithélium de jonction
A. fait suite à l'épithélium sulculaire en direction corono-apicale
B. provient de l'épithélium gingival
C. provient de l'épithélium oral
D. provient de la papille ectomésenchymateuse
E. provient de l'épithélium dentaire réduit

QCM 13 : Les glandes salivaires


A. sont disséminées au sein de la cavité orale
B. sont absentes des muqueuses masticatoires
C. sécrètent toutes de la salive en continue
D. sont localisées dans la lamina propria
E. sont absentes des muqueuses bordantes

QCM 14 : Les glandes salivaires accessoires


A. sécrètent de la salive séreuse en continue
B. sécrètent de la salive séreuse en réponse à des stimuli
C. sont toutes des glandes muqueuses
D. sécrètent de la salive en continu
E. peuvent être séreuses, muqueuses ou mixtes

QCM 15 : Les unités sécrétrices (1)


A. l'acinus séreux produit une salive séreuse
B. l'acinus séreux peut produire une salive sero-muqueuse
C. les tubulo-acini peuvent produire une salive sero-muqueuse
D. les tubulo-acini produisent une salive uniquement muqueuse
E. l'acinus séro-muqueux est également nommé acinus séreux mixte

QCM 16 : Les glandes salivaires principales

A. les canaux de Sténon sont les collecteurs principaux des glandes sublinguales
B. les canaux de Wharton sont les collecteurs principaux des glandes parotides
C. les canaux de Rivinus sont les collecteurs principaux des sous-maxillaires
D. les canaux de Wharton sont plus long que les canaux de Rivinus
E. les canaux de Sténon ont la particularité de ne pas être de type épidermoïde

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2021-2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN – SEMESTRE 1 – SESSION 2


Epreuve : ODL342P2 – UE 4- M2 Prévention des IAS
Responsable : Dr B. Comte
DATE :
DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 15

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

QUESTION 1 : (Dr Carrouel, 4 points)


Quelle est la conduite à tenir en cas d’accident d’exposition au sang suite à une projection sur
les muqueuses oculaires?

QUESTION 2 : (Dr Carrouel, 4 points)


Concernant le lavage simple des mains :
1. Décrire les étapes
2. Y a-t-il un temps minimal ?

QUESTION 3 : (Dr Carrouel, 4 points)


Concernant la friction hygiénique des mains :
1. Décrire les étapes
2. Y a-t-il un temps minimal ?
3. Contre quels microorganismes cette technique permet-elle de lutter ?

QUESTION 4 : (Dr Carrouel, 3 points)


Compléter le tableau ci-dessous :

Types de Objectifs par rapport Indications. Quand faut-il le faire ?


procédures aux différentes
flores

Lavage simple

Friction
Hygiénique

Désinfection
chirurgicale par
Friction hydro-
alcoolique

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2021-2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN – SEMESTRE 1 – SESSION 2


Epreuve : ODL311P2 – UE 1- M1 OCE
Responsable : Pr C. VILLAT – Dr T. SELLI

DATE : 14 Février 2022

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 15

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

Question 1. Correcteur : Pr. C. Villat

A. Citer et expliquer les impératifs mécaniques du traitement endodontique


(3 points)

B. Citer les objectifs de la cavité d’accès endodontique (1,5 points)

C. Décrire la procédure de préparation canalaire en step back (3 points)

Question 2. Correcteur : Dr. T. Selli

La séquence instrumentale en endodontie : décrire les instruments


nécessaires pour la méthode en « step back » (7,5 points)

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Année universitaire
2021-2022

Université Lyon 1
Faculté d’odontologie

FGSO 3

2ème semestre – 1ère session


2021 - 2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN– SEMESTRE 2 – SESSION 1


Epreuve : ODL331P2 – UE 3-M1 Médecine et chirurgie buccales
Responsable: Dr T. FORTIN

DATE : Jeudi 12 mai 2022

DUREE : 1h30

BAREME APOGEE : 15

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

QUESTION 1 : Dr A. LAFON (7,5 points)

Un jeune homme de 25 ans consulte pour une fistule sous-mentonnière. L’interrogatoire ne


retrouve aucun antécédent mis à part la présence de cette fistule depuis plusieurs mois.

Une radiographie panoramique est prescrite.


- Que montre la radiographie ?
- Quelle est votre suspicion de diagnostic ?
- Quel est votre traitement ?
- Citer les caractéristiques radiographiques d’un kyste péri-apical

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QUESTION 2 : Dr T. FORTIN (7,5 points)

Décrire les différents stades de la cellulite dont la dent causale serait la 16.

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2021 - 2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN – SEMESTRE 2 – SESSION 1


Epreuve : ODL303M2 – UE 3 - M2 Parodontologie
Responsable : Pr K. Gritsch

DATE : mardi 10 mai 2022

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 30

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

QUESTION(S) :

1/ Indiquez (sous forme de tirets) les points communs et les différences qui existent entre gingivite
et parodontite en termes d’étiologie, de diagnostic et de thérapeutique. (Pr Gritsch - 18 points)

2/ Décrire à l’aide de mots-clefs la vue clinique (Pr Gritsch - 6 points)

3/ Quels sont les objectifs du suivi parodontal ? (Pr Gritsch- 3 points)

4/ Citez une pathologie systémique en lien avec la parodontite (lien bidirectionnel). (Pr Gritsch - 3
points)
2021 - 2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN – SEMESTRE 2 – SESSION 1


Epreuve : ODL362P2 – UE 3 – M3 Biomatériaux
Responsable : Pr B. Grosgogeat

DATE : mardi 10 mai 2022

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 10

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

QUESTION(S) :

Correcteur : B. GROSGOGEAT

En septembre 2019, Maxill’R Mag titrait « Métaux en bouche : une fin programmée ».

1/ Rappeler les différents matériaux et alliages utilisés en odontologie et citez de façon


synthétique leurs principaux avantages et inconvénients. 5 points

2/ Quelles pourraient être les alternatives, présentez-les par indication clinique ? 5 points

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2021 - 2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN – SEMESTRE 2 – SESSION 1


Epreuve : ODL361P2 - UE 6 – M1 Pathologie Dentaire/Equilibre fonctionnel
Responsables : Pr C. Villat – Dr C. Jeannin

DATE : mardi 10 mai 2022

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 10

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

1 livret réponse par correcteur

QUESTION(S) : (Pr. Cyril VILLAT – 5 points)

Question 1: Cas clinique – Pr Villat – 2 points


 Anamnèse
Vous recevez un patient de 20 ans dans le
cadre d’une consultation d’urgence. Son
anamnèse générale ne montre aucun
problème de santé générale.
 Motif de consultation :
Le patient se plaint de douleurs en haut à
gauche irradiante et exacerbées au froid. Il
se plaint aussi d’une gêne après les repas.
 Examen clinique
L’examen clinique révèle une volumineuse
lésion carieuse en mésial de 27.
Les tests thermiques s’avèrent positifs et disparaissent après l’arrêt du stimulus ; les
autres tests que vous réalisez sont négatifs.
Vous réalisez l’examen complémentaire suivant (cf radiographie rétroalvéolaire)

a) Au vu des éléments dont vous disposez, quelles seraient vos hypothèses


diagnostiques (diagnostic différentiel) et quel serait votre diagnostic positif ?
(1 point)

b) Quels tests diagnostiques utiliserez-vous et quels en seraient les résultats ?


(1 point)

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Question 2 : Pr Villat – 3 points
Tableau récapitulatif des signes et symptômes parodontites apicales aigües et chroniques
(3 points)

Question 3 : Dr JEANNIN - 5 points


En quoi l’occlusion concerne-t-elle quasiment toutes les activités pratiquées en
odontologie, illustrez votre réponse à travers 3 exemples de votre choix ?

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SUJET D’EXAMEN– SEMESTRE 2 – SESSION 1


Epreuve : ODL306M8 – UE6 – M8 Prothèse Amovible Totale
Responsable : Pr. C. MILLET

DATE : Jeudi 12 mai 2022

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 40

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

QUESTIONS : 50 QCM - Correcteur : Pr C. Millet

- Chaque QCM sur 0,8 point sur un total de 40 points


- Répondre sur la grille de QCM nominative de préférence au stylo noir
- 0, 1, ou plusieurs bonne(s) réponse(s) possible(s)
- Chaque QCM est validé lorsque ses 5 éléments de réponse (A-B-C-D-E)
correspondent au corrigé type. Chaque QCM est donc juste ou faux : notation binaire.

1. Les ampoules d’Eisenring se situent :


A - En avant des insertions hautes du buccinateur
B - De part et d’autre des apophyses géni
C - En avant de l’aire d’Ackermann
D - Dans la zone vélaire
E - En arrière des ligaments ptérygo-mandibulaires

2. Lors du traitement d’un patient édenté complet par prothèses amovibles :


A - L’examen endo-buccal est inutile
B - La qualité de la fibro-muqueuse influence le choix des matériaux d’empreintes
C - Les dimensions de l’arcade influencent le choix du porte-empreinte
D - Les empreintes primaires sont facultatives
E- Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

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3. Lors du traitement d’un patient édenté complet par prothèses amovibles :
A - La fibro-muqueuse doit idéalement être adhérente à l’os sous-jacent
B - Les crêtes résorbées sont défavorables à l’équilibre prothétique
C - Une langue volumineuse est favorable à la stabilisation de la prothèse mandibulaire
D - Un plancher lingual en position haute est favorable à la stabilisation de la prothèse mandibulaire
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

4. Les sillons ptérygo-maxillaires se situent :


A - En arrière des tubérosités maxillaires
B - En avant des ligaments ptérygo-maxillaires
C - A la base des trigones rétro-molaires
D - En avant des zones de Schroëder
E - En avant des ampoules d’Eisenring

5. La stabilisation d’une prothèse amovible complète est assurée par :


A - La présence d’un film salivaire
B - Les extensions de la prothèse dans les zones neutres
C - Le volume des crêtes
D - le respect du libre jeu musculaire
E - Une occlusion équilibrée

6. La sustentation d’une prothèse amovible complète est favorisée par :


A - La présence d’un film salivaire
B - L’étendue de la surface d’appui
C - Un joint périphérique étanche
D - La qualité de la fibro-muqueuse
E - La qualité du tissu osseux

7. Chez un édenté complet bi-maxillaire, la résorption osseuse horizontale postérieure :


A - Est centrifuge au maxillaire
B - Est centripète au maxillaire
C - Est inexistante au maxillaire
D - Est inexistante à la mandibule
E - Peut être à l’origine de rapports de crêtes inversés

8. Chez l’édenté complet, l’empreinte primaire doit être :


A - En sous-extension
B - Topographique
C - Réalisée avec un matériau compressif pour bien mettre en évidence le fond du vestibule
D - Réalisée avec le patient en position assise et la bouche semi-ouverte
E - Mucostatique

9. La limite postérieure du porte-empreinte individuel maxillaire doit se terminer :


A - En arrière de la ligne de rotation antérieure du voile du palais
B - En arrière des fossettes palatines
C - En arrière de la ligne de rotation postérieure du voile du palais
D - Sur le palais osseux
E - Au niveau des sillons ptérygo-maxillaires

10. Les polyéthers :


A - S’utilisent avec un adhésif
B - Ont un temps de prise plus rapide que les polysulfures
C - Sont caractérisés par leur rigidité
D - Présentent un faible coût
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses
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11. Les polysulfures :
A - Donnent un excellent état de surface
B - S’utilisent avec un adhésif
C - Sont hydrophobes
D - Sont commercialisés en une seule viscosité
E - Appartiennent à la famille des vinyls polysiloxanes

12. Les Pâtes oxyde de zinc-eugénol sont des matériaux d’empreinte qui :
A - S’utilisent avec un adhésif
B - Possèdent d’excellentes propriétés physiques
C - Ont une viscosité élevée
D - Sont collants
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

13. (1) En prothèse complète, les Pâtes oxyde de zinc-eugénol sont des matériaux d’empreinte à
proscrire car (2) les Pâtes oxyde de zinc-eugénol sont des matériaux d’empreinte élastiques.
A - La proposition (1) est vraie tandis que la (2) est fausse
B - La proposition (1) est fausse tandis que la (2) est vraie
C - Les propositions (1) et (2) sont fausses
D - Les 2 propositions sont vraies avec lien de cause à effet
E - Les 2 propositions sont vraies sans lien de cause à effet

14. Lors du marginage du porte-empreinte individuel (PEI) maxillaire chez un édenté complet :
A- Il est possible d’associer un polyéther pour le joint périphérique et la pâte thermoplastique de
Kerr® verte pour le joint vélo-palatin
B - Le matériau d’empreinte doit être mis en place dans l’intrados du PEI au niveau du joint vélo-
palatin
C - Il est impératif d’utiliser des matériaux hydrophiles
D - Le patient doit réaliser, entre autres, des mouvements de latéralité mandibulaire
E - La Pâte oxyde de zinc-eugénol est parfaitement indiquée

15. Le tracé correct du porte-empreinte individuel maxillaire :


A - Dépend de l’orientation du voile du palais
B - Ménage une convexité au niveau des procès zygomato-malaires
C - Englobe les tubérosités
D - Ménage une large concavité au niveau des ampoules d’Eisenring
E - Se situe à 1,5 mm du fond du vestibule

16. Le tracé correct du porte-empreinte individuel mandibulaire :


A - Recouvre la ligne oblique externe
B - Comprime le frein lingual
C - Ne doit pas recouvrir les trigones rétro-molaires
D - Ménage une concavité en regard des insertions basses du masséter
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

17. L’empreinte secondaire chez un patient édenté complet :


A - Doit être muco-statique
B - Doit être anatomo-fonctionnelle
C - Doit présenter un joint périphérique étanche
D - Se réalise en deux temps
E - Impose l’obtention d’un modèle secondaire coffré

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18. Pour enregistrer le joint périphérique mandibulaire, les mouvements fonctionnels comprennent :
A - Des mouvements de latéralité
B - La prononciation du son « S »
C - La déglutition
D - Le recul des commissures labiales
E - La prononciation du son « A »

19. En prothèse complète, les valeurs recommandées de programmation des déterminants


postérieurs de l’occlusion sur l’articulateur sont :
A - Quinze degrés pour la pente condylienne
B - Quarante degrés pour l’angle de Bennett
C - 18 mm pour la branche inférieure
D - 22 mm pour la branche supérieure
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

20. (1) Un articulateur non adaptable préréglé à 40° et 15° est suffisant en prothèse amovible totale
car (2) l’occlusion en prothèse amovible totale est bilatéralement équilibrée.
A - La proposition (1) est vraie tandis que la (2) est fausse
B - La proposition (1) est fausse tandis que la (2) est vraie
C - Les propositions (1) et (2) sont fausses
D - Les 2 propositions sont vraies avec lien de cause à effet
E - Les 2 propositions sont vraies sans lien de cause à effet

21. La table de montage d’un articulateur :


A - Prend en compte les différences anatomiques entre les patients
B - Est habituellement orientée selon le plan de Francfort
C - Permet le transfert de la relation centrée
D - Permet le montage du modèle maxillaire dans une position moyenne
E - Est habituellement orientée selon le plan de Camper

22. Chez l’édenté complet, le réglage des maquettes d’occlusion débute par :
A - La maquette mandibulaire
B - Le contrôle du soutien labial
C - Un test phonétique
D - L'utilisation d'un plan de Fox
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

23. Le bourrelet occlusal de la maquette d’occlusion maxillaire :


A - Vient s’appuyer sur la lèvre inférieure lors de la prononciation du son «S »
B - Doit être positionné en arrière de la papille rétro-incisive
C - Est réglé en bouche selon le plan de Camper
D - Peut être réglé en bouche à l’aide de l’arc facial
E - Recouvre les tubérosités

24. Le bourrelet occlusal de la maquette d’occlusion mandibulaire correctement réglé :


A - Affleure la lèvre inférieure au repos
B - Passe par les commissures labiales au repos
C - Se situe au maximum de la convexité linguale
D - Recouvre les trigones rétro-molaires
E - Se situe dans l'aire de sustentation d'Ackermann

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25. L’orientation correcte du plan d’occlusion à un rôle :
A - Esthétique
B - Sur le confort des prothèses
C - Sur la phonation
D - Sur la relation centrée
E - Sur la dimension verticale d’occlusion

26. La détermination de la dimension verticale d’occlusion se fait classiquement :


A - Patient en position allongée
B - Selon des critères axiographiques
C - Indirectement à partir de la dimension verticale de repos
D - Selon des critères esthétiques
E - Selon des critères colorimétriques

27. La relation centrée :


A - Est indépendante des articulations temporo-mandibulaires
B - Peut être réglée en bouche à l’aide de l’arc facial
C - Est stable au cours du temps chez le patient édenté complet
D - Est la position de référence en prothèse complète
E- Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

28. L’enregistrement de la relation centrée chez un patient édenté complet :


A - Peut faire appel au réflexe d’occlusion molaire
B - Peut faire appel au réflexe linguo-mandibulaire
C - Peut faire appel à une technique d’enregistrement intra-oral
D - Permet de valider la dimension verticale d’occlusion
E - Permet l’orientation correcte du plan d’occlusion prothétique

29. Lors de l’enregistrement du rapport maxillo-mandibulaire, le phénomène de décollement :


A - Peut avoir pour origine un contact prématuré
B - Peut provoquer un glissement de la mandibule
C - Peut engendrer une mise en articulateur erronée
D - Peut être limité par l’utilisation de bases stables et rétentives
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

30. Le phénomène de dérapage :


A - Peut survenir lors de l’enregistrement du rapport maxillo-mandibulaire
B - Est caractérisé par un soulèvement de la base de la maquette d’occlusion
C - Peut provoquer un glissement de la mandibule
D - Peut engendrer une mise en articulateur erronée
E - A pour origine un contact prématuré postérieur

31. Selon l’indice de Lee, la largeur d’une incisive centrale maxillaire correspond :
A - Au sixième (1/6) de la largeur du nez
B - Au huitième (1/8) de la largeur du nez
C - A la largeur d’une canine
D - Au quart (1/4) de la largeur du nez
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

32. En prothèse complète, les dents prothétiques postérieures peuvent être :


A - Anatomiques avec des pentes cuspidiennes à 60°
B - Semi-anatomiques avec des pentes cuspidiennes de 30 à 45°
C - Non-anatomiques
D - Montées sur les trigones rétromolaires
E - Montées sur les tubérosités
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33. L’existence d’un espace libre phonétique se vérifie par :
A - La prononciation du son « A »
B - L’axiographie
C - La prononciation du son «M »
D - La prononciation du son « S »
E - La prononciation du son « F »

34. Les dents artificielles dites « anatomiques » sont à privilégier :


A - En présence de dysfonctionnement des ATM
B - En présence de pentes condyliennes plates
C - En présence de crêtes très résorbées
D - Pour les patients âgés
E - En présence de rapports maxillo-mandibulaire défavorables

35. Le schéma occlusal souhaitable en prothèse complète :


A - Est une fonction groupe en latéralité, sans contacts du côté non travaillant
B - Est une fonction canine
C - Est une occlusion bilatéralement vestibulée
D - Est de reproduire l'ancien schéma occlusal du patient
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

36. Le montage des incisives maxillaires est réalisé :


A - Selon des critères phonétiques
B - Selon le bourrelet de la maquette maxillaire préalablement réglé en bouche
C - Selon des critères esthétiques
D - Dans l'aire de Pound
E - En arrière de la papille incisive

37. Les incisives mandibulaires doivent être montées :


A - A l'extérieur de la crête
B - Dans l'aire de Pound
C - Dans l'aire de sustentation d'Ackermann
D - En fonction des dents maxillaires
E - En respectant un recouvrement vertical de 5 mm

38. Lors du montage, les dents postérieures :


A - Doivent respecter la courbe de Wilson dans le plan frontal
B - Doivent respecter la courbe de Spee dans le plan sagittal
C - Ne doivent pas empiéter sur les tubérosités et les trigones rétro-molaires
D - Doivent être positionnées dans l’aire d’Ackermann
E - Doivent être positionnées dans les zones de Schroeder :

39. Le montage bilatéralement équilibré généralisé :


A - Est caractérisé par des contacts généralisés sur les incisives, canines, prémolaires et molaires en
occlusion d'intercuspidie maximale (OIM)
B - Est caractérisé par des contacts non travaillants en latéralité
C - Est le montage le plus utilisé chez l’édenté complet
D - Permet la stabilisation des prothèses complètes
E - Est caractérisé par une fonction groupe en latéralité côté travaillant

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40. Lors de l’essai fonctionnel en prothèse amovible complète :
A - L’émission des « FE » et « VE » met en contact la lèvre inférieure et le bord libre des incisives
supérieures.
B - Il faut privilégier les contacts occlusaux lors de la phonation.
C - Il faut s’assurer d’une désocclusion lors de la phonation.
D - L’orientation du plan d’occlusion doit être parallèle au plan sagittal médian
E - L’orientation du plan d’occlusion doit être parallèle à la ligne de Pound

41. La ligne de Pound :


A - Relie la face interne de la tubérosité à la face mésiale de la canine maxillaire
B - Est une aide précieuse au montage des incisives maxillaires
C - Est parallèle à la ligne d’Ackermann
D - Relie la face externe du trigone rétro-molaire à la face mésiale de la canine mandibulaire
E - Est une aide précieuse au montage des molaires mandibulaires

42. Les surfaces polies stabilisatrices des prothèses mandibulaires sont caractérisées par :
A - Une convexité antérieure en regard de l’orbiculaire des lèvres
B - Une concavité linguale dans le plan horizontal et dans le plan sagittal
C - Une concavité vestibulaire en regard des prémolaires
D - Une convexité vestibulaire en regard des molaires
E - Une concavité vestibulaire en regard des canines

43. Lors de la réalisation des surfaces polies stabilisatrices maxillaires, il faut créer :
A - Une concavité pour l’orbiculaire des lèvres
B - Une convexité en regard des canines
C - Une épaisseur de la plaque palatine supérieure à 3 mm pour éviter tout risque de fracture
D - Un alignement des collets, à l’exception des incisives latérales
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

44. La gravure du joint vélo-palatin sur le modèle de travail en plâtre :


A - Présente classiquement une forme de « moustache de gendarme »
B - A généralement une profondeur de 5 millimètres
C - Permet de compenser le retrait de la résine lors de la polymérisation.
D - Permet d’améliorer l’étanchéité du joint postérieur maxillaire
E - Se fait par le praticien au fauteuil dans l’intrados de la prothèse maxillaire polymérisée

45. Un mordu de Tench correct :


A - Est caractérisé par des indentations peu profondes
B - S’enregistre à l’aide de pâte indicatrice de pression (PIP)
C - Permet le réenregistrement des rapports maxillo-mandibulaires
D - Permet de réaliser l’équilibration occlusale des prothèses en bouche à l’aide de papier à
articuler
E - Permet de transférer la prothèse mandibulaire sur l’articulateur

46. En prothèse complète, en présence d’interférences antérieures en propulsion, il faut plutôt :


A - Temporiser
B - Corriger par meulage le bord libre des incisives mandibulaires
C - Meuler les cuspides des dents postérieures mandibulaires
D - Meuler les cuspides des dents postérieures maxillaires
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

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47. Lors de la pose d’une nouvelle prothèse complète :
A - Le patient doit privilégier les mouvements d’incision lors de la prise alimentaire
B - Il faut conseiller au patient une mastication molaire bilatérale
C - Les nausées doivent être solutionnées en raccourcissant le bord postérieur de la prothèse
maxillaire
D - On peut conseiller au patient de nettoyer sa prothèse à l’aide de savon liquide
E - On peut conseiller le nettoyage des gencives et du palais avec une brosse souple.

48. Les premiers jours suivant la pose d’une prothèse amovible complète :
A - L’efficacité masticatoire est maximale puis diminue avec le temps
B - La phonation peut être perturbée
C - L’hyposalivation est fréquente
D - Une alimentation dure et non collante est conseillée
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

49. Les produits adhésifs pour prothèses amovibles :


A - Sont contre-indiqués chez les patients atteints de la maladie de Parkinson
B - Sont contre-indiqués chez les patients immuno-déprimés
C - Sont contre-indiqués en cas d’hyposécrétion salivaire
D - Peuvent modifier la flore buccale
E - Ne doivent pas être utilisés lors des repas

50. -Les produits de nettoyage des prothèses amovibles à base de peroxyde alcalin :
A - Agissent sur le tartre
B - Ne doivent pas être utilisés en usage intensif
C - Peuvent avoir une action blanchissante sur la résine
D - Peuvent créer des porosités de la résine
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

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2021 - 2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN – SEMESTRE 2 – SESSION 1


Epreuve : ODL371P2 – UE 7 – M1 Pharmacologie
Responsable : Dr A. LAFON

DATE : mercredi 11 mai 2022

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 15

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

QUESTION(S) :

SUJET 1. : (LAFON + 2,5 points par question)

Des parents épuisés et désemparés vous amènent en urgence un enfant de 4 ans (25 kg), sans
antécédents, pour une douleur dentaire récalcitrante au paracétamol. Elle est causée par une
parulie en regard de 75 nécrosée.
Plusieurs RDV chez des confères n’ont pas permis de soigner l’enfant qui est très anxieux.
L’examen clinique s’avère effectivement impossible. Une tuméfaction est présente au niveau jugal
et l’enfant ne dors et ne mange plus depuis 2 jours.

a- Un antibiotique doit être prescrit. Citez-le (ou les) molécules qui doivent être évitées chez
l’enfant et celles que l’on peut prescrire.

b- Est –il possible de prescrire un autre antalgique en complément du paracétamol ?

c- Expliquer les mécanismes physiopathologiques impliqués dans la toxicité des AINS (ADVIL
sirop) chez l’enfant ?

d- Citez les principales données à connaître pour prescrire chez l’enfant (galénique,
posologie, observance)?

SUJET 2. : (LAFON + 2,5 points par question)

Monsieur X. 81 ans consulte pour une mycose buccale.


Ces antécédents indiquent une fibrillation auriculaire, une hypertension artérielle et un diabète
traités respectivement par un AVK (warafarine : COUMADINE®), un béta-bloquant (propranolol :
AVLOCARDYL®), et par un sulfamide hypoglycémiant (gliclazide : DIAMICRON®) et un
biguanide normoglycémiant (métformine : GLUCOPHAGE®).

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Vous lui prescrivez du Fluconazole (TRIFLUCAN®) en gélules 150mg, deux comprimés par jour
pendant 3 semaines.

1. Y’a-t-il un risque d’hypocoaguabilité au vu de la prescription ou autre risque ? Argumentez.

2. Quel (s) examen (s) biologique (s) doit-on prescrire avant un geste chirurgical chez ce
patient ?

3. Peut-on prescrire du tramadol ? de la morphine ? de la codéine ? du paracétamol ?

4. Quelles sont les modifications physiologiques de l’âge avancé (> 70 ans)

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2021 - 2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN – SEMESTRE 2 – SESSION 1


Epreuve : ODL372P2 – UE 7 – M3 Sémiologie et Pathologie Médicale
Responsables : Dr L. LAFOREST / Dr A. LAFON

DATE : mercredi 11 mai 2022

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 20

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

IMPORTANT : Rédiger les questions 1 et 2 sur des copies séparées

QUESTION 1 (Docteur Laforest) :

Des réponses précises et structurées sont attendues – Une page recto maximum

Vous voyez en consultation un nouveau patient de 78 ans. Lors de l’interrogatoire médical, vous
apprenez qu’il est traité pour une hypertension artérielle par inhibiteur calcique (Tildiem®) et un
diurétique (Lasilix®). Son dernier résultat de tension artérielle par automesure était de 135/85 mm
Hg. Pas d’autres antécédents à part un tabagisme modéré.

Question 1.1 (2 points)


Ce patient est-il a priori bien contrôlé par son traitement. Pourquoi ?
Question 1.2 (4 points)
Indépendamment des problèmes dentaires qui ont motivé la consultation, quels signes endo
buccaux allez-vous rechercher chez ce patient. Pourquoi ?
Question 1.3 (4 points)
Une fois les soins terminés, lorsque le patient se redresse pour quitter le fauteuil, celui-ci est pris
de vertige, ce qui l’oblige à se rasseoir. A quoi pensez-vous ? Quelle est votre conduite ?

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QUESTION 2 (Docteur Lafon) :

Cette Patiente de 69 ans consulte pour des mobilités terminales du bloc incisif supérieur.
Les antécédents notent : un diabète de Type 2 équilibré traité par un Sulfamide hypoglycémiant
(DIAMICRON, Gliclazide,) et une HTA stabilisée par un inhibiteur de l’enzyme de conversion.
Son médecin référent vous fait part de la découverte récente d’une insuffisance rénale terminale
(Créatinémie à 10 ml/min) et précise que la patiente a été mise sous hémodialyse chaque mardi et
vendredi.
L’examen clinique révèle un indice de plaque égal à 3 et un indice gingival à 3.

a. Quel est votre conduite à tenir et votre proposition de traitement au vu contexte


inflammatoire buccal et des antécédents médicaux ? (2,5 points)

b. Quel(s) est (sont) le(les) risque(s) prévisible(s) en cas d’avulsions chez cette
patiente (hémodialyse) ? (2,5 points)

c. Faut-il mettre en place une antibiothérapie ou une antibioprophylaxie avant une


ou des avulsion(s) ? (2,5 points)

d. Citez les principaux facteurs de risque de l’insuffisance rénale ainsi que les
répercussions en odontologie. (2,5 points)

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2021 - 2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN– SEMESTRE 2 – SESSION 1


Epreuve : ODL307M5 – UE 7- M5 Psychologie Médicale
Responsables : Dr B. Comte – Dr T. Hueber

DATE :

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 10

NB : La copie est notée sur 20 points. La note est ramenée ensuite sur 10

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

QUESTION 1 : 5/20 (un page max)

Dessinez la roue de la communication et expliquez brièvement les éléments qui la


composent. Qu’en concluez vous pour votre pratique future ?

QUESTION 2 : 15/20 (3 pages maximum)

Monsieur M. patient de 35 ans, en bonne santé, vient pour un traitement parodontal de 1


heure avec pas mal d’appréhension en dépit des nombreuses explications qu’il a reçues.
Il est nerveux et s’agite sur le fauteuil avant de se calmer petit à petit.
Les soins se déroulent normalement et à l’issue, je le laisse avec Alissia pour la facturation.
15 mn passent et le patient est toujours à l’accueil quand je viens aux nouvelles, un peu
surpris. Monsieur M. déclare : « Je suis à l’ouest ! Je ne retrouve plus rien.»
Alissia m’explique qu’il a cherché sans succès un document dans son ordinateur portable
avant de réaliser, en s’énervant, que son devis était arrivé chez lui par la poste !
Je le raccompagne vers la sortie et je le trouve un peu confus. Nous parlons 2 minutes sur
le pas de la porte avant qu’il ne parte en se moquant de « sa mémoire qui lui fait défaut ».

Comment expliquez vous ce comportement ? Qu’auriez vous fait à la place d’Alissia ?


2021 - 2022

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SUJET D’EXAMEN – SEMESTRE 2 – SESSION 1


Epreuve : ODL381P2 – UE 8 – M1 Odontologie Pédiatrique
Responsables : Pr J.J. Morrier / Pr B. Thivichon

DATE : mercredi 11 mai 2022

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 15

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

Vous recevez à votre cabinet Arthur, qui est accompagné de sa maman. Arthur est fils unique. Il est
curieux, parle beaucoup et n’hésite pas à vous poser de très nombreuses questions, quitte à couper la
parole de sa mère, qui semble totalement sous le charme de son fils. Arthur vous est amené car il se
plaint depuis plusieurs semaines de douleurs dentaires provoquées, parfois spontanées. Arthur vous
assure qu’il se brosse les dents tous les matins mais regarde ses pieds quand vous parlez du brossage
du soir. La maman d’Arthur vous confie qu’Arthur est un petit mangeur. Il ne mange souvent pas
beaucoup pendant les repas et a faim une heure après être sorti de table. Mais la maman insiste sur le
fait qu’il ne mange jamais de bonbons. Arthur préfère en effet les aliments salés comme les gâteaux
apéritifs, qu’il mange volontiers entre les repas.
La maman vous a apporté le carnet de santé. L’enfant ne présente pas de problème de santé ni allergie
et est à jour de ses vaccinations. Il n’y a pas d’antécédents d’hospitalisation.
L’enfant a déjà vu un dentiste il y a quelques années.
A l’examen exobuccal, vous ne notez rien de particulier.
A l’examen clinique endobuccal, vous observez de nombreuses lésions cavitaires sur des dents
temporaires et sur 36 (ICDAS 5 ou 6). L’ensemble des lésions sont molles au sondage et/ou
recouvertes de plaque.
Vous réalisez alors un orthopantomogramme.

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QUESTION 1 : (0,5 point) Quel est le motif de la consultation ?

QUESTION 2 : (0,5 point) Que relevez-vous concernant l’anamnèse médicale ?

QUESTION 3 : (0,5 point) Que relevez-vous concernant l’anamnèse dentaire ?

QUESTION 4 : (0,5 point) Quel est le stade d’évolution des arcades d’Arthur ?

QUESTION 5 : (0,5 point) Quel est son âge dentaire ?

QUESTION 6 : (0,5 point) La formule dentaire est-elle complète pour les dents
permanentes ?

QUESTION 7 : (12 points) A l’aide des données cliniques qui vous sont rapportées et
de l’orthopantomogramme, expliquez votre approche de la pathologie de cette
patiente, étape par étape. Vous pourrez vous aider des tableaux ci-joints

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2021 - 2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN– SEMESTRE 2 – SESSION 1


Epreuve : ODL308M2 – UE 8 – M2 Orthopédie Dento-Faciale
Responsable : Dr C. Pernier

DATE : mercredi 11 mai 2022

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 40

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

Questionnaire à Choix Multiples, 80 QCM (40 Dr PERNIER – 40 Dr CHAUTY)

Correcteurs : Dr PERNIER et CHAUTY

Nombre de points attribués : 40 points soit 0,5 point par QCM

Modalités :
 Répondre sur la grille de QCM nominative, de préférence au stylo noir.
 Cocher les propositions justes.
 1 ou plusieurs bonne(s) réponse(s) possible(s)
 Chaque QCM est validé lorsque ses 5 éléments de réponse (A-B-C-D-E) correspondent
au corrigé type. Chaque QCM est donc juste ou faux (= notation binaire).

QCM 1
« Orthodontie » et « Orthopédie Dento-Faciale » :
A - sont deux synonymes parfaits.
B - sont utilisés comme synonymes par abus de langage.
C - le premier terme englobe le deuxième.
D - le deuxième terme englobe le premier.
E - sont deux termes bien distincts.

QCM 2
Le plan sagittal médian :
A - est un plan vertical.
B - sépare la moitié gauche de la moitié droite du corps.
C - permet d’observer les anomalies de la dimension transversale.
D - permet d’observer les anomalies de la dimension verticale.
E - permet d’observer les anomalies de la dimension sagittale.
QCM 3
« Endognathie » signifie :
A - face courte.
B - mâchoire étroite.
C - crâne court.
D - maxillaire étroit.
E - mandibule courte.

QCM 4
« Dolichocéphale » signifie :
A - crâne long.
B - crâne étroit.
C - crâne court.
D - face longue.
E - face étroite.

QCM 5
« Mésoprosope » signifie :
A - crâne large.
B - crâne court.
C - face large.
D - face courte.
E - face moyenne.

QCM 6
« Rétrochéïlie » signifie :
A - lèvre courte.
B - nez en arrière.
C - lèvre en arrière.
D - petit nez.
E - nez court.

QCM 7
La denture humaine est :
A - homodonte.
B - hétérodonte.
C - partiellement monophyodonte.
D - diphyodonte.
E - polyphyodonte.

QCM 8
La dent numéro 53 est :
A - déciduale.
B - accessionnelle.
C - successionnelle.
D - définitive.
E - permanente.

QCM 9
A 5 ans, la denture temporaire stable se caractérise :
A - par des usures dentaires.
B - par une absence de courbes de compensation.
C - par des dents verticales.
D - par la présence de diastèmes dans les secteurs antérieurs.
E - par un surplomb et un recouvrement limités.
QCM 10
Un plan de Chapman à marche mésiale :
A - préfigure une classe I.
B - préfigure une classe II.
C - préfigure une classe III.
D - est construit à partir des tangentes à la face distale des 1ères molaires définitives.
E - est construit à partir des tangentes à la face distale des 2èmes molaires temporaires.

QCM 11
La dette incisive se règle grâce :
A - au diamètre mésio-distal différent des dents temporaires et des dents définitives.
B - aux diastèmes présents entre les incisives définitives.
C - à l’augmentation de la distance inter canine au cours de la croissance.
D - à la linguoversion des incisives permanentes.
E - à la vestibuloversion des incisives permanentes.

QCM 12
L’espace de dérive mésiale :
A - est une dette d’espace.
B - est un crédit d’espace.
C - a une valeur inférieure au maxillaire qu’à la mandibule.
D - favorise l’acquisition d’une classe I.
E - minore une classe III.

QCM 13
A 18 ans, la denture adulte complète idéale se caractérise :
A - par des arcades de forme parabolique.
B - par l’absence de courbes de compensation.
C - par des usures généralisées des dents définitives.
D - par la présence de diastèmes dans les secteurs antérieurs.
E - par un surplomb et un recouvrement d’environ 2mm.

QCM 14
Tout au long de la vie, la denture adulte complète :
A - s’use au niveau des faces occlusales.
B - s’use au niveau des faces proximales.
C - voit une transformation des points de contact en surfaces de contact.
D - présente des égressions compensatrices des dents.
E - présente une dérive distale des dents.

QCM 15
L’Angle naso-labial a une valeur idéale de :
A - 85 à 110°.
B - 130°.
C - 110° ± 8°.
D - 90° ± 10°.
E - 150°.

QCM 16
L’angle labio-mentonnier a une valeur idéale de :
A - 85 à 110°.
B - 130°.
C - 110° ± 8°.
D - 90° ± 10°.
E - 150°.
QCM 17
Le plan d’Izard :
A - est perpendiculaire au plan de Francfort.
B - passe par le point sous-orbitaire.
C - passe en arrière du menton et des lèvres dans le cas d’un profil transfrontal.
D - affleure le menton et les lèvres dans le cas d’un profil orthofrontal.
E - passe en avant du menton et des lèvres dans le cas d’un profil cisfrontal.

QCM 18
La ligne E de Ricketts passe :
A - par la pointe du nez et la pointe du menton.
B - 4 mm ± 2 en avant de la lèvre supérieure.
C - 2 mm ± 2 en avant de la lèvre supérieure.
D - 4 mm ± 2 en avant de la lèvre inférieure.
E - 2 mm ± 2 en avant de la lèvre inférieure.

QCM 19
En cas de croissance en rotation antérieure nette :
A - la distance cervico-mentonnière est augmentée.
B - la distance cervico-mentonnière est diminuée.
C - le sillon labio-mentonnier est accentué.
D - le sillon labio-mentonnier est effacé.
E - le plan mandibulaire est incliné en bas et en avant.

QCM 20
Chez le jeune adulte, un visage équilibré verticalement présente :
A - Une égalité des 3 étages suivants : ligne d’implantation des cheveux - point ophryon / point
ophryon - point sous-nasal / point sous-nasal - point menton.
B - Une égalité des 2 parties constituées par la lèvre supérieure + la lèvre rouge inférieure
d’une part et la lèvre blanche inférieure + le menton d’autre part.
C - Une égalité de la hauteur de la lèvre supérieure, de la lèvre inférieure et du menton.
D - Des plis faciaux (nasogéniens et labio-mentonniers) harmonieux.
E - Une compétence labiale au repos.

QCM 21
Dans le sourire « idéal » :
A - la lèvre supérieure découvre la totalité de la couronne des incisives maxillaires et affleure
leur collet.
B - le point inter-incisif maxillaire est aligné avec le plan sagittal médian.
C - il existe des corridors noirs de chaque côté.
D - la lèvre inférieure est parallèle aux bords libres des incisives et canines maxillaires.
E - les collets sont alignés.

QCM 22
Dans une classe I d’Angle :
A - la cuspide mésio-vestibulaire de la 1ère molaire supérieure s’articule avec le sillon
vestibulaire de son homologue inférieure.
B - la cuspide disto-vestibulaire de la 1ère molaire supérieure s’articule avec le sillon
vestibulaire de son homologue inférieure.
C - les dents mandibulaires présentent un décalage distal d'une demi-cuspide par rapports
aux dents maxillaires.
D - les dents mandibulaires présentent un décalage mésial d'une demi-cuspide par rapports
aux dents maxillaires.
E - les dents mandibulaires présentent un décalage mésial d'une cuspide par rapports aux
dents maxillaires.
QCM 23
Dans une classe II division 1 d’Angle, on observe :
A - une distoclusion des molaires maxillaires par rapport à la classe I.
B - une mésioclusion des molaires maxillaires par rapport à la classe I.
C - une mésioclusion des molaires mandibulaires par rapport à la classe I.
D - une proversion des incisives maxillaires.
E - une linguoversion des incisives maxillaires.

QCM 24
Dans une classe II division 2 d’Angle, on observe :
A - une distoclusion des molaires maxillaires par rapport à la classe I.
B - une mésioclusion des molaires maxillaires par rapport à la classe I.
C - une mésioclusion des molaires mandibulaires par rapport à la classe I.
D - une proversion des incisives maxillaires.
E - une linguoversion des incisives maxillaires.

QCM 25
Dans une classe III d’Angle, on observe :
A - une distoclusion des molaires mandibulaires par rapport à la classe I.
B - une mésioclusion des molaires maxillaires par rapport à la classe I.
C - une mésioclusion des molaires mandibulaires par rapport à la classe I.
D - toujours une occlusion antérieure inversée.
E - une occlusion antérieure normale, en cas de compensations incisives.

QCM 26
Parmi les parafonctions, on retrouve :
A - la mastication unilatérale dominante.
B - les succions non nutritives.
C - les mimiques.
D - l’onychophagie.
E - le bruxisme.

QCM 27
Une succion du pouce persistante peut être à l’origine :
A - d’une béance.
B - d’une proalvéolie mandibulaire.
C - d’une diminution du surplomb.
D - d’une dysfonction linguale.
E - d’une position basse de la langue.

QCM 28
La ventilation orale :
A - est une ventilation de secours.
B - perturbe souvent nettement la morphogénèse cranio-faciale.
C - modifie la posture céphalique.
D - est toujours liée à une obstruction des voies aériennes supérieures.
E - augmente le risque de SAHOS (Syndrome d’apnées-hypopnées obstructives du sommeil).

QCM 29
La déglutition mature se caractérise par :
A - des arcades en inocclusion.
B - une contraction des muscles élévateurs.
C - une contraction des muscles des lèvres et du menton.
D - l’appui de la pointe de la langue sur la papille rétro-incisive.
E - une pulsion de la langue contre les dents.
QCM 30
La déglutition infantile se caractérise par :
A - des arcades en inocclusion.
B - une contraction des muscles élévateurs.
C - une contraction des muscles des lèvres et des joues.
D - l’appui de la pointe de la langue sur la papille rétro-incisive.
E - une interposition de la langue entre les arcades.

QCM 31
La phonation est une fonction :
A - qui exige une maturation.
B - qui exige un apprentissage.
C - indépendante de la déglutition.
D - indépendante de la mastication.
E - qui ne nécessite aucun contact entre la langue et les dents, en langue française.

QCM 32
La mastication unilatérale dominante :
A - se diagnostique idéalement grâce à un chewing-gum ou une pomme.
B - se fait du côté de l’angle fonctionnel masticateur de Planas le plus élevé.
C - n’a pas de conséquence sur la croissance maxillo-faciale
D - est à l’origine d’une classe II d’Angle du côté mastiquant et d’une classe I du côté opposé.
E - s’auto-entretient.

QCM 33
Les modèles d’étude :
A - sont réalisés systématiquement dans le cadre du diagnostic orthodontique.
B - sont toujours virtuels.
C - ont une valeur médico-légale.
D - permettent d’évaluer l’angle fonctionnel masticateur de Planas.
E - permettent d’évaluer la dysharmonie dento-maxillaire (ou dents-arcades).

QCM 34
L’orthopantomogramme ou panoramique dentaire :
A - est une tomographie épaisse.
B - amène de nombreuses informations.
C - est peu irradiant.
D - ne permet pas d’effectuer des mesures précises.
E - permet une localisation, parfois imprécise des inclusions.

QCM 35
Les téléradiographies de profil :
A - permettent d’obtenir des images quasi à taille réelle.
B - permettent d’obtenir des images standardisées.
C - sont des examens très irradiants.
D - donnent des informations sur la dimension sagittale et verticale.
E - permettent de situer le patient sur sa courbe de croissance.

QCM 36
L’analyse de Tweed :
A - est une analyse céphalométrique dimensionnelle.
B - s’appuie sur des clichés standardisés reproductibles.
C - se trace sur une téléradiographie de profil.
D - détermine la classe squelettique d’un patient (I, II ou III), grâce à la valeur de l’angle FMA.
E - détermine la divergence faciale (normo, hypo ou hyper), grâce à la valeur de l’angle ANB.
QCM 37
La radio de la main et du poignet :
A - permet d’évaluer précisément l’âge dentaire du patient et de le situer ainsi sur sa courbe
de croissance.
B - n’est pas systématiquement prescrite en orthopédie dento-faciale.
C - annonce le sommet du pic de croissance péri-pubertaire quand l’épiphyse de la phalange
médiale (MP) du 3e doigt déborde l’extrémité de la diaphyse (stade CAPsulaire).
D - annonce le sommet du pic de croissance péri-pubertaire quand l’épiphyse de la phalange
distale (DP) du 3e doigt se soude à la diaphyse (stade Union).
E - annonce la fin de la croissance faciale quand le cartilage de conjugaison radial est calcifié
(Stade Union).

QCM 38
Le scanner à rayons X (tomodensitométrie) :
A - trouve des applications dans tous les domaines de la médecine.
B - utilise un faisceau fin de rayons X.
C - donne d’excellentes images des tissus durs et des tissus mous.
D - voit la qualité de ses images impactée par la présence d’éléments métalliques dans la
cavité buccale.
E - est un examen très irradiant.

QCM 39
Le Cone Beam :
A - est une tomographie.
B - s’applique à de nombreux domaine.
C - est très irradiant.
D - permet d’effectuer des mesures précises.
E - permet une localisation précise des inclusions.

QCM 40
L’IRM (Imagerie par Résonance Magnétique nucléaire)
A - donne des images en 2 ou 3 dimensions.
B - s’applique à de nombreux domaine.
C - est très irradiante.
D - est particulièrement utilisée pour le diagnostic des atteintes discales des ATM.
E - est particulièrement utilisée pour le diagnostic des atteintes musculaires des ATM.

QCM 41
La puberté :
A. Se produit plus tôt qu’auparavant
B. Est influencée par les facteurs nutritionnels, socio-économiques (recul des maladies
infantiles), environnementaux et psycho-affectifs
C. Est la période qui enregistre le minimum de taux de croissance
D. Correspond à peu près au stade MP3 cap
E. Correspond à peu près au stade DP3u

QCM 42
La radiographie des vertèbres :
A. Est utilisable jusqu’à 18 ans
B. Est plus précise que la radiographie du poignet pour évaluer le stade de croissance
C. Est utilisable à partir de 5 ans
D. A l’inconvénient d’irradier les glandes sudoripares
E. Permet de situer le patient sur sa courbe de croissance
QCM 43
Les incisives centrales maxillaires ont en général :
A. Un début de calcification à 2 ans
B. Une couronne achevée à 4-5 ans
C. Un âge d’éruption à 9 ans
D. Une racine achevée à 14 ans
E. Une éruption à peu près concomitante aux premières molaires

QCM 44
La théorie de Scott :
A. A été proposée en 1982
B. fait partie des théories de croissance explicatives fonctionnelles
C. dissocie syndesmoses et synchondroses.
D. fait partie des théories de croissance génétiques
E. soutient que le cartilage septal joue un rôle primaire de croissance, il est responsable de
la croissance.

QCM 45
Les sutures membraneuses :
A. sont les lignes de séparation.
B. sont des zones fertiles de croissance cartilagineuses.
C. représentent les reliquats de la lame conjonctive primitive qui séparent les os de la face et
de la voute du crâne
D. jouent un rôle physiologique important dans la croissance de la face
E. demeurent pendant de nombreuses années une zone d'active prolifération cartilagineuse.

QCM 46
Les fontanelles :
A. Sont situées entre les os de la base du crâne
B. Bregma est aussi appelée grande fontanelle ou fontanelle postérieure
C. Lambda est située entre les deux pariétaux et l'occipital
D. Les Ptérions sont les fontanelles antéro-latérales situées entre pariétal, frontal, sphénoïde
et temporal
E. Les Astérions sont les fontanelles postéro-latérales situées entre occipital, temporal et
pariétal

QCM 47
Dans la dysostose cléïdo-cranienne :
A. Les os sont minces avec retard d'ossification périostée
B. On note des retards importants des synostoses crâniennes et faciales.
C. L’arcade zygomatique peut présenter une gracilité
D. Est observée une absence (partielle ou totale) de clavicule.
E. Est notée une hypertension intracrânienne avec troubles sensoriels

QCM 48
Lors du long phénomène de flexion de la base du crâne, les os du crane effectuent les
déplacements suivants :
A. Ethmoïde : rotation anti-horaire
B. Frontal : montée
C. Vomer : poussée en avant et en bas
D. Voûte palatine : tractée en bas et en arrière
E. Temporal : rotation externe
QCM 49
L’ACHONDROPLASIE :
A. Est une affection acquise résultant d'un adénome hypophysaire (sécrétion excessive de
l'hormone hypophysaire de croissance)
B. Est liée à la rétraction de la gaine du muscle sterno-cléido-mastoïdien et entraîne une
asymétrie considérable de la base du crâne.
C. Est une chondrodysplasie héréditaire
D. Est caractérisée par des troubles de la croissance du tissu cartilagineux qui atteint le
chondrocrâne et des cartilages de conjugaison des os longs
E. Est le nom générique du syndrome de CROUZON et du syndrome d'APERT

QCM 50
Sont d’origine membraneuse :
A. Les cornets inférieurs
B. Le vomer
C. L’os palatin
D. Le zygomatique
E. L’os lacrymal

QCM 51
La suture intermaxillaire
A. Se synostose à 6 mois
B. Est sollicitée lors de la disjonction
C. Participe à la croissance transversale du massif facial supérieur
D. Fait partie des sutures sagittales du massif facial supérieur
E. Est parallèle à la suture palatine transverse

QCM 52
Les procès alvéolaires :
A. Sont d’origine membraneuses
B. Subissent une résorption sur les trois faces : interne, inférieure et postérieure
C. Sont soumis aux forces musculaires, aux fonctions, aux parafonctions et aux postures
habituelles
D. contribuent aux compensations dentoalvéolaires pour limiter occlusalement le décalage
des bases maxillaire et mandibulaire
E. sont d’origine cartilagineuse

QCM 53
La croissance de la symphyse mandibulaire :
A. La synchondrose symphysaire contribue à l'accroissement en largeur de la mandibule
pendant les 1ers mois de la vie pour répondre aux importantes variations de volume lingual.
B. La synchondrose symphysaire cesse d'être active dès la fin de la 1ère année (SCOTT).
C. La symphyse mandibulaire subit sur la face postérieure une apposition au niveau de la
corticale interne d’où l’épaississement symphysaire.
D. La symphyse mandibulaire subit en dessous du point B (bord antéroinférieur) une
apposition.
E. La symphyse mandibulaire subit sur son bord inférieur une apposition qui augmente la
hauteur de la symphyse et s'étend jusqu'à la partie antérieure du rebord de la mandibule.
QCM 54
Remodelages de la branche montante de la mandibule :
A. Sur la face latérale, est notée une résorption périostée
B. Sur la face interne : est notée une apposition vers le bas jusqu'à coiffer la tubérosité
linguale du corps mandibulaire.
C. Sur le bord antéro-inférieur, est notée une résorption
D. Sur le bord postéro-inférieur, est notée une apposition
E. La résultante est une dérive latérale qui rapproche les gonions l'un de l'autre (principe du
"V" de ENLOW).

QCM 55
Font partie des atteintes cartilagineuses localisées du cartilage condylien :
A. L’acromégalie
B. L’ostéite nécrosante condylienne précoce
C. L’ankylose temporo-mandibulaire
D. L’acondylie et hypocondylie congénitales
E. L’hypercondylie

QCM 56
Font partie des zones anatomiques stables :
A. La portion horizontale de la grande aile du sphénoïde
B. Le canal mandibulaire
C. Le contour inférieur du germe de 4 et 5 (1ère et 2ème prémolaires)
D. La crête zygomatique
E. La lame criblée de l’ethmoïde

QCM 57
Lors d’une rotation postérieure :
A. le condyle est dirigé vers l'arrière et est relativement fin.
B. le canal dentaire a un trajet rectiligne.
C. l'angle mandibulaire est fermé.
D. L’échancrure pré angulaire est marquée.
E. la symphyse est orientée en haut et en arrière.

QCM 58
La ligne ML1 (ligne matricielle)
A. Modélise la matrice des tissus mous.
B. Modélise le squelette osseux mandibulaire
C. Est tangente au rebord basilaire du corps mandibulaire symphyse exclue
D. Permet d’observer la rotation totale (antérieure ou postérieure)
E. A été initialement décrite par Petrovic

QCM 59
La rotation matricielle mandibulaire :
A. correspond à la rotation des tissus mous de recouvrement de la mandibule par rapport à
la référence basicrânienne.
B. Est mesurée par la modification d'inclinaison de la ligne implantaire par rapport à la base
du crâne.
C. Est matérialisée par la modification d'inclinaison de la ligne ML1 de BJØRK (ligne
matricielle) par rapport à la base du crâne (SN en général).
D. témoigne des modelages périostés mandibulaires.
E. présente souvent un mouvement pendulaire ayant, approximativement, pour centre les
condyles.
QCM 60
Sur la radiographie de la main et du poignet :
A. Le sésamoïde apparait 2 ans après le pic de croissance.
B. RU est 3 ans avant le pic de croissance.
C. MP3cap correspond au pic de croissance.
D. Le stade cap ou capsulaire signifie que l’épiphyse de la phalange déborde l’extrémité de
la diaphyse.
E. Le stade lenticulaire est aussi appelé Union ou U

QCM 61
L’âge dentaire de calcification :
A. Est plus fiable que l’âge dentaire d’éruption pour évaluer l’âge dentaire.
B. Peut être différent de l’âge d’éruption surtout pour les 2èmes prémolaires et les 2èmes
molaires.
C. L’émergence clinique de la couronne se fait au stade de calcification correspondant à 1/3
de la hauteur radiculaire.
D. Son évaluation précise est possible de la naissance jusqu'à l'achèvement de 3ème molaire.
E. Le degré de calcification des germes peut être influencé par des facteurs exogènes comme
une extraction.

QCM 62
L’impubérisme :
A. Est l'absence de puberté.
B. Peut être liée à une dénutrition profonde
C. Peut être liée à une insuffisance thyroïdienne
D. Peut être liée à une pathologie hypophysaire
E. Peut être liée à un syndrome de TURNER

QCM 63
La théorie de croissance de Weinmann et Sicher :
A. Est purement génétique.
B. La suture est un centre passif de croissance.
C. décrit des matrices capsulaires et périostées.
D. Il existe une égalité hiérarchique entre synchondrose et syndesmose.
E. La croissance de la face s'effectue en bas et en avant grâce au parallélisme des sutures :
fronto-maxillaire, coronale, zygomatico-maxillaire, ptérygo-palatine.

QCM 64
Dans la conception de Couly :
A. Les conformateurs organo-sensoriels sont les moteurs de la croissance.
B. Les conformateurs organo-sensoriels peuvent être classés en neurosensoriels,
splanchniques, mixte
C. Les conformateurs organo-sensoriels agissent sur les os cartilagineux qui sont les parois
adaptables du squelette céphalique et facial.
D. Les muscles masticateurs sont des conformateurs organo-sensoriels splanchniques.
E. La langue est considérée comme un conformateur organo-sensoriel splanchnique.

QCM 65
Au cours du 3ème mois de vie intra-utérine, l'ébauche du squelette céphalique du fœtus
est en place. Il comporte :
A. un châssis de cartilage primaire appelé le chondrocrâne.
B. des tiges de cartilage primaire, cartilage de Mendel et de Reichert.
C. une carapace fibro-périostée superficielle d'os membraneux (voûte du crâne).
D. des sutures membraneuses situées entre les os constituant la base du crâne.
E. le chondrethmoïde au sein duquel se trouve la capsule modale.
QCM 66
La rotation intra-matricielle :
A. est la somme de la rotation totale et de la rotation matricielle
B. est matérialisée par la modification de l'inclinaison de la ligne implantaire par rapport à la
ligne matricielle ML1. Le centre de la rotation se trouve à l’intérieur du corps mandibulaire.
C. est l’expression du remodelage du bord inférieur de la mandibule.
D. correspond à la rotation du corps mandibulaire à l'intérieur de la matrice des tissus mous
(ces deux entités opèrent une rotation de sens et de rythme indépendant).
E. a été décrite initialement par Moss

QCM 67
La rotation morphogénétique :
A. renseigne sur les changements de forme de la mandibule.
B. mesure le déplacement de la ligne implantaire par rapport à la ligne intramandibulaire (Bi-
P).
C. est équivalente de la rotation matricielle de Delaire.
D. est un mécanisme de compensation capable d’augmenter ou de réduire la longueur de la
diagonale mandibulaire et entraînant l’ouverture ou la fermeture de l’angle goniaque
E. renseigne sur les changements de position de la ligne implantaire par rapport à une
référence basicrânienne (en général SN).

QCM 68
La rotation contrebalançante :
A. est la variation de la diagonale mandibulaire (Pog-Co ou Pog-Ar) par rapport à la ligne
implantaire, le pogonion étant un point stable.
B. est la composante circulaire de la croissance condylienne, accompagnée d’un modelage
sélectif et coordonné, mais qui ne contribue pas à l’allongement de la diagonale
mandibulaire» (DIBBETS).
C. peut permettre de neutraliser l’agrandissement du condyle au cours de la croissance.
D. a été décrite par Lavergne et Gasson.
E. est nulle s’il n’y a pas de rotation de la diagonale mandibulaire.

QCM 69
La rotation intra matricielle (BJORK et SKIELLER) est à peu près équivalente à :
A. La rotation morphogénétique (L AVERGNE et GASSON)
B. La rotation contrebalançante (DIBBETS)
C. La rotation positionnelle (L AVERGNE et GASSON)
D. La rotation morphogénétique (DIBBETS)
E. La proportion contrebalançante (DIBBETS)

QCM 70
La croissance du corps de la mandibule :
A. L’allongement du corps sous l'effet modelant des matrices environnantes musculaires et
de la matrice pénétrante du paquet vasculo-nerveux incitateur de la croissance qui lui-
même s'allonge.
B. Face externe : Résorption du bord antérieur trigono-coronoïdien : coroné, face externe de
la branche montante.
C. Face externe : Apposition sur la face externe de la branche montante, du corps et du rebord
antéro-inférieur de la symphyse mandibulaire.
D. Face interne : Appositions massives à la face médio-postérieure de la tubérosité linguale
(zone alvéolaire linguale postérieure de l’arcade dentaire).
E. Face interne : Résorption passant sous la tubérosité linguale et la ligne mylo-hyoïdienne
s’étendant jusqu’à la région canine et formant la fossette sous-maxillaire.
QCM 71
Le cartilage condylien :
A. est un cartilage primaire
B. n’est pas un moteur de croissance à proprement parler
C. joue un rôle de croissance multidirectionnelle
D. joue un rôle de croissance adaptative
E. joue un rôle de croissance appositionnelle associée à des phénomènes de rotations

QCM 72
Les différents types de sutures :
A. Il en existe 5.
B. La suture inter-maxillaire est une suture squameuse.
C. La suture fronto-zygomatique est une suture suture dentée.
D. Une articulation en forme de crête, l'autre en forme de rainure s’appelle schyndilèse.
E. L’articulation vomer-sphénoïde est une suture squameuse.

QCM 73
Le système des sutures péri-maxillaires :
A. groupe les sutures séparant le maxillaire des os de la face qui l'avoisinent.
B. fait partie des systèmes suturaux cranio-faciaux.
C. a été initialement décrit par Scott.
D. fait partie du système de la suture coronale
E. fait partie du système de la suture lambdoïde

QCM 74
Quand la rotation contre-balançante :
A. est forte, la proportion contre-balançante est forte
B. est forte, la proportion contre-balançante est réduite
C. est nulle, la diagonale mandibulaire est réduite
D. est forte, la diagonale mandibulaire est forte
E. est nulle, il n’y a pas de rotation de la diagonale mandibulaire, la croissance condylienne
se fait selon l’axe de la diagonale initiale.

QCM 75
Vers le 3ème ou 4ème mois de vie intra-utérine, apparaissent des noyaux cartilagineux
dont l’existence est de courte durée :
A. pour le noyau angulaire : 6 à 8 mois
B. pour le noyau condylien : à la naissance
C. pour le noyau coronoïdien : à la naissance
D. pour le noyau condylien : 21 ans
E. pour le noyau tubérositaire : 15 ans

QCM 76
Les stades évolutifs des sutures sont dans l’ordre :
A. synarthrose puis synfibrose puis synostose
B. synfibrose puis synchondrose puis synostose
C. synostose puis synarthrose puis synfibrose
D. synarthrose puis synostose puis synfibrose
E. synfibrose puis synarthrose puis synostose
QCM 77
Quand le processus d'ossification se fait :
A. directement au niveau du tissu conjonctif : on parle d’ossification membraneuse.
B. aux dépends d'une maquette cartilagineuse : on parle d’ossification enchondrale
C. directement au niveau du tissu conjonctif : on parle d’ossification enchondrale
D. d’origine mixte : on parle d’ossification membraneuse et enchondrale
E. aux dépends d'une maquette cartilagineuse : on parle d’ossification membraneuse

QCM 78
Parmi ces os :
A. le temporal a une origine mixte
B. l'occipital a une origine mixte
C. le pariétal a une origine enchondrale
D. la grande aile du sphénoïde a une origine membraneuse
E. le corps du sphénoïde a une origine enchondrale

QCM 79
Nom des sutures :
A. La suture métopique est la suture entre les deux pariétaux
B. La suture coronale est la suture verticale frontale
C. La suture coronale est la suture entre pariétal et occipital
D. La suture lambdoïde est suture fronto-pariétale
E. La suture zygomatico-temporale est aussi nommée ou zygomatico-malaire

QCM 80
La théorie synthétique de Van Limborgh fait intervenir des facteurs :
A. génétiques intrinsèques : ils régulent la multiplication et la différenciation cellulaire
B. épigénétiques généraux (hormones) : agissent sur les cellules cartilagineuses du
chondrocrâne
C. épigénétiques locaux : périoste, sutures du crâne
D. environnementaux : fonctions
E. génétiques extrinsèques
Année universitaire
2021-2022

Université Lyon 1
Faculté d’odontologie

FGSO 3

2ème semestre – 2ème session


2021-2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN – SEMESTRE 2 – SESSION 2


Epreuve : ODL362P2 – UE 6 – M3 Biomatériaux
Responsable : Pr B. Grosgogeat

DATE : 20 juin 2022

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 10

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

QUESTION(S) : Dr Marie GUILLET

1) Les vitrocéramiques : compositions, procédés de fabrication et indications


cliniques (6 points)

2) Vous devez assembler en bouche cette couronne en zircone sur une dent
vivante (moignon dentaire dont le tissu majoritaire est la dentine). Quels
procédés d’assemblages peuvent être envisagés ? Lequel adoptez-vous ?
Pourquoi ? Décrivez en les étapes. (14 points)
2021 - 2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN – SEMESTRE 2 – SESSION 2


Epreuve : ODL381P2 – UE 8 – M1 Odontologie Pédiatrique
Responsables : Pr J.J. Morrier / Pr B. Thivichon

DATE :

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 15

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

Vous recevez à votre cabinet Léon, qui est accompagné de sa maman. Léon présente des troubles de
l’attention et aucun dentiste n’a réussi à le soigner jusqu’à présent. Léon vous est amené car il se
plaint depuis 24 heures de douleurs spontanées dans le secteur 8. La maman de Léon n’arrive pas à
brosser les dents de son fils car celui-ci ne tient pas en place. Léon boit beaucoup de lait toute la
journée car il n’aime pas le gout de l’eau
La maman vous a apporté le carnet de santé. L’enfant ne présente pas de problème de santé ni allergie
et est à jour de ses vaccinations. Il n’y a pas d’antécédents d’hospitalisation.
A l’examen exobuccal, vous ne notez rien de particulier.
A l’examen clinique endobuccal, vous observez de nombreuses lésions cavitaires et certaines dents
sont à l’état de racine. Vous observez une tuméfaction en regard de 84 et 85. L’ensemble des lésions
sont molles au sondage et/ou recouvertes de plaque.
Vous réalisez alors un orthopantomogramme.
QUESTION 1 : (0,5 point) Quel est le motif de la consultation ?

QUESTION 2 : (0,5 point) Que relevez-vous concernant l’anamnèse médicale ?

QUESTION 3 : (0,5 point) Que relevez-vous concernant l’anamnèse dentaire ?

QUESTION 4 : (0,5 point) Quel est le stade d’évolution des arcades d’Arthur ?

QUESTION 5 : (0,5 point) Quel est son âge dentaire ?

QUESTION 6 : (0,5 point) La formule dentaire est-elle complète pour les dents
permanentes ?

QUESTION 7 : (12 points) A l’aide des données cliniques qui vous sont rapportées et
de l’orthopantomogramme, expliquez votre approche de la pathologie de cette
patiente, étape par étape. Vous pourrez vous aider des tableaux ci-joints
2021 - 2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN – SEMESTRE 2 – SESSION 2


Epreuve : ODL361P2 - UE 6 – M1 Pathologie Dentaire/Equilibre fonctionnel
Responsable : Pr C. Villat – Dr C. Jeannin

DATE : Lundi 20 juin 2022

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 10

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

QUESTION : (Dr JEANNIN, 5 points) 1 page maxi

Expliquez pourquoi il est normal qu’une prothèse, réglée correctement en occlusion, puisse
être perçue par le patient comme une gêne dans les premières heures.

QUESTION(S) : (Pr Cyril VILLAT – 5 points)

Question 1: Symptomatologie des parodontites apicales aigües débutantes et avancées (3


points)

Question 2: Décrire la douleur ressentie lors d’une pulpite irréversible aiguë (2 points)
(2 points)
2021 - 2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN– SEMESTRE 2 – SESSION 2


Epreuve : ODL308M2 – UE 8 – M2 Orthopédie Dento-Faciale
Responsable : Dr C. Pernier

DATE : Lundi 20 juin 2022

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 40

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

QUESTIONS :

Dr Claire PERNIER - 20 points

La ventilation.

Dr Sarah CHAUTY - 20 points

Croissance normale de la voûte du crâne.


2021-2022

FGSO3

SUJET D’EXAMEN– SEMESTRE 2 – SESSION 2


Epreuve : ODL306M8 – UE6 – M8 Prothèse Amovible Totale
Responsable : Pr. C. MILLET

DATE : Lundi 20 juin 2022

DUREE : 1h00

BAREME APOGEE : 40

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

40 QCM au total

- Chaque QCM sur 1 point sur un total de 40 points


- Répondre sur la grille de QCM nominative de préférence au stylo noir
- 0, 1, ou plusieurs bonne(s) réponse(s) possible(s)
- Chaque QCM est validé lorsque ses 5 éléments de réponse (A-B-C-D-E) correspondent au
corrigé type. Chaque QCM est donc juste ou faux : notation binaire.

1. Lors du traitement d’un patient édenté complet par prothèses amovibles :


A - La qualité de la fibro-muqueuse influence le choix des matériaux d’empreintes
B - Les dimensions de l’arcade influencent le choix du porte-empreinte
C - L’examen endo-buccal est inutile
D - Les empreintes primaires sont facultatives
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

2. Lors du traitement d’un patient édenté complet par prothèses amovibles :


A - Une langue volumineuse est favorable à la stabilisation de la prothèse mandibulaire
B - Un plancher lingual en position haute est favorable à la stabilisation de la prothèse
mandibulaire
C - Les crêtes résorbées sont favorables à l’équilibre prothétique
D - La fibro-muqueuse doit idéalement être adhérente à l’os sous-jacent
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

3. Les sillons ptérygo-maxillaires se situent :


A - En arrière des tubérosités maxillaires
B - En avant des ligaments ptérygo-maxillaires
C - En avant des zones de Schroëder
D - En avant des ampoules d’Eisenring
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses
4. La stabilisation d’une prothèse amovible complète est assurée par :
A - Les extensions de la prothèse dans les zones neutres
B - Le volume des crêtes
C - le respect du libre jeu musculaire
D - Une occlusion équilibrée
E - La présence d’un film salivaire

5. La sustentation d’une prothèse amovible complète est favorisée par :


A - L’étendue de la surface d’appui
B - Un joint périphérique étanche
C - La qualité de la fibro-muqueuse
D - La qualité du tissu osseux
E - La présence d’un film salivaire

6. Chez un édenté complet bi-maxillaire, la résorption osseuse horizontale postérieure :


A - Est centrifuge au maxillaire
B - Est centripète au maxillaire
C - Est inexistante au maxillaire
D - Est inexistante à la mandibule
E - Peut être à l’origine de rapports de crêtes inversés

7. Chez l’édenté complet, l’empreinte primaire doit être :


A - Topographique
B - En sous-extension
C - Réalisée avec un matériau compressif pour bien mettre en évidence le fond du vestibule
D - Réalisée avec le patient en position assise et la bouche semi-ouverte
E - Mucostatique

8. La limite postérieure du porte-empreinte individuel maxillaire doit se terminer :


A - En arrière de la ligne de rotation antérieure du voile du palais
B - En arrière des fossettes palatines
C - Au niveau des sillons ptérygo-maxillaires
D - En arrière de la ligne de rotation postérieure du voile du palais
E - Sur le palais osseux

9. Les polyéthers :
A - S’utilisent avec un adhésif
B - Ont un temps de prise plus rapide que les polysulfures
C - Sont caractérisés par leur rigidité
D - Sont commercialisés en une seule viscosité
E - Appartiennent à la famille des vinyls polysiloxanes

10. Les polysulfures :


A - Donnent un excellent état de surface
B - S’utilisent avec un adhésif
C - Sont hydrophobes
D - Sont commercialisés en une seule viscosité
E - Appartiennent à la famille des vinyls polysiloxanes

11. Les Pâtes oxyde de zinc-eugénol sont des matériaux d’empreinte qui :
A - S’utilisent avec un adhésif
B - Sont élastiques
C - Ont une viscosité élevée
D - Sont collants
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses
12. Lors du marginage du porte-empreinte individuel (PEI) maxillaire chez un édenté complet :
A- Il est possible d’associer un polyéther pour le joint périphérique et la pâte
thermoplastique de Kerr® verte pour le joint vélo-palatin
B - Le matériau d’empreinte doit être mis en place dans l’intrados du PEI au niveau du joint
vélo-palatin
C - Il est impératif d’utiliser des matériaux hydrophiles
D - Le patient doit réaliser, entre autres, des mouvements de latéralité mandibulaire
E - La Pâte oxyde de zinc-eugénol est parfaitement indiquée

13. Le tracé correct du porte-empreinte individuel mandibulaire :


A - Recouvre la ligne oblique externe
B - Comprime le frein lingual
C - Ne doit pas recouvrir les trigones rétro-molaires
D - Ménage une concavité en regard des insertions basses du masséter
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

14. L’empreinte secondaire chez un patient édenté complet :


A - Se réalise avec de l’alginate
B - Doit être anatomo-fonctionnelle
C - Doit présenter un joint périphérique étanche
D - Se réalise en deux temps
E - Impose l’obtention d’un modèle secondaire coffré

15. En prothèse complète, les valeurs recommandées de programmation des déterminants


postérieurs de l’occlusion sur l’articulateur sont :
A - Quinze degrés pour la pente condylienne
B - Quarante degrés pour l’angle de Bennett
C - 18 mm pour la branche inférieure
D - 22 mm pour la branche supérieure
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

16. (1) Un articulateur non adaptable préréglé à 40° et 15° est suffisant en prothèse amovible
totale car (2) l’occlusion en prothèse amovible totale est bilatéralement équilibrée.
A - La proposition (1) est vraie tandis que la (2) est fausse
B - La proposition (1) est fausse tandis que la (2) est vraie
C -Les propositions (1) et (2) sont fausses
D - Les 2 propositions sont vraies avec lien de cause à effet
E - Les 2 propositions sont vraies sans lien de cause à effet

17. La table de montage d’un articulateur :


A - Prend en compte les différences anatomiques entre les patients
B - Est habituellement orientée selon le plan de Camper
C - Est habituellement orientée selon le plan de Francfort
D - Permet le transfert de la relation centrée
E - Permet le montage du modèle maxillaire dans une position moyenne

18. Chez l’édenté complet, le réglage des maquettes d’occlusion débute par :
A - La maquette mandibulaire
B - Le contrôle du soutien labial
C - Un test phonétique
D - Le test de Smith
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses
19. Le bourrelet occlusal de la maquette d’occlusion maxillaire :
A - Vient s’appuyer sur la lèvre inférieure lors de la prononciation du son «S »
B - Doit être positionné en arrière de la papille rétro-incisive
C - Peut être réglé en bouche à l’aide de l’arc facial
D - Recouvre les tubérosités
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

20. Lors de l’enregistrement du rapport maxillo-mandibulaire, le phénomène de décollement :


A - Peut avoir pour origine un contact prématuré
B - Peut provoquer un glissement de la mandibule
C - Peut engendrer une mise en articulateur erronée
D - Peut être limité par l’utilisation de bases stables et rétentives
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

21. Le phénomène de dérapage :


A - Peut survenir lors de l’enregistrement du rapport maxillo-mandibulaire
B - Est caractérisé par un soulèvement de la base de la maquette d’occlusion
C - Peut provoquer un glissement de la mandibule
D - Peut engendrer une mise en articulateur erronée
E - A pour origine un contact prématuré postérieur

22. Selon l’indice de Lee, la largeur d’une incisive centrale maxillaire correspond :
A - Au sixième (1/6) de la largeur du nez
B - Au huitième (1/8) de la largeur du nez
C - A la largeur d’une canine
D - A la moitié (1/2) de la largeur du nez
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

23. En prothèse complète, les dents prothétiques postérieures peuvent être :


A - Anatomiques avec des pentes cuspidiennes à 60°
B - Semi-anatomiques avec des pentes cuspidiennes de 30 à 45°
C - Non-anatomiques
D - Montées sur les trigones rétromolaires
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

24. L’existence d’un espace libre phonétique se vérifie par :


A - La prononciation du son « A »
B - La prononciation du son «M »
C - La prononciation du son « S »
D - La prononciation du son « F »
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

25. Les dents artificielles dites « anatomiques » sont à privilégier :


A - En présence de dysfonctionnement des ATM
B - En présence de pentes condyliennes plates
C - En présence de crêtes très résorbées
D - Pour les patients âgés
E - En présence de rapports maxillo-mandibulaire favorables

26. Le montage des incisives maxillaires est réalisé :


A - Selon des critères phonétiques
B - Selon le bourrelet de la maquette maxillaire préalablement réglé en bouche
C - Selon des critères esthétiques
D - Dans l'aire de Pound
E - En arrière de la papille incisive
27. Les incisives mandibulaires doivent être montées :
A - A l'extérieur de la crête
B - Dans l'aire de Pound
C - Dans l'aire de sustentation d'Ackermann
D - En fonction des dents maxillaires
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

28. Lors du montage, les dents postérieures :


A - Doivent respecter la courbe de Wilson dans le plan sagittal
B - Doivent respecter la courbe de Spee dans le plan frontal
C - Doivent être positionnées dans l’aire d’Ackermann
D - Doivent être positionnées dans les zones de Schroeder
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

29. Le montage bilatéralement équilibré généralisé :


A - Est caractérisé par des contacts généralisés sur les incisives, canines, prémolaires et
molaires en occlusion d'intercuspidie maximale (OIM)
B - Est caractérisé par des contacts non travaillants en latéralité
C - Est le montage le plus utilisé chez l’édenté complet
D - Permet la stabilisation des prothèses complètes
E - Est caractérisé par une fonction groupe en latéralité côté travaillant

30. Lors de l’essai fonctionnel en prothèse amovible complète :


A- L’émission des « FE » et « VE » met en contact la lèvre inférieure et le bord libre des
incisives supérieures.
B- Il faut privilégier les contacts occlusaux lors de la phonation.
C- Il faut s’assurer d’une désocclusion lors de la phonation.
D- L’orientation du plan d’occlusion doit être parallèle au plan sagittal médian
E- L’orientation du plan d’occlusion doit être parallèle à la ligne de Pound

31. La ligne de Pound :


A - Relie la face interne de la tubérosité à la face mésiale de la canine maxillaire
B - Est une aide précieuse au montage des incisives maxillaires
C - Est parallèle à la ligne d’Ackermann
D - Relie la face externe du trigone rétro-molaire à la face mésiale de la canine mandibulaire
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

32. Les surfaces polies stabilisatrices des prothèses mandibulaires sont caractérisées par :
A - Une convexité antérieure en regard de l’orbiculaire des lèvres
B - Une convexité linguale dans le plan horizontal et dans le plan sagittal
C - Une convexité vestibulaire en regard des prémolaires
D - Une concavité vestibulaire en regard des canines
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

33. Lors de la réalisation des surfaces polies stabilisatrices maxillaires, il faut créer :
A - Une convexité pour l’orbiculaire des lèvres
B - Une concavité en regard des canines
C - Une épaisseur de la plaque palatine supérieure à 3 mm pour éviter tout risque de fracture
D - Un alignement des collets, à l’exception des incisives latérales
E- Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses
34. La gravure du joint vélo-palatin sur le modèle de travail en plâtre :
A - Se fait par le praticien au fauteuil dans l’intrados de la prothèse maxillaire polymérisée
B - A généralement une profondeur de 4 millimètres
C - Permet de compenser le retrait de la résine lors de la polymérisation
D - Permet d’améliorer l’étanchéité du joint postérieur maxillaire
E- Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

35. Un mordu de Tench correct :


A - Est caractérisé par des indentations profondes
B - S’enregistre à l’aide de pâte indicatrice de pression (PIP)
C - Permet de réaliser l’équilibration occlusale des prothèses en bouche à l’aide de papier à
articuler
D - Permet de transférer la prothèse mandibulaire sur l’articulateur
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

36. En prothèse complète, en présence d’interférences antérieures en propulsion, il faut :


A - Temporiser
B - Refaire de nouvelles prothèses
C - Meuler les cuspides des dents postérieures mandibulaires
D - Meuler les cuspides des dents postérieures maxillaires
E- Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

37. Lors de la pose d’une nouvelle prothèse complète :


A - Le patient doit privilégier les mouvements d’incision lors de la prise alimentaire
B - Le patient doit privilégier une mastication molaire bilatérale
C - Les nausées peuvent être solutionnées en amincissant le bord postérieur de la prothèse
maxillaire
D - On peut conseiller au patient de nettoyer sa prothèse à l’aide de savon liquide
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

38. Les premiers jours suivant la pose d’une prothèse amovible complète :
A - L’efficacité masticatoire est maximale puis diminue avec le temps
B - La phonation peut être perturbée
C - L’hyposalivation est fréquente
D - Une alimentation dure et non collante est conseillée
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

39. Les produits adhésifs pour prothèses amovibles :


A - Sont contre-indiqués chez les patients atteints de la maladie de Parkinson
B - Sont contre-indiqués en cas d’hyposécrétion salivaire
C - Ne doivent pas être utilisés lors des repas
D - Peuvent modifier la flore buccale
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

40. Les produits de nettoyage des prothèses amovibles à base de peroxyde alcalin :
A - Agissent sur le tartre
B - Ne doivent pas être utilisés en usage intensif
C - Peuvent avoir une action blanchissante sur la résine
D - Peuvent créer des porosités de la résine
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses

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