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ANNALES D’ODONTOLOGIE
FGSO 3
2021-2022
Faculté d’odontologie
Année universitaire
2021-2022
Université Lyon 1
Faculté d’odontologie
FGSO 3
FGSO3
DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 15
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2021-2022
FGSO3
DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 15
Figure 1 :
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DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 15
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- Concernant la même patiente, vous devez donc envisager la réalisation d’une prothèse
provisoire en urgence.
Quelle technique allez-vous utiliser ? Justifiez et décrivez les grandes étapes de réalisation.
5 points
Ensuite, cites les étapes de réalisation clinique et laboratoire jusqu’à la mise en place finale
la couronne céramo-céramique ? 5 points
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2021-2022
FGSO3
DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 20
1. Les tumeurs
A. Les tumeurs sont des corps étrangers ayant élu domicile chez le malade
B. Les tumeurs sont formées de cellules procaryotes
C. Les cellules tumorales peuvent se déplacer d’un organisme à un autre
D. Les cellules tumorales peuvent se déplacer au sein d’un organisme
E. Les tissus tumoraux ont une forme et une fonction normale
3. Bénin vs malin
A. Une tumeur est considérée comme maligne quand elle est localisée
B. Une tumeur est considérée comme bénigne quand elle est localisée
C. Une tumeur prend la désignation de maligne quand elle envahit le tissu adjacent
D. Une tumeur prend la désignation de bénigne quand elle envahit le tissu adjacent
E. Les tumeurs bénignes représentent 90 % des morts liées au cancer
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4. Les cancers d’origine épithéliale
A. La majorité des cancers sont d’origine épithéliale
B. Le carcinome est un des cancers les plus courants chez l’homme
C. Les cancers de la cavité orale sont principalement des carcinomes
D. Les adénocarcinomes sont liés à des épithéliums glandulaires
E. Les carcinomes épidermoïdes sont liés à des cellules sécrétrices
6. La transformation tumorale
A. Une hyperplasie contient des cellules proches de la normale, mais avec un nombre fortement
réduit
B. Dans une hyperplasie, les cellules ont perdu leur capacité à s’organiser en tissu
C. Dans une dysplasie, les cellules ont perdu leur capacité à s’organiser en tissu
D. La dysplasie est considérée comme un stade prémalin
E. Dans un tissu hyperplasique, le nombre de cellules est anormal
7. La transformation tumorale
A. Un néoplasme peut être bénin ou malin
B. Un cancer est forcément bénin
C. Une tumeur bénigne peut donner des métastases
D. Une métastase est toujours issue d’une tumeur primaire
E. La présence de cellules épithéliales envahissant le tissu conjonctif sous-jacent suggère la
malignité
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11. La lésion périapicale
A. Elle découle d'une réponse inflammatoire
B. Elle se traduit par une destruction osseuse
C. Elle peut s’observer en absence de dents
D. Elle n’est pas observable radiologiquement
E. Elle n’est observable que lors d’une analyse anatomopathologique
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18. Les kystes périapicaux
A. Ils sont issus de la prolifération de l’épithélium oral
B. Ils sont d’origine inflammatoire
C. Ils pourraient provenir de la cavitation d’une lésion épithélialisée par nécrose
D. Ils pourraient provenir de la prolifération de cellules épithéliales pour isoler un abcès
E. Ils peuvent dériver des restes épithéliaux de malassez
22. Mr M, 36 ans consulte pour une carie sur sa 24 qui est sensible à la mastication.
L’examen clinique révèle la présence d'une carie profonde sur la 24
La dent est sensible à la palpation et à la percussion
Le test de vitalité est négatif
L'examen radiologique révèle la présence d'une lésion périapicale en regard de la 24
A. la présence d'une lésion périapicale suggère que la dent est vivante
B. la présence d'une carie profonde sur la 24 permet de conclure que la dent est nécrosée
C. les signes cliniques suggèrent que la dent est en pulpite irréversible
D. Le tableau clinique suggère que la 24 présente un abcès périapical
E. Le tableau clinique suggère que la 24 présente une lésion chronique
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23. Mr M, 36 ans consulte pour une cellulite gauche.
A l’examen clinique, le test de vitalité de la 23 est négatif
L'examen radiologique révèle la présence d'une lésion périapicale en regard de la 23.
Vous soupçonnés que :
A. la 23 est nécrosée
B. la 23 est en pulpite
C. la 23 présente un abcés périapical
D. la 23 présente un granulome périapical
E. la cellulite a été provoquée par une fistule de la 23
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30. Les tumeurs odontogénique épithéliale calcifiante
A. Elles ne produisent pas de tissu calcifié
B. Elles présentent un dépôt de substance amyloïde
C. Elles sont issues des restes épithéliaux de la gaine de Hertwig
D. Elles sont malignes
E. Elles correspondent à une malformation de type hamartomateux
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35. Les Paroditites
A. Elles correspondent à des sialodochites
B. Elles sont bilatérales quand elles sont d’origine virale
C. Elles peuvent correspondre aux oreillons
D. Elles peuvent survenir en absence de tout obstacle à l’écoulement de la salive
E. Elles peuvent entraîner rougeur de la peau en regard de la glande
Vous recevez un patient de 33 ans pour une tuméfaction sous mandibulaire fluctuante. A
l’interrogatoire, il décrit des gonflements au moment des repas de la glande sous
mandibulaire, parfois accompagnés de douleurs.
37. Que recherchez-vous à l’examen physique pour vous conforter dans ce diagnostic ?
A. La présence d’une lithiase à l’aide d’une palpation bidigitale
B. Une inflammation du canal de Sténon
C. La présence de pus au niveau de l’orifice de Wharton
D. La présence d’une maladie parodontale
E. La présence d’une kératose tabagique
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40. Un patient se présente avec la lésion suivante :
A quoi pensez-vous ?
A. Une grenouillette
B. Une inflammation de la glande sublinguale
C. Une tumeur maligne
D. Une irritation mécanique liée à la présence de tartre sur les 31 et 41
E. Une parotidite ourlienne
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BAREME APOGEE : 10
QUESTION(S) :
GR 3.18 T/L (4,2-5,7); Hb 9 g/l(13-18) ; Ht 39.2% (40-52); VGM 93fl (N :80-100); Leucocytes 7
G/L(4-10) ; Plaq 245G/L(150-450)
TP 90 % ; TCA 42 sec (témoin 30 sec), Groupe A+
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Dr Lafon (5 points)
Un Homme de 73 ans consulte pour une « douleur » à type d’hypersensibilité labiale à la mandibule
inférieure gauche. Le patient décrit une légère asthénie, des douleurs lombaires et des douleurs au
niveau du sinus maxillaire D depuis quelques jours.
L’examen clinique révèle une volumineuse tuméfaction labiale inférieure droite positionnée à
l’émergence du nerf dentaire inférieur, comblant en partie le vestibule. La muqueuse de recouvrement
est normale. La palpation cervicale en sous mandibulaire retrouve des ganglions volumineux, mobiles,
élastiques, non douloureux.
L’examen radiologique (orthopantomogramme) montre plusieurs radioclartés en « médaillons
osseux » réparties dans la mandibule.
- Son médecin référent a demandé une NFS dont voici les résultats ci-dessous (tableau).
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BAREME APOGEE : 10
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QUESTION 2 (3 points – Correcteur Dr M. BEKHOUCHE) :
Citez deux types/groupes de xérostomie. Décrivez succinctement les manifestations
cliniques en lien avec les fonctions de la salive.
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QCM 14 : L’épithélium de jonction (4)
A. Contient des polynucléaires neutrophiles.
B. Contient des cellules arrondies et reliées les unes aux autres
C. Présente une couche suprabasale au turnover lent.
D. Contient des cellules desquamant au fond du sulcus.
E. Contient des fibroblastes fermement reliés les uns aux autres.
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DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 15
Vous recevez à votre cabinet un.e patient.e de 35 ans qui présente une érosion
généralisée des dents. Vous remarquez aussi des signes d’abrasions au niveau
des incisives inférieures. Pas de signes d’attrition, d’abfraction, ni d’hyposialie
notable. Pas de pathologie particulière ou de traitement en cours.
1.1. Quelles questions allez-vous lui poser pour déterminer l’étiologie de ces lésions ?
1.2. Dans le cas de ce.tte patient.e, que suggérez-vous comme mesures préventives ?
Après 20min de soins, la patiente ne se sent pas bien, elle présente des vertiges.
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QUESTION 3 : (Jean-Jacques MORRIER – 5 points)
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DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 15
Choisissez la ou les réponses justes et reporter vos réponses dans la grille ci-jointe
3. En cas d’accident d’exposition au sang, si la personne source est infectée par le VIH, le risque
moyen pour les soignants :
a) est < 0,09% en cas d’exposition cutanée sur peau non saine
b) est de 0,03 à 0,09% en cas d’exposition muqueuse
c) est de 0,32% en cas de blessure percutanée
d) est de 10% en cas de piqûre
e) est de 30% en cas de coupure
6. Ce sont les vaccinations recommandées pour les étudiants des professions médicales :
a) grippe saisonnière
b) coqueluche
c) rougeole
d) hépatite B
e) tuberculose
10. Ils protègent le soignant vis-à-vis des aérosols et/ou de leur infectiosité :
a) masques
b) lunettes
c) bain de bouche antiseptique au patient avant les soins
d) digue
e) maîtrise de la qualité microbiologique des fluides au fauteuil
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QUESTION 2 : (Dr Carrouel, 5 points)
Compléter le tableau directement dans le livret réponse :
Lavage simple
Friction
Hygiénique
Désinfection
chirurgicale par
Friction hydro-
alcoolique
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BAREME APOGEE : 10
QUESTION 1
1.1. Dans le cadre d’un programme éducatif à l’hygiène buccodentaire destiné à des CM2,
donnez trois exemples d’objectifs spécifiques différents (2 points)
1.2. Avant votre intervention, quelles questions allez-vous poser à l’infirmière scolaire ou à
l’enseignant responsable de la classe où vous interviendrez ? (3 points)
QUESTION 2
Vous animez une séance éducative sur le sommeil et les écrans dans une classe de 3 e. Vous
mettez spontanément en garde les élèves que regarder le soir son téléphone ou sa tablette nuit
au sommeil avec des conséquences néfastes sur l’état général le lendemain matin.
Un élève visiblement agacé par vos propos vous interpelle avec agressivité en affirmant que
l’utilisation d’écrans le soir ou même plus tard dans la nuit n’a aucune conséquence à son âge.
2.2. Comment aurait-on pu procéder pour limiter le risque de ce genre de réaction agressive ?
(2 points)
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Année universitaire
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Université Lyon 1
Faculté d’odontologie
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DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 15
Un patient se présente pour la réalisation d’une couronne céramo -métallique sur une 35. Le reste
de la bouche est sain et denté. Le traitement endodontique est correct.
Question 1 :
Quels sont les critères décisionnels pour le choix de la RCR directe (inlay core coulé) ou
indirecte (RMIPP) ?
Question 2 :
Question 3 :
10 étapes prothétiques sont listées ci-après et classées par ordre alphabétique. Veuillez les
reclasser par ordre chronologique.
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DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 15
Figure 1 :
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DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 10
Un patient de 50 ans consulte aux urgences pour une hémorragie buccale suite à l’extraction des dents
15-16 et 17, 2 jours auparavant. Il a saigné toute la dernière nuit. Il présente comme antécédents une
valve cardiaque aortique mécanique. Il est asthénique et pâle. Le bilan sanguin, demandé par
GR 3.18 T/L (4,2-5,7) ; Hb 8 g/l (13-18); Ht 39.2%(40-52) ; VGM 93fl (80-100); Leucocytes 7 G/L (4-
10); Plaq 245G/L (150-450)
TP 90 % ; TCA 28 sec (témoin 30 sec), INR à 4,8
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QUESTION 2 - Dr Lafon (25 points)
Un Homme de 62 ans est adressé par son médecin référent pour une tuméfaction gingivale persistante.
L’interrogatoire relève une légère asthénie. Plusieurs détartrages n’ont pas donné de résultat.
Les muqueuses buccales sont pâles, les gencives sont nécrotiques, gonflées et saignent spontanément. Des
adénopathies bilatérales, mobiles et élastiques sont retrouvées à la palpation de la région cervicale.
- Quel serait votre prise en charge lors de la première consultation ? Faut-il demander un examen
sanguin ? si oui le (les) quel(s)?
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DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 10
Légendez cette coupe mésio-distale du ligament parodontal de rat colorée au Trichrome de Masson.
Sélectionnez les légendes appropriées parmi la liste de propositions (une proposition possible par légende).
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QUESTION 2 (1,5 points – Correcteur Dr M. BEKHOUCHE) :
Citez le nom des 3 glandes salivaires principales et de leurs canaux collecteurs débouchant
dans la cavité orale.
QCMs – Indiquez lisiblement pour chaque QCM la/les lettres (A-E) correspondant aux
affirmations justes (de 1 à 5). Chaque QCM vaut 0,25 point.
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QCM 6 : Le cément (2)
A. est richement vascularisé dans le 1/3 coronaire de la racine
B. est richement vascularisé dans le 1/3 apical de de la racine
C. est richement innervé dans le 1/3 coronaire de la racine
D. est richement innervé dans le 1/3 apical de la racine
E. croît continuellement en épaisseur
A. les canaux de Sténon sont les collecteurs principaux des glandes sublinguales
B. les canaux de Wharton sont les collecteurs principaux des glandes parotides
C. les canaux de Rivinus sont les collecteurs principaux des sous-maxillaires
D. les canaux de Wharton sont plus long que les canaux de Rivinus
E. les canaux de Sténon ont la particularité de ne pas être de type épidermoïde
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Lavage simple
Friction
Hygiénique
Désinfection
chirurgicale par
Friction hydro-
alcoolique
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DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 15
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Année universitaire
2021-2022
Université Lyon 1
Faculté d’odontologie
FGSO 3
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DUREE : 1h30
BAREME APOGEE : 15
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QUESTION 2 : Dr T. FORTIN (7,5 points)
Décrire les différents stades de la cellulite dont la dent causale serait la 16.
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DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 30
QUESTION(S) :
1/ Indiquez (sous forme de tirets) les points communs et les différences qui existent entre gingivite
et parodontite en termes d’étiologie, de diagnostic et de thérapeutique. (Pr Gritsch - 18 points)
4/ Citez une pathologie systémique en lien avec la parodontite (lien bidirectionnel). (Pr Gritsch - 3
points)
2021 - 2022
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DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 10
QUESTION(S) :
Correcteur : B. GROSGOGEAT
En septembre 2019, Maxill’R Mag titrait « Métaux en bouche : une fin programmée ».
2/ Quelles pourraient être les alternatives, présentez-les par indication clinique ? 5 points
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DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 10
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Question 2 : Pr Villat – 3 points
Tableau récapitulatif des signes et symptômes parodontites apicales aigües et chroniques
(3 points)
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2021 - 2022
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DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 40
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3. Lors du traitement d’un patient édenté complet par prothèses amovibles :
A - La fibro-muqueuse doit idéalement être adhérente à l’os sous-jacent
B - Les crêtes résorbées sont défavorables à l’équilibre prothétique
C - Une langue volumineuse est favorable à la stabilisation de la prothèse mandibulaire
D - Un plancher lingual en position haute est favorable à la stabilisation de la prothèse mandibulaire
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses
12. Les Pâtes oxyde de zinc-eugénol sont des matériaux d’empreinte qui :
A - S’utilisent avec un adhésif
B - Possèdent d’excellentes propriétés physiques
C - Ont une viscosité élevée
D - Sont collants
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses
13. (1) En prothèse complète, les Pâtes oxyde de zinc-eugénol sont des matériaux d’empreinte à
proscrire car (2) les Pâtes oxyde de zinc-eugénol sont des matériaux d’empreinte élastiques.
A - La proposition (1) est vraie tandis que la (2) est fausse
B - La proposition (1) est fausse tandis que la (2) est vraie
C - Les propositions (1) et (2) sont fausses
D - Les 2 propositions sont vraies avec lien de cause à effet
E - Les 2 propositions sont vraies sans lien de cause à effet
14. Lors du marginage du porte-empreinte individuel (PEI) maxillaire chez un édenté complet :
A- Il est possible d’associer un polyéther pour le joint périphérique et la pâte thermoplastique de
Kerr® verte pour le joint vélo-palatin
B - Le matériau d’empreinte doit être mis en place dans l’intrados du PEI au niveau du joint vélo-
palatin
C - Il est impératif d’utiliser des matériaux hydrophiles
D - Le patient doit réaliser, entre autres, des mouvements de latéralité mandibulaire
E - La Pâte oxyde de zinc-eugénol est parfaitement indiquée
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18. Pour enregistrer le joint périphérique mandibulaire, les mouvements fonctionnels comprennent :
A - Des mouvements de latéralité
B - La prononciation du son « S »
C - La déglutition
D - Le recul des commissures labiales
E - La prononciation du son « A »
20. (1) Un articulateur non adaptable préréglé à 40° et 15° est suffisant en prothèse amovible totale
car (2) l’occlusion en prothèse amovible totale est bilatéralement équilibrée.
A - La proposition (1) est vraie tandis que la (2) est fausse
B - La proposition (1) est fausse tandis que la (2) est vraie
C - Les propositions (1) et (2) sont fausses
D - Les 2 propositions sont vraies avec lien de cause à effet
E - Les 2 propositions sont vraies sans lien de cause à effet
22. Chez l’édenté complet, le réglage des maquettes d’occlusion débute par :
A - La maquette mandibulaire
B - Le contrôle du soutien labial
C - Un test phonétique
D - L'utilisation d'un plan de Fox
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses
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25. L’orientation correcte du plan d’occlusion à un rôle :
A - Esthétique
B - Sur le confort des prothèses
C - Sur la phonation
D - Sur la relation centrée
E - Sur la dimension verticale d’occlusion
31. Selon l’indice de Lee, la largeur d’une incisive centrale maxillaire correspond :
A - Au sixième (1/6) de la largeur du nez
B - Au huitième (1/8) de la largeur du nez
C - A la largeur d’une canine
D - Au quart (1/4) de la largeur du nez
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses
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40. Lors de l’essai fonctionnel en prothèse amovible complète :
A - L’émission des « FE » et « VE » met en contact la lèvre inférieure et le bord libre des incisives
supérieures.
B - Il faut privilégier les contacts occlusaux lors de la phonation.
C - Il faut s’assurer d’une désocclusion lors de la phonation.
D - L’orientation du plan d’occlusion doit être parallèle au plan sagittal médian
E - L’orientation du plan d’occlusion doit être parallèle à la ligne de Pound
42. Les surfaces polies stabilisatrices des prothèses mandibulaires sont caractérisées par :
A - Une convexité antérieure en regard de l’orbiculaire des lèvres
B - Une concavité linguale dans le plan horizontal et dans le plan sagittal
C - Une concavité vestibulaire en regard des prémolaires
D - Une convexité vestibulaire en regard des molaires
E - Une concavité vestibulaire en regard des canines
43. Lors de la réalisation des surfaces polies stabilisatrices maxillaires, il faut créer :
A - Une concavité pour l’orbiculaire des lèvres
B - Une convexité en regard des canines
C - Une épaisseur de la plaque palatine supérieure à 3 mm pour éviter tout risque de fracture
D - Un alignement des collets, à l’exception des incisives latérales
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses
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47. Lors de la pose d’une nouvelle prothèse complète :
A - Le patient doit privilégier les mouvements d’incision lors de la prise alimentaire
B - Il faut conseiller au patient une mastication molaire bilatérale
C - Les nausées doivent être solutionnées en raccourcissant le bord postérieur de la prothèse
maxillaire
D - On peut conseiller au patient de nettoyer sa prothèse à l’aide de savon liquide
E - On peut conseiller le nettoyage des gencives et du palais avec une brosse souple.
48. Les premiers jours suivant la pose d’une prothèse amovible complète :
A - L’efficacité masticatoire est maximale puis diminue avec le temps
B - La phonation peut être perturbée
C - L’hyposalivation est fréquente
D - Une alimentation dure et non collante est conseillée
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses
50. -Les produits de nettoyage des prothèses amovibles à base de peroxyde alcalin :
A - Agissent sur le tartre
B - Ne doivent pas être utilisés en usage intensif
C - Peuvent avoir une action blanchissante sur la résine
D - Peuvent créer des porosités de la résine
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses
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DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 15
QUESTION(S) :
Des parents épuisés et désemparés vous amènent en urgence un enfant de 4 ans (25 kg), sans
antécédents, pour une douleur dentaire récalcitrante au paracétamol. Elle est causée par une
parulie en regard de 75 nécrosée.
Plusieurs RDV chez des confères n’ont pas permis de soigner l’enfant qui est très anxieux.
L’examen clinique s’avère effectivement impossible. Une tuméfaction est présente au niveau jugal
et l’enfant ne dors et ne mange plus depuis 2 jours.
a- Un antibiotique doit être prescrit. Citez-le (ou les) molécules qui doivent être évitées chez
l’enfant et celles que l’on peut prescrire.
c- Expliquer les mécanismes physiopathologiques impliqués dans la toxicité des AINS (ADVIL
sirop) chez l’enfant ?
d- Citez les principales données à connaître pour prescrire chez l’enfant (galénique,
posologie, observance)?
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Vous lui prescrivez du Fluconazole (TRIFLUCAN®) en gélules 150mg, deux comprimés par jour
pendant 3 semaines.
2. Quel (s) examen (s) biologique (s) doit-on prescrire avant un geste chirurgical chez ce
patient ?
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FGSO3
DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 20
Des réponses précises et structurées sont attendues – Une page recto maximum
Vous voyez en consultation un nouveau patient de 78 ans. Lors de l’interrogatoire médical, vous
apprenez qu’il est traité pour une hypertension artérielle par inhibiteur calcique (Tildiem®) et un
diurétique (Lasilix®). Son dernier résultat de tension artérielle par automesure était de 135/85 mm
Hg. Pas d’autres antécédents à part un tabagisme modéré.
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QUESTION 2 (Docteur Lafon) :
Cette Patiente de 69 ans consulte pour des mobilités terminales du bloc incisif supérieur.
Les antécédents notent : un diabète de Type 2 équilibré traité par un Sulfamide hypoglycémiant
(DIAMICRON, Gliclazide,) et une HTA stabilisée par un inhibiteur de l’enzyme de conversion.
Son médecin référent vous fait part de la découverte récente d’une insuffisance rénale terminale
(Créatinémie à 10 ml/min) et précise que la patiente a été mise sous hémodialyse chaque mardi et
vendredi.
L’examen clinique révèle un indice de plaque égal à 3 et un indice gingival à 3.
b. Quel(s) est (sont) le(les) risque(s) prévisible(s) en cas d’avulsions chez cette
patiente (hémodialyse) ? (2,5 points)
d. Citez les principaux facteurs de risque de l’insuffisance rénale ainsi que les
répercussions en odontologie. (2,5 points)
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2021 - 2022
FGSO3
DATE :
DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 10
NB : La copie est notée sur 20 points. La note est ramenée ensuite sur 10
FGSO3
DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 15
Vous recevez à votre cabinet Arthur, qui est accompagné de sa maman. Arthur est fils unique. Il est
curieux, parle beaucoup et n’hésite pas à vous poser de très nombreuses questions, quitte à couper la
parole de sa mère, qui semble totalement sous le charme de son fils. Arthur vous est amené car il se
plaint depuis plusieurs semaines de douleurs dentaires provoquées, parfois spontanées. Arthur vous
assure qu’il se brosse les dents tous les matins mais regarde ses pieds quand vous parlez du brossage
du soir. La maman d’Arthur vous confie qu’Arthur est un petit mangeur. Il ne mange souvent pas
beaucoup pendant les repas et a faim une heure après être sorti de table. Mais la maman insiste sur le
fait qu’il ne mange jamais de bonbons. Arthur préfère en effet les aliments salés comme les gâteaux
apéritifs, qu’il mange volontiers entre les repas.
La maman vous a apporté le carnet de santé. L’enfant ne présente pas de problème de santé ni allergie
et est à jour de ses vaccinations. Il n’y a pas d’antécédents d’hospitalisation.
L’enfant a déjà vu un dentiste il y a quelques années.
A l’examen exobuccal, vous ne notez rien de particulier.
A l’examen clinique endobuccal, vous observez de nombreuses lésions cavitaires sur des dents
temporaires et sur 36 (ICDAS 5 ou 6). L’ensemble des lésions sont molles au sondage et/ou
recouvertes de plaque.
Vous réalisez alors un orthopantomogramme.
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QUESTION 1 : (0,5 point) Quel est le motif de la consultation ?
QUESTION 4 : (0,5 point) Quel est le stade d’évolution des arcades d’Arthur ?
QUESTION 6 : (0,5 point) La formule dentaire est-elle complète pour les dents
permanentes ?
QUESTION 7 : (12 points) A l’aide des données cliniques qui vous sont rapportées et
de l’orthopantomogramme, expliquez votre approche de la pathologie de cette
patiente, étape par étape. Vous pourrez vous aider des tableaux ci-joints
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2021 - 2022
FGSO3
DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 40
Modalités :
Répondre sur la grille de QCM nominative, de préférence au stylo noir.
Cocher les propositions justes.
1 ou plusieurs bonne(s) réponse(s) possible(s)
Chaque QCM est validé lorsque ses 5 éléments de réponse (A-B-C-D-E) correspondent
au corrigé type. Chaque QCM est donc juste ou faux (= notation binaire).
QCM 1
« Orthodontie » et « Orthopédie Dento-Faciale » :
A - sont deux synonymes parfaits.
B - sont utilisés comme synonymes par abus de langage.
C - le premier terme englobe le deuxième.
D - le deuxième terme englobe le premier.
E - sont deux termes bien distincts.
QCM 2
Le plan sagittal médian :
A - est un plan vertical.
B - sépare la moitié gauche de la moitié droite du corps.
C - permet d’observer les anomalies de la dimension transversale.
D - permet d’observer les anomalies de la dimension verticale.
E - permet d’observer les anomalies de la dimension sagittale.
QCM 3
« Endognathie » signifie :
A - face courte.
B - mâchoire étroite.
C - crâne court.
D - maxillaire étroit.
E - mandibule courte.
QCM 4
« Dolichocéphale » signifie :
A - crâne long.
B - crâne étroit.
C - crâne court.
D - face longue.
E - face étroite.
QCM 5
« Mésoprosope » signifie :
A - crâne large.
B - crâne court.
C - face large.
D - face courte.
E - face moyenne.
QCM 6
« Rétrochéïlie » signifie :
A - lèvre courte.
B - nez en arrière.
C - lèvre en arrière.
D - petit nez.
E - nez court.
QCM 7
La denture humaine est :
A - homodonte.
B - hétérodonte.
C - partiellement monophyodonte.
D - diphyodonte.
E - polyphyodonte.
QCM 8
La dent numéro 53 est :
A - déciduale.
B - accessionnelle.
C - successionnelle.
D - définitive.
E - permanente.
QCM 9
A 5 ans, la denture temporaire stable se caractérise :
A - par des usures dentaires.
B - par une absence de courbes de compensation.
C - par des dents verticales.
D - par la présence de diastèmes dans les secteurs antérieurs.
E - par un surplomb et un recouvrement limités.
QCM 10
Un plan de Chapman à marche mésiale :
A - préfigure une classe I.
B - préfigure une classe II.
C - préfigure une classe III.
D - est construit à partir des tangentes à la face distale des 1ères molaires définitives.
E - est construit à partir des tangentes à la face distale des 2èmes molaires temporaires.
QCM 11
La dette incisive se règle grâce :
A - au diamètre mésio-distal différent des dents temporaires et des dents définitives.
B - aux diastèmes présents entre les incisives définitives.
C - à l’augmentation de la distance inter canine au cours de la croissance.
D - à la linguoversion des incisives permanentes.
E - à la vestibuloversion des incisives permanentes.
QCM 12
L’espace de dérive mésiale :
A - est une dette d’espace.
B - est un crédit d’espace.
C - a une valeur inférieure au maxillaire qu’à la mandibule.
D - favorise l’acquisition d’une classe I.
E - minore une classe III.
QCM 13
A 18 ans, la denture adulte complète idéale se caractérise :
A - par des arcades de forme parabolique.
B - par l’absence de courbes de compensation.
C - par des usures généralisées des dents définitives.
D - par la présence de diastèmes dans les secteurs antérieurs.
E - par un surplomb et un recouvrement d’environ 2mm.
QCM 14
Tout au long de la vie, la denture adulte complète :
A - s’use au niveau des faces occlusales.
B - s’use au niveau des faces proximales.
C - voit une transformation des points de contact en surfaces de contact.
D - présente des égressions compensatrices des dents.
E - présente une dérive distale des dents.
QCM 15
L’Angle naso-labial a une valeur idéale de :
A - 85 à 110°.
B - 130°.
C - 110° ± 8°.
D - 90° ± 10°.
E - 150°.
QCM 16
L’angle labio-mentonnier a une valeur idéale de :
A - 85 à 110°.
B - 130°.
C - 110° ± 8°.
D - 90° ± 10°.
E - 150°.
QCM 17
Le plan d’Izard :
A - est perpendiculaire au plan de Francfort.
B - passe par le point sous-orbitaire.
C - passe en arrière du menton et des lèvres dans le cas d’un profil transfrontal.
D - affleure le menton et les lèvres dans le cas d’un profil orthofrontal.
E - passe en avant du menton et des lèvres dans le cas d’un profil cisfrontal.
QCM 18
La ligne E de Ricketts passe :
A - par la pointe du nez et la pointe du menton.
B - 4 mm ± 2 en avant de la lèvre supérieure.
C - 2 mm ± 2 en avant de la lèvre supérieure.
D - 4 mm ± 2 en avant de la lèvre inférieure.
E - 2 mm ± 2 en avant de la lèvre inférieure.
QCM 19
En cas de croissance en rotation antérieure nette :
A - la distance cervico-mentonnière est augmentée.
B - la distance cervico-mentonnière est diminuée.
C - le sillon labio-mentonnier est accentué.
D - le sillon labio-mentonnier est effacé.
E - le plan mandibulaire est incliné en bas et en avant.
QCM 20
Chez le jeune adulte, un visage équilibré verticalement présente :
A - Une égalité des 3 étages suivants : ligne d’implantation des cheveux - point ophryon / point
ophryon - point sous-nasal / point sous-nasal - point menton.
B - Une égalité des 2 parties constituées par la lèvre supérieure + la lèvre rouge inférieure
d’une part et la lèvre blanche inférieure + le menton d’autre part.
C - Une égalité de la hauteur de la lèvre supérieure, de la lèvre inférieure et du menton.
D - Des plis faciaux (nasogéniens et labio-mentonniers) harmonieux.
E - Une compétence labiale au repos.
QCM 21
Dans le sourire « idéal » :
A - la lèvre supérieure découvre la totalité de la couronne des incisives maxillaires et affleure
leur collet.
B - le point inter-incisif maxillaire est aligné avec le plan sagittal médian.
C - il existe des corridors noirs de chaque côté.
D - la lèvre inférieure est parallèle aux bords libres des incisives et canines maxillaires.
E - les collets sont alignés.
QCM 22
Dans une classe I d’Angle :
A - la cuspide mésio-vestibulaire de la 1ère molaire supérieure s’articule avec le sillon
vestibulaire de son homologue inférieure.
B - la cuspide disto-vestibulaire de la 1ère molaire supérieure s’articule avec le sillon
vestibulaire de son homologue inférieure.
C - les dents mandibulaires présentent un décalage distal d'une demi-cuspide par rapports
aux dents maxillaires.
D - les dents mandibulaires présentent un décalage mésial d'une demi-cuspide par rapports
aux dents maxillaires.
E - les dents mandibulaires présentent un décalage mésial d'une cuspide par rapports aux
dents maxillaires.
QCM 23
Dans une classe II division 1 d’Angle, on observe :
A - une distoclusion des molaires maxillaires par rapport à la classe I.
B - une mésioclusion des molaires maxillaires par rapport à la classe I.
C - une mésioclusion des molaires mandibulaires par rapport à la classe I.
D - une proversion des incisives maxillaires.
E - une linguoversion des incisives maxillaires.
QCM 24
Dans une classe II division 2 d’Angle, on observe :
A - une distoclusion des molaires maxillaires par rapport à la classe I.
B - une mésioclusion des molaires maxillaires par rapport à la classe I.
C - une mésioclusion des molaires mandibulaires par rapport à la classe I.
D - une proversion des incisives maxillaires.
E - une linguoversion des incisives maxillaires.
QCM 25
Dans une classe III d’Angle, on observe :
A - une distoclusion des molaires mandibulaires par rapport à la classe I.
B - une mésioclusion des molaires maxillaires par rapport à la classe I.
C - une mésioclusion des molaires mandibulaires par rapport à la classe I.
D - toujours une occlusion antérieure inversée.
E - une occlusion antérieure normale, en cas de compensations incisives.
QCM 26
Parmi les parafonctions, on retrouve :
A - la mastication unilatérale dominante.
B - les succions non nutritives.
C - les mimiques.
D - l’onychophagie.
E - le bruxisme.
QCM 27
Une succion du pouce persistante peut être à l’origine :
A - d’une béance.
B - d’une proalvéolie mandibulaire.
C - d’une diminution du surplomb.
D - d’une dysfonction linguale.
E - d’une position basse de la langue.
QCM 28
La ventilation orale :
A - est une ventilation de secours.
B - perturbe souvent nettement la morphogénèse cranio-faciale.
C - modifie la posture céphalique.
D - est toujours liée à une obstruction des voies aériennes supérieures.
E - augmente le risque de SAHOS (Syndrome d’apnées-hypopnées obstructives du sommeil).
QCM 29
La déglutition mature se caractérise par :
A - des arcades en inocclusion.
B - une contraction des muscles élévateurs.
C - une contraction des muscles des lèvres et du menton.
D - l’appui de la pointe de la langue sur la papille rétro-incisive.
E - une pulsion de la langue contre les dents.
QCM 30
La déglutition infantile se caractérise par :
A - des arcades en inocclusion.
B - une contraction des muscles élévateurs.
C - une contraction des muscles des lèvres et des joues.
D - l’appui de la pointe de la langue sur la papille rétro-incisive.
E - une interposition de la langue entre les arcades.
QCM 31
La phonation est une fonction :
A - qui exige une maturation.
B - qui exige un apprentissage.
C - indépendante de la déglutition.
D - indépendante de la mastication.
E - qui ne nécessite aucun contact entre la langue et les dents, en langue française.
QCM 32
La mastication unilatérale dominante :
A - se diagnostique idéalement grâce à un chewing-gum ou une pomme.
B - se fait du côté de l’angle fonctionnel masticateur de Planas le plus élevé.
C - n’a pas de conséquence sur la croissance maxillo-faciale
D - est à l’origine d’une classe II d’Angle du côté mastiquant et d’une classe I du côté opposé.
E - s’auto-entretient.
QCM 33
Les modèles d’étude :
A - sont réalisés systématiquement dans le cadre du diagnostic orthodontique.
B - sont toujours virtuels.
C - ont une valeur médico-légale.
D - permettent d’évaluer l’angle fonctionnel masticateur de Planas.
E - permettent d’évaluer la dysharmonie dento-maxillaire (ou dents-arcades).
QCM 34
L’orthopantomogramme ou panoramique dentaire :
A - est une tomographie épaisse.
B - amène de nombreuses informations.
C - est peu irradiant.
D - ne permet pas d’effectuer des mesures précises.
E - permet une localisation, parfois imprécise des inclusions.
QCM 35
Les téléradiographies de profil :
A - permettent d’obtenir des images quasi à taille réelle.
B - permettent d’obtenir des images standardisées.
C - sont des examens très irradiants.
D - donnent des informations sur la dimension sagittale et verticale.
E - permettent de situer le patient sur sa courbe de croissance.
QCM 36
L’analyse de Tweed :
A - est une analyse céphalométrique dimensionnelle.
B - s’appuie sur des clichés standardisés reproductibles.
C - se trace sur une téléradiographie de profil.
D - détermine la classe squelettique d’un patient (I, II ou III), grâce à la valeur de l’angle FMA.
E - détermine la divergence faciale (normo, hypo ou hyper), grâce à la valeur de l’angle ANB.
QCM 37
La radio de la main et du poignet :
A - permet d’évaluer précisément l’âge dentaire du patient et de le situer ainsi sur sa courbe
de croissance.
B - n’est pas systématiquement prescrite en orthopédie dento-faciale.
C - annonce le sommet du pic de croissance péri-pubertaire quand l’épiphyse de la phalange
médiale (MP) du 3e doigt déborde l’extrémité de la diaphyse (stade CAPsulaire).
D - annonce le sommet du pic de croissance péri-pubertaire quand l’épiphyse de la phalange
distale (DP) du 3e doigt se soude à la diaphyse (stade Union).
E - annonce la fin de la croissance faciale quand le cartilage de conjugaison radial est calcifié
(Stade Union).
QCM 38
Le scanner à rayons X (tomodensitométrie) :
A - trouve des applications dans tous les domaines de la médecine.
B - utilise un faisceau fin de rayons X.
C - donne d’excellentes images des tissus durs et des tissus mous.
D - voit la qualité de ses images impactée par la présence d’éléments métalliques dans la
cavité buccale.
E - est un examen très irradiant.
QCM 39
Le Cone Beam :
A - est une tomographie.
B - s’applique à de nombreux domaine.
C - est très irradiant.
D - permet d’effectuer des mesures précises.
E - permet une localisation précise des inclusions.
QCM 40
L’IRM (Imagerie par Résonance Magnétique nucléaire)
A - donne des images en 2 ou 3 dimensions.
B - s’applique à de nombreux domaine.
C - est très irradiante.
D - est particulièrement utilisée pour le diagnostic des atteintes discales des ATM.
E - est particulièrement utilisée pour le diagnostic des atteintes musculaires des ATM.
QCM 41
La puberté :
A. Se produit plus tôt qu’auparavant
B. Est influencée par les facteurs nutritionnels, socio-économiques (recul des maladies
infantiles), environnementaux et psycho-affectifs
C. Est la période qui enregistre le minimum de taux de croissance
D. Correspond à peu près au stade MP3 cap
E. Correspond à peu près au stade DP3u
QCM 42
La radiographie des vertèbres :
A. Est utilisable jusqu’à 18 ans
B. Est plus précise que la radiographie du poignet pour évaluer le stade de croissance
C. Est utilisable à partir de 5 ans
D. A l’inconvénient d’irradier les glandes sudoripares
E. Permet de situer le patient sur sa courbe de croissance
QCM 43
Les incisives centrales maxillaires ont en général :
A. Un début de calcification à 2 ans
B. Une couronne achevée à 4-5 ans
C. Un âge d’éruption à 9 ans
D. Une racine achevée à 14 ans
E. Une éruption à peu près concomitante aux premières molaires
QCM 44
La théorie de Scott :
A. A été proposée en 1982
B. fait partie des théories de croissance explicatives fonctionnelles
C. dissocie syndesmoses et synchondroses.
D. fait partie des théories de croissance génétiques
E. soutient que le cartilage septal joue un rôle primaire de croissance, il est responsable de
la croissance.
QCM 45
Les sutures membraneuses :
A. sont les lignes de séparation.
B. sont des zones fertiles de croissance cartilagineuses.
C. représentent les reliquats de la lame conjonctive primitive qui séparent les os de la face et
de la voute du crâne
D. jouent un rôle physiologique important dans la croissance de la face
E. demeurent pendant de nombreuses années une zone d'active prolifération cartilagineuse.
QCM 46
Les fontanelles :
A. Sont situées entre les os de la base du crâne
B. Bregma est aussi appelée grande fontanelle ou fontanelle postérieure
C. Lambda est située entre les deux pariétaux et l'occipital
D. Les Ptérions sont les fontanelles antéro-latérales situées entre pariétal, frontal, sphénoïde
et temporal
E. Les Astérions sont les fontanelles postéro-latérales situées entre occipital, temporal et
pariétal
QCM 47
Dans la dysostose cléïdo-cranienne :
A. Les os sont minces avec retard d'ossification périostée
B. On note des retards importants des synostoses crâniennes et faciales.
C. L’arcade zygomatique peut présenter une gracilité
D. Est observée une absence (partielle ou totale) de clavicule.
E. Est notée une hypertension intracrânienne avec troubles sensoriels
QCM 48
Lors du long phénomène de flexion de la base du crâne, les os du crane effectuent les
déplacements suivants :
A. Ethmoïde : rotation anti-horaire
B. Frontal : montée
C. Vomer : poussée en avant et en bas
D. Voûte palatine : tractée en bas et en arrière
E. Temporal : rotation externe
QCM 49
L’ACHONDROPLASIE :
A. Est une affection acquise résultant d'un adénome hypophysaire (sécrétion excessive de
l'hormone hypophysaire de croissance)
B. Est liée à la rétraction de la gaine du muscle sterno-cléido-mastoïdien et entraîne une
asymétrie considérable de la base du crâne.
C. Est une chondrodysplasie héréditaire
D. Est caractérisée par des troubles de la croissance du tissu cartilagineux qui atteint le
chondrocrâne et des cartilages de conjugaison des os longs
E. Est le nom générique du syndrome de CROUZON et du syndrome d'APERT
QCM 50
Sont d’origine membraneuse :
A. Les cornets inférieurs
B. Le vomer
C. L’os palatin
D. Le zygomatique
E. L’os lacrymal
QCM 51
La suture intermaxillaire
A. Se synostose à 6 mois
B. Est sollicitée lors de la disjonction
C. Participe à la croissance transversale du massif facial supérieur
D. Fait partie des sutures sagittales du massif facial supérieur
E. Est parallèle à la suture palatine transverse
QCM 52
Les procès alvéolaires :
A. Sont d’origine membraneuses
B. Subissent une résorption sur les trois faces : interne, inférieure et postérieure
C. Sont soumis aux forces musculaires, aux fonctions, aux parafonctions et aux postures
habituelles
D. contribuent aux compensations dentoalvéolaires pour limiter occlusalement le décalage
des bases maxillaire et mandibulaire
E. sont d’origine cartilagineuse
QCM 53
La croissance de la symphyse mandibulaire :
A. La synchondrose symphysaire contribue à l'accroissement en largeur de la mandibule
pendant les 1ers mois de la vie pour répondre aux importantes variations de volume lingual.
B. La synchondrose symphysaire cesse d'être active dès la fin de la 1ère année (SCOTT).
C. La symphyse mandibulaire subit sur la face postérieure une apposition au niveau de la
corticale interne d’où l’épaississement symphysaire.
D. La symphyse mandibulaire subit en dessous du point B (bord antéroinférieur) une
apposition.
E. La symphyse mandibulaire subit sur son bord inférieur une apposition qui augmente la
hauteur de la symphyse et s'étend jusqu'à la partie antérieure du rebord de la mandibule.
QCM 54
Remodelages de la branche montante de la mandibule :
A. Sur la face latérale, est notée une résorption périostée
B. Sur la face interne : est notée une apposition vers le bas jusqu'à coiffer la tubérosité
linguale du corps mandibulaire.
C. Sur le bord antéro-inférieur, est notée une résorption
D. Sur le bord postéro-inférieur, est notée une apposition
E. La résultante est une dérive latérale qui rapproche les gonions l'un de l'autre (principe du
"V" de ENLOW).
QCM 55
Font partie des atteintes cartilagineuses localisées du cartilage condylien :
A. L’acromégalie
B. L’ostéite nécrosante condylienne précoce
C. L’ankylose temporo-mandibulaire
D. L’acondylie et hypocondylie congénitales
E. L’hypercondylie
QCM 56
Font partie des zones anatomiques stables :
A. La portion horizontale de la grande aile du sphénoïde
B. Le canal mandibulaire
C. Le contour inférieur du germe de 4 et 5 (1ère et 2ème prémolaires)
D. La crête zygomatique
E. La lame criblée de l’ethmoïde
QCM 57
Lors d’une rotation postérieure :
A. le condyle est dirigé vers l'arrière et est relativement fin.
B. le canal dentaire a un trajet rectiligne.
C. l'angle mandibulaire est fermé.
D. L’échancrure pré angulaire est marquée.
E. la symphyse est orientée en haut et en arrière.
QCM 58
La ligne ML1 (ligne matricielle)
A. Modélise la matrice des tissus mous.
B. Modélise le squelette osseux mandibulaire
C. Est tangente au rebord basilaire du corps mandibulaire symphyse exclue
D. Permet d’observer la rotation totale (antérieure ou postérieure)
E. A été initialement décrite par Petrovic
QCM 59
La rotation matricielle mandibulaire :
A. correspond à la rotation des tissus mous de recouvrement de la mandibule par rapport à
la référence basicrânienne.
B. Est mesurée par la modification d'inclinaison de la ligne implantaire par rapport à la base
du crâne.
C. Est matérialisée par la modification d'inclinaison de la ligne ML1 de BJØRK (ligne
matricielle) par rapport à la base du crâne (SN en général).
D. témoigne des modelages périostés mandibulaires.
E. présente souvent un mouvement pendulaire ayant, approximativement, pour centre les
condyles.
QCM 60
Sur la radiographie de la main et du poignet :
A. Le sésamoïde apparait 2 ans après le pic de croissance.
B. RU est 3 ans avant le pic de croissance.
C. MP3cap correspond au pic de croissance.
D. Le stade cap ou capsulaire signifie que l’épiphyse de la phalange déborde l’extrémité de
la diaphyse.
E. Le stade lenticulaire est aussi appelé Union ou U
QCM 61
L’âge dentaire de calcification :
A. Est plus fiable que l’âge dentaire d’éruption pour évaluer l’âge dentaire.
B. Peut être différent de l’âge d’éruption surtout pour les 2èmes prémolaires et les 2èmes
molaires.
C. L’émergence clinique de la couronne se fait au stade de calcification correspondant à 1/3
de la hauteur radiculaire.
D. Son évaluation précise est possible de la naissance jusqu'à l'achèvement de 3ème molaire.
E. Le degré de calcification des germes peut être influencé par des facteurs exogènes comme
une extraction.
QCM 62
L’impubérisme :
A. Est l'absence de puberté.
B. Peut être liée à une dénutrition profonde
C. Peut être liée à une insuffisance thyroïdienne
D. Peut être liée à une pathologie hypophysaire
E. Peut être liée à un syndrome de TURNER
QCM 63
La théorie de croissance de Weinmann et Sicher :
A. Est purement génétique.
B. La suture est un centre passif de croissance.
C. décrit des matrices capsulaires et périostées.
D. Il existe une égalité hiérarchique entre synchondrose et syndesmose.
E. La croissance de la face s'effectue en bas et en avant grâce au parallélisme des sutures :
fronto-maxillaire, coronale, zygomatico-maxillaire, ptérygo-palatine.
QCM 64
Dans la conception de Couly :
A. Les conformateurs organo-sensoriels sont les moteurs de la croissance.
B. Les conformateurs organo-sensoriels peuvent être classés en neurosensoriels,
splanchniques, mixte
C. Les conformateurs organo-sensoriels agissent sur les os cartilagineux qui sont les parois
adaptables du squelette céphalique et facial.
D. Les muscles masticateurs sont des conformateurs organo-sensoriels splanchniques.
E. La langue est considérée comme un conformateur organo-sensoriel splanchnique.
QCM 65
Au cours du 3ème mois de vie intra-utérine, l'ébauche du squelette céphalique du fœtus
est en place. Il comporte :
A. un châssis de cartilage primaire appelé le chondrocrâne.
B. des tiges de cartilage primaire, cartilage de Mendel et de Reichert.
C. une carapace fibro-périostée superficielle d'os membraneux (voûte du crâne).
D. des sutures membraneuses situées entre les os constituant la base du crâne.
E. le chondrethmoïde au sein duquel se trouve la capsule modale.
QCM 66
La rotation intra-matricielle :
A. est la somme de la rotation totale et de la rotation matricielle
B. est matérialisée par la modification de l'inclinaison de la ligne implantaire par rapport à la
ligne matricielle ML1. Le centre de la rotation se trouve à l’intérieur du corps mandibulaire.
C. est l’expression du remodelage du bord inférieur de la mandibule.
D. correspond à la rotation du corps mandibulaire à l'intérieur de la matrice des tissus mous
(ces deux entités opèrent une rotation de sens et de rythme indépendant).
E. a été décrite initialement par Moss
QCM 67
La rotation morphogénétique :
A. renseigne sur les changements de forme de la mandibule.
B. mesure le déplacement de la ligne implantaire par rapport à la ligne intramandibulaire (Bi-
P).
C. est équivalente de la rotation matricielle de Delaire.
D. est un mécanisme de compensation capable d’augmenter ou de réduire la longueur de la
diagonale mandibulaire et entraînant l’ouverture ou la fermeture de l’angle goniaque
E. renseigne sur les changements de position de la ligne implantaire par rapport à une
référence basicrânienne (en général SN).
QCM 68
La rotation contrebalançante :
A. est la variation de la diagonale mandibulaire (Pog-Co ou Pog-Ar) par rapport à la ligne
implantaire, le pogonion étant un point stable.
B. est la composante circulaire de la croissance condylienne, accompagnée d’un modelage
sélectif et coordonné, mais qui ne contribue pas à l’allongement de la diagonale
mandibulaire» (DIBBETS).
C. peut permettre de neutraliser l’agrandissement du condyle au cours de la croissance.
D. a été décrite par Lavergne et Gasson.
E. est nulle s’il n’y a pas de rotation de la diagonale mandibulaire.
QCM 69
La rotation intra matricielle (BJORK et SKIELLER) est à peu près équivalente à :
A. La rotation morphogénétique (L AVERGNE et GASSON)
B. La rotation contrebalançante (DIBBETS)
C. La rotation positionnelle (L AVERGNE et GASSON)
D. La rotation morphogénétique (DIBBETS)
E. La proportion contrebalançante (DIBBETS)
QCM 70
La croissance du corps de la mandibule :
A. L’allongement du corps sous l'effet modelant des matrices environnantes musculaires et
de la matrice pénétrante du paquet vasculo-nerveux incitateur de la croissance qui lui-
même s'allonge.
B. Face externe : Résorption du bord antérieur trigono-coronoïdien : coroné, face externe de
la branche montante.
C. Face externe : Apposition sur la face externe de la branche montante, du corps et du rebord
antéro-inférieur de la symphyse mandibulaire.
D. Face interne : Appositions massives à la face médio-postérieure de la tubérosité linguale
(zone alvéolaire linguale postérieure de l’arcade dentaire).
E. Face interne : Résorption passant sous la tubérosité linguale et la ligne mylo-hyoïdienne
s’étendant jusqu’à la région canine et formant la fossette sous-maxillaire.
QCM 71
Le cartilage condylien :
A. est un cartilage primaire
B. n’est pas un moteur de croissance à proprement parler
C. joue un rôle de croissance multidirectionnelle
D. joue un rôle de croissance adaptative
E. joue un rôle de croissance appositionnelle associée à des phénomènes de rotations
QCM 72
Les différents types de sutures :
A. Il en existe 5.
B. La suture inter-maxillaire est une suture squameuse.
C. La suture fronto-zygomatique est une suture suture dentée.
D. Une articulation en forme de crête, l'autre en forme de rainure s’appelle schyndilèse.
E. L’articulation vomer-sphénoïde est une suture squameuse.
QCM 73
Le système des sutures péri-maxillaires :
A. groupe les sutures séparant le maxillaire des os de la face qui l'avoisinent.
B. fait partie des systèmes suturaux cranio-faciaux.
C. a été initialement décrit par Scott.
D. fait partie du système de la suture coronale
E. fait partie du système de la suture lambdoïde
QCM 74
Quand la rotation contre-balançante :
A. est forte, la proportion contre-balançante est forte
B. est forte, la proportion contre-balançante est réduite
C. est nulle, la diagonale mandibulaire est réduite
D. est forte, la diagonale mandibulaire est forte
E. est nulle, il n’y a pas de rotation de la diagonale mandibulaire, la croissance condylienne
se fait selon l’axe de la diagonale initiale.
QCM 75
Vers le 3ème ou 4ème mois de vie intra-utérine, apparaissent des noyaux cartilagineux
dont l’existence est de courte durée :
A. pour le noyau angulaire : 6 à 8 mois
B. pour le noyau condylien : à la naissance
C. pour le noyau coronoïdien : à la naissance
D. pour le noyau condylien : 21 ans
E. pour le noyau tubérositaire : 15 ans
QCM 76
Les stades évolutifs des sutures sont dans l’ordre :
A. synarthrose puis synfibrose puis synostose
B. synfibrose puis synchondrose puis synostose
C. synostose puis synarthrose puis synfibrose
D. synarthrose puis synostose puis synfibrose
E. synfibrose puis synarthrose puis synostose
QCM 77
Quand le processus d'ossification se fait :
A. directement au niveau du tissu conjonctif : on parle d’ossification membraneuse.
B. aux dépends d'une maquette cartilagineuse : on parle d’ossification enchondrale
C. directement au niveau du tissu conjonctif : on parle d’ossification enchondrale
D. d’origine mixte : on parle d’ossification membraneuse et enchondrale
E. aux dépends d'une maquette cartilagineuse : on parle d’ossification membraneuse
QCM 78
Parmi ces os :
A. le temporal a une origine mixte
B. l'occipital a une origine mixte
C. le pariétal a une origine enchondrale
D. la grande aile du sphénoïde a une origine membraneuse
E. le corps du sphénoïde a une origine enchondrale
QCM 79
Nom des sutures :
A. La suture métopique est la suture entre les deux pariétaux
B. La suture coronale est la suture verticale frontale
C. La suture coronale est la suture entre pariétal et occipital
D. La suture lambdoïde est suture fronto-pariétale
E. La suture zygomatico-temporale est aussi nommée ou zygomatico-malaire
QCM 80
La théorie synthétique de Van Limborgh fait intervenir des facteurs :
A. génétiques intrinsèques : ils régulent la multiplication et la différenciation cellulaire
B. épigénétiques généraux (hormones) : agissent sur les cellules cartilagineuses du
chondrocrâne
C. épigénétiques locaux : périoste, sutures du crâne
D. environnementaux : fonctions
E. génétiques extrinsèques
Année universitaire
2021-2022
Université Lyon 1
Faculté d’odontologie
FGSO 3
FGSO3
DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 10
2) Vous devez assembler en bouche cette couronne en zircone sur une dent
vivante (moignon dentaire dont le tissu majoritaire est la dentine). Quels
procédés d’assemblages peuvent être envisagés ? Lequel adoptez-vous ?
Pourquoi ? Décrivez en les étapes. (14 points)
2021 - 2022
FGSO3
DATE :
DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 15
Vous recevez à votre cabinet Léon, qui est accompagné de sa maman. Léon présente des troubles de
l’attention et aucun dentiste n’a réussi à le soigner jusqu’à présent. Léon vous est amené car il se
plaint depuis 24 heures de douleurs spontanées dans le secteur 8. La maman de Léon n’arrive pas à
brosser les dents de son fils car celui-ci ne tient pas en place. Léon boit beaucoup de lait toute la
journée car il n’aime pas le gout de l’eau
La maman vous a apporté le carnet de santé. L’enfant ne présente pas de problème de santé ni allergie
et est à jour de ses vaccinations. Il n’y a pas d’antécédents d’hospitalisation.
A l’examen exobuccal, vous ne notez rien de particulier.
A l’examen clinique endobuccal, vous observez de nombreuses lésions cavitaires et certaines dents
sont à l’état de racine. Vous observez une tuméfaction en regard de 84 et 85. L’ensemble des lésions
sont molles au sondage et/ou recouvertes de plaque.
Vous réalisez alors un orthopantomogramme.
QUESTION 1 : (0,5 point) Quel est le motif de la consultation ?
QUESTION 4 : (0,5 point) Quel est le stade d’évolution des arcades d’Arthur ?
QUESTION 6 : (0,5 point) La formule dentaire est-elle complète pour les dents
permanentes ?
QUESTION 7 : (12 points) A l’aide des données cliniques qui vous sont rapportées et
de l’orthopantomogramme, expliquez votre approche de la pathologie de cette
patiente, étape par étape. Vous pourrez vous aider des tableaux ci-joints
2021 - 2022
FGSO3
DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 10
Expliquez pourquoi il est normal qu’une prothèse, réglée correctement en occlusion, puisse
être perçue par le patient comme une gêne dans les premières heures.
Question 2: Décrire la douleur ressentie lors d’une pulpite irréversible aiguë (2 points)
(2 points)
2021 - 2022
FGSO3
DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 40
QUESTIONS :
La ventilation.
FGSO3
DUREE : 1h00
BAREME APOGEE : 40
40 QCM au total
9. Les polyéthers :
A - S’utilisent avec un adhésif
B - Ont un temps de prise plus rapide que les polysulfures
C - Sont caractérisés par leur rigidité
D - Sont commercialisés en une seule viscosité
E - Appartiennent à la famille des vinyls polysiloxanes
11. Les Pâtes oxyde de zinc-eugénol sont des matériaux d’empreinte qui :
A - S’utilisent avec un adhésif
B - Sont élastiques
C - Ont une viscosité élevée
D - Sont collants
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses
12. Lors du marginage du porte-empreinte individuel (PEI) maxillaire chez un édenté complet :
A- Il est possible d’associer un polyéther pour le joint périphérique et la pâte
thermoplastique de Kerr® verte pour le joint vélo-palatin
B - Le matériau d’empreinte doit être mis en place dans l’intrados du PEI au niveau du joint
vélo-palatin
C - Il est impératif d’utiliser des matériaux hydrophiles
D - Le patient doit réaliser, entre autres, des mouvements de latéralité mandibulaire
E - La Pâte oxyde de zinc-eugénol est parfaitement indiquée
16. (1) Un articulateur non adaptable préréglé à 40° et 15° est suffisant en prothèse amovible
totale car (2) l’occlusion en prothèse amovible totale est bilatéralement équilibrée.
A - La proposition (1) est vraie tandis que la (2) est fausse
B - La proposition (1) est fausse tandis que la (2) est vraie
C -Les propositions (1) et (2) sont fausses
D - Les 2 propositions sont vraies avec lien de cause à effet
E - Les 2 propositions sont vraies sans lien de cause à effet
18. Chez l’édenté complet, le réglage des maquettes d’occlusion débute par :
A - La maquette mandibulaire
B - Le contrôle du soutien labial
C - Un test phonétique
D - Le test de Smith
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses
19. Le bourrelet occlusal de la maquette d’occlusion maxillaire :
A - Vient s’appuyer sur la lèvre inférieure lors de la prononciation du son «S »
B - Doit être positionné en arrière de la papille rétro-incisive
C - Peut être réglé en bouche à l’aide de l’arc facial
D - Recouvre les tubérosités
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses
22. Selon l’indice de Lee, la largeur d’une incisive centrale maxillaire correspond :
A - Au sixième (1/6) de la largeur du nez
B - Au huitième (1/8) de la largeur du nez
C - A la largeur d’une canine
D - A la moitié (1/2) de la largeur du nez
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses
32. Les surfaces polies stabilisatrices des prothèses mandibulaires sont caractérisées par :
A - Une convexité antérieure en regard de l’orbiculaire des lèvres
B - Une convexité linguale dans le plan horizontal et dans le plan sagittal
C - Une convexité vestibulaire en regard des prémolaires
D - Une concavité vestibulaire en regard des canines
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses
33. Lors de la réalisation des surfaces polies stabilisatrices maxillaires, il faut créer :
A - Une convexité pour l’orbiculaire des lèvres
B - Une concavité en regard des canines
C - Une épaisseur de la plaque palatine supérieure à 3 mm pour éviter tout risque de fracture
D - Un alignement des collets, à l’exception des incisives latérales
E- Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses
34. La gravure du joint vélo-palatin sur le modèle de travail en plâtre :
A - Se fait par le praticien au fauteuil dans l’intrados de la prothèse maxillaire polymérisée
B - A généralement une profondeur de 4 millimètres
C - Permet de compenser le retrait de la résine lors de la polymérisation
D - Permet d’améliorer l’étanchéité du joint postérieur maxillaire
E- Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses
38. Les premiers jours suivant la pose d’une prothèse amovible complète :
A - L’efficacité masticatoire est maximale puis diminue avec le temps
B - La phonation peut être perturbée
C - L’hyposalivation est fréquente
D - Une alimentation dure et non collante est conseillée
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses
40. Les produits de nettoyage des prothèses amovibles à base de peroxyde alcalin :
A - Agissent sur le tartre
B - Ne doivent pas être utilisés en usage intensif
C - Peuvent avoir une action blanchissante sur la résine
D - Peuvent créer des porosités de la résine
E - Les 4 propositions A, B, C et D sont fausses