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UE2 - Biologie Cellulaire - 12 – Méthodes d’études des cellules et des tissus
Pr. Oudar - ../../.. - ..H..
I. Introduction
V. Autres techniques
A TOI DE JOUER
ACC (Annales Classées Corrigées)
ASTUCES, pour répondre rapidement & sans erreurs
Correction détaillée
Abréviations fréquentes :
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UE2 - Biologie Cellulaire - 12 – Méthodes d’études des cellules et des tissus
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I. Introduction
Il est très vite apparu la nécessité d’avoir des outils suffisamment performants pour faire des observations
de cellules et de tissus, voire même de structures intracellulaires. C’est pour cela que le microscope photonique et
plus tard, les microscopes électroniques, ont été inventés.
Les techniques morphologiques permettent de faire des observations de cellules et de tissus dans des
conditions proches de celles du vivant.
Il faut noter que chaque microscope possède une limite. On parle de « pouvoir de résolution »
Parallèlement au développement de ces outils, des techniques de préparation ont été créées. Par exemple, en
imagerie cellulaire, on dénombre 4 étapes :
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Elles peuvent être cultivées soit dans des boites de pétri, soit dans des tubes dans le
cas de cellules non adhérentes. La culture est effectuée dans des incubateurs.
*** Pour la culture de cellules des mammifères, des critères doivent être respectés:
Incubateurs à 37°
Atmosphère humidifiée
Présence d’oxygène
Cellules vivantes Présence de 5% de dioxyde de carbone
(ex vivo, in vivo) Asepsie
Dans des milieux de cultures spécifiques
à chaque type cellulaire (solide ou liquide)
Les cellules cultivées peuvent être issues de lignées de cellules (=culture primaire) ou
provenir d’organes (=culture secondaire)
Ils sont obtenus par les cliniciens et visualisés par microscopie après étalement
cellulaire (obtention d’une unique couche de cellules) entre lame et lamelle = frottis.
On y trouve :
Liquides biologiques : sang, moelle hématopoïétique, LCR (liquide
Échantillons
céphalo-rachidien), urines
cellulaires
Liquides pathologiques : épanchement pleural, du péritoine ou des
articulations
Liquides d’exploration : lavage broncho-alvéolaire
Brossage ou grattage : frottis buccaux ou vaginaux
B) Les techniques
Les photons ne pouvant traverser facilement les cellules et les tissus, on va réaliser des « objets » fins
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Pour une concentration cellulaire pas trop élevée, il est possible de créer des suspensions cellulaires. On va
ensuite déposer une goutte de cette suspension et l’étaler avec une lamelle. En cas de concentration trop élevée, on
risque d’avoir plusieurs couches de cellules, ce qui rend les observations difficiles.
Dans le cas d’échantillons tissulaires, une biopsie par exemple, deux possibilités, pour réaliser des coupes
avec fixation des structures, sont envisageables:
La fixation n’est pas toujours indispensable pour une observation au microscope photonique (ex : observation
de cellules vivantes)
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INCLUSION MÉTALLISATION
On remplace par des bains
mM »DES
successifs (bains à HYDRATATION MEB
concentrations progressives) mM »DES
le solvant organique par le HYDRATATION
COUPE On refroidit ensuite le
matériel d’inclusion.
matériel d’inclusion : on
mM »DES
obtient un bloc dur qui va
HYDRATATION pouvoir être coupé par un
microtome (MO) ou un
COLORATION CONTRASTE ultra-microtome (ME)
mM »DES mM »DES
HYDRATATION HYDRATATION
MO MET
mM »DES mM »DES
On peut utiliser plusieurs microscopes, optiques ou électroniques :
HYDRATATION HYDRATATION
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Dans le cas de la microscopie optique, c’est une source lumineuse, constituée de photons, qui est utilisée
pour éclairer la préparation. Le microscope comporte trois parties :
Une partie mécanique qui fait varier les grossissements et supporte la lame,
Une partie optique réunissant les lentilles nécessaires aux grossissements,
Une source lumineuse.
La source lumineuse va émettre de la lumière qui passera par les lentilles de VERRE et la préparation,
pour finalement finir dans l’œil ou dans le système de capture d’image.
La première lentille traversée est le condenseur : il permet de concentrer la lumière émise en un faisceau.
On retrouve ensuite l’objectif, qui permet de jouer sur le grossissement (x25, x40 ou x100) (+ possibilité d’appareil de
capture d’image). Enfin, le faisceau traversera l’oculaire au travers duquel seront effectuées les observations et qui
permet un grossissement x10.
. Avec ce type de microscope, on peut obtenir des grossissements allant de 250 jusqu’à 1000. Son pouvoir
de résolution est de l’ordre de 0,2µm. Il permet de donner une bonne idée de la forme et de l’aspect des
cellules, voire l’allure du noyau ou d’une mitochondrie. Mais, autrement, de manière générale, l’ultrastructure
est peu observable.
Il est nécessaire d’utiliser une préparation fine et d’augmenter les contrastes par une coloration.
Préparation :
Il s’agit d’un microscope optique permettant de visualiser des organismes vivants. Ce type de microscopie
a permis de fournir un certain nombre d’informations, essentiellement sur le déplacement et la division des
cellules, mais aussi sur les mouvements intracytoplasmiques (des vésicules et des organites).
Il se base sur la déviation des rayons lumineux = déphasage.
Le faisceau, constitué de photons, traverse l’objet, et les différentes structures présentes dévient
différemment les ondes lumineuses en fonction de leur nature : on obtient ainsi différentes zones.
Si la structure laisse passer la lumière en phase, il n’y a pas de déviation, la brillance augmente. En
revanche, la brillance diminue si la structure laisse passer la lumière en décalage. On obtient ainsi une image en
niveau de gris qui visualise tous les changements de milieu à l’intérieur de l’objet observé.
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Récapitulatif – Photons :
Préparation :
Aucune fixation ou coupe n’est effectuée. Une simple coloration sera faite. Toutefois, les cellules
observées seront moins contrastées que celles observées au MO classique.
Encore une fois, il s’agit d’un microscope de type optique. Il est équipé d’une lampe UV, de filtres
d’excitations (λ1 ) pour choisir la longueur d’onde incidente et de filtres d’arrêt de λ1 pour sélectionner les
radiations émises par l’objet. Ce microscope détecte la lumière émise par des molécules fluorescentes (λ2 ) après
excitation à certaines longueurs d’onde.
On éclaire la préparation à l’aide de la lampe UV, qui va émettre une lumière d’une certaine longueur
d’onde. On sélectionne, grâce au filtre, une longueur d’onde que l’on nommera longueur d’onde d’excitation. Cette
dernière va passer à travers la préparation qui contient une molécule fluorescente. Elle sera excitée et émettra à
son tour une onde possédant une longueur d’onde supérieure à la première. Ainsi, on pourra observer les
molécules fluorescentes.
Récapitulatif – Photons
Préparation :
Ce type de microscopie n écessite un marquage avec des anticorps couplés à des fluorochromes ou
protéine fusionnée à une molécule naturellement fluorescente (plus rare).
Exemple de fluorochromes que l’on peut utiliser :
Fluorescéine : absorbe dans le bleu et émet dans le vert.
Rhodamine : absorbe dans le vert et émet dans le rouge.
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Ce microscope est fréquemment utilisé pour observer des protéines spécifiques. Il permet de localiser les
molécules marquées sur fond noir. MAIS il s’agit de microscopes volumineux qui ne permettent pas une
observation détaillée des structures.
Il permet une localisation plus précise des molécules marquées par fluorescence (noyaux, cytoplasme,
surface de la cellule,...) + la reconstitution d’image en 3D.
D) La microscopie électronique
Ce type de microscopie permet d’observer des structures à l’intérieur même des cellules. Ce sont des
microscopes très performants. En revanche, ils ne permettent pas l’observation de tissus vivants.
Contrairement à la MO, ce sont les électrons qui jouent le rôle de source. Ils sont produits par
échauffement de la cathode (échauffement d’un filament de tungstène qui émet ces électrons). Ainsi produits, ils
vont être attirés par l’anode localisée dans la partie supérieure de l’appareil. Il existe en effet une tension très
élevée de 40 à 100 kVolts qui attire les électrons. Ceux-ci arrivent dans toutes les directions et sont canalisés par
un condenseur pour donner un unique faisceau d’électrons. Celui-ci va passer à travers des lentilles ou bobines
électromagnétiques. L’image va ainsi apparaitre sur un écran recouvert de molécules fluorescentes. Ces
dernières seront alors excitées par les électrons et émettront, de ce fait, de la lumière (photons) : image (jaune-
vert) + capture d’image.
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Préparation :
On trouve en son sein, des bobines électriques déflectrices (faisceaux d’électrons) susceptibles de balayer
la surface de l’échantillon (recouvert par un métal) et d’en donner une image en volume. Le faisceau d’électrons
va balayer la surface et cette dernière va, à son tour, émettre des électrons dits «secondaires» analysés par un
détecteur (tension de 1 à 40 kVolts)
Récapitulatif – Électrons
Préparation :
Fixation et déshydratation.
PAS DE COUPE.
Métallisation : métaux (platine, carbone) d’un échantillon entier. Exemple : petits insectes.
Ce microscope permet donc, non pas des observations de l’intérieur de la cellule, mais de la surface des
échantillons = image en relief. Encore une fois, les tissus et les cellules observés sont non vivants. En revanche,
cette microscopie permet d’observer des petits organismes entiers (insectes).
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Il existe aussi la microscopie quantitative : extraction de mesures quantitatives d’une image numérique.
Technique qui fait appel à des algorithmes de segmentation, de reconnaissance de forme dans le but de
réaliser un comptage
Ces outils permettent principalement l’observation et la description morphologique des tissus. Cependant,
on peut avoir besoin de localiser plus précisément certaines structures. Pour cela, on va utiliser plusieurs
techniques d’études In situ pour mettre en évidence un certain nombre d’objets.
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A) L’histochimie
L’histochimie est basée sur l’ajout de réactifs à une préparation afin de créer une réaction chimique
permettant la coloration de la molécule d’intérêt.
Exemples :
La molécule d’interêt (lipides, protéines, sucres,.. dans une cellule ou un tissu) sera ensuite détectée au MO.
B) L’histoenzymologie
Elle permet de mettre en évidence des enzymes dans les cellules ou les tissus. Pour cela, on utilise
l’activité enzymatique naturelle présente dans les cellules : la présence de l’enzyme recherchée est décelée par
son action sur un substrat fourni au cours de l’expérience. Il suffit de choisir un substrat qui, une fois modifié, sera
visible en MO ou ME. L’action de l’enzyme est alors révélée par une réaction colorée (produit coloré)
Exemples :
Mise en évidence des activités peroxydase (enzymes, dans le foie par exemple) : peroxydase
(enzyme) + DAB (substrat incolore) + H202 (catalyseur) : précipité brun
Autres exemples : mise en évidence des phosphatases acides dans les lysosomes, d’activité tyrosine
dans les mélanocytes, d’activité ATPasique dans les cellules musculaires,...
L’histoenzymologie nécessite d’adapter le substrat à chacune des enzymes que l’on souhaite étudier.
L’enzyme sera ensuite localisée par MO dans une cellule ou un tissu. Pour utiliser cette technique en ME, il suffit
que le produit obtenu soit dense aux électrons (comme, par ex, le DAB).
C) L’immuno-histologie
Elle va permettre de localiser des antigènes grâce à l’interaction antigène (AG)/anticorps (AC). Il s’agit
en règle générale de protéines. On utilise soit des AC monoclonaux, soit des AC polyclonaux, qui vont être dirigés
contre l’AG que l’on recherche. On doit prendre soin de marquer ces AC de manière à pouvoir les observer en MO
ou MET dans une cellule ou un tissu. Il existe deux façons de procéder :
Basée sur une réaction AG-AC où l’anticorps peut être couplé à une enzyme (par
Façon réaction enzymatique, détection au MO), un fluorochrome (détection au MO à
directe fluorescence) ou des billes d’or denses aux électrons (de 1 à 20nm de diamètre,
détection au MET)
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Si un marquage simple ne suffit pas (1er signal insuffisant, par exemple si l’AC
primaire est très peu présent dans la cellule), on utilise la technique de révélation
Façon indirecte. Un AC primaire reconnaît l’AG puis plusieurs anticorps 2aires (espèce
indirecte animale différente de l’AC primaire) reconnaissent spécifiquement l’AC primaire
permettant ainsi d’amplifier le signal.
Ce sont ces AC 2aires qui sont marqués (fluorochrome, enzyme, billes d’or).
Cette technique est réalisée de préférence à partir de tissus congelés, plutôt qu’après fixation et une
inclusion en paraffine qui risqueraient de masquer les antigènes.
D) Hybridation in situ
On remplace le complexe AC/AG par la complémentarité des bases azotées. Il s’agit en effet d’une
hybridation (par des liaisons hydrogènes) de la séquence recherchée aves une sonde complémentaire d’acide
nucléique simple brin marquée : hybridation ADN/ADN, ARN/ARN ou ADN/ARN.
Exemple d’utilisation d’hybridation in situ : recherche d’ARNm viraux.
La séquence nucléotidique (ADN ou ARN) sera ensuite localisée sur une coupe de tissus + on récupèrera des
informations sur l’expression des gènes dans les tissus.
E) Autoradiographie
On incube des cellules ou un tissu avec une molécule radioactive puis l’échantillon est plongé dans une émulsion
photographique et révélé à l’abri de la lumière. Les grains d’argents réduits, argent métallique, sont ensuite
observés sous la forme de points noirs.
La molécule (protéine, ADN) radioactive sera ensuite détectée dans les tissus.
A) Cytométrie en flux
Elle permet la détection de molécules fluorescentes dans les cellules.
La cytométrie en flux permet de faire défiler à grande vitesse des cellules
Définition :
marquées avec des anticorps fluorescents dans une chambre d’observation et de
les différencier (ceux qui sont marqués ou non marqués) et de les compter.
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Fonctionnement
Il existe l’ELISA indirect mais aussi l’ELISA sandwich. Dans les deux cas, les AC provient de 2 espèces
différentes.
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Un AG spécifique de l’AC recherché est absorbé au fond des puits d’une microplaque.
L’échantillon à doser contenant l’AC recherché est déposé dans les puits et si l’AC recherché est
ELISA indirect présent, il va se lier spécifiquement à l’AG.
= Recherche Un deuxième AC, couplé à une enzyme, capable de se lier à l’AC capturé est alors ajouté dans le
d’un AC puits et les AC secondaires non fixés sont éliminés par rinçage.
L’AC secondaire est couplé à une enzyme catalysant la formation d’un produit coloré. La
réaction peut ainsi être quantifiée par colorimétrie.
Un AC spécifique de l’antigène recherché est absorbé au fond des puits d’une microplaque.
L’échantillon à doser est ensuite déposé dans les puits et si l’AG recherché est présent il va se
ELISA sandwich lier spécifiquement à l’AC.
= Recherche Un deuxième AC, couplé à une enzyme, capable de se lier à l’AG capturé est alors ajouté dans le
d’un AG puits et les AC secondaires non fixés sont éliminés par rinçage.
L’AC secondaire est couplé à une enzyme catalysant la formation d’un produit coloré. La
réaction peut ainsi être quantifiée par colorimétrie.
Résultats :
Dosage d’un antigène ou d’un anticorps dans un échantillon biologique
Utiliser pour déterminer des concentrations sériques d’anticorps (ex HIV, ou principe du test de grossesse)
C) La chromatographie
= séparation des constituants du mélange sur une colonne remplie de billes poreuses formant un gel. Les
molécules sont entraînées par le solvant à des vitesses différentes selon leur taille. Les protéines de grande taille
seront ainsi piégées, alors que celles de petite taille migreront rapidement.
Chromatographie d’affinité:
= sur le support fixe est greffé un constituant ayant une affinité spécifique pour la molécule d’intérêt contenu dans
la phase mobile (ex : couplage antigène-anticorps)
Des anticorps sont fixés sur les billes de la colonne. Lors de leur passage, les protéines d’intérêt vont se fixer à ces
derniers. Le reste sera élué avec le solvant. Après utilisation d’un liquide de rinçage, on peut récupérer les protéines
qui se sont fixées.
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D) L’électrophorèse
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Pour répondre aux questions posées en biologie cellulaire, il est nécessaire d’allier ces techniques à
la microscopie.
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A TOI DE JOUER
ACC: Méthodes d’étude des cellules et des tissus.
Décembre 2013
Parmi les techniques d'études de la cellule suivantes :
A. Cytométrie en flux
B. Chromatographie d'affinité
C. Electrophorèse sur gel
D. Microscopie électronique
E. Microscopie confocale
QUESTION N°34
Quelle est celle qui permet de localiser des molécules fluorescentes ?
QUESTION N°35
Quelle est celle qui permet de quantifier des antigènes membranaires ?
QUESTION N°36
Quelle est celle qui est utilisée pour purifier des protéines ?
Décembre 2006
A. Microscopie électronique
B. Cytométrie en flux
C. Électrophorèse
D. Microscopie confocale
E. Fractionnement subcellulaire
QUESTION N°57
Séparer des protéines ?
QUESTION N°58
Séparer les différents compartiments cellulaires ?
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QUESTION N°59
Observer des molécules fluorescentes ?
Décembre 2014
QUESTION N°5
QUESTION N°8
A propos des méthodes d’études de la cellule, quelle(s) est (sont) la (les) réponse(s)
exacte(s) :
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QUESTION N°24
A propos des méthodes d’études de la cellule, quelle (s) est (sont) la (les) réponse(s)
exacte(s) :
Décembre 2013
QUESTION N°22
Décembre 2012
QUESTION N°4
A propos des techniques utilisées en biologie cellulaire, toutes les propositions sont
exactes, SAUF UNE, laquelle ?
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Décembre 2011
QUESTION N°49
A propos des techniques utilisées en biologie cellulaire, toutes les propositions sont
exactes, SAUF UNE, laquelle ?
A. L’hybridation in situ peut se faire avec une sonde marquée d’ADN simple brin
B. Dans une électrophorèse, les protéines migrent en fonction de leur poids
moléculaire
C. En culture cellulaire, il faut respecter des conditions d’asepsie
D. La cytométrie en flux permet d’étudier des protéines soit membranaires soit
cytoplasmiques
E. Des chélateurs de calcium sont indispensables pour la culture de cellules
QUESTION N°74
QUESTION N°75
Pour faire une culture de cellules in vitro à partir d’échantillons tissulaires, il faut :
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Décembre 2010
QUESTION N°67
A propos des méthodes utilisées en microscopie, toutes les propositions suivantes sont
vraies, SAUF UNE, laquelle ?
Décembre 2009
QUESTION N°1
A propos des méthodes utilisées en microscopie, toutes les propositions suivantes sont
vraies, SAUF UNE, laquelle ?
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Décembre 2007
QUESTION N°3
A propos des méthodes utilisées en microscopie, toutes les propositions suivantes sont
vraies, SAUF UNE, laquelle ?
QUESTION N°42
Décembre 2005
QUESTION N°21
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Décembre 2004
QUESTION N°1
Parmi les propositions suivantes relatives à la microscopie, toutes sont vraies, SAUF
UNE, indiquez laquelle ?
QUESTION N°16
QUESTION N°20
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CORRECTION
Décembre 2014 Décembre 2013 Décembre 2012 Décembre 2011 Décembre 2010
Q5 : E Q22 : A B E Q4 : C Q49 : E Q67 : C
Q8 : A B D E Q74 : 2 4
Q24 : A B E Q 75 : 1234
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