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UE2 : BIOLOGIE CELLULAIRE

COURS N°2 – Production


d’énergie dans la cellule

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Production d’énergie dans la cellule

I. Une voie universelle de production d’ATP : la glycolyse

II. La récupération d’énergie chez les eucaryotes

A) Les mitochondries et la respiration


- Généralités
- La membrane externe et l’espace intermembranaire
B) La membrane Interne
C) La matrice mitochondriale
D) Pénétration dans la mitochondrie
E) La chaine respiratoire, principe de couplage chimio-osmotique
F) Synthèse d’ATP

III. Les peroxysomes

IV. Origines des mitochondries

V. Anomalies :
A) De nombre (Aneuploïdie)
- Gonosomiques
- Autosomiques

B) Anomalies de structures

A TOI DE JOUER
 ACC (Annales Classées Corrigées)
L’énergie est conservée sous forme d’ATP au niveau des liaisons phosphates. La plus grande
partie de l’énergie est fournie par les mitochondries. Celle-ci provient de la dégradation des
lipides et des protéines. Dans les cellules végétales, c’est les chloroplastes qui synthétisent
l’énergie via les photons. Les protéines destinées aux mitochondries sont synthétisées dans le
cytosol par des polysomes libres. Elles sont le plus souvent importées ultérieurement sous
formes de chaînes polypeptidiques achevées.

I- Une voie universelle de production d’ATP : la glycolyse


Il s’agit d’une suite réactions biochimiques se produisant dans le cytosol ne nécessitant pas
d’O2. Elle aboutit, à partir d’amidon ou de glycogène, à la formation de pyruvate.
Ces réactions nécessitent des co-facteurs NAD et de l’ATP. A aucun moment il y a libération
brutale d’énergie.

Pour 2 ATP consommé 4 ATP sont produits.


 On a donc un gain de 2.
Il reste donc dans les produits de la glycolyse, de l’énergie en grande quantité.
L’ATP produit par la glycolyse est utilisé sur place (dans le cytosol).

Les molécules issues de la glycolyse ont deux devenirs :


 En présence d’oxygène (= métabolisme aérobie) : pyruvate et NADH entrent dans la
mitochondrie pour y subir des réactions de dégradation.
 On obtient ainsi de l’ATP.
 Le NADH peut également être régénéré en NAD+ et cède ainsi ses électrons à
la chaine respiratoire de la mitochondrie.
Le pyruvate peut, chez les eucaryotes, être transformé par la mitochondrie en actétyl-CoA.
Ce dernier après une série de transformations biochimiques, aboutira à des molécules d’ATP.
 En absence d’oxygène (= métabolisme anaérobie), NADH et protons seront régénérés
par des réactions de fermentations :
o Fermentation lactique : NADH et H donne NAD+, on obtient du lactate
o Fermentation alcoolique : NADH et H régénéré en NAD+, formation d’éthanol

o Pas d’ATP est fabriqué.


o Le NAD+ régénéré permet à la glycolyse de se poursuivre.

4 Sources de fabrication d’ATP Plusieurs sources de consommation d’ATP


→ Phosphorylation oxydative (mitochondrie) → Synthèse de macromolécules
→ Glycolyse (cytosol) → Pompe ionique
→ Photosynthèse (chloroplaste) → Mobilité, mouvements
→ Cycle de Krebs (mitochondrie) : ATP et GTP → Contraction (musculaire ou non)
crée → Production de chaleur
→ Endocytose/Exocytose

II- La récupération d’énergie chez les eucaryotes

A) Les mitochondries et la respiration


1- Généralités
 Les mitochondries sont présentes dans toutes les cellules aussi bien végétales
qu’animal (SAUF globule rouge).
 Outre la production d’énergie, elles jouent également un rôle dans
l’apoptose (= mort cellulaire programée).
 Le nombre de mitochondries est variable. Il dépend des
fonctions de l’activité de la cellule. Il est de 500 à 2000 pour les
cellules rénales. Dans une cellule cardiaque, on estime que les
mitochondries peuvent représenter jusqu’à 50% du volume. A
l’inverse elles sont peu présentes dans les plaquettes (2 à 6
mt/cellule).
Les mitochondries possèdent des caractéristiques :
 Organites semi-autonome : division mais dépendant de l’information portée par l’ADN
nucléaire.
 Spécifiques des eucaryotes aérobies
 Absence des procaryotes
 ADN d’origine maternel
 Principal fournisseur d’énergie de la cellule

 Les mitochondries sont des organismes bi-membranaires. On retrouve ainsi


un espace inter-membranaire. Elles possèdent toujours la même structure.
 Leur taille est variable (0,5-0,7 µm) au même titre que le nombre de repli de la
membrane interne.
 Elles sont également susceptibles de se déplacer par l’intermédiaire de la
kinésine et de la dynéine.
 Plus le nombre de crêtes de la membrane interne est important, plus le nombre
de molécules utilisées est important. On a donc ici une illustration du rapport
structure/fonction :
C consommatrice d’E → Nombreuses mitochondries → nombreux replis

Moins de 10% des protéines mitochondriales proviennent des mitoribosomes. La durée de vie
des mitochondries est très variable (de quelques minutes à quelques semaines). Elles peuvent
croitre et se diviser par scissiparité indépendamment de la cellule.

2- La membrane externe et l’espace intermembranaire


 Sa composition est proche de celle de la membrane plasmique (60% de protéines, 40%
de lipides + cholestérol).
 Sa principale particularité est un nombre de porine très élevé.
 De ce fait elle relativement perméable (molécules dont le poids est compris entre
5 et 10KDA).
 Ainsi l’espace intermembranaire à une composition en ion proche de celle du
cytosol.
 La membrane contient des molécules spécifiques : les TOM. Il s’agit de translocase
permettant l’importation de protéine dans la mitochondrie.
 Pour la membrane interne on parle de TIM. Elles reconnaissent des séquences
d’adressages spécifiques (ARN polymérase, ADN polymérase,…).
 La membrane externe contient également des complexes d’importation du
cholestérol.
 En effet la mitochondrie participe à la synthèse d’hormones stéroïdes.
 On retrouve également des protéines de type bcl-2 (apoptose), des acyl-CoA et des
protéines de liaisons aux MAPs.
 L’espace membranaire relativement fin, est riche en proton. Il contient des
cytochromes C et des procaspases (apoptose).

B) La membrane interne
Cette membrane contient 80% de protéines pour 20% de lipides.
 Protéines :
- De la chaine respiratoire
→Transporteurs d’électrons et/ou de neutrons
→protéines de découplage : entrée de H+ dans la matrice mitochondriale
- ATP syntase
- Antiports ATP/ADP
- Cytochrome P450
- Complexe d’importation TIM
 Membrane est impermeable aux protons et aux intermédiaires participant à la
chaine respiratoire (NAD, NADH2, malate…)
 Mais perméable au Co2 et H2O
 Lipides :
- Pas de cholestérol mais des cardiolipines (Indispensables au fonctionnement des
cytochromes C oxydases).

C) La matrice mitochondriale
 Particulièrement complexe notamment du fait de la présence de nombreux métabolites
différents.
 On y retrouve des ADNmt circulaire, des ARNmt, des ARNt et des mitoribosomes.
 Présence d’ enzymes participant au cycle de Krebs et dans la β oxydation des acides
gras.
 Des granulations sont présentes. Il s’agit d’accumulation de Ca2+ et de Mg2+
nécessaires en tant que Co enzyme.
 Dans la matrice on retrouve l’ADN mitochondrial.
 Représentant 1 à 5/1000 de l’ADN total, il est circulaire, accroché à la
membrane interne et de petite taille (16Kbases). Il ressemble au nucléoïde
bactérien (fixation à la membrane et circulaire).
 Au même titre que l’ADN nucléaire, il présente des protéines de type histone
(celle-ci sont différentes).
 Le nombre de molécule d’ADNmt est variable (4 à 5 copies jusqu’à 1000). I
 l est important de noter que le génome mitochondriale et le génome nucléaire ne
peuvent pas s’hybrider. Ainsi on peut déduire que l’ADN mitochondriale code
pour des protéines particulières. C’est le cas des ARNr spécifiques (16S et 12S) et
des ARNmt.
 Toutefois il ne code pas pour toutes les protéines mitochondriales. Il y a donc un
système de coopération entre les deux génomes.
 Il est donc possible d’étudier ce phénomène via des protéines inhibantes :
L’α-amanitime La cycloheximide L’acridine Le choloramphénicol
capable d’inhiber la peut bloquer la inhibe la transcription bloque la traduction
transcription du traduction cytoplasmique mitochondriale mitochondriale
génome nucléaire

Grace à ces produits on a pu mettre en évidence l’étroite collaboration existante entre les deux
génomes.
Par exemple, l’ATP synthase et le cytochrome oxydase sont formés par juxtaposition de
polypeptides provenant du cytoplasme et de la matrice.

 Le code génétique des mitochondries diffère de celui nucléaire : 4 codons


différents sur les 64 existants. Le génome mitochondriale ne code que pour 13
protéines mitochondriales, 22 ARNt et 2 ARN ribosomaux (16S et 22S).

Les mitochondries sont dans l’incapacité de survivre hors de la cellule. D’où l’adjectif « semi-
autonome ».
Tout comme l’ADN nucléaire, l’ADN mitochondriale est susceptible de subir des mutations.
Ainsi il a été mis en évidence que certaines neuropathies été liée à des mutations de cet ADN.
De même dans certaines dégénérescences neurologiques, les mitochondries sont impliquées.
En plus de la production d’énergie, les mitochondries interviennent dans le métabolisme des
lipides provenant du REL. Il en va de même pour les stéroïdes.
Ainsi le cholestérol peut être importé dans la matrice. Il sera transformé en prégnénolone
pour finalement retourner au RE où il aboutira sa transformation.

D) Pénétration dans la mitochondrie


L’importation se fait de manière post traductionnelle. Les protéines dédiées aux mitochondries
possèdent un peptide signal sur leur extrémité amino terminal. Il est constitué de 20 à 80
acides aminés basiques hydrophobes formant des hélices α.
L’entrée de ces protéines fait appel aux TOM et aux TIM. On ainsi la formation d’un canal. Ce
transport est divisé en 2 étapes :
 Pénétration du peptide signal grâce à une différence de potentiel électrique. C’est
donc une étape potentiel-dépendante. Les deux membranes portent des charges
opposées (+ pour l’externe et – pour l’interne)
 Pénétration dans le tunnel formé par TIM et TOM. Ce mécanisme est ATP-
dépendant. L’entrée nécessite également des protéines chaperonnes. Les HSP70
déplient partiellement les protéines pour les faire entrer dans le canal
Une fois à l’intérieur, des enzymes protéolytiques détruisent la séquence signal. Des HSP60 et
10 replient les protéines leur permettant d’acquérir leur forme active. On note également
l’existence de protéines permettant l’insertion dans les membranes.

Lors de la glycolyse, il y a formation de molécule de NADH dans le cytosol. Cette dernière n’est
pas en mesure d’entrer dans la mitochondrie. Il rentre toutefois dans l’espace inter
membranaire où il va céder ses électrons au complexe II de la membrane interne.
/!\ NADH cytosolique ≠ NADH du cycle de Krebs

Le pyruvate (produit de la glycolyse)


 Il entre dans la mitochondrie via un système actif : symport avec des protons.
 Une fois entré il va être transféré sur le Coenzyme A.
Ce phénomène s’accompagne de la réduction d’un NADH en NAD+ et la
production d’une molécule de CO2.
On obtient ainsi un actécylCoA. Il va rentrer dans le cycle de Krebs où il va
engendrer 2 CO2, 2 NADH et 1 ATP.
Encore ici la quantité d’énergie produite est faible. Il reste donc de l’énergie notamment dans les
liaisons des substances produites : NADH et FADH2.
Triglycérides :
Ils vont être transformés par des lipases en acylCoA (cytosol). Ils pourront ainsi entrer dans la
mitochondrie via la carnitine (passage de la membrane interne). L’acylCoA subira alors des β
oxydations.
 A chaque étape il perdra 2 atomes de carbone. On parle d’hélice de Lynen.
 Pour 2 carbones libérés, il y a 5 ATP produit.
 Quant au cycle de Krebs il engendre 12 ATP.
 On produit au final 17 ATP.

E) La chaine respiratoire, principe de couplage chimio-osmotique


Elle consiste à transporter des électrons de complexe en complexe pour permettre la
formation de molécules d’ATP.
 On parle de phosphorylation oxydative ou de couplage chimo-osmotique.

Complexe I catalyse le transfert de 2 e- de la NADH mitochondriale à


= NADH déshydrogénase l’ubiquinone = coenzyme Q (hydrophobe)
Complexe II Catalyse le transfert de 2 e- du FADH2 (oxydation du FADH2) à
= succinate l’ubiquinone
déshydrogénase Catalyse le transfert de 2 e- du NADH cytosolique à l’ubiquinone
Complexe III Catalyse le transport d’e- de l’ubiquinone réduite au cytochrome
= cytochrome b-C1 c
Complexe IV Constitue l’étape finale du transport d’e- dans la chapine
= cytochrome c-oxydase d’oxydation.

Les électrons passent ensuite par tous les complexes de la chaine respiratoire jusqu’au
cytochrome oxydase.
Il existe 3 lieux de passage permettant aux protons d’atteindre l’espace inter-membranaire :
complexe I, complexe III (cytochrome B) et complexe IV(cytochrome oxydase).
Ce dernier le faisant par réduction de l’oxygène et formation d’ H20. Il se forme ainsi un gradient
de protons entre l’espace et la matrice.

 L’oxydation d’1 NADH mitochondrial –> NAD, H+ aboutit à la formation de 3 ATP


 L’oxydation d’1 NADH cytosolique ou d’1 FADH2 mt aboutit à la formation de 2
ATP.

Il existe des inhibiteurs de transferts d’électrons : cyanures, monoxyde d’azote (CO) et les
roténones.

F) Synthèse d’ATP

 La membrane interne est imperméable au H+ donc le seul passage pour retourner à la


matrice est de passer par l’ATP synthétase.
 Le retour de H+ vers la matrice s’accompagne de la synthèse d’ATP.
 Certains H+ de l’espace intermembranaires peuvent servir aux phénomènes de co-
transports
 Structure de l’ATP synthétase
- Partie F0 : partie membranaire qui sert de canal pour le passage de
flux de protons
- Partie F1 : à l’intérieure de la matrice mitochondriale qui est
sphérique et qui sert à l’activité catalytique ATPasique.

Bilan de la respiration

L’ATP formé sera soit utilisé dans la mitochondrie soit retournera dans le cytosol via les
translocases ATP/ADP.

Les mitochondries interviennent également dans :


→ La synthèse d’hormones stéroïdes
→ La synthèse de phospholipides
→ La synthèse d’acides aminés
→ L’homéostasie du calcium, des glucides, du fer et des lipides
La mt est le lieu de stockage du calcium
→ La thermogénèse
L’interruption de la synthèse d’ATP et production de chaleur
→ L’apoptose
Libération du cytochrome c qui active l’apoptose
III. Les peroxysomes
 Auto-replicables par scissiparité
 Présents chez toutes les cellules eucaryotes (SAUF GR).
 Ce sont des organites de petite taille (0,15 à 0,17µm) entourés d’une seule membrane
et contiennent de très nombreuses enzymes (50 différentes).
 Ces dernières sont susceptibles de mener des réactions aboutissant à la formation
d’énergie.
 Ces organites dépourvus de génome sont le siège de réactions d’oxydation aboutissant
à la synthèse de peroxydes.
Des catalases transforme ce peroxyde d’hydrogène en eau ou l’utilise pour d’autres
réactions d’oxydation.
Contrairement aux mitochondries l’oxydation des acides gras ne conduit pas à la
synthèse d’ATP.

Les peroxysomes interviennent :


→ L’homéostasie des lipides, acides gras
→ La conversion du cholestérol en sels biliaire
→ La respiration cellulaire
→ La biosynthèse du cholestérol
→ Le métabolisme des acides aminés et des purines
→ L’α-oxydation
→ La production et la dégradation du peroxyde d’hydrogène
→ Chez les végétaux : la conversion des acides gras contenus dans les graines en glucides

IV. Les origines des mitochondries et des chloroplastes

Une théorie existe selon laquelle les cellules eucaryotes proviendraient d’associations de type
symbiotique avec des procaryotes.
En effet l’étude des mitochondries et des chloroplastes laisse penser que ces deux organites
proviendraient d’un phénomène d’entrée des procaryotes dans des cellules volumineuses.

Arguments pour : Arguments contre :

 Taille similaire procaryotes –  Le code génétique diffère


mitochondries  L’ADN bactérien n’a pas d’introns
 Mode de division similaire contrairement à l’ADN mitochondrial
 ADN circulaire fixé à la membrane
 Ressemblance des ribosomes
 Tri conservateur :
 Mitochondries : bactérie aérobie
 Chloroplastes : bactérie capables
de photosynthèse
Production d’énergie

Décembre 2015 :

Décembre 2014 :

QUESTION N°10
A propos de la production d’énergie dans les cellules, quelle(s) est (sont) la (les)
proposition(s) exacte(s) ?
A. seuls les nucléotides tri-phosphates comme l’ATP et le GTP sont susceptibles de
libérer de l’énergie lors de leur hydrolyse
B. c’est sous forme de protéines achevées que les enzymes mitochondriales
pénètrent dans la matrice mitochondriale
C. le bilan de la transformation d’une molécule de glucose en pyruvate aboutit à la
production de 4 ATP
D. dans une cellule animale, seules les mitochondries sont le siège de la formation
d’ATP
E. la glycolyse en anaérobie produit plus d’ATP grâce à la fermentation qu’en aérobie

QUESTION N°11
A propos des mitochondries, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
A. elles ne proviennent que de la division de mitochondries pré-existantes
B. en volume, elles peuvent représenter jusqu’à 50% du volume de certaines cellules
C. on en trouve dans toutes les cellules eucaryotes animales comme végétales
D. quel que soit le type cellulaire, leur nombre est invariable
E. le nombre de replis de la membrane interne est un signe de l’activité de synthèse
d’ATP

QUESTION N°12
A propos de la synthèse d’énergie dans une cellule, quelle(s) est (sont) la (les)
proposition(s) exacte(s) ?
A. la succinate déshydrogénase est la première enzyme à intervenir dans la chaîne
respiratoire
B. c’est sous la forme d’acétyl-CoA que le pyruvate issu de la glycolyse entre dans la
mitochondrie
C. c’est sous la forme d’acyl-CoA que les lipides pénètrent dans la mitochondrie
D. le retour des ions H+ de l’espace intermembranaire vers la matrice mitochondriale
est dû au gradient de protons entre ces deux compartiments
les lipides vont subir de nombreuses réactions de réduction avant de rentrer dans le
cycle de Krebs

QUESTION N°24

A propos de la production d'énergie dans la cellule, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s)
exacte(s) ?
A. le pyruvate est décarboxylé dans le cytosol avant d'entrer dans la matrice
mitochondriale
B. la transformation d'acide pyruvique en acide lactique produit de l'ATP
C. en présence de dioxygène, la mitochondrie utilise l'acide pyruvique pour produire
de l'énergie
D. le cycle de Krebs produit 2 molécules de dioxyde de carbone pour une molécule
de glucose
E. l'activation des acides gras en acyl-AMP consomme de l'énergie sous forme
d’ATP

Parmi les substances suivantes :

A. Alpha-amanitine
B. Corticoïde
C. Chloramphénicol
D. Cycloheximide
E. Colchicine

QUESTION N°63
Quelle est celle qui inhibe la traduction dans les mitochondries ?
Décembre 2013

QUESTION N°21
A propos de la production d'énergie dans la cellule, quelle (s) est (sont) la (les)
réponse(s) exacte(s) :

A. Le cycle de Krebs produit de l'ATP et du GTP


B. L'acétylCoA peut provenir des glucides comme des lipides
C. La dégradation de protéines peut aboutir à la production de molécules d'ATP
D. Le cyanure bloque la glycolyse
E. La production d'ATP s'accompagne de la synthèse de molécules d'eau
QUESTION N°23

A propos de la chaine respiratoire, quelle (s) est (sont) la (les) réponse(s) exacte(s) :

A. La succinate déshydrogenase oxyde le FADH2


B. La cytochrome oxydase est la dernière enzyme à intervenir dans la chaine de
transporteurs d'électrons
C. Le NADH cytoplasmique cède ses électrons à la succinate déshydrogénase
D. Le cytochrome b est un canal à proton
E. Le dioxyde de carbone est un inhibiteur de la chaîne respiratoire

Décembre 2012

QUESTION N°14

Les protéines mitochondriales :

A. Sont retrouvées uniquement dans la matrice mitochondriale


B. Sont majoritairement synthétisées dans le cytoplasme
C. Peuvent être des ADN polymérases
D. Possèdent des séquences spécifiques d'adressage
E. Peuvent être des protéines chaperonnes

QUESTION N°16
À propos de la production d'énergie dans une cellule :

A. La glycolyse est entièrement cytoplasmique


B. Tous les NADH produits lors de la dégradation d'une molécule de glucose sont à
l'origine de la formation de 3 ATP
C. Dans une cellule eucaryote, il y a beaucoup plus de façons de consommer de l'ATP
que d'en produire
D. Le cycle de Krebs utilise comme substrat des substances aussi bien d'origine
glucidique que lipidique
E. Dans les réactions de l'hélice de Lynen, il s'agit essentiellement de phénomènes
de réduction de substrats

QUESTION N°17

À propos de la mitochondrie :

A. Elle contient de l'ADN comme d'autres organites cellulaires


B. L'entrée des protéines mitochondriales est un mécanisme post-traductionnel
C. La NADH déshydrogénase est d'origine nucléaire uniquement
D. Son génome est de taille similaire à celui d'une bactérie classique
E. La membrane interne est sensiblement identique à la membrane plasmique
Décembre 2011 :

Correction :

Décembre Décembre 2014 Décembre 2013 Décembre Décembre


2015 : 2012 2011 :

Q31 : D Q10 : B Q21 : A B C E Q14 : B C Q1 : E


DE

Q32 : CD Q11 : A B E Q23 : A B C D Q16 : A C Q2 : C


D

Q12 : C D Q17 : A B

Q24 : C E

Q63 : C

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