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EXPOSÉ DE CYTOLOGIE

Thème

LA MITOCHONDRIE
TBM 1: GROUPE 9 & 10
PLAN
INTRODUCTION

I_STRUCTURE ET BIOSYNTHÈSE
II_FONCTIONS ET ACTIVITÉS
CONCLUSION
INTRODUCTION

La mitochondrie est un organite clos possédant les caractéristiques d’une cellule procaryote,
présente dans toutes les cellules des organismes eucaryotes et joue un rôle primordial dans la
vie et la mort cellulaire. Elle est Abondante dans toutes les cellules ayant des besoins
énergétiques permanents, possède son propre génome et a un nombre régulé en fonction de
l’activité métabolique. Au cours de ce phénomène, l'énergie libérée par l'oxydation des
substrats organiques est mise en réserve sous forme d'un composé à potentiel énergétique
élevé, l'ATP, par phosphorylation de l'ADP. La phosphorylation est couplée à l'oxydation, le
phénomène est donc décrit sous le nom de phosphorylation oxydative.
Après une brève généralité sur la mitochondrie, il est primordial de nous interroger sur ses
constituants et ses grandes fonctions dans les cellules de l’organisme.
INTRODUCTION

I ES
NR
HO
OC
M IT

Vue éclatée d'une cellule mettant en évidence des


mitochondries dans le cytoplasme
I) Structure et biosynthèse
A) l’origine évolutive mitochondriale
Les mitochondries sont des organites cytoplasmiques limités par deux
membranes. On en compte environ 1000 par cellule chez l'Homme. Leurs
fonctions principales sont :

- la production d'énergie

- le stockage d'énergie (sous forme d'ATP). C'est le fruit d'une coopération


biologique performante entre la cellule eucaryote et ses mitochondries qui
apportent l'énergie nécessaire aux biosynthèses.
B) l’origine de leur double membrane

Chambres et protéines membranaires qui


composent une mitochondrie
L'hypothèse de l'endosymbiose : les mitochondries dérivent des
bactéries aérobies qui ont été phagocytées par la cellule eucaryote
primitive sans être dégradées, ce qui explique la double membrane :
- externe d'origine cellulaire

- interne d'origine bactérienne.


On appelle chondriome l'ensemble des mitochondries d'une
cellule. Les mitochondries sont toujours en très grand nombre,
proportionnel à la consommation énergétique de la cellule. Elles
sont situées dans la zone la plus active de la cellule. On en trouve
en quantité élevée dans les cellules à forte demande énergétique
comme les cellules musculaires ou le flagelle d'un spermatozoïde.
A l'inverse, on en trouve en nombre restreint dans les cellules
végétales (certaines algues n'ont qu'une mitochondrie !).
D) Structure et constitution
Répartition globale : - H2O à 65% - Protéines à 20% - Lipides à
10% - Nucléotides à 1% - Cations - Vitamines A et C. Elles sont
délimitées par 2 membranes : externe (relativement plane et lisse)
et interne (fortement plissée). Elles sont formées d'une bicouche
lipidique et de protéines. Entre les deux, l'espace
intermembranaire (ou chambre externe) de 6 à 8 nm d'épaisseur.
L'espace circonscrit par la membrane interne constitue l'espace
matriciel (ou chambre interne) renfermant la matrice.
1) La membrane externe

Elle comporte 60% de protéines et 40% de lipides (principalement


phospholipides insaturés et un peu de cholestérol). Elle possède des
protéines de transport mais également des enzymes et des récepteurs
protéiques (pour la reconnaissance et l'importation de protéines dans
les mitochondries). Cette membrane est assez proche, dans sa
composition, des membranes du réticulum endoplasmique (en
particulier elle contient des enzymes impliquées dans le métabolisme
des lipides).
Structure membranaire de la mitochondrie
La membrane mitochondriale externe se caractérise donc par une
forte perméabilité due à la présence de protéines à plusieurs
domaines transmembranaires, les porines (appartenant à la
catégorie des "conductines" ou "protéines tunnel". Chaque porine
définit un canal aqueux traversant la bicouche lipidique et laissant
passer toutes les molécules de masse moléculaire égale ou
inférieure à 7KDa. On notera en particulier que la membrane
externe est perméable aux protons.
2) La membrane interne

Elle émet des invaginations qu'on appelle les crêtes mitochondriales qui
augmentent la surface d'échange entre le milieu extérieur et l'intérieur de la
mitochondrie (la matrice). La forme de ces crêtes peut varier suivant l'espèce,
les crêtes tubulaires étant les plus répandues, il existe aussi des crêtes
vésiculaires. Elle comporte 75% de protéines pour seulement 25% de lipides.
On trouve des protéines de trois types : les protéines de transport de molécules
(comme les perméases), des protéines de transport d'électrons (pour
oxydoréduction de la chaîne respiratoire), et des enzymes et complexes
enzymatiques (en particulier l'ATP Synthétase).
En ce qui concerne les lipides, il faut signaler le faible taux de
cholestérol (moins de 3% des lipides) et la présence d'une famille
particulière de phospholipides : les cardiolipines, molécules
comportant 4 chaînes d'acides gras, qui sont responsables de
l'imperméabilité aux ions de la membrane interne (imperméabilité
aux protons H+ en particulier) sauf s'ils empruntent des perméases
spécifiques.
3) Espace matriciel
Fluide dense contenant des polynucléotides (ADN et ARN) et des nucléotides phosphates
(ADP, ATP). On trouve également de petits ribosomes qu'on appelle mitoribosomes. Enfin,
on trouve des réserves sous formes de granules (les phosphates calciques). On y met aussi
en évidence de très nombreuses protéines (la concentration en protéines est de 500 mg/ml
dans la matrice) dont une centaine d'enzymes et coenzymes : - des enzymes d'oxydation -
des enzymes intervenant dans les phénomènes de réplication, de transcription, et de
traduction du matériel génétique - le coenzyme A, une petite molécule (dérivée d'une
vitamine du groupe B) qui intervient dans le transfert enzymatique des groupements acyle
(A signifie "acétylation"). Enfin, des ions Mg++ et Ca++ (20 à 50% du calcium cellulaire
est stocké dans les mitochondries).
4) Espace inter membranaire

On y met en évidence des enzymes de type kinases, qui catalysent la


phosphorylation de diverses molécules. On note en particulier la présence
d'adényl-kinases qui catalysent la phosphorylation de l'AMP en ADP suivant la
réaction : AMP + ATP ==> 2 ADP
E) Biogénèse des mitochondries
1) Division mitochondriale
Une mitochondrie dérive toujours d'une mitochondrie mère. Elle peut se diviser
toute les 2h in vitro, de deux manières différentes : - par segmentation :
étranglement d'une région de la mitochondrie aboutissant à la fusion des
membranes internes - par partition : allongement d'une crête mitochondriale qui
va diviser la mitochondrie en 2 pour donner deux mitochondries filles
2) ADN mitochondrial

L'ADN mitochondrial est formé de 2 brins circulaires d'environ 17 kilobases, sans intron, à
séquences non codantes très courtes. 5 à 10% des protéines mitochondriales sont synthétisées
à partir de cet ADN mitochondrial.
3) Maladies mitochondriales

Les maladies mitochondriales liées à l'ADN mitochondrial touchent 1 naissance sur 10 000 et
touchent les deux sexes. La transmission est maternelle. L'effet dépend du nombre de
mitochondries touchées. Les maladies mitochondriales liées au génome nucléaire touchent 1
500 protéines mitochondriales codées par le noyau. Les tissus atteints sont ceux à gros
besoins énergétiques (cerveau, muscles squelettiques, cœur…). La transmission est
mendélienne (car ADN nucléaire).
4) Importation des protéines

La plus grande partie des protéines mitochondriales est synthétisée dans le


cytoplasme. Ces protéines doivent secondairement traverser la membrane
externe et la membrane interne (auxquelles elles peuvent s'intégrer s'il s'agit de
protéines membranaires) pour entrer dans la chambre matricielle, puis
éventuellement retourner dans la chambre externe. La plupart des polypeptides
destinés à pénétrer dans la mitochondrie sont solubles dans le cytoplasme. Ils
possèdent une séquence "signal" spécifique d'une trentaine d'acides aminés,
riche en arginine et en lysine (charges +) à leur extrémité N terminale (la
première synthétisée).
Une minute ou deux après la fin de leur synthèse, les polypeptides précurseurs des protéines
mitochondriales, portant la séquence signal, se lient par leurs régions hydrophobes à des
protéines du groupe des protéines "chaperons". Ces protéines de la famille hsp (heat shock
proteins) préviennent temporairement le pliage tridimensionnel du polypeptide néosynthétisé.
Le signal peptidique (préséquence) du polypeptide précurseur est reconnu et fixé par un
récepteur situé sur la membrane externe de la mitochondrie lié à un canal appelé TOM puis il
se transporte par translocation latérale à un niveau où les deux membranes, externe et interne
sont très rapprochées et se met en regard d'un autre complexe canal TIM23. Le polypeptide
déployé s'engage dans le canal de translocation formé par TIM/TOM commun aux deux
membranes. Au fur et à mesure de sa translocation, les chaperons hsp se détachent du
polypeptide (ce qui nécessite une fourniture d'énergie par hydrolyse de molécules d'ATP).
Le passage du polypeptide à travers les membranes est activé par
l'existence du gradient électrique de la membrane interne de la
mitochondrie (déficit en charges + sur la face matricielle de la membrane
mitochondriale interne) qui fournit la force motrice nécessaire à la
translocation.

Biosynthèse et échange transmembranaire


La protéine dans la chambre interne est associée à des chaperons hsp
mitochondriaux puis en sera libérée après consommation d'ATP. Une fois passée
dans la chambre interne, la séquence signal du polypeptide précurseur est
excisée par une protéase. Les polypeptides destinés aux mitochondries peuvent,
suivant diverses modalités dérivant de celle décrite ci-dessus, demeurer dans la
matrice, s'intégrer à la membrane externe, ou à la membrane interne, ou se
localiser dans la chambre externe. Dans ce dernier cas, la région N terminale
démasquée par l'excision de la séquence signal est-elle même porteuse d'une
séquence d'adressage hydrophobe qui détermine le polypeptide à s'enfoncer
dans la membrane interne, ou à passer dans la chambre externe.
II) Fonctions et activités
A) Synthèse d'ATP : généralités
Une première fonction des mitochondries est de participer aux synthèses
d'ATP dans la cellule par phosphorylation de l'ADP (adénosine diphosphate)
en ATP (adénosine triphosphate). Cette activité est fondamentale, en effet
l'ATP est la principale forme de stockage de l'énergie cellulaire : l'ATP est un
transporteur de groupe phosphoryle activé. Une cellule de mammifère contient
en moyenne un milliard de molécules d'ATP, et dégrade et remplace
complètement son pool d'ATP en 1 ou 2 minutes. 10 millions de molécules
d'ATP sont utilisées chaque seconde et par cellule.
En une minute, le corps humain consomme 1 gramme d'ATP.
L'apport initial d'énergie est fourni par les aliments ingérés par
l'organisme : protéines, lipides, et glucides sous forme de
complexes macromoléculaires, ils sont dégradés en molécules plus
petites lors de la digestion globale effectuée dans l'appareil digestif,
d'une part, puis dans les cellules elles-mêmes.
B) Oxydations
Un premier mécanisme mis en œuvre dans les transformations
d'énergie consiste en une oxydation des substrats organiques, c'est à
dire en une déshydrogénation de ces substrats. Les oxydations
s'effectuent pour une part modeste dans le cytoplasme, et pour
l'essentiel au niveau des mitochondries.
1) Cytoplasme et glycolyse

La glycolyse : une molécule de glucose est convertie en 2 molécules de


pyruvate et 2 molécules d'ATP. 2 molécules de Nicotinamide Adénine
Dinucléotide sont réduites : 2 NAD+ + 4H ==> 2 NADH + 2 H+ La glycolyse
ne transforme en ATP qu'une faible partie de l'énergie potentielle du substrat.
Le pyruvate et le NADH + H+ recèlent encore un potentiel énergétique élevé.
En anaérobiose, le bilan énergétique reste donc faible. Les molécules de
pyruvate et de NADH + 2H+ sont transférées aux mitochondries, et l'énergie
dont elles sont porteuses sera récupérée en présence d'oxygène dans le cadre
de la glycolyse aérobie.
2) Pyruvates

Les pyruvates peuvent passer directement à travers la membrane


externe de la mitochondrie (porines), puis ils traversent la membrane
mitochondriale interne et rejoignent la matrice mitochondriale grâce à
des transporteurs spécifiques, les pyruvate-translocases qui sont des
navettes assurant de façon couplée (symport) le passage du pyruvate
et de protons H+.
3) Lipolyse

Les triglycérides sont dégradées (lipolyse) dans le cytoplasme des


adipocytes sous l'action de lipases en acides gras sont transférés au
niveau des mitochondries. Les acides gras sont associés à des
molécules de Coenzyme A faisant partie du stock cytoplasmique de
CoA dans le cytoplasme, il se forme ainsi des acyl-CoA. La réaction
est catalysée par des enzymes de la membrane externe de la
mitochondrie (acyl-CoA synthétases ou thiokinases) dont le site
catalytique est situé sur la face cytoplasmique de la membrane.
Le groupement acyl est ensuite transféré sur une autre molécule, la
carnitine (acide alcool azoté), la réaction est catalysée par une enzyme
de la membrane interne, la carnitie acyl transférase, dont le site
catalytique est orienté vers la chambre externe. L'acyl carnitine est
transportée, via un transporteur antiport dans la chambre interne. Dans
la matrice, les acides gras sont libérés de la carnitine, qui retourne vers
le cytoplasme : ils sont transferés sur des molécules de Coenzyme A
faisant partie du stock matriciel de CoA.
4) Matrice mitochondriale

Les acides gras, les molécules de pyruvate et les NAD réduits


quittent donc le cytoplasme et pénètrent dans la mitochondrie en
traversant la membrane externe et la membrane interne. Ils
aboutissent dans la matrice mitochondriale où les phénomènes
d'oxydation se poursuivent.
C) La chaîne respiratoire
Le passage des protons dans la chambre externe crée une forte concentration de
protons (10 fois supérieurs à celle de la chambre interne) ce qui détermine la
formation d'un gradient de pH à travers la membrane interne de la mitochondrie.
En effet, il y a un déficit de H+ dans l'espace matriciel par rapport à la chambre
externe, donc le pH est plus élevé (alcalin) dans la matrice (pH 8) qu'il ne l'est
dans la chambre externe (pH 7,2). Il crée un potentiel de membrane à travers la
membrane interne de la mitochondrie, la face matricielle étant négative par
rapport à la face externe où s'accumulent les charges positives.
Le gradient de pH (gradient chimique) tend à ramener les H+ vers la
matrice et à faire sortir les OH-, le potentiel de membrane (gradient
électrique) tend lui aussi à attirer les ions positifs vers la matrice et à
faire sortir les ions négatifs. L'énergie cédée par les électrons au cours
de leur transport dans la chaîne respiratoire est ainsi convertie dans la
réalisation d'un gradient électrochimique, qui tend à faire rentrer les
protons H+ vers la matrice. La membrane interne étant globalement
imperméable aux protons, ceux ci ne pourront retourner vers la matrice
qu'en utilisant une perméase spécifique.
D) L'ATP synthétase

Complexe protéique : l'ATP Synthétase


Il existe dans la membrane interne de la mitochondrie un complexe protéique
(l'ATP Synthétase) capable de jouer ce rôle de perméase spécifique vis à vis des
protons H+. Il correspond aux particules élémentaires observées sur coupe en
microscopie électronique à transmission sur face matricielle de la membrane
interne.

Il existe dans la membrane interne de la mitochondrie un complexe protéique


(l'ATP Synthétase) capable de jouer ce rôle de perméase spécifique vis à vis des
protons H+. Il correspond aux particules élémentaires observées sur coupe en
microscopie électronique à transmission sur face matricielle de la membrane
interne.
1) Bilan de la phosphorylation oxydative

Le passage des protons dans la chambre externe crée une forte concentration de
protons (10 fois supérieurs à celle de la chambre interne) ce qui détermine la
formation d'un gradient de pH à travers la membrane interne de la mitochondrie.
En effet, il y a un déficit de H+ dans l'espace matriciel par rapport à la chambre
externe, donc le pH est plus élevé (alcalin) dans la matrice (pH 8) qu'il ne l'est
dans la chambre externe (pH 7,2). La phosphorylation oxydative est le processus
par lequel l'ATP est synthétisé lorsque les électrons sont transférés du NADH à
l'oxygène par une série de transporteurs d'électrons.
1) Bilan de la phosphorylation oxydative

Phosphorylation oxydative et synthèse d’ATP


1) Bilan de la phosphorylation oxydative

On constate donc qu'une molécule de glucose peut produire


38 ATP dont 2 molécules d'ATP produites lors de la glycolyse
dans le cytoplasme et 36 molécules d'ATP produites par
phosphorylation oxydative dans la mitochondrie. Par
comparaison, la phosphorylation oxydative d'une molécule
d'acide gras (palmitate) produit de 110 à 130 molécules d'ATP.
2) Inhibiteurs de la phosphorylation oxydative
La rotenone, molécule d'origine végétale utilisée comme insecticide,
bloque le complexe I (NADH Coenzyme Q réductase) donc le transport
des électrons sur les chaines respiratoires initiées à ce niveau, ce qui réduit
très fortement la synthèse d'ATP. Le cyanure (KCN) inhibe le
fonctionnement de la chaine respiratoire en se liant fortement et de façon
irréversible au complexe IV (cytochrome oxydase).
E) Apoptose
Les mitochondries jouent un rôle important dans les mécanismes de l'apoptose (cf
apoptose). La mitochondrie et le cytochrome c jouent un rôle capital dans la mort
cellulaire programmée.
 Suite au « signal de mort », plusieurs protéines Bax s'assemblent et forment un
pore de
perméabilité dans la membrane externe de l'enveloppe mitochondriale.
 Le pore de perméabilité ainsi crée permet la fuite du cytochrome c
 Dans le cytoplasme, cytochrome c participe à l'assemblage d'un complexe
protéique,
l'apoptosome, recrutant des protéases aboutissant à la destruction de la cellule.
E) Apoptose

Rôle de la mitochondrie dans la mort cellulaire


programmée
CONCLUSION
Les mitochondries sont donc des organites à génome propre manifestant une
certaine autonomie, mais parfaitement intégrées dans la physiologie cellulaire car
résultant de l’évolution d’une symbiose ancestrale. Elles permettent de convertir
le glucose en molécule énergétique, ATP. Ce processus comprend plusieurs
étapes, dont le cycle de Krels, un ensemble de réactions métaboliques qui a lieu
dans la matrice de la mitochondrie. On ne peut pas vivre sans les mitochondries.
Morphologiquement, elles sont dynamiques dans le temps et dans l’espace. Elles
fonctionnent grâce à un double code génétique (ADNml + ADNn), il y a donc un
import majeur de protéines mitochondriales. Les mitochondries possèdent des
sous structures organisées en complexes. Enfin, elles jouent un rôle majeur dans
la physiopathologie des maladies génétique et sporadiques majeurs.
MERCI POUR VOTRE
AIMABLE ATTENTION

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