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I. GENERALITES
1. Définition et importance
• Le chondriome est l’ensemble des mitochondries d’une
cellule ou d’un tissu.
• Les mitochondries sont des organites cytoplasmiques à
double membrane
• Spécifique des cellules eucaryotes aérobies
• Présentes dans toutes les types de cellules sauf les
globules rouges.
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I. GENERALITES (2)
• Chaque cellule contient environ 1000 à 3000
mitochondries selon les types cellulaire.
• les cellules et les tissus qui contiennent beaucoup
de mitochondries sont, les cellules qui ont besoin d’énergie
ou qui en produisent beaucoup :
les cellules nerveuses, musculaires, adipeuses brunes, et
les cellules permettant des mécanismes de réabsorption
active de substance d’un milieu à un autre.
• Possèdent son propre génome
• Se déplacent grâce aux interactions avec le
cytosquelette.
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I. GENERALITES (3)
2. Historique :
• 1890 les progrès réalisés dans les techniques de
coloration en microscopie ont permis à R. Altmann de
montrer des structures qui apparaissaient comme des
filaments (en grec « mitos »).
• 1898 Ces observations ont conduit à la naissance du
terme « mitochondrie » proposé par C. Benda.
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I. GENERALITES (4)
• En 1932,, Bensley : isole les mitochondrie à partir du
foie de cobaye;
• De 1952-1953 Palade et Sjostrand, décrivent
l’organisation générale de la mitochondrie telle que nous la
connaissons actuellement, grâce a la microscopie
électronique.
• De 1964-1965, Schatz et Nass, mettent en évidence
l’ADN mitochondrial.
• En 1996, Liu et al, décrivent le rôle des mitochondrie
dans l’apoptose.
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II. DESCRIPTION MORPHOLOGIQUE
II.1. Aspect morphologique en microscopie optique
II.1.1. Moyens d’étude :
• Il est possible d’étudier les mitochondries sans
coloration, dans les cellules vivantes en culture, en utilisant
la microscopie en contraste de phase.
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II.1.1. Moyens d’étude (2)
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II.1.2. Morphologie
leurs formes peuvent être
Globulaires:
0,5 à 1μm de diamètre
Filamenteux: jusqu’à 10μm de long
• Nombre variable selon type cellulaire (et besoins
énergétiques)
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Figure 1 : aspect des mitochondrie en M.O. G:X100
11
Figure 2 : Visualisation des mitochondries par immuno-marquage
12
II.1.2. Morphologie (2)
13
Figure 3 : variation morphologique des mitochondries
dans le temps
14
II.1.3. distribution
La répartition des mitochondries est différente selon le
type cellulaire, et fonction des besoins locaux en énergie.
• Dans les cellules hépatiques, elles se répartissent d’une
manière uniforme dans le cytoplasme.
• Dans le muscle strié squelettique, elles se disposent
en face des disques A des myofibrilles;
• Dans les tubes excréteurs du rein, elle sont situées dans
la région basale de la cellule.
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Figure 4 : représentation schématique de la distribution des mitochondrie dans le
muscle cardiaque et le flagelle
16
II.2. Aspect morphologique en microscopie
électronique
• La mitochondrie est constituée par une enveloppe
et une matrice (ou chambre interne).
• l’ enveloppe, ou paroi mitochondriale, comprend :
une membrane externe uniforme et continue
une membrane interne plissée vers l'intérieur et forme
des crêtes.
• entre les deux membranes on a l'espace
intermembranaire (ou chambre externe).
17
Figure 5 : aspect d’une mitochondrie en ME
18
Figure 6 : représentation schématique d’une mitochondrie
19
II.2. Aspect morphologique en microscopie
électronique
II.2.1. La membrane externe :
• C’est une bicouche lipidique, perméable, d’une épaisseur
de 5-7nm;
• Sa composition chimique est proche de celle de la
membrane plasmique avec un feuillet hydrophobe compris
entre deux feuillets hydrophiles;
• Le feuillet moyen est occupé par des protéines dont le
diamètre varie 5-10nm.
20
Figure 7 : Structure de la membrane plasmique
21
II.2.1. La membrane externe (2)
• composée d’environ 60 % de protéines et 50% de lipides
• Elle contient :
Des porines (30 kDa):
o protéines transmembranaire, regroupées autour d’un
pore d’un diamètre de 2 à 3 nm.
o Permettent le transport passif de molécules dont le
poids moléculaire est inférieur ou égal à 10 kDa
o Elles ont la propriété de se lier avec les MAP2
(microtubule-associated protein).
22
II.2.1. La membrane externe (3)
23
II.2.1. La membrane externe (4)
Des récepteurs d’importation Tom (translocase of the
outer membrane) 37, 70,20,22, 5 :
• Qui reconnaissent les séquences d’adressage des
protéines d’origine cytoplasmique destinées à la
mitochondrie.
Des complexes d’importation des protéine à destination
mitochondriale Tom 40, associé à trois petites protéines
Tom 5, 6, et 7, qui constituent un canal
transmembranaire.
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II.2.1. La membrane externe (5)
Autres constituants :
o Une acyl-CoA synthétase (transforme les acides gras en
acyl-CoA)
o Molécules de monoamine oxydase (catalyse la
désamination oxydative des amines).
o La protéine blc-2 (B cell lymphoma; lymphome à cellule
B) dont la surexpression bloque l’apoptose.
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II.2. Aspect morphologique en microscopie
électronique
II.2.2. L’espace intermembranaire
• D’une épaisseur variable de 4 à 7nm
• Sa composition en ions et petites molécules est proche
de celle du hyaloplasme,
• Il renferme :
Des protons H+ issues de la chaîne respiratoire, jouent un
rôle capital dans la phosphorylation de l’ADP.
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II.2.2. L’espace intermembranaire
27
II.2. 3. La membrane interne
• Bien qu’ayant la structure d’une bicouche lipidique,
l’organisation de la membrane interne diffère
complètement de celle de la membrane externe;
• Elle contient 80 % de protéines et 20 % de lipides.
• Dépourvue de cholestérol mais riche en
phosphatidylcholine et en cardiolipine responsable de la
forte imperméabilité de cette membrane aux ions, y
compris les H+ et petites molécules.
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II.2. 3. La membrane interne (2)
II.2. 3. 1. Les crêtes mitochondriales :
• La membrane interne s’invagine profondément dans
la matrice et forment des structures appelées crêtes
mitochondriales;
• Ces crêtes augmentent considérablement la surface
la membrane et favorisent l’existence supplémentaire
d’unités de phosphorylation oxydative.
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II.2. 3. 1. Les crêtes mitochondriales (2)
• La base d'une crête est souvent constituée par une
structure tubulaire étroite appelée tube de jonction de
crête qui établit une communication entre l'espace
intérieur de la crête et l'espace intermembranaire
• Le nombre des crêtes est proportionnel à l’activité de la
Cellule;
30
Figure 8 : représentation schématique d’une crêtes
31
II.2. 3. 1. Les crêtes mitochondriales(3)
• La forme varie avec les fonctions et l’activité de la cellule.
Elles peuvent être :
Lamellaires : dans les mitochondrie à haute activité
cellulaire. Exemple dans les cellules musculaires;
Arciforme : dans la graisse brune
Tubulaire : dans les cellules de Leydig
Prismatiques dans les astrocytes
Sacculaire : dans le muscle
• Ces différentes formes peuvent coexister dans la même
mitochondrie et évoluer avec le temps
32
II.2. 3. 2. Composition protéique
33
II.2. 3. 2. Composition protéique (2)
34
II.2. 3. 2. Composition protéique (3)
35
II.2. 3. 2. Composition protéique (4)
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II.2. 3. 2. Composition protéique (5)
• Des transporteurs d’électrons et de protons ou
complexes de la chaîne respiratoire:
Complexe I ou le NADH- déshydrogénase
Complexe II ou succinate- déshydrogénase
Complexe III ou cytochrome c oxydoréductase
Complexe IV ou cytochrome oxydase
37
II.2. 3. 2. Composition protéique (6)
38
Figure 9 : composition protéique de la membrane
interne
39
II.2. 4. La matrice mitochondriale
40
II.2. 4. La matrice mitochondriale (2)
41
II.2. 4. La matrice mitochondriale (3)
42
III. LE GENOME MITOCHONDRIAL
43
III. 1. L’ADN mitochondrial (2)
• Environ 5 à 10 copies par mitochondrie avec parfois une
hétéroplasmie mitochondriale, c'est-à-dire la présence
dans un même tissu, et peut-être même dans une même
cellule, de molécules d'ADN mt de structures différentes
avec répétition ou délétion de certaines séquences.
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III. 2. Les gènes
45
III. 2. Les gènes (2)
46
III. 2. Les gènes (3)
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III. 2. Les gènes (4)
Le génome mitochondrial ne fonctionne pas comme celui
du noyau:
Le code génétique est différent, le même codon ne
codent pas les mêmes acides aminés;
Les ARNm (ARN messager) ne possèdent ni séquence
initiale, ni séquence terminale;
Il n’existe qu’un seul promoteur par brin d’ADN.
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Tableau 1 : exemples de variations
49
Figure 10 : génome mitochondrial
50
III. 3. Les mitoribosomes
• Deux sous-unités:
Petite ss-u: 25 à 33 S
Grande ss-u: 35 à 45 S
La quasi totalité des protéines des mitoribosomes, est
synthétisée dans le cytoplasme.
51
III. 4. Importation des protéines cytosoliques
• La majorité des protéines mitochondriales sont codées
par le génome nucléaire et puis adressée à la mitochondrie.
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III. 4. Importation des protéines cytosoliques
• Dès que chacune des préprotéines émerge du ribosome,
elle se lie à :
- une protéine chaperonne cytosolique MSF (facteur
mitochondrial d’activation de l’importation) et
- Hsp 70, proteine de choc thermique;
Elles forment des complexes avec elle et les maintiennent
dans un état replié et non agrégé.
Deux complexes de translocation agissent ensuite de
concert : les complexes TOM et TIM.
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III. 4. Importation des protéines cytosoliques
Les TOM:
-Tom(70, 22 et 20) reconnaissent le précurseur protéique;
- Tom (40, 5, 6 et 7) forment des pores à travers la
membrane externe permettant le passage du précurseur.
Ce dernier est ensuite pris en charge par Tim (50, 23, 21 et
17) puis transloqué.
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III. 4. Importation des protéines cytosoliques
• Les préproteines, qui viennent de pénétrer dans la
matrice mitochondriale, ne se replient qu’après clivage de la
séquence d’adressage par une protéase.
• Les chaperonnes Hsp60 et Hsp10 interviennent alors
pour replier les protéines qui, en fonction de leur nature,
elles pourront soit séjourner dans la matrice, soit s’insérer
dans la membrane interne, soit passer dans l’espace
intermembranaire.
55
Figure 11 : Importation des protéines cytosoliques
56
Figure 12 : Protéine du complexe TOM et TIM
57
III. 5. Division – fusion et mort des mitochondries
La taille du chondriome évolue en fonction des besoins
énergétiques de la cellule et résulte de la balance entre la
fusion et la division mitochondriale.
58
III. 5. Division – fusion et mort des mitochondries
59
Figure 13: division d’une mitochondrie
60
III. 5. Division - fusion et mort des mitochondries
III. 5 . b . La fusion
Elle correspond à l’assemblage de deux mitochondries en
une seule plus grande;
Elle participe à la restauration et la réparation des
mitochondries;
C’est un mécanisme complexe et mal compris.
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III. FONCTIONS DES MITOCHONDRIES
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III.1 RESPIRATION CELLULAIRE(2)
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III.1.1.1. Les glucides (2)
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III.1.1.1. Les glucides (3)
• Le radical acétyle du acétyl-CoA est lié à l'oxaloacétate
pour produire le citrate;
Ainsi commence un cycle essentiel, le cycle de Krebs,
suivant une séquence organisée de réactions enzymatiques,
avec l’oxaloacétate comme substrat initial et terminal.
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III.1.1.1. Les glucides (4)
• Les H+ et les e- libérés à chaque cycle réduisent NAD+
matriciel et FAD++(flavine adénine dinucléotide)
• Ces coenzymes agissent comme agents de transfert
d’hydrogéne et d’électrons en vertu d’une oxydation et
d’une réduction réversible.
66
Figure 14 : source d’énergie des mitochondries
67
Figure 15 : Cycle de Krebs
68
III.1.1.1. Les glucides (5)
69
Figure 16 : bilan de la dégradation d’une molécule de glucose
70
III.1.1. Sources d’énergie de la mitochondrie
1.1.2. Les lipides
sont transformés en acides gras et glycérol sous l’influence
des lipases;
• Le glycérol est converti en pyruvate ou en glucose dans le
foie;
• Les acides gras sont activés au niveau de la membrane
externe aboutissant à la formation de molécules d’acyl-CoA
à longue chaine.
Acide gras + ATP + CoA-SH → acyl-CoA + AMP + PPi
71
1.1.2. Les lipides (2)
• L’acyl-CoA pénètre dans la matrice, après conjugaison à
la carnitine (acylcarnitine), grâce à une translocase
• L’acyl est rendu au CoA sous l’action de la carnitine acyl-
transférase;
Dans la matrice cette acyl-CoA subit la béta oxydation, qui
regroupe une succession de réactions enzymatiques (hélice
de Lynen).
72
1.1.2. Les lipides (3)
73
Figure 17 : Importation des acides gras
74
1.1.3. Les Acides aminés
• Les acides aminés n’apportent que 10% des besoins
énergétiques;
• Ils aboutissent, après désamination et dégradation de la
chaine carbonnée, à la formation de 7 molécules donnant
accès à 7points d’entrée du cycle de Krebs:
Alanine, cystéine, sérine → pyruvate
75
1.1.3. Les Acides aminés (2)
Isoleucine, leucine, tryptophane →acétyl-CoA
leucine, tyrosine → acétoacétyl-CoA,
Asparate, asparagine → oxaloacétate
Phénylalanine, tyrosine →fumarate
méthionie, valine →succinyl-CoA
Arginine,histidine, glutamine, proline →acide a-
cétoglutarique
Les fonctions amines des acides aminés en excès sont
transformées en urée.
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III.1.2. La chaîne respiratoire ou unité d’oxydation
77
Figure 18 : Transport d’électron sur membrane interne mitochondriale
78
III.1.2. La chaîne respiratoire ou unité d’oxydation(2)
79
III.1.2. La chaîne respiratoire ou unité d’oxydation(3)
80
III.1.2. La chaîne respiratoire ou unité d’oxydation(4)
• Le passage des ions H+ entraîne la rotation de la sous-
unité « c ».
Ce mouvement transfère l'énergie du flux de protons à la
synthèse de l'ATP à partir d’ADP et d’une Phosphate.
81
Figure 19 : Pompe de protons / d’électron-Chaine
respiratoire
82
III.1.2. La chaîne respiratoire ou unité d’oxydation(6)
• Le transport, dans le cytosol, de l’ATP est assuré par le
système Adénine nucléotide translocase ANT (ADP/ATP
translocase) qui couple la sortie d’une molécule d’ATP
matriciel à l’entrée d’une molécule d’ADP de la chambre
externe.
• Ce système évite l’engorgement de la mitochondrie et
règle le flux d'ATP et d'ADP.
83
Figure 20 : La chaîne respiratoire mitochondriale
84
III.2. Autres fonctions des mitochondries
85
III.2.1. Dans la thermogenèse (2)
Par contre l’énergie qui provient du catabolisme se
transforme en chaleur.
• Exemple : la graisse brune chez le nouveau-né synthétise
de grandes quantités de protéines UCP.
A la naissance, une rapide activation de l’UCP produit une
augmentation importante de la production de chaleur par
le nouveau-né.
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III.2.2. La régulation du calcium cytosolique
• La mitochondrie joue un rôle important dans le stockage
et l’homéostasie du calcium.
Elle est dotée de mécanismes de transport du calcium,
localisés dans la membrane interne.
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III.2.2. La régulation du calcium cytosolique (2)
88
III.2.2. La régulation du calcium cytosolique (3)
89
Figure21 : les différents canaux calcique de la membrane interne
90
III.2.2. La régulation du calcium cytosolique (4)
b-Mécanismes de sortie du calcium(2)
o Le pore de transition de perméabilité (PTP) : -
Habituellement fermés lorsque le taux de calcium est trop
élevé, les PTP s’ouvrent et libèrent d’importantes
quantités de calcium qui peuvent provoquer l’apoptose
(inhibé par la cyclosporine).
91
III.2.3. Le calcium dans le fonctionnement mitochondrial
92
III.2.3. Le calcium dans le fonctionnement mitochondrial(2)
93
III.2.3. Le calcium dans le fonctionnement mitochondrial(3)
94
III.2. 3. La fonction de synthèse
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Conclusion
La mitochondrie est un organite spécifique des
eucaryotes, leur ensemble forme un chondriome.
Elle contient son propre ADN qui est d’origine
maternelle.
Elle a comme fonction principale la transformation de
l’énergie, libérée par le catabolisme des glucides, des
lipides et des protéines, en ATP par phosphorylation
de l’ADP, grâce à un mécanisme complexe qui se
déroule dans la membrane interne, en présence
d’oxygène.
Son dysfonctionnement affecte la survie de la cellule.
96
Bibliographie
• B.Albert, A.Johnson, J.Lewis, M.Raff, K.Roberts,
P.Walker ; biologie moléculaire de la cellule;
Medecine-Sciences Flammarion; 4e édition avril
2007
• Le Marc Maillet; Biologie cellulaire; Masson; 9e
édition septembre 2004
• G Karp, Biologie cellulaire et moléculaire ; De
Boeck ; 2e édition avril 2004.
97
Bibliographie
• J.C Callen; Biologie cellulaire des molécules
aux organismes; Dunod; 2e édition; 2005
• http://www.uvp5.univparis5.fr/WIKINU/docvi
deos/Grenoble_1011/rachidi_walid/rachidi_w
alid_p02/rachidi_walid_p02.pdf consulté le
17/04/14
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MERCI
POUR VOTRE
ATTENTION
PARTICULIERE
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