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REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO


MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET
UNIVERSITAIRE
INSTITUT SUPERIEUR DE COMMERCE

SUJET : IMPACT DE L’AGRICULTURE


ITINERANTE SUR LA DEGRADATION DES
FORETS.

CAS DE LA PERIFERIE DU CENTRE-VILLE


DE LODJA

Animateur : Assistant Hubert NYIMA OLONGO

ANNEE 2023
0. INTRODUCTION
0.1. CHOIX ET INTERET DU SUJET
2

Le choix d’un sujet connait celui-ci, portant sur ‘’L’impact de


l’agriculture itinérante sur la dégradation de forêt. Cas de la périphérie du
centre-ville de Lodja’’ n’est pas un produit du hasard. Il est motivé par
l’observation faite sur plusieurs années, caractérisées par une ruée de nombreuse
des populations du centre-ville de Lodja, enquête de terre à cultiver, la réduction
de la durée jachère, la tendance de plus en plus manquée à la phrase, la tendance
le plus en plus manquée à la passe de l’herbe dans les étendues autrefois
forestières (la savanisation), la baisse de la production agricole, ect…
0.2. PROBLEMATIQUE

Depuis le temps de son apparition sur la terre, les efforts de l’homme


ont toujours été axés sur l’exploitation de son environnement dans le but de
satisfaire ses besoins. Cependant, depuis déjà quelques décennies passées,
d’avuns constatent que efforts visant à trouver la nature nécessaire au maintien
de la vie ne s’accompagnent malheureusement pas avec la pérennisation des
forêts. L’agriculture itinérante sur brulis ne permet plus le maintien de la forêt ;
cette dernière devient obligée de céder place à la savane ou au sol nu.
Face à cette désastre certaines questions nous viennent d’emblée à l’esprit :
 Comment se pratique l’agriculture dans la périphérie du centre-ville de
Lodja ?
 Quelles sont les causes de la dégradation de forêt dans la périphérie du
centre-ville de Lodja ?
 Quel est l’impact de l’agriculture itinérante sur la dégradation de forêt
dans la périphérie du centre-vile de Lodja.
0.3. HYPOTHESE
Une hypothèse est une idée directrice, une tentative d’explication des
phénomènes formulés au début de la recherche et déstiné à fonder
l’investigation puis à être abandonnée ou maintenue, d’après le résultat
acompli par la recherche (MUMBIAYI P.2011,p21)
En égard aux interrogations posées sur la problématiq ue,
nous proposons provisoirement les réponses suivantes :
 L’agriculture pratiquée dans la périphérie du centre-ville de Lodja n’a pas
évolué. Elle est itinérante sur brulis, sans aucun soucis de s’adapter à la
forte demande en terre à cultiver.
 Les causes de la dégradation des forêts dans la périphérie du centre-ville
de Lodja sont multiples : L’agriculture itinérante sur brûlis, la suppression
de la réduction de la durée de la jachère, la surculture, la recherche des
matériaux de construction (Planches, poteaux, arbrisseaux, lianes,…) la
3

fabrication des briques cuites nécessitant le bois, la source d’énergie dans


le foyers domestiques (bois, braises,…), l’exode rural.
 L’agriculture itinérante sur brûlis avait un impact sérieux dans la
dégradation des forêts car elle détroit les fractions biologique et technique
du sol ; elle brûle la litière et dénature l’himus.
0.4. OBJECTIFS

A travers cette étude, nous nous assignons les objectifs ci-après :


 Décrire l’agriculture itinérante pratiquée dans la périphérie du centre-ville
de Lodja ;
 Appréhender les causes de la dégradation des forêts dans la périphérie du
centre-ville de Lodja ;
 Saisir l’impact de l’agriculture itinérante sur la dégradation des forêts
dans la périphérie du centre-ville de Lodja ;
 Proposer des pistes de solution pour une gestion naturelle et une
pérennisation des forêts dans les abords du centre-ville de Lodja.
0.5. METHODE ET TECHNIQUES

Les méthodes et techniques sont des voies à suivre et de mapeur


utilisés en vue d’atteindre un résultat. Cet comme l’affirme SOLOTSHI M.
(2014, p.29), les méthodes et les techniques sont des boussoles qui aident le
chercheur à bien mener ses investigations.
Pour notre part, nous avons fait recours à la méthode descriptible afin
de décrire les réalités de la pratique agricole ; la méthode analytiques pour saisir
les relations entre l’agriculture itinérante et dégradation des terres.
Quant aux techniques, nous avons employé la technique
d’observation directe dans le but de vivre les réalités dues à la dégradation des
terres, les causes dont-elle dépend sans oublier les conséquences de l’agriculture
itinérante sur la dégradation des forêts. La technique documentaire nous a nuis
de pénétrer la littérature existante en rapport avec le sujet abordé. L’internet et la
bibliothèque nous ont été fort utiles. L’interview libre des cultivateurs était aussi
nuis sur pieds pour des informations complémentaires.
0.6. SUBDIVISION DU TRAVAIL

Excepté l’introduction et la conclusion générale, ce travail comprend trois


articulations répartis comme suit :
 La première présente le cadre physique et géo humain du milieu
d’étude ;
 La deuxième aborde l’activité agricole dans la périphérique du centre-
ville de Lodja ;
4

 La troisième est axée sur la perspective d’avenir face à l’agriculture


itinérante sur la dégradation des forets dans le centre-ville de Lodja.

I. CADRE PHYSIQUE ET GEO-HUMAIN DE LA PERIPHERIE


DU CENTRE-VILLE DE LODJA.
I.1. CADRE PHYSIQUE
La périphérie du centre-ville de Lodja fait recours à toutes les terres du
territoire de Lodja situées à l’abord du centre-ville de Lodja, ces terres
appartenaient autrefois aux secteurs des OLEMBA, MVUNGE,
LOTSHIMBA, et NAMBELO, avant être incorporées dans l’actuelle ville
de Lodja.
Le centre-ville de Lodja fait donc partie intégrante du territoire de Lodja,
situé à 605’ de latitude sud, entre 23°-27° et 30°40’ de longitude Est, à
une altitude d’environ 450m.
C’est un territoire errée par ordonnance du gouvernement central du 26
novembre 1913 à Boma. Il a une superficie d’environ 12.054km²
S’agissant particulièrement du centre-ville de Lodja, il important de
préciser qu’il est borné :
 A l’Est : par le secteur de NAMBELO,
 A l’Ouest : par le secteur de LOTSHIMBA ;
 Au Nord : par le secteur de MVUNGE ;
 Au Sud : par le secteur des OLEMBA.

Il est bâti sur des plateaux de basses altitudes qui bordent la rivière
LOKENYE, une rivière très sinvers aux eaux nairâtres. Le sol se prête mieux
aux cultures de plantation mais aussi aux cultures vivrières dont le mauce, le
maïs, le riz. Quant au climat, il est du type tropical humide, plus proche du
climat équatorial, avec des températures toujours élevées (25°c) et une
pluviamétrie abondante répartie sur une bonne partie de l’année.
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La température diurne varie entre 28° et 30° en moyenne ; celle de la nuit


ne dépasse pas 25°C. C’est le témoignage qu’il s’agit de la zonée de
climats chauds intertropicaux reconus par des températures élevées. Le
taux pluviométrique dans le centre-ville de Lodja est supérieur à 1500mm
déterminat des catastrophes érosifs. NYIMA H.(2021)

Tableau N°1 : Données pluviométriques de Lodja


Mo J F M A M J J+ Ao SI O N D A
is ut n
n
u
e
l

T° 23, 24, 24, 24, 28, 24, 23, 23, 24 23, 23, 23,
C 5 1 8 4 8 2 7 6 8 4 5

15 12 19 17 69, 14, 20, 52, 10 18 26 17 1


2,9 8,9 6,5 8,7 7 1 2 5 2,7 5,9 4,8 9,4 5
4
6
,
1

Source : NYIMA H.(2021) Notes de cours de climatologie L1


épidémiologie ISTD/Lodja.
En fonction des données pluviothermiques, Lodja connait une température
élevée toute l’année avec une moyenne annuelle de 24°C supérieur à
20°C.
Cette situation donne au centre-ville une ambiance étaiffante, chaude et
humide pendant la saison de pluie.
La végétation est dominée par des naigre forêts galeries. Les roches
superficielles de l’écorce terrestre sont directement soumises à l’influence
des facteurs.
Climatiques et des êtres vivants (organisme). KAYEMBE N (2015).
Le sol de centre-ville de Lodja sont sablo-argileux sur certaines cites. Les
sablonneux, les plus courants, sont le type KALAHARI ; ils sont pauvres
et médiocres pour l’agriculture.
En général, les sols du centre-ville et périphérie présent une texture très
fragile où les sables dominent sur les argiles. C’est pourquoi leur
6

plasticité est en général nulle bien que certains quartiers du centre-ville de


Lodja présentent une teneur élevée en argiles qui permet de fabriquer les
briques cuites, pour NYIMA O.(2018).
I.2. CADRE GEO-HUMAIN
Le centre-ville de Lodja est la contrée la plus peuplée du territoire de
Lodja en particulier et de la province du Sankuru en générale. Il compte
près d’un million d’habitants, très cosmopolite, fruit d’un exode-rural
ancien et récent aux conséquences multiples dont la conquête des terres
pour l’agriculture, l’habitation et de multiples projets de développement.
Presque tous les tributs de la RDC y sont représentés.
Mais les TETELA, LES BAKUTSHU, LES BAHUMBU, y sont plus
majoritaires ce sont des populations à vocation agricole, vivant
essentiellement des travaux de champs qu’ils exploitent par des
techniques rudimentaires dont l’agriculture itinérante sur brûlis.
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II. L’ACTIVITE AGRICOLE DANS LA PERIPHERIE DU


CENTRE –VILLE DE LODJA
Ainsi que nous l’avions signalé plus haut, l’agriculture est de loin la
vocation économique des contrées périphériques du centre-ville de Lodja.
Cette agriculture n’a pas du tout évolué. Elle repose sur la méthode
d’agriculture itinérante sur brûlis. En effet, la préparation du champ
procède par le défrichage exclusivement la traditionnelle étape d’abattage.
Passement disparu car tous les gros arbres ont été éliminés par les scieurs
des bois.
Les fabricants des braises, les fabricants de briques cuites. Ceci traduit en
suffisance la dégradation des forêts périphériques.
Après le coupe des bois par défrichage, il s’en suit un temps de séchage
avant de procéder à l’incinération. Le bûmis reste donc la voie obligée
pour dégager l’espace à cultiver. 3à4 ou après l’incinération le chat peux
porter des cultures, principalement, le riz, le manioc et le maïs, les autres
plantes dans les champs cultivés ne sont que secondaires. Après la récolte,
le même champ doit porter des légumineuses (arachides) le Pastèques du
maïs. La parcelle agricole est sans repos et s’appauvrit de telle manière
que l’arbre cède place à l’herbe.

II.1. CAUSES DE LA DEGRADATION DES FORETS DANS LA


PERIPHERIE DU CENTRE-VILLE
Les causes de la dégradation des forêts dans la périphérie du centre-ville de
Lodja sont multiples et liées au progrès enregistré par le centre-ville de Lodja.
II.1.1. LA DEFORESTATION
Dans son ancienne configuration, la ville de Lodja avait un caractère
quasiment insulaire car bornée de toute part par les cours d’eau bornées des
forêts, d’où l’on exploitait les bois, stiques et/ou l’on cultivait le riz, le maïs, le
manioc, les ananas. Aujourd’hui, l’exode-rural à déverser des masses
importantes des populations rurales, enquête de modernité et fuyant l’insécurité
en campagne, l’espace de la ville s’est agrandie, les forêts totalement coupés et
transformés en quartier d’habitation :
Quartier METSHA, OLOHO, FUNDJI, NDJILI, ASAMI…
La dégradation usulpative a soustrait le forêt de Lodja au bénéfice de
l’agriculture et du rôle naturel de la forêt, à savoir la production, la protection et
le rôle de sanctuaire.
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II.1.2. LE DEBOISEMENT : le besoin du bois de chauffage, des matériaux de


construction a fait disparaître les bois dans les abords du centre-ville de Lodja.
Tous les gros arbres on disparut car couper par le siers. La perte du bois a fait
naitre l’herbe, végétation symbole de la dégradation des forêts.
II.1.3. L’AGRICULTURE ITINERANTE SUR BRULIS
Il a été constaté que malgré leurs présences en ville, chaque individu
venu du milieu rural a gardé sa vocation d’agriculteur, voué donc aux travaux
des champs. Il s’en suit que le téracieux périphérique du centre-ville de Lodja
sont des véritables jardinages.
Ce type d’agriculture a suffisamment appauvrit le sol car non
seulement qu’elle entraine l’appauvrissement du sol, la réduction de l’épaisseur
de celui-ci, le faible rendement agricole mais aussi la réduction de la durée de la
jachère. La jachère n’est plus que d’une année à quelques mois, sans soucis de
restituer au sol son potentiel productif.
II.1.4 FABRICATION DE BRIQUE CUITES :
Elle est, au côté de l’agriculture itinérante sur brûlis, l’une des causes
principales de la dégradation des forêts périphériques du centre-ville de Lodja.
En effet, le besoin de construire la ville à imposer une étence achutter des
presses-briques, utilisant le bois pour la caurssio des briques. A ce jour, la
conquête du bois affecte également les arbustes des savanes.

2.2 CONSEQUENCES DE LA DEGRADATION DES FORETS DANS LA


PERIPHERIE DU CENTRE-VILLE DE LODJA
De nombreuses conséquences découlent de la dégradation des forêts
périphériques du centre-ville de Lodja.
II.2.1 LE RECHAUFEMENT CLIMATIQUE :
Il s’agit de l’élévation de la température en milieu urbain, non
seulement en cause de l’effet de proximité des habitants et de son effet d’albédo,
mais aussi de la disparition de couvert végétal qui entraine l’accumulation
d’importante quantité de CO2.
Eu égard à cette constations, le quartier périphérique de Lodja sont
relativement moins chauds, car bénéficiant de l’influence modératrice des cours
d’eaux périphériques (LONDA, DJESE, LOKENYE, SHAPEMBE…) et de la
multitude des plantes foncières et jonche les parcelles. A l’opposer des cours
d’eau du centre-ville de Lodja apparait plus échauffé, suite à l’intensité
d’activité économique dans les en jets de transport, l’effet de proximité de
maisons, la densité humaine.
II.2.2. L’EXPOSITION DU SOL AU SOLEIL ET BATENTE
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Un sol sans couverture végétale traissant le maximum de chaleur ainsi


que toute la variation thermique qui affronte l’homme est vite dégrader, rendant
le sol de plus en plus improductif. Par rapport à la pluie battante, ces
phénomènes bauche la porosité du sol et alimente l’activité de ruissellement
responsable de l’érosion. Ce phénomène est particulièrement important au
centre-ville de Lodja en raison de déficit de canaux d’évacuation des eaux
pluviales.
Signalons enfin que l’exposition du sol au soleil réduit sensiblement la
fraction biologique ou microphone du sol. Celle-ci ne supporte pas des fortes
chaleurs, son absence bloque le processus pédo-généthique d’où
appauvrissement du sol.

III. PERSPECTIVE D’AVENIR FACE A L’IMPACT DE


L’AGRICULTURE ITINERANTE SUR LA DEGRADATION DES
FORETS DANS LE CENTRE-VILLE DE LODJA.
La dégradation d’une forêt est un fait réel qui exige la prise de mesure
responsable.
Si l’on ne prend pas garde, les sols seront d’avantage dégradés et donc
incapable de répondre aux besoins de masse.
En court terme, la dégradation des forêts pourrons agandrés l’érosion des
sols déjà fragile pour créer incision grave dont les ravins. Ceci ne pourra
par ailleurs la dégradation des mollement pas épargner des sources d’eau
en terme de l’ensemblement, de la pollution multiforme.
Par ailleurs, la dégradation de forêts caractérisées ce jour par la disparition
progressive de l’arbre au profit de l’herbe ou d’autres plantes rapportées
devra perdre son rôle quasi magique de brise verte, ce qui pourra à long
fragiliser les habitations.
Pour prévenir toutes ses catastrophes, il importe que certaines dispositions
soient prises en amont.
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En effet, le pouvoir public, la population et les ONG/D devrons veuilles


sur :
 Reboisement qui devrait mise sur pied ;
 La construction de micro-central électrique pour compenser la coupe
du bois, la fabrication des braises etc…
Les réchauds, les cuisinières pourront ainsi fonctionnées à la place du
bois :
 Les forages d’eau qui pourra permettre à la population de trouver une eau
potable à la place de l’eau souillée des sources superficielles
 Service de droit foncière, il fallait réviser le droit foncière car dans la
tradition des couples (la majoritaire ayant le pouvoir coutumier dans le
milieu) le premier arrivant appelé encore le premier occupant, une
quelconque terre, avant le droit d’installer les limites autours du point où
il voulait installer son habitant. Ces limites (souvent indiqués par les
arbres ou palmiers) avait déterminé une fois pour toute la priorité
collective de la terre.
Par cet acte de délimitation, l’ancêtre donnait à tous ses descendances le
droit de travailler la terre délimitée et d’y récolter les produits de leur
travail.
Ainsi, aucune autre famille n’est autorisée de travailler sur cette terre.
Le droits familiaux des cultures individuelles subsistent aussi longtemps
que « les ayants droit » continuent de travailler ces parcelles, la terre
appartient donc généralement à un partenaire qui a fait ce qu’il veut : il
accepte ou renvoi les agricultures selon son bon vouloir. Or, pour les
Komo, c’est un droit incontesté pour chacun de venir travailler la terre de
ses parents. Et c’est ceux qui habitent et qui ne sont pas issus des premiers
occupants. Il faut donc amène le chef coutumier et le propriétaire foncier
à recevoir cette politique foncière en vue d’une nouvelle redistribution
équivalable de pratiquer l’agriculture intensive quand on n’a pas un
terrain propre à soi.
 La population de centre-ville de Lodja ; le renforcement de capacité et
d’exploitation de technologie, risque d’être réduit si la croissance
démographique reste aussi forte.

Il est alors indispensable d’améliorer le bien-être et la santé si l’on


veut parvenir à des taux de natalité plus faibles. Ce fait, il faut encourager les
jeunes gens garçons et filles à prolonger les études car celle-ci peuvent retardées
l’âge au mariage.
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Il faut aussi donc une bonne planification familiale qui peut constituer
la base d’une amélioration de la santé et d’une réduction de taux de mortalité
infantile et maternelle.

CONCLUSION GENERALE
Nous sommes arrivés au terme de notre travail de fin de cycle
intitulé : « Impact de l’agriculture itinérante sur la dégradation des forêts. Cas
du centre-ville de Lodja ».
Dans cette esquisse l’impact positif et négatif de l’environnement
peut nous entrainer à l’amélioration de santé et à sa destruction.
La sensibilisation et l’implication des autorités en place, constitue une
éducation par excellence sur une bonne utilisation et gestion des ressources
naturelles.
Il est opportun à cet effet de faire le bilan de notre recherche en vue
d’évaluer nos efforts par rapport à notre objectif du départ. Tel que cela ressort
dans notre problématique, l’agriculture pratiquée dans la périphérie du centre-
ville de Lodja n’a pas évolué. Elle est itinérante sur brûlis sans aucun souci de
s’adapter à la forte demande en terre cultivée.
En outre, les causes de la dégradation des forêts dans la périphérie du
centre-ville de Lodja sont multiples : la réduction de la durée de la jachère, la
subculture, la recherche des matériaux de construction (planches, poteaux,
arbrisseaux, lianes …). La fabrication des brique cuites nécessitant les bois, la
source d’énergie dans les foyers domestiques (bois, braises), l’exode-rural.
Nous avons opté pour les méthodes combinées entre autre :
 La méthode descriptive : nous a permis de décrire les réalités de la
pratique agricole
 La méthode analytique : nous a aidé pour saisir les relations entre
l’agriculture itinérante et la dégradation des terres.

Toutes ces approches ont été associées à trois (3) techniques :


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a. L’observation directe dans le but de vivre les réalités dues à la


dégradation des terres, les causes dont elle dépend sans oublier les
conséquences de l’agriculture itinérante sur la dégradation des forêts
b. La documentation : nous a servi de pénétrer la littérature existante à
rapport avec le sujet abordé.
c. L’interview libre des cultivateurs : était aussi mise sur pieds pour des
informations complémentaires.

Hors mis l’introduction et la conclusion générale, nous avons


subdivisé notre travail à trois chapitres : dans le premier chapitre, nous avons
parlé du cadre physique et humain de la périphérie du centre-ville de Lodja.
Au deuxième moment, nous avons décelé l’activité agricole dans la
périphérie du centre-ville de Lodja.
Le troisième parle de la périphérie de la perspective d’avenir face à
l’impact de l’agriculture itinérante sur la dégradation des forêts dans le centre-
ville de Lodja.
Ce travail n’a été qu’une annonce, mais il mérite d’être complété par
d’autres chercheurs.
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BIBLEOGRAPHIE
A. DICTIONNAIRE
1. GEORGES P, Dictionnaire de géographie, paris, 2009
2. LAROUSSE illustré édition 2010.
B. OUVRAGES
1. Beaujeu-garnier, J : la géographie, méthode et perspective,
Masson, paris, 1971
2. Beurrier J.P : droit international de l’environnement édition A,
pédon-paris 2010 ;
3. Bigot. S : variabilité climatique, interaction et modification
environnementales, côte d’ivoire 2004
4. Bushabu A. : ville et aménagement de territoire de la République
Démocratique du Congo, édition crédop 2014, KANANGA
5. ROY L. : nature du sol et croissance végétale, New-York, paris
1944
C. NOTES DES COURS
1. NYIMA O ; notes des cours de :
 Climatologie L1,
 Epidémiologie ISTD/LODJA 2021,
 Notion de pédologie G3 polytechnique USTL 2019,
 Aménagement du territoire G3 GAP ISTD, 2022
2. NAMBE 3 : notes des cours de :
 Environnement G1 ISP/BUKAVU 2010
3. YAMBA T. :
 Ecologie
 Conservation
 Gestion des ressources naturelles, L2
 Géo, ISP-Kga, 2016
D. ARCHIVES ET RAPPORTS :
 archive du bureau territorial de Lodja
E. WEBOGRAPHIE
1. Http://www.larousse/français/dictionnaire/français/environnement .
2. www.radio.okapi.Net/emission-2/paris...

0. INTRODUCTION................................................................................................................2
0.1. CHOIX ET INTERET DU SUJET..................................................................................2
14

0.2. PROBLEMATIQUE........................................................................................................2
0.3. HYPOTHESE.....................................................................................................................2
0.4. OBJECTIFS......................................................................................................................3
0.5. METHODE ET TECHNIQUES......................................................................................3
0.6. SUBDIVISION DU TRAVAIL........................................................................................4
I. CADRE PHYSIQUE ET GEO-HUMAIN DE LA PERIPHERIE DU CENTRE-VILLE
DE LODJA....................................................................................................................................5
I.1. CADRE PHYSIQUE..............................................................................................................5
I.2. CADRE GEO-HUMAIN.......................................................................................................6
II. L’ACTIVITE AGRICOLE DANS LA PERIPHERIE DU CENTRE –VILLE DE
LODJA..........................................................................................................................................8
II.1. CAUSES DE LA DEGRADATION DES FORETS DANS LA PERIPHERIE DU
CENTRE-VILLE.............................................................................................................................8
II.1.1. LA DEFORESTATION........................................................................................................8
II.1.2. LE DEBOISEMENT
II.1.3. L’AGRICULTURE ITINERANTE SUR BRULIS.............................................................9
II.1.4 FABRICATION DE BRIQUE CUITES :.............................................................................9
2.2 CONSEQUENCES DE LA DEGRADATION DES FORETS DANS LA PERIPHERIE DU
CENTRE-VILLE DE LODJA.........................................................................................................9
II.2.1 LE RECHAUFEMENT CLIMATIQUE :............................................................................9
II.2.2. L’EXPOSITION DU SOL AU SOLEIL ET BATENTE..................................................10
III. PERSPECTIVE D’AVENIR FACE A L’IMPACT DE L’AGRICULTURE ITINERANTE
SUR LA DEGRADATION DES FORETS DANS LE CENTRE-VILLE DE LODJA.............11
CONCLUSION GENERALE........................................................................................................13
BIBLEOGRAPHIE........................................................................................................................15
A. DICTIONNAIRE............................................................................................................15
B. OUVRAGES.......................................................................................................................15
C. NOTES DES COURS.....................................................................................................15
D. ARCHIVES ET RAPPORTS :..........................................................................................15
E. WEBOGRAPHIE...............................................................................................................15

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