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Examen final

PATHOLOGIE DES BATIMENTS

Nom : MAES MOREIRA ARAUJO LE


Prénom : Lucas Vinicius Van Nhat Linh
Identifiant :
Classe : B3 B3 B3
EXERCICE 1

1- Présentation de la pathologie

Un problème structurel se caractérise par des défauts, des défaillances ou des


irrégularités compromettant l'intégrité physique ou fonctionnelle d'une construction, d'un
système ou d'une organisation. Les illustrations ci-dessous représentent quelques problèmes
structurels identifiés sur un mur extérieur d'un bâtiment

Figure 1 : Pathologies dans le mur Figure 2 : Chute du revêtement

Figure 3 : Fissures dans le mur


2/3- Identification du type de structure, de son âge, du type de construction et le type de
pathologie

Les photographies en question ont été prises dans une institution éducative qui cumule
déjà 46 ans d'activité continue en tant qu'école. L'accent est mis sur un mur de maçonnerie
externe, construit en blocs de céramique, présentant des pathologies de nature structurelle
compromettant son intégrité et sa longévité. Les principales anomalies identifiées sur le mur
de maçonnerie, selon les images, comprennent des fissures horizontales, un déplacement et une
détérioration du revêtement, la corrosion des armatures des piliers et des signes d'infiltrations.

4- Identification des risques de cette pathologie pour l'ouvrage et les habitants

Par conséquent, la présence de ces pathologies entraîne divers risques tant pour la
structure que pour les utilisateurs et l'environnement environnant. En ce sens, certains risques
éminents pour l'œuvre incluent la compromission de l'intégrité structurelle du mur,
potentiellement conduisant à sa rupture totale ou partielle et, par conséquent, affectant la
fonctionnalité globale de l'école. En ce qui concerne les risques pour les utilisateurs, on
souligne le danger imminent pour la vie humaine en raison d'un possible effondrement
structurel, ainsi que des problèmes de santé dus aux conditions propices au développement de
microorganismes, influencées par l'humidité présente dans le mur.

4/5- Identification des investigations et des études à réaliser

Face aux divers problèmes structurels mis en évidence sur ce mur, il est impératif de
mener des enquêtes approfondies, telles que des inspections visuelles sur le terrain pour
cartographier l'étendue et la profondeur des fissures, ainsi que des investigations géotechniques
pour comprendre les mouvements et variations pouvant influencer les pathologies. De plus, il
est crucial de mener des études spécifiques, telles que le corrosimétrie, pour évaluer le niveau
de corrosion des armatures des piliers du mur, et des analyses de laboratoire de matériaux pour
valider les hypothèses de recalcule d’une structure ou d’élaborer des solutions de renforcement.

6- Identification des causes et les remèdes possibles

En examinant attentivement les pathologies présentes, il est possible d'identifier des


modèles, des relations et des influences contribuant à la manifestation de ces problèmes
structurels. L'analyse des fissures et des déplacements de revêtements suggère la nécessité de
prendre en compte des facteurs tels que les mouvements du sol, les tassements différentiels, le
manque d'entretien et le suivi continu des pathologies. De plus, en ce qui concerne la corrosion
de l'acier des piliers, on peut citer comme cause le contact direct de l'armature avec les
intempéries en raison de la chute de recouvrement du pilier. En ce qui concerne l'infiltration,
le manque de couvertine pour muret sur le mur est une cause de l'entrée d'eau à l'intérieur de la
maçonnerie, ainsi qu'un éventuel manque d'imperméabilisation de la fondation du mur, en
raison des infiltrations observées près du sol.
En mettant en évidence les causes potentielles de manière claire et détaillée, il est
possible de poser une base solide pour le développement de stratégies efficaces de mitigation
et de résolution des pathologies en question. En ce qui concerne les fissures, l'injection de
résine époxy représente une solution efficace pour combler et stabiliser les fissures existantes,
tandis que le renforcement structurel avec des barres d'acier ou des fibres de carbone contribue
à éviter les déformations futures. Pour les infiltrations, l'application de revêtements
imperméabilisants sur les surfaces vulnérables est essentielle, de même que l'installation du
couvre-mur pour éviter les infiltrations venant du haut du mur lors des pluies. En ce qui
concerne le décollement du revêtement, les solutions incluent la réparation ou le remplacement
des revêtements détachés et l'utilisation d'adhésifs structuraux pour améliorer l'adhérence. De
plus, renforcer le substrat sous-jacent fournit une base solide pour prévenir les détachements
futurs.

D'autre part, une alternative plus complète et efficace serait la démolition totale du mur,
suivie par la construction d'une nouvelle structure, en intégrant des soins constructifs
méticuleux pour prévenir l'occurrence de problèmes structurels futurs.

6- Identification des potentiels responsables

En tenant compte des pathologies mises en évidence, la responsabilité incombe


principalement à la société de construction et au maître d'ouvrage. La société de construction,
en ne mettant pas en œuvre des mesures constructives recommandées, telles que l'inclusion de
joints de dilatation dans le mur pour absorber les mouvements naturels sans générer de fissures,
et l'installation du couvre-mur pour prévenir l'infiltration de l'eau de pluie par le haut de la
maçonnerie. Le maître d'ouvrage est également coresponsable, ayant reçu l'édification avec des
défauts de construction évidents. Cependant, compte tenu de l'âge de la construction et de la
fin de la période de garantie décennale, la responsabilité principale incombe au propriétaire de
l'école, qui n'a pas effectué les maintenances périodiques nécessaires sur le mur, permettant
ainsi à la situation de s'aggraver au fil du temps.
EXERCICE 2

Dans le cadre d’un sinistre, vous intervenez en raison d’un fléchissement très
important d’une passerelle en béton armé qui relie deux bâtiments.
La déclaration a été faite 6 mois après la réception de l’immeuble à usage de bureaux.
Les passerelles abritent des salles de réunion vitrées, avec des coursives / balcons
de chaque côté.

1- Pourquoi peut-on considérer qu’il s’agit d’un cadre décennal ?


On peut considérer qu’il s’agit d’un cadre décennal, car le sinistre concerne un fléchissement
très important d’une passerelle en béton armé, un élément structurel majeur. En France, les
garanties décennales couvrent les dommages affectant la solidité de l’ouvrage ou le rendant
impropre à sa destination pendant une période d’environ dix ans après la réception des
travaux. Le délai de six mois depuis la réception de l’immeuble pourrait donc encore être
inclus dans cette période de garantie décennale.
2- Le bâtiment est constitué par un système de poteaux poutres en béton armé. Les
planchers sont des dalles en béton armé classiques.
Les passerelles sont également en béton armé, soutenues par les deux bâtiments. Il n’y a
pas de désordre au droit des appuis de cette passerelle.
Quelles peuvent être les origines de la déformation de la passerelle ?
Quelles peuvent être les conséquences si le désordre est évolutif ?

Les origines possibles de la déformation de la passerelle pourraient inclure des variations


dans la charge d’utilisation, des défauts de conception ou de construction, des mouvements
différentiels des bâtiments supportant la passerelle, ou des influences externes telles que des
conditions météorologiques extrêmes.
Si le désordre est évolutif, cela pourrait conduire à des conséquences graves telles que
l’aggravation de la déformation, compromettant la stabilité de la passerelle. Cela pourrait
également affecter les éléments connectés, comme les salles de réunion vitrées et les
coursives/balcons, pouvant entraîner des risques de sécurité, des dommages structurels
supplémentaires et des coûts de réparation plus importante. Il faut intervenir le plus vite
possible afin de remédier à la situation.

3- Quelles investigations demanderiez-vous ?

De multiples investigations sont à mener afin de comprendre comment ce bâtiment a pu


autant se déformer.
Nous pouvons d’abord commencer par une inspection visuelle détaillée, c’est-à-dire observer
la passerelle pour identifier visuellement les déformations, fissures ou signes évidents de
détérioration.
Nous pouvons ensuite analyser les plans d’ingénierie et de construction pour comprendre la
conception initiale et vérifier si elle respecte les normes en vigueur.
Enfin, nous pouvons utiliser des méthodes comme les ultrasons, la radiographie, ou les essais
de résistance pour détecter d’éventuelles anomalies internes dans le béton armé.

4- Quelles analyses techniques mèneriez-vous ?

Des analyses techniques approfondies sont nécessaires pour ce bâtiment.


En premier lieu, nous pouvons refaire des études géotechniques afin de déterminer si la
stabilité du sol est suffisante.
Nous pouvons également engager une étude approfondie de la structure de la passerelle, y
compris des analyses de charges, de contraintes et des calculs de résistance pour évaluer la
capacité portante.
Nous devrions de même effectuer des mesures de mouvements différentiels entre les
bâtiments pour mieux comprendre les déformations observées.
Selon le lieu de construction du bâtiment, des conditions climatiques extrêmes peuvent être
envisagées, il faudrait alors réaliser une analyse thermique pour évaluer les effets de
dilatation ou contraction thermique sur la structure.
Enfin nous pouvons observer le temps de réaliser toutes ces études la déformation en temps
réel à l’aide d’instruments. Cela permettrait d’évaluer celle-ci au fil du temps afin de
déterminer plus précisément la dangerosité du bâtiment.

5- Quand considèreriez-vous que des mesures conservatoires sont nécessaires ?

Si la déformation de la passerelle présente un risque immédiat pour la sécurité des occupants


ou des personnes à proximité, des mesures conservatoires doivent être prises sans délai.
De plus, à l’aide des instruments décrits ci-dessus, si les déformations de la passerelle
évoluent rapidement, cela peut indiquer une détérioration progressive et alors nous amener à
prendre des mesures.
Si la déformation affecte des éléments adjacents, des mesures sont nécessaires pour prévenir
des dommages supplémentaires et assurer la sécurité.
Si les analyses techniques révèlent une instabilité potentielle de la passerelle ou des éléments
structurels adjacents, ou si les mouvements différentiels entre les bâtiments supportant la
passerelle sont excessifs, des mesures conservatoires sont essentielles pour maintenir la
stabilité en attendant des réparations permanentes.

6- Selon les causes, qui pourrait être tenu responsable ?

En fonction des résultats de nos analyses, de nombreux acteurs peuvent être mis en cause
dans le fléchissement de cette passerelle :
• Entrepreneur ou constructeur : Si la déformation est due à des défauts de construction,
de mise en œuvre ou de qualité des matériaux, la responsabilité pourrait incomber à
l’entrepreneur ou au constructeur initial.
• Conception et ingénierie : Si les déformations résultent de défauts de conception,
d’erreurs dans les calculs structurels ou d’une analyse inadéquate des charges, les
concepteurs et ingénieurs pourraient être tenus responsables.
• Contrôle qualité : Si le problème est lié à un manque de contrôle qualité pendant la
construction, la responsabilité pourrait être partagée entre l’entrepreneur et les parties
responsables du suivi qualité.
• Conditions du sol : Si les déformations sont influencées par des conditions
géotechniques imprévues, la responsabilité pourrait incomber aux experts
géotechniques qui ont évalué le sol.
• Gestion de projet : La responsabilité peut également reposer sur la gestion de projet si
des lacunes dans la coordination, la surveillance ou la communication ont contribué
aux désordres.
• Normes et régulations : Si la construction n’est pas conforme aux normes et
réglementations en vigueur, les parties responsables de la conformité pourraient être
tenues pour responsables.
Tous ces acteurs peuvent ainsi être responsables du désordre du bâtiment, et c’est ainsi
seulement après l’évaluation des causes de ce désordre que nous pourrons déterminer lequel
ou lesquels seront condamnables.

EXERCICE 3

1- Qu’est-ce qu’une assurance décennale et expliquer dans quel cas elle est obligatoire.

L'assurance décennale est une assurance obligatoire pour les constructeurs, notamment les
entrepreneurs, architectes, et autres professionnels du bâtiment. Celle-ci assure la réparation
des dommages qui se manifestent après la réception des travaux. La garantie décennale, d'une
durée de dix ans, prend en charge la réparation des défauts, notamment liés à des malfaçons
de construction, dont le degré de gravité est élevé, compromettant l'intégrité du bâtiment.
Toutefois, dans certains cas, l'assureur en charge de la garantie décennale peut refuser la prise
en charge des dommages affectant le bâtiment.

2- Quelles sont les missions d’un maître d’œuvre ?

Le maître d'œuvre est chargé de la conception, de la coordination et du suivi des travaux de


construction. Ses principales missions comprennent la conception du projet, l'établissement
des plans et des documents techniques, la coordination des différents intervenants, la gestion
administrative du chantier, le contrôle de la conformité des travaux par rapport au cahier des
charges, et la réception des travaux.

3- Pourquoi les désordres géotechniques sont plus rares mais généralement plus couteux
que les autres ?
Les désordres géotechniques sont plus rares car ils dépendent des caractéristiques spécifiques
du sol et du sous-sol. Cependant, lorsqu'ils surviennent, ils peuvent être plus coûteux en
raison de la complexité des solutions techniques nécessaires pour y remédier.

4- Quels sont les étapes fondamentales afin de vérifier la validité d’un modèle
numérique (aux éléments finis par exemple) ?

La vérification doit porter sur les axes de référence, les conditions limites, les différents
éléments, les contraintes, le cisaillement, les fréquences propres et les déplacements
maximaux.

5- Quel est le plus dangereux : oublier le poids propre du bâtiment ou les charges
d’exploitation ? justifier selon le type d’ouvrages

Pour les structures, notamment les bâtiments, oublier le poids propre peut être plus dangereux
car il constitue une charge permanente importante. Cependant, pour des ouvrages tels que les
ponts ou les passerelles, les charges d'exploitation (comme le trafic routier) peuvent être
prépondérantes. Ainsi, la dangerosité relative dépend de la nature de l'ouvrage et de sa
fonction.

6- Est-ce que des infiltrations d’eau dans un parking peuvent être considérées comme
un désordre de nature décennale ?
Effectivement, des infiltrations d'eau dans un parking peuvent être considérées comme un
désordre de nature décennale, car une présence importante d'eau chargée dans un parking
peut altérer la peinture des voitures, constituant ainsi une impropriété à la destination, ce qui
rentre dans le cadre décennal.

7- Est-ce que des fissures de 0,2 mm d’ouverture en façade d’un hôtel peuvent être de
nature décennale ?

Des fissures de 0,2 mm d'ouverture en façade d'un hôtel ne sont généralement pas considérées
comme des désordres de nature décennale, car elles ne compromettent pas la stabilité ou la
solidité de l'ouvrage.

8- Quel type de fissures puis-je avoir pour un mur d’infrastructure soumis à des
poussées des terres (exemple d’un parking enterré sur 3 niveaux) ?

• Les fissures horizontales résultent de la flexion engendrée par la poussée des terres
sur le mur.
• Les fissures en escalier sont causées par un différentiel de charge sur l'élément.
• Les fissures en V apparaissent en cas de problèmes de fondations, souvent au bas de
l'élément.
• Les fissures de retrait et de gonflement sont observées en cas d'assèchement ou
d'infiltration d'eau sur plusieurs cycles des sols tels que l'argile.
• Les fissures de cisaillement, résultant du cisaillement engendré par la poussée des
terres, peuvent être obliques ou verticales.
9- Quels sont les deux actions pour lesquelles il n’y a pas besoin d’avoir de désordre
pour engager le cadre décennal – les non-conformités sont suffisantes ?

Les deux actions pour lesquelles il n'est pas nécessaire d'avoir des désordres pour engager la
responsabilité décennale sont :
• La solidité de l’ouvrage
• L’impropriété à destination.
10- Soit un plancher de 20 cm d’épaisseur, de 5 m de long, avec G’ = 100 daN/m² et
Q = 250 daN/m².
Quel est l’influence d’un enrobage majoré (3 cas à étudier : enrobage de 3, 6 et 9 cm),
sur la capacité du plancher [faire le calcul du plancher en isostatique, et calculer la
section d’acier à mettre en place pour l’enrobage de 3 cm ; ensuite calculer le moment
résistant si on augmente l’enrobage de 3 puis de 6 cm].

G = 100*0.2 = 20 daN/m
Q = 250*0.2 = 50 daN/m
Pelu = 1.35 G’ + 1.5Q = 1.02 kN/m
Med = PELU*L²/8 = 3.1875 kN.m

µ = Med / d²*b*fcd
On calcule sur une bande porteuse de dalle de largeur 1m => b=1m
• L’enrobage c égal de 3cm on a :
d= h-0.03 = 0.17m
µ= 0.0066 < µlim = 0.372
α= 1.25(1 − √1 − 2𝜇)= 0.0083

Zc1 = d (1 – 0.4 α) = 0.169m


As1 = Med / Zc* σs = 0.433 cm²/ml
Avec uniquement des données supposant une section rectangulaire, le calcul du moment
résistant (conçu pour des sections en T) n'est pas possible. Cependant, nous pouvons calculer
le moment réduit pour déterminer les sections d'armatures, puis les comparer afin de déduire
l'influence d'un enrobage majoré.
• Pour c = 6cm on a :
d2= h-0.06= 0,14m
µ2=0.0096 < µlim = 0.372
α2=1.25(1 − √1 − 2𝜇)= 0,0122

Zc2 = d (1 – 0.4 α) = 0.14m


As2 = Med / Zc* σs= 0.523 cm²/ml
• Pour c = 9 cm on a :
d3 = h-0.09= 0.11m
µ3= 0.0158 < µlim = 0.372

α3= 1.25(1 − √1 − 2𝜇) = 0.0199

Zc3= d (1 – 0.4 α) = 0.109m


As3= Med / Zc* σs= 0,672cm²/ml
=> As1= 0,433cm²/ml < As2 = 0,523 cm²/ml < As3 = 0,672cm²/ml
Cela implique que à mesure que l'enrobage augmente, le bras de levier disponible pour les
armatures diminue, entraînant une diminution de la capacité résistante de l'élément. C'est
pourquoi une quantité accrue d'armatures est nécessaire pour compenser les efforts de
traction dans les fibres inférieures.
Il convient de souligner que toutes les sections calculées sont inférieures à la section
minimale d'armatures à mettre en œuvre dans le béton, laquelle est d'environ 4% de sa
section.
As,min = 2,27cm²/ml

12- Modéliser une poutre travaillant en isostatique :


a. C25/30
b. L = 6m
c. Dalle 23 cm
d. Poutre 35 cm de large * 50 cm de hauteur
e. Entraxe entre poutres : 6 mètres
f. G’ = 100 daN/m² et Q = 150 daN/m²

Modèles 1 : la poutre avec toutes les charges appliquées


Modèle 2 : 3 poutres avec modélisation du plancher

Comparez les résultats et expliquez l’intérêt de chaque modèle.


Modèle 1 :

Modèle 2 :
=> La flèche du modèle 2 est plus faible que celle du modèle 1 et la poutre du modèle 1 est
moins sollicitée.

L’intérêt du modèle 1 est qu’on économise de la matière au niveau du plancher, car la poutre
est directement chargée. Cependant cette poutre ne pas compter sur d’autres éléments
structuraux en cas de sinistre.

Le modèle présente aussi des avantages, à savoir une retransmission des charges par
l’intermédiaire du plancher. Cette structure sera plus ductile en cas de sinistre car les deux
poutres de rives pourront reprendre les charges pendant un moment avant la rupture.

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